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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Les Prédateurs de la Nuit.

Les Prédateurs de la Nuit.

Les Prédateurs de la Nuit.

Les Prédateurs de la Nuit, 1988, réalisateur : Jess Franco. A la question, quel film avez-vous adoré et que vous considérez comme l'un des plus gros navets ? Ma réponse est donc : les Prédateurs de la Nuit. Un must d'horreurs, d'impudeurs, de sadisme. Mais quel plaisir, ce scénario brinquebalant, ces transitions poussives, ces acteurs à l'implication parfois très douteuses ! Et pourtant cette atmosphère vous tient tant en haleine.  Jess Franco, l'immense Jess Franco, avait probablement le souhait de reproduire un concept équivalent à celui de son premier grand film : L'horrible Docteur Orlof, sorti en 1962. Ou bien, René Chateau, producteur du film (et scénariste !), souhaitait "utiliser" le savoir-faire de Franco pour assouvir un caprice d'enfant, celui d'adapter un des chefs-d'œuvre de Franju, Les yeux sans visage. Disons, on ne sait plus trop à la fin ! Toujours est-il que nous voilà plongé dans le thème de la figure à reconstituer, celle de la sœur du directeur d'une clinique. Pour ce faire, le directeur en question, son assistante et un patibulaire tueur à gages kidnappent de jolies filles avant de leur retirer la peau du visage pour la greffer sur celle de la pauvre sœurette. Mais l'intervention ne fonctionne pas du premier coup. Il faut donc recommencer et kidnapper d'autres filles ! Le directeur de clinique est interprété par l'inquiétant Helmut Berger, flanqué de Nathalie, une infirmière glaciale et nymphomane, jouée admirablement par Brigitte Lahaie. Il est drôle de lire sur la page Wikipédia du film "qu'elle n'apparaît nue dans aucune scène". Ah ah ah ! Mais non, Brigitte n'a pas joué que dans des films X ! Cette carrière précédemment citée a duré entre 1977 et 1980, et après 1980, miss Brigitte a officié dans ce qu'on appelle le cinéma bis. Là, elle est totalement splendide de férocité après, semble-t-il, une prestation moins enthousiaste dans le précédent film de Franco, Dark Mission, les Fleurs du Mal. Dans les Prédateurs..., elle se rattrape donc au centuple. A l'évocation de ce film que je verrais et reverrais sans lassitude, je ne puis m'empêcher de mettre le lien de nanarland car la critique est d'un réalisme cynique. Autant j'adore revoir le film, autant je me délecte de cette mise en relief du ridicule. Finalement je me demande si la magie du cinéma bis ne se trouve pas dans ce point d'achoppement : fasciner le spectateur en lui faisant danser une valse complètement ratée.

PH. Vender    

 

Merci à PH. Vender pour cette contribution.

 

 

 

Brigitte Lahaie

Brigitte Lahaie, née le 12 octobre 1955 à Tourcoing (Nord), est une actrice et animatrice de radio française.

Elle fut l'une des premières stars du cinéma pornographique français à l'époque de son « âge d’or » et de la libération sexuelle des années 1970 à 1980, période durant laquelle des salles confidentielles passaient des films X tournés en 35 mm. Brigitte Lahaie fut l'une des égéries de cette période.

Après avoir arrêté le X en 1980, elle fait des apparitions dans le cinéma dit « classique », notamment dans des films du cinéma bis, et elle intervient dans des émissions de télévision sur des sujets concernant la sexualité ou l'érotisme. En 2001, elle devient animatrice de radio, répondant aux auditeurs sur des questions de sexualité.

Elle est l'une des rares actrices X françaises à avoir réussi une reconversion professionnelle dans les médias grands publics.

 

Elmut Berger

Fils de propriétaires d’une chaîne d’hôtel, le jeune Helmut refuse de reprendre le business familial et se détourne de cet héritage professionnel. Il part à Londres où il exerce des petits boulots et devient serveur pour payer ses études d’art dramatique. Après s’être illustré dans quelques rôles secondaires en France et en Italie, sa carrière démarre en 1964. Il décroche un rôle dans La Ronde de Roger Vadim puis est repéré parmi une masse de figurants par Luchino Visconti lui-même sur le tournage de son film, Sandra. Selon d’autres sources, Berger aurait rencontré Visconti alors qu’il était serveur dans l’hôtel d’une station de sports d’hiver en Autriche.

Toujours est-il que cette rencontre va bouleverser l’avenir d’Helmut Berger. Réputé pour sa beauté, il devient rapidement l’amant de Luchino Visconti et cette relation marque le début d’une grande carrière. Après un petit rôle dans un film à sketches, Visconti lui offre des perspectives d’une autre envergure. Il le façonne à son image et décèle en lui un côté "démoniaque, fou et sexuellement perverti", qualités qu’il estime parfaites pour "incarner la perversion".

 

C’est alors que Berger enchaîne les grands films, toujours sous la direction de Visconti : déguisé en Marlene Dietrich dans Les Damnés en 1969, homosexuel et "aliéné" dans Ludwig - Le crépuscule des Dieux en 1972, ou encore jeune gigolo dans Violence et Passion en 1974, Berger prend du galon et gagne en notoriété. Parallèlement, il tourne avec d’autres réalisateurs de renom comme par exemple Vittorio De Sica, dans Le Jardin des Finzi Contini en 1970.

 

Après la mort de Visconti en 1976, Helmut Berger traverse une période difficile : anéanti par la perte de celui qu’il considère comme son "mari", comme il le confiera plus tard dans son autobiographie, l’acteur connaît des problèmes d’addiction à la drogue et à l’alcool. De plus, très marqué par les rôles ambigus qu’il avait l’habitude d’incarner, sa carrière cinématographique stagne et il se retrouve cantonné à jouer des personnages sexuellement dérangés, ou encore drogués, en se glissant dans la peau de Dorian Gray, de gigolos en tout genre (Une Anglaise romantique de Joseph Losey en 1975, Dynastie en 1980, etc.) ou encore en reprenant, dans Ludwig 1881 (1993), le rôle de Louis II de Bavière qui l’avait fait exploser dans Ludwig - Le crépuscule des Dieux en 1972.

