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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #romans

ANTE-MILLENIUM de Gilles Rouviere,

ANTE-MILLENIUM de Gilles Rouviere,

ANTE-MILLENIUM de Gilles Rouviere,

ANTE-MILLENIUM de Gilles Rouviere,

ANTE-MILLENIUM

de Gilles Rouviere,

 

Au lieu de vous donnez mon opinion je préfère vous laissez vous faire votre opinion en lissant l’extrait ci-dessous,

*****

 

 

Résumé

Sur une Terre plongée dans la guerre des Autonomies depuis des siècles, Credentes Stelliger, un vétéran désenchanté, entreprend un voyage vers les mondes des Constellais pour offrir une vie meilleure à sa famille. Cependant, il ignore que la folie humaine s'est étendue au-delà de la galaxie et que son fils Edward est voué à un sombre destin. Si l'enfer est sur Terre, le luxuriant jardin de Dieu ne scintille pas dans le ciel.

 

Extrait de l’ouvrage remerciemen à l’auteur:

Ante-Millenium, dernière station orbitale d’une humanité anéantie, vestige d’une incroyable évolution. Rien n’aurait pu prédire l’épouvantable chute que connut le règne de l’Homme en l’an 2762. L’univers devint haine, rage, frénésie. Toutes les forces de la nature réunirent leurs puissances dans la destruction de la seule espèce intelligente connue. L’espace si silencieux, si mystérieux, bouillonna. Des météorites s’abattirent par milliers sur l’habitat humain. L’atmosphère, déjà sur le déclin, constituait une bien dérisoire défense comparée à la colère de la Nature. Frappée de toute part, la Terre sombra dans une torpeur dont elle ne se relèverait jamais. Un nombre incalculable de cicatrices déchira le ciel grisâtre. Les terriens assistèrent, impuissants, à leur fin. Certains furent écrasés sous les impacts des météorites, d’autres se noyèrent dans les raz de marée. La plupart, encerclés par les tempêtes de poussières, moururent de faim. Une vingtaine de milliards de vies s’éteignirent dans les ténèbres d’un berceau devenu cercueil. Une fois la source de la vie humaine dévastée, la nature abattit sa faux sur les Habitants des Étoiles : les Constellais. Des boules de feu jaillirent des entrailles du soleil dans un rayonnement aussi dévastateur que splendide. Les Cités Célestes se défendirent comme elles le purent. La magnifique baie vitrée de la Cité De Dieu, qui remplaça le Vatican lors de la Dégénérescence de la Terre, explosa en éclat et la cathédrale Saint-Pierre fut détruite à jamais. La vertigineuse Maison De Dieu, de ses sept cent cinquante-deux mètres de haut, scintillait avec grâce tout près de l’anneau de Saturne. Malgré les prières du Pape et de ses Cardinaux, l’éclatant hommage à la lumière divine agonisa dans l’obscurité de la fatalité. L’Alexandre, le plus grand casino jamais bâti, vécut quelques minutes de plus. Les spots lumineux et agressifs de l’antre dédié au conquérant grec s’assombrirent et laissèrent la place au chaos. La station où les joueurs venaient de tout le système solaire fut percutée par un astéroïde, avant de mourir dans le brasier d’un nouvel enfer. Toute l’infrastructure des bonds spatiaux et les longs canaux de ravitaillement reliant les Cités Célestes devinrent débris. Une seule station survécut à l’Apocalypse : Ante-Millenium. Son armada sophistiquée et la parfaite maîtrise technique de l’Ante Corp. permis la mise en place d’une défense infranchissable. Dans un tourbillon enragé de drones, de robots et de lasers, Ante-Millenium lutta sans repos contre l’omniprésent ennemi. Toute sa haine n’eut jamais raison du symbole de la modernité. Les astéroïdes éclatèrent sous le bouclier magnétique enrobant avec fermeté la station. Les boules de feu se brisèrent sous les canons de refroidissement. L’Ante Corp. adaptait son joyau au moindre événement, enchaînant dans la plus impeccable fluidité les différentes fonctions de la Cité. Ante-Millenium, unique rescapé d’un incompréhensible destin.

 

 

 

 

Fiche technique

 

Caractéristiques

 
ISBN 1042204454
Illustration Pas d'illustrations
Nombre de pages 232
Format 14,80 x 21,00 x 1,30 cm
SKU 5411012
 
Date de parution 14/09/2023
EditeurLe Lys Bleu
Auteur Gilles Rouvière
Editeur Le Lys Bleu
Date de parution
14/09/2023
EAN 9791042204457
 
Poids 0,3060kg
 

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 La Quête du Codex de Philippe Mirmand

La Quête du Codex de Philippe Mirmand

La Quête du Codex

de Philippe Mirmand

 

Philippe Mirmand n’ait pas un inconnu pour nos fidèles abonnez, en effet nous avons déjà parlé de ses précédents ouvrages de Science-fiction

    1. Il y décrit un avenir faustien, inquiétant comme toujours il y combine plaisir et sujet de fond

 

Il nous offre en libre téléchargent un large extrait de «La Quête du Codex», qu’il en soit remercié

 

  La Quête du Codex de Philippe Mirmand

La Quête du Codex de Philippe Mirmand

La Quête du Codex de Philippe Mirmand

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 SOLARIS 229

SOLARIS 229

SOLARIS 229

Nouvelle livraison de SOLARIS, la revue de science-fiction francophone la plus importante au monde.

