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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #horreur

Couverture Mary Khaos

Couverture Mary Khaos

Frédérick Durand

Quand s’éteindra la dernière chandelle

Rivière Blanche

 

Frederick Durand, auteur québécois publie aux éditions Rivière Blanche, que vous commencez à bien connaitre, nous vous parlons souvent de leurs excellent travail éditorial, un roman intitulé « Quand s’éteindra la dernière chandelle ».

 

C’est le dernier roman en date de cet auteur, qui publie pour la première fois chez cet éditeur pour lequel il a beaucoup d’admiration pour le travail accompli par Philippe Ward et Jean-Marc Lofficier depuis 10 ans déjà.

 

Trois autres nouvelles complète cet ouvrage, ces dernières ont déjà été publié dans la revue québécoise « Solaris », qui notons-le est la plus ancienne revue de SF et de Fantastique du monde.

 

Cet ouvrage vous donnera donc un bon aperçut de l’imaginaire de cet auteur.

 

Frédérick Durand

 Noire 74. Quand s'éteindra la dernière chandelle

 ISBN-13: 978-1-61227-416-4

 204 pages

 

Résumé du livre

Il dérivait dans un abîme, tombait dans un précipice sans fond. Le temps lactescent s'écrasait contre les parois. Des taches charbonneuses criblaient son corps, elles s'agrandissaient au point de le recouvrir, il n'était qu'une masse noire tournoyant dans la nuit glacée, tournoyant sans jamais atterrir. Les pulsations d'un ciel d'ambre découpaient son plongeon immobile en autant de battements, toujours les mêmes, toujours les mêmes...

 

 Célibataire désœuvré, Florent Lemaître accepte de participer à une soirée qu'organise l'un de ses amis d'enfance. Sur place, il prend part à une conversation qui porte sur le surnaturel. Interrogé, l'homme affiche son scepticisme. Son hôte le met alors publiquement à l'épreuve : puisque Lemaître est si incrédule, osera-t-il écrire une lettre aux forces des ténèbres en leur demandant d'être présentes à ses côtés jour et nuit ? Florent accepte de relever le défi. L'idée de séduire l'une des convives n'est pas étrangère à sa décision...

 

 De retour chez lui, Lemaître est prêt à oublier l'incident. Mais une série d'événements de plus en plus troublants l'amènent peu à peu à s'interroger : en acceptant de rédiger cette missive, a-t-il déclenché un redoutable mécanisme capable d'exaucer ses souhaits au-delà de tout ce qu'il avait imaginé ?

 

 Roman suivi de trois nouvelles fantastiques : L'heure approche où j'aurai tes yeux, Quand revivra le théâtre inerte et Le chemin délesté.

 

 

 

Biographie

Frédérick Durand est un écrivain québécois, né à Trois-Rivières le 18 mai 1973.

 

Romancier, nouvelliste, poète et essayiste, Frédérick Durand est détenteur d'un diplôme d'études avancées (DEA) de l'Université de Limoges (France) et d'un doctorat de l'Université du Québec à Trois-Rivières (thèse sur les représentations du privé dans les romans-feuilletons français publiés dans les journaux québécois du XIXe siècle). Il a publié trois livres de poésie, plusieurs romans, des nouvelles, des articles et des comptes rendus, en anglais et en français, dans divers périodiques, parmi lesquels Imagine…, dont il a été directeur littéraire (1996-1998), Recherches sociographiques et Les Cahiers de la Société bibliographique du Canada.

 

Chercheur, il a enseigné la littérature à l'Université du Québec à Trois-Rivières et au Collège Laflèche (Trois-Rivières). Il enseigne actuellement au cégep de Trois-Rivières. Son étude sur Les Deux Orphelines d'Adolphe d'Ennery : de la pièce au roman, la multiplication des figures et des passions, est parue en 1999 dans Érudition et passion dans les écritures intimes, Éditions Nuit Blanche/Nota Bene (actes du colloque tenu dans le cadre du 65e congrès de l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences (ACFAS)). Il anime une émission de radio sur les ondes du 89,1 FM à Trois-Rivières, consacrée à la promotion du cinéma, de la littérature et de la musique « différentes » : onirisme, fantastique et surréalisme. Musicien, il a participé à l'hommage au cinéaste Lucio Fulci, For Lucio Fulci : a Symphony of Fear et au DVD officiel du film L'AlDila, du même réalisateur (publié par Anchor Bay).

 

 

Depuis 1997, Frédérick Durand a publié des romans, des recueils de poésie et un recueil de nouvelles chez différents éditeurs. Il est aussi membre du duo musical Carfax Asylum dont le premier album est paru en 2014 sur le label Fangoria Musick

 

Bibliographie sommaire

 

Roman

L'ombre du sorcier, Ed. Pierre Tisseyre (St-Laurent, Canada), Coll. Chacal, 1997.

Le voyage insolite, Ed. Pierre Tisseyre (St-Laurent, Canada), Coll. Chacal, 1998.

Le carrousel pourpre, Ed. Hurtubise-HMH (Montréal, Canada), Coll. Atout, 2001.

Promenade nocturne sur un chemin renversé, Ed. Hurtubise-HMH (Montréal, Canada), Coll. Atout, 2002.

Dernier train pour Noireterre, Ed. La Veuve Noire (Longueuil, Canada), 2003.

Au rendez-vous des courtisans glacés, Ed. La Veuve Noire (Longueuil, Canada), 2004.

L'île des cigognes fanées, Ed. La Veuve Noire (Longueuil, Canada), 2004.

Au carrefour des 3 éclipses, Ed. JCL (Chicoutimi, Canada), 2006.

Je hurle à la lune comme un chien sauvage, Ed. Coups de tête, 2008.

La nuit soupire quand elle s'arrête, Ed. La Veuve Noire (Longueuil, Canada), 2008.

Comme un goût d'aurore sur une idée fixe, Ed. Vents d'Ouest (Gatineau, Canada), 2008.

La maison au fond de l'impasse, Ed. Vents d'Ouest (Gatineau, Canada), 2010.

Le mausolée des matins blêmes, Ed Andara, 2013

 

Nouvelle (bibliographie sélective)

Le retour de M. Delamort, dans Orbite d'approche, Ianus (Canada), 1992.

La maison qui n'existait pas, dans la Revue Imagine... no 78, 1996.

Possession sur commande, dans la Revue Solaris (Canada) no 118, 1996.

Nocturne, dans la Revue Solaris (Canada) no 126, 1998.

À l'intention des ombres, recueil de nouvelles, Ed. Vents d'Ouest (Gatineau, Canada), 2008

 

Poésie

Tu peux me déchirer, Trois-Rivières, Éditions d'art Le Sabord, 2005.

Locoleitmotive (poésie polar), avec Michel Châteauneuf et Pierre Labrie, Trois-Rivières, Éditions d'art Le Sabord, 2007.

Sombre d'ailleurs, Montréal, Triptyque, 2009.

 

Honneurs

2009- Lauréat du Prix Jacques Brossard, À l'intention des ombres et La nuit soupire quand elle s'arrête.

2008- Lauréat du Prix de littérature Clément-Morin Culture Mauricie, À l'intention des ombres.

2003 - Finaliste au Prix de littérature Gérald-Godin, Promenade nocturne sur un chemin renversé.

1999 - Finaliste au Prix Aurora, pour la nouvelle Nocturne.

1998 - Prix Solaris, pour la nouvelle Nocturne.

1994 - Gagnant du concours littéraire de la Saison des Arts de Bécancour, pour la nouvelle Comme une lettre à la poste.

 

 

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Zombie Walk Grenoble 2015

Zombie Walk Grenoble 2015 !!

 

Vous l’attendez depuis des mois ?

 Les Rêv’Ailleurs rempilent pour la 4ème édition de la Zombie Walk Grenobloise !

 

Date : samedi 27 juin

Lieu de rassemblement : Place Victor Hugo

Heure de rassemblement : 15h

Heure de départ : 16h

Concours du meilleur costume : 18h au Jardin de Ville

 

 

Et ça commence fort avec cette année un petit jeu pour vous permettre de gagner des places prioritaires au maquillage pro qui aura lieu à l’Atelier du 8 !

 

PROGRAMME DE LA SEMAINE ZOMBIE

 

•Samedi 20 juin 2015 •11h – Conférence « Le Post-Apocalyptique » avec Raphaël Colson – à Omerveilles

•17h – Animation jeux au Ichigo Blue avec le C.J.S.D !

•15h à 20h – Dédicace de Raphaël Colson à Omerveilles

 

•Mardi 23 juin 2015 •20h – Soirée jeux « Les 7 Mers » au K Fée des Jeux

 

•Mercredi 24 juin 2015 •20h – Projection du film « Les Goonies » à la salle Juliet Berto, en partenariat avec le CCC !

 

•Vendredi 26 juin 2015 •20h – Soirée jeux spéciale « Zombies » aux 7 Royaumes

 

•Samedi 27 juin 2015 •10h à 13h – Maquillage professionnel à l’Atelier du 8, sur inscription, avec les maquilleuses de Plastomorphose

 

•12h – Repas spéciale Zombies au K Fée des Jeux

 

•13h – Maquillage à participation libre sur la place Victor Hugo

 

•15h – Début du rassemblement du cortège place Victor Hugo

 

•15h15 – Brief Survivants

 

•16h – Départ du Cortège

 

•18h – Concours du plus beau costume Zombie sur le thème des 7 mers !

