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CIVIL WARD film d’ouverture du 42em BIFFF
CIVIL WARD
film d’ouverture du 42em BIFFF
Hier, je me suis rendu au BIFFF pour la 42eme édition (s’était ma 15ème participation à moi, ce qui est quand même pas mal). Cette année, il y a quelques surprise : notamment moins de films mais surtout du changement au niveau de la cloture puisque d’habitude nous avions droit à un seul film et désormais, il y a des séances pour montrer tous les films qui auront gagné des prix et s’est vraiment une riche idée à mon sens, surtout quand on n’a pas l’occasion d’aller voir tout les films du festival, ce qui est mon cas. Bref, entrons dans le cœur du sujet : cette séance d’ouverture. D’abord une salve de discours sur la scène où les organisateurs ont remercier les sponsors (un classique !) et dis quelques mots pour les spectateur qui se sont de nouveau masser très nombreux lors de cette première projection. On a donc pu voir la trombine de Jonathan (Jon pour les intimes) et de Youness qui lui est rester en coulisse. Les traditionnels « Une chanson ! » on résonné et sincèrement, les invités étaient bien voie ce soir. Stéphane a fait le show avec une série de blagues que je n’ai pas compris mais qui ont fait rire, c’est déjà ça ! Puis, le film a commencé. Civil War d’Alex Garland avec, excusez du peu, Kirsten Dunst en premier rôle (une pièce de choix même si elle n’est plus aussi appétissante qu’avant). Le contexte : on suit des photographes de guerre qui risques leur peau en plein milieu d’une guerre civile américaine et qui désirent interviewer le président qui est jusque là impossible à approcher. Alors, soyons franc, pour un film d’action ça en manque un peu, d’action. D’ailleurs, à un moment quelqu’un dans le public a crié « Action » et ça a déclenché quelques rires franc. Pendant une bonne heure, le film se traine et sa n’avance pas beaucoup. Puis surtout, pourquoi aller chercher dans la science-fiction alors que, en Afrique, y a plein de pays où ce genre de situations avec des photographes de guerres prennent des risques existe ? Pourquoi Garland n’a pas fait plutôt un film sur l’actualité ? Y aurait plein de choses à dire, notamment sur des situations compliqués comme celle qu’il y a actuellement avec la Palestine et le Proche-Orient et sa Bande à Gaza. Enfin, c’est un choix du réalisateur et finalement, ça paie vers la fin qui est beaucoup plus dynamique mais il faut que le spectateur ronge son frein jusque là parce que c’est quand même long. Heureusement, pour se redonner un peu d’énergie, y avait le verre de l’amitié, histoire de revoir quelques « copains » (je mets des guillemets parce que je ne les vois pas en dehors du festival), comme Richard, le gentil vendeur de DVD (un vrai mythe ce gars tellement il est chouette), l’inimitable présentateur qu’on ne présente plus, vraiment un chouette gard aussi et enfin, Alain Deprez avec qui j’ai pu discuté de ses nouveaux projets de vidéos avec des chroniques sur le cinéma obscur (ça promet).
On se retrouve très bientôt pour quelques chroniques de cette belle cuvée du BIFFF.
De notre correspondant au BIFFF Hugues TAYEZ
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CIVIL WARD film d’ouverture du 42em BIFFF
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