 

Personnalité cinématographique emprunte de décadence, célèbre interprète de personnages sulfureux, Berger finit par être victime de son image d’acteur "pervers", et se voit contraint de s’illustrer dans des films érotiques ou bien dans des caricatures de ce qu’il interprétait déjà sous la direction de Luchino Visconti. A partir des années 1980, Berger se fait plus discret au cinéma. Il apparaît brièvement dans Le Parrain, 3e partie de Francis Ford Coppola en 1990, mais il se limite désormais le plus souvent à de petits rôles dans des séries télévisées. Récemment, il a tourné dans deux films allemands du réalisateur Peter Kern, à savoir Blutsfreundschaft en 2009 et Mörderschwestern en 2011.

 

Récompensé en 2007 par un Teddy Award pour l’ensemble de sa carrière, il rend dans son autobiographie un ultime hommage à son amant, puisqu’il attribue le crédit de ses qualités d’acteur aux talents de direction de Luchino Visconti.

 

Auteur : Marushka Odabackian

 

Telly Savalas

Aristotelis Savalas, dit Telly Savalas (Αριστοτέλης "Τέλλυ" Σαβάλας), né le 21 janvier 1922 à Garden City (État de New York) et mort le 22 janvier 19941 à Universal City (Californie), est un acteur et chanteur américain d'origine grecque.

 

Il est particulièrement connu pour avoir interprété dans les années 1970 le rôle principal dans la série télévisée policière Kojak. On l'a également vu dans un film de James Bond, Au service secret de Sa Majesté (1969), où il interprète le rôle d'Ernst Stavro Blofeld, et dans divers films à succès comme Les Douze Salopards (1967) ou De l'or pour les braves (1970).

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DRIVE en Blu-ray.  ÉDITION COLLECTOR.

DRIVE en Blu-ray. ÉDITION COLLECTOR.

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ÉDITION COLLECTOR.

 

Le chef-d'œuvre incandescent de Nicolas Winding Refn avec le magnétique Ryan Gosling.

Un film de Nicolas Winding Refn.

 

Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan, Bryan Cranston, Oscar Isaac

 

 

 POUR LA PREMIÈRE FOIS EN BLU-RAY 4K ULTRA HD

 

LE 6 SEPTEMBRE

 

 Synopsis

Un jeune homme solitaire, "The Driver", conduit le jour à Hollywood pour le cinéma en tant que cascadeur et la nuit pour des truands. Ultra professionnel et peu bavard, il a son propre code de conduite. Jamais il n’a pris part aux crimes de ses employeurs autrement qu’en conduisant - et au volant, il est le meilleur !

 

Shannon, le manager qui lui décroche tous ses contrats, propose à Bernie Rose, un malfrat notoire, d’investir dans un véhicule pour que son poulain puisse affronter les circuits de stock-car professionnels. Celui-ci accepte mais impose son associé, Nino, dans le projet.

 

C’est alors que la route du pilote croise celle d’Irene et de son jeune fils. Pour la première fois de sa vie, il n’est plus seul.

 

Lorsque le mari d’Irene sort de prison et se retrouve enrôlé de force dans un braquage pour s’acquitter d’une dette, il décide pourtant de lui venir en aide. L’expédition tourne mal…

 

Doublé par ses commanditaires, et obsédé par les risques qui pèsent sur Irene, il n’a dès lors pas d’autre alternative que de les traquer un à un…

 

 

ÉDITION COLLECTOR STEELBOOK LIMITÉE : BLU-RAY 4K UHD + BLU-RAY

 

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DRIVE, c'est :

• 180 nominations et 79 prix, dont celui de la mise en scène au Festival de Cannes en 2011, et plus de 1,6 millions de spectateurs à sa sortie en salle en France.

• Un casting exceptionnel où l'on retrouve Ryan Gosling  (Blade Runner 2049), Ryan Gosling (Promising Young Woman), Oscar Isaac (Dune), Bryan Cranston (Breaking Bad), Christina Hendricks (Mad Men) et Ron Perlman (Hellboy).

• Un conte trash à l'esthétique incontestée, un chef-d'œuvre tour à tour nerveux et contemplatif, à la bande son hypnotique.

• Après Pusher - la trilogie, Bronson et Le Guerrier Silencieux, Nicolas Winding Refn nous transporte dans son univers violent et férocement poétique, qu'il explorera de nouveau dans Only God Forgives et The Neon Demon.

• Plus qu'un film, Drive est une expérience sensorielle, un shoot d'émotions dont l'intensité infuse inexorablement avant l'explosion, à voir et revoir, inlassablement.

 

USA • 1H40 • Action, Thriller

 

COMPLÉMENTS

BONUS BLU-RAY 4K UHD :

 

• Nouveau commentaire audio de Nicolas Winding Refn [inédit]

BONUS BLU-RAY :

 

• Making-of (15 min)

• Drive without a Driver : entretien avec Nicolas Winding Refn (26 min)

Prix public indicatif : 34,99€

 

Biographie

Nicolas Winding Refn

Jeunesse et révélation au Danemark

Nicolas Winding Refn est un cinéaste danois qui vit à Copenhague. Il est le fils d'un monteur, Anders Refn, et d'une photographe, Vibeke Winding.

 

En 1978, il déménage avec sa mère et son beau-père aux États-Unis, à New York. Ils y restent jusqu'en 1987 avant de retourner au Danemark. Nicolas a suivi à New York des cours à l'American Academy of Dramatic Arts.

 

Il est connu pour la réalisation de la trilogie Pusher, films sortis entre 1996 et 2005.

 

En 2008, il est membre du jury lors de la quinzième édition du festival Fantastic'Arts.

 

 

Le réalisateur avec Mads Mikkelsen, l'acteur principal du Guerrier silencieux, au Festival de Toronto 2009.

Percée hollywoodienne (années 2010)

 

Le réalisateur au Festival de Cannes 2014, où il est membre du jury.

En mars 2010, il a avoué n'être plus attaché à l'adaptation hollywoodienne de L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde, préférant se concentrer sur un nouveau métrage prochainement tourné en Asie.