 

•20h – Soirée à thème à Ichigo Blue + un cocktail offert pour toute personne venant jouer en Zombie au K Fée des Jeux !

 

Charte des survivants :

 Chaque année, les Survivants sont de plus en plus nombreux, et nous en sommes ravis ! Cependant, nous tenons à ce que certaines règles soient strictement respectées :

 

– Les armes d’airsoft sont acceptées mais : sans billes, sans gaz, sans chargeurs à l’intérieur.

 

– Les objets : tranchants, en verre, en métal, pointus, explosifs sont strictement interdits. De même que les grenades d’air soft.

 

– Merci de vous faire connaître sur les.rev.ailleurs[at]gmail.com !

 

Avertissement aux participants :

– Ne prenez pas de réplique ou de matériel onéreux : ils pourraient être abîmés pendant le cortège.

– Ne portez pas de vêtements auxquels vous tenez .

– Les enfants sont autorisés dans le défilé mais sous la STRICTE SURVEILLANCE de leurs parents.

– Merci d’avertir les organisateurs si vous avez des contraintes médicales (asthme, épilepsie…)

 

 

Note du site science-fiction-fantastique.com : faites nous parvenir vos photos, nous les publierons avec plaisir dans un album dédier.

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Les 6 premiers titres

ULTRA MOVIES

et

FILMS OF THE THIRD KIND

 

Le NIFFF offrira cette année encore sa section FILMS OF THE THIRD KIND qui propose les films les plus attendus de la saison et son incontournable section ULTRA MOVIES, qui présente la production la plus extravagante ou extrême du cinéma de genre. Les premiers titres connus sont :

EXCESS FLESH  Patrick Kennelly, 2015, USA Première européenne,DEATHGASM  Jason Lei Howden, 2015, New Zealand Première européenne,STUNG Benni Diez, 2015, Germany/USA

EXCESS FLESH Patrick Kennelly, 2015, USA Première européenne,DEATHGASM Jason Lei Howden, 2015, New Zealand Première européenne,STUNG Benni Diez, 2015, Germany/USA

MARSHLAND Alberto Rodríguez, 2014, Spain,SLOW WEST  John Maclean, 2015, UK/New Zealand,ROBOT OVERLORDS  Jon Wright, 2014, UK

MARSHLAND Alberto Rodríguez, 2014, Spain,SLOW WEST John Maclean, 2015, UK/New Zealand,ROBOT OVERLORDS Jon Wright, 2014, UK

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Necrorian/ Jean Mazarin La Mort en partage

Necrorian/ Jean Mazarin

La Mort en partage

 

Dans cet ouvrage, les Éditions Rivière Blanche nous présentent  sous le titre « La Mort en Partage » deux romans de Necrorian/ Jean Mazarin « Les Djinns » un roman inédit que l’auteur a mis 25 ans à finir.  Prévu initialement pour être édité au Fleuve Noir, l’auteur remit à ce jour la fin de l’écriture de l’ouvrage finalement publié chez Rivière Blanche.

 

Les Djinns sont des créatures de la mythologie arabe, ayant déjà servis de base a un film présenté au NIFFF et dont nous avions rendu compte en faisait un entretien avec les réalisateurs (voir liens ci-dessous).

 

Personnages très peu connu en France, l’auteur en présente une facette intéressante des Djinns et de la mythologie arabe qui sert à construire le roman qui se déroule durant la Guerre d’Algérie.

 

Le deuxième roman présenté a été plusieurs fois publié, sous divers titre et remanié également plusieurs fois (voir bibliographie ci-dessous).  Il est publié ici sous le titre « L’hiver en Juillet » et annonce comme étant la version ultime de ce roman. L’action de ce conte fantastique ce déroule durant l’occupation nazie dans un Paris jetez dans la pire des tourmentes.

 

Auteur aux multifacettes,  Necrorian/ Jean Mazarin nous offre dans ce recueil de romans, celle de l’auteur fantastique le plus accompli.

 

 

Biographie

René-Charles Rey, né en 1934 à Tunis (Protectorat français de Tunisie), est un écrivain français. Il est notamment l'auteur de romans policiers, de science-fiction et d'horreur. Il est également scénariste de séries policières pour la télévision. Il utilise les pseudonymes d'Emmanuel Errer, Jean Mazarin et Charles Nécrorian.

 

René-Charles Rey quitte la Tunisie en 1961. Il est ensuite enseignant durant deux années, puis travaille pour une entreprise de sondage pendant une dizaine d'années. Au milieu des années 1970, il décide de vivre de sa plume. Il signe Emmanuel Errer des romans noirs d'espionnage et de politique-fiction, puis Jean Mazarin des romans policiers et de science-fiction et Charles Nécrorian des romans d'horreur. Sous le nom de plume de Jean Mazarin, il a reçu le Grand prix de littérature policière 1983 pour Collabo Song. À la fin des années 1980, il se tourne vers la télévision et devient scénariste de séries telles qu’Un privé au soleil, Navarro, Les Cordier, juge et flic ou Malone, pour lequel il reçoit le grand prix du Télépolar au festival de Cognac en 20042. «  Nègre" du tennisman Illie Nastase pour son roman Tie Break.

 

 

Œuvres

Sous le pseudonyme d’Emmanuel Errer

Descente en torche (1974), Série noire no 1679 (Gallimard)

La Came à nous autres (1974), Série noire no 1687 (série Escope Mazonetta) (Gallimard)

Les Ombres de Judée (1975), Série noire no 1696 (Gallimard)

Saint-Tropez Oil Company (1975), Série noire no 1701 (série Escope Mazonetta) (Gallimard)

La Bombe et la Sagaie (1975), Série noire no 1708 (Gallimard)

« La Nasse aux thons » (1975), dans Mystère magazine no 335 (nouvelle)

« Les Pépins dans l'orange » (1976), dans Mystère magazine no 339 (nouvelle)

L'Envol des corneilles (1976), Série noire no 1711 (série Escope Mazonetta) (Gallimard)

La Fin de la piste (1977), Série noire no 1720 (Gallimard)

« Genèse d'un caïd » (1977), dans Magazine du mystère no 2 (nouvelle)

Diagnostic réservé (1981), Engrenage no 27 (Jean-Goujon)

Le Syndrome du P 38 (1983), Engrenage no 81 (Fleuve noir)

Gangrène (1984), Série noire no 1978 (Gallimard)

Un détour par l'enfer (1987), L’Instant noir no 13 (L'Instant)

Dixie ou la Dernière chevauchée (1987) (Carrère)

L’Hiver en juillet (1988) (Patrick Siry) ; réédition sous le titre Le Baigneur sous le pseudonyme de Jean Mazarin (1993), Angoisses no 5 (Fleuve noir) ; réédition sous le titre L'Hiver en juillet sous le pseudonyme de Jean Mazarin, dans La Mort en partage (2015), Blanche no 2128 (Rivière blanche)

« Du côté de chez Bob » (1989), dans Sous la robe erre le noir (Le Mascaret) (nouvelle)

« Un héros de l'arc-en-ciel » (1990), dans Trains rouges (Julliard) (nouvelle)

« Di » (1991), dans Histoires de femmes fatales, Pocket no 3222 (Presses pocket) (nouvelle)

Le Cercle d'argent (1992), Crime Fleuve noir no 23 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

« Descends à Babylone » (1999), dans Requiem pour un muckraker (Baleine) (nouvelle)

« Le Voyage extraordinaire » (2002), dans Noir Scénar, Le Grand cabinet noir (Les Belles Lettres) (nouvelle)

Odéon, dernière Station (2005), Noir urbain (Autrement)

 

 

Sous le pseudonyme de Jean Mazarin

Pas même un dieu (1976), Anticipation no 750 (Fleuve noir)

La Morte du petit matin (1976), ), Spécial police no 1266 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

La Haine dans les veines (1976), Spécial police no 1278 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

Sondages sur la mort (1976), Spécial police no 1292 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

L'Assassin des petits Mickeys (1977), Spécial police no 1316 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

Les Flammèches du Diable (1977), Spécial police no 1328 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

Après toi, la révolution (1977), Espionnage no 1332 (série Julien Jendrejeski) (Fleuve noir)

Le Général des galaxies (1977), Anticipation no 769 (Fleuve noir)

Cadavre sur la chaîne (1977), Spécial police no 1365 (Fleuve noir)

Du côté de Sarajevo (1977), Espionnage no 1375 (série Julien Jendrejeski) (Fleuve noir)

Un fils pour la lignée (1977), Anticipation no 790 (Fleuve noir)

Un monde de chiens (1977), Anticipation no 817 (Fleuve noir)

Comptes en retour (1978), Spécial police no 1395 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

Au-delà des dunes (1978), Espionnage no 1412 (série Julien Jendrejeski) (Fleuve noir)

Un crime au cœur (1978), Spécial police no 1426 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

L'Univers fêlé (1978), Anticipation no 865 (Fleuve noir)

Safari-tueurs (1978), Espionnage no 1432 (Fleuve noir)

