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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

IRON SKY Timo Vuorensola

IRON SKY

 

Timo Vuorensola, a mis 5 ans a faire ce film, qui as en partie été financer par des fans qui via internet on coproduit ce film a auteur de 1 million d’euros, a un moment ou le réalisateur avait besoin de convaincre les producteurs. Cela lui a permis d’avoir des producteurs deux autres millions pour finir le film. Le budget total s’élevant à 7 millions et demi d’Euro.

Ce qui pour un film de genre européen, est un gros budget.

Suivant l’expression consacrée « l’argent est sur l’écran ».

Ce film a rencontré des problèmes pour l’importation des costumes nazis pour le tournage de certaines scènes. C’est en suivant les conseils d’amis qui avaient eu le même problème pour un autre film, qu’il a réussi a les faires entrer en Allemagne.

C’est avant tout une comédie de science-fiction, proche dans l’esprit d’un Stanley Kubrick et de son film culte : « 2001, l'Odyssée de l'espace (2001 : A Space Odyssey) », sorti en salle en 1968.

Mais ce n’est pas que cela, c’est aussi un film profondément antiraciste, qui utilise la comédie pour dénoncer l’extrême droite et plus particulièrement les ultras conservateurs des « thé parti » et de Sarah Palin, l’actrice (Stéphanie Paul, que l’on a déjà vue dans une dizaine de comédies) tenant le rôle de la présidente des USA, lui ressemblant de manière étonnante, mais aussi de manière convaincante.

A note que les musiques sont signées Laibach qui avait déjà fait les musiques de « Spiderman » ou de « The Blair Witch Project ».

Ce film très attendu a rencontré un bon accueil lors de ces présentations au Berlinade et au BIFFF 2012.

On espère que pour la sortie DVD on auras en bonus les bandes annonces, et spécialement la première avec le décollage de l’antarctique, qui n’est pas dans le film.

 

Résumé du Film :

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les nazis parviennent à lancer en secret une fusée jusqu’à la face cachée de la Lune. En 2018, les descendants de ces colons à la croix gammée et à l’idéologie plus que martiale ont construit une flotte de vaisseaux et s’en vont conquérir le monde.

 

 

CASTING

Réalisateur :

Timo Vuorensola

Scénaristes:

Johanna Sinisalo (original story),Jarmo Puskala (original concept) ...

Sortie : 4 avril 2012 (Finlande)

Genre: Comédie/SF

(Interprètes principaux)

Julia Dietze ... Renate Richter

Udo Kier ... Wolfgang Kortzfleisch

Kym  Jackson …Julia McLennan

Peta Sergeant... Vivian Wagner

Stephanie Paul ... President of the United States

Götz Otto ... Klaus Adler

Christopher Kirby ... James Washington

Monika Gossmann ... Designer

Yuki Iwamoto ... Japanese Representative

Tero Kaukomaa ... Finnish Representative

Jim Knobeloch ... Nazi Weapons Officer

Tilo Prückner  ... Doktor Richter

Nick Dong-Sik ... North Korean Representative

Jeffrey Coulas ... English Representative

Michael Cullen ... Secretary of Defence

Andrew Buchanan... 3rd GWB Officer

James Quinn... Reporter

Claus Wilcke ... Russian Representative (comme Claus Wilke)

Milo Kaukomaa ... Siegfried

Vivian Schneider ... Brunhilde

Ben Siemer ... Sanders

Alexander J. Beck ... New Yorker (comme Alexander Beck)

Fang Yu ... Chinese Representative

Martin Grelis ... 2nd GWB Officer

Jorres Risse ... Imperial SS trooper

Tom Hoßbach ... Dieter

Irshad Panjatan ... Indian Representative

Kristina Walter ... Old Woman

Alois Moyo ... NYC taxi driver

Jessica Veurman-Betts ... Hippie Gal

Eugene Schlusser ... Nazi General

Lisa Zoe Bräutigam ... Hannelore

Oskar Mahler ... Vieillard

Ramin Yazdani ... Pakistani Representative

George Koutros  ... Neo Nazi #1

Andreas Konzack  ... Security Officer

Marvin Davis ... Dictator

Dieter Gring ... Pilot #1

Harald Koch ... Pilot #2

Mark Mineart ... Male Detective

Samir Fuchs ... Middle east representative

Brett Molloy ... Uwe the pilot

Chelsea Cunningham ... Catwalk Model

Ryan Provost ... Segway cop

Durée : 93 min

Pays: Finlande  Allemagne | Australie

Langue: Anglais | Allemand

Couleur: Couleur

Classification: Allemagne:12

Lieux de tournage: Brisbane, Queensland, Australie

Société: Blind Spot Pictures Oy

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COLLECTIFFF 2012
A l’occasion du 30e Festival du Film Fantastique de Brussels, un collectif de cinéastes amateurs ont tournée des courts métrages. Il est dommage que seuls deux d’entre eux on prit le motif de cet événement qu’est un 30eme anniversaire, comme thème de leurs films.
Cela dis l’ensemble des films présenter dans une section spéciale, hors compétition, et projeter lors d’une soirée, était de bonne tenue, un film était projeter avant chaque séance classique du BIFFF, film changeant chaque fois.
Il n’est pas possible dans notre « format » de faire un article parlant des 12 films, nous en retiendrons donc deux, vous pourrez découvrir les autres en vous connectant au site spécialement dédier.
Sanctuary’s Battle : Les combats « magiques » aurait peut être put être accompagné ou précéder d’un ou deux combats dans le style duel Jedi, mais ne faisons pas trop  la fine bouche. Les effets spéciaux au vu des moyens dont disposait l’équipe (comme toutes les équipes) sont bien fait.  
Sanctuary-160x240
 