 

Il reçoit le Prix de la mise en scène, pour son film Drive lors du Festival de Cannes 2011.

 

En mai 2013, Nicolas est de retour à Cannes pour la deuxième fois pour présenter Only God Forgives en compétition officielle. C'est sa deuxième collaboration avec Ryan Gosling après Drive. À la fin de la projection officielle à Cannes, le film a été sifflé par une partie des spectateurs4. Quand on a appris à Nicolas Winding Refn que le film avait été sifflé, il n'a pas été surpris et a répondu que « L'art est fait pour diviser, car si l'art ne divise pas, il ne pénètre pas, et s'il ne pénètre pas, vous ne faites que le consommer » . Contrairement au Festival de Cannes 2011, Nicolas Winding Refn ne remporte pas de prix en 2013 sur la Croisette.

 

En juin 2012, on apprend que Nicolas Winding Refn s'occupe d'adapter le film de 1968 Barbarella en série télévisée6. Il sera réalisateur et producteur exécutif sur cette série, même s'il n'est pas acquis qu'il réalise d'autres épisodes après le pilote. En mai 2013, la série est toujours en phase d'écriture7. En janvier 2014, on apprend que Nicolas Winding Refn reste producteur exécutif de la série, mais qu'il ne réalisera pas d'épisodes.

 

Le parti pris du réalisateur pour la violence spectaculaire et la noirceur, sans modération, révèle une volonté de sonder toutes les facettes de l'être humain et d'explorer les sombres recoins de la personnalité. Le thème de la violence lui permet également de développer des recherches narratives et plastiques singulières (temporalité dilatée, ambiance hypnotique, personnages fantomatiques et univers cauchemardesque enchevêtrant lumière stylisée et références à des classiques du cinéma). Lors de la sortie de Bronson, Nicolas Winding Refn déclara : « L'art est un acte de violence. Je m'intéresse aux extrêmes, un mélange de poésie et de violence ». Il attache par ailleurs une grande importance à l'aspect visuel, en particulier à la couleur : « Je fonctionne par contraste. J’emploie beaucoup de rouge, qui véhicule l’émotion. Le cinéma est d’abord un média visuel : les mots n’ont pas d’importance »10. Il est réputé notamment pour son usage de couleurs saturées.

 

En mai 2014, il est membre du jury des longs métrages au 67e Festival de Cannes, présidé par Jane Campion.

 

En février 2015, Refn enregistre un entretien avec William Friedkin au sujet du Convoi de la peur.

 

Certaines pop stars l'inspirent. En octobre 2015, Nicolas Winding Refn déclare que sa sensibilité est très proche de la pop girly et qu'il aurait adoré réaliser des clips pour Kate Bush ou Goldfrapp. Lors du festival Lumière 2015, Nicolas Winding Refn expose une partie de sa collection d'affiches de cinéma d'exploitation et publie L'Art du regard, Une petite histoire du cinéma d'exploitation des années 60 et 70 en 316 affiches (ISBN 978-2955287309)15.

 

En mai 2016, il est de retour en compétition au 69e Festival de Cannes avec son nouveau film The Neon Demon16, un thriller horrifique et érotique avec Elle Fanning, Christina Hendricks et Keanu Reeves.

 

En mai 2019, il revient à Cannes mais hors compétition pour présenter deux épisodes de sa nouvelle série Too Old to Die Young avec Miles Teller dans le rôle principal. Il y donne également une masterclass pour revenir sur sa carrière.

Le cinéaste fait pour la première fois la couverture d'un magazine français en mars 201917.

 

En septembre 2022, Winding Refn présente à la Mostra de Venise dans son intégralité sa série noire Copenhagen Cowboy, mise en ligne sur Netflix début janvier 2023.

 

Communiqué de presse.

DRIVE Bande-Annonce

DRIVE en Blu-ray.  ÉDITION COLLECTOR.

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Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier : deuxième édition !

Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier : deuxième édition !

 

Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier :

deuxième édition !

 

La récompense vise à soutenir la jeune création.

 

Le scénariste et dessinateur Philippe Druillet et la galerie parisienne Barbier, dédiée à l’art de la bande dessinée depuis 23 ans, ont lancé l’an dernier le Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier pour soutenir la jeune création. Le Prix récompense des scénaristes ou dessinateurs francophones ayant publié au maximum trois albums. Il est doté de 3.000 euros et donnera lieu à une exposition des planches originales dans la galerie Barbier.

 

Une sélection de six bandes dessinées réalisée par la galerie sera dévoilée en décembre. Le jury se réunira pour désigner le lauréat ou la lauréate en janvier 2024.

 

Le jury est composé des initiateurs du prix et membres permanents Philippe Druillet et Jean-Baptiste Barbier. Pour cette deuxième édition ils sont rejoints par Blutch (scénariste et dessinateur), Laurence Le Saux, journaliste à Télérama et une libraire indépendante.

 

Les éditeurs peuvent envoyer leurs ouvrages à la galerie Barbier (10 rue Choron, 75 009 Paris) en mentionnant « Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier » jusqu’au 31 octobre 2023.

 

Le premier Prix Druillet – Galerie Barbier avait été remis à Manon Debaye pour son ouvrage « La Falaise » (éditions Sarbacane, 2021) le 28 janvier 2023, lors de la cérémonie de remise des Fauves du Festival International de la bande dessinée d’Angoulême.

 

Philippe Druillet,

Scénariste et dessinateur, et la galerie Barbier, dédiée à l’art de la bande dessinée depuis 22 ans, ont créé le Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier pour soutenir la jeune création.

 

Le Prix récompense des scénaristes ou dessinateur·trices francophones ayant publié au maximum 3 albums.

 

Philippe Druillet, publié par Pilote puis fondateur de Métal Hurlant  avec Moebius et Jean-Pierre Dionnet, est l’incarnation de cette passation générationnelle.

 

Le Prix est doté de 3000 € et offre la possibilité d'une exposition des planches originales à la galerie Barbier. Une sélection de six bandes dessinées réalisée par la galerie sera dévoilée en décembre.

 

Le jury se réunira pour désigner le lauréatou la lauréate en janvier 2024.

 

Le jury est composé des initiateurs du prix et membres permanents Philippe Druillet et Jean-Baptiste Barbier.
 

