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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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JAPAN TOUCH HARU / GEEK TOUCH
JAPAN TOUCH HARU / GEEK TOUCH

 

JAPAN TOUCH HARU /

GEEK TOUCH

DE LYON

 

GAMERS :

 

CE WEEK-END, À LYON,

 

C’EST VOTRE WEEK-END !

 

AUX URNES ET ENSUITE, AUX MANETTES : CE WEEK-END, LA JAPAN TOUCH HARU / GEEK TOUCH DE LYON EST LE RENDEZ-VOUS DES GAMERS DE FRANCE ! DU RÉTROGAMING À L’INDIE GAME, EN PASSANT PAR LE E-SPORT, LYONEUREXPO SE TRANSFORME EN UN IMMENSE TERRAIN DE JEUX VIDÉO, À TRAVERS UN ESPACE DONT LA SURFACE A ÉTÉ DOUBLÉE PAR L’ORGANISATEUR (3 500 M2 EN 2017) ET À L’OCCASION DE LAN PARFAITEMENT DEMESURÉES ! TOUR D’HORIZON DERRIÈRE LES ÉCRANS.

 

LAN PARTIES : KESAKO ?

 

Merci Wikipedia : une LAN party est un « rassemblement éphémère au cours duquel un groupe de participants, ayant chacun un ordinateur attribué (ou une console), joue en réseau local à des jeux vidéo multijoueurs ». Et de LAN, il va être question lors de la Japan Touch Haru / Geek Touch, avec notamment une grosse battle de League of Legends, organisée en partenariat avec Arcaneum Gaming. Quelque seize équipes de cinq joueurs s’affronteront pour tenter de remporter les 3 000 euros de prix en cash ! Autres LAN du week-end : Street Fighter (en individuel, 1 000 euros à se disputer) et Overwatch (par équipes de six, 500 euros).

 

RÉTROGAMING : LA PART DU LYON

 

La Japan Touch Haru / Geek Touch de Lyon a toujours accordé une place de choix aux vieilles consoles et bornes d’arcades. En 2017, le rétro occupe plus de 1 000 m2 du Game Center et outre les jeux vintage, propose aux gamers de délaisser quelques minutes les manettes pour eux-mêmes incarner leurs pixels préférés, dans un labyrinthe où ils seront tour à tour fantôme ou boule jaune.

 

Ça vous parle ? En partenariat avec les associations G2L2, Replay et Ota Sekai.

 

PITCH YOUR GAME : LE RETOUR SUR L’INDIE GAME LAB

Aux génies de la carte graphique, développeurs amateurs, game designers et programmeurs en herbe, Pitch Your Game propose de présenter leur projet de création de jeu vidéo, quel qu’en soit le degré d’avancement, face au public du Game Center, et à un jury de professionnels. Le lauréat de ce concours, désigné par les visiteurs eux-mêmes, remportera une entrevue personnalisée avec Frédérick Raynal, le père, entre autres, d’Alone in the dark et de Little big adventure.

 

L’Indie Game Lab, c’est aussi le lieu, au sein du Game Center, où découvrir de tous nouveaux jeux développés par une vingtaine de jeunes indépendants. En partenariat avec les écoles Epitech, Bellecour, E-Artsup et Gamagora.

 

 

INFORMATIONS PRATIQUES

 

HORAIRES

Samedi 22 avril 2017

10h : Préventes

11h : Ouverture du salon

19h : Fermeture du salon

 

Dimanche 23 avril 2017

10h : Ouverture du salon

18h : Fermeture du salon

 

TARIFS

Un seul billet pour les deux salons.

Samedi 22 avril : 11 euros

Dimanche 23 avril : 9 euros

Pass Week-End : 15 euros

Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans

 

Communiqué de presse

Lyon, le 19 avril 2017

 

 

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Perséphone LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

Perséphone

LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

Editions Delcourt

 

L’auteur nous offre un nouvel univers dans lequel deux mondes cohabitent, le monde du Haut appeler Eleudis et le Monde des Enfers. Perséphone vit dans le premier, fille de celle qui sauva son monde des armées de l’Enfer, elle va se retrouver dans le second monde.

 

Avec un scénario très riche, un découpage agréable, et des dessins déjà assez maitrisés, ce jeune auteur qui en est à 22 ans à ses 5 albums, tous des one-shot à ce jour, devrait s’affirmer de plus en plus dans le milieu de la bande dessinée dans les années à venir.

 

À avoir dans sa bibliothèque

 

À partir de 12 ans.

