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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Pierre Gaulon

Pierre Gaulon

Entretien Pierre Gaulon Blizzard

 

Bonjour Pierre Gaulon ;

Vous êtes un jeune auteur de 31 ans, qui vient de faire paraitre chez Mnémos « Blizzard », mais avant de parler de cet ouvrage, pouvez-vous nous dire  comment vous êtes venu à l’écriture avec  « Tendres Tortures »  et en quoi cela fut une thérapie pour vous comme vous l’écrivez sur votre site ?

Pierre Gaulon,

Les livres ont toujours fait partie intégrante de ma vie. J’écris depuis mes dix ans. Au début je m’essayais à l’écriture de scénarios de jeu de rôle et de « livre-jeu » puis petit à petit, j’ai décidé de m’attaquer à d’autres genres. Mon premier roman « Tendres tortures », a été écrit à une période où je me posais toutes sortes de questions sur la vie en général. Il m’a permis de passer l’étape de la vingtaine. Ce n’est qu’avec mes thrillers « La mort en rouge » et « Noir ego » publiés chez City éditions ( Hachette) que j’ai réellement commencé à faire des salons littéraires et rencontrer les lecteurs.

 

 

Stéphane Dubois,

Venons en as votre actualité, vous publiez donc « Blizzard » votre 4eme roman d’où vous es venu l’idée de cet univers et a quelle époque la situez-vous?

 

Pierre Gaulon,

« Blizzard » est à la base issu d’un scénario de jeu de rôle  dans lequel une pluie d’origine magique coulait en continue. L’intrigue se situe dans un univers imaginaire appelé le «  Genolain », qui possède ses propres règles et ses propres lois, un monde gouverné par le froid et la neige. La période est délicate à définir puisqu’elle ne suit pas la progression temporelle classique. Disons que certains éléments indiquent que les protagonistes évoluent à une époque proche du moyen-âge mais que d’autres en font une période plus « évoluée ».

 

Stéphane Dubois,

Vous définiriez comment cette saga : fantastique, heroic-fantasy…

 

Pierre Gaulon,

La base de cette saga est l’héroïc-fantasy, les combats, les voyages dans de beaux paysages… mais le livre emprunte également à d’autres genres. Les Esthètes, une peuplade souterraine qui magnifie tout ce qu’elle touche, pourrait évoquer les fremens de « Dune », « les mangeurs de lumière » ont quelques points communs avec les « aliens »… Avec un peu de recul, je me rends compte que ce livre est un clin d’œil à toutes mes lectures de jeunesse, Gemmel, Herbert, Tolkien, Brooks, Toriyama, Lovecraft et j’en passe ! Venant du milieu du thriller, je présume que « Blizzard » garde également la tension et le rythme propres à ce genre littéraire.

 

Stéphane Dubois,

Il s’agit d’un premier tome, combien de volumes sont prévus pour cette saga,  et quand paraitra le tome 2 ?

 

Pierre Gaulon,

Il est prévu 3 tomes. Normalement, le second devrait paraître entre aout et novembre 2015, disons en fin d’année.

 

Stéphane Dubois,

D’autres livres sont en cours de publications "L'ange noir" / Thriller (titre provisoire) et  Enragés (horreur / fantastique)  pouvez-vous nous en dire plus ?

 

Pierre Gaulon,

Oui. « Enragés », un roman post-apocalyptique devrait être publié entre avril et juin dans une nouvelle maison d’édition. En ce qui concerne «  La brûlure des anges », un polar, il est actuellement en cours de lecture chez City éditions, mon éditeur de thrillers. J’aime bien jouer avec tous les genres littéraires et j’espère que les lecteurs éprouveront autant de plaisir à les lire que j’en eu à les écrire !

 

Blizzard

Premier tome de la saga à paraître dès janvier 2015 dans toutes les bonnes librairies

 

Résumé du livre

 Dans le lointain nord, tout autour d’une cahute, s’étendent à perte de vue forêts enneigées et pics glacés. Blizzard, l’un des rares magiciens survivant d’une guerre encore fraîche et son protégé Chasseur y vivent entre retraite et exil loin d’un royaume maintenant pacifié d’une main de fer par l’Inquisiteur. Jusqu’au jour où une redoutable phalange les attaque sans raison. Jusqu’au jour où la même troupe ravage entièrement le village de Iak, dresseur de tigre des glaces. Les voilà jetés sur les routes, consumés par le désir de vengeance et la volonté de comprendre. Leur périple les confrontera à des secrets qui ébranleront tout ce qu’ils croyaient savoir.

 

La fantasy recèle de nombreux trésors dont l’un est d’être la littérature de la belle aventure, celle qui nous emporte dans un récit puissant et échevelé, entre grande saga et paysages à couper le souffle.

 

Avec Blizzard, Pierre Gaulon signe un roman de cette trempe. Écrivain talentueux de thriller, il a tissé une histoire trépidante, plus grande que nature. Doué d’un sens du merveilleux digne des meilleurs, il nous emmène sur les pentes montagneuses balayées par les vents glacés, au sein de cavernes où gronde la révolte, dans des cités décadentes, aux venelles hantées, ou à la rencontre des étranges Esthètes, ce peuple qui magnifie tout ce qu’il touche. Un régal !