Pour cette deuxième édition, ils sont rejoints par Blutch (scénariste et dessinateur), Laurence Le Saux (journaliste à Télérama -, et une libraire indépendante.

 

 

Un trophée en bronze, dessiné par l'artiste et réalisé par le sculpteur Alban Ficat, a été créé spécialement pour l'occasion et sera remis chaque année au lauréat ou à la lauréate.

 

 

Repères biographiques

Philippe Druillet est né en 1944 à Toulouse. En 1965, sa première bande dessinée, Le Mystère des Abîmes, est éditée chez Eric Losfeld : Lone Sloane est né et marque une rupture dans le paysage de la bande dessinée mondiale. Il co-fonde en 1974 la revue mythique Métal Hurlant puis publie La Nuit (1976) et Salammbô (1981). Il fait exploser les cadres traditionnels du médium et influence durablement plusieurs générations ’auteurs. En 1988, il reçoit le Grand Prix de la ville d’Angoulême puis est il est élevé au rang de Commandeur des Arts et des Lettres en 1998.

 

« J’ai rencontré Philippe Druillet pour la première fois en 1989. J’avais réussi à obtenir l’adresse postale du Maître et avais pris ma plus belle plume afin de solliciter un rendez-vous. Quelques jours plus tard, l’artiste m’appelait. Il était submergé de travail, son agenda était bondé pour les trois prochains mois. Qu’importe, la date était fixée ! J’allais échanger avec le créateur de Lone Sloane, celui qui avait explosé les codes de la bande dessinée, celui qui m’avait bouleversé avec La Nuit, ce- lui dont les planches vous éblouissent par leur puissance ! Cette visite de son atelier fut magique ! Nous passâmes tout l’après-midi ensemble à discuter, regarder son travail, admirer ses planches.

 

Pour un gamin de 14 ans, ce sont des moments inoubliables. Cette générosité, Philippe l’a manifestée à des centaines d’autres. Pour ces raisons, et pour le remercier, je souhaitais que ce prix, qui veut se faire la liaison avec les jeunes générations, porte le nom de Philippe Druillet. »

Jean-Baptiste Barbier

 

 

              

Conditions de participation       

Calendrier du prix          

 

Les éditeurs peuvent envoyer leurs ouvrages à : Galerie Barbier 10 rue Choron, 75009 Paris en mentionnant Prix Philippe Druillet – Galerie Barbier jusqu’au 31 octobre 2023.

 

Le prix récompense des scénaristes et dessinateur·trices ayant publié au maximum trois albums :

→ Albums publiés entre le 1er juin 2022 et le 31 octobre 2023.               

                                               Clôture des participations          

                                               30 novembre 2023         

                                               Annonce des six bandes dessinées sélectionnées par la galerie               Janvier  2024                                       → Bandes dessinées francophones                      

                                               Annonce du lauréat ou de la lauréate et remise du prix à la galerie       

 

  Première édition

Créé en 2022, le premier Prix Druillet – Galerie Barbier a été remis à Manon Debaye pour son ouvrage La Falaise (éditions Sarbacane, 2021) le samedi 28 janvier 2023, lors de la cérémonie de remise des Fauves du Festival International de la bande dessinée d’Angoulême.

Manon Debaye	© Festival International de la bande dessinée d'Angoulême

Manon Debaye © Festival International de la bande dessinée d'Angoulême

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Animalia

Animalia

ANIMALIA

 

En salle le 9 aout

 

L’approche originale de la metteuse en scène donne tout son sens à ce film d’úne Franco-Marocaine.

 

Je vous recommande fortement d’aller le voir à sa sortie en salle

Pensez  à vous inscrire à la newsletter  de  notre site pour ne rien  manquer de nos publications.

 

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“UN SENS VISUEL SAISISSANT”

SCREEN INTERNATIONAL

 

“MÉDITATIF, OBSCUR... CHARMANT”

VARIETY

 

“DÉTOURNE LE GENRE DE MANIÈRE CONVAINCANTE”

HOLLYWOOD REPORTER

 

NOTE D’INTENTION DE SOFIA ALAOUI

Animalia est un drame fantastique sur la fin d’un monde. J’ai voulu questionner nos certitudes et nos croyances, qui nous bloquent dans une pensée unique. C’est pour moi très actuel, vu les bouleversements que nous vivons aujourd’hui à l’échelle planétaire.

 

Plus qu’un film fantastique, Animalia est une odyssée humaine, une ode à la nature et un questionnement sur la place de l’homme dans ce monde complexe.

Ce projet a vu le jour, lorsque je suis revenu au Maroc, le pays où je suis née après avoir vécu et voyagé à l’étranger pendant très longtemps. J’ai été confronté au poids de la religion, des classes sociales et du rapport fou à l’argent qui émergeait. Un deuxième dieu dans cette société arabe capitaliste moderne.

 

Et en même temps, j’étais complètement obsédée par des questions métaphysiques : la vie extraterrestre, l’univers etc ... J’ai fait mon court-métrage en expérimentant une méthode de réalisation, en utilisant le surnaturel pour interroger profondément ma société et mes personnages.

 

Quand j’étais jeune, j’étais fascinée par le pouvoir de l’image, la symbolique dans un film. Accepter l’inacceptable, et laisser la pensée décanter afin de comprendre ou pas certaines clés du film. J’aime l’idée que dans un film, rien n’est laissé au hasard et que par l’image, ses décors, sa musique, son univers, le sens profond apparaisse.

 

BIOGRAPHIE

Sofia Alaoui est une cinéaste franco-marocaine, élevée entre le Maroc et la Chine. Présentée comme l’une des Arab Stars of Tomorrow par Screen Daily, elle a réalisé plusieurs documentaires puis le court métrage « Qu’importe si les bêtes meurent » (Grand Prix du Jury au festival de Sundance 2020 et César du meilleur court-métrage 2021), suivi de The Lake pour la 20th Century Fox.

 

Animalia, son premier long métrage a gagné le Prix Spécial du Jury au Festival de Sundance en 2023.