Sanctuary’s Battle (fiche)
Réalisé par Emre Olcayto avec Jean-Michel Vovk, Cécile Delberghe, Sarah Van Calck, Michael Cambier, Jonathan Robert, Idrissa Murangwa
Ange déchu bouté par Dieu hors du Paradis, Lucifer a trouvé un moyen de pénétrer sur Terre et d’y vivre caché. En quête d’une clé capable d’ouvrir les portes de l’enfer et qui serait enterrée parmi les hommes, Lucifer envoie ses deux filles et ses meilleurs combattants à sa rechercher…
L’équipe
Réalisateur : Emre Olcayto
Ass Real : Sebastien Petit
2eme ass real : Noémie Jacques
3eme ass réal : Sofia Ghysels
Producteur : Emre Olcayto
Directrice  de production : Belgin Aka
Chef Opérateur : Bjorn Charpentier
Ass Cam : François Andreoletti
Ass Cam : Paul Peeters
Steadycam : Olivier Merckx
Chef Electro : Peter Prinsen
Electro : Michael Stolz
Electro : Lucien Keller
Electro : Jerome De Paepe
Electro : Christophe Beauprez
Electro : Geraldo Haag
Electro : Jeroen Vercampt
Electro : Robin De Wit
Chef Machino : Jerome Milecan
Machino : Julien Charpentier
Combo : Noon
Scripte : Emmanuelle Segura
Make Up : Daphné Durieux
Stylisme : Paola Arellano Cortes
Set Designer : Florin Dima
Régisseur Général : Benjamin Vanhagendoren
Régisseur : Sebastien Briedis
Régisseur : Pierre Truong Tan Trung
Régisseur : Quentin Modave
Régisseur : Michael Lowyck
Régisseur : Julien Cherpion
Catering : Benjamin Bette
Making of camera operator : Guillaume Simonin et Isabel Elwood
Photographe de plateau : Benjamin Franck
Photographe de plateau : Anne Perin
Photographe de plateau : Lidwine Godfroid
Photographe de plateau : Aurore Belot
Photographe de plateau : Pierre Stievenart
Photographe de plateau : Julien Charpentier
Storyboard : Miguel Zuleta
Monteur : Jérome Guiot
Ass Monteur : Barney Frydman
Compositeur : Robin Scott Fleming
Sound Design : Gwenn Deschenaux, Lionel Laurent
Mixage : Sonic village, François Fripiat
FX : Julien Ducenne, Coppin Geoffray, Nicolas Corson, Thomas Dotheij, Somkiat Gualano, David Leclercq, Guillaume Noel, Fabien Deplanque, Frédéric Cikala, Christopher Cittadini, Pascal Berger
Mate Painting : Leonardo Sedevcic
3D : Axel De Roy
Collector: Collector est l’un des deux ou trios films “commémorant” véritablement le BIFFF, de genre post-BIFFF, enfin post-apocalyptique, mais c’est la même chose, si on ose imaginer un monde sans BIFFF. On es plus dans la direction d’acteur, que dans un film a effet spéciaux. Avec une equipe plus reduite que le premier cité, ce qui es logique etant donné qu’il n’y a pas de FX. Il en reste l’un des meilleurs du COLLECTIFFF 2012.
Collector-160x240
 
Collector (fiche)
Réalisé par Sébastien Briedis avec Emilie Guillaume et Sharky Kaambikwa.
 Vingt ans après le dernier festival du film fantastique de Bruxelles et le dernier grand « tremblement », le monde n’est plus qu’une terre hostile et aride où les rares survivants appelés les collecteurs se battent pour quelques rares souvenirs du passé.
L’équipe
Premier Assistant réalisateur : Julien Hassid
Chef Opérateur : Guillaume Simonin
Chef Machino : Géraldo Haag
Chef Electro : Noémie Lazaron
Steadycamer : Nicolas Savary
Ingénieur du son : Matteo Pellegrini
Régisseur général : Benjamen Vanhagendoren
Effets Visuels : Xavier Pique

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Charlie Zone Michael  Melski
CharlieZoneStill
 
Ce thriller présenter dans le cadre du 30e BIFFF, me en scène, un ancien champion de boxe, vivant désormais d’expédiant : combat de boxe, petits boulots.  
Engagé pour enlever une jeune fille héroïnomane, pour une « cure » de désintoxication forcée, il est poursuivi par des motards et des dealers.
Le scénario se complique rapidement, il devient rapidement évident que des personnes tapies dans l’ombre ont ourdi un complot touchant a une haute personnalité politique.
Le jeu juste de Glen Gould dans le rôle principale, un scénario bien construit, mais de facture classique, voire un peu académique font que les rebondissements surprennent peu le spectateur.
Le tout en fait un bon film de genre, que les amateurs de thriller devraient apprécier.
 
