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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #canada

Les éditions Alire - © 2024

Les éditions Alire - © 2024

TOUTES LES MERS DU MONDE

A la fin de l'article vous trouverez un entretien avec l'auteur

 

GUY GAVRIEL KAY est né en Saskatchewan en 1954. Après avoir étudié la philosophie au

Manitoba, il a collaboré à l’édition de l’ouvrage posthume de J.R.R. Tolkien, Le Silmarillion, puis

terminé son droit à Toronto, ville où il réside toujours.

Au milieu des années quatre-vingt, il publiait La Tapisserie de Fionavar, une trilogie qui devait le hisser au niveau des plus grands. Ont suivi Tigane, Une chanson pour Arbonne et Les Lions d’Al-Rassan, trois romans qui marquaient la naissance de la fantasy historique. Traduit en plus de vingt langues, il a vendu des millions d’exemplaires de ses livres au Canada et à l’étranger, ce qui en fait l’un des auteurs canadiens les plus lus dans le monde

 

 

Iseult Bacon-Marcaurelle — iseult@alire.com — T : (418) 440-9333

 

CE QU’IL FAUT SAVOIR…

• Prenant place sur les eaux et dans les cités d’un univers riche inspiré de la Renaissance italienne, Toutes les mers du monde marie habilement une intrigue politique bien ficelée à des personnages marquants, sans oublier de légères mais troublantes manifestations de l’au-delà et plusieurs sujets

profonds sur lesquels Kay nous invite à réfléchir grâce à sa plume lyrique et précise ;

• Depuis ses tout débuts, Kay offre parmi ses personnages à ses lecteurs des femmes fascinantes, qui ne sont jamais « décoratives » Lénia Serrana, dans ce nouveau roman, en est un exemple probant, tant elle est forte,

intelligente et indépendante ; La mémoire, et la manière dont celle-ci agit sur la psyché humaine, sont des thèmes récurrents dans l’oeuvre récente de Kay. Cette fois, c’est Lénia qui s’interroge : pourquoi choisit-on parfois d’oublier? et que cela dit-il sur qui nous sommes ?

Comme toujours, la finesse de la plume de la traductrice, Élisabeth Vonarburg, se marie brillamment à celle de Kay, avec pour résultat une rencontre merveilleusement belle entre Histoire et imaginaire, entre fantasy et poésie…

 

GF126, 648 pages, 36,95 $

978-2-89835-060-3

Le souvenir d’un foyer peut être trop éloigné, dans le temps, dans l’espace, dans l’immensité de la terre, ou de la mer. Il peut pâlir et se brouiller à mesure que passent les années, et en cela aussi c’est une souffrance. Certains, dans leurs rêves, reviennent à des voix remémorées, des sons, des parfums, des images. Mais beaucoup ne rêvent pas, ou ne rêvent pas du lieu d’où ils viennent.Lénia Serrana est de ceux-là. Enlevée de sa Batiare natale par des pirates alors qu’elle n’était qu’une enfant, elle a été pendant des années « Nadia » pour son maître asharite. Seul le meurtre a pu la délivrer, et maintenant elle vogue avec son associé kindath Rafèl ben Natan, acceptant divers contrats plus ou moins licites au gré des saisons.

 

Mais un de ceux-ci, l’assassinat du calife d’Abénévèn, si loin au sud de la grande mer du Milieu, sera plus dangereux que les autres et, par son succès, changera la destinée de Rafèl et Lénia à jamais. Mais l’écho de leur réussite atteindra avec eux les cités-États de Batiare, où Lénia revient enfin, de bon ou de mal gré, et s’éveillera alors chez les adeptes de Jad un nouvel espoir.

Et s’ils pouvaient enfin restaurer la grandeur de leur Empire souillé

 

 

GUY GAVRIEL KAY est né en Saskatchewan en 1954. Après avoir étudié la philosophie au

Manitoba, il a collaboré à l’édition de l’ouvrage posthume de J.R.R. Tolkien, Le Silmarillion, puis

terminé son droit à Toronto, ville où il réside toujours.Au milieu des années quatre-vingt, il publiait La Tapisserie de Fionavar, une trilogie qui devait le hisser au niveau des plus grands.

