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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Killer Joe  William Friedkin
Killer Joe
 « Le cut  présenter au 30e BIFFF, est celui que j’ai fait, je n’es pas laissez couper dans mon film, c’est cette version qui sera présenter en Europe, Asie, et partout dans le monde, interdit au moins de 18 ans, mais la “motion picture association” (commission de censure américaine NDLR) envisage de l’interdire, c’est aberrant, j’ais fait d’autres films, bien plus violents, » a-t-il déclaré lors de la présentation de son film au 30e Festival du Film Fantastique de Bruxelles. »
Il est vrai que dans l’actuelle Amérique, il semble bien plus violent de décrire une famille atypique, ou presque tout les membres (a l’exemption peu être du père) est à la fois manipulé et manipulateur.
« la famille avec le père pour chef, ou tout le monde restait ensemble, je me suis rendu compte en grandissant que c’était faux qu’il y avait beaucoup de famille dysfonctionnelle » ajouta’ il.   
il expliqua ensuite que l’affiche de l’exorciste était inspirée d’un tableau de Magrite « L’Empire des Lumières », et que quand il avait vu ce tableau, il avait décidé de faire le film (René Magritte - L'Empire des Lumières, 1954).
On retiendra les prestations à l’écran de Matthew McConaughey   dans le Rôle de  Killer Joe, et surtout de Juno Temple dans celui de Dottie que nous devrions retrouvez prochainement dans « Lovelace » de Rob Epstein et Jeffrey Friedman.
C’est depuis longtemps le meilleur film qu’il a réalisé depuis le très controversé « L’Enfer du Devoir ».


CASTING

 

Réalisateurs

 

William Friedkin

 

Acteurs et actrices

 

Emile Hirsch Rôle : Chris

 

Matthew McConaughey   Rôle:  Killer Joe

 

Thomas Haden Church   Rôle: Le Père

 

Juno Temple Rôle : Dottie

 

Gina Gershon  Rôle la Belle mère

 

Production

 

Producteurs

 

Nicolas Chartier ,

 

Scott Einbinder

 

Scénario

 

Scénariste

 

Tracy Letts

 

Sociétés :Distributeur France (Sortie en salle), Pyramide Distribution

 

 

 

Filmographie succincte de William Friedkin

 

 (comme réalisateur)

 

Killer Joe  - Sorti en salle en 2012

 

Bug  - Sorti en salle en 2007

 

Traqué  - Sorti en salle en 2003

 

L’Enfer du devoir - Sorti en salle en 2000

 

Jade - Sorti en salle en 1995

 

Blue Chips  - Sorti en salle en 1994

 

La Nurse - Sorti en salle en 1990

 

Le Sang du châtiment - Sorti en salle en 1988

 

La Chasse - Cruising  - Sorti en salle en 1980

 

Le Convoi de la peur  - Sorti en salle en 1978

 

L'Exorciste –Sortie en salle 1974 (reprise 2001)

 

 

 

French Connection - Sorti en salle en 1972

 

Les Garçons de la bande - Sorti en salle en 1970

 

 

 