 

 

Biographie de l'auteur (officielle)

Pierre Gaulon a 30 ans.  Après des études de lettres modernes spécialisées dans la littérature fantastique et un an  en tant que professeur de français, il partage désormais son temps entre son travail dans l'univers du jouet et l'écriture.

 

 En 2006 il publie son premier roman: "Tendres tortures",   un écrit dérangeant sous fond de crise existentielle.

 

 La mort en rouge constitue son deuxième roman, une histoire mêlant l'Art, la folie et la passion, dans laquelle les hommes portent leur passé comme un fardeau trop lourd qui finira par ronger leur vie, leur amour.

 

Prix et concours

 

 

La mort en rouge:

 - 2eme note du Grand prix " ça 'intéresse du polar historique 2012" et 3eme note du grand prix VSD du polar 2012 avec 8,11 de moyenne.

 

- Actuellement finaliste du prix des "balais d'or de la découverte"

 

Blizzard:

 - Finaliste du grand prix géo du voyage de l'ailleurs 2012 (pas de lauréat cette année-là)

Couverture : Michal Karcz

Couverture : Michal Karcz

Michal Karcz est né en 1977 à Varsovie en Pologne. En 1997, il obtient son diplôme de l’Ecole des Beaux-Arts de Varsovie et un diplôme dans le domaine de la publicité. C’est à ce moment que son intérêt pour la photographie grandit. Il étudie alors toutes les techniques: traditionnels, chambre noire, développement des négatifs, impression analogique…

La majeure partie de son travail est un voyage imaginaire dans des lieux qui n’existent pas, des endroits figurants dans ses rêves, ses désirs et son imagination, des mondes qu’il a envie d’explorer mais qui sont loin d’ici.

Il s’inspire de nombreux artistes à travers la musique et la littérature qui sont pour lui, les deux moyens d’expressions les plus fidèles pour ce qu’il crée. Actuellement il travaille avec succès comme photographe freelance et concepteur graphiste dans son propre atelier.

« Tant que le monde existera, je ne cesserai de le rêver dans mes images. Ne fermez jamais les yeux face à la beauté du monde » MK

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Nouveauté : N’aie plus peur de Bernard Florentz

Nouveauté :

N’aie plus peur

de Bernard Florentz

Résumé

Que sont-ils devenus ? Telle était la question qui taraudait René Lallemend, éditeur et cancéreux du foie au stade terminal. Que sont devenus les morts une fois morts ?

Lui qui avait mis le grappin sur le marché du livre ésotérique, lui qui aurait dû, plus que tout autre, avoir des réponses, le voilà terrorisé rien qu’à penser à l’au-delà. Toutes les foutaises métaphysiques qu’il avait publiées, de toute façon, il n’y avait jamais cru.

Par contre Aurélien, son frère aîné, devait savoir. Car ce grand voyageur, ce penseur autrefois acclamé, cet homme devenu secret allait mourir aussi… mais il était serein, et cette tranquillité était louche : c’était sûr, il avait un secret, le secret : celui de l’immortalité !

C’est animé par ce dada insensé, tout environné par une étrange nuée de mouches et de corneilles, que René s’est dirigé vers la maison de retraite d’Aurélien : il allait lui extorquer la vérité. Et rien ne pourrait l’arrêter ! Ni sa propre mort, ni celle de son frère, encore moins le meurtre de son neveu stupide, de son ancienne amante, ou d’un banquier anglais ruiné par une secte de barbouzards.

Destins chamboulés

Prenez un sujet grave : la mort. Traitez-le avec humour – mais noir, l’humour, très noir. Ajoutez des personnages loufoques, quelques situations burlesques, une dose d’Apocalypse selon saint Jean, et vous obtiendrez cet ovni littéraire : une oeuvre à classer quelque part entre les films de Burton et les gravures les plus bizarres de Goya.

Biographie de l’auteur

Né en 1955, Bernard Florentz vit et écrit à Marseille. Après avoir commis quatre romans – les trois premiers parus chez Fleuve noir, le quatrième chez Pocket –, il s’est attelé à ce cinquième méfait : N’aie plus peur, un livre mêlant comique et fantastique.

3,49€ - Disponible en version numérique.