Ont suivi Tigane, Une chanson pour Arbonne et Les Lions d’Al-Rassan, trois romans qui marquaient la naissance de la fantasy historique. Traduit en plus de vingt langues, il a vendu

des millions d’exemplaires de ses livres au Canada et à l’étranger, ce qui en fait l’un des auteurs canadiens les plus lus de sa génération

 

 

GUY GAVRIEL KAY J.R.R. Tolkien TOUTES LES MERS DU MONDE Toronto Roman Science fiction Fantasy Manitoba Québec Élisabeth Vonarburg Canada

 

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 SOLARIS 229

SOLARIS 229

SOLARIS 229

Nouvelle livraison de SOLARIS, la revue de science-fiction francophone la plus importante au monde.

Ci-dessous vous trouverez le lien pour vous y abonnez.

******

 

 

 A propos de ce livre

Solaris 229

  • Prix Joël-Champetier : « Danser, chanter, lire les oiseaux », de Florian Herbert-Pontais ;
  • « Dans la barque », de Geneviève Blouin ;
  • « Nos corps enlacés dans un baiser de cendre », de Guillaume Voisine ;
  • « Dans la gueule », de Dave Côté ;
  • « Dans la gueule » d’Ericka Sezille ;
  • « Cette maison qui sera la nôtre », de Sébastien Chartrand ;
  • « Réponse à deux amis », de Frédéric Parrot ;
  • « Question d’équilibre », d’Isabelle Piette ;
  • « Doc Dinosaure 2.0 », de Claude Lalumière ;
  • « Les Lampes de Ganymède », de Michèle Laframboise.

Articles

  • Présentation, Pascal Raud
  • Les Carnets du Futurible : Futurophagie, ou la nourriture à venir, de Mario Tessier ;
  • Le Daliaf présente… L’Homme qui va… de Jean-Charles Harvey, de Claude Janelle.

Critiques

  • Les Littéranautes
    • Michèle Laframboise Rose du désert [Francine Pelletier]
    • Claude Bolduc, L’Ensemenceur [Pierre-Luc Lafrance]
    • Raphaëlle B. Adam, Venefica [Pierre-Luc Lafrance]
    • J. D. Kurtness, La Vallée de l’étrange [Nemo A Butler]
    • Jérémie Bourdages-Duclot, Au service de l’ennemi (Mémoire d’Orage -2) [Nathalie Faure]
    • Josée Marcotte, Femmes d’Apocalypses [Christine Hébert]
    • Alain Bergeron, Le Huitième Registre 1. Le Silène assassiné [Élisabeth Vonarburg]
  • Lectures
    • Eden Robinson, Le Fils du Trickster [Mariane Cayer]
    • Stéphane Braun, Cryogénia [Pierre-Luc Lafrance]
    • Élodie Tirel, Le Sanctuaire (Les Enfants du Mœbius -1) [Mariane Cayer]
    • Mazen Abdallah / Haidar Safa, Poussières dans l’espace [Mariane Cayer]
    • Ethan Chatyagnier, L’Affaire Crystal Singer [Jean Pettigrew]
 SOLARIS 229

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Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

Le Huitième Registre

1. Le Silène assassiné

 

 

Une œuvre magistrale d'Alain Bergeron,

L’un de plus grands orfèvres de l'imaginaire au Québec !

 

Dans un monde flirtant avec le steampunk, Le Huitième Registre propose un univers qui aurait évolué différemment si la chute de Constantinople n'avait pas eu lieu en 1453.

Un grand roman de science-fiction uchronique en deux tomes.

 

 

 

En librairie.

 

Providence (Arkadie), Saint-Empire roman byzantin, 2015...

André Antonikas, sémiologue aux mœurs dépravées, a bénéficié d'une clémence certaine à la suite d'un énorme scandale. En réalité, des gens haut placés ont convaincu la cour que sa réclusion à domicile était préférable à l'emprisonnement. Est-ce en raison des analyses historiosophiques qu'Andronikas produit dans son manoir depuis des années ? Cette science, honnie dans le Saint-Empire depuis des décennies, étudie les niveaux d'implication d'événements ciblés sur la création de réalités alternatives, et s'oppose au monochronisme de l'Église qui stipule que tout a été prévu et voulu par Dieu depuis le début de la Création.

 

 

Un soir où les conditions sont parfaites pour que Léon Gaïus Mellior, son jeune assistant, installe les capte-foudre, seul dispositif capable de fournir l'énergie nécessaire au fonctionnement du controversé huitième registre de son orgue à traitement de signes, Antonikas est brutalement assassiné. Essir Labinien Estradice, premier préfet de la Cité de Providence, conclut aussitôt à la culpabilité de Léon Gaïus. Or, Siméon Monocrate, grand inquisiteur mandaté par la Curie pontificale de Rome, croit l'affaire plus complexe.