 

 

Cet album est un récit complet, mais il est fort probable d’autres suivront, surement toujours sous forme de récit complet.

 

C’est l’avantage d’album en 144 et dans un format de 198x263, il permet une plus grande expression de l’auteur. Auteur qui non seulement écrit, dessiné, mais colorie aussi cette histoire.

 

On appréciera le carnet de dessins a la fin de l’ouvrage.

 

 

 ISBN : 978-2-7560-9551-6

Scénariste : LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

Coloriste : LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

Illustrateur : LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

Série : PERSEPHONE

Collection : HORS COLLECTION

 

Biographie et bibliographie de l’auteur :

 

Sa biographie

Loïc Locatelli, alias Renart, est un jeune auteur Lyonnais de 22 ans. Après des études d’Art Appliqué et d’Illustration à Lyon, il signe sa première bande dessinée en 2008 avec Casterman (Seconde chance, avec Antoine Ozanam, sortie en mai 2010) puis enchaîne avec un huis-clos bichromique et claustrophobe, Base Neptune, sorti chez Manolosanctis en octobre 2009. Actuellement en résidence au Japon.

 

Sa Bibliographie

Canis Majoris One shot en 2013 (Vide cocagne)

Ni dieu ni maître One shot en 2014 ( Casterman)

Pocahontas One shot en 2015 (Sarbacane)

Vaincus mais vivants One shot en 2015 (Le Lombard)

Perséphone One shot en 2017 (Delcourt)

 

Perséphone LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc
Perséphone LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc
Perséphone LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc
Perséphone LOCATELLI-KOURNWSKY Loïc

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BIFFF 2017 PALMARES

BIFFF 2017 PALMARES

 

 

PALMARES LONGS METRAGES

Le Prix de la Critique, composé de David Hainaut, Marc Bussens et Olivier Clinckart a décerné le prix suivant Prix de la Critique : The Tunnel (Seong-hun Kim)

 

Le Jury 7e Parallèle, composé de Lucile Poulain, Bénédicte Philippon, Xavier Seron et présidé par Aaron Christensen a décerné le prix suivant :

 

Mention Spéciale : Saving Sally (Avid Liongoren)

 

Prix du 7e Parallèle :

Swiss Army Man (Dan Kwan & Daniel Scheinert)

 

Le Jury Thriller, composé de Kody Kim, Jacques De Pierpont et présidé par Patrick Raynal a décerné le prix suivant :

 

Prix du Meilleur Thriller : At The End of the Tunnel (Rodrigo Grande)

 

Mention Spéciale : Free Fire (Ben Wheatley) pour l'absence totale de temps morts et les 12.622 douilles répandues.

 

Le Jury Européen, composé de Khadija Leclère, Anne-Laure Guégan, Martin Vachiéry, Riton Liebman, Jean-Jacques Rausin et présidé par Sylvain Goldberg a décerné les prix suivants :

 

Méliès d'Argent : Small Town Killers (Ole Bornedal)

 

Mention Spéciale : Orbiter 9 (Hatem Khraiche)

 

 

Le Jury International, composé de Christina Lindberg, Mar Targarona, Macarena Gomez, Axelle Carolyn et présidé par Euzhan Palcy a décerné les prix suivants :

 

Mention Spéciale : Vanishing Time : A Boy who returned (Tae-hwa Um)

Corbeau d'Argent : We Go On (Jesse Holland & Andy Mitton)

Corbeau d'Argent :The Mermaid (Stephen Chow)

Corbeau d'Or : Safe Neighborhood (Chris Peckover)

 

Et le Pégase 2017, Prix du Public, a été décerné à :

The Autopsy of Jane Doe (Andre Ovredal)

 

PALMARES COURTS

Prix Jeunesse : Downside Up (Peter Ghesquière)

Prix BeTv : Spooked (Emma Spook & Gil Gloom)

Prix La Trois : Nimmer (Lieven Vanhove)

Prix Sabam : Downside Up (Peter Ghesquière)

Prix Fedex : Spooked (Emma Spook & Gil Gloom)

Grand Prix : Spooked (Emma Spook & Gil Gloom)

Méliès d'Argent : Siyah Cember (Hasan Can Dagli)

 

Pour le Body Painting:

En 3e place, nous avons Jémymah Raty avec son Fantasmagorie.

En 2e place, applaudissons Amandine Fourny et son Biomechanical

En 1ère place, c'est Ratanak Tan et The Dragon Queen Universe qui remporte le double ticket d’AIR EUROPA, avec une mention spéciale pour la performance de son modèle, Maelleya Jessica, pour sa performance scénique.