CASTING
 
Réalisateur:
 
Michael Melski
 
Scénaristes:
 
Joseph LeClair
 
Michael Melski
 
Acteurs/ trice -Rôle
 
Glen Gould ...Avery
 
Amanda Crew...Jan
 
Mpho Koaho ... Donny
 
Pasha Ebrahimi ...Tal
 
Cindy Sampson...Kelly
 
Reste de la distribution par ordre alphabétique:
 
Don Allison ...Winter
 
Auralea Austin ... Jan's Mom
 
John Awoods ...Jan's Dad
 
Jaycie Crouse...Lily
 
Ryan Doucette...Jean Guy
 
Shawn Duggan...Junkie
 
Gary Levert...Gerard
 
Daniel Lillford...Co-worker
 
Fabien Melanson...Louis
 
Agumeuay Nakanakis...Nathan
 
Mark A. Owen...Portier
 
Theo Pitsiavas...Cesar
 
Jennie Raymond...MacDonald
 
Zach Tovey...Brawler
 
Gordon White...David
 
Joe Zanetti...Promoter
 
Pays: Canada
 
Langue: Anglais
 
Couleur: Couleur
 
Lieux de tournage: Dartmouth, Nova Scotia, Canada
 
Société: Redemption Pictures
 
 
 

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ONE WAY TRIP 3D Markus Welter
one way trip
 
Des jeunes autrichiens se rendent dans la « Transylvanie suisse », mauvaise idée, pour y trouvez au fond des bois de champignons qui font rire, encore une mauvaise idée.
Ce qui devait être une promenade bucolique hallucinogène vire rapidement au cauchemar pur et simple.
Tournée en 3D, cela nous offre quelques scènes impressionnantes, il n’est pas certain que cela soit judicieux pour certaines scènes.
C’est un bon film, mais certaines scènes dans le noir, non pas a l’écran le rendu 3D d’autres scènes.
C’est un film don les scènes gore, réjouiront beaucoup. Réalité ou cauchemar du aux champignons, cauchemars hallucinogènes qui devient réalité, parfois on doute, a vous de découvrir ce qui en es.
 
 
CASTING
Réalisateur:
Markus Welter
Scénaristes:
Matthias Bauer (author),Bastian Zach (author)
Date de sortie:
22 septembre 2011
Genre: Horreur
Acteur/trice –Rôle
Sabrina Reiter .... Valerie
Melanie Winiger  ... Marlene
Herbert Leiser  ...  Pius
Martin Loos ... Robert
Aaron Hitz ... Mike
Matthias Britschgi  ...  Lars
Simon Kaeser ... Thomas
Isabelle Barth  ... Sarah
Harry Lampl ... Timo
Tanja Raunig  ... Lilli
Pays : Suisse | Autriche
Langue: Allemand
Couleur
Format : 1,78 : 1
Société: HesseGreutert Film AG
(Source IMDB.FR)

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Guillaume Floret L’Harmonie des Sphéres

harmoniedesspheres

Bonjour Guillaume,

Tu viens de présenter en compétition au BIFFF dans la compétition des films courts belges, un film d’animation intitulé « L’Harmonie des Sphères », tu peux nous en parler.

Guillaume Floret

Il s’agit, d’un film d’animation que j’ai réalisé, c’est l’histoire d’un soleil mourant, on est sur terre dans un futur postapocalyptique, le soleil est en train de mourir. Il ne reste plus sur terre qu’une femme. Jusqu’au moment où elle aperçoit une sphère, puis rencontre un homme…

C’est très BD comme style.

GF

Pour la BD, je suis un grand fan de Moebius , Caza , Bilal, toute la période Mutal Hurlant des années 80, c’est ce que je lisais quand j’étais plus jeune.

Et alors Caza, qu’a-t-il fait ?

GF

Caza, je lui est envoyez le film et il ma répondu en disant qu’il avait beaucoup aimé.

Sur le plan plus technique, tu as travaillé comment ?

GF

Je suis parti sur des personnages en 3D avec un rendu 2D pour avoir un aspect dessin animé avec des à-plats de couleur, pour obtenir un effet « ligne claire », ainsi qu’une couleur aspect cellulo, pour les plans avec des effets spéciaux, et plus spécialement pour la fin je suis revenu a une technique plus classique d’animation traditionnel.

L’idée de ce court métrage d’animation tu l’as depuis quand ?

GF

Cela fait depuis 3 /4 ans que j’ai commencé à y penser. J’ai pris une année sabbatique pour faire ce film.

Tu peux nous parler des autres membres de l’équipe du film.

