Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Site sur la Science-fiction et le Fantastique

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>

Articles avec #romans

Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

1. Le Silène assassiné

 

 

Une œuvre magistrale d'Alain Bergeron,

L’un de plus grands orfèvres de l'imaginaire au Québec !

 

Dans un monde flirtant avec le steampunk, Le Huitième Registre propose un univers qui aurait évolué différemment si la chute de Constantinople n'avait pas eu lieu en 1453.

Un grand roman de science-fiction uchronique en deux tomes.

 

 

 

En librairie.

 

Providence (Arkadie), Saint-Empire roman byzantin, 2015...

André Antonikas, sémiologue aux mœurs dépravées, a bénéficié d'une clémence certaine à la suite d'un énorme scandale. En réalité, des gens haut placés ont convaincu la cour que sa réclusion à domicile était préférable à l'emprisonnement. Est-ce en raison des analyses historiosophiques qu'Andronikas produit dans son manoir depuis des années ? Cette science, honnie dans le Saint-Empire depuis des décennies, étudie les niveaux d'implication d'événements ciblés sur la création de réalités alternatives, et s'oppose au monochronisme de l'Église qui stipule que tout a été prévu et voulu par Dieu depuis le début de la Création.

 

 

Un soir où les conditions sont parfaites pour que Léon Gaïus Mellior, son jeune assistant, installe les capte-foudre, seul dispositif capable de fournir l'énergie nécessaire au fonctionnement du controversé huitième registre de son orgue à traitement de signes, Antonikas est brutalement assassiné. Essir Labinien Estradice, premier préfet de la Cité de Providence, conclut aussitôt à la culpabilité de Léon Gaïus. Or, Siméon Monocrate, grand inquisiteur mandaté par la Curie pontificale de Rome, croit l'affaire plus complexe.

 

De fait, pendant sa traversée de l'Atlas en compagnie de son assistant, le frère Calixte, Siméon a lu les Souvenirs et Confessions de magister André Antonikas, ouvrage dans lequel le sémiologue assassiné relate un meurtre survenu dans des circonstances très similaires à celles qui lui ont coûté la vie. Or, ce meurtre s'est produit vingt ans plus tôt pendant le premier synode sur l'historiosophie, tenu au monastère de Mont-Boréal, en Galactée. Et Monocrate n'en démord pas : ces ressemblances ne peuvent être des coïncidences... et il entend bien le prouver !

 

 

 

Votre roman, Le Huitième Registre, est ce qu’on appelle une uchronie. Quelle est donc l’origine de ce projet ?

Il y a une trentaine d’années, j’ai publié dans Solaris une nouvelle qui portait ce titre. Je m’intéressais alors beaucoup à l’Empire romain d’orient (que l’on appelle à tort « Empire byzantin ») et l’idée m’est

venue d’imaginer dans quelles conditions historiques une puissance politique de cette importance, disparue en 1453, pourrait s’être maintenue jusqu’à nos jours. La nouvelle a connu un certain succès et elle a été reprise dans plusieurs anthologies, en français et en anglais. J’ai eu très tôt l’idée d’en développer l’univers pour un roman, mais ce n’est qu’au cours des dix dernières années que j’ai pu m’y consacrer sérieusement.

 

Pourquoi cet intérêt pour l’Empire romain d’orient ?

Pour différentes raisons. L’histoire, celle du Moyen Âge en particulier, a toujours été l’une de mes passions (avec la science et la musique). Or je m’étais aperçu que notre connaissance de cette période

est en général très centrée sur l’Europe. L’on a tendance à sous-estimer l’Empire romain d’orient et sa glorieuse capitale, Constantinople, qui ont pourtant joué un rôle déterminant entre les royaumes occidentaux et le monde arabe, mais aussi en tant que principal héritier des grandes civilisations grecque et romaine de l’Antiquité. Je me suis d’ailleurs rendu compte que plusieurs auteurs de science-fiction, Asimov ou Frank Herbert par exemple, semblaient s’en être inspirés pour façonner leurs propres empires.

 

Ce point de départ a dû vous obliger à reconstruire l’histoire de façon significative.

 

Soyons clair : mon roman se situe à notre époque (en l’an 2015 principalement) mais dans une autre réalité historique que la nôtre, une réalité où le développement culturel, scientifique et technologique, par exemple, auraient souvent pris des orientations différentes. Il m’a donc fallu imaginer un environnement constitué d’éléments à la fois familiers et divergents.

 

L’ordre politique mondial ne ressemble aucunement à celui que nous connaissons et plusieurs des progrès que nous prenons un peu pour acquis sur le plan politique ou social (la démocratie, par exemple) n’ont pas eu la chance d’émerger. En l’absence d’obstacles au commerce international du côté de l’est, un événement historique comme la découverte de l’Amérique n’a pas eu lieu avant 1809. Si la très grande majorité des êtres humains vivent dans des sociétés autoritaires, traditionalistes, de type patriarcal et fortement religieuses, rappelons que c’est aussi le cas d’une bonne partie de l’humanité dans notre monde à nous ! Ceci dit, l’on peut trouver dans Le Huitième Registre des courants de revendications sociales  et politiques, même s’ils sont plus ou moins clandestins et fortement réprimés. La condition féminine n’est pas en reste non plus car il existe un mouvement que l’on pourrait bel et bien qualifier de « féministe ».

 

Ce monde qui est au final assez arriéré sur bien des plans a tout de même inventé l’ordinateur dès le 16e  siècle, non ?

 

Disons qu’une sorte d’ordinateur mécanique sophistiqué que l’on appelle « l’orgue à traitement de signes » a pu voir le jour à cette époque. (C’est le côté un peu steampunk du roman). L’orgue, qui est devenu de plus en plus performant avec le temps, fonctionne à l’aide de différents « registres », qui sont autant de configurations particulières des rouages internes de la machine qui sont destinées à répondre chacune à un usage spécialisé. Le huitième de ces registres, celui de l’historiosophie, est celui qui donne son titre au roman.

 

Qu’est-ce donc que l’historiosophie ?

 

On en trouve plusieurs définitions dans le texte, assez savantes la plupart du temps. Pour faire simple, je dirais que c’est l’étude mathématique des relations de causes à effets en histoire. Il s’agit d’une science assez controversée puisqu’elle permet, en modifiant les paramètres, de construire des réalités alternatives possibles, donc d’imaginer d’autres mondes.

 

L’historiosophie s’oppose d’ailleurs à la vision prédominante qui prétend que l’histoire du monde fut entièrement prédéterminée dès le premier instant de la Création…

 

 

Et sur l’intrigue du roman, que pouvez-vous nous dire ?

 

Bien sûr, le monde uchronique que je dépeins sert avant tout de toile de fond à plusieurs intrigues. La plus grande partie du premier volume, par exemple, raconte une authentique enquête de type policier. L’on tente de résoudre un meurtre assez mystérieux, très semblable à un autre meurtre qui s’était produit une vingtaine d’années plus tôt et pour lequel le coupable avait été exécuté. En plus, les personnages principaux se retrouvent bientôt mêlés malgré eux à des conflits politiques et militaires majeurs qui leur font risquer leur vie à plusieurs occasions.

