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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #aliens

Stéphane RIBERA

Stéphane RIBERA

Entretien : Stéphane RIBERA

Que l’auteur soit remercié  pour les 2 extraits.

 

Merci de laisser un commentaire

Pensez à faire connaitre le site  à vos mis et contacts.

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Présentation du roman :Mille ans après notre ère.

Un groupe de hors-la-loi cherche à découvrir qui est à la tête du Ram Fractal, un état totalitaire qui règne sur la Terre et ses colonies planétaires. Activement recherchés par l’autorité ainsi que par d’autres groupuscules aux intérêts divers et opposés, ils traversent la Galaxie peuplée de rebelles déterminés, pirates sanguinaires, marchands mafieux sans scrupules, fanatiques religieux, robots implacables, mutants inquiétants, et autres créatures aussi hétéroclites que surprenantes.

 

Mais à l’aube d’un conflit intergalactique avec les forces sinistres du Ram Fractal, l’étau se resserre autour d’eux. Conflit, où seuls ceux sachant maîtriser leurs peurs et cultiver leurs différences survivront.

 

 

Extrait du livre

Extrait 1

Ils quittèrent le magasin, Alkreg récupéra ses armes dans le vestibule et une fois dans la rue, il dit à Roger : —C’est indispensable à notre époque, ces traducteurs miniaturisés vous permettront de comprendre la quasi-totalité des langues et dialectes parlés dans la Galaxie, soit environ quinze mille cinq cents formes de langage.

—Impressionnant, répondit Roger. Après quelques minutes de marche, Alkreg prit Roger par le bras.

—Venez, il est temps de se restaurer ! Nous sommes dans une partie de la ville où nous devrions être au calme.

 

Ils pénétrèrent alors dans un bar. Un couple était attablé au fond de la salle principale et deux hommes discutaient sur leur gauche. Le tenancier était présent. Il somnolait derrière son comptoir et l’entrée des deux personnes le fit brusquement sursauter. Ils s’assirent à une table et commandèrent une bière ainsi qu’une petite collation colorée.

 

Roger était affamé ; il ne chercha pas à savoir ce qu’il y avait dans son assiette et il ingurgita ce qui semblait être un blanc de poulet et une mixture à la teinte bleutée. Il reprit alors la conversation qu’ils avaient laissée en suspens à l’entrée de la ville.

 

—Pourquoi ces robots sont-ils un mal ?

Alkreg reprit son récit : —Lorsque les Stellians ont aidé les humains à reconstruire les bases d’une civilisation, les robots ont joué un rôle important et ils sont devenus de plus en plus nombreux.

—Et alors ?

—Et alors ? Un jour, ils se sont révoltés. Personne n’a jamais su pourquoi et je pense que personne ne le saura jamais. Ils se sont révoltés et voilà tout : c’était il y a cinq siècles, dans les années 2480. En quelques mois, ils ont pris le contrôle de la Fédération terrestre et ont chassé les Stellians.

 

—Et depuis ?

—Ils ont beaucoup œuvré, mais seulement pour leurs propres intérêts. Ils se sont lancés à la conquête des étoiles, ils ont colonisé de nouveaux mondes, ils sont entrés en contact avec d’autres ethnies galactiques et leur pouvoir est devenu immense….

 

Extrait 2

Après un vol d’une heure, la capsule de sauvetage pénétra à très grande vitesse dans l’atmosphère vénusienne. Cette intrusion fut extrêmement mouvementée : la capsule tremblait fortement dans un bruit d’enfer et ses occupants s’accrochaient fermement à leur harnais de sécurité.

 

 

—Mais vous vous rendez compte, cria Kevin en tremblant. Je suis resté mille ans dans un putain de sarcophage à flotter dans un liquide qui ressemble à de la pisse d’âne. Je me réveille dans un monde de science-fiction post-apocalyptique, et là… là, j’ai l’occasion de voyager dans un vaisseau spatial ! Un truc de ouf que jamais j’aurais pensé pouvoir faire un jour. Et je voyage dans quoi ? Un vaisseau benne à ordures ! Mais sérieux !! Un voyage en première classe ? Non mon con ! Dans une benne à merde !! Il fit une grimace qui aurait probablement inspiré Tex Avery.

 

—Et maintenant que je pue la merde et la bidoche avariée, ajouta-t-il, je vais me crasher la tronche, saucissonné dans le baquet d’une capsule de survie sur une planète où il fait quatre cent cinquante degrés et où il pleut de l’acide sulfurique ! Fait chier merde !!!