GF

Oui, il y a Christophe Ottavanio qui as fait une superbe musique, on était partis sur une idée que j’avais eu s’inspirant de « Polaris » et il as fait vraiment un bon travail, la musique colle parfaitement avec l’ambiance du film, tel que je voulais la retranscrire. Julien Verstraete a fait la bande-son, l’ambiance, ce n’était pas évident, car nous avions choisi le partie pris de ne pas faire parler les personnages.

C’est la première projection publique, tu étais dans la salle tu as ressenti quoi.

GF

Ça fait un petit quelque chose de voir sur un écran de cinéma, un film que l’on a vu jusqu'à maintenant uniquement sur l’écran de son propre ordinateur durant un an et demi. Et finir par voir le résultat en salle devant 150 personnes.  

On rentre les épaules dans le fauteuil ?

Oui, c’est un moment d’émotion.

Alors Claire, quand il t’a parlé de ce projet tu as dit quoi, il est fou, je divorce (rires) ?

Claire Floret

Non, non (rires), quand il m’a parlé de ce projet, cela faisait un moment qu’il me parlait de ce projet et je voyais bien que cela lui tenait a cœur, c’est un projet qu’il avait depuis quelques années déjà, quand on aime on suis, alors du coup je l’es suivi. J’ai essayé de l’aider comme j’ai pu, comme je ne travaillais pas dessus, j’avais un regard un peu extérieur et je lui disais neuf sur les nouvelles scènes et sur le son également. Si je voyais une chose par exemple pas abouti je lui disais avec mes mots, pour faire avancer le projet au mieux.

Travaillé tout seul ce n’est pas évident, on est toute la journée la tête dans le guidon, on ne voit pas forcement ce qu’il faudrait ;

Tu as eu quelles formations ?

GF

J’ai fait l’ESMA de Montpellier, spécialisé dans l’infographie, la 3D, le cinéma d’animation. Ensuite je suis venu à Bruxelles, ou j’ai rencontré Claire, qui allait devenir ma femme.    J’ai travaillé dans une entreprise nWave Digital sur 3 films : « Fly me to the moon » puis « Les aventures de Sammy » 1 et 2. J’ai travaillé comme infographiste sur les décors de ces 3 films, alors que j’avais moins de 30 ans.

Et maintenant la question rituelle, les projets ? Immédiat et un peu plus lointain.

GF

J’aimerais que le film soit vu le plus possible, qu’il soit présenté dans d’autres festivals. Avoir le plus de retour possible,

Je crois que tu as trouvé un distributeur pour ce film ?

CF

Oui Don Quichotte Production.Le films n’es pas standard, c’est une histoire un peu particulière et qui es montrée également d’une manière particulière, c’est un parti pris, qui peu plaire ou pas, il l’as fait ce qu’il aimait comme il l’aimait, l’idée c’est de faire un petit chemin en festivals et si possible d’avoir des retours positifs. Sans un disributeur cela serait bien plus difficile, et il as eu la chance dans trouvez un.

Merci de m’avoir accordé cet entretien, le premier d’une longue liste j’espère.

 

L’Harmonie des sphères

 

Un film de Guillaume Floret

Avant-première Mondiale ! Cette femme attend la fin du monde dévasté par les éruptions du soleil à l’agonie… Tout espoir semble perdu ! C’est alors qu’un objet s’écrase sur la Terre…

Screenplay: Guillaume Floret

 

 Sound designer: Julien Verstraete

 

 Music: Christophe Ottavanio

 

 Version: No dialogue

 

 2011 / 11 min. 25 / Digibeta

 

 Contact: Don Quichotte, Zouzou Vanbesien

 

Site de Guillaume Floret www.gfloret.com

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BELGIUM FANTASTIC SHORT FEATURES COMPETITION 2012 PALMARES

Méliès d’Argent et Grand Prix du Jury du court métrage belge

(Sélectionné pour Méliès d’Or du Court Métrage)

Karkas par Maxim Stollenwerk

karkas

***

Prix Jeunesse

THAT de Jeremy Szaniawki

***

Prix SABAM

(1000 euro de prix)

MOTORHOME de Thierry Uyttenhoven

***

Prix FedEx

(Prix consistant à l’expédition du film gratuitement dans le monde entier à concurrence de 2500 EURO)

The Trapp d’Alberto Lopez

***

WORKSHOP 2012 Palmarès

Prix Eye-Lite

(Le prix consiste a 2500 euro de matériel d’éclairage fourni par le partenaire)

Rated R de Dimitri Devroe,Remis par Paco Cabezas

 

 

 

 

 

   

 

 