HLM blue (1979), Spécial police no 1461 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Le Crépuscule de Saint-Tropez (1979), Spécial police no 1497 (Fleuve noir)

Chante disco (1979), Spécial police no 1509 (Fleuve noir)

Muerte (1979), Espionnage no 1497 (Fleuve noir)

Libérez l'homme ! (1979), Anticipation no 902 (Fleuve noir)

Les Cités d'apocalypse (1979), Anticipation no 940 (Fleuve noir)

Code « Presidente » (1980), Espionnage no 1517 (Fleuve noir)

Nucléo-party (1980), Espionnage no 1533 (Fleuve noir)

Sanglantes Rotatives (1980), Spécial police no 1552 (série Max Bichon) (Fleuve noir)

Chaudes les calanques ! (1980), Spécial police no 1563 (série Lucien Poirel) (Fleuve noir)

La Course au bahut (1980), Spécial police no 1594 (série Max Bichon) (Fleuve noir)

Greffe-moi l'amour ! (1980), Anticipation no 978 (Fleuve noir)

Vive les surhommes ! (1980), Anticipation no 1007 (Fleuve noir)

« Secret d'état » (1980), dans Fantascienza : regards sur le Fleuve no 2-3 (nouvelle)

Un privé au soleil (1981), Spécial police no 1642 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Tellement gris (1981), Spécial police no 1651 (Fleuve noir)

Ormuz, c'est fini (1981), Spécial police no 1665 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Adieu les vignes (1981), Spécial police no 1678 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Avant-Poste (1981), Anticipation no 1090 (Fleuve noir)

En une éternité... (1981), Anticipation no 1103 (Fleuve noir)

Collabo Song (1982), Spécial police no 1701 ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Halte aux crabes (1982), Spécial police no 1721 (série Max Bichon) (Fleuve noir)

Une arnaque coloniale (1982), Spécial police no 1751 (Fleuve noir)

Haute-Ville (1982), Anticipation no 1142 (Fleuve noir)

Nausicaa (1982), Anticipation no 1171 (Fleuve noir)

« L'Amour au petit matin » (1982), dans 813 no 5 (nouvelle)

Monaco, morne plaine (1983), Spécial police no 1754 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Élections-Choc (1983), Espionnage no 1687 (série Julien Jendrejeski) (Fleuve noir)

Basta CIA (1983), Spécial police no 1772 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Catch à Cannes (1983), Spécial police no 1824 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Un doigt de culture (1983), Spécial police no 1838 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Les Prophètes de l'apocalypse (1983), Anticipation no 1218 (Fleuve noir)

Un bonheur qui dérape (1983), Anticipation no 1248 (Fleuve noir)

Carnage (1984), Spécial police no 1874 (Fleuve noir)

Touchez pas la famille ! (1984), Spécial police no 1881 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Camora mia (1984), Spécial police no 1913 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Creuse ma taupe (1984), Engrenage no 106 (Fleuve noir)

L'Histoire détournée (1984), Anticipation no 1270 (Fleuve noir)

Patrouilles (1984), Anticipation no 1310 (Fleuve noir)

Sus aux pointus (1985), Spécial police no 1982 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

L'Âge à rebours (1985), Anticipation no 1358 (Fleuve noir)

Poupée tueuse (1985), Anticipation no 1386 (Fleuve noir)

« Une mémoire d'androïde » (1985), dans Le Vif magazine (nouvelle)

Nocturne le jeudi (1986), Spécial police no 2013 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Poupée cassée (1986), Anticipation no 1447 (Fleuve noir)

« Cambriole-Cabriole » (1986), dans Mystères 86 : les dernières nouvelles du crime, Le Livre de poche no 6166 (Librairie générale française) (nouvelle)

« L'Intermédiaire » (1986), dans Mystères 86 : les dernières nouvelles du crime, Le Livre de poche no 6166 (Librairie générale française) (nouvelle)

Canal septante (1987), Spécial police no 2069 (série Frankie-Pat Puntacallo) (Fleuve noir)

Résurgence (1987), Spécial police no 2072 (Fleuve noir)

Le Baigneur (1993), Angoisses no 5 (Fleuve noir)

« Elle » (2004), dans Le Dernier homme (Les Belles Lettres) (nouvelle)

Il va neiger sur Venise (2011) (Nuits blanches)

Mutins légitimes (2011) (inédit)

Poupées (2014), Blanche no 2114 (Rivière blanche) ; réédition de Poupée tueuse et Poupée cassée

Zazou (2015), [39-45] (L'Atelier Mosésu)

 

 

Sous le pseudonyme de Charles Nécrorian

Le prénom « Charles » ne figure que sur Blood-Sex.

Blood-Sex (1985), Gore no 5 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Impacts (1986), Gore no 30 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Skin Killer (1987), Gore no 56 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Inquisition (1988), Gore no 63 (Fleuve noir)

« Rêves de sang », dans Le Bel effet Gore : autopsie d'une collection de Jean-Philippe Mochon (1988), Gore hors série (Fleuve noir) (nouvelle)

Blood-Sex no 2 (1989), Gore no 91 (Fleuve noir) ; réédition au format numérique (2014) (French Pulp éd.)

Plaques chauffantes (2012), Noire no 45 (Rivière blanche)

« Préface cinématographique de Nécrorian », dans Gore : dissection d'une collection de David Didelot (dir.) (2014) (Artus films), p. 5-6

Djinns, dans La Mort en partage (2015), Blanche no 2128 (Rivière blanche)

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CHRIS CARTER  NIFFF 2015

 

CHRIS CARTER

Invité D’HONNEUR

NIFFF 2015

 

Après avoir dévoilé les premiers titres de sa rétrospective et le premier invité en la personne de l’écrivain Michael Moorcock, le NIFFF a le plaisir d’annoncer la présence exceptionnelle de Chris Carter, créateur de The X-Files et les tout premiers titres de sa sélection hors compétition.

 

CHRIS CARTER et ses X-Files

 

Chris Carter, scénariste et réalisateur américain, célèbre créateur de la série The X-Files viendra présenter les deux films tirés de la série: The X-Files (USA, 1998, Rob Bowman) et The X-Files: I Want to Believe (USA, 2008) qu’il a lui-même réalisé. Il parlera également de son travail dans le cadre du colloque TV Series Storyworlds – Writer’s Room qui aborde comme thématique le cliffhanger ou la manière de conserver le suspens dans l’écriture sérielle.

 

Après avoir débuté sa carrière en 1985 à la télévision en tant que scénariste pour les studios Walt Disney, Chris Carter connut la gloire dès 1992 avec la création de The X-Files, série de science-fiction emblématique pour laquelle il remporta cinq Golden Globes et seize nominations aux Emmy Awards. Cette série qui rencontra un succès planétaire met en scène les enquêtes des mythiques agents spéciaux du FBI Fox Mulder (David Duchovny) et Dana Scully (Gillian Anderson) sur des affaires non résolues impliquant des phénomènes paranormaux. Scénariste très prolifique, il crée en 1996 la série télévisée MillenniuM et travaille actuellement sur six nouveaux épisodes des aventures de Mulder et Scully, dont la sortie est prévue en 2016.

 

(Communiqué de Presse du NIFFF)

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Museum Naïa entretient avec Patrice Hubert

Museum Naïa

entretient

avec Patrice Hubert

 

Bonjour patrice,

 

Stéphane Dubois,

Tu es le fondateur du Naïa Museum, comment  as-tu eu l’idée de créer un musée des arts de l'imaginaire et du fantastique?

 

Patrice Hubert,

Nous sommes deux à l'origine du projet ma Femme, Emmanuelle, et moi. L'idée du musée est venue des suites d'une rencontre avec le maire du village de Rochefort en Terre. Il avait un lieu, le parc du château et son petit musée, fermé depuis 5 ans, et moi j'avais des sculptures, un réseau d'artistes et ce manque criant de lieux dédiés à l'art fantastique et visionnaire.

 

 

Stéphane Dubois,

Quelles sont les principales difficultés que tu as rencontrées pour mener à bien ce projet?

Et combien de temps as-tu mis pour le mener à bien ?

 

Patrice Hubert,

Tout s'est fait très vite! Trois mois pour concevoir, convaincre, rassembler et installer toutes les œuvres. Tous les artistes se sont vite fédérés autour du projet et du potentiel attractif extraordinaire.

 

C'est un vrai partenariat avec la commune et le maire qui a une réelle volonté d'ouverture culturelle dans ce village de Rochefort-en-Terre.

 

Quelques travaux de rafraichissement et de mise en ordre effectué par les services techniques et l'aventure pouvaient commencer.

 

 

Stéphane Dubois,

Votre fond est-il important et combien d’œuvres et d’artistes y sont présentés en exposition permanente ?

 

Patrice Hubert,

Le fond fixe contient environs 50 de mes Œuvres, sculptures en acier cinétique et lumineuse allant de 1 à 6 mètres de haut et quelques dessins de Manu Van.H. Ma compagne. Nous nous sommes entourés d’artistes internationaux représentatifs de la scène fantastique et visionnaire. Qui expose pour la saison (d'avril à décembre) dans le musée et que j'aime présenter et représenter aux divers publics qui passe visiter les lieux.

 

Nous présentons également une partie des oeuvres du château qui ancre aussi le musée dans son patrimoine.