Extrait :

 

« “Je suis venu te voir”, avait murmuré l’éditeur tout en évitant le regard de son frère aîné et en fixant d’un oeil hagard l’amoncellement de livres et de papiers qui recouvrait la table […]. « “Pour la dernière foi”, avait-il encore ajouté d’un ton qui était monté subitement dans un registre presque suraigu […]. « “Car je vais bientôt mourir”, avait fini par articuler René Lallemend, tandis qu’une série de claquements sinistres avait attiré l’attention des deux frères, les obligeant à tourner la tête en direction des deux fenêtres dont les rebords grouillaient de dizaines de corneilles qui se chevauchaient sauvagement […]. »

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Nouveauté : L’Arche de Fabrice Doléac

Extrait : « Quelle était cette réalité essentielle à côté de laquelle tous les scientifiques étaient passés depuis des siècles, cette vérité cachée qui seule pouvait expliquer l’existence d’un tel organisme ? « Aujourd’hui encore, je ne sais si Kristel avait une explication en tête à ce moment-là. Mais si c’est le cas, je suis sûr qu’elle était bien en dessous de la réalité. Car cette vérité était si incroyable, si terrible, qu’aucun être humain – même Kristel ! – n’aurait jamais osé l’imaginer. »

Nouveauté : L’Arche de Fabrice Doléac

Résumé

À quelques mètres au large d’une plage de Madagascar, deux plongeurs découvrent un gigantesque dôme sous-marin. Sous l’étrange membrane de cette « serre », une canopée préhistorique semble prospérer depuis six millions d’années !

L’armée américaine dépêche un navire sur place et contacte aussitôt Alex Braneau, spécialiste des écosystèmes disparus. Avec l’aide de deux amies scientifiques et d’un brillant ingénieur, le Français devra percer le mystère de cette « arche » préservée du temps : Depuis quand est-elle là ? Comment a-t-elle survécu jusqu’ici ? Peut-être même renferme-t-elle le secret de la vie éternelle ? Pour répondre à ces questions, Braneau et son équipe échafauderont les hypothèses les plus folles. Mais rien n’aurait pu les préparer à la vérité.

Un voyage à travers le temps et… la réalité

Plus qu’une simple remontée dans le temps, ce roman est une véritable aventure métaphysique. Car bien vite, nos connaissances les plus élémentaires, nos certitudes cartésiennes, notre histoire, tout va se trouver bouleversé par les surprises que nous réserve l’auteur.

Grand amateur de cinéma de science-fiction, Fabrice Doléac rend ici un bel hommage à quelques-uns des classiques du genre : Jurassic Park de Spielberg, Alien de Ridley Scott… mais surtout, L’Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick. Ces références donnent une oeuvre originale et déroutante, qui ne manquera pas de surprendre le lecteur.

 

Biographie de l’auteur

Né en 1968 à Paris, Fabrice Doléac est designer. Durant son temps libre, il se consacre à l’écriture d’oeuvres de science-fiction, scenarii ou romans.

3,49€ - Disponible en version numérique.

 

(Communiqué de presse)

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Frédéric Dorne entretient

Frédéric Dorne entretient.

 

Bonjour,

Frédéric Dorne, c’est sérieux a 28 ans de se passionner comme ça pour les jeux de rôles ?

Bonjour, C’est trop gentil de me donner 28 printemps, mais en fait, j’ai 28 ans de jeu de rôle ! Et pour répondre à ta question, non ce n’est pas sérieux de se passionner pour un jeu, mais je ne suis pas très sérieux moi-même alors j’en ai fait mon métier ! 

 

Stéphane Dubois,

Tu es tombé à quel âge et comment dans la marmite des jeux de rôles, serais-tu cousin avec Obélix ?

 

Frédéric Dorne,

 Je suis tombé dans pas mal de marmites quand j’étais petit (jdr, wargame, GN), mais jamais dans celle de la potion magique, dommage… Je suis tombé dans celle du jeu de rôle à 12 ans, au retour des vacances de Noël.

Un ami avait reçu un jeu de société génial, offert par sa grand-mère qui avait trouvé ça dans un super marché (véridique, à cette époque antédiluvienne, dans les années 80, les grand-mères achetaient des jdr en cadeau et les boîtes se trouvaient en supermarché !). Il s’agissait de l’œil Noir et la première partie m’a rendu accro immédiatement, je n’ai jamais arrêté.

 

Stéphane Dubois,

Tu as l’air d’aimer dans tes créations les zombies, pourquoi ce choix, morts ils ne peuvent pas protester sur ce que tu leurs faits subir dans tes jeux ?

 

Frédéric Dorne,

Il y a beaucoup de ça ! Mais également, mon premier film vu au cinéma était un film de mort-vivant, on va donc dire que c’est une passion qui remonte assez loin, du coup ! J’aime beaucoup les histoires qui font frissonner et le jeu de rôle se prête à merveille à ça. Et comme je considère que les peurs les plus viscérales tournent autour de la crainte de se faire dévorer ou de voir un mort revenir à la vie, il était naturel que mes jeux regorgent de zombis et de monstres.

 

Stéphane Dubois,

Redevenons sérieux, tu quoi comme formations, quel est ton parcourt professionnel. En quoi cela a –il influencer tes créations de jeux de rôles.

 

Frédéric Dorne,

Après pas mal d’hésitation, j’ai finalement décroché un diplôme de monteur pour la TV et le cinéma et j’ai bossé dans le milieu près de dix ans. Ensuite, j’ai fait webmaster, graphiste, concepteur multimédia, PAO… J’ai gardé de mes années cinéma un goût immodéré pour le 7ème art et mes jeux s’en ressentent, ils sont souvent très visuels et chaque scénario de jdr a de fortes affinités avec un scénario de long métrage.