Ci-dessous vous trouverez le lien pour vous y abonnez.

******

 

 

 A propos de ce livre

Solaris 229

  • Prix Joël-Champetier : « Danser, chanter, lire les oiseaux », de Florian Herbert-Pontais ;
  • « Dans la barque », de Geneviève Blouin ;
  • « Nos corps enlacés dans un baiser de cendre », de Guillaume Voisine ;
  • « Dans la gueule », de Dave Côté ;
  • « Dans la gueule » d’Ericka Sezille ;
  • « Cette maison qui sera la nôtre », de Sébastien Chartrand ;
  • « Réponse à deux amis », de Frédéric Parrot ;
  • « Question d’équilibre », d’Isabelle Piette ;
  • « Doc Dinosaure 2.0 », de Claude Lalumière ;
  • « Les Lampes de Ganymède », de Michèle Laframboise.

Articles

  • Présentation, Pascal Raud
  • Les Carnets du Futurible : Futurophagie, ou la nourriture à venir, de Mario Tessier ;
  • Le Daliaf présente… L’Homme qui va… de Jean-Charles Harvey, de Claude Janelle.

Critiques

  • Les Littéranautes
    • Michèle Laframboise Rose du désert [Francine Pelletier]
    • Claude Bolduc, L’Ensemenceur [Pierre-Luc Lafrance]
    • Raphaëlle B. Adam, Venefica [Pierre-Luc Lafrance]
    • J. D. Kurtness, La Vallée de l’étrange [Nemo A Butler]
    • Jérémie Bourdages-Duclot, Au service de l’ennemi (Mémoire d’Orage -2) [Nathalie Faure]
    • Josée Marcotte, Femmes d’Apocalypses [Christine Hébert]
    • Alain Bergeron, Le Huitième Registre 1. Le Silène assassiné [Élisabeth Vonarburg]
  • Lectures
    • Eden Robinson, Le Fils du Trickster [Mariane Cayer]
    • Stéphane Braun, Cryogénia [Pierre-Luc Lafrance]
    • Élodie Tirel, Le Sanctuaire (Les Enfants du Mœbius -1) [Mariane Cayer]
    • Mazen Abdallah / Haidar Safa, Poussières dans l’espace [Mariane Cayer]
    • Ethan Chatyagnier, L’Affaire Crystal Singer [Jean Pettigrew]
 SOLARIS 229

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Zeta-1 année zéro

Zeta-1 année zéro

Zeta-1 année zéro

 

 

Donna BARBA HIGUERA

AUTERE

Donna a grandi dans le centre de la Californie, entourée de champs agricoles et pétroliers. Enfant, on pouvait la trouver en train de lire un bon livre. Ses passe-temps préférés étaient d’appeler à composer une histoire et de se faufiler dans les cimetières pour inspirer ses histoires effrayantes en utilisant les pierres tombales.

 

Les livres de classe moyenne et d’images de Donna parlent d’enfants qui se trouvent dans des situations étranges ou effrayantes. Elle explore des thèmes tels que : la langue et les différences culturelles et la vie biraciale. Donna aime écrire sur toutes les choses drôles, mais aussi tristes, effrayantes et magiques.

 

Donna vit dans l’État de Washington avec sa famille, trois chiens et deux grenouilles.  En dehors de l’écriture, Higuera travaille dans le domaine de la santé.

 

Romane GRANGER 

Illustratrice.

  • Naissance :le 04/08/1993 (FRANCE)

 

 

  1. Petra, 13 ans, a obtenu une place dans l'un des trois vaisseaux spatiaux américains qui doivent quitter la Terre avant la collision fatale avec la comète de Halley. Accompagnée de ses parents et de son petit frère, elle embarque pour un voyage de 380 ans en direction de la planète Sagan. Mais, contrairement aux autres passagers, Petra ne sombre pas dans le sommeil artificiel. Elle assiste, impuissante, à la mutinerie d'une partie de l'équipage, qui a décidé de faire table rase du passé et s'engage dans l'instauration d'une société uniforme et disciplinée. Pour Petra, qui rêve de devenir conteuse comme sa grand-mère, oublier les récits et souvenirs qui ont façonné notre monde est absolument impensable... La jeune héroïne réussira-t-elle à sauver l'humanité de ce projet totalitaire ?

