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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #festivals

The Returned

Première mondiale

Compétition Internationale

 

Présenté pour la première fois au Festival Européen du Film de Strasbourg 2013, ce film réalisé par Manuel Carballo, aborde des aspects différents des films de zombies habituels, déjà par le fait que c’est le point de vue des zombies qui est mis en avant, et que pour ces derniers rien n’est perdu.

 

En effet un traitement existe, mais il doit être pris tous les jours et bien sûr viens a manqué.

 

Certaines positions de personnages, ne sont pas sans rappeler celles de certains qui voulait mettre dans des « sanatoriums pour sidaiques » les séro- positif il y a plus de trente ans, les tenants de l’ordre et de la morale ce répartissent dans cette œuvre entre une milice et les militaires, alors que les scientifiques sont du « bon côté » de la barrière.

 

Le cinéma fantastique ibérique, a souvent été critique sur le plan social, curieusement étant considéré par la censure franquiste comme n’étant pas de l’art, et peu relativement persécuter, il fut le refuge de la critique sociale et politique du régime. Cela reste dans la culture du cinéma de genre espagnol, même si des contraintes à la fois de co-productions et artistiques, on fait que le tournage c’est dérouler à Toronto (Canada).

 

Le combat mené par une femme, par amour, mais également pour expier par une culpabilité plus ancienne, la mènera loin, peut-être trop loin certains parmi les spectateurs présents à la première mon fait la même remarque : «  la dernière scène est de trop » en fait l’avant dernière scène, la toutes dernières, est en plus a mon avis, pas comme le dis le réalisateur une preuve de courage de l’héroïne, mais un peu hors-sujet.

 

Il reste un bon film, qui peut remporter ce soir, un des prix mis en jeux, mais je ne pense pas au prix principal .je vous recommande néanmoins d’aller le voir à sa sortie en salle.

 

 

 

Casting et Fiche Technique

Réalisateur(s) : Manuel Carballo  Producteur(s) : George Ayoub, Julio Fernandez, Gary Howsam, Bill Marks      Scénariste(s) : Hatem Khraiche      Photographie : Javier Salmones      Montage : Guillermo de la Cal      Musique : Jonathan Goldsmith      Interprète(s) : Emily Hampshire, Kris Holden-Ried, Shawn Doyle   

 

Espagne/Canada •  2013 •  VO Eng. / ST Fr. •  1h40 •  couleur •  Horreur •  Première mondiale

 

Synopsis

Le monde est en proie à une épidémie virale qui transforme les gens en zombies. Le virus peut être maîtrisé grâce à un traitement, mais les stocks mondiaux de médicaments sont en voie d’épuisement et ceux qui ont déjà été contaminés (les Revenants) doivent recevoir des injections régulières pour rester “humains”.

 

D’influents groupes anti-Revenants se forment et le gouvernement impose l’isolement des Revenants par mesure de précaution. Kate, qui soigne ces malades, s’interroge : jusqu’où est-elle prête à aller pour sauver son propre mari ?

 

Secret, trahison et opportunisme deviennent la norme pour les individus comme pour la société dans une situation de déclin provoquée par la panique et la crainte de la monstruosité.

 

Concernant « Dark Touch » , film également en Compétition Internationale, dèja chroniqué sur ce site veuillez suivre le lien en bas de page.

The Returned Trailer (Dir. Manuel Carballo)

Manuel Carballo

Manuel Carballo

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Courts-Métrages Français

Compétition

J’ai retenu de cette sélection un seul film qui m’ait réellement convaincu. Stéphan Cafiero a su choisir pour les deux rôles principaux deux membres d’une même famille d’artistes : Alexandre et Simon Astier, le sérieux du premier éminent professeur face à ce « cas » qu’est cet homme qui rit et dont le rire est considéré dans ce monde particulièrement triste ou le rire semble inconnu et donc dangereux, nous fait passez 19 bonnes minutes ou l’on rit souvent, parfois  à gorges déployer.

 

Des décors particulièrement bien adapté à l’histoire, usine désaffecté, (mais également siège national du Parti Communiste Français, voir les remerciements du générique) donne un cachet particulier au film, sans parlez ds voiture de la marque GAZ utilisé également par les divers protagonistes du film.  