 

Stéphane Dubois,

Pourquoi avoir créé ce Web Tv dédiée uniquement aux jeux de rôles, peux-tu nous en parler. Un beau jour, un ami rôliste m’a dit qu’il ne parvenait pas à expliquer à ses proches ce qu’était le jdr. A cette époque (2006), il n’y avait encore aucune définition satisfaisante du jdr et la vidéo devenait enfin possible sur le web… J’ai donc allumé ma caméra et j’ai mis en image la première vidéo : qu’est-ce que le jdr ? Elle a été tout de suite bien accueillie, j’ai donc enchaîné sur une deuxième, puis une troisième… C’est pour cela que JdR TV est orientée exclusivement sur le conseil et la découverte du milieu du jdr, car elle n’a été conçue au début que pour répondre au besoin de présenter le jdr aux néophytes 

 

Stéphane Dubois,

Tu la fais seul ? Quels sont les développements prévisibles de ce Web TV ?

 

Frédéric Dorne,

A part un peu de relecture de mon épouse bien aimée, toutes les vidéos en ligne sont réalisées sans aide extérieur. J’ai essayé de faire évoluer la webtv l’année dernière avec une émission type plateau TV de presque une heure, sur un thème. J’y avais invité le rédac chef des Chroniques d’Altaride, un auteur de jeu et un blogger, mais l’alchimie ne s’est pas faite et l’émission ne marchait pas.

 

Un jour je la remanierais pour la rendre plus sympa, mais, pour l’instant, seules les prises ratées et les fous rire sont en ligne. La plus probable évolution sera de passer d’un hébergement privé à Youtube, dès que j’aurais un peu le temps de me pencher dessus.

 

Stéphane Dubois,

D’où t’es venu l’idée de créer « Friday Night’s Zombi » quels y sont les influences, y compris le moins décelable aux départs.

Frédéric Dorne,

J’ai toujours aimé les films de zombis marrants et j’avais totalement accroché sur Le retour des mort-vivants (sorti en 1987 je crois). J’ai écrit un jdr pour rendre cette ambiance dans la foulé et j’y ai joué à plusieurs reprises. Mais revivre le jour où les morts se relèvent (le moment le plus critique avec nos amis zombis), demandait de repartir de zéro avec des nouveaux personnages et un nouveau décor à chaque fois, c’était lassant et plus proche du jeu de société. C’est là que l’étincelle a jailli : et si les morts se relevaient tous les vendredis soirs, à heure fixe ? C’est delà qu’est venu le concept du jeu, il m’a suffit d’y glisser une cause originale et pas mal de guerre froide. Lorsque j’ai commencé à rédiger le jeu pour l’édition, en 2012, j’ai largement replongé dans les livres et films qui sont à l’origine du jeu (World War Z, le livre de Max Brooks, les films Le jour des mort-vivants, La nuit des mort-vivants, Le retour des mort-vivants donc, Shaun of the dead, Zombi…).

 

Stéphane Dubois,

Tu peux nous parler également de « Scenari » et de son concept. 

 

Frédéric Dorne,

En 2011, je me suis retrouvé embarqué dans l’aventure JdR Editions : une société d’édition de jeu de rôle français (pas de traduction ou d’import) et il nous fallait un premier produit. Après des années d’écriture de scénarios et de campagnes, j’avais des centaines de parties prêtes à jouer. J’ai trié les meilleures et l’idée de proposer un recueil de 52 scénarios pour tous les jeux medfan est venue naturellement. Le travail de réécriture et de coordination de mes aventures et de celles des autres auteurs a été énorme. Chaque scénario a été présenté de la même façon, avec ses plans pour le MJ et ceux pour les joueurs, des illustrations couleurs, une idée pour développer une suite (oui, au total, il y a 104 idées dans ce bouquin !) et une progression naturelle mais pas du tout imposée entre chaque aventure. Le livre contient du coup pour tous les goûts : des dizaines de one-shot, plusieurs campagnes et une quête musclée. Un monde simple, proposé pour les jeux sans univers, a même été intégré au livre ! Au bout de 6 mois de travail acharné, le gros bouquin de 400 pages était né et a tout de suite plu : il est en rupture de stock pour l’instant (disponible aussi en PDF) ! Le concept est simple : un MJ peut proposer une partie pour son jeu à lui sans aucune préparation ou modification ou presque (un système interne avec toutes les tables de conversion est prévu et des conseils guident les débutants et vétérans). En moins d’une heure de lecture d’un scénario pris totalement au hasard parmi les 52 proposés, le MJ peut embarquer ses joueurs à l’assaut du château décapité ou dans la chasse au démon Nalul.

 

Stéphane Dubois,

Tu viens de voir un jeu de rôle steampunk être édité, peux-tu nous en parler ?