Voir les commentaires

Philip Pettiette Julia X 3D
Julia-x-3d-poster
 
Bonjour Philip,
SD
Au début du film il y a une scène ou Julia est suspendu par des chaines, alors qu’à l’étage le serial killer en écoutant une musique excessivement romantique, pourquoi ce choix, quelle signification lui donner vous ?
  PP
La raison que j’ai choisi cette musique romantique, pour celui que l’on appel l’étranger, il y a un côté romantique et classique pour lui, quand j’ais développé l’histoire c’est une chanson que j’écoutais toujours avec mon baladeur. Ce n’est pas vraiment ce qu’entend le personnage, c’est ce qu’il entend dans sa tête. C’est une musique qui symbolise l’état d’esprit du tueur.
SD
Il y a beaucoup de films de serial killer aux USA, beaucoup moins en Europe, bien que nous en ayons également. De quoi viens que le cinéma américain tourne plus de films de serial killer qu’en Europe.
PP
C’est la peur, la vulnérabilité, je pense qu’aux USA on est moins effrayé par le surnaturel, du nucléaire, de la guerre, il y a moins de peurs aux USA qu’en Europe.
Je ne sais pas si je peux vraiment répondre à cette question, mais je voudrais préciser un point.
C’est vrai que dans la vie réelle, il y a beaucoup plus de serials killer en Amérique, qu’ailleurs dans le monde.
J’ignore si c’est la même chose pour les films de genre entre l’Amérique et l’Europe, nous avons eu des films comme « Jack L’Éventreur », ce n’est pas une chose que nous glorifions, mais c’est des gens qui arrivent à s’identifier a des personnages comme « Jack L’Éventreur », donc ils deviennent pou certain « héros » d’une certaine manière.
SD
Dans la plupart des films de serial killer, on tue, éventre, poignarde, dans le votre il y a un fort aspect : SM-Sexy pourquoi ce choix.
PP
Il y a eu une période ou l’on trouvait du SM dans les films de « horror réality ». Je veux dans ce film prendre la réalité qui nous entoure, la changer. J’ai choisi que les femmes dominent dans cette œuvre.
C’est la base du film, mais on s’aperçoit dans le déroulement du film que cela n’es pas seulement cela, de dominé, de torturer, mais c’est aussi, une histoire entre les deux sœurs, à la fin deviens plus une comédie noire avec la jalousie entre les deux sœurs. De façon macabre. Un peu a la façon d’Alfred Hitchcock qui pouvait faire du macabre et en même temps de l’ironie et de la comédie.
SD
Pouvez-vous nous parler du Dixie Théatrical Corporation ?
PP
Je suis de Louisiane, c’était une chance pour moi de pouvoir tourner un film dans la région qui m’a vu naitre. Dixie étant la ville où je suis né. J‘aspire à réaliser des films de qualité que l’on pourra retrouver dans des salles de cinéma.
 SD
Des projets ?
PP
Beaucoup de projets, mais il est un peu tôt pour en parler. J’explore le côté surnaturel pour le moment, j’ais depuis plusieurs années le projet de faire un film érotique en costumes d’époque en 3D. Ainsi qu’un Western en 3D. et Julia Y dans le titre ce qui es intéressant sait que cela veut dire « pourquoi ? » en anglais.
SD
La 3D vous parait donc l’avenir, c’est un sujet controversé.
 PP
Je pense que les films de genre tournés en 3D ont une vraie vie. C’est plus amusant, plus divertissant en 3D quand c’est tourné en 3D.
Mais je suis contre les conversions de films anciens en 3D. ca démoli, ça casse l’avenir des films en 3D. Non seulement je pense que la 3D est faite pour les salles obscures, mais aussi pour la télévision avec les nouveaux écrans.
Merci a Philip Pettiette, pour son accueil chaleureux.
 
Biographie
Philip Pettiette
Diplômé de la N.Y.U. Film School, le premier projet de P.J. Pettiette au sein de sa compagnie General Productions est le film The General, basé sur le best-seller européen que lui-même a développé en collaboration avec un journaliste de l’Irish Sunday World. Ce film, qui raconte l’histoire du parrain du crime irlandais Martin Cahill, a fait gagner à Pettiette le prix du meilleur réalisateur au Festival de Cannes en 1998. Pour General Productions, P.J. Pettiette a également produit le film If I die before I wake…, un thriller réaliste à propos d’une famille terrorisée par des intrus dans leur maison de vacances. Toujours à la recherche de nouveaux projets, il crée avec Greg Hall le Dixie Theatrical Corporation, en Louisiane. C’est là que fut réalisé et produit Julia X 3D en 2011.
Filmo :
        2011 : Julia X 3D
        2004 : Jennifer’s shadow (producer/writer)
        1998 : The General (co-producer/writer)
        1998 : If I die before I wake (writer/producer)
 
Producteur:
        2010s
        2000s
        1990s
1.      Julia X 3D (2011) (producteur)
2.      Jennifer's Shadow (2004) (producteur)
3.      Le général (1998) (Co-producteur exécutif)
... autre titre : "The General" - UK (titre original)
4.      If I Die Before I Wake (1998) (producteur)
5.      Married People, Single Sex II: For Better or Worse (1995) (producteur)
 
Scénariste:
        2010s
        2000s
        1990s
        1980s
1.      Julia X 3D (2011) (histoire)
2.      Jennifer's Shadow (2004) (histoire)
3.      If I Die Before I Wake (1998) (histoire)
4.      Bad Dreams (1988) (histoire)
Diverses équipes:
        1990s
        1980s
1.      Ed Wood (1994) (assistant production) (comme Philip J. Pettiette)
2.      The Babe (1992) (assistant coordonnatrice de production: Los Angeles)
... autre titre : "Babe, le bambino" - Canada (titre Français)
3.      Entre père et mère (1991) (TV) (assistant production)
... autre titre : "The Summer My Father Grew Up" - USA (titre original)
4.      Engrenages (1987) (dailies courier)
... autre titre : "House of Games" - USA (titre original)
Réalisateur:
1.      Julia X 3D (2011)
Directeur de production:
1.           Night Fire (1994) (manager production)
(source IMDB.FR)

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Guy Michel DessinateurGUY MICHEL



 

Bonjour Guy Michel,

 

SD

 

C’est la première fois que vous venez au BIFFF, vous en pensez quoi.

 

GM

 

Je suis assez surpris, je ne connaissais pas je découvre des nouveautés comme le robot géant en forme squelette en face de nous, le mélange films-BD me plait beaucoup.

 

SD

 

Au niveau de votre parcours, vous avez a un moment donné croisé Régis Loisel dans quelle mesure vous a-t-il influencé.