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36 facons de tuer

36 facons de tuer

36 facons de tuer

.RÉSUMÉ

Le mal absolu se passe de mobile. Quand un assassin sans scrupule lance les dés pour déterminer qui sera sa prochaine victime et de quelle manière elle mourra, comment remonter sa piste ? La police de Helsingborg, prise au piège de ce monstre insaisissable, va d'échec en échec. Fabian Risk sent bien que quelque chose leur échappe dans ces crimes odieux et arbitraires qui semblent ne devoir jamais prendre fin. Jusqu'à ce qu'un nouvel indice, apparu dans l'enquête officieuse qu'il mène sur le suicide présumé d'un de ses collègues, l'oblige à suivre une tout autre piste. Mais le temps est compté : le jeu du meurtrier aux 36 façons de tuer est en marche...

Double enquête, double danger pour Fabian Risk : après X raisons de mourir, Stefan Ahnhem, en orfèvre de la construction romanesque, poursuit sa série criminelle et nous plonge au coeur du quotidien mouvementé de la police de Helsingborg.

Stefan Ahnhem

vit à Stockholm, sa ville natale, où il mène une brillante carrière de scénariste pour la télévision et le cinéma. Il est notamment connu pour ses adaptations de romans policiers dans le cadre de séries télévisées très populaires en Suède comme Wallander et Irene Huss. Il est également membre de la Swedish Writers Guild.

Après Hors cadre lauréat du prix Crimetime Specsavers en Suède et La neuvième tombeMoins 18° est le troisième roman de la série Fabian Risk, tous parus chez Albin Michel.

Communiqué de presse

Caractéristiques

Editeur

Albin Michel

Collection

Thriller

Nombre de pages

560

Auteur

Stefan Ahnhem

Traduction

Caroline Berg

Editeur

Albin Michel

Date de parution

31/01/2024

Collection

Thriller

EAN 9782226471468

ISBN 2226471464

Nombre de pages 560

SKU 5409140

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Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

1. Le Silène assassiné

 

 

Une œuvre magistrale d'Alain Bergeron,

L’un de plus grands orfèvres de l'imaginaire au Québec !

 

Dans un monde flirtant avec le steampunk, Le Huitième Registre propose un univers qui aurait évolué différemment si la chute de Constantinople n'avait pas eu lieu en 1453.

Un grand roman de science-fiction uchronique en deux tomes.

 

 

 

En librairie.

 

Providence (Arkadie), Saint-Empire roman byzantin, 2015...

André Antonikas, sémiologue aux mœurs dépravées, a bénéficié d'une clémence certaine à la suite d'un énorme scandale. En réalité, des gens haut placés ont convaincu la cour que sa réclusion à domicile était préférable à l'emprisonnement. Est-ce en raison des analyses historiosophiques qu'Andronikas produit dans son manoir depuis des années ? Cette science, honnie dans le Saint-Empire depuis des décennies, étudie les niveaux d'implication d'événements ciblés sur la création de réalités alternatives, et s'oppose au monochronisme de l'Église qui stipule que tout a été prévu et voulu par Dieu depuis le début de la Création.

 

 

Un soir où les conditions sont parfaites pour que Léon Gaïus Mellior, son jeune assistant, installe les capte-foudre, seul dispositif capable de fournir l'énergie nécessaire au fonctionnement du controversé huitième registre de son orgue à traitement de signes, Antonikas est brutalement assassiné. Essir Labinien Estradice, premier préfet de la Cité de Providence, conclut aussitôt à la culpabilité de Léon Gaïus. Or, Siméon Monocrate, grand inquisiteur mandaté par la Curie pontificale de Rome, croit l'affaire plus complexe.

 

De fait, pendant sa traversée de l'Atlas en compagnie de son assistant, le frère Calixte, Siméon a lu les Souvenirs et Confessions de magister André Antonikas, ouvrage dans lequel le sémiologue assassiné relate un meurtre survenu dans des circonstances très similaires à celles qui lui ont coûté la vie. Or, ce meurtre s'est produit vingt ans plus tôt pendant le premier synode sur l'historiosophie, tenu au monastère de Mont-Boréal, en Galactée. Et Monocrate n'en démord pas : ces ressemblances ne peuvent être des coïncidences... et il entend bien le prouver !

 

 

 

Votre roman, Le Huitième Registre, est ce qu’on appelle une uchronie. Quelle est donc l’origine de ce projet ?

Il y a une trentaine d’années, j’ai publié dans Solaris une nouvelle qui portait ce titre. Je m’intéressais alors beaucoup à l’Empire romain d’orient (que l’on appelle à tort « Empire byzantin ») et l’idée m’est

venue d’imaginer dans quelles conditions historiques une puissance politique de cette importance, disparue en 1453, pourrait s’être maintenue jusqu’à nos jours. La nouvelle a connu un certain succès et elle a été reprise dans plusieurs anthologies, en français et en anglais. J’ai eu très tôt l’idée d’en développer l’univers pour un roman, mais ce n’est qu’au cours des dix dernières années que j’ai pu m’y consacrer sérieusement.