 

ENTRETIEN AVEC SOFIA ALAOUI

Vous avez grandi entre le Maroc et la Chine. Expliquez-nous, comment votre éducation a joué un rôle dans la genèse de cette histoire.

 

C’est vrai que j’ai eu la chance très jeune d’être confrontée à des cultures, des croyances très différentes que ce soit en Europe par ma mère, au Maroc par mon père et en Asie à travers les voyages qu’on faisait quand nous habitions en Chine. J’ai grandi ainsi dans cette diversité là, dans la curiosité de l’autre et dans l’idée de se dire que notre schéma de pensée n’est peut être pas toujours le bon.

 

J’ai le sentiment que souvent nous sommes piégés par la pensée unique qui nous a formatés.

Et qui empêche, à mon sens, une réflexion profonde et une remise en question des choses établies : de nos modes de vie par exemple, de nos croyances. C’est très difficile d’en sortir et d’avoir du recul sur soi et sur son environnement.

 

C’est pour cela que je souhaitais confronter mes personnages et leurs réseaux de croyances à l’existence d’extraterrestres qui les bouleverserait alors profondément. Votre approche de l’invasion extraterrestre est tout à fait unique et prend une dimension encore plus fascinante avec un personnage de ITTO.

 

Pourquoi la grossesse  était-elle si importante dans votre histoire ?

La grossesse de Itto est très symbolique : que va-t-elle léguer à son enfant ? Quel héritage de pensée ? De mode de vie ? Ce film c’est à la fois sur la fin d’un monde mais aussi la naissance d’un nouveau. La naissance de son enfant marque comme un espoir de construire nos sociétés, par l’éducation, sur des  schémas différents de ceux actuels. Les générations futures sont une opportunité. C’est aussi pour cela que les “extraterrestres” qui s’incarnent dans plusieurs personnages  durant le film semblent comme la protéger. Sa grossesse incarne un espoir.

 

L’histoire passe de la richesse et des splendeurs marocaines à la vie rurale et pauvre d’une ferme.

 

Expliquez nous

On est dans un pays très disparate. Itto incarne ce mélange des classes. Ce monde inégalitaire en demande d’équilibre constante.

 

Itto n’est pas à l’aise ni dans un monde ni dans un autre. Je ne voulais pas idéaliser le bonheur de la campagne. Car ce n’est pas vrai. C’est une vision un peu bourgeoise de se dire que la simplicité de Fouad et des bergers qui partagent le tajine avec Itto, est la solution. La solution c’est l’équilibre.

 

C’est ce que vient bousculer cette arrivée extraterrestre. Ils viennent créer le Chaos dans le chaos pour rétablir un équilibre vital pour nous, Il y a aussi dans ce parcours une dimension visuelle symbolique. Ces maisons richement décorées, ce faste au début du film pour aller peu à peu au dépouillement.

 

Les montagnes de l’atlas offrent des paysages vraiment déroutants qui amènent une part de mystère et créent une esthétique bien particulière à un récit ancré dans la réalité. Ces paysages renvoient à l’humilité, à la conscience de la fragilité de l’existence humaine. Itto tente d’acheter sa liberté.

 

Que dites-vous de l’obsession de la société pour l’argent et de la cupidité en général ?

La mondialisation, la course aveugle vers le profit ont eu gain de cause sur les projets collectifs. On sait évidemment que l’argent est maître roi de ce monde capitaliste. Dans mon film, c’est un facteur très important dans le développement du Maroc et pour saisir la pensée de la classe dominante. Ici, la course effrénée à l’argent et au pouvoir mène à une injustice effroyable. La corruption triomphe et tous les moyens sont bons pour « arriver » à ses fins.

 

Itto, mon personnage principal, est mariée à Amine, fils d’un Caïd local. Un Caïd c’est un agent d’autorité qui assure l’exécution des lois et règlements, le maintien de l’ordre, la sécurité et la tranquillité publiques et dirige les services de l’État, placés sous son égide. Mais la réalité, c’est que les Caïds sont étrangement riches dans certaines régions. Ils usent de leur pouvoir pour leurs intérêts personnels. Il était important pour moi, de mettre en exergue ces problématiques-là. Au Maroc, l’argent est comme une deuxième religion.

 

Beaucoup d’éléments de cette histoire sont inexpliqués, révélés progressivement ou pas du tout. Pourquoi ?

Je ne voulais pas donner de réponse concrète à la fin du film pour d’une part, ne pas recréer moi non plus un schéma figé comme une nouvelle structure dogmatique qui serait « la résolution » et d’autre part, qui apporterait beaucoup de naïveté à un sujet transcendantal qui interpelle tout un chacun.

L’important pour moi est que l’arrivée des extraterrestres, questionne et pousse chaque individu (de manière forcée ou non), à aller à la découverte de soi.

 

« Le doute est le commencement de la sagesse » comme disait Aristote.

 

Et si jamais le spectateur voulait des réponses claires, le film les apporte à sa manière dans l’observation de ce qui est perdu et ce que l’on gagne dans ce nouveau monde.

J’aime les films qui offrent certaines réponses à celui qui sait observer l’image. Que des questions flottent dans l’esprit du spectateur et le hantent dans le temps, jusqu’à ce qu’il trouve ses réponses.

 

Votre vision de l’invasion est singulière. Vous pouvez nous en parlez ?

C’est vrai que je tenais à ce que le surnaturel arrive avec naturel. Je voulais que tous les éléments fantastiques soient traités de manière extrêmement réaliste pour qu’ils s’imbriquent de manière naturelle à leur environnement. (Une vraie maison sur un lac, une vraie mosquée de petite ville, de vraies routes de montagne…)

 

Tout ça était important pour avoir un rendu organique et réel. Car ce film est une ode à la nature et questionne la place de l’humain dans un monde complexe. Les éléments de science-fiction et fantastiques ne sont qu’un arrière-plan. Ce qui compte c’est le cheminement de mes personnages.

 

Toute l’histoire est portée par Itto, magnifiquement interprétée par Oumaïma Barid.

Expliquez pourquoi vous avez choisi cette actrice pour le rôle principal.