 

De fait, pendant sa traversée de l'Atlas en compagnie de son assistant, le frère Calixte, Siméon a lu les Souvenirs et Confessions de magister André Antonikas, ouvrage dans lequel le sémiologue assassiné relate un meurtre survenu dans des circonstances très similaires à celles qui lui ont coûté la vie. Or, ce meurtre s'est produit vingt ans plus tôt pendant le premier synode sur l'historiosophie, tenu au monastère de Mont-Boréal, en Galactée. Et Monocrate n'en démord pas : ces ressemblances ne peuvent être des coïncidences... et il entend bien le prouver !

 

 

 

Votre roman, Le Huitième Registre, est ce qu’on appelle une uchronie. Quelle est donc l’origine de ce projet ?

Il y a une trentaine d’années, j’ai publié dans Solaris une nouvelle qui portait ce titre. Je m’intéressais alors beaucoup à l’Empire romain d’orient (que l’on appelle à tort « Empire byzantin ») et l’idée m’est

venue d’imaginer dans quelles conditions historiques une puissance politique de cette importance, disparue en 1453, pourrait s’être maintenue jusqu’à nos jours. La nouvelle a connu un certain succès et elle a été reprise dans plusieurs anthologies, en français et en anglais. J’ai eu très tôt l’idée d’en développer l’univers pour un roman, mais ce n’est qu’au cours des dix dernières années que j’ai pu m’y consacrer sérieusement.

 

Pourquoi cet intérêt pour l’Empire romain d’orient ?

Pour différentes raisons. L’histoire, celle du Moyen Âge en particulier, a toujours été l’une de mes passions (avec la science et la musique). Or je m’étais aperçu que notre connaissance de cette période

est en général très centrée sur l’Europe. L’on a tendance à sous-estimer l’Empire romain d’orient et sa glorieuse capitale, Constantinople, qui ont pourtant joué un rôle déterminant entre les royaumes occidentaux et le monde arabe, mais aussi en tant que principal héritier des grandes civilisations grecque et romaine de l’Antiquité. Je me suis d’ailleurs rendu compte que plusieurs auteurs de science-fiction, Asimov ou Frank Herbert par exemple, semblaient s’en être inspirés pour façonner leurs propres empires.

 

Ce point de départ a dû vous obliger à reconstruire l’histoire de façon significative.

 

Soyons clair : mon roman se situe à notre époque (en l’an 2015 principalement) mais dans une autre réalité historique que la nôtre, une réalité où le développement culturel, scientifique et technologique, par exemple, auraient souvent pris des orientations différentes. Il m’a donc fallu imaginer un environnement constitué d’éléments à la fois familiers et divergents.

 

L’ordre politique mondial ne ressemble aucunement à celui que nous connaissons et plusieurs des progrès que nous prenons un peu pour acquis sur le plan politique ou social (la démocratie, par exemple) n’ont pas eu la chance d’émerger. En l’absence d’obstacles au commerce international du côté de l’est, un événement historique comme la découverte de l’Amérique n’a pas eu lieu avant 1809. Si la très grande majorité des êtres humains vivent dans des sociétés autoritaires, traditionalistes, de type patriarcal et fortement religieuses, rappelons que c’est aussi le cas d’une bonne partie de l’humanité dans notre monde à nous ! Ceci dit, l’on peut trouver dans Le Huitième Registre des courants de revendications sociales  et politiques, même s’ils sont plus ou moins clandestins et fortement réprimés. La condition féminine n’est pas en reste non plus car il existe un mouvement que l’on pourrait bel et bien qualifier de « féministe ».

 

Ce monde qui est au final assez arriéré sur bien des plans a tout de même inventé l’ordinateur dès le 16e  siècle, non ?

 

Disons qu’une sorte d’ordinateur mécanique sophistiqué que l’on appelle « l’orgue à traitement de signes » a pu voir le jour à cette époque. (C’est le côté un peu steampunk du roman). L’orgue, qui est devenu de plus en plus performant avec le temps, fonctionne à l’aide de différents « registres », qui sont autant de configurations particulières des rouages internes de la machine qui sont destinées à répondre chacune à un usage spécialisé. Le huitième de ces registres, celui de l’historiosophie, est celui qui donne son titre au roman.