 

Réalisateur(s) : Stephan Cafiero 

 

France •  1900 •  comedy •  19' • 

 

Synopsis

Le professeur Lamarade est réquisitionné par les Forces Spéciales de Sécurité Intérieure afin d’étudier le cas d’un patient atteint d’un mal étrange et contagieux : le rire.

 

Autres films de la sélection:

 

Douce nuit (Silent Night)

Réalisateur(s) : Stéphane Bouquet 

France •  2013 •  thriller •  11' • 

 

Synopsis

Petit, Moyen et Grand, trois malfaiteurs aux mœurs peu recommandables, sont investis d’une mission : récupérer des biens tombés entre de mauvaises mains et les redistribuer à qui de droit.

 

Ecce Mulier (L'Enfer)

Réalisateur(s) : Vanessa Pavie-Crottier 

France-Spain •  2013 •  fantastique •  11' • 

 

Synopsis

Dans un endroit peu éclairé et très enfumé, des hommes font du bruit, boivent, mangent, se battent. La pièce semble être un repère de fous, de vagabonds et d’alcooliques. Quand soudainement…

 

La femme qui flottait (The Floating Woman)

Réalisateur(s) : Thibault Lang-Willar 

France •  2013 •  Comédie noire •  18' • 

 

Synopsis

Un père de famille séparé attend son fils avec impatience. Il s’assure que toute la maison soit bien sécurisée mais à l’aube il découvre le corps d’une femme qui flotte à la surface de sa piscine.

 

Rose or the Mute Liars

Réalisateur(s) : Grégory Monro 

France •  2012 •  horror •  8'

 

Synopsis

Il y a des histoires qu’il est préférable de garder secrètes. Mais parfois certains secrets ne peuvent être conservés. La petite Rose aurait pu vivre une enfance heureuse, mais pour elle ce fut l’enfer, juste l’enfer...

 

The Things they Left Behind

Réalisateur(s) : Guillaume Heulard, Stéphane Valette 

France •  2013 •  drama-fantastic •  16' 

 

Synopsis

New York, novembre 2001. Scott Staley, ancien employé du 110eétage, rongé par la culpabilité d’avoir pris une journée de congé deux mois plus tôt, découvre dans son appartement un objet ayant appartenu à un collègue disparu…

 

Mecs Meufs

Réalisateur(s) : Liam Engle 

France • 2013 • sci-fi comedy • 13' • 

 

synopsis

 

En France, les filles ne draguent pas, ou alors c’est trop rare ou trop discret. Bob, 28 ans en a assez de ce constat et en fait part à ses amis. Mais le voilà soudainement transporté dans un monde alternatif... où les rôles sont inversés !

photo du film

photo du film

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Ouverture du 6eme

Festival du Film Fantastique de Strasbourg

 

Vendredi  13 (septembre ) 2013 à 13h13, fut inaugurer le Village du Fantastique, le président du salon Daniel Cohen, ouvris symboliquement, mais sans masque de hockeyeur, à ce moment précis, le lieu de convergence de tous les amateurs de film de genre, en présence de l’adjoint-au-maire : Jean-Marc Meyer de nombreuses animations ponctueront ce lieu devenu emblématique, on y trouveras en plus d’une restauration, des stands ayant trait a la culture du fantastique et de la S.F.

 

Au cinéma Star Saint-Exupéry, fut présenter le programme de ces 10 prochaines journées, Lucky Mac Kee, président du Jury pour la Compétition Internationale  y pris la parole quelques instants, avant la projection du film : Wa Are What We Are, que nous avions déjà chroniqué sur ce site (suivre le lien ci-dessous).

 

Durant tout le festival, nous publierons non seulement des articles et entretiens traitant des films projeté (en compétition ou non), mais également des as cotés : rencontre, expositions, master class.

 

Ouverture du 6eme Festival du Film Fantastique de Strasbourg
Ouverture du 6eme Festival du Film Fantastique de Strasbourg

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La Nuit Monty Python

 

Samedi 19 octobre dès 21h à la Halle Tony Garnier

Déjà en vente !

 

 

La Nuit Cinéma aura lieu cette année du samedi 19 à 21h au dimanche 20 octobre à 6h ! Un dortoir sera installé derrière l'écran pour reprendre des forces et rester jusqu'au petit matin. Pour les plus vaillants, rendez-vous aux aurores, après les projections autour d'un petit déjeuner, offert par la maison.