 

D’ailleurs, plusieurs se posent aussi des questions sur le monde dans lequel ils vivent et sur ce que ce monde aurait pu être si les circonstances historiques avaient été différentes… Leurs recherches de réponses occupent une bonne part des péripéties.

 

Pour quelle raison faites-vous comme si votre roman était la traduction d’un ouvrage écrit dans une autre langue ?

 

Disons qu’il convient de distinguer quatre « niveaux » d’auteurs dans Le Huitième Registre. Le premier niveau, c’est le mien, celui du créateur de l’ouvrage dans son entier, de la première à la dernière page. Au deuxième niveau, apparaît un traducteur qui est en fait le premier personnage du roman à apparaître et qui s’adresse directement au lecteur dans une préface. Ce traducteur qui porte lui aussi le nom d’Alain Bergeron mais qui appartient à un monde légèrement différent du nôtre, explique avoir traduit et adapté un roman intitulé Le Huitième Registre, composé au départ dans une langue appelée le byzantin littéraire moderne.

 

Au troisième niveau, il y a l’auteur originel du texte traduit, une personne qui semble avoir choisi de demeurer anonyme pour l’on ne sait exactement quelle raison, mais qui pourrait bien être l’un des protagonistes de l’histoire qu’il raconte.

 

Enfin, au quatrième niveau, l’on trouve un historiosophe appelé André Antonikas, personnage hautement controversé, dont un texte autobiographique, Souvenirs et Confessions, semble avoir été intégralement reproduit par l’auteur originel du roman dans la première partie de son ouvrage…

 

Alain Bergeron, merci !

Voir les commentaires

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

 Christine Barsi

Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Christine Barsi est bien connue de nos fidèles internautes.

Les Êtres de Langhãem sont son 15e roman de science-fiction.

Je vous le recommande fortement.

 

****

Au sein du Matin des Archanges, le Journal de François Karradec, l’exobiologiste Ketty Brownel enquête sur l’existence d’humanoïdes stellaires. Dans le cadre d’une expédition hasardeuse, lorsque l’une de ces créatures la soustrait à l’attaque d’un Alien, Ketty ne peut que se lancer sur la piste de ces êtres en dépit des avertissements de son mentor. Sa quête la mènera de l’Islande, aux terres canadiennes et d’Amérique du Sud, jusque dans les îles du Pacifique. Quand la jeune femme croise le chemin de Brouth Mac Tavish, un homme ténébreux oeuvrant au sein des gouvernements occultes, elle n’aura de cesse de s’en éloigner lorsqu’elle comprend que l’Archonte des Bäanhs l’a prise en chasse pour des raisons qu’elle ne devine pas encore. Que découvrira-t-elle, à l’ultime fin, pour que tout son univers en soit irrémédiablement bouleversé ? Ce récit relate la traque d’un Alien pour l’Humaine qu’il a sélectionnée entre toutes. C’est aussi l’embrasement d’une passion aveugle entre deux êtres plongés dans les affres d’un futur proche, envenimé par les conflits entre races, que celles-ci soient de la Terre ou des mondes alentour.

 

L’auteure puise son inspiration dans ses études en biologie, et dans son métier dans les ressources humaines.

 

Christine Barsi écrit depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique. Elle est membre du Conseil d’administration de sa ville, afin de promouvoir la littérature et elle est Présidente de l’association culturelle Les Mondes Mutants .

 

Quinze romans publiés et un recueil de nouvelles dont l’une, L’Avatar, a gagné le prix René Barjavel 2022.

 

540 pages

Format 140x210

28 CHF / 24 EUR

ISBN 9782889496211

Collection : Science-Fiction

5 SENS EDITIONS GENEVE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Les Êtres de Langhãem de Christine Barsi

Voir les commentaires

Sans panique

Sans panique

Sans panique

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler du « papier » de cet album.

J’ai beaucoup apprécié sa texture, et sa en pages avec ses marges de 2 cm de cotés idéales pour les plus jeunes.

Bien le texte est très passionnant.

Les couleurs acidulées sont très adaptées aux plusjeunes.

Je vous le recommande très fortement

Pensez à vous incrirent à notre newsletter pour ne rien manquer de nos publications

 

**********

 

Après un accident, la petite Romie est recueillie sur une île étrange, à la population apathique. Quand une météorite menace l'île, elle fera tout pour secouer les insulaires et sauver la famille de son amie Danaë.

 

La petite Romie est la seule rescapée d'un accident qui l'a amenée sur une île étrange dont toute la population est apathique. Recueillie par la famille de Danaë, elle essaie de faire réagir les insulaires, à la nouvelle d'une météorite qui menace de s'écraser sur eux. Entraînant Danaë avec elle sur le continent, Romie tentera tout pour guérir son amie de l'indifférence et sauver la population de l'île.

Coline Hegron

Illustrateur, Scénariste,Coloriste

Coline Hégron est une autrice de bande dessinée née en 1998 en Normandie. Après le lycée, elle fait les Beaux-arts à Angoulême où elle co-fonde l’association Très très bien avec laquelle elle anime des ateliers et conférences dans des écoles, publie des fanzines et une revue biannuelle. En janvier 2021, elle obtient le premier prix du concours Jeunes talents du Festival d’Angoulême. Elle a été publiée chez les éditions Albin Michel Jeunesse pour son livre Le grand labyrinthe. Sans panique est sa première bande dessinée, aux éditions Delcourt.

 

 

INFORMATIONS SUR L'ALBUM

Série Sans panique

Collection Mirages

EAN 9782413047650

Dimensions 19.7  x  25.5  x  1.8  cm

Nombre de pages 200

Sans panique

Sans panique

Voir les commentaires

Nicolas Antoniucci  Les Cahiers Sodium #3

Nicolas Antoniucci Les Cahiers Sodium #3

Nicolas Antoniucci  

Les Cahiers Sodium #3

Humaliens, Science-fiction et … Humanité.

 

Nicolas, nous le suivons depuis déjà plusieurs années, à chaque fois il nous étonne, science-fiction, écologie et philosophie s’entremêle pour former aux fils des ouvrages, une œuvre consistante.

 

Je vous le recommande fortement.

 

**********************  

 

 

Entretien :

Mon travail d’écriture se situe à la frontière entre le réel et l’irréel, à partir d’observations faites tant sur la Nature que sur l’humanité.

Je bâtis des histoires dans le domaine de la science-fiction mais dans lesquels certains propos critiques sur notre société d’aujourd’hui, tels sont l’écologie et les mixités culturelles, seront privilégiés.

Je continue ce travail et dans cet esprit depuis plus de vingt ans, ces secteurs devenant aujourd’hui, de plus en plus, d’actualité.

Mes textes auront, par choix, des aspects poétiques et imagés.

 

 

STYLE & INFLUENCES

Interview, impressions...

Que pensez-vous du rapport existant entre l’écriture d’un livre et l’histoire racontée ?

Dans mon livre Ulciv, Ultime civilisation, le dernier de mes quinze livres j’ai choisi de présenter une édition renfermant une histoire relatée dans des pages à l’écriture dense demandant une lecture attentive ce qui, certes, pourrait ne pas convenir aux lecteurs pressés, ou professionnels- Le critique professionnel, du moins à un certain niveau, n’a pas le temps et il s’intéressera à l’histoire sans se préoccuper du livre lui-même, ses mots, ses phrases, sa calligraphie.