J’ai beaucoup travaillé avec des acteurs non professionnels, dans ce film mais aussi dans mon précédent court-métrage « Qu’importe si les bêtes meurent ». Du coup, ce que je recherchais chez l’actrice qui allait incarner Itto, c’est ce qu’elle était. Je n’ai pas commencé par des essais.

Ce qui m’intéressait, c’est de savoir qui elle était, ce qu’elle pensait des thématiques qui traversent le film.

 

Oumaima semble fragile d’apparence, toute frêle mais elle a une force mentale incroyable. J’aime  cette contradiction car elle allait avec mon idée de développer des personnages complexes qui ne sont pas enfermés dans une case.On est dans un monde qui juge trop rapidement les gens. Oumaima offrait cette possibilité de couleurs différentes pour le personnage de Itto.

 

Au fond, il s’agit d’une histoire d’éveil, à différents niveaux. Êtes-vous d’accord ?

Exactement.

Dans un récit très ancré dans le réel, je veux que mon événement surnaturel provoque un bouleversement dans la société que je dépeins.

Je crois profondément que l’Homme a la capacité, de par son intelligence et son libre arbitre, de sortir de ces schémas inscrits dans ses gènes, mais également transmis par sa culture.

 

Votre pays est patriarcal, une monarchie et presque exclusivement islamique, ce qui en fait un cadre fascinant pour l’installation de ce qui est essentiellement un nouvel ordre mondial. Pourquoi avoir choisi le Maroc ?

C’est surtout la société que je connais le mieux et je ressens intimement tout ce qui est présent dans mon film. Je ne veux pas tomber dans le piège du « c’est un pays musulman » il faut le critiquer à tout prix. Le monde arabe, les réalisateurs arabes dont je fais partie souffrent terriblement des attentes européennes quand il s’agit qu’on fasse un film. Je ne fais pas un film pour montrer à l’Europe comment mon pays le Maroc est vraiment inférieur au leur. Que nous, pauvres marocains, pauvres femmes souffrons.

Oui, je questionne le patriarcat, je remets en question le rapport à la religion des gens dans mon pays. Mais ce rapport-là vaut pour toutes les religions. Il se trouve juste que je suis franco-marocaine donc plus à même de parler de ce qui se passe ici.

D’ailleurs les présences extraterrestres dans mon film n’ont pas seulement lieu au Maroc mais dans différentes régions du monde. La remise en question du schéma dans lequel on vit ne vaut pas seulement pour le Maroc.

 

Même si le film est ancré dans des lieux bien précis et peut mettre en exergue des problématiques locales, je veux que mon film ait une dimension universelle. C’est très important pour moi.

 

Les animaux jouent un rôle important dans l’histoire. Quel est leur rôle et pourquoi sont-ils si cruciaux et centraux dans cette histoire ?

Après mon court-métrage qui laissait les extraterrestres dans le ciel, je me suis posée la question de comment incarner cette présence extraterrestre sur terre. J’ai souvent été  déçue des films qui nous les montrent. Souvent c’est plus intéressant quand notre imaginaire travaille. Et puis quand on se questionne sur l’âme, sur notre corps matériel. Je me suis dit que les extraterrestres pouvaient avoir une enveloppe visible et invisible, mais que leurs âmes pouvaient réussir à voyager et à s’incarner dans notre monde terrestre : animaux, humains…

 

Dans beaucoup de pensées autochtones, il est dit que nous sommes enchaînés, à la manière es hommes dans la caverne de Platon. L’Homme, le monde, la nature et les vivants qui les entourent sont tous liés au sacré.

 

FICHE TECHNIQUE

Un film écrit et réalisé par SOFIA ALAOUI

Produit par MARGAUX LORIER, TOUKIF AYADI, CHRISTOPHE BARREL

Producteur exécutif : LIONS PRODUCTION & SERVICE - HICHAM EL GHORFI

Directeurs de production : JEAN-CHRISTOPHE COLSON et LOUISE KRIEGER

Directrice de postproduction : BARBARA DANIEL

Premier assistant réalisateur : HAMZA BOUMALKIET KEVIN SOIRAT

 

Musique : AMINE BOUHAFA

Image : NOÉ BACH

Son : MARIETTE MATHIEU-GOUDIER, SÉBASTIEN SAVINE, FRANÇOIS MEREU

Montage : HÉLOÏSE PELLOQUET

Mixage : LAURE ARTO

Etalonnage : CHRISTOPHE BOUSQUET

Superviseur VFX : ARNAUD FOUQUET

Régie : KHALID RBIBE ET JEAN-PASCAL MABILLE

Scripte : MARGOT SEBAN

Costumes : LYDIE COLLIN

Décors : HAFID AMLY

Coproducteurs : JIANGO FILMS, DOUNIA PRODUCTIONS, ARTE FRANCE CINÉMA.

Avec la participation de CANAL+, CINÉ+, ARTE FRANCE CINEMA, AD VITAM, TOTEM.

 

Avec le soutien du CENTRE NATIONAL DU CINÉMA ET DE L’IMAGE ANIMÉE, du CENTRE CINÉMATOGRAPHIQUE MAROCAIN, LE FONDS IMAGE DE LA FRANCOPHONIE, LE DOHA FILM INSTITUTE, de LA PROCIREP et L’ANGOA.

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© Solaris et les auteurs

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SOLARIS 227

L’anthologie permanente des littératures  de l’imaginaire.

Dans ce volume vous trouverez la nouvelle d’Isabelle Piette « Ce qu’on laisse derrière » PRIX SOLARIS   2023.

 

Egalement des appels à textes pour les Prix SOLARIS et Le Prix Joël-Champetier 2024, avec les conditions de participations dédie au 2 concours.

 

Il s’agit de la revue des genres de l’imaginaire la plus ancienne et la plus importante d’Amérique du Nord.

 

Je ne serais que vous conseiller de vous y abonnez soit à la version « papier » soit à une version numérique PDF ou e-pub.

 

Vous pourrez y lire les nouvelles dont vous avez le sommaire ci-dessous.

