Philippe Xavier Croisade / Nomade
Bonjour Philippe
S.D : Pouvez vous nous parlez des cycles « Croisade-Nomade » ?
P.A : Nomade est la suite de Croisade avec le même personnage principal, j’ais commencer par une série de 3 et face au succès il as été décidé de continuer dès le deuxième tome.
S.D : Pourquoi des série de trois sont si généralisé ?
P.A : depuis la loi Jack Lang , il es interdit d’avoir des contrats a vie lien un auteur ( ou dessinateur) avec une maison d’édition, cela a conduit a des cycles plus court.
S.D : Comment construit on un tel univers ?
P.A : au départ j’ais pris la Ville de Jérusalem au moment de croisades comme toile de fond, puis comme sur un échiquier pièces par pièces j’ais avancé dans la construction de cet univers.
S.D : On peut connaitre vos projets, allez vous continue cette saga ?
P.A : il es un peut tot pour en parler, mais oui j’ais deux projets dont un ce siturais en Amoazonie.
S.D. : Merci de votre accueil et nous rendrons compte de vos futurs albums.
Note : le scénariste des ces séries est bien sur Jean Dufaux
S.D et I.M
BIOGRAPHIE (officielle)
Philippe Xavier est né à Bordeaux, mais la sédentarité semble être un mot absent de son vocabulaire. Il effectue des études de publicité en Argentine, avant d’aller exercer au Chili. Il émigre ensuite, douze ans durant, aux États-Unis où, non content d’être – entre autres petits boulots – professeur de judo à l’université de Géorgie, il devient dessinateur de comics, pour Marvel, Peregrine, Caliber Comics ou les prestigieux magazines « Heavy Metal » et « Frank Frazetta Illustrated ». Il serait simple de penser que le fait d’être l’un des premiers Français à avoir conquis le Nouveau Monde a suffit à attirer l’attention d’Ange, qui lui propose de revenir en Europe réaliser Le Souffle puis la reprise de Paradis perdu, chez Soleil. Ce serait passer un peu vite sur un dessin qui mélange pleinement ses origines européennes, mariées à cet encrage en pleins et déliés dont les Américains sont friands. Sa rencontre avec Jean Dufaux le pousse à faire évoluer encore ce graphisme au fil des pages de Croisade. Pour mieux laisser vivre les somptueuses couleurs de Jean-Jacques Chagnaud, Philippe Xavier épure encore beaucoup son trait, il apprend à aller à l’essentiel, sans fioritures, et donne enfin toute sa pleine mesure à raison de deux albums tous les dix-huit mois.
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