 

Frédéric Dorne,

 SteamShadows, le rêve de Sir Stockwell est un jeu que je voulais voir édité depuis longtemps ! C’est un univers sombre où les fantômes sont légions et trompent la population pour se repaître de l’énergie des vivants en deuil. En plus des revenants, des monstres sanguinaires et des créatures vouées à la destruction de l’humanité sont manifestement liés aux machines à vapeur inventées par le génial Stockwell. Pour se débarrasser des créatures, le savant a formé des tueurs de monstres discrets qui utilisent la plus étrange vapotechnologie partout dans le monde : dans les rues de Londres, les jungles perdues ou sur des dirigeables de guerre. Epouvante, pulp et action se combinent dans un monde victorien transformé par la vapeur, la cupidité des nations et l’influence insidieuse des monstres. Après un gros succès en souscription, le très joli livre (et très épais : 480 pages) est enfin en boutique. J’adore cet univers uchronique à la fois léger et noir et j’ai pris un réel plaisir à concevoir des règles qui permettent de créer n’importe quelle machine, de l’ombrelle volante à l’armure intégrale de vigilant (les super-héros de SteamShadows).

 

Stéphane Dubois,

Tu peux nous dire ce que tu penses d’autres formes de jeux proche des jeux de rôles par exemple le GN.

 

Frédéric Dorne,

J’ai tout essayé, par curiosité et j’ai écris quelques murder, un killer et même un GN. Il s’agit d’autres jeux, qui chacun apportent un plaisir de jeu différent et étrangement complémentaire et tous m’ont emballé. Je conseille donc à tout rôliste de s’essayer à une soirée enquête ou de prendre une arme en mousse et d’aller courir en forêt !

 

Stéphane Dubois,

D’autres projets dans ton escarcelle ? J’ai écris de nombreux jeux de rôles qui sont en attente d’édition, le prochain est HOMEKA, où les joueurs tentent de survivre sur une planète dévastée par une exploitation intensive, à bord de vieux mékas militaires réparés depuis des années, parfois avec de la bande adhésive ! Un mélange de Mad Max et de Serenity, mais avec des robots de 15 mètres de haut  Il devrait sortir en début d’année, mon prochain projet est donc déjà sur les rails...

Biographie et Bibliogaphie

JdR Editions

Chargé de communication multimédia chez FFKaraté

Mairie d'Eaubonne

CTM – Debrie

Digital Group

Études et formations BTS Audiovisuel

Auteur de :

SteamShadows,

Friday Night's Zombi et co-auteur de Scenarii (recueil de 52 scénarios complets de jeu de rôle médiéval fantastique prêt à jouer, JdR Editions).

Frédéric Dorne entretient
Frédéric Dorne entretient
Frédéric Dorne entretient

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Exposition EDGAR P. JACOBS & L’ESPADON

Exposition

EDGAR P. JACOBS & L’ESPADON

ZILLER – JUILLARD

 

Cette exposition est une évocation spectaculaire d’Edgar P. Jacobs et de l’ambiance qu’il a su créer au sein de sa série de BD d’aventures Blake et Mortimer.

 

Gilles Ziller et André Juillard exposent leurs créations nées des images inoubliables de Blake et Mortimer. Des sérigraphies inédites inspirées d’illustrations récentes de François Schuiten ornent également les cimaises.

 

Il s’agit de variations autour du Palais de Justice de Bruxelles.

 

E.P. JACOBS ET L’ESPADON

Edgar Pierre Jacobs, né en mars 1904 à Bruxelles, est devenu auteur de bandes dessinées à 40 ans. Tout au long de sa carrière, il n’a cessé d'expérimenter différentes techniques et divers styles.

 

En 1946, le Journal Tintin fait appel à son talent de dessinateur et scénariste pour la réalisation d’une série. Les autres auteurs ayant tous imaginé des aventures tournées vers le passé, Jacobs est chargé de concevoir une bande dessinée réaliste et contemporaine.

Le Secret de l’Espadon est né. Il paraît en épisodes hebdomadaires, en dernière page du journal.

 

L’Espadon est un avion sous-marin, un appareil capable de se soustraire à la surveillance de l’ennemi. De manière surprenante pour une histoire destinée aux enfants, Le Secret de l’Espadon offre aux lecteurs une aventure mettant en scène des quadragénaires et privilégie le point de vue des « méchants ». Cette Troisième Guerre Mondiale uchronique s’inspire des récits de Conan Doyle, H.G. Wells et Jules Verne.

 

Chez Jacobs, les cases fourmillent de détails, de décors et de couleurs remarquables, pour parfois constituer de petits tableaux en elles-mêmes. De la même manière, ses planches symétriques, même isolées, conservent leur harmonie et une valeur décorative certaine.

 

Le Secret de l’Espadon inaugure les aventures de Blake et Mortimer et remporte un succès immédiat qui ne s’est pas démenti depuis.

Exposition EDGAR P. JACOBS & L’ESPADON

ANDRÉ JUILLARD & YVES SENTE LE BÂTON DE PLUTARQUE

En 2000, André Juillard et Yves Sente se projettent dans l’univers de Blake et Mortimer avec une première collaboration : La Machination Voronov.