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Killer Joe  William Friedkin
Killer Joe
 « Le cut  présenter au 30e BIFFF, est celui que j’ai fait, je n’es pas laissez couper dans mon film, c’est cette version qui sera présenter en Europe, Asie, et partout dans le monde, interdit au moins de 18 ans, mais la “motion picture association” (commission de censure américaine NDLR) envisage de l’interdire, c’est aberrant, j’ais fait d’autres films, bien plus violents, » a-t-il déclaré lors de la présentation de son film au 30e Festival du Film Fantastique de Bruxelles. »
Il est vrai que dans l’actuelle Amérique, il semble bien plus violent de décrire une famille atypique, ou presque tout les membres (a l’exemption peu être du père) est à la fois manipulé et manipulateur.
« la famille avec le père pour chef, ou tout le monde restait ensemble, je me suis rendu compte en grandissant que c’était faux qu’il y avait beaucoup de famille dysfonctionnelle » ajouta’ il.   
il expliqua ensuite que l’affiche de l’exorciste était inspirée d’un tableau de Magrite « L’Empire des Lumières », et que quand il avait vu ce tableau, il avait décidé de faire le film (René Magritte - L'Empire des Lumières, 1954).
On retiendra les prestations à l’écran de Matthew McConaughey   dans le Rôle de  Killer Joe, et surtout de Juno Temple dans celui de Dottie que nous devrions retrouvez prochainement dans « Lovelace » de Rob Epstein et Jeffrey Friedman.
C’est depuis longtemps le meilleur film qu’il a réalisé depuis le très controversé « L’Enfer du Devoir ».


CASTING

 

Réalisateurs

 

William Friedkin

 

Acteurs et actrices

 

Emile Hirsch Rôle : Chris

 

Matthew McConaughey   Rôle:  Killer Joe

 

Thomas Haden Church   Rôle: Le Père

 

Juno Temple Rôle : Dottie

 

Gina Gershon  Rôle la Belle mère

 

Production

 

Producteurs

 

Nicolas Chartier ,

 

Scott Einbinder

 

Scénario

 

Scénariste

 

Tracy Letts

 

Sociétés :Distributeur France (Sortie en salle), Pyramide Distribution

 

 

 

Filmographie succincte de William Friedkin

 

 (comme réalisateur)

 

Killer Joe  - Sorti en salle en 2012

 

Bug  - Sorti en salle en 2007

 

Traqué  - Sorti en salle en 2003

 

L’Enfer du devoir - Sorti en salle en 2000

 

Jade - Sorti en salle en 1995

 

Blue Chips  - Sorti en salle en 1994

 

La Nurse - Sorti en salle en 1990

 

Le Sang du châtiment - Sorti en salle en 1988

 

La Chasse - Cruising  - Sorti en salle en 1980

 

Le Convoi de la peur  - Sorti en salle en 1978

 

L'Exorciste –Sortie en salle 1974 (reprise 2001)

 

 

 

French Connection - Sorti en salle en 1972

 

Les Garçons de la bande - Sorti en salle en 1970

 

 

 

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Philip Pettiette Julia X 3D
Julia-x-3d-poster
 
Bonjour Philip,
SD
Au début du film il y a une scène ou Julia est suspendu par des chaines, alors qu’à l’étage le serial killer en écoutant une musique excessivement romantique, pourquoi ce choix, quelle signification lui donner vous ?
  PP
La raison que j’ai choisi cette musique romantique, pour celui que l’on appel l’étranger, il y a un côté romantique et classique pour lui, quand j’ais développé l’histoire c’est une chanson que j’écoutais toujours avec mon baladeur. Ce n’est pas vraiment ce qu’entend le personnage, c’est ce qu’il entend dans sa tête. C’est une musique qui symbolise l’état d’esprit du tueur.
SD
Il y a beaucoup de films de serial killer aux USA, beaucoup moins en Europe, bien que nous en ayons également. De quoi viens que le cinéma américain tourne plus de films de serial killer qu’en Europe.
PP
C’est la peur, la vulnérabilité, je pense qu’aux USA on est moins effrayé par le surnaturel, du nucléaire, de la guerre, il y a moins de peurs aux USA qu’en Europe.
Je ne sais pas si je peux vraiment répondre à cette question, mais je voudrais préciser un point.
C’est vrai que dans la vie réelle, il y a beaucoup plus de serials killer en Amérique, qu’ailleurs dans le monde.
J’ignore si c’est la même chose pour les films de genre entre l’Amérique et l’Europe, nous avons eu des films comme « Jack L’Éventreur », ce n’est pas une chose que nous glorifions, mais c’est des gens qui arrivent à s’identifier a des personnages comme « Jack L’Éventreur », donc ils deviennent pou certain « héros » d’une certaine manière.
SD
Dans la plupart des films de serial killer, on tue, éventre, poignarde, dans le votre il y a un fort aspect : SM-Sexy pourquoi ce choix.
PP
Il y a eu une période ou l’on trouvait du SM dans les films de « horror réality ». Je veux dans ce film prendre la réalité qui nous entoure, la changer. J’ai choisi que les femmes dominent dans cette œuvre.
C’est la base du film, mais on s’aperçoit dans le déroulement du film que cela n’es pas seulement cela, de dominé, de torturer, mais c’est aussi, une histoire entre les deux sœurs, à la fin deviens plus une comédie noire avec la jalousie entre les deux sœurs. De façon macabre. Un peu a la façon d’Alfred Hitchcock qui pouvait faire du macabre et en même temps de l’ironie et de la comédie.
SD
Pouvez-vous nous parler du Dixie Théatrical Corporation ?
PP
Je suis de Louisiane, c’était une chance pour moi de pouvoir tourner un film dans la région qui m’a vu naitre. Dixie étant la ville où je suis né. J‘aspire à réaliser des films de qualité que l’on pourra retrouver dans des salles de cinéma.
 SD
Des projets ?
PP
Beaucoup de projets, mais il est un peu tôt pour en parler. J’explore le côté surnaturel pour le moment, j’ais depuis plusieurs années le projet de faire un film érotique en costumes d’époque en 3D. Ainsi qu’un Western en 3D. et Julia Y dans le titre ce qui es intéressant sait que cela veut dire « pourquoi ? » en anglais.
SD
La 3D vous parait donc l’avenir, c’est un sujet controversé.
 PP
Je pense que les films de genre tournés en 3D ont une vraie vie. C’est plus amusant, plus divertissant en 3D quand c’est tourné en 3D.
Mais je suis contre les conversions de films anciens en 3D. ca démoli, ça casse l’avenir des films en 3D. Non seulement je pense que la 3D est faite pour les salles obscures, mais aussi pour la télévision avec les nouveaux écrans.
Merci a Philip Pettiette, pour son accueil chaleureux.
 