 

 

Stéphane Dubois,

Des expositions temporaires sont prévues, j’imagine, sur quelles bases ?

Quels sont vos projets à moyens et longs termes ?

 

Patrice Hubert,

Nous avons la volonté de défendre les courants actuels de l'art fantastique présent partout dans le monde, issus de cette génération postmoderne riche et de qualité, et trop souvent sous représentée dans les différents milieux plus institutionnels. La saison des expositions, cours d'avril à décembre afin de permettre aux différents visiteurs de découvrir le musée, mais aussi pour partager avec les plus jeunes, lors de visites scolaires ou de centres de loisirs, cet univers à mi-chemin entre plusieurs générations.

 

Nous espérons devenir rapidement un nouvel outil culturel de la région.

 

Chaque œuvre tisse un lien avec les autres, elles se parlent et se répondent brouillant les pistes temporelles pour ne garder que l'émotion et l'esthétique de l'instant.

 

Nous comptons renouveler une partie de ces expositions, créant un nouvel espace et une nouvelle atmosphère aux lieux, chaque année. Le Musée avec ses 250 m2 est résolument trop petit pour accueillir des expositions temporaires, mais une autre structure se mettra en place bientôt...

 

Des projets vont avoir lieu tout au long de la saison avec des rencontres avec les artistes, des sorties de livres, des ateliers, du live painting,...

 

L'idée d'un « Naïa mobile » fait son chemin, et nous permettrait de présenter l'art fantastique et ses artistes sur festivals et autres évènements ponctuels.

 

 

Stéphane Dubois,

Pourquoi le choix du parc du château et de ses dépendances   de Rochefort en terre et de sa forteresse médiévale du 12e siècle pour y exposé les œuvres du Muséum Naia.

 

Patrice Hubert,

C'est d'une rencontre que le projet est né. La rencontre humaine, mais aussi celle avec le lieu, le site du parc du château. Ce petit musée nous permettait d'exposer le passé, le présent et le futur. Combinaison parfaite pour l'imaginaire fantastique qui guide toujours les artistes dans leurs univers quantiques.

 

 

Stéphane Dubois,

Quel type de scénographie avez-vous choisi pour cette exposition ?

Les lieux et son histoire ont-ils influé sur celle-ci et comment ?

 

Patrice Hubert,

Nous avons pensé la déambulation afin d'emmener les visiteurs dans un univers irréel propice aux rêves et à la contemplation.

 

Naïa est un nom que nous avons tiré des légendes et rumeurs locales, il traine avec lui son lot de fantaisie et de mystère. Naïa était une sorcière, femme cultivée et mystérieuse, qui vivait près des ruines du vieux château médiéval au début du Xxeme siècle, lisant la bonne aventure et capable du guérir avec les plantes.

 

De plus Alfred Klots qui acheta le site et y construit le petit château était peintre américain. Ce site est donc depuis longtemps un lieu de création artistique où les résidences se sont succédé  jusque dans les années 2000.

 

Rochefort-en-Terre est donc une petite citée de « Caractère » et le restera encore longtemps.

 

 

 

Stéphane Dubois,

De combien de personnes se compose, l’équipe du Muséum Naia, et de quels moyens disposez-vous.

De quels soutiens avez-vous bénéficié pour ce projet ?

 

Patrice Hubert,

Nous sommes actuellement deux, c'est un Musée privé qui fonctionne essentiellement avec le soutien des artistes, les dons, les entrées et la boutique.

 

Nous avons un réel soutien logistique de la mairie et le lieu en prêt.

 

Les commerçants qui croient au projet nous aident également beaucoup pour la promotion  avec la diffusion des flyers et des affiches.

 

Nous avons fait appel à l'économie participative pour le lancement du projet, et nous avons réussi à fédérer assez de personnes pour atteindre notre objectif.

 

On peut donc dire que c'est grâce à la volonté et au partage que ce lieu existe.

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PRIX BIFFF 2015

 

 Compétition Longs-Métrages

Le Jury International du BIFFF 2015 representé par Richard Stanley, Andy Muschietti, Timo Vuorensola et Jonas Govaerts a décidé de récompenser les films suivants :

Corbeau d’Or

Frankenstein réalisé par Bernard Rose

Prix BIFFF 2015

Corbeau d’Argent

The Infinite Man

réalisé par Hugh Sullivan

Prix BIFFF 2015

Corbeau d’Argent

Goodnight Mommy

réalisé par Veronika Franz et Severin Fiala

Prix BIFFF 2015

Special Prix du Jury

et

Special Prix

offert par le Hong Kong Economic and Trade Office

pour leur 50e anniversaire de présence à Bruxelles

 

The Blue Elephant

réalisé par Marwan Hamed

Prix BIFFF 2015

Spéciale Mention du Jury

Starry Eyes

réalisé par

Kevin Kolsch & Dennis Widmyer

Prix BIFFF 2015

Le Jury Européen du BIFFF 2015 représenté par Pierrette Baillot, Elli Mastorou, Claude Diouri, Matthieu Reynaert, Thierry De Coster et Thomas de Thier a décidé de récompenser les films suivants :

 

Méliès d’Argent

Another Frontier

réalisé par André Cruz Shiraiwa

Nous l'avions pronostiqué et chroniqué

Nous l'avions pronostiqué et chroniqué

Spéciale Mention pour la direction artistique

Shrew’s Nest

réalisé par Juanfer Andres & Esteban Roel

Prix BIFFF 2015

Le Jury Thriller du BIFFF 2015 representé par Barbara Abel, Sophie Flamand et Jean-Pierre Finotto a décidé de récompenser les films suivants :

Prix Thriller

La Isla Minima

réalisé par Alberto Rodriguez

Prix BIFFF 2015

Le Jury 7e Parallèle du BIFFF 2015

representé par Eric De Staercke, Frédéric Jannin et Valentin Huvenne a décidé de récompenser les films suivants :

 

Prix 7e Parallèle

et

Le Prix Pegase, Prix du Public

Liza,The Fox-Fairy

réalisé par Karoly Ujj-Meszaros

 

 

Prix BIFFF 2015

Spéciale Mention du Jury

Leland Orser

dans Faults

réalisé par Riley Stearns

Prix BIFFF 2015

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FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015

FOCUS Corée du SUD

BIFFF 2015 

 

La Corée du Sud était représentée par pas moins de 12 productions.

 D’ailleurs l’Asie était représentée par une trentaine de films dans cette édition du BIFFF.

 

Avec 3 thrillers en compétitions (Haemoo,   Divine Move (The),    No Tears for the Dead) , plus ceux dont Chaser( the) qui avait obtenu un prix au BIFFF à sa sortie en 2008, hors- compétition, le thriller sud-coréen ce porte bien depuis quelques années. 

 

Haemoo,  ais des trois mon préféré quand a son contenu, son jeu des acteurs principaux, et son solide scénario basé il est vrai, et c’est le pire, sur une histoire vraie. Shim Sung-bo avait été le scénariste de Memories of Murder projeté dans une rétrospective coréenne  durant cette édition du BIFFF avec Housemaid (The) , Chaser (The).

 

On trouve également en compétition dans la catégorie 7e Orbit (qui à crier de cheval hein) deux films coréens :  One on One et Target (The). Le premier est particulièrement violent et sadique. Le second est plus subtil, mais pas moins pervers.

 

Enfin plusieurs films n’étaient ni dans la compétition ni dans la rétrospective, mais mérité d’être signalé, particulièrement un film historique  Roaring Currents en 3D ou le royaume de  de Joseon (l’ancienne Corée) auquel après une première attaque japonaise doit résister en 1572 à une nouvelle attaque maritime de « la grande armada » japonaise disposant de 333 navires contre…13 navires Coréens.

 

De superbes images, une 3D active, et une soigneuse reconstitution, des décors sublimes, et d’excellents acteurs, vous feront passez un très bon moment, je vous le conseille donc si vous avez l’occasion de le voir en salle.