 

Pourquoi cet intérêt pour l’Empire romain d’orient ?

Pour différentes raisons. L’histoire, celle du Moyen Âge en particulier, a toujours été l’une de mes passions (avec la science et la musique). Or je m’étais aperçu que notre connaissance de cette période

est en général très centrée sur l’Europe. L’on a tendance à sous-estimer l’Empire romain d’orient et sa glorieuse capitale, Constantinople, qui ont pourtant joué un rôle déterminant entre les royaumes occidentaux et le monde arabe, mais aussi en tant que principal héritier des grandes civilisations grecque et romaine de l’Antiquité. Je me suis d’ailleurs rendu compte que plusieurs auteurs de science-fiction, Asimov ou Frank Herbert par exemple, semblaient s’en être inspirés pour façonner leurs propres empires.

 

Ce point de départ a dû vous obliger à reconstruire l’histoire de façon significative.

 

Soyons clair : mon roman se situe à notre époque (en l’an 2015 principalement) mais dans une autre réalité historique que la nôtre, une réalité où le développement culturel, scientifique et technologique, par exemple, auraient souvent pris des orientations différentes. Il m’a donc fallu imaginer un environnement constitué d’éléments à la fois familiers et divergents.

 

L’ordre politique mondial ne ressemble aucunement à celui que nous connaissons et plusieurs des progrès que nous prenons un peu pour acquis sur le plan politique ou social (la démocratie, par exemple) n’ont pas eu la chance d’émerger. En l’absence d’obstacles au commerce international du côté de l’est, un événement historique comme la découverte de l’Amérique n’a pas eu lieu avant 1809. Si la très grande majorité des êtres humains vivent dans des sociétés autoritaires, traditionalistes, de type patriarcal et fortement religieuses, rappelons que c’est aussi le cas d’une bonne partie de l’humanité dans notre monde à nous ! Ceci dit, l’on peut trouver dans Le Huitième Registre des courants de revendications sociales  et politiques, même s’ils sont plus ou moins clandestins et fortement réprimés. La condition féminine n’est pas en reste non plus car il existe un mouvement que l’on pourrait bel et bien qualifier de « féministe ».

 

Ce monde qui est au final assez arriéré sur bien des plans a tout de même inventé l’ordinateur dès le 16e  siècle, non ?

 

Disons qu’une sorte d’ordinateur mécanique sophistiqué que l’on appelle « l’orgue à traitement de signes » a pu voir le jour à cette époque. (C’est le côté un peu steampunk du roman). L’orgue, qui est devenu de plus en plus performant avec le temps, fonctionne à l’aide de différents « registres », qui sont autant de configurations particulières des rouages internes de la machine qui sont destinées à répondre chacune à un usage spécialisé. Le huitième de ces registres, celui de l’historiosophie, est celui qui donne son titre au roman.

 

Qu’est-ce donc que l’historiosophie ?

 

On en trouve plusieurs définitions dans le texte, assez savantes la plupart du temps. Pour faire simple, je dirais que c’est l’étude mathématique des relations de causes à effets en histoire. Il s’agit d’une science assez controversée puisqu’elle permet, en modifiant les paramètres, de construire des réalités alternatives possibles, donc d’imaginer d’autres mondes.

 

L’historiosophie s’oppose d’ailleurs à la vision prédominante qui prétend que l’histoire du monde fut entièrement prédéterminée dès le premier instant de la Création…

 

 

Et sur l’intrigue du roman, que pouvez-vous nous dire ?

 

Bien sûr, le monde uchronique que je dépeins sert avant tout de toile de fond à plusieurs intrigues. La plus grande partie du premier volume, par exemple, raconte une authentique enquête de type policier. L’on tente de résoudre un meurtre assez mystérieux, très semblable à un autre meurtre qui s’était produit une vingtaine d’années plus tôt et pour lequel le coupable avait été exécuté. En plus, les personnages principaux se retrouvent bientôt mêlés malgré eux à des conflits politiques et militaires majeurs qui leur font risquer leur vie à plusieurs occasions.

 

D’ailleurs, plusieurs se posent aussi des questions sur le monde dans lequel ils vivent et sur ce que ce monde aurait pu être si les circonstances historiques avaient été différentes… Leurs recherches de réponses occupent une bonne part des péripéties.

 

Pour quelle raison faites-vous comme si votre roman était la traduction d’un ouvrage écrit dans une autre langue ?

 

Disons qu’il convient de distinguer quatre « niveaux » d’auteurs dans Le Huitième Registre. Le premier niveau, c’est le mien, celui du créateur de l’ouvrage dans son entier, de la première à la dernière page. Au deuxième niveau, apparaît un traducteur qui est en fait le premier personnage du roman à apparaître et qui s’adresse directement au lecteur dans une préface. Ce traducteur qui porte lui aussi le nom d’Alain Bergeron mais qui appartient à un monde légèrement différent du nôtre, explique avoir traduit et adapté un roman intitulé Le Huitième Registre, composé au départ dans une langue appelée le byzantin littéraire moderne.