 

Oui, c’est quelqu’un de spécial, d’un talent certain, quand je l’es vu on a discuté il a pris de son temps, on a un peu parlé, je faisais des choses qui ressemblait a de la SF à l’époque, et puis c’est à ce moment la que j’ai opéré un tournant, vers ce qui vas devenir de la fantasy après.

 

SD

 

Vous avez commencé avec de la SF

 

Oui au début, intitulé « petit d’homm » et j’ai eu un autre projet de SF, mais qui n’as jamais été publier.

 

SD

 

Vous avez publié des « Contes du Korrigan », une série intitulée le « sang du Dragon », et vous venez de publie « Surcouf », vous abandonné le fantastique pour des albums plus réalistes.

 

 

 

Oui, les aléas du métier, je reste dans les mêmes veines, j’ai habité à Saint-Malo pendant 7ans, faire « Surcouf » c’est un peu comme joué a domicile. C’est un projet que je ne pouvais pas refuser. Comme le « Sang du Dragon » c’était imposé de lui-même. Mais je n’abandonne pas pour autant l’éroic-fantasy, je pense reprendre prochainement, mais il faut le temps en BD pour sortir un album. J’y reviendrais dès que je pourrais j’adore les créations de pures fantastiques, les dragons de tout genre. Surement en y intégrant du « celtic ».

 

SD

 

A nos cotés nous avons un fan, petite précision vous êtes en train de dédicacé au 30e BIFFF, pendant cet entretien.

 

Alors Steven qu’est que vous appréciez chez Guy Michel et dans son œuvre.

 

Steven de Gand

 

Je suis fan de BD en général et pas que de Guy Michel, mais ce que j’aime bien un mixte dans son style, très réaliste et plus ligne claire, surtout dans les anciens albums.

 

GM

 

J’essaie d’avoir quelques choses d’assez pures, mais c’est difficile, il y a  une partie assez réaliste effectivement, mais je voudrais allez vers quelque chose de plus graphique. Mais naturellement je reviens à ce style. Donc je me laisse faire.

 

SD

 

Vous n’avez, jamais pensez, a faire un roman graphic ?

 

Pour l’instant non, car j’ai des séries en cours assez longues, j’ai une autre histoire sur Seznec et la fameuse affaire du même nom qui devrait sortir l’année prochaine, et qui es prévue en trois tomes et qui serait assez réalistes, comme pour Surcouf dont je prépare le tome 2 (sur 4). J’ai pas mal d’autres projets en eroic-fantaisy auquel je pense également, alors pour les prochaines années je ne pense pas faire de roman graphic, mais plus tard peut être, pour le moment j’ais encore beaucoup d’histoire a raconté sous cette forme.

 

SD

 

Vous aimez beaucoup la SF, la Fantasy Steven ?

 

Steven de Gand

 

J’ai découvert la fantasy au fur a mesure, au début, je n’aimais pas trop, et maintenant j’apprécie grandement

 

 

 

Remerciement a Guy Michel pour son accueil, ainsi qu’a Steven

 

 Biographie

 

Guy Michel, né le 29 juillet 1975 à Miragoâne (Haïti), est un auteur français de bande dessinée.

 

 En 1986, il quitte Haïti pour la France et atterrit en plein hiver à Montrouge, dans la banlieue sud de Paris. Après son Bac, il s’inscrit à l’Université de la Sorbonne Nouvelle et entre aux Beaux-Arts de Versailles.

 

 Il y fait la connaissance de Jean-Luc Istin, avec qui il élabore différents projets bd, notamment Aquilon. En collaborant au fanzine “Avenir” (mis en place par la bibliothèque de Bagneux), il rencontre plusieurs autres jeunes auteurs, dont Dim D, auteur de la série ALEPH.

 

 C’est en 1998, lors de son premier voyage à Angoulême, qu’il fait la connaissance de Régis Loisel. Cette rencontre marque un tournant important dans sa vie de dessinateur, puisque Guy Michel change alors de direction et de style pour passer à l’univers de l’heroic fantasy. Deux ans plus tard, "Aquilon", son premier album sort chez Soleil. Premier associé de Jean-Luc Istin sur la collection Soleil Celtic, il dessine, avec d’autres, les 4 premiers tomes des "Contes du Korrigan", le tome 2 des "Contes de Brocéliande" et s’investit seul sur le "Sang du Dragon".

 

(Source Wikipedia)

 

 

 

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Henri Vernes Bob Morane

 

Henri Verne Bob Morane

 

Bonjour Henri Vernes,

SD

Vous êtes l’auteur et créateur du célèbre aventurier « Bob Morane » avec deux cent vingt-sept titres.  

Henri Vernes

Oui deux cent vingt, voir un peu plus. J’en suis plus à un prêt.

SD

Vous n’avez pas commencé à écrire des « Bob Morane ».

Henri Vernes

Non j’avais écrit des romans avant, j’ai commencé « Bob Morane » en 1953, ce n’est pas d’hier, ça feras l’année prochaine 60 ans.