 

La Nuit est cette année consacrée aux plus désopilants comiques britanniques de tous les temps (ou presque), les Monty Python ! Révisez votre silly walk, vos répliques cultes, sortez votre cotte de maille et Prenez toujours la vie du bon côté (Always Look on the Bright Side of Life) !

 

Les précédentes Nuits

 

Première Nuit Cinéma du festival Lumière en 2010 spéciale Comédie américaine ! Au programme : The Big Lebowski de Joel et Ethan Coen, Un jour sans fin de Harold Ramis, Elle de Blake Edwards, Tonnerre sous les tropiques de Ben Stiller.

 

En 2011, le festival proposait une Nuit de la Science-fiction avec Le Voyage dans la Lune de Georges Méliès, Soleil vert de Richard Fleischer, District 9 de Neill Blomkamp, La Machine à explorer le temps de George Pal, 2001, l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick.

 

Et en 2012, ambiance rock avec une Nuit Musique et cinéma  : American Graffiti de George Lucas, Quatre garçons dans le vent de Richard Lester, Spinal Tap de Rob Reiner, Walk the Line de James Mangold.

 

(Communiqué de Presse)

La Nuit Monty Python

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NIFFF - COMMUNIQUE DE PRESSE – 13 JUILLET 2013

 

NIFFF 2013 :

Narcisse du meilleur film pour DARK TOUCH

de Marina de Van
et nouveau record d’affluence !


La 13ème édition du Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (NIFFF) s’est achevée samedi soir avec la cérémonie de remise des prix, suivie de la projection de Byzantium de Neil Jordan (Entretien avec un vampire). Le président du Jury international François Cognard a remis le «Narcisse» du meilleur film à DARK TOUCH de Marina de Van (FR/IR/SE, 2013). Pendant 9 jours, Neuchâtel aura vibré au rythme du fantastique, permettant au festival d’atteindre un nouveau record d’affluence : 31.000 entrées ont en effet été recensées par les organisateurs.

Fidèle à sa tradition, le NIFFF a proposé des regards originaux sur l’histoire et l’actualité du cinéma de genre et réuni à Neuchâtel une palette d’invités prestigieux tels que Larry Cohen, Renny Harlin, Marina de Van, Cliff Martinez, Jeff Grace, Roland Click ou encore Orson Scott Card. Au total, le public aura pu assister à 136 projections, découvrir 97 films (80 longs métrages et 17 courts métrages) produits pas une trentaine de pays différents et aller à la rencontre de plus de 100 invités.

Les organisateurs se montrent satisfaits de ce nouveau record d’affluence qui confirme l’intérêt croissant pour le genre fantastique auprès du public et la place prépondérante qu’occupe désormais le NIFFF dans le panorama des festivals suisses et étrangers. Au-delà des spectateurs qui ont afflué durant plus d’une semaine les 4 salles de projections, le public a largement plébiscité les événements connexes mis sur pied par le festival tels que les conférences, masterclasses, débats ou encore les différentes expositions présentées. Traditionnellement prisés des festivaliers pour leur aspect convivial, les espaces off de la manifestation auront accueilli de nombreux visiteurs venus découvrir les DJ sets et performances concoctés par le NIFFF.

Les quatorze titres de la Compétition Internationale ont attiré de nombreux festivaliers et donné lieu à de multiples échanges grâce aux 12 invités venus défendre leur film. Parmi les autres points forts de cette édition: NIFFF INVASION 2013 et, en particulier, le ciné-concert Nosferatu VS Turzi qui mêlait habilement standard du cinéma muet et musique actuelle; la rétrospective When Music Scores ! qui offrait au public l’occasion de (re)découvrir quelques-uns des plus grands classiques du fantastique et a donné lieu à de passionnantes masterclasses sur la création de musique de films; la rétrospective consacrée à l’auteur américain Larry Cohen, présent toute la semaine pour introduire ses films et répondre aux questions du public ; la forte affluence du forum littéraire New Worlds of Fantasy qui proposait notamment une conférence animée par Orson Scott Card, auteur de Ender’s game; la masterclass très suivie de Scott Ross (fondateur, directeur, président Digital Domain , directeur général ILM , Vice-président Lucas Film) consacrée aux enjeux de ‘industrie des effets visuels organisée dans le cadre du symposium Imaging The Future’.