—On va s’en sortir, lui répondit Vladimir, t’inquiète pas ! Et laisse-moi te dire que tes données sont un peu erronées. Le Ram, depuis cent soixante-quinze ans, a entamé la terraformation de Vénus. La température n’est plus que de quatre-vingts degrés Celsius en moyenne. L’atmosphère est toujours aussi dense, un peu moins corrosive, mais la pression atmosphérique est tombée à vingt-cinq atmosphères.

 

—Super, dit Kevin en bougonnant.

—Et pardon de t’avoir un peu secoué tout à l’heure.

—Merci, répondit Kevin. Je peux clamser kiltran maintenant que je sais qu’t’es plus vénère après moi.

Vladimir eut un petit sourire, il avait dû comprendre ce qu’avait dit Kevin. Les vibration s’amplifièrent. Après une chute de plusieurs minutes, le module de sauvetage actionna ses rétrofusées, le freinage fut extrêmement puissant, et soudain il y eut un grand choc. Des coussins gonflables de sécurité se déployèrent sur chaque siège. La capsule venait de toucher avec fracas le sol vénusien. Dans l’habitacle de cette dernière, quelques courts-circuits firent jaillir des étincelles et une légère fumée envahit l’espace. Les cinq occupants avaient été sérieusement secoués et il leur fallut quelques instants pour reprendre leurs esprits. Mad Sexe et Destrex furent les premiers à s’extraire de leurs sièges baquets.

 

Présentation de l’auteur :

Passionné par le spectacle d’un ciel étoilé depuis sa plus tendre enfance, c’est en 2017 que Stéphane décide de se lancer dans une aventure un peu folle : raconter, au travers d’une saga romanesque, l’épopée d’une bande de barjots qui écume les océans cosmiques en quête d’aventure et de vérité.

C’est alors qu’il débute la saga Diwarh’ya qui sera plébiscitée par les amateurs de science-fiction, comme « une future référence de la littérature ».

 

Interview de l’auteur

Yves Roumiguieres, présentez-vous ?

Je m’appelle Stéphane RIBERA et j’ai 53 ans. Né au Canada, je vis en France depuis mes deux ans. Je suis passé par la région parisienne, le Berry et vit actuellement avec ma compagne près de Montpellier où je gère une société de déménagement familiale. Père de deux enfants, grands père de quatre, mes périodes de vacances sont souvent… chargées.

 

 

Écrivain est-il un métier que vous envisagiez de faire ? Où vous voyez-vous dans cinq ans ?

Pas du tout, même si je me suis essayé à quelques nouvelles lors de mon adolescence, je n’ai jamais eu la prétention de le devenir. Je ne sais pas encore si je pourrais en faire mon métier mais ce serait fantastique. Ce ne serait même pas un métier… quand on aime ce qu’on fait, c’est une passion.

Ou trouvez-vous votre inspiration ?

Partout ! Autour de moi, dans les paysages que je vois, chez les gens que j’aime observer et écouter, dans les faits divers que j’entends sur les ondes ou que je vois à la télé. Et puis le soir, juste avant de m’endormir, quand mon esprit imaginatif et prolifique vagabonde dans des contrés infinies et inexplorées.

 

Maintenant, parlez-nous de votre roman ?

Diwarh’ya est une adaptation romancée d’aventures que j’ai vécu lors de mon adolescence où j’étais féru de jeux de rôles (Donjons et Dragons, L’appel de Cthulhu, MEGA, Traveller). Passionné de science fiction et d’astronomie depuis tout gamin, j’ai eu envie de retranscrire ces histoires en y ajoutant un cadre romanesque riche de personnages et de mondes fantastiques, le tout articulé à un univers palpitant.

 

 

 

 

Où vous voyez-vous dans cinq ans ?

J’ai juste envie d’écrire des histoires pour donner de la joie à mes lecteurs et leur permettre de s’évader, un temps, des vicissitudes de notre monde actuel. J’espère qu’ils aimeront mon travail, qu’ils prendront du plaisir à lire ce premier roman et surtout, qu’ils en redemanderont ! La suite promet d’être pleine de rebondissements.

 

En haut de l’affiche… non j’déconne, ma vanité n’est pas assez développée pour ça. J’aimerai juste être dans un coin sympa, en bonne santé, près de ceux que j’aime avec toujours…une plume à a main.

 

 

 

 

 

La Grande Vague :

Née en 2022, de la volonté d’un agent littéraire et spécialisée dans les romans en tous genres, en raison de son nombre d’auteurs éclectiques déployés sur  d’un auteur, la maison d’édition « La Grande Vague » est l’hexagone. Son nombre conséquent de manifestations dans les régions (dédicaces, présentation de l’actualité culturelle dans les établissements scolaires, bibliothèques, librairies, marchés, salons, avantpremières, etc…) est sa marque de fabrique pour mener à bien son projet.