 

pour le make up:

Catégorie Amateur :

en 2e place, Aveline STOQUART

A la 1ère place, Annamaria KOUALS

 

Catégorie semi-pro :

A la 3e place, nous avons Valeria ENEA

A la 2e place, Victoria DEPAUL

ET A la 1ère place, Lou EMMANUELLI

 

Catégorie FX,:

en 3e place, nous avons Laetitia MARIETTE

en 2e place, Sandrine LAHOU

et en 1ère place Laetitia DENEVE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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BIFFF 2007 Courts-métrages Science-fiction
BIFFF 2007 Courts-métrages Science-fiction
BIFFF 2007 Courts-métrages Science-fiction

BIFFF 2007

Courts-métrages

Science-fiction

HORS COMPETITIONS

 

Une nouvelle fois « hors compétition » ne veut pas dire, loin de là, qu’il ne s’agit pas d’une sélection de haut niveau.

 

Dans les courts-métrages de cette sélection, je parlerais plus particulièrement de deux films.

Le premier « Green Light » est un film d’animation sud-coréen post apocalyptique. Ou une jeune fille essaie de faire pousser des arbres dans un désert de sable et de pierre. La seule « foret» est celle d’éolienne sensée alimentée le lieu où elle vie en électricité, je dis bien sensé, car comme toute installation d’éolienne qui ce respecte, cela ne fournit quasi rien (« l’éolien, c’est du vent » disait à juste titre l’ancien PDG de TOTAL)

 

Elle rencontre un robot guerrier, bien mal en point, et Mari décident de s’en faire un ami.

Très bien animé, sans paroles, mais pas sans contenu, ce film peut convenir à tout public, particulièrement au plus jeune. Je vous le recommande vivement.

 

Green Light

 

a film by Kim Seong-min

Screenplay: Kim Seong-min

Music: Lim Jeong-up

Version: No dialogue

2016 / 15 min. 33 / South Korea

 

L’écosystème a été détruit suite à une guerre nucléaire. Mari, survivante qui va faire ce qu’elle peut, rencontre un robot-soldat…

BIFFF 2007 Courts-métrages Science-fiction

Orbital inn

 

Le second est sur le thème de la famille, il n’était pas le seul avec un autre film, «Icarus », de cette sélection également sur ce thème, mais ce dernier était un peu trop mélodramatique et pas mal pathos, trop en fait.

 

Ce qui n’est pas du tout le cas, de « Orbital INN », dans un monde ou désormais il est tout bonnement interdit d’avoir des enfants, l’on retrouve dans une station spatiale, une famille avec le papa, la maman et un superbe enfant, une famille bien sous tous rapport. Mais vous découvrirez que cette famille de l’espace est aussi une famille…spéciale.

 

Justement comment cette famille peu elle vu la loi sur Terre, seulement existé et y retournée ?

 

Bien sûr je ne vous le dirais pas, ce que je peux vous dire, sait que la fin, je l’espère vous surprendra.

Visible par toute la famille.

 

Orbital Inn

Réalisé par Pierre Alain M'BARGA

Casting : Pauline Lefèvre, Olivier Raynal, Aurore Erguy, Noah Labastie

Screenplay: Pierre-Alain M’Barga, Nirina Ralanto, Jérôme Armand & Benoît Taltasse

D.O.P.: Romuald Riffaud

Version: Eng. O.V., Fre. st

2016 / 15 min. / France

 

Durée 15 mn

Produit en août 2016

Pays france

Langue ANGLAIS (USA)

Catégorie Fiction

Genres :Science-fiction

Tourné en Numérique

 

Synopsis

L'an 2076. Population mondiale: 24 milliards. Afin d'éviter le chaos, les nations du monde ont mis en place des mesures radicales. Il est désormais interdit de concevoir ou d'élever un nouvel enfant. ORBITAL INN raconte l'histoire d'un homme, sa femme, et leur jeune fils qui ne devrait pas être là.

 

Autres films présentés :

 

Icarus

 

a film by Tom Teller

Cast: Jason Tobias, Julia Farino, Thurston Hill

Screenplay: Andrew Guastaferro

Music: Ryan Stratton

D.O.P.: Nico Aguilar

SFX: Tom Teller

Version: O.V.

 

 

Chris veut rejoindre sa maman – qui est partie en expédition vers Mars – avec laquelle il n’a plus de contact !