Enfin, relevons la présence importante d’événements destinés à saluer la création suisse : le bon accueil réservé aux 2 réalisateurs suisses sélectionnés en compétition internationale (Mathieu Seiler avec Der Ausflug et Olivier Beguin avec Chimères) ; le succès remporté par le programme de courts métrages suisses et la rencontre du public avec les 11 invités présents ; la discussion sur l’adaptation littéraire animée par l’auteur Vincent Gessler et les cinéastes Samuel et Frédéric Guillaume qui a permis de mettre en lumière les synergies actuelles entre littérature et cinéma ; la cérémonie de remise des prix du « Call for Projects : Swissgames 2012/2013 » qui a réuni des spécialistes suisses et internationaux du jeu vidéo. 

Bilan du 13e NIFFF

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We Are What We Are

Compétition Internationale

 

(NIFFF 2013)

 

Ce film à eu 3 nominations à la Quinzaine des Réalisateurs 2013 (édition n° 45) : Prix SACD   Jim Mickle, Art Cinema Award Jim Mickle, Label Europa Cinéma.

Précédemment Jim Mickle avec réalisé et scénarisé : Mulberry Street  en 2006 et Stake Land en 2010.

Il est le remake de : «  Ne nous jugez pas » (Somos Lo Que Hay) de 2010  de Jorge Michel Grau, qui réalisait son premier long-métrage avec dans les rôles principaux Francisco Barreiro, Alan Chávez qui a obtenu le grand prix au Fantastic'Arts — Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2011 (édition n° 18)

Jim Mickle reprend, l’histoire de base en la situant dans un autre lieu, une autre époque, avec d’autres personnages et d’autres circonstances, il en demeurera pas moins dérangeant pour beaucoup. Apres la réalisation

Ils sont cannibales par la volonté de Dieu ! Mais après tout (cette fois c’est moi qui vais choquer) les pratiques de l’eucharistie dans les Églises d’Orient et d’Occident : « Bois ceci est mon sang, mange ceci est mon corps », n’est rien d’autre qu’une forme de cannibalisme mystique.

« L’eucharistie culmine avec la communion, c’est-à-dire le partage des éléments eucharistiques — le pain et le vin — qui sont, pour les Chrétiens, le corps et le sang du Christ, offert en sacrifice sur la croix et ressuscité. Les catholiques décrivent en outre l’Eucharistie comme une véritable actualisation, non sanglante, de l’unique sacrifice du Christ en vue du Salut, par le ministère du prêtre, configuré au Christ (alter Christus). Les protestants s’y refusent, considérant que cela diminue la dignité du sacrifice de la Croix ». : Wikipédia)

Le comportement du père très mystique pratiquant et une forme extrême de cette communion, avec un dieu, que cette famille au court des décennies s’est construits, avec leur propre « bible ».

Très bien interpréter et mise en scène, on peut quand même regretter entre la sortie du film original et le remake une aussi courte période (2 ans), le premier avait fait scandale a sa sortie au Festival de Cannes en 2011, je doute que ce second « Opus » fasse le même effet.

 

 

Résumé :

Les Parker sont connus dans le village pour leur grande discrétion. Derrière les portes closes de leur maison, le patriarche, Franck, dirige sa famille avec rigueur et fermeté. Après le décès brutal de leur mère, Iris et Rose, les deux adolescentes Parker, vont devoir s'occuper de leur jeune frère Rory. Elles se retrouvent avec de nouvelles responsabilités et n'ont d'autre choix que de s'y soumettre, sous l'autorité écrasante de leur père, déterminé à perpétuer une coutume ancestrale à tout prix. Une tempête torrentielle s'abat sur la région, les fleuves débordent. Les autorités locales commencent à découvrir des indices qui les rapprochent du terrible secret des Parker…

 

Fiche technique et casting

Réalisateurs :Jim Mickle

 Acteurs et actrices

 

Rôles principaux

Kelly McGillis  Rôle : Marge

Ambyr Childers  Rôle : Iris Parker

Odeya Rush  Rôle : Alyce Parker

Michael Parks (II)  Rôle : Doc Barrow

Wyatt Russell  Rôle : Agent de police Anders

Julia Garner  Rôle : Rose Parker

Bill Sage  Rôle : Frank Parker

Nick Damici  Rôle : Shérif Meeks

 

Autres rôles 

Mathias Parker : Joel Nagle 

Emilie :  Vonia Arslanian 

Arlene Stratton : Annemarie Lawless 

Monsieur Kimble : Nat DeWolf 

La mère d'Alyce   Reagan Leonard 

 