 

Au troisième niveau, il y a l’auteur originel du texte traduit, une personne qui semble avoir choisi de demeurer anonyme pour l’on ne sait exactement quelle raison, mais qui pourrait bien être l’un des protagonistes de l’histoire qu’il raconte.

 

Enfin, au quatrième niveau, l’on trouve un historiosophe appelé André Antonikas, personnage hautement controversé, dont un texte autobiographique, Souvenirs et Confessions, semble avoir été intégralement reproduit par l’auteur originel du roman dans la première partie de son ouvrage…

 

Alain Bergeron, merci !

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Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

 Christine Barsi

Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Christine Barsi est bien connue de nos fidèles internautes.

Les Êtres de Langhãem sont son 15e roman de science-fiction.

Je vous le recommande fortement.

 

****

Au sein du Matin des Archanges, le Journal de François Karradec, l’exobiologiste Ketty Brownel enquête sur l’existence d’humanoïdes stellaires. Dans le cadre d’une expédition hasardeuse, lorsque l’une de ces créatures la soustrait à l’attaque d’un Alien, Ketty ne peut que se lancer sur la piste de ces êtres en dépit des avertissements de son mentor. Sa quête la mènera de l’Islande, aux terres canadiennes et d’Amérique du Sud, jusque dans les îles du Pacifique. Quand la jeune femme croise le chemin de Brouth Mac Tavish, un homme ténébreux oeuvrant au sein des gouvernements occultes, elle n’aura de cesse de s’en éloigner lorsqu’elle comprend que l’Archonte des Bäanhs l’a prise en chasse pour des raisons qu’elle ne devine pas encore. Que découvrira-t-elle, à l’ultime fin, pour que tout son univers en soit irrémédiablement bouleversé ? Ce récit relate la traque d’un Alien pour l’Humaine qu’il a sélectionnée entre toutes. C’est aussi l’embrasement d’une passion aveugle entre deux êtres plongés dans les affres d’un futur proche, envenimé par les conflits entre races, que celles-ci soient de la Terre ou des mondes alentour.

 

L’auteure puise son inspiration dans ses études en biologie, et dans son métier dans les ressources humaines.

 

Christine Barsi écrit depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique. Elle est membre du Conseil d’administration de sa ville, afin de promouvoir la littérature et elle est Présidente de l’association culturelle Les Mondes Mutants .

 

Quinze romans publiés et un recueil de nouvelles dont l’une, L’Avatar, a gagné le prix René Barjavel 2022.

 

540 pages

Format 140x210

28 CHF / 24 EUR

ISBN 9782889496211

Collection : Science-Fiction

5 SENS EDITIONS GENEVE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

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Sans panique

Sans panique

Sans panique

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler du « papier » de cet album.

J’ai beaucoup apprécié sa texture, et sa en pages avec ses marges de 2 cm de cotés idéales pour les plus jeunes.

Bien le texte est très passionnant.

Les couleurs acidulées sont très adaptées aux plusjeunes.

Je vous le recommande très fortement

Pensez à vous incrirent à notre newsletter pour ne rien manquer de nos publications

 

**********

 

Après un accident, la petite Romie est recueillie sur une île étrange, à la population apathique. Quand une météorite menace l'île, elle fera tout pour secouer les insulaires et sauver la famille de son amie Danaë.

 

La petite Romie est la seule rescapée d'un accident qui l'a amenée sur une île étrange dont toute la population est apathique. Recueillie par la famille de Danaë, elle essaie de faire réagir les insulaires, à la nouvelle d'une météorite qui menace de s'écraser sur eux. Entraînant Danaë avec elle sur le continent, Romie tentera tout pour guérir son amie de l'indifférence et sauver la population de l'île.

Coline Hegron

Illustrateur, Scénariste,Coloriste

Coline Hégron est une autrice de bande dessinée née en 1998 en Normandie. Après le lycée, elle fait les Beaux-arts à Angoulême où elle co-fonde l’association Très très bien avec laquelle elle anime des ateliers et conférences dans des écoles, publie des fanzines et une revue biannuelle. En janvier 2021, elle obtient le premier prix du concours Jeunes talents du Festival d’Angoulême. Elle a été publiée chez les éditions Albin Michel Jeunesse pour son livre Le grand labyrinthe. Sans panique est sa première bande dessinée, aux éditions Delcourt.

 

 

INFORMATIONS SUR L'ALBUM

Série Sans panique

Collection Mirages

EAN 9782413047650

Dimensions 19.7  x  25.5  x  1.8  cm

Nombre de pages 200

Sans panique

Sans panique

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Nicolas Antoniucci  Les Cahiers Sodium #3

Nicolas Antoniucci Les Cahiers Sodium #3

Nicolas Antoniucci  

Les Cahiers Sodium #3

Humaliens, Science-fiction et … Humanité.