Biographie
Philip Pettiette
Diplômé de la N.Y.U. Film School, le premier projet de P.J. Pettiette au sein de sa compagnie General Productions est le film The General, basé sur le best-seller européen que lui-même a développé en collaboration avec un journaliste de l’Irish Sunday World. Ce film, qui raconte l’histoire du parrain du crime irlandais Martin Cahill, a fait gagner à Pettiette le prix du meilleur réalisateur au Festival de Cannes en 1998. Pour General Productions, P.J. Pettiette a également produit le film If I die before I wake…, un thriller réaliste à propos d’une famille terrorisée par des intrus dans leur maison de vacances. Toujours à la recherche de nouveaux projets, il crée avec Greg Hall le Dixie Theatrical Corporation, en Louisiane. C’est là que fut réalisé et produit Julia X 3D en 2011.
Filmo :
        2011 : Julia X 3D
        2004 : Jennifer’s shadow (producer/writer)
        1998 : The General (co-producer/writer)
        1998 : If I die before I wake (writer/producer)
 
Producteur:
        2010s
        2000s
        1990s
1.      Julia X 3D (2011) (producteur)
2.      Jennifer's Shadow (2004) (producteur)
3.      Le général (1998) (Co-producteur exécutif)
... autre titre : "The General" - UK (titre original)
4.      If I Die Before I Wake (1998) (producteur)
5.      Married People, Single Sex II: For Better or Worse (1995) (producteur)
 
Scénariste:
        2010s
        2000s
        1990s
        1980s
1.      Julia X 3D (2011) (histoire)
2.      Jennifer's Shadow (2004) (histoire)
3.      If I Die Before I Wake (1998) (histoire)
4.      Bad Dreams (1988) (histoire)
Diverses équipes:
        1990s
        1980s
1.      Ed Wood (1994) (assistant production) (comme Philip J. Pettiette)
2.      The Babe (1992) (assistant coordonnatrice de production: Los Angeles)
... autre titre : "Babe, le bambino" - Canada (titre Français)
3.      Entre père et mère (1991) (TV) (assistant production)
... autre titre : "The Summer My Father Grew Up" - USA (titre original)
4.      Engrenages (1987) (dailies courier)
... autre titre : "House of Games" - USA (titre original)
Réalisateur:
1.      Julia X 3D (2011)
Directeur de production:
1.           Night Fire (1994) (manager production)
(source IMDB.FR)

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Guy Michel DessinateurGUY MICHEL



 

Bonjour Guy Michel,

 

SD

 

C’est la première fois que vous venez au BIFFF, vous en pensez quoi.

 

GM

 

Je suis assez surpris, je ne connaissais pas je découvre des nouveautés comme le robot géant en forme squelette en face de nous, le mélange films-BD me plait beaucoup.

 

SD

 

Au niveau de votre parcours, vous avez a un moment donné croisé Régis Loisel dans quelle mesure vous a-t-il influencé.

 

Oui, c’est quelqu’un de spécial, d’un talent certain, quand je l’es vu on a discuté il a pris de son temps, on a un peu parlé, je faisais des choses qui ressemblait a de la SF à l’époque, et puis c’est à ce moment la que j’ai opéré un tournant, vers ce qui vas devenir de la fantasy après.

 

SD

 

Vous avez commencé avec de la SF

 

Oui au début, intitulé « petit d’homm » et j’ai eu un autre projet de SF, mais qui n’as jamais été publier.

 

SD

 

Vous avez publié des « Contes du Korrigan », une série intitulée le « sang du Dragon », et vous venez de publie « Surcouf », vous abandonné le fantastique pour des albums plus réalistes.