Les résumés et fiches techniques source BIFFF

Haemoo

Après le passage bienveillant du F.M.I. en 1998, l’économie de la Corée du Sud se retrouve estropiée. Les cadres se pendent par centaines à Séoul tandis que Kang, capitaine du Junjin, est sur le point de se retrouver en cale sèche, faute de poiscaille et de pognon pour remplir son maigre bas de laine. Désespéré, mais pas au point de se voir au bout d’une corde, il accepte d’embarquer des clandestins chinois sur son rafiot afin de les ramener au pays du Kimchi. Les dangers sont nombreux : rien que le fait de croiser en eaux internationales lui vaudrait une prune douloureuse, sans compter une mer capricieuse à vous ramener votre bol de nouilles aux amygdales. Pourtant, rien n’avait préparé l’équipage du Jinju au cauchemar qu’ils s’apprêtent à endurer…

 

Scénariste du désormais culte Memories of Murder, Shim Sung-bo passe enfin à la réalisation avec Sea Fog (également connu sous le titre de Haemoo), où l’on retrouve d’ailleurs Bong Snowpiercer Joon-ho à la production. Adaptation d’une pièce de théâtre, basée elle-même sur un fait-divers incroyablement sordide, cette première œuvre est un coup de poing terrifiant construit avec des choix extrêmement audacieux, compte tenu de la thématique incroyablement choquante du récit ! On a envie de vous cracher le morceau morbide, mais on résiste : il faut le voir pour le croire…

 

Genre thriller

 Compétition Thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français, Néerlandais

 Réalisateur Shim Sung-bo

 Casting Han Ye-ri, Kim Sang-ho, Kim Yun-seok, Mun Seong-kun, Park Yu-chun

 Scénario Bong Joon-ho, Shim Sung-bo

 Producteur Bong Joon-ho, Lewis Taewan Kim

 Distributeur The Jokers Films

 Année 2014

 

Divine Move (The)

Original title : Sin-ui Hansu

Vous connaissez le jeu de Go ? Mais si, ce jeu de dames avec ses M&M’s bicolores dont les règles semblent bien plus complexes qu’un Pyramide où l’on passe de fourchette à satellite en deux briques. En tout cas, en Corée du Sud, c’est un jeu extrêmement populaire qui attire à la fois le respect et la convoitise, où les arnaques font les beaux jours de la mafia locale. Tae-Suk – freluquet cérébral hyper doué avec ces petites pastilles blanches et noires – en a fait les frais lorsqu’il a tenté de truquer une partie de Go avec son frère contre des adversaires qui sont du genre à vous glisser une tête d’étalon dans le plumard si vous les contrariez… Résultat ? Une branlée monumentale et l’exécution sommaire de son frère dont la mort lui est traîtreusement collée sur le dos. Sept ans de prison plus tard, Tae-Suk a bien changé : il a pris du gras, a appris à se battre comme une brute et a ourdi une vengeance qui s’annonce comme une véritable leçon de stratégie guerrière contre les assassins de son frère. Et ça tombe bien : on vient de lui accorder un mois de permission afin de mettre tout ça en pratique…

 

La vengeance a toujours été un thème de prédilection dans les thrillers hard-boiled, et si l’argument du jeu de Go semble moins glamour pour nous, petits béotiens occidentaux du Puissance 4, on se fourvoie complètement avec The Divine Move : le film de Beom-gu Cho transcende les règles de ce jeu de stratégie et nous sert un concentré de manipulation aux bastons incroyables, menées pastilles battantes par Woo-sung Jung (The Good, the Bad, the Weird) !

 

Genre thriller

 Compétition Thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Jo Bum-gu

 Casting Ahn Sung-ki, Jung Woo-sung, Lee Bum-soo

 Scénario Jo Bum-gu

 Soundtracks Jang Hyuk-jin

 Producteur Hwang Keun-ha, May Park

 Distributeur Mediaplex Inc., Showbox

 Année 2014

 

No Tears for the Dead

Original title : U-neun nam-ja

Impitoyable pourvoyeur de macchabées pour la mafia asiatique à Los Angeles, Gon en a un peu marre de régler les services après-vente à coups de douilles fumantes. Pour preuve, sa dernière mission – récupérer une bête clé USB contenant un schmilblick de malversations comptables et dire «  merci » en sortant – s’est soldée par une pile de cadavres, dont une petite fille de six ans. Se sentant décidément trop vieux pour ces conneries, Gon a juste envie de prendre sa retraite anticipée et de se bourrer gentiment la gueule en oubliant son tableau de chasse macabre. Ce qui n’est pas trop l’avis de ses employeurs, qui décident de lui coller un dernier contrat dans les pattes, et pas des moindres : partir à Séoul et liquider la mère de son dommage collatéral de six ans, car la madame pourrait avoir reçu une copie de la fameuse clé USB… Alors oui, il y va avec les pieds de plomb, mais sa conscience labellisée « massacre équitable » va le transformer en ange gardien de la veuve éplorée, avec un paquet d’affreux à dessouder au tournant. Un carnage annoncé mais rédempteur, en somme…

 

Rien qu’en débutant son thriller par une reprise géniale de Smooth Operator, Jeong-beom Lee nous a conquis ! L’homme à qui l’on doit notamment The Man From Nowhere nous revient cinq ans après avec son œuvre au noir, où deuil et vengeance forment une alchimie au goût de plomb, emballée dans des scènes d’action époustouflantes, dont un final gratiné qui n’est pas sans rappeler le cache-cache du Nakatomi Plaza de Piège de Cristal !

Genre action, martial arts, thriller

 Compétition Thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Lee Jeong-beom

 Casting Brian Tee, Jang Dong-gun, Kim Min-hee, Kim Min-jae

Scénario Lee Jeong-beom

 Soundtracks Choi Young-rock

 Producteur Kim Sung-woo

 Distributeur CJ Ent.

 Année 2014

 

 

Hard Day (A)

Original title : Kkeut-kka-ji-gan-da

Dans la pure tradition des fameuses journées de merde, l’inspecteur Gun-su va découvrir en moins de 24 heures pourquoi on met les emmerdes au pluriel : alors qu’il est à la cérémonie d’embaumement de sa mère décédée, ce flic à l’intégrité fluctuante va recevoir un coup de téléphone de ses collègues lui signalant que les affaires internes vont débarquer au poste pour une fouille intégrale. Se rappelant les liasses de pots-de-vin qui traînent dans son tiroir, Gun-su saute dans sa bagnole et se la joue Francorchamps sur le périph’ de Séoul. Mais, manque de pot, il fait un carton avec ce qu’il convient d’appeler un usager faible. Très faible même, puisqu’un vol plané plus loin, il ne reste plus qu’une viande froide sur le bitume… Pris de panique, Gun-su décide de cacher le macchabée dans son coffre et de poursuivre sa route afin de sauver sa réputation déjà bien compromise. Re-pas de bol : il apprend que les affaires internes ont trouvé le magot et vont également fouiller sa voiture dans la foulée. Mûr pour le burn-out, Gun-su décide de planquer à la hâte le cadavre dans le cercueil de sa môman… Et tout ça, chers amis, n’est qu’une mise en bouche pour un buffet de déculottées à la chaîne.

 

Très remarqué à la dernière Quinzaine des Réalisateurs de Cannes, ce second film de Kim Seong-hoon apporte un peu d’air frais dans la valse des polars coréens avec un scénario aussi finaud que haletant ! Pas un pet de gras, que du muscle dans ce thriller frénétique multi-primé qui court-circuite toutes les conventions du genre avec, notamment, Jo Jin-woong (également à l’affiche de The Admiral).

Genre action, black comedy, film noir, thriller

 Première Inédit BIFFF

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français, Néerlandais

 Réalisateur Kim Seong-hoon

 Casting Jeong Man-shik, Jo Jin-woong, Lee Sun-kyun, Shin Dong-mi, Sin Jeong-geun

 Scénario Kim Seong-hoon, Kim Seong-hun, Lee Hae-jun

 Soundtracks Mok Young-jin

 Producteur Billy Acumen, Cha Ji-hyun, Lee Dong-yoon

 Distributeur Bodega Films

 Année 2014

 

One on One

 Original title : Il-Dae-Il

7em Orbit compétition

Quelques mois après l’assassinat brutal d’une jeune femme, sept hommes décident de former une milice afin de venger cet acte abominable. Ils savent que le meurtre a été commandité et que la chaîne des responsabilités comporte sept maillons, qu’ils vont s’employer à rendre encore plus faible que les nombreux clients du zapping qui se tapent la honte chez Laurence Boccolini. Comment ? En traquant, kidnappant et torturant chacun des responsables jusqu’à ce que ceux-ci bavent leurs aveux en faisant acte de contrition… Mais, si les petites mains du crime se dédouanent très vite en se cachant derrière les ordres donnés, le haut du panier crapuleux a plus de mal à se mettre à table. Et le clou rouillé sous l’ongle va vite céder sa place à d’autres techniques de torture, à foutre la nausée au plus tenace des bourreaux. Une montée dans les tours de l’horreur qui va doucement faire douter certains de nos justiciers autoproclamés…

 

Le vingtième film de Kim Ki-duk confirme que le cinéaste reste aussi engagé qu’enragé : le choix du prénom de la victime, Min-ju, qui signifie phonétiquement démocratie, montre tout le bien qu’il pense de son gouvernement. Mais son coup de gueule transcende les frontières et son propos – aussi cru que violent – fait inévitablement écho au classique de Robert Merle (La mort est mon métier) ainsi qu’à la fameuse expérience de Milgram, qui démontrait par A + B(êêêle) que nous sommes tous des moutons en puissance

 

Genre surreal

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Kim Ki-duk

 Casting Cho Dong-in, Don Lee, Kim Young-min, Lee Yi-kyung

 Scénario Kim Ki-duk

 Soundtracks Park Young-min

 Producteur Kim Soon-mo

 Distributeur Finecut

 Année 2014

 

Target (The)