SD

Vous avez imaginé ce personnage comment vous en es venu l’idée ?

Henri Vernes

C’est les éditions Marabout à l’époque, qui mon demander un personnage à suite, c’était fin 1953, j’ais commencer à en écrire un de suite, puis un tous les deux mois pendant 60 ans.

SD

Il est paru également dans la presse en feuilleton.

Henri Vernes

C’est dans « Femme d’aujourd’hui » qu’il a été publié pour la première fois en Bande dessinée, ensuite il est paru en BD dans : Pilote, Tintin, avant d’être publié en album aux Éditions du Lombard.

SD

Il a été adapté en BD, films TV, dessins animés, que pensez-vous de toutes ces adaptations ?

Henri Vernes

Une adaptation n’est pas toujours très fidèle à l’œuvre originale, au personnage, mais c’est une autre façon de voir les choses, il faut tout simplement l’accepter.

SD

La BD vous semble telle plus ou moins fidèle que d’autres formes d’adaptation ? Vous semble-t-il avoir été « trahi » par ces adaptations.

Henri Vernes

Non, c’est différent, pour ce qui es des dessins animés ils ont fait un graphisme tout a fait différent aux albums, la bande dessinée elle-même a connu plusieurs graphismes au fil du temps avec 4 dessinateurs, c’est des adaptations pas des trahisons, c’est une autre manière de voir l’œuvre.

SD

Vous venez de publiez vos mémoires (éditions Jourdan), ils y a déjà eu beaucoup de livres sur vous et votre personnage : Bob Morane.

Henri Vernes

Oui, mais ici c’est très différents, c’est une autobiographie, c’est plus personnel, un peu plus littéraire aussi, j’ais fait ça pour me faire plaisir, c’est sortis il y a quelques mois, sait déjà rééditer. J’envisage de faire une suite avec mes voyages, mais ce n’est pas certain.

SD

Vous avez beaucoup voyagé, et fait plusieurs métiers avant d’être écrivains, cela a-t-il nourri votre œuvre.

Henri Vernes

 

J’ai été journaliste, diamantaire, boxeur, oui certaines choses ont été source d’inspiration pour certains romans de Bob Morane, souvent ce n’est que de l’imagination, mais une part de vécu ce retrouve dans certains romans. Il m’arrive de glissez des souvenirs « à droite et à gauche ».

SD

Le fantastique et la SF, dans Bob Morane c’est de plus en plus développer pouvez vous nous en parler.

Henri Vernes

C'est-à-dire que je me suis mis dans le fantastique et un peu dans la Science-fiction, pour renouveler les aventures, les histoires, quand on as écrit plus de deux cents livres, on risque de ce répéter, avec le fantastique et la SF, on arrive a imaginé des choses les plus fantastiques ou plus réel suivant les circonstances.

SD

Quels sont vos auteurs et vos cinéastes préfères, ceux qui vous on marquer, voir influencer.

Henri Vernes

J’ai été influencé parle cinéma d’avant-guerre, le cinéma noir américain, le cinéma fantastique américain, beaucoup moins par le fantastique moderne.

En littérature j’ai surtout été marqué par : Jean Ray, Bram Stocker, Mary Shelley.

SD

Vous êtes déjà venu au BIFFF, je crois que vous avez même été président du jury.

Henri Vernes

Oui plusieurs fois, j’ais été en 1990 (8e édition) président du Jury à l’époque ou il était encore « Passage 44 ».

Je vous remercie de bien avoir voulu nous accorder cet entretien.

 

Adresse du site des fans d’Henri Vernes et Bob Morane :

http://www.bobmorane.be/

 

Biographie

Henri Vernes naît à Ath (province de Hainaut), en Belgique, le 16 octobre 1918. À 19 ans, il interrompt ses études et fait une "fugue" en Chine ! Son premier livre "La porte ouverte" paraît en 1944 à La Renaissance du Livre. Après la guerre, il exerce la profession de journaliste free-lance pour une agence de presse américaine. Il voyage et collabore à de nombreux journaux et revues. Parallèlement, il écrit des contes et des feuilletons dans des magazines, ainsi que des romans policiers. En 1953, à la demande de J.-J. Schellens, des éditions Marabout, il crée le personnage de "Bob Morane", dont le premier roman "La vallée infernale" paraît le 16 décembre 1953. Calquant sa destinée sur celle de son héros, Henri Vernes parcourt le monde. En 1965, Europe 1 produit 26 téléfilms, adaptés de ses romans, qui connaissent un succès appréciable parmi la génération des sixties. À l'heure actuelle, Henri Vernes a écrit plus de 200 romans "Bob Morane" dont les tirages s'élèvent à quelque 30 millions d'exemplaires. L'adaptation en BD date de 1959. Plusieurs dessinateurs ont présidé aux destinées graphiques du beau Bob : Dino Attanasio (1959 à 1962), Gérald Forton (1962 à 1967), William Vance (1968 à 1979) et Coria, qui dessine désormais les albums publiés au Lombard. Le 4 juin 1999, Monsieur Jacques Rummelhardt, Ambassadeur de France en Belgique a remis à Henri Vernes, au nom du gouvernement français, la médaille d’Officier des Arts et des Lettres. Pour la petite histoire, sachez qu'Henri Vernes, tout comme "Bob Morane", collectionne les armes du Moyen Age et aime le jazz. Juin 2006 - Henri Vernes a été fait "Citoyen d'Honneur de la Ville de Bruxelles". Un très actif Club Bob Morane s'est créé depuis quelques années dont voici les coordonnées : Club Bob Morane, 15, av. Odon Warland, B-1090 Bruxelles. En octobre 2006, Henri Vernes a été fait Citoyen d'Honneur de la commune de Saint-Gilles, lors du 5e festival BD de la Région de Bruxelles-Capitale. Distinction remise par Monsieur Charles Picqué, Ministre Président de la Région Bruxelles-Capitale. Il réside dans la commune de Saint-Gilles (province de Bruxelles Capitale).