 

They will all die in Space

 

a film by Javier Chillon

Cast: Francesc Garrido, Julio Perillan, Ben Temple

Screenplay: Javier Chillon

Music: Cirilo Fernandez

D.O.P.: Luis Fuentes

SFX: User T38

Version: Eng. O.V., Fre. st

2015 / 14 min. 50 / Spain

 

 

Le vaisseau spatial Tantalus dérive à travers l’Espace…

 

The App

 

a film by Julian Merino

Cast: Carlos Areces, Hugo Silva, Luis Zahera, Aino Sirje

Screenplay: Julian Merino & Karin Wolf

Music: Luis Hernaiz

Version: O.V., Eng. st

2016 / 15 min. / Spain

 

Une application qui dicte la voie à suivre pour atteindre le Bonheur…

 

Man in the Moon

 

a film by Monique Mulcahy

Cast: Pauline Grace, JC Innamorati

Screenplay: Monique Mulcahy

Music: Stuart Cullen

D.O.P.: Eric Maddison

Version: O.V.

2016 / 13 min. 17 / Australia

 

Une maman sous-estimée reçoit un étrange message sur sa radio de poche…

 

TimeLapse

 

a film by Aleix Castro Marin

Cast: Julia Estarnell, Edgar Moreno

Screenplay: Aleix Castro Marin

Music: Daniel Poza & Pablo Suarez

Version: O.V., Eng. & Fre. st

2016 / 10 min. / Spain

 

 

Dans un futur proche, un implant a été développé afin d’automatiser le travail mécanique…

 

 

F Meat

 

a film by Sean Bell

Cast: Ivan Kants, Harry Pavlidis

Screenplay: Sean Bell & Jeremiah Galea

Music: Alison Cole

Version: O.V.

2016 / 18 min. / Australia

 

Quand il est établi que cette nouvelle nourriture est à base de chair humaine…

 

 

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Album Photos BIFFF Zombie WALK 2017
Album Photos BIFFF Zombie WALK 2017
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Album Photos BIFFF Zombie WALK 2017
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BIFFF 2017 Safe Neighborhood Compétition Internationale
BIFFF 2017 Safe Neighborhood Compétition Internationale
BIFFF 2017 Safe Neighborhood Compétition Internationale

BIFFF 2017

Safe Neighborhood

 Compétition Internationale

 

La neige immaculée, les chorales qui passe de maison en maison pour chanter des cantiques de noëls (ding ding dong), de beaux sapins bien décorés, une belle baby-sitter blonde comme les blés, quelle féérique nuit de noël.

 

Mais, nous sommes au…BIFFF, donc ça va tourner au vinaigre, et allez plus vers la lune de sang que celle qui doit éclairer ce bon vieux papa de Noël.

 

Troisième film de fiction si on compte un court métrage du réalisateur Chris Peckover, ce film est bien interprété pour les deux rôles principaux d’Ashley et Luke, je trouve un peu plus juste le second rôle. Une bonne mise en scène, mais un peu trop classique.

 

À la fois comédie noire et film d’horreur, on est surpris tout au long du film par de rebondissement, si certains sont peut-être cousus de fils blanc, l’on est souvent surpris et ce jusqu’à la fin du film.

 

Jusqu’au dernier moment, on est tenu en haleine par le scénario.

 

En résumé, un bon film que je vous conseille de voir en salle, mais il n’est pas pour moi un des favoris de cette compétition.

 

Résumé du film (texte du BIFFF)

Petit garnement chamboulé par sa libido récente, Luke est aux anges lorsqu’il apprend que ses parents prévoient de passer leur samedi soir chez des amis ! Car ça veut dire qu’ils vont faire appel à Ashley, sa baby-sitter de longue date qui a l’art de lui beurrer les cookies avec un doigté qui lui hisse depuis peu le piquet de tente. Mais Ashley va bientôt rentrer à la fac et Luke sait qu’il tient là sa dernière chance pour lui déclarer sa flamme et espérer être gratifié d’un baiser. Sur la bouche, carrément (avec la langue en option, soyons fous !). Mais sa sérénade improvisée va très vite tourner court. Et nous, on ne vous en dira pas plus…

 

Oui : nous resterons volontairement évasifs sur le scénario de Safe Neighborhood, car on veut vous laisser la surprise, mais sachez que vous nous remercierez par la suite ! Ce petit bijou de comédie horrifique réalisé par Chris Peckover sera d’ores et déjà le genre de film que vous rangerez entre Gremlins et Krampus, prêt à être dégusté au moins une fois par an. Violent mais jamais gratuit, et juste incroyable dans ses retournements de situation, ce petit concentré d’humour noir signe également les retrouvailles d’Olivia DeJonge et Ed Oxenbould, précédemment frère et sœur dans The Visit !