 Original title : Pyojeok

7em Orbit competition

Avec ses huit années d’études, son crédit à vie et ses horaires à vous briser trois mariages à la suite, Tae-jun était en droit d’espérer mieux de sa formation de médecin urgentiste ! Voyez-vous, la veille, il a fait son boulot en soignant un inconnu blessé par balles. À peine a-t-il fini de tricoter la panse sanguinolente qu’une armada de flics débarque aux urgences et isole le patient en ne faisant même pas l’aumône d’une explication sommaire. Probablement un vilain qui a fait des choses pas très catholiques. Et tout ça pourrait s’arrêter à l’anecdote amusante si Tae-jun n’avait pas reçu un appel anonyme quelques heures plus tard lui demandant, non pas son film d’horreur préféré, mais de faire sortir le fameux patient de l’hosto s’il veut revoir sa femme enceinte jusqu’aux yeux… Evidemment, il se voit mal demander à la police s’il peut emprunter le monsieur dans les vapes, mais l’heure tourne et Tae-jun va devoir prendre une décision car, primo, des tueurs viennent de débarquer aux urgences avec des pralines et un silencieux et, secondo, son fameux patient se réveille enfin, se présentant comme un redoutable mercenaire peu enclin à écouter une blouse blanche en train de se faire dessus…

 

Cette intrigue vous parle ? Normal, il s’agit du remake coréen de A Bout Portant, l’excellent thriller hexagonal signé Fred Cavayé ! Et qui s’y colle ? C’est notre ami Chang, dont on avait déjà projeté Death Bell au BIFFF 2009. Avec un tel scénario et une mise en scène incroyablement musclée, The Target a évidemment fait exploser le box-office coréen avant de remplir avec impatience les travées des Beaux-Arts ! Oui, pour toi, ô public adoré…

Genre action, crime, thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Chang

 Casting Jin Guo, Jo Eun-ji, Jo Yeo-jeong, Kim Seong-ryeong, Lee Jin-wook, Ryu Seung-ryong, Yoo Joon-sang

 Scénario Chang

 Producteur Lim Seung-yong

 Distributeur Gaumont

 Année 2014

 

Terror Live (The)

 Original title : Deu Tae-Ro Ra-i-Beu

Out of  compétition

Yoon a l’aigreur chevillée au casque : imaginez notre François de Brigode national réduit à faire les matinales sur OufTivi avec Lulu Vroumette, et vous aurez une vague idée du désarroi de notre héros, désormais chroniqueur radio qui écoute d’une oreille peu compatissante les salamalecs d’auditeurs frustrés. Mais celui qui est en train de geindre sur les ondes ce matin semble avoir le bocal sérieusement dévissé, puisqu’il menace carrément de faire sauter le pont Mepo de Séoul si on ne l’écoute pas jusqu’au bout. Habitué des canulars, Yoon le met au défi de la faire avant de lui raccrocher au nez. Un très gros BOUM plus tard (et un pont en moins), l’auditeur le rappelle, histoire de voir si on le prend toujours pour un gros blaireau. Le journaliste flaire évidemment le scoop qui pourra le ramener sous les projos du JT, mais un mot doux glissé au creux de l’oreillette par son interlocuteur privilégié va le rendre aussi livide qu’un Guronsan : une autre bombe est justement placée dans ladite oreillette, et si le président coréen himself ne s’excuse pas auprès de l’auditeur, Yoon risque de littéralement perdre la tête en direct. Pas sûr qu’il avait prévu son retour au JT comme ça…

 

Vous cherchez un huis-clos à vous blanchir la toison en même pas deux heures ? Alors, c’est la bonne direction : le nouveau film de Byeong-woo Kim est le Buried médiatique par excellence, où il fait de l’hypertension la norme, et où le cynisme des scoops à l’envi s’en prend plein les dents, avec – notamment – Jung-woo Ha (The Chaser) en opportuniste aigri. Moins évident en Occident, The Terror Live porte également l’estocade à la sacro-sainte hiérarchie asiatique à travers un chantage terrifiant !

 

Genre action, disaster, thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Kim Byung-woo

 Casting Choi Jin-ho, Ha Jung-woo, Lee Kyeong-yeong

 Scénario Kim Byung-woo

 Soundtracks Lee Ju-no

 Producteur Chun Roy-kyoung, Lee Chun-yeon

 Distributeur Lotte Ent.

 Année 2014

 

Roaring Currents

 Original title : Myeong-ryang

Out of competition

Fin du 16e siècle, le royaume de Joseon (l’ancienne Corée, bien avant l’arrivée de Samsung) est très mal barré : sa position géographique est pile poil sur la trajectoire de l’empire japonais, qui verrait bien la Chine continentale comme pied-à-terre nippon. Un premier tête-à-tête maritime a déjà permis de prendre la température avec la raclée dantesque infligée à la flotte de Joseon, réduite désormais à un nombre si ridicule que même le port de Blankenberge n’en voudrait pas. 13 pauvres navires, pour être exact… Et les Japonais d’en face, chauds boulette pour leur porter l’estocade finale à bord de leurs 333 monstres marins, font déjà péter le saké pour ce qui se profile comme un touché-coulé en trois coups. Mais c’est sans compter sur le retour en grâce de l’amiral Yi, tacticien hors pair et équivalent classique d’un Chuck Norris asiatique que même la mort n’ose regarder en face…

 

Voici enfin sur péloche l’un des plus grands faits d’armes de la Corée ! Bataille épique entre le David coréen et le Goliath japonais, The Admiral est le nouveau film de Kim Han-min (War of the Arrows) qui confirme ici avec une maestria incroyable son talent de réalisateur : dyptique de stratégie pure et de baston navale façon 300 sur mer, emmené par un Choi Min-sik impérial, ce monstre cinématographique est devenu le plus gros succès jamais enregistré au box-office coréen et poursuit sa déferlante sur le marché occidental. Comme quoi, le chiffre 13 porte vraiment chance…

 

Genre aventure

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français, Néerlandais

 Réalisateur Kim Han-min

 Casting Choi Min-sik, Jo Jin-woong, Ryu Seung-ryong

 Scénario Cheol-Hong Jeon, Han-min Kim

 Soundtracks Kim Tae-seong

 Distributeur Splendid Films

 Année 2014

 

Seven Swords

 Original title : Qi Jian

Out of competition

A l’aube des années 1660, la Mandchourie annexe la Chine pour y installer la dynastie Ching. A la suite de multiples insurrections contre le gouvernement, ce dernier interdit l’étude et l’exercice des arts martiaux afin de maintenir l’ordre et la discipline dans le pays.

 

Genre action, aventure, fantasy, martial arts

 Pays Chine, Corée du Sud, Hong Kong

 Audio Chinois

 Sous-Titres Français

 Réalisateur Tsui Hark

 Casting Jiang Guang-jin, Lin Hai-bin, Peng Huang, Zhang Gui-jun

 Scénario Cheung Chi-sing, Tin Nam Chun, Tsui Hark, Yusheng Liang

 Producteur Lee Joo-ick, Ma Zhong-jun, Pan Zhizhong, Tsui Hark

 Distributeur HKIFFS

 Année 2005

 

Memories of Murder

 Original title : Salinui chueok

Tiré d’une vraie enquête policière, Memories Of Murder est le second film de Bong Joon-ho, réalisateur qui a très vite explosé sur la scène internationale, avec des films tels que The Host ou le récent Snowpiercer.

 

Genre crime, mystery

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français

 Réalisateur Bong Joon-ho

 Casting Kang-ho Song, Roe-ha Kim, Sang-kyung Kim

 Scénario Bong Joon-ho, Kim Kwang-rim, Shim Sung-bo

 Producteur Cha Seoung-jae, Kim Moo-ryung, No Jong-yun

 Distributeur Cinéart

 

Housemaid (The)

 Original title : Hanyo

Eun-yi est aide-gouvernante dans une famille riche. Elle fait tout. Le ménage, la vaisselle et elle change les draps de lit. Surtout qu’elle batifole dedans avec le chef de maison… De là à savoir si tout le kama sutra y est passé, c’est à vous de voir, en tentant l’aventure de The Housemaid !

drame, thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français

 Réalisateur Im Sang-soo

 Casting Do-yeon Jeon, Jung-Jae Lee, Yeo-jeong Yoon

 Scénario Ki-young Kim

 Producteur Jason Chae

 Distributeur O’Brothers Dist.

 

Chaser (The)

 Original title : Chugyeogja

Qui dit thriller coréen dit mec pas net. Qui dit mec pas net dit flic. Bref, cette fois, il s’agit d’une affaire de kidnapping et c’est pas joli joli. Surtout quand le présumé coupable annonce qu’il a kidnappé d’autres filles mais qu’il n’y a pas assez de preuves contre lui pour le faire plonger. Vicieux n’est-ce pas ? Oui mais c’est brillamment réalisé No Hong-jin et c’est le premier prix de la section Thriller du BIFFF !

 

Genre thriller

 Pays Corée du Sud

 Audio Coréen

 Sous-Titres Français

 Réalisateur Na Hon-jin

 Casting Jung-woo Ha, Yeong-hie Seo, Yun-seok Kim

 Scénario Hong-jin Na, Shinho Lee, Won-Chan Hong

 Producteur Sujin Kim

 Année 2008

FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
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FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015
FOCUS Corée du SUD BIFFF 2015

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Affiche du film Danny’s Doomsday

Affiche du film Danny’s Doomsday

FOCUS DANEMARK

BIFFF 2015

 

Danny’s Doomsday

 Original title : Dannys dommedag

Il s’agit avec Mini et les Moustiques (Titre original :  Cykelmyggen og Minibillen)  et « In Order Of Disappearance » (titre original : Kraftidioten) et   de l’un des trois films danois présentés cette année au BIFFF, tous trois hors compétition .  Si les deux premiers sont pour la jeunesse, le troisième : In Order Of Disappearance, lui est pour un public « averti », averti que l’humour danois est aussi glacial que la météo en plein hiver, et encore par une tempête de neige.