 

Nicolas, nous le suivons depuis déjà plusieurs années, à chaque fois il nous étonne, science-fiction, écologie et philosophie s’entremêle pour former aux fils des ouvrages, une œuvre consistante.

 

Je vous le recommande fortement.

 

**********************  

 

 

Entretien :

Mon travail d’écriture se situe à la frontière entre le réel et l’irréel, à partir d’observations faites tant sur la Nature que sur l’humanité.

Je bâtis des histoires dans le domaine de la science-fiction mais dans lesquels certains propos critiques sur notre société d’aujourd’hui, tels sont l’écologie et les mixités culturelles, seront privilégiés.

Je continue ce travail et dans cet esprit depuis plus de vingt ans, ces secteurs devenant aujourd’hui, de plus en plus, d’actualité.

Mes textes auront, par choix, des aspects poétiques et imagés.

 

 

STYLE & INFLUENCES

Interview, impressions...

Que pensez-vous du rapport existant entre l’écriture d’un livre et l’histoire racontée ?

Dans mon livre Ulciv, Ultime civilisation, le dernier de mes quinze livres j’ai choisi de présenter une édition renfermant une histoire relatée dans des pages à l’écriture dense demandant une lecture attentive ce qui, certes, pourrait ne pas convenir aux lecteurs pressés, ou professionnels- Le critique professionnel, du moins à un certain niveau, n’a pas le temps et il s’intéressera à l’histoire sans se préoccuper du livre lui-même, ses mots, ses phrases, sa calligraphie.

 

Cet effort relatif qui est demandé pour la lecture de cet ouvrage a pour but de l’éloigner du monde audio visuel que nous subissons au quotidien afin d’essayer de pouvoir à nouveau retrouver la magie des mots.

 

les-cahiers-de-couleur-sodium-cahier-3-couv-webJ’ai regroupé mes livres dans une même collection sous l’intitulé de COULEUR SODIUM. Ils sont accompagnés des cahiers de COULEUR SODIUM qui sont des ouvrages relativement petits aux thèmes diversifiés. Le cahier Numéro 3, Humaliens, un ensemble de nouvelles de science – fiction, est sorti en aout 2023.

 

L’I-A, l’intelligence artificielle, qu’en, pensez-vous ?

Il y a danger car l’I.A, l’intelligence artificielle, mettra de plus en plus l’Individu au pas, lui proposant de réaliser à sa place – L’homme est souvent paresseux – ses œuvres, peintures, sculptures ou roman et il convient de dire que, très certainement, l’humanité va perdre définitivement ce qui existait encore jusqu’à aujourd’hui dans son art, le sacré.

 

Elle va briser la barque perso dans laquelle, jusqu’alors, chacun de nous, naviguait. L’écriture, sa calligraphie son encre et papier, sera produite par de puissants ordinateurs et réduite, en une totale régression, à de simple points et tirets.

Nous deviendrons alors des robots de chair.

 

Quel rapport entre le rêve et l’écriture, l’art en général ?

L’humanité fonctionne sur deux temps complémentaires, le diurne et le nocturne.

Lors de son sommeil le dormeur rêve, c’est une énergie qui se libère tel la vapeur surgissant d’une cocotte-minute, sous forme d’histoires, de symbole et de couleur dont nous ne maitrisons que peu les sens.

 

Dans l’autre monde, le monde parallèle du diurne, de l’éveil, l’artiste crée et l’écrivain écrit tel des rêves dont nous comprendrions à priori les sens. De toute évidence arrêter les rêves ou l’écriture, l’art, ferait se casser la machine humaine.

De ce fait, le principal de mes romans mixeront ensemble, dans des proportions plus ou moins grandes et subjectives, du rêve et de la réalité.

 

Que pensez- vous du livre objet ? De l’objet en général ?

Un livre fermé devient un objet. Il quitte la puissance du mot, de la phrase, de l’histoire racontée pour rejoindre celui, fracturé, de l’immobile, de l’inutilisé ou, au mieux, de la déco. Ainsi il pourra être exposé dans un salon sur une étagère, ou sur les tables d’une librairie, mais il pourra aussi encombrer nos trottoirs et rejoindre les symboles présents et actifs issus de notre société de consommation. Le livre objet alors suit un chemin parallèle à celui des hommes.

 

Le deuxième livre que j’ai édité se nomme Objets ce qui montre bien l’intérêt que je porte dans notre environnement et, bien sûr, pas simplement en tant que bien de consommation ou déchets, aux objets qui accompagneront l’homme tout au long de sa vie. Dans cet ouvrage je les classe même en deux catégories, objets domestiqués et objets sauvages, ces derniers apparaissant parfois à nos côtés comme étant la matérialisation en symboles de certains aspects de notre vie, nos préoccupations, nos sentiments…

 

 

Résumé de l’ouvrage :

 

Des humanités en balade, dans les profondeurs de l’univers et les étrangetés du futur, dans les paysages de 15 histoires de science-fiction.