 

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À propos de ce livre

LES NOUVELLES : « Ce que je peux dire de lui », de Karim Kattan ; « Ce qu'on laisse derrière », d'Isabelle Piette ; « Capitaine Bâbord et la sirène », de Jonathan Reynolds ; « Entre ombre et lumière », de Su J Sokol et « Ad majorem Dei gloriam », de Mario Tessier. LES ARTICLES : Le Cabinet des curiosités surnaturelles : « L'Aile des spécimens fantastique », de Sébastien Chartrand » et Les Carnets du Futurible, de Mario Tessier : « L'Intelligence artificielle, ou ChatGPT veut avoir un mot avec vous ».

 

LES LITTÉRANAUTES LECTURES.

 

 

Corédacteurs en chef : Jean Pettigrew, Pascal Raud.

Comité de direction littéraire :Jean Pettigrew, Pascal Raud, Francine Pelletier, Elisabeth Vonarburg, Daniel Sernine.

 

Éditeur : Jean Pettigrew

Site Internet : www.revue-solaris.com

Webmestre : Christian Sauvé

Abonnements : voir formulaire

Coordonnatrice : Francine Pelletier

Téléphone : (418) 837-2098

Trimestriel : ISSN 0709-8863

Dépôt légal :

Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Bibliothèque et Archives Canada.

 

Solaris est une revue publiée quatre fois par année par les Publications bénévoles des littératures de l’imaginaire du Québec inc. Fondée en 1974 par Norbert Spehner, Solaris est la première revue de science-fiction et de fantastique en français en Amérique du Nord.

 

Solaris reçoit des subventions du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts et des lettres du Québec et reconnaît l’aide financière accordée par le gouvernement du Canada pour ses coûts de production

et dépenses rédactionnelles par l’entre mise du Fonds du Canada pour les magazines. Toute reproduction est interdite à moins d’entente spécifique avec les auteurs et la rédaction.

Les collaborateurs sont responsables de leurs opinions qui ne reflètent pas nécessairement celles de la rédaction.

 

Date de parution : 27 juillet 2023

Prix 2024 Solaris 

Le Prix Solaris s’adresse aux auteurs de nouvelles canadiens qui écrivent en français, dans les domaines de la science-fiction, du fantastique et de la fantasy.

 

Dispositions générales

Les textes doivent être inédits et avoir un maximum de 10500 mots (60 000 caractères espaces comprises). Ces derniers doivent être envoyés en trois exemplaires (des copies car les originaux ne seront pas rendus).

 

Afin de préserver l’anonymat du processus de sélection, ils ne doivent pas être signés mais identifiés sur une feuille à part portant le titre de la nouvelle ainsi que le nom, le numéro de téléphone et l’adresse courriel de l’auteur, le tout glissé dans une enveloppe scellée. La rédaction n’acceptera qu’un seul texte par auteur.

 

Les textes doivent parvenir à la rédaction de Solaris, au 120, côte du Passage, Lévis (Québec) G6V 5S9, et être bien identifiés sur l’enveloppe par la mention « Prix Solaris ».

 

Vous pouvez également soumettre votre nouvelle en format .doc ou .PDF à laredaction@revue-solaris.com.

 

La date limite pour les envois postaux est le 18 mars 2024, le cachet de la poste faisant foi (et 23h59, UTC - 4:00 pour les formats numériques).

 

Le lauréat ou la lauréate recevra une bourse en argent de 1000 $. L’œuvre primée sera publiée dans Solaris en 2024.

 

Les gagnants (première place) des prix Solaris des deux dernières années, ainsi que les membres de la direction littéraire de Solaris, ne sont pas admissibles.

 

Le jury, formé de spécialistes, sera réuni par la rédaction de Solaris. Il aura le droit de ne pas accorder le prix si la participation est trop faible ou si aucune œuvre ne lui paraît digne de mérite. La participation au concours signifie l’acceptation du présent règlement.

 

Pour tout renseignement supplémentaire, contactez Francine Pelletier au courriel suivant : fpelletier@revue-solaris.com

 

 

Le Prix Joël-Champetier

 

Le Prix Joël-Champetier s’adresse aux auteurs de nouvelles non canadiens qui écrivent en français, dans les domaines de la science-fiction, du fantastique et de la fantasy.

 

Dispositions générales :

Règlement 1. Les textes doivent être inédits et avoir un maximum de 10 500 mots (60 000 caractères espaces comprises).Afin d’éliminer les frais de poste, seuls les fichiers numériques .doc, .docx et .PDF seront admissibles.

 

Règlement 2. Afin de préserver l’anonymat du processus de sélection, les fichiers numériques ne doivent pas être signés, mais le courriel d’envoi doit indiquer clairement le titre du texte ainsi que le nom et l’adresse postale complète de l’auteur.

 

Règlement 3. La rédaction n’acceptera qu’un seul texte par auteur.

Les textes doivent être acheminés à l’adresse courriel suivante :

prixjoelchampetier@revue-solaris.com

 

Règlement 4. Aucun frais d’inscription n’est exigé pour les abonnés de la revue. Les non-abonnés devront cependant payer un montant minimum non remboursable de 24 $ CAD (14 à 18 €, selon le taux de change), afin de pouvoir participer. Ce montant équivaut à l’abonnement annuel (quatre numéros) le plus avantageux, soit celui pour le format numérique (PDF ou epub).

 

Le statut d’abonné du participant devra être officialisé via le site transactionnel de la revue avant la soumission du texte au prix Joël-Champetier. Le coordonnateur de a revue (la seule personne à connaître

l’identité véritable des soumissionnaires), rejettera de plein droit tous les textes ne satisfaisant pas cette condition de participation.

 

La date limite pour la réception des textes est le dimanche 27 août 2023, à 23h59,UTC - 4:00.

 

Le lauréat ou la lauréate recevra une bourse en argent de 1000 €. L’œuvre primée sera publiée dans le numéro d’hiver 2024 de Solaris.

 

Le jury, formé de spécialistes des littératures de l’imaginaire, sera réuni par la rédaction de Solaris. Il aura le droit de ne pas accorder le prix si la participation est trop faible ou si aucune oeuvre ne lui paraît digne de mérite.

La participation au concours signifie l’acceptation du présent règlement.

Pour tout renseignement supplémentaire,contactez Francine Pelletier, coordonnatrice,au courriel suivant : laredaction@revue-solaris.com

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 Couverture : Savannah Leia Mallet.