 

 

Genre black comedy, horreur

Compétition Internationale

Première Belge

Pays Australie, USA

Audience ENA

Audio Anglais

Sous-Titres Français, Néerlandais

Réalisateur Chris Peckover

 

Casting

Aleks Mikic, Dacre Montgomery, Ed Oxenbould, Levi Miller, Olivia DeJonge, Patrick Warburton, Tara Jade Borg, Tricia Mary Hennessy, Virginia Madsen

 

Distributeur Park Circus Group

Année 2016

Running time 85'

 

Filmographie de Chris Peckover

Réalisateur

2016 Safe Neighborhood

2010 Undocumented

2007 Alive and Well (Short)

 

Scénariste

2016 Safe Neighborhood

2010 Undocumented (written by)

2007 The Racewalker (Short) (screenplay)

 

Producteur

2007 The Racewalker (Short) (producer)

2007 Alive and Well (Short) (producer)

2006 I'm in the Band (Short) (associate producer)

2010 Breast Picture (production assistant)

 

Acteur

2010 Breast Picture Background Actor

2007 Alive and Well (Short) Crash Screamer

 

Hide Hide Show Miscellaneous Crew (1 credit)

 

Divers

Remerciements :

2015 The Worst Year of My Life (special thanks)

2014 Tentacle 8 (thanks)

 

Documentaire

2017 Red Christmas: Making Safe Neighborhood (Documentary) (completed)

Himself

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Affiche du film et photo du réalisateur
Affiche du film et photo du réalisateur

Affiche du film et photo du réalisateur

BIFFF 2017

Missing You

Compétition internationale

 

Ce thriller, sud-coréen, bénéficie d’une très bonne mise en scène, d’une excellente photographie et d’une bande-son ou j’ai apprécié surtout pour une scène l’usage des tambours géants d’Okinawa (Japon).

 

Coté jeux des acteurs, aussi bien celui de Hong-Jin Mo, qui as son habitude en plus de réalisé interprète le rôle masculin principal. Mais aussi celui de l’actrice principale, ainsi que la plupart des seconds rôles sont superbes.

 

L’histoire est celle d’une vengeance, comme souvent dans les thrillers, dans tout thriller qui ce respect on trouve soit un psychopathe, soit un sociopathe, sans déflorer le film on se demande combien il y en a.

 

Dans la noirceur des âmes meurtries par les évènements, on sent, comme au fond de la boite de Pandore, un espoir. L’on se demande qui est le plus a blâmé, la police, le serial killer, la jeune fille toute a sa vengeance.

 

Rien n’est simple, surtout que les philosophies taoïste, bouddhiste asiatiques est fors différente de l’occidentale, et la certaine devrais avoir les chakras fermer pour pas mal de temps et coté réincarnations ce retrouvé en mouche, mais on aime souvent ça les mouches au BIFFF.

 

 

À voir et à avoir dans son DVD thèque.

 

 

 

Original title : Neol gi-da-ri-myeo

Résumé : (texte du BIFFF)

D’habitude, Hee-joo se réveille avec l’odeur d’un bon petit déj’ préparé par son papa. Mais pas ce matin. Par contre, ce que voit la petite fille de sept ans lorsqu’elle ouvre les yeux, c’est le cadavre ensanglanté de son père gisant à côté d’elle… Et ça, elle le doit à Ki-bum, un tueur en série particulièrement crapuleux que la police finit par arrêter. Avec au moins sept meurtres à son compteur macabre, Ki-bum va vraisemblablement prendre perpète, mais c’est sans compter sur une justice purement mécanique qui s’est fait un joli nœud avec l’affect émotionnel au profit des preuves : et, pour le coup, cette enflure sadique a clairement le cul bordé de nouilles puisqu’on ne lui colle qu’un seul meurtre sur le dos. 15 ans plus tard, Ki-bum a payé sa dette au rabais à la société et retrouve la liberté. Mais, si les cadavres n’ont pas de mémoire, certaines victimes collatérales, comme Hee-jo, ont bien grandi et ont eu largement le temps de réfléchir à pas mal de choses. Et forcément, le pardon ne fait pas partie du lot…

 

Dans le cercle de plus en plus large des réalisateurs talentueux de Corée, on applaudit bien fort l’arrivée de Mo Hong-jin ! Frappant très fort avec Missing You – un titre faussement romantique et violemment cynique -, il rejoint la grande tradition des péloches de vengeance qui – de Old Boy à I Saw the Devil – ont bâti la réputation largement méritée du cinéma coréen. Vicieux et implacable, Missing You confirme également le talent de Shim Eun-kyung qui a délaissé les comédies légères pour des pépites telles que Seouls Station et Train to Busan !