 

Depuis qu’ils collaborent aux aventures de Blake et Mortimer, Juillard et Sente font référence à la série originelle. Tout autant, ils incorporent à la fiction des événements et des personnages ayant existé ou des allusions à des oeuvres connues. Ils respectent le monde de Blake et Mortimer, mais ancrent le récit dans la réalité contemporaine ou historiquement proche.

 

Tout comme le faisait Jacobs à l’époque où il concevait ses histoires.

Que s’est-il passé avant Le Secret de l’Espadon ? Blake et Mortimer se connaissaient ils durant la Deuxième Guerre mondiale ? Avaient-ils déjà rencontré Olrik ? La lecture attentive du Secret de l’Espadon indique que oui. L’action du Bâton de Plutarque s’achève donc en 1944, 90 minutes avant le début du légendaire Secret de l’Espadon.

 

GILLES ZILLER & ARCHIVES INTERNATIONALES

Savoir - faire et qualité d’une technique manuelle au service de l ’ image et de la couleur. Après des études de graphiste plasticien, Gilles Ziller enseigne le graphisme aux Beaux-Arts de Nancy et la sérigraphie aux Art Décoratifs de Paris.

Parallèlement, il édite des estampes en grand format extraites de planches de bande dessinée. Cette activité qui se développe en marge du marché de la BD est relativement nouvelle. Gilles Ziller crée les Archives Internationales en 1985 et se spécialise dans l’édition de sérigraphies.

Autour s’articule toute une série de ramifications aux formes diverses mais qui sont toutes conçues dans le souci d’une ligne graphique bien définie : logo, tampon, papier à lettre, cartes de voeux, catalogues. Ziller était le premier à éditer E. P. Jacobs en sérigraphie.

C’est par une nuit d’hiver, sur le parking d’une grande surface, après quelques appels de phares codés, que les deux hommes se rencontrent pour la première fois. Jacobsien féru, Ziller avoue que le personnage ne l’a pas déçu et qu’il reste pour lui le « Grand dessinateur ».

 

LES AUTEURS PARLENT DE JACOBS…

André Franquin « Edgar P. Jacobs restera pour moi l’auteur de bandes dessinées ‘réalistes’ le plus important que la Belgique ait jusqu’ici connu. Son ‘réalisme’ fut une transposition du réel extrêmement originale. Il est peut-être le seul à avoir réussi à créer des images inoubliables. Et créer des images inoubliables, c’est pour tous les dessinateurs l’aboutissement suprême. Celui dont, tous, nous rêvons et que nous essayons d’atteindre. Jacobs, lui, y est magistralement parvenu. » (Tintin n°13, 42e année, mars 1987).

 

François Rivière « Jacobs est un étonnant démiurge. Un créateur magique. Plus encore, peut-être, un initiateur hors-pair. Il a fait naître c’est sûr, de nombreuses vocations d’amateurs de mystères, de fantastique et d’anticipation scientifique, de même que, de façon plus restreinte, peut-être, des passions pour l’archéologie, l’anglophilie, la cybernétique – et nous savons bien que nous n’exagérons pas ! Les œuvres de Jacobs sont en effet plus que de simples romans d’aventures, encore qu’il convienne d’admettre que c’est en fonction de critères réservés à la littérature (et jamais appliqués aux bandes dessinées) qu’il faut les juger et les analyser. » (À l'ombre de la ligne claire. Jacques Van Melkebeke le clandestin de la BD, Vertige Graphic, 2002).

 

Jean Van Hamme « Parmi les histoires que publiait alors Tintin, on s’intéressait un peu à Corentin et pas du tout au Temple du soleil. Non, à l’école, nous ne parlions que de cet Espadon en avance sur son temps. On se demandait ce qui allait se passer la semaine suivante. On imaginait des rebondissements dont on débattait ensuite mais surtout, on poursuivait notre professeur de modelage qui était maquettiste aux Éditions du Lombard. Il avait donc plusieurs semaines d’avance sur nous. On l’assaillait, on le suppliait de nous raconter la suite. Il n’a jamais cédé. » (Jean-Luc Cambier, Eric Verhoest, Blake et Mortimer. Histoire d’un retour, éd Blake et Mortimer,Dargaud, Paris, 1996).

 

INFORMATIONS PRATIQUES

ORGANISATION ET SCÉNOGRAPHIE

Maison Autrique asbl

LIEU Maison Autrique

Chaussée de Haecht 266

B-1030 Schaerbeek (Bruxelles)

« EDGAR P. JACOBS ET L’ESPADON. ZILLER – JUILLARD. »

Du 05 décembre 2014 au 15 février 2015

Horaires d’ouverture :

du mercredi au dimanche (fermé les jours fériés) de 12h à 18h (dernière entrée 17h30). Groupes admis (maximum 15 personnes).

Réservation obligatoire pour les visites guidées.

Prix d’entrée : €3,00 – €5,00 – €7,00.