 

 

 

Oui, les aléas du métier, je reste dans les mêmes veines, j’ai habité à Saint-Malo pendant 7ans, faire « Surcouf » c’est un peu comme joué a domicile. C’est un projet que je ne pouvais pas refuser. Comme le « Sang du Dragon » c’était imposé de lui-même. Mais je n’abandonne pas pour autant l’éroic-fantasy, je pense reprendre prochainement, mais il faut le temps en BD pour sortir un album. J’y reviendrais dès que je pourrais j’adore les créations de pures fantastiques, les dragons de tout genre. Surement en y intégrant du « celtic ».

 

SD

 

A nos cotés nous avons un fan, petite précision vous êtes en train de dédicacé au 30e BIFFF, pendant cet entretien.

 

Alors Steven qu’est que vous appréciez chez Guy Michel et dans son œuvre.

 

Steven de Gand

 

Je suis fan de BD en général et pas que de Guy Michel, mais ce que j’aime bien un mixte dans son style, très réaliste et plus ligne claire, surtout dans les anciens albums.

 

GM

 

J’essaie d’avoir quelques choses d’assez pures, mais c’est difficile, il y a  une partie assez réaliste effectivement, mais je voudrais allez vers quelque chose de plus graphique. Mais naturellement je reviens à ce style. Donc je me laisse faire.

 

SD

 

Vous n’avez, jamais pensez, a faire un roman graphic ?

 

Pour l’instant non, car j’ai des séries en cours assez longues, j’ai une autre histoire sur Seznec et la fameuse affaire du même nom qui devrait sortir l’année prochaine, et qui es prévue en trois tomes et qui serait assez réalistes, comme pour Surcouf dont je prépare le tome 2 (sur 4). J’ai pas mal d’autres projets en eroic-fantaisy auquel je pense également, alors pour les prochaines années je ne pense pas faire de roman graphic, mais plus tard peut être, pour le moment j’ais encore beaucoup d’histoire a raconté sous cette forme.

 

SD

 

Vous aimez beaucoup la SF, la Fantasy Steven ?

 

Steven de Gand

 

J’ai découvert la fantasy au fur a mesure, au début, je n’aimais pas trop, et maintenant j’apprécie grandement

 

 

 

Remerciement a Guy Michel pour son accueil, ainsi qu’a Steven

 

 Biographie

 

Guy Michel, né le 29 juillet 1975 à Miragoâne (Haïti), est un auteur français de bande dessinée.

 

 En 1986, il quitte Haïti pour la France et atterrit en plein hiver à Montrouge, dans la banlieue sud de Paris. Après son Bac, il s’inscrit à l’Université de la Sorbonne Nouvelle et entre aux Beaux-Arts de Versailles.

 

 Il y fait la connaissance de Jean-Luc Istin, avec qui il élabore différents projets bd, notamment Aquilon. En collaborant au fanzine “Avenir” (mis en place par la bibliothèque de Bagneux), il rencontre plusieurs autres jeunes auteurs, dont Dim D, auteur de la série ALEPH.

 

 C’est en 1998, lors de son premier voyage à Angoulême, qu’il fait la connaissance de Régis Loisel. Cette rencontre marque un tournant important dans sa vie de dessinateur, puisque Guy Michel change alors de direction et de style pour passer à l’univers de l’heroic fantasy. Deux ans plus tard, "Aquilon", son premier album sort chez Soleil. Premier associé de Jean-Luc Istin sur la collection Soleil Celtic, il dessine, avec d’autres, les 4 premiers tomes des "Contes du Korrigan", le tome 2 des "Contes de Brocéliande" et s’investit seul sur le "Sang du Dragon".

 

(Source Wikipedia)

 

 

 

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Henri Vernes Bob Morane

 

Henri Verne Bob Morane

 

Bonjour Henri Vernes,

SD

Vous êtes l’auteur et créateur du célèbre aventurier « Bob Morane » avec deux cent vingt-sept titres.  

Henri Vernes

Oui deux cent vingt, voir un peu plus. J’en suis plus à un prêt.

SD

Vous n’avez pas commencé à écrire des « Bob Morane ».

Henri Vernes

Non j’avais écrit des romans avant, j’ai commencé « Bob Morane » en 1953, ce n’est pas d’hier, ça feras l’année prochaine 60 ans.

SD

Vous avez imaginé ce personnage comment vous en es venu l’idée ?

Henri Vernes

C’est les éditions Marabout à l’époque, qui mon demander un personnage à suite, c’était fin 1953, j’ais commencer à en écrire un de suite, puis un tous les deux mois pendant 60 ans.

SD

Il est paru également dans la presse en feuilleton.

Henri Vernes

C’est dans « Femme d’aujourd’hui » qu’il a été publié pour la première fois en Bande dessinée, ensuite il est paru en BD dans : Pilote, Tintin, avant d’être publié en album aux Éditions du Lombard.

SD

Il a été adapté en BD, films TV, dessins animés, que pensez-vous de toutes ces adaptations ?

Henri Vernes

Une adaptation n’est pas toujours très fidèle à l’œuvre originale, au personnage, mais c’est une autre façon de voir les choses, il faut tout simplement l’accepter.

SD

La BD vous semble telle plus ou moins fidèle que d’autres formes d’adaptation ? Vous semble-t-il avoir été « trahi » par ces adaptations.