Couverture : Savannah Leia Mallet.

Cac3d - Dc Comics Universe

 

4e édition

 

Edmond Tourriol Co créateur de MAKMA, nous livre une passionnante préface à la fin de  cet article vous trouverez sa biographie complète.

 

Une notice précède chaque fabricant avec de précieuses informations.

 

La couverture  de cette 4e édition est de : Savannah Leia Mallet.

 

 

Tout collectionneur de DC COMICS pour estimer sa collection ou pour voir ce qu’il lui manque se doit d’acquérir ce volume

 

 

 

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Cote-a-cas éditions publie sa quatrième édition de l'encyclopédie dédiée aux figurines dans l'univers des comics chez Dc Comics, préfacé par Edmond Tourriol (Co-fondateur du  studio MAKMA ).

 

Le cac3d est le seul ouvrage de recensement et de référencement des produits dérivés disponible en France.

 

Chacun de ces produits est présenté sous forme de fiche descriptive comprenant les informations suivantes : le fabricant, le sculpteur, la matière utilisée, la date de production, le nombre d'exemplaires produits et la taille de l'objet.   

 

 

 

CAC3D Dc Comics Universe

Auteurs :

cas.mallet et Patrick Ciquera

214 pages couleur

Prix : 44 €

Format : 21 x 21 cm

ISBN : 978-2-491066-26-0

Editeur : cote-a-cas éditions

Ces informations sont complétées par une photo, le prix d'origine ainsi qu'une estimation actuelle, basée sur les ventes réalisées en salles des ventes et sur les sites d'enchères.

 

A l'occasion de la parution de cette nouvelle édition, Christian Mallet précise « Outre le recensement le plus exhaustif possible, le principal objectif de cet ouvrage est de permettre aux collectionneurs mais également à un public plus large de faire une estimation rapide et réaliste de sa collection ou de ses figurines par rapport à un prix moyen du marché ».

 

Cette encyclopédie recense, pas moins de dix-huit fabricants d'objets parmi les plus réputés dans l'univers des comics chez Dc Comics avec plus de 825 objets :

 

DC Collectibles, Dc Direct, Fariboles Productions, Hot Toys, Ikon Design Studio, Iron Studios, Leblon Delienne, Mc Farlane, Oniri Créations, Oxmox, Pixi, Plastoy, Pop Culture Shock, Prime 1 Studio, Queen Studios, Sideshow Collectibles, Tweeterhead et XM Studios

 

Christian Mallet :

A propos de l'auteur :

Christian Mallet est né en 1964, à Bordeaux, il crée en 2005, un site et un forum de discussion sur les figurines dans l'univers de la BD et du cinéma. En 2010 il décide de mettre sur papier les connaissances acquises sur son site internet en créant cote-a-cas.net : "Les fiches". En 2012, il décide de se lancer dans l'édition en finalisant l'écriture d'une version sous forme d'Argus et de Recensement de ses fiches sous le nom : CAC3D.

 

 

Edmond Tourriol

Edmond Tourriol est un traducteur de comics et scénariste de bande dessinée français né le 15 janvier 1974 à Talence en Gironde (France).

 

Il opère actuellement au sein du studio Makma.

 

Biographie

Diplômé en communication, Edmond Tourriol s'est consacré à l'univers de la bande dessinée et des comics de super-héros à travers Marvel et DC Comics.

 

Pendant ses études en communication à Bordeaux, il a élaboré le fanzine W.O.L.F, un magazine portant sur le heavy metal. Cette expérience lui permettra d'apprendre à diriger une équipe et à créer une mise en page. À la suite de la création de ce magazine, il a fondé le studio associatif Climax Comics en 1998 avec son associé de l'époque, Olivier Dejeufosse. Au sein de ce collectif, il publie une vingtaine de fanzines et écrit plusieurs épisodes de ses séries Reflex et Zéro Force. Ce travail lui a permis d'acquérir ses premières notions en gestion de projet BD et en lettrage. En 2001, en collaboration avec Stephan Boschat, il lance une société de communication : la SARL Clark System Innovation. C'est cette même année qu'il devient traducteur de comics américains pour les éditions Semic. Il intervient sur des centaines de comic books dont Superman, Batman, Teen Titans, Invincible, Walking Dead. Edmond Tourriol est répertorié comme traducteur professionnel au sein de la Maison de la Traduction en Nouvelle Aquitaine.

 

En 2003, le studio Makma est fondé et rassemble une trentaine d'artistes. Ils travaillent comme prestataires pour des éditeurs des deux côtés de l'Atlantique. En 2004, avec Nicolas Duverneuil, il lance le site Superpouvoir.com.

 

En plus d'être traducteur, il est scénariste BD. Aussi, Edmond Tourriol reprend sa carrière de scénariste. Sur les dessins d'Eckyo, il écrit une série manga, Zeitnot publiée chez les Humanoïdes Associés. Avec Stephan Boschat, il coécrit le scénario de Mix-Man, un super-héros dessiné par Sid chez Milan Presse. Fin 2007, il écrit l'adaptation en comic book du jeu en ligne Urban Rivals sur des dessins de Samuel Ménétrier et des couleurs de Fred Vigneau, tous affiliés au studio Makma. En janvier 2011, Tourriol publie aux éditions Kantik un premier tome de la série Urban Rivals, dessiné par Rocio Zucchi avec qui il a précédemment collaboré sur Code Néon dans le magazine Shogun.

 

Il a également co-scénarisé, avec Dan Fernandes, la B.D. humoristique Banc de Touche, dont les deux premiers volumes (La Bande à Raymond et Le Grand Fiasco) s'inspirent des déboires de l'équipe de France de football. La série est pré-publiée dans le journal L'Équipe.

 

Depuis 2013, il publie avec Dan Fernandes, Albert Carreres et Ben KG, de la B.D. humoristique Zlatan Style. À cette liste s'ajoute également Le Réveil des Bleus, Neymar Style ainsi que deux mangas : Paris Saint-Germain Infinity et L'Équipe Z.

 

Sa spécialisation dans les ouvrages de foot lui a permis de connaître deux sélections en équipe de France de football des écrivains.

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