Danny’s Doomsday, est un film pour adolescents avec des adolescents, d’ailleurs il était visible à partir de 12 ans. On ne doit pas s’attendre vu le public auquel il est destiné (classé -12 ans au BIFFF) à des scènes vraiment horrifiques. Assez bien, voir très bien interpréter par les deux jeunes garçons (difficile de juger les jeunes filles,  en fin de compte peu présentent à l’écran), certains regrettait que l’on voit si peu les monstres, mais encore une fois il s’agit d’un film destiné à un public d’ados.

Maintenant, passons au film destiné au plus jeune, au public de films de genre de demain. Mini et les Moustiques (Titre original :  Cykelmyggen og Minibillen)  est le deuxième film qui nous compte les aventures d’une petite coccinelle, un peu la « Maya l’Abeille » danoise.

Destiné dans le classement BIFFF à un public -6 ans, c’est le film destiné vraiment au tout petit de cette sélection, et je trouve toujours très bien quand un festival de films de genre pense à ce public, surement que j’ai gardé une âme d’enfant.

 

Avec In Order Of Disappearance, fini l’enfance, on entre dans le vif du sujet, avec ce parfait citoyen, décoré par sa ville le jour même, pètes les plombs quand il apprend la mort de son fils d’une « overdose », humm overdose vraiment, comme dis plus haut avec les Danois il faut s’attendre à un humour parfois très glacial, et on adore ça. Et l’horreur ils connaissent au Danemark depuis Hamlet « il y a quelque chose de pourrie au royaume du Danemark » et franchement des pourris on en trouve pas mal dans ce film, et Nils notre héros va en dégommé un max.

Ce film reçut en 2014 le prix du  Meilleur film international : IN ORDER OF DISAPPEARANCE au Festival FANTASIA 2014.

En résumé le BIFFF nous  présente, trois facette des films de genre du Danemark  et l’on ne peut que sans réjouir.

 

Fiche technique et Casting source BIFFF

Danny’s Doomsday

Résumé du film:

Les optimistes voient le réchauffement climatique comme une occasion en or de griller des merguez en tongs au cercle polaire. Les réalistes y voient la fonte des glaciers et l’extinction de tout un tas d’espèces. Les pessimistes, eux, ne craignent pas l’extinction mais l’apparition de nouvelles bestioles : parasites microscopiques, insectes mutants, plantes exogènes (non : Nabilla ne compte pas), et bien d’autres changements infimes qui vous niquent l’écosystème en deux coups de cuillère à pot. Mais il existe une quatrième option que le jeune Danny va vite découvrir par cette journée caniculaire à Copenhague. Afin de vous donner une idée, remplacez le parasite riquiqui par un prédateur carnivore, double phoque croisé au xénomorphe d’Alien, qui débarque au pays de la petite sirène avec l’estomac dans les talons, et qui découvre un garde-manger autrement plus appétissant que ce foutu plancton de la Mer Baltique ! Rajoutez-y tous ses copains qui, par l’odeur alléchée, arrêtent de faire trempette et – surtout – priez pour Danny et sa famille : ils sont désormais les plats de résistance d’un carnage à volonté !

 

Remarqué avec Room 205 (2007) et aussitôt courtisé par les Ricains pour réaliser Messengers 2, Martin Barnewitz aime décidément le cinéma de genre. Et il nous le prouve une fois de plus avec son nouveau film, où l’hommage aux années Amblin (coucou E.T.) et aux créatures de l’époque (coucou Alien) est servi par une équipe FX derrière Harry Potter, La Colère des Titans et Prometheus ! Autant vous dire que ça a de la gueule !

Genre   aventure, end of the world, monster movie

 Pays Danemark

 Audio Danois

 Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

 Réalisateur Martin Barnewitz

 Casting Emilie Werner Semmelroth, Peter Gantzler, Thomas Garvey, Willliam Jonk Nielsen

 Scénario Soren Grinderslev Hansen

 Soundtracks Karsten Fundal

 Producteur Caroline Blanco, Christian Steengaard Potalivo

 Distributeur Danish Film Institute

 Année 2014

 

Fiche technique et Casting source BIFFF

Mini et les Moustiques

 Original title : Cykelmyggen og Minibillen

 Petite coccinelle toujours partante pour faire le plein d’aventures, Mini travaille dans un cirque de puces avec Egon et Dagmar. Miranda, puce intermittente du spectacle, décide de saboter un numéro et tout porte à croire que Mini en est le seul responsable. Forcé à l’exil, il tombe carapace contre carapace avec un gang horrible mené par l’infâme Basse. Ce dernier le force d’ailleurs à commettre un vol chez les abeilles, mais Mini se fait choper comme une bleusaille et est condamné aux travaux forcés à perpétuité par les ouvrières du miel… Evidemment, Miranda se sent très vite coupable et va tout faire pour l’aider à s’échapper. Y arriveront-ils ?

Mini et les Moustiques est la seconde adaptation sur grand écran des aventures de Mini. Le film est réalisé par Jannik Hastrup, un briscard Danois de l’animation dont le style unique fait de lui un véritable franc-tireur sur la scène de l’animation.

Genre animation, fairytale, fantasy

 Pays Danemark

 Audio Néerlandais

 Réalisateur Flemming Quist Moller, Jannik Hastrup

 Scénario Flemming Quist Moller

 Soundtracks Jesper Mechlenburg

 Producteur Marie Bro

 Distributeur Jekino

 Année 2014

 

Fiche technique et Casting source BIFFF

In Order Of Disappearance

Original title : Kraftidioten

La cinquantaine bien tassée, Nils a une vie d’une banalité confondante, passée à conduire son chasse-neige sur les routes norvégiennes. Le bonhomme a toujours veillé à filer droit, si bien qu’on vient de le nommer Citoyen de l’Année. Mais, le soir de la cérémonie, il apprend que son fils unique – accro à un autre genre de poudreuse que papa – est mort d’une overdose. Et vlan ! Le cocon douillet de Nils part soudain en vrille : sa femme, submergée par le chagrin, le quitte tandis qu’il se met à rouler des pelles à son fusil… Jusqu’à ce qu’il découvre que le coup du junkie trop enfariné n’est qu’un tissu de conneries, et que son fiston s’est en réalité fait dégommer par un gang de trafiquants peu fréquentables. Mais là, du coup, Nils a une folle envie de les fréquenter, ces criminels patibulaires. Pas pour tailler la bavette en bon citoyen de l’année qu’il est, mais pour les envoyer bouffer les pissenlits par la racine un par un. Après une petite mise en jambes que d’aucuns auraient appelé un carnage, le gentil conducteur de chasse-neige va continuer à dégager les routes du crime organisé avec son fusil à canon scié, tout en déclenchant une guerre des gangs internationale. Rien que ça !

 

Bardé de son humour pisse-froid et noir comme on l’aime, le cinéma scandinave dégaine à nouveau une de ses perles du genre ! Cette fois, la claque est norvégienne et on la doit à Hans Petter Moland qui s’acoquine pour la 4e fois avec Stellan Skarsgård (Thor, The Avengers) dans un thriller jouissif, qui emprunte à Fargo son ambiance polaire et à Tarantino son empilement de cadavres frais. Au passage, cette kill list norvégienne a gagné le Prix International chez nos amis de Fantasia !

 

Genre thriller

 Pays Danemark, Norvège, Suède

 Audio Norvégien

 Sous-Titres Français, Néerlandais

 Réalisateur Hans Petter Moland

 Casting Birgitte Hjort Sørensen, Bruno Ganz, Kristofer Hivju, Stellan Skarsgård

 Scénario Kim Fupz Aakeson

 Soundtracks Brian Batz, Kare Vestrheim, Kaspar Kaae

 Producteur Finn Gjerdrum, Stein B. Kvae

 Distributeur September Film

 Année 2014

Affiche des films
Affiche des films

Affiche des films

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The Taking Of Tiger Mountain

The Taking Of Tiger Mountain

The Taking Of Tiger Mountain

BIFFF 2015

Original title : Zhì qu weihu shan

Official Selection Thriller Competition

 

Tsui Hark en est à son 3eme film en 3D avec respectivement :

En 2010, Détective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme (Di Renjie), dont la 3 D n’était pas très bonne, mais disposait d’un solide scénario, de sa suite en  2013 : Détective Dee 2 : La Légende du Dragon des mers (Di Renjie : Shen du long wang), ou c’était quasiment l’inverse un scénario indigent, mais une véritable maitrise de la 3D, dans les 2 cas précèdent il s’agissait de 3 D dits « passive ».

 

Avec ce film, il fait la synthèse, un scénario solide tiré d’une nouvelle, basé sur la période qui suivi la fin de la guerre contre le japon, et une 3 D (active cette fois-ci) tout autant maitrisés.

 

Il ne s’agit pas d’un film d’art martial, mais les scènes de combats spectaculaires ne manquent pas, ponctuées de scène plus intimiste, voire plus réaliste.