(Source bebdetheque.com)

 

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Nomination au Prix Hugo 2012

Best Novel (932 ballots)
Among Others by Jo Walton (Tor)
A Dance With Dragons by George R. R. Martin (Bantam Spectra)
Deadline by Mira Grant (Orbit)
Embassytown by China Miéville (Macmillan / Del Rey)
Leviathan Wakes by James S. A. Corey (Orbit)

Best Novella (473 ballots)
Countdown by Mira Grant (Orbit)
“The Ice Owl” by Carolyn Ives Gilman (The Magazine of Fantasy & Science Fiction, November/December 2011)
“Kiss Me Twice” by Mary Robinette Kowal (Asimov's, June 2011)
“The Man Who Bridged the Mist” by Kij Johnson (Asimov's, September/October 2011)
“The Man Who Ended History: A Documentary” by Ken Liu (Panverse 3)
Silently and Very Fast by Catherynne M. Valente (Clarkesworld / WSFA)

Best Novelette (499 ballots)
“The Copenhagen Interpretation” by Paul Cornell (Asimov's, July 2011)
“Fields of Gold” by Rachel Swirsky (Eclipse Four)
“Ray of Light” by Brad R. Torgersen (Analog, December 2011)
“Six Months, Three Days” by Charlie Jane Anders (Tor.com)
“What We Found” by Geoff Ryman (The Magazine of Fantasy & Science Fiction, March/April 2011)

Best Short Story (593 ballots)
“The Cartographer Wasps and the Anarchist Bees” by E. Lily Yu (Clarkesworld, April 2011)
“The Homecoming” by Mike Resnick (Asimov's, April/May 2011)
“Movement” by Nancy Fulda (Asimov's, March 2011)
“The Paper Menagerie” by Ken Liu (The Magazine of Fantasy & Science Fiction, March/April 2011)
“Shadow War of the Night Dragons: Book One: The Dead City: Prologue” by John Scalzi (Tor.com)

Best Related Work (461 ballots)
The Encyclopedia of Science Fiction, Third Edition edited by John Clute, David Langford, Peter Nicholls, and Graham Sleight (Gollancz)
Jar Jar Binks Must Die... and Other Observations about Science Fiction Movies by Daniel M. Kimmel (Fantastic Books)
The Steampunk Bible: An Illustrated Guide to the World of Imaginary Airships, Corsets and Goggles, Mad Scientists, and Strange Literature by Jeff VanderMeer and S. J. Chambers (Abrams Image)
Wicked Girls by Seanan McGuire
Writing Excuses, Season 6 by Brandon Sanderson, Dan Wells, Howard Tayler, Mary Robinette Kowal, and Jordan Sanderson

Best Graphic Story (339 ballots)
Digger by Ursula Vernon (Sofawolf Press)
Fables Vol 15: Rose Red by Bill Willingham and Mark Buckingham (Vertigo)
Locke & Key Volume 4, Keys to the Kingdom written by Joe Hill, illustrated by Gabriel Rodriguez (IDW)
Schlock Mercenary: Force Multiplication written and illustrated by Howard Tayler, colors by Travis Walton (The Tayler Corporation)
The Unwritten (Volume 4): Leviathan created by Mike Carey and Peter Gross. Written by Mike Carey, illustrated by Peter Gross (Vertigo)

Best Dramatic Presentation (Long Form) (592 ballots)
Captain America: The First Avenger, screenplay by Christopher Markus and Stephan McFeely, directed by Joe Johnston (Marvel)
Game of Thrones (Season 1), created by David Benioff and D. B. Weiss; written by David Benioff, D. B. Weiss, Bryan Cogman, Jane Espenson, and George R. R. Martin; directed by Brian Kirk, Daniel Minahan, Tim van Patten, and Alan Taylor (HBO)
Harry Potter and the Deathly Hallows Part 2, screenplay by Steve Kloves; directed by David Yates (Warner Bros.)
Hugo, screenplay by John Logan; directed by Martin Scorsese (Paramount)
Source Code, screenplay by Ben Ripley; directed by Duncan Jones (Vendome Pictures)