 

Cet effort relatif qui est demandé pour la lecture de cet ouvrage a pour but de l’éloigner du monde audio visuel que nous subissons au quotidien afin d’essayer de pouvoir à nouveau retrouver la magie des mots.

 

les-cahiers-de-couleur-sodium-cahier-3-couv-webJ’ai regroupé mes livres dans une même collection sous l’intitulé de COULEUR SODIUM. Ils sont accompagnés des cahiers de COULEUR SODIUM qui sont des ouvrages relativement petits aux thèmes diversifiés. Le cahier Numéro 3, Humaliens, un ensemble de nouvelles de science – fiction, est sorti en aout 2023.

 

L’I-A, l’intelligence artificielle, qu’en, pensez-vous ?

Il y a danger car l’I.A, l’intelligence artificielle, mettra de plus en plus l’Individu au pas, lui proposant de réaliser à sa place – L’homme est souvent paresseux – ses œuvres, peintures, sculptures ou roman et il convient de dire que, très certainement, l’humanité va perdre définitivement ce qui existait encore jusqu’à aujourd’hui dans son art, le sacré.

 

Elle va briser la barque perso dans laquelle, jusqu’alors, chacun de nous, naviguait. L’écriture, sa calligraphie son encre et papier, sera produite par de puissants ordinateurs et réduite, en une totale régression, à de simple points et tirets.

Nous deviendrons alors des robots de chair.

 

Quel rapport entre le rêve et l’écriture, l’art en général ?

L’humanité fonctionne sur deux temps complémentaires, le diurne et le nocturne.

Lors de son sommeil le dormeur rêve, c’est une énergie qui se libère tel la vapeur surgissant d’une cocotte-minute, sous forme d’histoires, de symbole et de couleur dont nous ne maitrisons que peu les sens.

 

Dans l’autre monde, le monde parallèle du diurne, de l’éveil, l’artiste crée et l’écrivain écrit tel des rêves dont nous comprendrions à priori les sens. De toute évidence arrêter les rêves ou l’écriture, l’art, ferait se casser la machine humaine.

De ce fait, le principal de mes romans mixeront ensemble, dans des proportions plus ou moins grandes et subjectives, du rêve et de la réalité.

 

Que pensez- vous du livre objet ? De l’objet en général ?

Un livre fermé devient un objet. Il quitte la puissance du mot, de la phrase, de l’histoire racontée pour rejoindre celui, fracturé, de l’immobile, de l’inutilisé ou, au mieux, de la déco. Ainsi il pourra être exposé dans un salon sur une étagère, ou sur les tables d’une librairie, mais il pourra aussi encombrer nos trottoirs et rejoindre les symboles présents et actifs issus de notre société de consommation. Le livre objet alors suit un chemin parallèle à celui des hommes.

 

Le deuxième livre que j’ai édité se nomme Objets ce qui montre bien l’intérêt que je porte dans notre environnement et, bien sûr, pas simplement en tant que bien de consommation ou déchets, aux objets qui accompagneront l’homme tout au long de sa vie. Dans cet ouvrage je les classe même en deux catégories, objets domestiqués et objets sauvages, ces derniers apparaissant parfois à nos côtés comme étant la matérialisation en symboles de certains aspects de notre vie, nos préoccupations, nos sentiments…

 

 

Résumé de l’ouvrage :

 

Des humanités en balade, dans les profondeurs de l’univers et les étrangetés du futur, dans les paysages de 15 histoires de science-fiction.

Dans une époque où les hommes et même certains scientifiques s’interrogent sur la présence possible d’extraterrestre sur Terre, ces récits imaginaires accompa-gnent celui, plus étrange, d’une histoire vécue.

 

Extrait de l’épilogue :

De nos jours, de nombreux témoignages accréditent de l’existence possible d’humaliens sur Terre à travers la mise en lumière d’évènements incompréhensibles qui sont relatés par des observateurs.

Ils sont recensés, étant illogiques, et analysés par des organismes dédiés. Le princi-pal de ces manifestations trouvera une explication rationnelle et circonstancielle, mais certaines d’entre elles resteront inexpliquées.

 

Nombre de pages 92

ISBN (version imprimée) : 978-2-37692-412-8

ISBN (version eBooks) : 978-2-37692-413-5

 

Ouvrage regroupant quinze textes de science-fiction accompagnés de mes dessins en noir et blanc. Ils apportent un regard parallèle sur les histoires écrites mettant en valeur les mots s’enchainant les uns aux autres dans les textes, tels des poèmes.

Voir les commentaires

Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires

par NATASHA BEAULIEU

Entrevue

 

Pourquoi avez-vous eu envie de replonger dans cet univers avec Jimmy Novak et Tura Sherman ? Qu’est-ce que les années qui ont passé entre L’Ombre pourpre et Les Perles noires ont apporté à votre écriture ou à l’histoire ?

 

Dix-huit ans plus tard, j’ai eu besoin de reconnecter avec Jimmy Novak et Tura Sherman. Je devais découvrir où ils en étaient dans leur vie. C’était une manière de mieux comprendre où j’en étais dans la mienne.

 

Pour Les Perles noires, j’ai choisi de garder le même style d’écriture que les autres romans des « Cités intérieures ». Mais, surtout, on y retrouve des personnages solitaires et marginaux qui évoluent dans une ambiance gothique urbaine. Nous sommes dans le suspense fantastique. C’est ce qui fait la particularité des « Cités intérieures » et donc, des Perles noires.

 

Pouvez-vous nous parler un peu plus de l’Eau noire ? Que permet-elle ?

 

L’Eau noire est une métaphore de ma vision de la réalité. Tout ce que l’esprit est capable de concevoir a existé, existe ou existera un jour, quelque part, explique Stick à son frère Jimmy Novak, qui a peint un monde imaginaire auquel il a finalement pu accéder. L’Eau noire est une ouverture vers le monde des Cités intérieures, accessible à certains personnages des Perles noires. En cours d’écriture du roman, mon père est mort. J’ai alors compris que l’Eau noire pouvait aussi anticiper ce qui se passe après la mort.

 

Pourquoi l’histoire se passe-t-elle en grande partie à Montréal et au Japon ?

 

Jimmy Novak, un des personnages principaux des Perles noires et des Cités intérieures, est né à Montréal. Le coeur de cette saga se situe dans le parc La Fontaine, dans le bassin nord, près de la fontaine. C’est là que l’Eau noire apparaît la première fois. J’aime situer mes romans à Montréal, la ville où j’habite, et dans des villes que j’ai visitées et appréciées. Ma ville préférée est Londres mais, pour Les Perles noires, Stick devait arriver très loin de Montréal pour que sa quête de retrouver Jimmy soit plus captivante. C’est pourquoi j’ai choisi Tokyo.

 

Grâce au personnage d’Iki Yoshioka, on peut découvrir le Japon, ses quartiers, ses habitants et traditions. Avez-vous un intérêt particulier pour la culture japonaise ?