Les éditions « La Grande Vague » ont pour mission, outre la commercialisation de romans, d’accompagner et « manager » des auteurs dans leurs régions respectives tout au long de la réalisation de leur projet.

 

Yves :

Lui-même auteur de plusieurs romans, Yves écume les structures culturelles à travers diverses manifestations, afin de partager sa passion en faisant connaitre ses aventures.

Natali :

Après plusieurs années d’expérience, Natali a su se créer un carnet d’adresses sur le plan national, afin de s’occuper au mieux de ses auteurs et de les mettre en lumière aux yeux de tous.

 

Genre : Roman

Catégorie : Science-fiction

Auteur : DIWARH’YA

Dimensions : 152 x 229 mm

Pages : 320

Dépôt Légal : Novembre 2022

ISBN Broché : 978-2-38460-054-0

ISBN Numérique : 978-2-38460-055-7

Prix Broché : 21,90 €

Prix HT Numérique : 5,90 €

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Les Passerelles du temps, Daniel Sernine
Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps,

Daniel Sernine

Les Passerelles du temps regroupe six nouvelles qui peuvent se lire autant comme un roman choral que comme un recueil. Les récits se croisent, se recoupent parfois au cœur du Carnaval et au travers le temps.

Les Alii, une race extraterrestre, ont sélectionné pour leur intellect et leurs extraordinaires compétences quelques centaines d'humains afin de veiller sur notre planète et intervenir en toute discrétion pour ralentir sa destruction amorcée.

Toutefois, lorsque la situation semble sur le point d'atteindre un point de non-retour, une solution s'impose aux Alii, un « Grand Ménage », soit l'élimination de quatre-vingt-seize pour cent de la population, histoire de donner un second souffle à la planète bleue.

Dans le monde d'« après », sur le boulevard des Étoiles, le Carnaval bat son plein. Ces six nouvelles vous y plongent :

Les Passerelles du temps

Boulevard des Étoiles

Les Amis de Monsieur Soon

Hôtel Carnivalia

La Tête de Walt Umfrey

À la recherche de Monsieur Goodtheim

Daniel Sernine sera présent au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

À propos de l'auteur

Daniel Sernine est né à Montréal en 1955. Il publie en 1978 un premier recueil de nouvelles fantastiques, Les Contes de l'ombre. Il récidivera plus de trente fois au cours des décennies qui suivront, proposant une œuvre riche et diversifiée qui s'adresse tant au public jeunesse qu'au public adulte. Appréciant également le fantastique et la science-fiction, il a respectivement inscrit dans ces genres deux cycles monumentaux.

Au fil des années, il a remporté de nombreux prix, dont le Prix de littérature jeunesse 1984 du Conseil des Arts du Canada, les Grands Prix 1992 et 1996 de la science- fiction et du fantastique québécois et, plus récemment, le prix Hommage visionnaire, qui couronnait l'ensemble de son œuvre.

Entrevue avec l'auteur (extrait)

Votre recueil est lié à vos précédents romans publiés chez Alire. Qu'est-ce qui relie tous vos textes de science-fiction entre eux, que ce soit des nouvelles ou des romans ? Comment décririez-vous le monde futur que vous avez créé ?

Le titre n'a pas été choisi au hasard. Les Passerelles du temps vient effecti­vement connecter Boulevard des Étoiles à « La Suite du temps », qui était déjà liée à mon roman Chronoreg et à la majorité de mes nouvelles de SF. Tout l'ensemble constitue ce que j'appelle mon « cycle éryméen », que j'ai situé dans le présent et dans le futur proche. Selon la tournure d'esprit du lecteur, on peut qualifier ma SF de dystopique ou de lucide.

Dans vos nouvelles, il est question d'une décision qui a été prise de réduire la population terrestre.  Pourquoi et comment en être arrivé là ?

Il faut avoir lu « La Suite du temps » ou du moins, absolument, Les Écueils du temps. Les allusions dans « Les Passerelles du temps » ne suffisent probablement pas. L'intention d'origine, pour les Éryméens, était de réduire radicalement la fertilité des Terriens, afin que le déclin démographique subséquent soulage la planète des effets catastrophiques de la surpopulation. L'idée était de répandre un agent contraceptif aéroporté, avec l'aide des Alii pour l'aspect logistique. Mais ces extraterrestres ont remplacé le contraceptif par un virus mortel de conception terrienne, et l'opération Anankè a été mortelle pour 96 % de l'humanité. Les gens du Carnaval y réfèrent par l'euphémisme « le Grand Ménage ».

En librairie en février 2023.

Communiqué de presse.

 

 

 

 

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