Henri Vernes

Non, c’est différent, pour ce qui es des dessins animés ils ont fait un graphisme tout a fait différent aux albums, la bande dessinée elle-même a connu plusieurs graphismes au fil du temps avec 4 dessinateurs, c’est des adaptations pas des trahisons, c’est une autre manière de voir l’œuvre.

SD

Vous venez de publiez vos mémoires (éditions Jourdan), ils y a déjà eu beaucoup de livres sur vous et votre personnage : Bob Morane.

Henri Vernes

Oui, mais ici c’est très différents, c’est une autobiographie, c’est plus personnel, un peu plus littéraire aussi, j’ais fait ça pour me faire plaisir, c’est sortis il y a quelques mois, sait déjà rééditer. J’envisage de faire une suite avec mes voyages, mais ce n’est pas certain.

SD

Vous avez beaucoup voyagé, et fait plusieurs métiers avant d’être écrivains, cela a-t-il nourri votre œuvre.

Henri Vernes

 

J’ai été journaliste, diamantaire, boxeur, oui certaines choses ont été source d’inspiration pour certains romans de Bob Morane, souvent ce n’est que de l’imagination, mais une part de vécu ce retrouve dans certains romans. Il m’arrive de glissez des souvenirs « à droite et à gauche ».

SD

Le fantastique et la SF, dans Bob Morane c’est de plus en plus développer pouvez vous nous en parler.

Henri Vernes

C'est-à-dire que je me suis mis dans le fantastique et un peu dans la Science-fiction, pour renouveler les aventures, les histoires, quand on as écrit plus de deux cents livres, on risque de ce répéter, avec le fantastique et la SF, on arrive a imaginé des choses les plus fantastiques ou plus réel suivant les circonstances.

SD

Quels sont vos auteurs et vos cinéastes préfères, ceux qui vous on marquer, voir influencer.

Henri Vernes

J’ai été influencé parle cinéma d’avant-guerre, le cinéma noir américain, le cinéma fantastique américain, beaucoup moins par le fantastique moderne.

En littérature j’ai surtout été marqué par : Jean Ray, Bram Stocker, Mary Shelley.

SD

Vous êtes déjà venu au BIFFF, je crois que vous avez même été président du jury.

Henri Vernes

Oui plusieurs fois, j’ais été en 1990 (8e édition) président du Jury à l’époque ou il était encore « Passage 44 ».

Je vous remercie de bien avoir voulu nous accorder cet entretien.

 

Adresse du site des fans d’Henri Vernes et Bob Morane :

http://www.bobmorane.be/

 

Biographie

Henri Vernes naît à Ath (province de Hainaut), en Belgique, le 16 octobre 1918. À 19 ans, il interrompt ses études et fait une "fugue" en Chine ! Son premier livre "La porte ouverte" paraît en 1944 à La Renaissance du Livre. Après la guerre, il exerce la profession de journaliste free-lance pour une agence de presse américaine. Il voyage et collabore à de nombreux journaux et revues. Parallèlement, il écrit des contes et des feuilletons dans des magazines, ainsi que des romans policiers. En 1953, à la demande de J.-J. Schellens, des éditions Marabout, il crée le personnage de "Bob Morane", dont le premier roman "La vallée infernale" paraît le 16 décembre 1953. Calquant sa destinée sur celle de son héros, Henri Vernes parcourt le monde. En 1965, Europe 1 produit 26 téléfilms, adaptés de ses romans, qui connaissent un succès appréciable parmi la génération des sixties. À l'heure actuelle, Henri Vernes a écrit plus de 200 romans "Bob Morane" dont les tirages s'élèvent à quelque 30 millions d'exemplaires. L'adaptation en BD date de 1959. Plusieurs dessinateurs ont présidé aux destinées graphiques du beau Bob : Dino Attanasio (1959 à 1962), Gérald Forton (1962 à 1967), William Vance (1968 à 1979) et Coria, qui dessine désormais les albums publiés au Lombard. Le 4 juin 1999, Monsieur Jacques Rummelhardt, Ambassadeur de France en Belgique a remis à Henri Vernes, au nom du gouvernement français, la médaille d’Officier des Arts et des Lettres. Pour la petite histoire, sachez qu'Henri Vernes, tout comme "Bob Morane", collectionne les armes du Moyen Age et aime le jazz. Juin 2006 - Henri Vernes a été fait "Citoyen d'Honneur de la Ville de Bruxelles". Un très actif Club Bob Morane s'est créé depuis quelques années dont voici les coordonnées : Club Bob Morane, 15, av. Odon Warland, B-1090 Bruxelles. En octobre 2006, Henri Vernes a été fait Citoyen d'Honneur de la commune de Saint-Gilles, lors du 5e festival BD de la Région de Bruxelles-Capitale. Distinction remise par Monsieur Charles Picqué, Ministre Président de la Région Bruxelles-Capitale. Il réside dans la commune de Saint-Gilles (province de Bruxelles Capitale).

(Source bebdetheque.com)

 

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