Production

Producteur   Rodrigo Bellott 

Producteur exécutif   Brett Fitzgerald

Coproducteur : Nicholas Kaiser 

Producteur exécutif : Emilie Georges 

Producteur : Andrew Corkin 

Producteur : Nicholas Shumaker 

Producteur exécutif : Tanja Meissner 

Producteur exécutif : Linda Moran 

Producteur  Jack Turner 

 Producteur exécutif : Mo Noorali 

Producteur exécutif : Jacob Pechenik 

 

Scénario

Scénariste : Nick Damici 

Scénariste : Jim Mickle 

 

Equipe technique

Coordinatrice de production : Cynthia Chou 

Effets spéciaux : Pete Gerner 

Coordinateur des cascades : Anthony Vincent 

Assistant monteur : Aaron Crozier 

Scripte : Zorinah Juan 

 Assistant de production : Stephan Prevost 

Compositeur : Phil Mossman 

 Directeur de la photographie : Ryan Samul 

Directeur du casting : Sig De Miguel 

 Chef décorateur : Russell Barnes 

 Directeur artistique : Ada Smith 

 1er assistant réalisateur : Joseph Ciccarella 

Réalisateur de 2nd équipe : Eric Stanze 

Chef accessoiriste : Jessie Katz 

Monteur son : Linzy Elliot 

 Chef monteur : Jim Mickle 

Monteur son : Jerrell Suelto 

Directeur du casting : Stephen Vincent 

 Assistant de production : Brandon Regina 

 

Sociétés

Distributeur France :Wild Side Films / Le Pacte

 Production :Memento Films International

  Production :Uncorked Productions 

Pays de production : USA

Année de production : 2013

Durée : 100

Version : english

ST : français

Âge minimum : 16

Genre : horreur, drame

We Are What We Are Compétition Internationale (NIFFF 2013)

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Here Comes the Devil (NIFFF 2013)

Competition internationale

Pays de production : Mexico/USA

Année de production : 2012

Durée : 97

Version : spanish

ST : english, français

Âge minimum : 16

Genre : horror, supernatural

Réalisateur déjà de nombreux court et longs métrages de films de genre, Adrián García Bogliano  nous offre un film de facture classique (trop diront certains) dans le genre supranaturel, effectivement on pense aux films des années 70 de John Carpenter voir de Wes Craven, il n’en reste pas moins que la fin surprendra.

L’autre critique que l’on peut faire de ce film c’est qu’il n’explore pas les possibilités qu’offrait la culture « démoniaque » mexicaine, pour ne pas dire Aztèque, certes cette culture est fortement imprégnée de christianisme de nos jours, mais même l’église « s’arrange » au Mexique avec certains us et anciennes coutumes.

Il reste un très bon film, méritant d’être vu

 

*******

 

Résumé : Une famille au bord de la crise de nerfs organise un pèlerinage au vert et perd les enfants. Quand enfin ceux-ci réapparaissent, ils sont complètement métamorphosés. L’angoisse absolue !

CASTING ET FICHE TECHNIQUE

 

 

Réalisateur et scénariste : Adrián García Bogliano 

Acteurs et actrices :  

Francisco Barreiro Rôle : Felix

Laura Caro Rôle : Sol

Alan Martinez

 

Production

Producteur délégué Badie Ali 

Producteur délégué Hamza Ali 

Producteur délégué Malik B. Ali 

Producteur délégué Greg Newman 

 

Équipe technique

Monteur   Carmen Vargas 

 

Production MPI Media Group

****

Filmographie (source IMBD)

Scénariste (21 titres)

2012 The ABCs of Death (segment "B is for Bigfoot")

 2012 Ahí va el diablo (writer)

 2011 Penumbra

 2010 Sudor frío

 2010 Donde duerme el horror

 2009 Masacre esta noche (writer)

 2008 No moriré sola (screenplay / story)

 2006 36 pasos (written by)

 2005 Grité una noche

 2004 Habitaciones para turistas

 2004 Caja de acertijos

 2002 Concurso (short)

 2001 Intensidad (short)

 2001 Molina's Test (short)

 2000 Dolman 2000 (short) (as Massaccesi, Margueritti & Pandersolli)

 1999 El rodeo (short) (writer)

 1999 La forma (short) (writer)

 1998 Cuenta cadáveres (short) (writer)

 1998 Policlínico miserable (short) (writer)

 1998 Snuff (short) (writer)

 1997 Monga (short)

 