 

À l’adolescence, après l’Angleterre, je voulais visiter le Japon. J’y suis finalement allée en 2019. J’ai vécu dans le quartier Kabukicho, à l’hôtel Gracery, où une partie des aventures de Stick et Iki se déroulent. J’ai donc pu décrire l’ambiance du red light tokyoïte avec précision. J’ai grandi avec Minifée, Ultraman et Godzilla. Puis sont venus les jardins japonais, les sushis et l’art du zen. Plus tard, j’ai découvert l’auteur Haruki Murakami et sa trilogie IQ84 dans laquelle fantastique et réalité sont indissociables. Depuis, il m’arrive de penser que j’écris aussi du réalisme magique plutôt que du fantastique pur.

 

Pour quelles raisons Jimmy Novak ouvre-t-il le Penlocke ? Et pourquoi a-t-il choisi d’utiliser la réalité virtuelle dans son bar ?

 

Jimmy Novak  à cœur de réaliser le Penlocke, un projet créatif d’envergure qui mijote en lui depuis des années. Le soir de l’inauguration, s’y déroule un événement singulier qui lui permettra de bientôt réaliser son but secret : celui de retourner dans le monde imaginaire qu’il a peint sur un mur, 22 ans plus tôt. Novak choisit les réalités virtuelles et augmentées parce qu’elles lui permettent de recréer son monde imaginaire de manière plus concrète qu’une oeuvre peinte. Il apprécie les possibilités des nouvelles technologies et de l’interactivité, qui lui permettent de transcender son art.

 

Pourquoi avez-vous décidé de séparer les points de vue entre plusieurs personnages pour en faire un roman choral ?

 

J’aime beaucoup cette manière de construire un roman car elle contribue à augmenter l’effet de suspense. Avec Les Perles noires, j’ai choisi garder le même genre de narration que les autres romans des Cités intérieures. Je trouve que les trames parallèles qui finissent par se croiser ressemblent à la réalité. Nous vivons chacun et chacune dans notre bulle, puis nous allons rejoindre la bulle de quelqu’un d’autre et nous réalisons que nous connaissons quelqu’un en commun et une partie de sa bulle se greffe aussi à la nôtre. C’est comme ça que nous découvrons de nouveau allies.

 

 

 

Pour quelles raisons aimez-vous mettre en scène des personnages qui sont différents des autres, des marginaux ?

 

Parce que je me suis toujours sentie marginale, alors je m’identifie à eux. Je suis l’androgyne Stick, le peintre Jimmy Novak, la dominatrice Tura Sherman et un peu de tous les personnages des Perles noires. À travers leur marginalité, ce sont des facettes de moi-même que j’exprime : traits de caractère, fascinations, désirs, expériences de vie…

 

Mes personnages s’inspirent aussi parfois de gens que j’ai côtoyés. Peu importe, tous m’aident à mieux comprendre qui je suis et pourquoi j’écris ce que j’écris. C’est une analyse psychologique en constante évolution, et je continue donc à réfléchir sur ce sujet.

 

Qu’est-ce qui vous plaît dans le genre du fantastique ?

 

Le fait de pouvoir imaginer des choses qui ne se peuvent pas, en principe, mais pour lesquelles il n’existe aucune preuve qu’elles sont impossibles. Par exemple, l’Eau noire. Peut-être existe-t-elle déjà, quelque part, mais que personne n’a pu revenir nous le confirmer après s’y être immergé. Dans Les Perles noires, il est aussi question d’extraterrestres. Mythe ou réalité ? Stick possède le don d’interrompre le fil du temps, le temps de lire une information dans l’esprit d’un individu. Certes, je ne connais personne qui en est capable, mais qui peut affirmer que ce ne sera jamais possible ?

 

Bien des mystères sont soulevés dans cette histoire. Plusieurs se résolvent mais d’autres restent en suspens. Est-ce que vous prévoyez une suite aux Perles noires ? Et si oui, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce à quoi on peut s’attendre ?

 

On m’avait posé la question à la publication de L’Ombre pourpre. J’avais alors répondu que je ne le savais pas. Y aura-t-il une suite aux Perles noires ? Je ne le sais pas plus. J’aime qu’un roman me laisse de l’espace pour me questionner. Que l’intrigue ne soit pas totalement résolue peut m’agacer mais, si j’ai apprécié l’expérience de lecture, le plaisir va se poursuivre au-delà car l’œuvre va m’habiter plus longtemps. La marge entre le réel et la fiction ne cesse de rétrécir. On ne peut pas tout expliquer dans le réel. Comment le pourrait-on, dans la fiction ?

 

Natasha Beaulieu, merci !

Biographie/ Bibliographie

NATASHA BEAULIEU a grandi dans un environnement propice à stimuler l’imagination. Elle a écrit ses premiers textes toute jeune et, au fil des ans, elle a exploré différentes formes d’art (danse, théâtre, musique, cinéma, dessin de mode et haute couture).

 

Après avoir obtenu un diplôme de l’Université Concordia en Fine Arts (cinéma et littérature), elle a été, entre autres, journaliste, rédactrice pigiste et libraire. Si la trilogie fantastique des « Cités intérieures » a révélé le « noir talent » de Natasha Beaulieu au grand public, c’est avec Le Deuxième Gant qu’est née sa réputation de grande prêtresse des amours déjantés... Les Perles noires est son septième roman paru chez Alire.

 

DE LA MÊME AUTEURE

 

LES CITÉS INTÉRIEURES

1. L’Ange écarlate. Roman.

Beauport : Alire, Romans 033, 2000.

2. L’Eau noire. Roman.

Lévis : Alire, Romans 067, 2003.

3. L’Ombre pourpre. Roman.

 

Lévis : Alire, Romans 096, 2006.

Le Deuxième Gant. Roman.

Lévis : Alire, GF, 2010.

Lévis : Alire, Romans 144, 2012

.

Regarde-moi. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2012.

Lévis : Alire, Romans 160, 2014.

 

Le Secret du 16 V. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2014.

Lévis : Alire, Romans 183, 2017.

Voir les commentaires

Schlag En Cavale De Philippe Vasseur et FloVass.

 Schlag En Cavale

De Philippe Vasseur et FloVass.

 

Ce roman à quatre mains n’est pas juste un roman policier.

Il y est sujet également de messe noire, de relations Dominant-dominé dans un univers campagnard qui pourrait être le vôtre.

 

Vous trouvez en fin de volume « anthologies vagabondes » un univers Dark et surréaliste

 

 

En fin d’article vous trouverez un extrait du roman policier écrit par PH. Vender et FloVass lut par  Les AntraSiths.

 

 

Lecture déconseillée aux moins de 16 ans. Sous cette réserve je vous le recommande particulièrement.

 

Pensez à vous inscrire      à notre newsletter pour être sur de ne rien manquer de nos publications.

 

****************

 

Mais que signifie ce meurtre sordide, maquillé en cérémonial de messe noire ? Pourtant la belle quadragénaire, reconnue et respectable, n’avait pas le profil pour tomber dans ce piège terrifiant. Quoique… Le théâtre du drame ? Bah, une campagne plutôt tranquille, cela dit il y a des types un peu bizarres qui rôdent dans le secteur: par exemple ce junkie désocialisé, adepte de magie noire… Il avait croisé le chemin de la victime. D’ailleurs tout le monde le recherche depuis qu’elle a été tuée.

 

Et que dire de ce vieux curé colérique, puant le bouc et secrètement l

Mais, vérité, elle éclatera !