 

Le seul regret est la toute dernière scène à la « James Bond » inutile et qui « tombe comme un cheveu sur la soupe », autrement les 2 heures 20 du film passe très vite, de l’action, mais aussi somptueux décors aussi bien naturels qu’en studio.

 

Il maitrise parfaitement son sujet,  basé sur une nouvelle dont-il sait très librement inspirer.

 

Cette année l’Asie est une nouvelle fois présente en force au BIFFF avec une trentaine de films. Nous y reviendrons avec un Focus Corée du Sud qui présente à elle seule pas moins de 12 films.

 

Une dernière précision,  il est question tout le long du film de la KMT et de la PLA, il s’agit (y compris dans les sous-titres français !  Pour la KMT Il s’agit du Kuo-Min-Tang, ou Kouo-Min-Tang dirigé par Tchang Kaï-chek (nationaliste) et pour la PLA de l’Armée de Libération du Peuple dirigé par Mao Tsé-toung (communiste) et qui s’affrontait à cette époque, cette précision peut-être importante pour une bonne compréhension du film, surtout du tout début.

 

En résumé un très bon film, que je ne serais que trop vous conseillez de voir.

 

Résumé du film (source BIFFF)

En 1945, après huit ans d’invasions meurtrières, l’Armée de Libération du Peuple chinois a enfin réussi à renvoyer les militaires japonais sur leur île. Malheureusement, l’année d’après, une branlée en appelant une autre, un nouveau fléau s’est métastasé au nord-ouest du pays : des gangs de truands ont profité de la conscription pour écumer les villages et trucider en toute impunité les pauvres âmes qui osaient défendre leur bol de riz… Tant qu’à faire le ménage une bonne fois pour toutes dans cette Chine dévastée, le gouvernement envoie l’escadron du capitaine Shao dans les montagnes enneigées du pays afin d’éradiquer cette vermine opportuniste. Seulement voilà, le dernier coup de balai va s’annoncer plus dur que prévu : alors que les trente barbouzes de Shao sont sous-armés, crevés et morts de froids, ils vont devoir se coltiner une armée de plus d’un millier de brigands armés jusqu’aux dents, impatients de tester l’artillerie lourde qu’ils ont piquée aux fuyards japonais. Dernier détail, mais non des moindres : les mille salopards ont élu domicile dans une forteresse imprenable, nichée au sommet de la Montagne du Tigre. Et avec tout ça, on vous remet un peu de blizzard ?

 

Imbattable pour ce qui est de transcender les figures héroïques en grand spectacle, Tsui Hark adapte cette fois un roman de 1957 écrit par Bo Qu (on ne rigole pas !) et le triture à sa sauce inimitable : effets spéciaux à vous couper le souffle, récit d’aventures immergé dans des paysages majestueux et un casting phénoménal : Tony Ka Fai Leung (Detective Dee, Election), Cung Le (The Grandmaster) et Nan Yu (The Expendables 2) !

 

Fiche technique et casting (Source BIFFF)

 

Genre action, aventure, thriller

 Première Européenne

 Compétition Thriller

 Pays Chine, Hong Kong

 Audio Chinois

 Sous-Titres Anglais, Néerlandais, français

 Réalisateur Tsui Hark

 Casting  Cung Le, Geng Han, Nan Yu, Tony Ka Fai Leung

 Scénario Jianxin Huang

 Producteur Dong Yu, Jianxin Huang

 Distributeur Distribution Workshop

 Année 2014

 

Filmographie de Tsui Hark

Réalisateur

1979 : The Butterfly Murders (Die bian)

1980 : Histoire de cannibales (Diyu wu men)

1980 : L'Enfer des armes (Di yi lei xing wei xian)

1981 : All the Wrong Clues for the Right Solution (Gui ma zhi duo xing)

1983 : Zu, les guerriers de la montagne magique (Xin shu shan jian ke)

1984 : Mad Mission 3: Our Man from Bond Street (Zuijia paidang zhi nuhuang miling)

 

Après la création de Worshop Film, il devient également producteur

 

1984 : Shanghai Blues (Shang Hai zhi yen)

1985 : Working Class (Da gung wong dai)

1986 : Peking Opera Blues (Do ma daan)

1986 : Spirit Chaser Aisha (Liegui Aisha) (série TV)

1988 : The Big Heat (Cheng shi te jing) (non crédité)

1988 : Roboforce (Tie jia wu di Ma Li A) (coréalisé avec David Chung)

1989 : The Master (Long xing tian xia)

1989 : Le Syndicat du crime 3 (Ying hung boon sik III jik yeung ji gor)

1990 : Swordsman (Xiaoao jiang hu)

1991 : Il était une fois en Chine (Wong Fei-hung)

1991 : The Banquet (Haomen yeyan)

1991 : The King of Chess (Kei Wong) (non crédité)

1991 : The Raid (Cai shu zhi huang sao qian jun)

1992 : Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc (Wong Fei-hung ji yi: Naam yi dong ji keung)

1992 : Double Dragon (Shuang long hui) (coréalisé avec Ringo Lam)

1993 : Il était une fois en Chine 3 : le tournoi du Lion (Wong Fei-hung tsi sam: Siwong tsangba)

1993 : Green Snake (Ching Se)

1994 : Il était une fois en Chine 5 : Dr Wong et les pirates (Wong Fei-hung zhi wu: Long cheng jian ba)

1994 : The Lovers (Leung juk)

1995 : Le Festin chinois (Jin yu man tang)

1995 : Love in the Time of Twilight (Hua yue jia qi)

1995 : The Blade (Dao)

1996 : Tristar (Da san yuan)

1997 : Double Team (Double Team)

1998 : Piège à Hong Kong (Knock Off)

2000 : Time and Tide (Seunlau ngaklau)

2001 : La Légende de Zu (Shu shan zheng zhuan)

2002 : Black Mask 2: City of Masks (Hak hap 2)

2005 : Seven Swords

2007 : Triangle (Tie saam gok)

2008 : Missing (Sam hoi tsam yan)

2008 : All About Women (Nüren bu huai)

2010 : Détective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme (Di Renjie)

2011 : Dragon Gate, la légende des sabres volants (Lóng Mén Fēi Jiǎ)

2013 : Détective Dee 2 : La Légende du Dragon des mers (Di Renjie : Shen du long wang)

2014 : The Taking of Tiger Mountain

 

Acteur

1980 : L'Enfer des armes (Di yi lei xing wei xian) de Tsui Hark (non crédité)

1983 : Zu, les guerriers de la montagne magique (Xin shu shan jian ke) de Tsui Hark

1983 : Xing ji dun tai de Alex Cheung Siuhing

1983 : All the wrong spies (Wo ai ye laixiang) de Teddy Robin Kwan

1983 : Mad Mission d'Eric Tsang

1984 : Mad Mission 3: Our Man from Bond Street (Zuijia paidang zhi nuhuang miling) de Tsui Hark (non crédité)

1984 : Shanghai Blues (Shanghai zhi ye) de Tsui Hark

1984 : Run tiger run (Liang zhi lao hu) de John Woo

1985 : Le Sens du devoir 2 (Huang jia shi jie) de Corey Yuen

1986 : Le Syndicat du crime (Ying hung boon sik) de John Woo

1989 : Roboforce (Tie jia wu di Ma Li A) de David Chung et Tsui Hark

1992 : Double dragon (Shuang long hui) de Tsui Hark et Ringo Lam

1997 : Histoire de fantômes chinois (Xiao Qian) de Andrew Chan

 

Producteur

1986 : Le Syndicat du crime (Ying xióng ben sè) de John Woo

1987 : Le syndicat du crime 2 (Ying xióng ben sè II) de John Woo

1989 : The Killer (Dié xie shuang xióng) de John Woo.

1989 : Web Of Deception (jing hún jì)

1989 : Just Heroes de John Woo

1990 : Spy Games

1990 : Histoire de fantômes chinois 2 (Giàn nu you hún II: rén jian dao) de Ching Siu-tung

1990 : The Raid (Cái shu zhi héng sao qian jun)

1991 : Histoire de fantômes chinois 3 (Giàn nu you hún III: dao dao dao) de Ching Siu-tung

1992 : Wicked City (Yao shòu dou shì)

1993 : Swordsman 3 (Dong fang bú bài zhi feng yún zài qi) de Ching Siu-tung

1993 : The Magic Crane (Xin xian hè shén zhen) de Benny Chan

1993 : Iron Monkey (Shao nián huáng fei hóng zhi tie ma liú) de Yuen Woo-ping

1993 : Il était une fois en Chine 4 : La danse du dragon (Huáng fei hóng IV : wáng zhe zhi feng) de Yuen Bun

1994 : Le Temple Du Lotus Rouge (Huo shao hóng lián sì) de Ringo Lam

1996 : Black Mask (Hei xiá) (1996) de Daniel Lee

1997 : Il était une fois en Chine 6: Dr Wong en Amérique (Huáng fei hóng zhi xi yù xióng shi)

1997 : Histoire de fantômes chinois: The Tsui Hark Animation (Xiao qiàn)

 

Récompenses

Prix du meilleur réalisateur lors des Hong Kong Film Awards 1992, pour Il était une fois en Chine

Nommé au prix du meilleur réalisateur lors des Hong Kong Film Awards 1995, pour The Lovers

The Taking Of Tiger Mountain BIFFF 2015

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