 Director (18 titles)

Non daté Late Phases (filming)

 2012 The ABCs of Death (segment "B Is for Bigfoot")

 2012 Ahí va el diablo

 2011 Penumbra

 2010 Sudor frío

 2010 Donde duerme el horror

 2009 Masacre esta noche

2008 No moriré sola

2006 36 pasos

 2005 Grité una noche

 2004 Habitaciones para turistas

 2004 Caja de acertijos

 2001 Intensidad (short)

 2000 Dolman 2000 (short) (segment "Yo soy Godzilla")

 1999 El rodeo (short)

 1999 La forma (short)

 1998 Cuenta cadáveres (short)

 1998 Snuff (short)

 Editor (6 titles)

2012 The ABCs of Death (segment "B is for Bigfoot")

 2009 Masacre esta noche

 2008 No moriré sola

 2006 36 pasos

 2005 Grité una noche

 2004 Habitaciones para turistas

 

Camera and Electrical Department (3 titles)

2009 Masacre esta noche (camera operator)

 2008 No moriré sola (camera operator, still photographer)

 2006 36 pasos (camera operator, still photographer)

 

Actor (2 titles)

2011 Plaga Zombie: Zona Mutante: Revolución Tóxica Guerrero del Este

 2007 Doctor Infierno Victima 1

 

Producer (2 titles)

2010 Sudor frío (associate producer)

 2005 Grité una noche (associate producer)

 

Cinematographer (1 title)

2005 Grité una noche

 

 

Self (2 titles)

2012 In Context (TV series documentary) Himself

– All My Friends Are Vampires (2012) … Himself

 

2009 Rojo sangre - 10 años a puro género (documentary) Himself

 

 

Photo et affiche du film
Photo et affiche du film

Photo et affiche du film

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  • LeDouble (dessinateur, stroryboardeur,)

  • « Friskoz Invaderz From Space »

    Bonjour LeDouble,

    Tu peux te présenter ?

    Je suis le scénariste de « Friskoz Invaderz From Space » avec Niro comme dessinateur et coloriste (Friskoz Invaderzen  [Indeez urban editions], Mutafukazen [Ankama Éditions], Star Trek [Delcourt], c’est le premier tome d’une trilogie, c’est ambiance série Z, science fiction post-apocalyptique.

    Je suis à la fois le scénariste et le stroryboardeur, j’ai fait tout le découpage et les dialogues, l’histoire je l’ai faite en partenariat avec Niro.

    Tu peux nous donner le contexte de l’histoire.

    On part du principe que 2012 est vraiment arrivé, avec la montée des eaux, la Terre c’est retrouvez submerger avec des milliers de morts et il ne ne reste qu’une ville qui était très en hauteur et est devenu une ile.

    L’histoire ce déroule sur cette ile, et il c’est développer dans cette ile une politique anti-migratoire très sévère, ils ne veulent pas des survivants, ils ont à peine de quoi vivre et ils rejettent tout ce qui est les réfugié climatique.    Et dans cette ambiance un peu délétère, on suit les aventures Nick Loomis un détective privé, c’est inspiré du docteur dans Halloween, ils y a pleins de clins d’œil aux films d’horreur, que l’on trouve un peu partout dans l’album.   

    Ca particularité c’est la même que le dessinateur, c’est qu’ils sont tous les deux handicapés, Niro a le syndrome de little, c’est-à-dire une atrophiée des membres inférieures, et Nick Loomis marche avec des béquilles.

    J’ai voulu travailler la dessus parce que Niro est venu avec ce personnage-là qui changeait un peu de ce que l’on a l’habitude de voir.

    C’est Niro qui a proposé ce personnage ?

    Exactement, il a proposé tout l’univers, toute l’idée et ensemble on a travaillé et préféré positionné ça dans une ambiance de science-fiction post-apocalyptique, car généralement les films de science-fiction, c’est une occasion de parler de chose qui dérangent.

    C’est édité par qui ?

    C’est sorti chez Indeez urban éditions dans leur collection : Urban, le premier tome fait 92 planches.

    Le tome 2 devrait sortir en janvier 2013, le suivant a déjà une trentaine de pages finie.

    Puis-je te demander ce que tu avais fait avant ?

    C’est ma première bande dessinée importante, j’ai travaillé il y a 4 ans avec un petit éditeur numérique, j’y faisais une série uniquement disponible sur Internet, avec des dragons dans un bar, cela parlait également de la fin du monde.           