 

PH. Vender, quinquagénaire nourri aux polars depuis son adolescence, et FloVass, écrivain compulsif de 23 ans, ont associé leurs talents, leurs dingueries et leurs références, pour nous livrer un premier roman policier démoniaque et parfaitement irrévérencieux. Âmes sensibles s’abstenir.

 

Dans un épilogue, FloVass vous conduira au cœur d’un univers surréaliste, vous y comprendrez peut-être que ses anthologies vagabondes ont un lien très étroit avec schlag en cavale.

 

Broché

216 Pages

 

Dimensions       

15 x 5 x 21 cm

 

Collection          

Anthrasiths

 

Éditeur

Mémoirédition

 

Langue

Français

 

Auteur

Philippe Vasseur et FloVass

 

Âge       

Déconseillé au moins de 16 ans

 

ISBN      978-2957658534

 

Une brève biographie de Philippe Vasseur

 

Philippe Vasseur, écrivain – éditeur, fondateur et gérant de Mémoirédition.

 

L’écriture est une passion chevillée au corps depuis l’âge de 13 ans. Autant que je m’en souvienne, je n’ai jamais cessé depuis tout ce temps d’écrire. Ecrire des histoires inventées, ou celles d’autres personnes, bien réelles.

 

De 2001 à 2007, j’ai exercé à temps plein la profession d’écrivain-biographe en tant que travailleur indépendant. A cette période, j’ai également écrit trois romans dont Les profiteurs en 39-45 toujours disponible sur Internet.

 

L’entité Mémoirédition a été réactivée en janvier 2021 sous le numéro de Siret : 439 328 417 00021. Son statut est une micro-entreprise.

 

 

FLOVASS

Florian Vasseur, vit en Mayenne.

 

Écrivain compulsif, il exprime dans l’art poétique ses fantasmes, ses rêves remplis de mélancolie et de sensualité ; il plonge le lecteur dans sa vision déroutante de la vie, dépeignant une société parfois au bord de l’Apocalypse, et se faisant le porte-parole d’une jeunesse envahie de peurs : peur de l’avenir, de l’amour, de la mort, des autres, de la société, de ses pulsions. Ecrit dans un style Dark  surréaliste. .

Les AntraSiths vous lisent un extrait du roman policier écrit par PH. Vender et FloVass

©FloVASS juillet 2020

©FloVASS juillet 2020

Voir les commentaires

La forêt rouge Nouvelle.

La forêt rouge Nouvelle.

La forêt rouge Nouvelle.

Une légende des Millevaux

 

 

Voici un contexte historique où placer une variante des Millevaux. Une étrange forêt est apparue en Ecosse, à la fin du 17ème siècle. Après quelques années, sa croissance a fini par se stabiliser - pour s’étendre sur un territoire d’environ cent kilomètres de long et soixante de large. Malgré un édit royal qui en interdit l’accès, il arrive parfois que des hommes et des femmes - téméraires ou désespérés - s’aventurent sur le sentier qui semble se diriger vers son centre. Qui sont les étranges créatures qui se cachent dans le "bois du diable" ? Des immortels ? Des voyageurs temporels en jet lag ? Des loups garous ? Des prédateurs en chasse ? Des grands anciens ? Un peu de tout ça sans doute.

 

oOo

 

Au cours de l’année 1666, le soir de l’équinoxe d’automne, vingt et une sorcières se sont réunies dans le bois d’Elesmoor, près de la pierre de Fail, là où les combattants de la première bataille avaient juré fidélité au roi Edward. Quand la pleine lune se leva au-dessus de la lande, elles entonnèrent une incantation dédiée à Shub-Nigurrath, la mère nourricière, la protectrice des forêts, la chèvre noire aux milles rejetons. Elles se coupèrent toutes une mèche de cheveux qu’elles lancèrent dans le feu qui brûlait au centre du cercle magique, puis elles disparurent dans l’obscurité.

 

Dans les jours suivants, les arbres du fourré d’Elesmoor ont commencés à pourrir. Très vite, de nouvelles plantes sont sorties du sol en se nourrissant de cet humus nauséabond. Les troncs gris des nouveaux arbres étaient parcourus de veines d’un bleu sombre et leurs feuilles, semblables à celles des ormes, étaient rouges. Des buissons et des animaux aux formes étranges sont ensuite apparus dans l’ombre de la nouvelle forêt.

 

Les arbres aux frondaisons rouges se sont révélés êtres résistants au feu et les bucherons qui ont tenté de les couper se sont retrouvés empoisonnés par la sève couleur de sang qui est sortie des entailles faites dans leurs troncs. Ce poison était si redoutable que le fait de simplement respirer l'odeur de cet "ichor végétal" pouvait être suffisant pour tuer un homme robuste. Et comme les prêtres de la sainte église n’arrivaient pas eux non plus à repousser la croissance du "bois du diable", le prince d’Écosse se contenta de faire évacuer les villages menacés par l'avancée de la forêt et d'en interdire l'accès.

 

Pourtant, de nombreuses personnes se rendirent dans la forêt rouge une fois que sa croissance fut terminée. Certaines s'y rendaient par curiosité, d'autres pour fuir la justice royale, d'autres encore pour y chercher la connaissance, ou dans l'intention d’acquérir des pouvoirs surhumains. Il en est même qui s’y rendirent pour répondre à un mystérieux appel.

 

oOo

 

De nombreux aventuriers prétendirent être entrés dans la forêt maudite pour en découvrir les secrets et en être ressortis sans avoir subi sa malédiction. Les inquisiteurs et les juges qui les interrogèrent purent facilement les confondre et démonter qu'ils n'étaient que des affabulateurs. Tous, sauf un.

 

Rowan McAllister, un montagnard du Fold, affirma qu'il était entré dans le bois du diable pendant l'été de l’an 1749 et qu'il en était sorti huit ans plus tard. McAllister attira l'attention des autorités car dans les mois qui suivirent son retour dans le monde civilisé il entreprit de gagner de l'argent en réalisant des tours de magie très singuliers dans les auberges d’Ecosse, d’Angleterre et d’Irlande. Lors de ses spectacles merveilleux, il démontra qu'il était capable de lire dans les pensées, de devenir invisible, et de faire léviter des objets de plus en plus lourds - des assiettes, puis des bancs, et enfin des tables avec six personnes adultes assises dessus. Quand il redonna la vie à un oiseau mort, un pasteur qui assistait par hasard à sa démonstration décida de le dénoncer en envoyant un courrier à l'inquisition. Bientôt prévenu qu’il était recherché, Rowan McAllister s'exila dans les colonies d’Amérique pour échapper à son procès en sorcellerie. Il y exerça différentes activités en se faisant passer pour un hollandais nommé Jasper Aberdeen. Une fois devenu riche, il consacra une année entière à écrire le récit de son exploration de la forêt rouge.

 

Il retourna en Angleterre bien des années plus tard, au moment où commençait la guerre d'indépendance. Il s’installa à Londres en continuant à utiliser sa nouvelle identité. Il y fonda une maison d'édition qui, sous le couvert de la diffusion d’ouvrages moralistes, publiait en fait les écrits des révolutionnaires et des philosophes des lumières.