Best Dramatic Presentation (Short Form) (512 ballots)
“The Doctor's Wife” (Doctor Who), written by Neil Gaiman; directed by Richard Clark (BBC Wales)
The Drink Tank's Hugo Acceptance Speech,” Christopher J Garcia and James Bacon (Renovation)
“The Girl Who Waited” (Doctor Who), written by Tom MacRae; directed by Nick Hurran (BBC Wales)
“A Good Man Goes to War” (Doctor Who), written by Steven Moffat; directed by Peter Hoar (BBC Wales)
“Remedial Chaos Theory” (Community), written by Dan Harmon and Chris McKenna; directed by Jeff Melman (NBC)

Best Semiprozine (357 ballots)
Apex Magazine edited by Catherynne M. Valente, Lynne M. Thomas, and Jason Sizemore
Interzone edited by Andy Cox
Lightspeed edited by John Joseph Adams
Locus edited by Liza Groen Trombi, Kirsten Gong-Wong, et al.
New York Review of Science Fiction edited by David G. Hartwell, Kevin J. Maroney, Kris Dikeman, and Avram Grumer

Best Fanzine (322 ballots)
Banana Wings edited by Claire Brialey and Mark Plummer
The Drink Tank edited by James Bacon and Christopher J Garcia
File 770 edited by Mike Glyer
Journey Planet edited by James Bacon, Christopher J Garcia, et al.
SF Signal edited by John DeNardo

Best Fancast (326 ballots)
The Coode Street Podcast, Jonathan Strahan & Gary K. Wolfe
Galactic Suburbia Podcast, Alisa Krasnostein, Alex Pierce, and Tansy Rayner Roberts (presenters) and Andrew Finch (producer)
SF Signal Podcast, John DeNardo and JP Frantz, produced by Patrick Hester
SF Squeecast, Lynne M. Thomas, Seanan McGuire, Paul Cornell, Elizabeth Bear, and Catherynne M. Valente
StarShipSofa, Tony C. Smith

Best Professional Editor - Long Form (358 ballots)
Lou Anders
Liz Gorinsky
Anne Lesley Groell
Patrick Nielsen Hayden
Betsy Wollheim

Best Professional Editor - Short Form (512 ballots)
John Joseph Adams
Neil Clarke
Stanley Schmidt
Jonathan Strahan
Sheila Williams

Best Professional Artist (399 ballots)
Dan dos Santos
Bob Eggleton
Michael Komarck
Stephan Martiniere
John Picacio

Best Fan Artist (216 ballots)
Brad W. Foster
Randall Munroe
Spring Schoenhuth
Maurine Starkey
Steve Stiles
Taral Wayne

Best Fan Writer (360 ballots)
James Bacon
Claire Brialey
Christopher J Garcia
Jim C. Hines
Steven H Silver

John W. Campbell Award for Best New Writer (396 ballots)
Award for the best new professional science fiction or fantasy writer of 2010 or 2011, sponsored by Dell Magazines (not a Hugo Award).
Mur Lafferty
Stina Leicht
Karen Lord *
Brad R. Torgersen
*
E. Lily Yu

*2nd year of eligibility

(source : https://chicon.org/hugo-awards.php, ballots = nombres de votes pour la catégorie)

 

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Michael Sauter Sennentuntschi

mickael Sauter

 

Bonjour Michael,

SD :

Vous êtes scénariste de films fantastiques, vos origines, votre éducation ne vous prédestinait pas, a ce genre de chose, puisque vos parents étaient des anthroposophiques convaincus et donc vous interdisait la musique et le cinéma, hors vous avez commencé par du hardcore-hardrock avant de faire du cinéma fantastique. Pouvez-vous nous dire comment en vient’-on à ça ? Par Rébellion ?

M.S :

Nous c’est par intérêt a ces musiques, j’ai tout le temps cherché des musiques et des films, underground a Zurich (CH) on avait une scène underground importante, comme je ne pouvait pas a la maison en voir, il y avait la vidéothèque, les amis… c’est a la vidéothèque que j’ai vue mes premiers films.

SD

Quels sont les premiers films que vous avez vus ?

MS

Les premiers films que j’ai vus sont : Halloween (John Carpenter), Le Loup-garou de Londres (John Landis)… ensuite j’ai vu des films comme ceux d’Antonioni, j’ai commencé directement avec des films fantastiques « hard »

SD

Avez-vous un fil rouge, une ligne inspiratrice pour vos scénarios ?