    Quelles sont les références et les influences pour « Friskoz Invaderz From Space »?

    Concernant « Friskoz Invaderz From Space » on est sur du post apocalyptique, cela n’est pas « Ken, le survivant » ou « Mad Max », on est entre les deux, les influences c’est plus les séries Z, on c’est permis un humour très gras et gore également, c’est ce que nous aimons.

     Les références graphiques, c’est plus Niro qui aurait pu vous en parler avec des films comme « Bad Taste » de Peter Jackson de la première époque.

    Moi c’est les TROMA, « Elmer, le remue-méninges », on est plus dans cette ambiance, Niro à réussit faire ressortir des couleurs, c’est très marqué « Métal, » la musique Métal, Niro étant un fan de Métal.

    On as des passage un peu gore, il a vraiment fait un travail sur les couleurs qui est magnifiques, de la texture, je suis très content de travaillé avec lui, car il a beaucoup de talent.

    À plus long terme quels sont tes projets ?

    Je prépare une autre bande dessinée, c’est un thriller avec des légumes, cela serrât, je pense, a voir, l’idée c’est aussi des fruits et des légumes qui s’embrouille entre eux, il y aura aussi des recettes de cuisine.

  •  

     

     

    Réalisé au Salon de la BD de Lyon

     

     

LeDouble
LeDouble

LeDouble

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Rosinski, Grzegorz Thorgal Le Lombard

 

Rosinski, Grzegorz «  Thorgal » Le Lombard

 

Bonjour,

 

Vous aviez 36 ans quand les premières planches de « Thorgal » ont été publiées dans « Tintin », vous étiez bien sûr très loin de penser au succès que cela aurait.

 

Bien sûr, la bande dessinée dans mon esprit cela n’existait pas. Je l’ai fait par la passion de raconter cette histoire, je pense qu’il y a plusieurs éléments qui se sont conjugué. Je pense que c’est le manque d’images après la guerre qui a créé ce désir de la créer.

 

Comment avez-vous rencontré, votre alter ego je dirais, puisque vous collaborez avec Van Hamme depuis plusieurs décennies.

 

« Papa Thorgal », moi je suis « Maman Thorgal ».

 

Vous êtes « Maman Thorgal » (rire).

 

Oui puisque j’écris durant 9 mois, j’accouche de l’album. C’est par hasard j’ai fait un petit voyage en occident, j’étais dessinateur de presse, illustrateur, j’ai fait des travaux en Pologne, mais ce n’était pas du même niveau, c’était des illustrations pour des livres, c’était donc toujours avec une idée littéraire. J’ai été chez un ami qui a essayé de me faire connaitre des éditeurs de BD, mais lui-même n’était pas éditeur de bande dessinée, il éditait des calendriers, des cartes postales, mais c’était un maniaque des   belles illustrations, je n’ai jamais rencontré un Belge neutre envers la bande dessinée.

Une personne a dit : « oh tiens quelqu’un qui travail chez Philips, j’ai un ami qui a démissionné parce qu’il voulait écrire des scénarios, faire du cinéma… il a téléphoné à Jean   (Van Hamme NDLR), c’est le premier scénariste qui m’a fait confiance pour une BD plus longue que trois pages. 

Dans votre biographie j’ai vu que vous aviez découvert pour partie la BD dans “Vaillant”.

 

C’est ma découverte, il n’y avait pas d’autres bandes dessinées francophones que le journal “Vaillant”, c’était le seul. Je conserve encore cet exemplaire, je garde les archives. Malgré les déménagements fréquents, j’ai réussi à conserver énormément d’archives de cette époque, dont l’exemplaire en questions qui date de l’année 49, 1949. Avec les Pionniers de l’Espérance, les fils de Chine, Fango…

 

C’était vraiment un coup de foudre.

 

Il y a eu des expositions sur vous pouvez vous nous en parler.

 

Ici (Festival d’Angoulême NDLR) et ensuite à Paris, c’était la même, mieux exposée et augmentée, elle a été présentée dans d’autres pays. C’était un peu “Tout Rosinsky” .

 

Justement dans ce “Tout Rosinski” que pouvait-on trouver.

 

Ce que j’aurais aimé y trouvé les meilleurs, c'est-à-dire ceux refusés par les éditeurs de l’époque.