Dans une époque où les hommes et même certains scientifiques s’interrogent sur la présence possible d’extraterrestre sur Terre, ces récits imaginaires accompa-gnent celui, plus étrange, d’une histoire vécue.

 

Extrait de l’épilogue :

De nos jours, de nombreux témoignages accréditent de l’existence possible d’humaliens sur Terre à travers la mise en lumière d’évènements incompréhensibles qui sont relatés par des observateurs.

Ils sont recensés, étant illogiques, et analysés par des organismes dédiés. Le princi-pal de ces manifestations trouvera une explication rationnelle et circonstancielle, mais certaines d’entre elles resteront inexpliquées.

 

Nombre de pages 92

ISBN (version imprimée) : 978-2-37692-412-8

ISBN (version eBooks) : 978-2-37692-413-5

 

Ouvrage regroupant quinze textes de science-fiction accompagnés de mes dessins en noir et blanc. Ils apportent un regard parallèle sur les histoires écrites mettant en valeur les mots s’enchainant les uns aux autres dans les textes, tels des poèmes.

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Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires

par NATASHA BEAULIEU

Entrevue

 

Pourquoi avez-vous eu envie de replonger dans cet univers avec Jimmy Novak et Tura Sherman ? Qu’est-ce que les années qui ont passé entre L’Ombre pourpre et Les Perles noires ont apporté à votre écriture ou à l’histoire ?

 

Dix-huit ans plus tard, j’ai eu besoin de reconnecter avec Jimmy Novak et Tura Sherman. Je devais découvrir où ils en étaient dans leur vie. C’était une manière de mieux comprendre où j’en étais dans la mienne.

 

Pour Les Perles noires, j’ai choisi de garder le même style d’écriture que les autres romans des « Cités intérieures ». Mais, surtout, on y retrouve des personnages solitaires et marginaux qui évoluent dans une ambiance gothique urbaine. Nous sommes dans le suspense fantastique. C’est ce qui fait la particularité des « Cités intérieures » et donc, des Perles noires.

 

Pouvez-vous nous parler un peu plus de l’Eau noire ? Que permet-elle ?

 

L’Eau noire est une métaphore de ma vision de la réalité. Tout ce que l’esprit est capable de concevoir a existé, existe ou existera un jour, quelque part, explique Stick à son frère Jimmy Novak, qui a peint un monde imaginaire auquel il a finalement pu accéder. L’Eau noire est une ouverture vers le monde des Cités intérieures, accessible à certains personnages des Perles noires. En cours d’écriture du roman, mon père est mort. J’ai alors compris que l’Eau noire pouvait aussi anticiper ce qui se passe après la mort.

 

Pourquoi l’histoire se passe-t-elle en grande partie à Montréal et au Japon ?

 

Jimmy Novak, un des personnages principaux des Perles noires et des Cités intérieures, est né à Montréal. Le coeur de cette saga se situe dans le parc La Fontaine, dans le bassin nord, près de la fontaine. C’est là que l’Eau noire apparaît la première fois. J’aime situer mes romans à Montréal, la ville où j’habite, et dans des villes que j’ai visitées et appréciées. Ma ville préférée est Londres mais, pour Les Perles noires, Stick devait arriver très loin de Montréal pour que sa quête de retrouver Jimmy soit plus captivante. C’est pourquoi j’ai choisi Tokyo.

 

Grâce au personnage d’Iki Yoshioka, on peut découvrir le Japon, ses quartiers, ses habitants et traditions. Avez-vous un intérêt particulier pour la culture japonaise ?

 

À l’adolescence, après l’Angleterre, je voulais visiter le Japon. J’y suis finalement allée en 2019. J’ai vécu dans le quartier Kabukicho, à l’hôtel Gracery, où une partie des aventures de Stick et Iki se déroulent. J’ai donc pu décrire l’ambiance du red light tokyoïte avec précision. J’ai grandi avec Minifée, Ultraman et Godzilla. Puis sont venus les jardins japonais, les sushis et l’art du zen. Plus tard, j’ai découvert l’auteur Haruki Murakami et sa trilogie IQ84 dans laquelle fantastique et réalité sont indissociables. Depuis, il m’arrive de penser que j’écris aussi du réalisme magique plutôt que du fantastique pur.

 

Pour quelles raisons Jimmy Novak ouvre-t-il le Penlocke ? Et pourquoi a-t-il choisi d’utiliser la réalité virtuelle dans son bar ?