 

 

 

Compétition Compétition Internationale

Première Première Belge

Pays Corée du Sud

Audience ENA

Audio Coréen

Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

Réalisateur Hong-Jin Mo

 

Casting

Ahn Jae-hong, Kim Hong-pa, Kim Sung-oh, Kim Won-hae, Shim Eun-kyung, Yoon Je-moon

 

Distributeur Contents Panda

Année 2016

Running time 108'

 

 

BIOGRAPHIE/FILMOGRAPHIE du réalisateur :

Mo Hong-jin

Réalisateur et acteur. Lieu de naissance : Corée du Sud

Films : Missing You, Our Town

Nominations : Grand Bell Award

Sélectionné au BIFFF 2017 pour Missing You

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  Isti Madarasz

Isti Madarasz

BIFFF 2017

Entretien

Isti Madarasz

 

Stéphane Dubois,

Bonjour Isti,

Vous avez commencé par des courts-métrages, court-métrage « Sooner or Later » a été récompensé à la 57e Berlinale et au 13e Festival de Sarajevo Talent Campus en 2007, vous pouvez nous en parler ?

 

Isti Madarasz,

Il s’agit de mon cinquième court-métrage, mais du 1er fait professionnellement, les quatre premiers étaient des films réalisés de manières plus amateurs. Le film parlait du voyage dans le temps, il se déroulait durant la Deuxième Guerre mondiale. L’action se déroule dans un souterrain avec uniquement deux personnages. Les nazis faisaient durant la guerre des expériences sur l’espace-temps sur les prisonniers.

 

Ce film à gagner plusieurs prix dans des festivals, et cela lui a donné l’idée de faire « Loop », un film de long métrage sur le thème de la boucle temporelle. « Sooner or Later » a également, cette structure scénaristique, mais de manière assez linéaire. C’est évidemment la structure de « Loop »

 

Stéphane Dubois,

Cette envie de traité la boucle temporelle, vous viens d’où, sujet difficile a traité.

 

Isti Madarasz,

j'ai toujours aimé les films sur les boucles temporelles il était fan de « Retour vers le Futur », et d’autres films sur le même sujet. Il s’agit d’un genre le plus intéressant, mais effectivement l’un des plus durs a travaillé. Mon attachement à ce thème vient de là.

 

Pour « Loop », je pense que dans la vie, on fait des erreurs que l’on aimerait corriger en revenant en arrière, mais sait impossible. C’est assez commun et universel, j’ai voulu le traité avec « Loop ».

 

Stéphane Dubois,

Derrière ce traitement du remord le film comporte aussi une romance, avez-vous voulu aussi parler des sentiments, il s’agit aussi d’une histoire d’amour.

 

Isti Madarasz,

« Loop » est évidemment aussi un film romantique, un film sur l’amour, je base cette idée de l’amour dans mon film, dans un thème très fantastique. Une histoire d’amour plus ou moins normale, mais sur un thème complètement fou.

 

Stéphane Dubois,

Justement film fantastique, merveilleux, de SF…

 

Isti Madarasz,

Un film qui a énormément de cœur, mais qui est aussi très intellectuel, j’aime à penser qu’en voyant ce film les gens vont se poser des questions, à ce demander au fil du film ce qui ce passe.

 

Un film du cœur, mais aussi un film intellectuel.

 

Stéphane Dubois,

Quels sont les films, les séries TV, les livres que vous aimez et qui vous ont inspiré, voire les ouvrages scientifiques ?

 

Isti Madarasz,

J’ai commencé à lire des livres scientifiques sur les boucles temporelles, mais j’ai vite abandonné. Trop ennuyeux, et je me suis dit que le voyage dans le temps est aussi du merveilleux, sait aussi du domaine du conte, et j’ai préférée faire quelques choses de plus fun.

 

Je me mets dans la position de voir le voyage dans le temps comme un amateur de cinéma et non comme un amateur de science, j’ai placé énormément de référence à d’autres films qui traitent du sujet dans mon film.

 

Stéphane Dubois,

Quels sont les films et série TV qui l’on marquer ?

 

Isti Madarasz,

 

La trilogie de « Retour vers le Futur », « Primer », un film indépendant (Primer (2004) Shane Carruth, Ndlr), qui est mon préféré, bien sûr j’en ai visionné beaucoup d’autres. Je suis bien sur fan de Steven Spielberg.

 

Stéphane Dubois,

Et bien sur la question traditionnelle… quels sont ses projets ?