(communiqué de presse)

Exposition EDGAR P. JACOBS & L’ESPADON

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LA SUISSE INTERDITE, réalisation Ramon et Pedro

LA SUISSE INTERDITE, réalisation Ramon et Pedro

Fantastic web contest :

le nom du vainqueur dévoilé

 

 

En juillet dernier, la RTS et le NIFFF lançaient le premier concours de web-série fantastique.

 

Le nom du projet lauréat est désormais connu :

LA SUISSE INTERDITE (titre provisoire)

proposé par Triboules et Caravel Production.

 

Sous forme de magazine d’investigation, cette série au ton décalé enquêtera sur d’étranges phénomènes survenus aux quatre coins du pays. Tournée au printemps 2015, elle sera projetée en avant-première pour l’édition anniversaire du NIFFF et diffusée sur rts.ch.

 

Le blogueur Frank Michel et son preneur de son, Jason, traquent sans peur les phénomènes inexpliqués en Suisse. Ils révèlent la face cachée de notre pays : la Suisse du paranormal, de l’horreur et parfois du gore. Welcome to HELLvetia ! Quand la science est dépassée, quand le gouvernement nie, quand les voisins détournent le regard, ils mènent l’enquête sur une réalité que certains préfèrent ignorer. Aurez-vous le courage d’affronter la vérité ?

 

 Faux documentaire humoristique, cette série fantastique conçue pour le web sera tournée en avril prochain. Entre tension et humour, les six épisodes joueront avec les codes, les références et le mélange des genres. Le NIFFF mettra à disposition ses compétences et son réseau de professionnels en offrant un coaching sur mesure à ces jeunes créateurs.

 

 A découvrir en avant-première à l’occasion de la 15e édition du NIFFF.

 

(Communiqué de presse)

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Des Illustrateurs

à l'Hôpital Necker

– enfants malades

 

  

Les illustrateurs de l'école des loisirs inaugurent le service de pédiatrie générale de l'Hôpital Necker – enfants malades, AP-HP, à Paris Depuis le mois d'avril 2014, et jusqu'à Noël, treize illustrateurs* se succèdent bénévolement pour égayer les murs du service de pédiatrie générale de l’Hôpital Necker-Enfants malades, AP-HP.

 

Un pari réussi pour le plus grand plaisir des enfants hospitalisés et du personnel soignant !

 

Lorsque les artistes ont découvert les lieux, ils ont été impressionnés par le labyrinthe de couloirs. Ils ont souhaité aider les patients et leurs parents à mieux s’orienter. Nathalie Brisac, responsable de la communication de la maison, transmet ce souhait d’embellir les couloirs du service de pédiatrie aux Illustrateurs, qui se portent immédiatement volontaires.

 

Pour assurer une continuité et une cohérence dans l'espace, les illustrateurs, en étroite collaboration avec une décoratrice d'intérieur, ont ainsi imaginé un épais ruban bleu, courant sur les murs et reliant les dessins les uns aux autres.

 

Tel le fil d'Ariane, ce chemin guide les enfants dans ce dédale, laissant apparaître ici ou là un poussin farceur, un éléphant sous la douche ou encore un lapin amoureux.

 

Une réalisation qui a fédéré une équipe d’illustrateurs pour égayer le séjour des enfants et permettre aux équipes.

 

Liste des illustrateurs : Stephanie Blake, Isabelle Bonameau, Pascale Bougeault, Dorothée de Monfreid, Malika Doray, Bénédicte Guettier, Kimiko, Alan Mets, Lucie Phan, Claude Ponti, Audrey Poussier, Anaïs Vaugelade et Myrha Verbizh.

 

 

(Communiqué de presse)

 

 

Bien que n’étant pas tout à fait dans le thème du site, je pense que en cette période de fêtes, utile de la relié.

Dorothée de Monfreid

Dorothée de Monfreid

Anaïs Vaugelade

Anaïs Vaugelade

Myrha Verbizh

Myrha Verbizh

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Camille Tilmont

Camille Tilmont

Entretien Camille Tilmont

« Le Tueur d’Argent »

 

Bonjour Camille,

Tu viens de publier un e-book de SF policier intitulé « Le Tueur d’Argent ».

 

Avant de nous parler de cet ouvrage, peux-tu nous dire comment t’es venu le gout de la Science-fiction et des romans policier ?

 

Camille,

J’ai été éduqué par une mère fan des Agatha Christie et de toutes les séries policières anglaises et américaines qui passent à la télé depuis 20 ans. Aussi je baigne dedans depuis très jeune.

 

Quant à la science-fiction, disons que c’est une découverte plus personnelle.

 

 J’ai toujours été attiré par la littérature qui nous envoie dans un autre monde ; L’héroïque fantaisie, la science-fiction, le fantastique. Mon adolescence a été consacrée à l’héroïque fantaisie avec principalement Gemmell et le fantastique avec Harry Potter.

 

Puis j’ai plongé dans la science-fiction à 20 ans, assez tard en fait, mais je me suis rattrapé depuis.

 

Stéphane,

Quels sont les auteurs dans les deux genres qui t’ont le plus marqué ?