 

Jimmy Novak  à cœur de réaliser le Penlocke, un projet créatif d’envergure qui mijote en lui depuis des années. Le soir de l’inauguration, s’y déroule un événement singulier qui lui permettra de bientôt réaliser son but secret : celui de retourner dans le monde imaginaire qu’il a peint sur un mur, 22 ans plus tôt. Novak choisit les réalités virtuelles et augmentées parce qu’elles lui permettent de recréer son monde imaginaire de manière plus concrète qu’une oeuvre peinte. Il apprécie les possibilités des nouvelles technologies et de l’interactivité, qui lui permettent de transcender son art.

 

Pourquoi avez-vous décidé de séparer les points de vue entre plusieurs personnages pour en faire un roman choral ?

 

J’aime beaucoup cette manière de construire un roman car elle contribue à augmenter l’effet de suspense. Avec Les Perles noires, j’ai choisi garder le même genre de narration que les autres romans des Cités intérieures. Je trouve que les trames parallèles qui finissent par se croiser ressemblent à la réalité. Nous vivons chacun et chacune dans notre bulle, puis nous allons rejoindre la bulle de quelqu’un d’autre et nous réalisons que nous connaissons quelqu’un en commun et une partie de sa bulle se greffe aussi à la nôtre. C’est comme ça que nous découvrons de nouveau allies.

 

 

 

Pour quelles raisons aimez-vous mettre en scène des personnages qui sont différents des autres, des marginaux ?

 

Parce que je me suis toujours sentie marginale, alors je m’identifie à eux. Je suis l’androgyne Stick, le peintre Jimmy Novak, la dominatrice Tura Sherman et un peu de tous les personnages des Perles noires. À travers leur marginalité, ce sont des facettes de moi-même que j’exprime : traits de caractère, fascinations, désirs, expériences de vie…

 

Mes personnages s’inspirent aussi parfois de gens que j’ai côtoyés. Peu importe, tous m’aident à mieux comprendre qui je suis et pourquoi j’écris ce que j’écris. C’est une analyse psychologique en constante évolution, et je continue donc à réfléchir sur ce sujet.

 

Qu’est-ce qui vous plaît dans le genre du fantastique ?

 

Le fait de pouvoir imaginer des choses qui ne se peuvent pas, en principe, mais pour lesquelles il n’existe aucune preuve qu’elles sont impossibles. Par exemple, l’Eau noire. Peut-être existe-t-elle déjà, quelque part, mais que personne n’a pu revenir nous le confirmer après s’y être immergé. Dans Les Perles noires, il est aussi question d’extraterrestres. Mythe ou réalité ? Stick possède le don d’interrompre le fil du temps, le temps de lire une information dans l’esprit d’un individu. Certes, je ne connais personne qui en est capable, mais qui peut affirmer que ce ne sera jamais possible ?

 

Bien des mystères sont soulevés dans cette histoire. Plusieurs se résolvent mais d’autres restent en suspens. Est-ce que vous prévoyez une suite aux Perles noires ? Et si oui, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce à quoi on peut s’attendre ?

 

On m’avait posé la question à la publication de L’Ombre pourpre. J’avais alors répondu que je ne le savais pas. Y aura-t-il une suite aux Perles noires ? Je ne le sais pas plus. J’aime qu’un roman me laisse de l’espace pour me questionner. Que l’intrigue ne soit pas totalement résolue peut m’agacer mais, si j’ai apprécié l’expérience de lecture, le plaisir va se poursuivre au-delà car l’œuvre va m’habiter plus longtemps. La marge entre le réel et la fiction ne cesse de rétrécir. On ne peut pas tout expliquer dans le réel. Comment le pourrait-on, dans la fiction ?

 

Natasha Beaulieu, merci !

Biographie/ Bibliographie

NATASHA BEAULIEU a grandi dans un environnement propice à stimuler l’imagination. Elle a écrit ses premiers textes toute jeune et, au fil des ans, elle a exploré différentes formes d’art (danse, théâtre, musique, cinéma, dessin de mode et haute couture).

 

Après avoir obtenu un diplôme de l’Université Concordia en Fine Arts (cinéma et littérature), elle a été, entre autres, journaliste, rédactrice pigiste et libraire. Si la trilogie fantastique des « Cités intérieures » a révélé le « noir talent » de Natasha Beaulieu au grand public, c’est avec Le Deuxième Gant qu’est née sa réputation de grande prêtresse des amours déjantés... Les Perles noires est son septième roman paru chez Alire.

 

DE LA MÊME AUTEURE

 

LES CITÉS INTÉRIEURES

1. L’Ange écarlate. Roman.

Beauport : Alire, Romans 033, 2000.

2. L’Eau noire. Roman.

Lévis : Alire, Romans 067, 2003.

3. L’Ombre pourpre. Roman.

 

Lévis : Alire, Romans 096, 2006.

Le Deuxième Gant. Roman.

Lévis : Alire, GF, 2010.

Lévis : Alire, Romans 144, 2012

.

Regarde-moi. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2012.

Lévis : Alire, Romans 160, 2014.

 

Le Secret du 16 V. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2014.

Lévis : Alire, Romans 183, 2017.

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