 

Isti Madarasz,

Je viens de finir une comédie musicale, il s’agit d’une comédie romantique, pour la télévision hongroise, actuellement en post-production.

 

Le téléfilm a été tellement apprécié que même avant la diffusion par la Télévision Hongroise, il as été Décidé de produire un long métrage pour le cinéma reprenant le court métrage.

 

Je suis sur l’écriture d’un film de science-fiction, l’action ne se déroulera pas dans l’espace, mais dans un petit village hongrois.

 

Stéphane Dubois,

C’est votre première visite au BIFFF, que pensez du festival, de son ambiance si particulière ?

 

Isti Madarasz,

C’est non seulement la première fois que je viens au BIFFF, mais également à Bruxelles.

 

J’ai vraiment aimé, avec à la projection de « Loop », que c’était spécial, mais j’ai adoré que les gens cris, applaudissent, font un peu n’importe quoi dans la salle, j’ai trouvé ça génial. Comme réalisateur, voir la salle pleine est bien sûr un vrai plaisir, surtout avec un public d’amateurs de films de genre.

 

Merci au Service de presse du BIFFF, pour avoir fournis un traducteur pour cet entretien.

 

 

 

 

 

Biographie

Né en 1976, le Hongrois Isti Madarász réalise des films depuis ses années d’école secondaire, et chacune de ses œuvres a remporté plusieurs prix dans différents festivals de cinéma. Il a été remarqué pour la première fois à la Hungarian Film Week, en 2001, avec sa comédie indépendante et autoproduite intitulée «Moral Bypass». En 2007, son court-métrage « Sooner or Later » l’a désigné comme un talent émergent. Le film a d’ailleurs remporté plusieurs prix et a été sélectionné dans plus de 20 festivals à travers le monde. Il a notamment participé à la 57e Berlinale et au 13ème Festival de Sarajevo Talent Campus en 2007. Il a écrit plusieurs courts métrages et deux longs métrages : «Loop», un thriller SF qui s’attaque au concept casse-gueule des boucles temporelles, et «The Invincibles», une aventure basée sur une histoire vraie et produite par la télévision nationale hongroise (MTV) en 2013.

 

Filmo:

•Loop (2016)

 

 

Original title : Hurok

 

Enfumer ses employeurs quand on est dans la vente de substances illicites est déjà une mauvaise idée en soi. Mais lorsque Adam découvre que Anna, sa compagne et complice de crime, a une brioche au four, notre galant homme ne décide pas pour autant de postposer – disons, de neuf mois – son idée suicidaire. Non, il décide de se la jouer en solo et pousse même le vice jusqu’à larguer sa blonde par VHS interposée. Mais, dix minutes à peine après avoir vomi son poème de gentleman dégrossi, Adam tombe sur Anna en pleine rue. La gueule en sang et la fameuse VHS dans la main… Et, plutôt que de lui passer un savon à l’arsenic pour sa lâcheté, Anna lui annonce qu’elle a vu Adam mourir sur cette même VHS, avant de faire trois pas de côté et se manger mortellement le pare-choc d’un chauffard. Fuyant la scène de crime à toute berzingue, Adam se réfugie chez lui et décide de regarder la cassette jusqu’au bout. Jusqu’à ce que les images semblent être enregistrées en temps réel, tel un miroir reflétant une nouvelle réalité. Jusqu’à ce que quelqu’un frappe trois coups à sa porte. Anna, mais pas que…

 

Joliment emballé par la boîte de production derrière, notamment, le Kontroll de Nimrod Antal, Loop est – avec son pitch alléchant – l’une des premières incursions hongroises dans la SF pure et dure ! Écrit et réalisé par Isti Madarasz, ce casse-tête temporel à plusieurs couches n’est pas sans rappeler Timecrimes de l’ami Vigalondo ou, plus récemment, The Infinite Man qui était reparti avec le Corbeau d’Argent au BIFFF 2015 ! Bref, vous l’aurez compris, c’est l’heure des boucles !

 

 

Genre

science-fiction, time travel

 

Compétition

Compétition Méliès

 

Première

Première Belge

 

Pays

Hongrie

 

Audience

ENA

 

Audio

Hongrois

 

Sous-Titres

Anglais, Français, Néerlandais

 

Réalisateur

Isti Madarász

 

Cast

Dénes Szaraz, Dorina Martinovics, Ferenc Elek, Géza Hegedüs D., Zsolt Anger, Zsuzsa Malnai

 

Distributeur

Hungarian National Film Fund

 

Année

2016

 

Running time

95'

BIFFF 2017 Entretien  Isti Madarasz
BIFFF 2017 Entretien  Isti Madarasz

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  • ALBUM PHOTO

BIFFF 2017

Nous commençons notre traditionnelle publication d’un album photo pour le BIFFF.