 

Camille,

Je dois avouer, et j’assume, n’avoir jamais lu beaucoup de policier, je les ai plus vus en fait. Du coup, je n’ai pas vraiment d’auteur à citer. Ce sont les séries comme New York Police Judiciaire, ou N.C.I.S, Castle, l’inspecteur Barnaby et surtout les adaptations des romans policiers d’Agatha Christie qui m’ont marqué.

 

Pour la science-fiction, il y a un auteur que j’admire et dont j’ai découvert l’existence tard, c’est Isaac Asimov. Il m’a fait découvrir la science-fiction, il m’a fait voyager et j’ai dévoré tout ce que je trouvais de lui. Ses romans policiers de science-fiction m’ont énormément marqué.

 

Stéphane,

Quand as-tu ressenti le besoin d’écrire, tu avais quel âge à l’époque?

 

Camille,

J’ai commencé à écrire vers l’âge de 15 ans, je crois. À cette époque j’enchainais les différents sports et loisirs et je n’arrivais pas à trouver le bon. Tous me lassaient. Puis j’ai accroché à l’écriture, j’ai commencé par beaucoup d’écriture automatique et j’ai trouvé un site d’héroïque fantaisie sur lequel j’ai développé un personnage pendant 7 ans. C’était parti. Au bout de toutes ces années, j’ai réalisé que j’avais énormément évolué et jamais décroché. Alors j’ai continué.

 

Stéphane,

Revenons au « Tueur d’Argent »,  tu peux nous en dire la genèse ?

 

Camille,

Wouaw, c’est compliqué de répondre à ça. Il s’est passé trois ans entre la première idée et le premier mot écrit. J’ai été beaucoup inspiré par les policiers d’Isaac Asimov et je voulais écrire mon propre policier SF. J’ai pensé mon livre à l’envers. C’est-à-dire que je l’ai développé dans ma tête dans le sens inverse du déroulement de l’histoire.

 

Stéphane,

Dans quel type d’univers se déroule l’action de ce roman ?

 

Camille,

Tout se passe dans notre galaxie. Sur une Terre dirigeait par un groupe nommé les 10 et où une nouvelle loi, appelée la loi des partenaires de vie, oblige les humains à être toujours accompagné. Donc ça se passe principalement sur la planète Terre et un peu dans l’espace. À une époque où les humains ont réussi à créer les ascenseurs spatiaux; technologie qui ouvre énormément de possibilités.

 

Stéphane,

C’est ton premier texte ?

 

Camille,

Mon premier projet de roman aboutit oui. J’ai toujours écrit des nouvelles et c’est compliqué de passer de textes de quelques pages à un roman de plus de 100 pages. Ce n'est pas du tout le même travail.

 

Stéphane,

Le héros que tu as créé, va-t-il devenir le héros récurent d’une série a la  « Perry Rhodan » ou tu penses que tu en as fini avec lui?

 

Camille,

Il y a deux héros dans ce roman. Celui que l’on accroche directement et celui que l’on découvre petit à petit. C’est le héros auquel on ne s’attend pas du tout qui va sans doute devenir un perso récurent oui.

 

Mais d’une façon particulière, un peu comme le robot Daneel Olivaw dans les deux cycles de Asimov.

 

Stéphane,

En dehors de Anton Rafenty, et d’une suite éventuelle, as-tu d’autres projets littéraires ?

 

Camille,

Je suis actuellement sur une sorte de préquel de mon second héros, oui. J’écris toujours un peu pour mon site d’héroïque fantaisie et je participe à des concours de nouvelles que je publie parfois en ebook. Vous pouvez en trouver une d’ailleurs qui s’intitule « La 13ème Initiative ».

 

Merci

Entretien Camille Tilmont « Le Tueur d’Argent »

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Rencontre avec John Howe

 

Invitation : Rencontre avec John Howe !

DÉDICACES POUR LE PUBLIC

 

Samedi 13 décembre 2014

| 16H - 18H |

Maison d'Ailleurs

 

De retour en Suisse depuis quelques jours seulement après avoir bouclé le dernier volet du film Le Hobbit (la sortie en salle est prévue pour le mercredi 10 décembre 2014), John Howe sera présent à la Maison pour présenter son travail dans l'exposition "Alphabrick.

 Artiste d'origine canadienne vivant à Neuchâtel, John Howe a travaillé comme directeur artistique sur les trilogies cultes Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit, de Peter Jackson.

 Le samedi 13 décembre 2014, de 16h à 18h, le public est invité à rencontrer l'artiste John Howe dans la salle de la Maison d'Ailleurs qui lui est consacrée, à l'occasion de sa toute première séance de dédicaces en Suisse depuis de nombreuses années. Le système de bon rend les choses simples : les premiers arrivés pourront obtenir un dessin, les derniers une signature.

Coupons pour les dédicaces à aller chercher à la réception du musée dès 15h30 (gratuit).

 

 

Entrée libre

(Communiqué de presse)

Dessins : © John Howe

Dessins : © John Howe

Maison d’Ailleurs, Yverdon .Lieu de l’exposition.

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       Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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