 

Ce n'est qu'en novembre 1789, sur son lit de mort que McAllister révéla qui il était réellement à son médecin. Il lui promit de lui donner toute sa fortune, mais, échange, il devrait pratiquer une autopsie sur son corps après son décès. Quand celle-ci fut réalisée, le chirurgien découvrit qu'un réseau de fines extensions végétales semblables à des racines blanches entourait entièrement le système vasculaire et le cerveau du vieil homme. Dans la journée qui suivit sa découverte, le médecin brûla le corps qu'il avait disséqué et il jeta les cendres dans la mer du haut d'une falaise. Seules les notes prises par son assistant ont été conservées.

 

oOo

 

En 1810, le roi d'Angleterre fit revêtir une escouade de soldats de scaphandres faits d’un assemblage de cuir et de toile étanche reliés par des boyaux à des pompes à air. Après deux ans de travail, le bois du diable fut entièrement rasé par les sapeurs. Le bois de sang qui constituait les troncs des arbres fut séché et utilisé pour construire des navires de guerre qui furent rapidement considérés comme étant indestructibles.

 

Le livre écrit par McAllister "Le palais du roi de la forêt pourpre" fut mis à l'index par l'inquisition et seuls deux exemplaires échappèrent à la destruction. Ils font partis des ouvrages ésotériques les plus recherchés par les collectionneurs.

Voir les commentaires

Philippe Mirmand La Deuxième Guerre des mondes

Philippe Mirmand La Deuxième Guerre des mondes

Philippe Mirmand

La Deuxième Guerre des mondes

Philippe Mirmand n’est pas un inconnu pour nos fidèles internautes.

Nous avions déjà parlé de son précédent ouvrage sorti en 2022 « Le Cube de Fox-Amphoux » qui combinait de manière originale voyages dans le temps et dans l’espace ; passé, présent, avenir ; aventures et réflexions de fond.

Il revient cette année avec un nouveau roman « La Deuxième Guerre des mondes », qui préfigure un avenir où le Metaverse est devenu un univers à part entière, totalement interconnecté au monde réel (le « Reverse »). Il anticipe un conflit entre ces deux dimensions, régies par des règles et des philosophies différentes. Mais au-delà de cette idée novatrice, il met en évidence les dangers des mondes artificiels que propose aujourd’hui la technologie et illustre bien les dangers de cette fuite vers une illusion de réalité. 

Comme dans son premier opus, sur la base d’aventures et de technologies, il ouvre enfin son récit à une dimension spirituelle plus large qui surprendra les lecteurs.

En définitive, à l’instar de son premier livre, on y trouve aventure, romance, audace imaginaire, suspense et réflexion.

Vous trouverez, pour notre site, en téléchargement gratuit, les premiers chapitres de son nouveau livre. Qu’il en soit remercié.

Biographie :

Adepte de tous types de littératures, passionné d'histoire, Philippe a une appétence particulière pour la science-fiction. Celle-ci est pour lui à la fois une fenêtre sur d'autres univers et un cadre propice à des réflexions de fond. Il considère que la SF, loin d’être un genre mineur, est un domaine littéraire privilégié pour susciter des émotions, en permettant d’entremêler passé, présent, avenir, technologies, philosophie, sciences et rêves, plaisir et réflexion.

Auteur de "Le cube de Fox-Amphoux" (2022) et de "La Deuxième Guerre des mondes" (2023).

Sur Instagram : Philippe_Mirmand
 

Extrait en téléchargement légal et gratuit La Deuxième Guerre des mondes

Voir les commentaires

Stéphane RIBERA

Stéphane RIBERA

Entretien : Stéphane RIBERA

Que l’auteur soit remercié  pour les 2 extraits.

 

Merci de laisser un commentaire

Pensez à faire connaitre le site  à vos mis et contacts.

**************

 

 

Présentation du roman :Mille ans après notre ère.

Un groupe de hors-la-loi cherche à découvrir qui est à la tête du Ram Fractal, un état totalitaire qui règne sur la Terre et ses colonies planétaires. Activement recherchés par l’autorité ainsi que par d’autres groupuscules aux intérêts divers et opposés, ils traversent la Galaxie peuplée de rebelles déterminés, pirates sanguinaires, marchands mafieux sans scrupules, fanatiques religieux, robots implacables, mutants inquiétants, et autres créatures aussi hétéroclites que surprenantes.

 

Mais à l’aube d’un conflit intergalactique avec les forces sinistres du Ram Fractal, l’étau se resserre autour d’eux. Conflit, où seuls ceux sachant maîtriser leurs peurs et cultiver leurs différences survivront.

 

 

Extrait du livre

Extrait 1

Ils quittèrent le magasin, Alkreg récupéra ses armes dans le vestibule et une fois dans la rue, il dit à Roger : —C’est indispensable à notre époque, ces traducteurs miniaturisés vous permettront de comprendre la quasi-totalité des langues et dialectes parlés dans la Galaxie, soit environ quinze mille cinq cents formes de langage.

—Impressionnant, répondit Roger. Après quelques minutes de marche, Alkreg prit Roger par le bras.

—Venez, il est temps de se restaurer ! Nous sommes dans une partie de la ville où nous devrions être au calme.

 

Ils pénétrèrent alors dans un bar. Un couple était attablé au fond de la salle principale et deux hommes discutaient sur leur gauche. Le tenancier était présent. Il somnolait derrière son comptoir et l’entrée des deux personnes le fit brusquement sursauter. Ils s’assirent à une table et commandèrent une bière ainsi qu’une petite collation colorée.

 

Roger était affamé ; il ne chercha pas à savoir ce qu’il y avait dans son assiette et il ingurgita ce qui semblait être un blanc de poulet et une mixture à la teinte bleutée. Il reprit alors la conversation qu’ils avaient laissée en suspens à l’entrée de la ville.

 

—Pourquoi ces robots sont-ils un mal ?

Alkreg reprit son récit : —Lorsque les Stellians ont aidé les humains à reconstruire les bases d’une civilisation, les robots ont joué un rôle important et ils sont devenus de plus en plus nombreux.

—Et alors ?

—Et alors ? Un jour, ils se sont révoltés. Personne n’a jamais su pourquoi et je pense que personne ne le saura jamais. Ils se sont révoltés et voilà tout : c’était il y a cinq siècles, dans les années 2480. En quelques mois, ils ont pris le contrôle de la Fédération terrestre et ont chassé les Stellians.

 

—Et depuis ?

—Ils ont beaucoup œuvré, mais seulement pour leurs propres intérêts. Ils se sont lancés à la conquête des étoiles, ils ont colonisé de nouveaux mondes, ils sont entrés en contact avec d’autres ethnies galactiques et leur pouvoir est devenu immense….

 

Extrait 2

Après un vol d’une heure, la capsule de sauvetage pénétra à très grande vitesse dans l’atmosphère vénusienne. Cette intrusion fut extrêmement mouvementée : la capsule tremblait fortement dans un bruit d’enfer et ses occupants s’accrochaient fermement à leur harnais de sécurité.

 

 

—Mais vous vous rendez compte, cria Kevin en tremblant. Je suis resté mille ans dans un putain de sarcophage à flotter dans un liquide qui ressemble à de la pisse d’âne. Je me réveille dans un monde de science-fiction post-apocalyptique, et là… là, j’ai l’occasion de voyager dans un vaisseau spatial ! Un truc de ouf que jamais j’aurais pensé pouvoir faire un jour. Et je voyage dans quoi ? Un vaisseau benne à ordures ! Mais sérieux !! Un voyage en première classe ? Non mon con ! Dans une benne à merde !! Il fit une grimace qui aurait probablement inspiré Tex Avery.