 

Et les illustrations.

 

C’était mon rêve de faire des illustrations, mais de nos jours on ne peut pas en vivre c’est tellement mal payé. Je peux me permettre d’en faire maintenant, car je peux vivre de mes droits d’auteur qui viennent des fonds éditoriaux.

 

Un jeune ne peut pas faire vivre sa famille, si on est responsable, si j’étais comme a l’époque un jeune chargé de famille avec des enfants cela ne serait pas possible, de faire de l’illustration.

 

L’âge d’or de l’illustration est fini. J’aime beaucoup l’illustration américaine. L’illustration de contes de fées, je vois des jeunes qui en ont le désir, je me considère comme un illustrateur.

 

Un roman graphic vous tenterait.

 

Oui, mais pas a la manière américaine, mais a la mienne, j’ai beaucoup d’idées concernant la nouvelle formule des livres visuels, je travaille avec mon fils qui est graphiste qui a la même formation que moi, c’est lui qui fait les tirages de tête, les éditions de luxe et des publicités, mais c’est lui l’auteur et il fait ça très très bien.

 

J’ai des idées un peu folles, mais lui les corrige “non papa, non papa, tu exagères avec tes idées, ce n’est pas applicable, ce n’est pas réaliste.”. Il est réaliste, car il travaille avec des personnes, alors que je suis solitaire.

 

Vous avez des projets.

J’ai toujours pleins de projets, pour “Thorgal” seulement la série mère, c’est pour ça que nous avons créé “Les mondes de Thorgal”, pour que les meilleurs dessinateurs et scénaristes disponibles qui ont envie de participé a cette aventure un peu comme Rosinski de l’époque s’essaie au dessin réaliste de la bande dessinée traditionnelle.Moi je vais aller beaucoup plus loin.

 

C'est-à-dire ?

 

Des projets dans un sens visuel, d’application visuelle, je suis plus spécialiste de communications visuelles, de l’illustration que de la bande dessinée. La BD est considérée comme un moyen d’expression que j’adorais.

 

Vous n’aimez plus ?

C’est difficile pour moi de répondre à ça, je ne lis plus les BD, je les dessine, c’est un peu normal, comme les réalisateurs, c’est très rarement que Ridley Scott, Spielberg va au cinéma regarder des films.

 

Je réfléchis plus aux phénomènes sociaux, plus sociaux culturels c’est quoi la bande dessinée, comment on la fait bouger, comment on fait de la BD d’avant-garde la conceptualisé n’est pas la solution, à mon avis c’est idiot la bande dessinée, ça la coupe du grand public.

 

Pour moi c’est un média pour le grand public, il faut que le public puisse s’identifier avec des dessins réalistes, clairs, lisibles, elle doit être, je vais donc continuer a faire des dessins réalistes, même si je peux faire des dessins non figuratifs.

 

Il faut réfléchir à quoi sert la BD, si ce n’est pas grand public pour moi ça n’existe pas, c’est POP-ART, le vrai pop’art ce n’est pas ce que les américains, ce n’est pas ce que fait Lichtenstein (voir note) ou des amis à New York, ils nous ont volé le nom de “POP ART”, le vrai pop art, le vrai art populaire c’est la bande dessinée, si quelqu’un n’est pas d’accord, cela ferait un bon débat, je pense, mais il y a pas discutions c’est clair la BD est l’art populaire par excellence.

 

Vous pourriez nous écrire des ouvrages théoriques sur la BD ?

J’aime beaucoup la théorie à condition qu’elle ne soit pas à “côté de la plaque” beaucoup, j’aime bien que les propos clairs soient compressibles par tous, je n’aime pas la théorie ou les gens qui lisent n’y comprennent rien.

Merci de bien avoir voulu nous accorder cet entretien.

C’est moi qui vous remercie.

 

 

(Remerciements également au service de presse des Éditions Le Lombard pour son aide.).

Note :

Roy Fox Lichtenstein, né le 27 octobre 1923 à Manhattan, New York[1] et décédé le 29 septembre 1997 à Manhattan, est un des artistes les plus importants du mouvement pop art américain. Ses œuvres s'inspirent fortement de la publicité et de l'imagerie populaire de son époque, ainsi que des “comics” (bandes-dessinées). Il décrira lui-même son style comme étant “aussi artificiel que possible”. (source Wikipédia).

 

Rosinski, Grzegorz Thorgal Le Lombard

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