 

Pour commencer par l’ambiance.

Nous publierons régulièrement de nouvelles photos.

 

MAKE UP

COSPLAY

 

Donc on surveille cette page avec attention, peut-être y serez-vous avec de la chance.

Le roi du BIFFF (moaaaaaaaaaaaaaaa )
Le roi du BIFFF (moaaaaaaaaaaaaaaa )
Le roi du BIFFF (moaaaaaaaaaaaaaaa )

Le roi du BIFFF (moaaaaaaaaaaaaaaa )

Oeuvres d'art au BIFFF
Oeuvres d'art au BIFFF
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Body Paint CONTEST
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Animations
Animations

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BIFFF 2017 Attraction Compétition Internationale
BIFFF 2017 Attraction Compétition Internationale

BIFFF 2017

Attraction

Compétition Internationale

 

Ce film de science-fiction russe est le film SF qui a eu les plus gros moyens budgétaires à ce jour, et cela ce vois à l’écran, les scènes du début du film sont a coupé le souffle, une autre scène que je qualifierais de « bucolique » est superbe, mais je ne vous en dirais pas plus pour ne pas déflorer la scène.

 

La tradition russe des films de science-fiction, remonte loin, en fait au début du cinéma sovietitique, une autre tradition respectez par les réalisateurs russes d’aujourd’hui …la longueur 130 mm pour « ATTRACTION ».

 

Pour être honnête, on ne voit pas le temps passer, l’action est prenante, l’action se déroule en souplesse.

Le message pacifiste et contre la violence brutale est évident dans ce film.

 

Le réalisateur Fedor Bondarchuck n’est pas un inconnu, il avait déjà réalisé The 9th Company (2005), sélectionné pour les Oscars et Stalingrad tourné en IMAX en 2013 et qui fut un succès commercial.

 

Je vous recommande de voir ce film.

 

 

 

Original title : Prityazhenie

 

Moscou est en alerte rouge : alors qu’une pluie de météorites est sur le point de traverser le ciel russe, l’armée a détecté un intrus parmi les gros cailloux interstellaires… N’étant pas très chaudes pour une rencontre du 3e type, les grosses huiles de l’état-major ordonnent à leurs avions de chasse de dégommer l’énorme vaisseau extraterrestre, sans prendre en compte un facteur physique essentiel : la force d’attraction terrestre. Une grosse chute plus tard, le vaisseau ennemi a rasé un quartier entier de Moscou, tout en aplatissant des centaines de civils trop curieux pour se planquer. L’armée établit très vite son périmètre de sécurité, tandis que les chaînes d’info du monde entier font péter les Breaking News en commentant les images de chaos qui leur parviennent de la capitale russe. Forcément, avec son ambiance fin du monde, la ville est en ébullition : les extrémistes sont à la fête avec ces nouveaux clandestins, les bagarreurs essorés à la vodka frelatée prévoient déjà un accueil à la Rodney King. Et pourtant, personne n’a encore osé s’approcher de ce monstre échoué sur les décombres d’HLM car, vu la taille de l’engin, ça risque d’être un peu plus rempli qu’un monospace à banquettes repliables. Et vu ce qu’ils viennent de se prendre dans la gueule, pas sûr qu’ils vont amener les merguez et la bière lors de leur première sortie…

 

Cador du cinéma populaire russe, Fedor Bondarchuk est habitué à voir les choses en grand : après The 9th Company (2005) choisi pour représenter la Russie aux Oscars, et Stalingrad (2013) – filmé en IMAX et plus gros succès de tous les temps dans la mère patrie -, il relève un nouveau défi : réaliser le plus gros film SF russe de tous les temps, capable de transformer les blockbusters de Roland Emmerich et de Michael Bay en bricolages d’ados. Pari réussi, Fedor : Attraction est d’ores et déjà une référence en la matière !

 

 

 

Genre/ disaster, monster movie, science-fiction

Compétition/ Compétition Internationale

Première Internationale

 

Pays Russie

Audience ENA

Audio Russe

Sous-Titres Anglais, Français, Néerlandais

Réalisateur : Fedor Bondarchuck

Casting

Alexander Petrov, Irina Starshenbaum, Rinal Mukhametov

 

Distributeur

Art Pictures Studio

 

Anné 2017

Running time 130'

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