 

—Et maintenant que je pue la merde et la bidoche avariée, ajouta-t-il, je vais me crasher la tronche, saucissonné dans le baquet d’une capsule de survie sur une planète où il fait quatre cent cinquante degrés et où il pleut de l’acide sulfurique ! Fait chier merde !!!

—On va s’en sortir, lui répondit Vladimir, t’inquiète pas ! Et laisse-moi te dire que tes données sont un peu erronées. Le Ram, depuis cent soixante-quinze ans, a entamé la terraformation de Vénus. La température n’est plus que de quatre-vingts degrés Celsius en moyenne. L’atmosphère est toujours aussi dense, un peu moins corrosive, mais la pression atmosphérique est tombée à vingt-cinq atmosphères.

 

—Super, dit Kevin en bougonnant.

—Et pardon de t’avoir un peu secoué tout à l’heure.

—Merci, répondit Kevin. Je peux clamser kiltran maintenant que je sais qu’t’es plus vénère après moi.

Vladimir eut un petit sourire, il avait dû comprendre ce qu’avait dit Kevin. Les vibration s’amplifièrent. Après une chute de plusieurs minutes, le module de sauvetage actionna ses rétrofusées, le freinage fut extrêmement puissant, et soudain il y eut un grand choc. Des coussins gonflables de sécurité se déployèrent sur chaque siège. La capsule venait de toucher avec fracas le sol vénusien. Dans l’habitacle de cette dernière, quelques courts-circuits firent jaillir des étincelles et une légère fumée envahit l’espace. Les cinq occupants avaient été sérieusement secoués et il leur fallut quelques instants pour reprendre leurs esprits. Mad Sexe et Destrex furent les premiers à s’extraire de leurs sièges baquets.

 

Présentation de l’auteur :

Passionné par le spectacle d’un ciel étoilé depuis sa plus tendre enfance, c’est en 2017 que Stéphane décide de se lancer dans une aventure un peu folle : raconter, au travers d’une saga romanesque, l’épopée d’une bande de barjots qui écume les océans cosmiques en quête d’aventure et de vérité.

C’est alors qu’il débute la saga Diwarh’ya qui sera plébiscitée par les amateurs de science-fiction, comme « une future référence de la littérature ».

 

Interview de l’auteur

Yves Roumiguieres, présentez-vous ?

Je m’appelle Stéphane RIBERA et j’ai 53 ans. Né au Canada, je vis en France depuis mes deux ans. Je suis passé par la région parisienne, le Berry et vit actuellement avec ma compagne près de Montpellier où je gère une société de déménagement familiale. Père de deux enfants, grands père de quatre, mes périodes de vacances sont souvent… chargées.

 

 

Écrivain est-il un métier que vous envisagiez de faire ? Où vous voyez-vous dans cinq ans ?

Pas du tout, même si je me suis essayé à quelques nouvelles lors de mon adolescence, je n’ai jamais eu la prétention de le devenir. Je ne sais pas encore si je pourrais en faire mon métier mais ce serait fantastique. Ce ne serait même pas un métier… quand on aime ce qu’on fait, c’est une passion.

Ou trouvez-vous votre inspiration ?

Partout ! Autour de moi, dans les paysages que je vois, chez les gens que j’aime observer et écouter, dans les faits divers que j’entends sur les ondes ou que je vois à la télé. Et puis le soir, juste avant de m’endormir, quand mon esprit imaginatif et prolifique vagabonde dans des contrés infinies et inexplorées.

 

Maintenant, parlez-nous de votre roman ?

Diwarh’ya est une adaptation romancée d’aventures que j’ai vécu lors de mon adolescence où j’étais féru de jeux de rôles (Donjons et Dragons, L’appel de Cthulhu, MEGA, Traveller). Passionné de science fiction et d’astronomie depuis tout gamin, j’ai eu envie de retranscrire ces histoires en y ajoutant un cadre romanesque riche de personnages et de mondes fantastiques, le tout articulé à un univers palpitant.

 

 

 

 

Où vous voyez-vous dans cinq ans ?

J’ai juste envie d’écrire des histoires pour donner de la joie à mes lecteurs et leur permettre de s’évader, un temps, des vicissitudes de notre monde actuel. J’espère qu’ils aimeront mon travail, qu’ils prendront du plaisir à lire ce premier roman et surtout, qu’ils en redemanderont ! La suite promet d’être pleine de rebondissements.

 

En haut de l’affiche… non j’déconne, ma vanité n’est pas assez développée pour ça. J’aimerai juste être dans un coin sympa, en bonne santé, près de ceux que j’aime avec toujours…une plume à a main.

 

 

 

 

 

La Grande Vague :

Née en 2022, de la volonté d’un agent littéraire et spécialisée dans les romans en tous genres, en raison de son nombre d’auteurs éclectiques déployés sur  d’un auteur, la maison d’édition « La Grande Vague » est l’hexagone. Son nombre conséquent de manifestations dans les régions (dédicaces, présentation de l’actualité culturelle dans les établissements scolaires, bibliothèques, librairies, marchés, salons, avantpremières, etc…) est sa marque de fabrique pour mener à bien son projet.

Les éditions « La Grande Vague » ont pour mission, outre la commercialisation de romans, d’accompagner et « manager » des auteurs dans leurs régions respectives tout au long de la réalisation de leur projet.

 

Yves :

Lui-même auteur de plusieurs romans, Yves écume les structures culturelles à travers diverses manifestations, afin de partager sa passion en faisant connaitre ses aventures.

Natali :

Après plusieurs années d’expérience, Natali a su se créer un carnet d’adresses sur le plan national, afin de s’occuper au mieux de ses auteurs et de les mettre en lumière aux yeux de tous.

 

Genre : Roman

Catégorie : Science-fiction

Auteur : DIWARH’YA

Dimensions : 152 x 229 mm

Pages : 320

Dépôt Légal : Novembre 2022

ISBN Broché : 978-2-38460-054-0

ISBN Numérique : 978-2-38460-055-7

Prix Broché : 21,90 €

Prix HT Numérique : 5,90 €

Voir les commentaires

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

 

Résumé

LES NOUVELLES DE CE RECUEIL :

Amours de verre

Dans le pays-qui-sera, la musique est partout. Elle accompagne chaque moment de la vie : naissance, deuil, récréation scolaire, « ouverture de chaque session du Parlement », etc. Chaque habitant du pays-qui-sera sait jouer d’au moins un instrument, mais ce n’est pas tout le monde qui a le talent de Guzla Retsiolèz. La compositrice légendaire rencontrera par hasard Zanne Herrica, une nomade constamment à la recherche de nouvelles sonorités. Ou peut-être est-ce plutôt Zanne qui rencontrera Guzla ? Plus tard, bien plus tard, viendra Toome, un souffleur de verre, qui n’a pas encore trouvé le violon lui étant destiné.