MS

Quand on tourne en Suisse ou seulement 4 millions de personnes parle allemand, il faut faire ce qui es voulu, ce qui es produit, car on peut pas trop ce laissé allez a l’imagination. J’ai commencé par des films de commande par exemple : Strähl (2004, « Flic ou dealer ») qui était un film policier. Ensuite j’ai fait des films plus personnels : Sennentuntschi (de Michael Steiner) ou le prochain Miss Suisse Macabre qui vient d’être tourné et qui est en postproduction, il devrait être présenté au prochain Festival de Locarno. Je vais continuer dans ce genre de films plus personnel et fantastique.

SD

Le film que vous que vous présentez au 30e BIFFF (Sennentuntschi ) commence de manière bucolique après cela deviens macabre, comment avec Michael Steiner avez-vous eu l’idée de ce film ?

MS

Nous avons décidé de reprendre une légende très connue qui fais partie du folklore suisse c’est une manière de repoussée les limites, c’est donc macabre. C’est le premier film macabre horrifique suisse, comme « Achtung, fertig, Charlie! (À vos marques, prêts, Charlie !) » avait été le premier film suisse avec une scène de sexe.

Je cherche dans le cinéma suisse a repoussé les limites ce qui as peut été fait a ce jour.

SD

Sennentuntschi est un film fantastique, un thriller psychologique, j’ai noté en visionnant le film « études de mœurs », puis « études de sentiments » puis j’ai remis « études de mœurs » ?

MS

Ce n’est pas le but de faire une étude des mœurs, le genre n’es pas défini c’est peu être le défaut de ce film, c’est un peu un mélange de tout.

N’ya til pas une peur face a l’inconnu, à l’étranger.

Le village sait la suisse de droite, c’est des « blockériens » (partisan de la droite extrême suisse NDLR), quand on a commencé c’était un film fantastique, un conte de fée, j’ais lut le script s’était romantique et plat, ils violent une femme, alors j’ai dit on a besoin de le faire plus violent, plus fort, plus agressif et les paysans poussez leurs violences sexuelles par rapport a des gens fermé sur eux même.

SD

En fait elle est violée à deux reprises dans le film.

MS

Oui deux fois, je voulais montrer le coté démoniaque, pas celui d’une petite poupée, montrée la cruauté pour brisez cette idée.

SD

Pour un film underground, c’est le policier représentant de l’autorité, qui est en fait le plus sympathique dans le film.

MD

Mais j’aime les policiers (rires) je veux dire les films policiers bien sûr.

Merci de bien avoir voulu nous accorder cet entretien.

 

(Remerciement a Sophie du service de presse du BIFFF, pour la traduction)

Biographie (source IMdb)

Né en 1973, Michel Sauters est l'un des plus grands cinéastes que la Suisse ait jamais connu. Issu d'une famille fondamentaliste anthroposophique, il est interdit de musique et de cinéma. En 1991, lorsque ses parents décèdent, il se lance dans le hardcore-hardrock en faisant partie de plusieurs groupe (MLOP, les Motordykes, ...) et enregistre le premier album grunge suisse. Par la suite, il abandonne ses études universitaires afin de se consacrer à l'écriture de scénarios tels que Ready, Stady, Charlie (2003) qui fera un carton au box office, ou encore Grouding en 2006. Depuis, il a écrit le scénario du macabre Sennentuntschi ainsi que celui de la comédie sanglante Miss Suiss Massacre, tous les deux réalisés par Michael Steiner. Plus récemment, il fut jury du NIFFF au coté de G. Romero, J. Landis et J. Priest. G. Romero, J. Landis and J. Priest.

 

Filmo

  • 2010 : Sennentuntschi
  • 2006 : Grounding
  • 2005 : Snow White
  • 2003 : Ready, Stady, Charlie

Scénariste: En production 2010s

20001.Tutti giù (2012) (post-production) (consultant intrigue)

2.Sennentuntschi (2010) (Scénario)

3.Endsieg - Everything Changes in One Shot (2008) (scénariste)

4.Breakout (2007/I)

5.Schwarze Schafe (2006)

6.Grounding, les derniers jours de Swissair (2006) ... autre titre : "Grounding - Die letzten Tage der Swissair" - Suisse (titre original)

7.Mein Name ist Eugen (2005) (Scénario) ... autre titre : "Je m'appelle Eugen" - Belgique (titre Français)

8.Snow White (2005)

9.Strähl (2004) ... autre titre : "Flic ou dealer?" - France (titre TV)

10.Achtung, fertig, Charlie! (2003) (scénariste) ... autre titre : "À vos marques, prêts, Charlie!" - Suisse (titre Français)

 

 

 

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Porte-folio du 17e Zombie Parade de Bruxelles

Si vous y avez participé et que vous avez des photos de vous en : zombie, vampires, monstres, envoyez-moi les photos par mail. Je les rajouterais avec plaisir.