 

Ailleurs et au Japon

L’autrice jongle avec les lignes découpées de divers textes et ainsi naît une machine. En plein vol, celle-ci peut déplacer le paysage. Mais cet étrange oiseau craint tellement de tomber que cela finit par arriver et, dans sa chute, il perd ses ailes de métal. Il ne sait plus quoi faire d’autre qu’attendre dans cette « forêt quasi marine » dans laquelle il a rebondi. Jusqu’au moment où une femme apparaît, peut-être tombée du ciel comme lui. Une géante. Une femmemontagne.

 

Le Dormeur dans le cristal

Ils voyagent dans l’espace depuis si longtemps à l’abri du temps dans leur champ T qu’ils se sentent éternels. Peut-être le sont-ils vraiment… Pour la première fois, ils trouvent sur une planète en décrépitude un autre être humain. Celui-ci est figé en plein coeur d’un « dodécaèdre taillé dans un seul bloc de diamant artificiel ». Le Dormeur dans le cristal. Bien sûr, ils l’amènent avec eux sur leur vaisseau. Maïa a alors le loisir d’aller lui rendre visite tous les jours, même si le dormeur reste immobile. Elle lui imagine des vies avant elle et, pourquoi pas, avec elle lorsqu’il se réveillera enfin.

 

Les Villes invisibles

Dans les nouvelles cités dômes vous n’avez que cinq destinations, autant que les doigts de la main. Autobulles, taxibulles ou métro, il suffit d’apposer votre main et de vous laisser porter dans la marée de cachemantes. Que vous soyez Thélaïme ou Gisèle, que vous alliez à la Zone Hôpital, à la Zone Commerciale ou au District des Écoles, peut-être que ce jour sera LE jour. Le bon moment, celui d’entre deux vies. L’instant d’être diverti et transporté dans les restes des quartiers d’avant dans ces villes invisibles. Pour se perdre et peut-être finalement se retrouver soi-même.

 

Into White

Tish retourne au Saguenay-Lac-St-Jean après trente ans d’absence. Trente ans à survivre et à aider comme elle le pouvait dans une BETs en Amérique du Sud. C’est suite au décès de son frère, l’ancien maire de Saguenay Ville Verte, qu’elle se décide enfin à quitter les débris du Big One en Californie. Elle fait le chemin accompagnée de Maddie, une petite fille à la peau qui s’illumine, une génétiquerie. Tish y revoit ses anciens amis et amours, mais seulement pour un court instant. Une simple pause sur leur trajet. Car Maddie et elle ne s’arrêteront pas tant qu’elles n’auront pas vu la neige blanche, celle qui ne fon pas.

 

La course de Minuit

Cinquante ans après le voyage de Tish, Minuit et Shikuan viennent de gagner la dernière course à l’ombre de l’année. Mais si les courses de Zep sont terminées, reste encore la Course aux souvenirs, celle qui se fait à pied de GrandeAnse à Gilbertville. Celle qu’a courue Minuit la rebelle il y a quinze ans avant de quitter sa région natale et la Famille. Celle que Péri veut courir accompagnée de Minuit qu’elle a choisie comme kukum. Une course aux souvenirs, un espoir, un passage de l’adolescence à l’âge adulte alors que l’ombre recouvre la terre et que le siècle se termine pour laisser sa place à un nouveau quand arrivera minuit…

 

La Femme aux semelles de temps

Celle qu’on surnomme la vieille au sac à dos a un problème ce matin avec la semelle de sa sandale droite qui s’est incrustée au ras du trottoir. Par-dessus le marché, elle s’est trompée de chemin. Et son sac qui est plein « juste des urgences-oublis, mais ça pèse son poids quand même ». Elle n’est pas sûre de pouvoir rentrer avec ce soulier fichu et l’autre « semelle aussi [qui] va naufrager… » Mais il y a soudain ces deux gamines qui arrivent et la guident vers une femme qui répare les souliers par chez elles, un rare quartier avec un coin d’arbres, une sorte de jardin communautaire. Au beau milieu des quelques maisons encore debout, « c’est joli, ça repose les yeux ».

 

Mot de l’autrice : Pourquoi la science-fiction ?

Parce que je peux y faire tout le reste : de la psychologie et de l’action, de la philosophie et du mystère, de l’horreur et de la politique, des sciences…

 

Et comme femme, ça m’est absolument indispensable d’écrire, de lire et de penser SF. À part la colère et le chagrin, quels modes d’expression et de réflexion sur la vie des femmes le monde d’aujourd’hui nous offre-t-il ? Je veux pouvoir imaginer comment ça peut être différent, le décrire, le faire sentir pour que ça devienne peut-être possible un jour. Pas seulement à propos des femmes, mais des êtres humains. C’est quoi, un être humain ? Il n’y a que la SF pour poser cette question dans toutes ses dimensions.

Et moi, j’aime vivre au large…

 

 

Ce qu’il faut savoir

• Élisabeth Vonarburg est sans contredit l’écrivaine de science-fiction la plus connue et la plus talentueuse de l’histoire de la littérature québécoise, voire de la francophonie tout entière ;

• Les sept nouvelles du recueil nous amènent dans différents univers, époques et futurs de l’humanité. Chacune d’elles explore à sa façon des facettes du temps. Les trois dernières nous offrent d’ailleurs un regard assez optimiste sur l’avenir, comme s’il restait un petit espoir que les humains se mettent à prendre les choses en main et améliorent ainsi leur sort, à coups de jardins communautaires, de course des jeunes pour l’espoir et pourquoi pas même de Ville Verte ;

• Les livres d’Élisabeth Vonarburg ont été publiés et/ou traduits dans plusieurs pays, dont les États-Unis et la France. Et en 2018, elle remportait le Prix extraordinaire des Utopiales lors du festival du même nom à

Nantes, honneur récompensant la qualité de l’ensemble de son œuvre sur les quatre dernières décennies !

 

 

ÉLISABETH VONARBURG est une des figures les plus marquantes de la science-fiction québécoise. Elle est reconnue tant dans la francophonie que dans l’ensemble du monde anglo-saxon et la parution de ses ouvrages est toujours considérée comme un événement. Outre l’écriture de fiction, Élisabeth Vonarburg pratique la traduction (la presque totalité de l’œuvre de Guy Gavriel Kay, entre autres), s’adonne à la critique (notamment dans la revue Solaris) et à la théorie littéraire (Comment écrire des histoires). Depuis 1973, Élisabeth Vonarburg a fait de la ville de Chicoutimi son port d’attache

 

 

« Son style, sa culture sa verve proverbiale et ses manies de touche-à-tout font d’elle une incontournable. Voilà, c’est dit. »

Le Devoir

« Élisabeth Vonarburg s’est imposée comme l’un des grands noms des littératures de l’imaginaire au Québec. »

Entre les lignes

 

Élisabeth Vonarburg sera présente au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

 

 

 

La Femme aux semelles de temps

Science-fiction

R228, 320 pages, 15,95 $

978-2-89835-031-3

 

Communiqué de presse

.

Élisabeth Vonarburg

Élisabeth Vonarburg

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Haut

       Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Site sur toute la culture des genres de l'imaginaire: BD, Cinéma, Livre, Jeux, Théâtre. Présent dans les principaux festivals de film fantastique e de science-fiction, salons et conventions.

Pages

Archives

Hébergé par Overblog