SD

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The Sorcere and the  Withe Snake

de Ching Siu-Tung

sorcere white snake

 

Ce film reprend une ancienne légende chinoise déjà mise en scène a de nombreuses reprises, dans cette version Ching Siu-Tung fait la place belle aux références cinématographiques : attaques d'Orochimaru de NARUTO, Bleach, Le Seigneur des anneaux, nous ne vous en dirons pas plus pour vous garder la primeur de la découverte.

On regretter le peu de combats a mains nue, on est plus dans les combats « magiques » avec « pouvoirs », les effets spéciaux sont parfois un peu léger, l’intrigue sentimentale peut ne pas plaire a tous.

Jet Li avec l’âge commence à nous faire penser sur le plan physique a Mifune, il aurait peut être fallut approfondir, donné de l’épaisseur a son rôle.

Que cela soit dit une bonne fois pour toutes : il s’agit d’un film fantastique, sinon grand public, qui moins qui peut être vu par un très large public.

La facture du film est bonne dans l’ensemble, comme le soulignent les nominations qu’il a eues dans des festivals, dont Sitges et bien sûr le BIFFF.

 

Nominations :

Mostra de Venise 2011 (édition n°68) ,Venise, Italie. Longs métrages - Hors-compétition

Festival du Film Asiatique de Deauville 2012 (édition n°14), DEAUVILLE, France

Nommé Lotus "Action Asia" Ching Siu-Tung

Festival International du Film de Catalogne de Sitges 2011 (édition N°44) ,Espagne.

Nommé Prix du meilleur film Tony Ching Siu-Tung

Nommé Prix Spécial du Jury Tony Ching Siu-Tung

Nommé Prix du meilleur réalisateur Tony Ching Siu-Tung

 

Casting

Réalisateur :

 Ching Siu-Tung

Acteurs et actrices

Jet Li  Rôle : Le Révérend Abott Fahai

Shengyi  Huang  Rôle : Le Serpent Blanc

Raymond Lam  Rôle : Xu Xian

Charlene Choi  Rôle : Le Serpent Vert

Zhang Wen  Rôle : Neng Ren

Vivian Hsu  Rôle : Le Goblin des neiges

Miriam Yeung Chin Wah  Rôle : Le Lapin maléfique

Kar-Ying Law Rôle : L'herboriste

production  

Producteur

Po Chu Chui

Equipe technique

Compositeur Mark Lui

Directeur de la photographie  Kwok-Man Keung

Chef monteur  Angie Lam

Chef costumier William Chang

Sociétés

Production

Juli Entertainment Media

 

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Jean-Marc Laroche Sculpteur

exhibition2012

Bonjour Jean — Marc Laroche, vous exposer actuellement au 30e BIFFF, ce qui est une rétrospective de vos œuvres ?

JML,

C’est à la fois une rétrospective de mon œuvre, et une projection de l’au-delà que je fais, et que j’ai fait spécialement pour le Festival du Film Fantastique de Bruxelles, et que j’avais commencé, avec des squelettes qui sont dans les positions du Kâma-Sûtra, qui font l’amour et donne une image plutôt festive de l’au-delà on a tous peur de la mort, la voir comme une fête qui en fini pas c’est plutôt rassurant.

Alors en plus de cela j’ai réalisé cette année, des couples de squelettes qui dansent, d’autres qui trinques, d’autres qui sont la en attente comme des entraineuses (Annie et Maguy) de très belles femmes et pourtant ce sont des squelettes.

Ce sont des squelettes, mais elles ont quelque chose d’attirant.

SD,

Ce n’est pas la première fois que vous exposer au BIFFF.

JML,

Oui j’ai exposé déjà en 1994 et en 1998, en 1994, j’ais rencontré Georges Romero, un festival de rencontres que j’ai fait cette année-là.

Et j’ai réalisé la couverture du livre d’or du festival une œuvre intitulée : « le Necronimicon », je l’es réalisé pour le BIFFF, et qu’ils on toujours, il est en résine, avec des os, des pierres.

SD,

Vous êtes venu à la sculpture comment ?

 

JML,

J’ai toujours été très manuel, je faisais de la sculpture très jeune, sans le savoir, parce que je modelais des petits objets, je me rappel d’une tête que j’avais fondue en plomb, à l’époque je devais avoir 10 /12 ans.

J’ai fait pas mal de choses    comme j’étais manuel, du jour où j’ai pu vivre de mes œuvres, à partir de 1987, je suis passé au stade professionnel.

SD,

Vous travaillez quels types de matériaux ?

JML,

Je travail sculpture tous les matériaux.

SD,

Quels sont vos projets ?

JML,

Je veux continuer sur cette ligne de travail, et de faire une exposition-spectacle, plus étoffé avec plus de squelettes qui pourraient tournée dans plusieurs villes.

SD,

Merci pour cet entretien et nous recommandons aux internautes d’aller sur votre site : www.jmlaroche.com pour en savoir plus sur votre œuvre.

 

   

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