 

Qu’est-ce donc que l’historiosophie ?

 

On en trouve plusieurs définitions dans le texte, assez savantes la plupart du temps. Pour faire simple, je dirais que c’est l’étude mathématique des relations de causes à effets en histoire. Il s’agit d’une science assez controversée puisqu’elle permet, en modifiant les paramètres, de construire des réalités alternatives possibles, donc d’imaginer d’autres mondes.

 

L’historiosophie s’oppose d’ailleurs à la vision prédominante qui prétend que l’histoire du monde fut entièrement prédéterminée dès le premier instant de la Création…

 

 

Et sur l’intrigue du roman, que pouvez-vous nous dire ?

 

Bien sûr, le monde uchronique que je dépeins sert avant tout de toile de fond à plusieurs intrigues. La plus grande partie du premier volume, par exemple, raconte une authentique enquête de type policier. L’on tente de résoudre un meurtre assez mystérieux, très semblable à un autre meurtre qui s’était produit une vingtaine d’années plus tôt et pour lequel le coupable avait été exécuté. En plus, les personnages principaux se retrouvent bientôt mêlés malgré eux à des conflits politiques et militaires majeurs qui leur font risquer leur vie à plusieurs occasions.

 

D’ailleurs, plusieurs se posent aussi des questions sur le monde dans lequel ils vivent et sur ce que ce monde aurait pu être si les circonstances historiques avaient été différentes… Leurs recherches de réponses occupent une bonne part des péripéties.

 

Pour quelle raison faites-vous comme si votre roman était la traduction d’un ouvrage écrit dans une autre langue ?

 

Disons qu’il convient de distinguer quatre « niveaux » d’auteurs dans Le Huitième Registre. Le premier niveau, c’est le mien, celui du créateur de l’ouvrage dans son entier, de la première à la dernière page. Au deuxième niveau, apparaît un traducteur qui est en fait le premier personnage du roman à apparaître et qui s’adresse directement au lecteur dans une préface. Ce traducteur qui porte lui aussi le nom d’Alain Bergeron mais qui appartient à un monde légèrement différent du nôtre, explique avoir traduit et adapté un roman intitulé Le Huitième Registre, composé au départ dans une langue appelée le byzantin littéraire moderne.

 

Au troisième niveau, il y a l’auteur originel du texte traduit, une personne qui semble avoir choisi de demeurer anonyme pour l’on ne sait exactement quelle raison, mais qui pourrait bien être l’un des protagonistes de l’histoire qu’il raconte.

 

Enfin, au quatrième niveau, l’on trouve un historiosophe appelé André Antonikas, personnage hautement controversé, dont un texte autobiographique, Souvenirs et Confessions, semble avoir été intégralement reproduit par l’auteur originel du roman dans la première partie de son ouvrage…

 

Alain Bergeron, merci !

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© Solaris et les auteurs

© Solaris et les auteurs

SOLARIS 227

L’anthologie permanente des littératures  de l’imaginaire.

Dans ce volume vous trouverez la nouvelle d’Isabelle Piette « Ce qu’on laisse derrière » PRIX SOLARIS   2023.

 

Egalement des appels à textes pour les Prix SOLARIS et Le Prix Joël-Champetier 2024, avec les conditions de participations dédie au 2 concours.

 

Il s’agit de la revue des genres de l’imaginaire la plus ancienne et la plus importante d’Amérique du Nord.

 

Je ne serais que vous conseiller de vous y abonnez soit à la version « papier » soit à une version numérique PDF ou e-pub.

 

Vous pourrez y lire les nouvelles dont vous avez le sommaire ci-dessous.

 

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À propos de ce livre

LES NOUVELLES : « Ce que je peux dire de lui », de Karim Kattan ; « Ce qu'on laisse derrière », d'Isabelle Piette ; « Capitaine Bâbord et la sirène », de Jonathan Reynolds ; « Entre ombre et lumière », de Su J Sokol et « Ad majorem Dei gloriam », de Mario Tessier. LES ARTICLES : Le Cabinet des curiosités surnaturelles : « L'Aile des spécimens fantastique », de Sébastien Chartrand » et Les Carnets du Futurible, de Mario Tessier : « L'Intelligence artificielle, ou ChatGPT veut avoir un mot avec vous ».

 

LES LITTÉRANAUTES LECTURES.

 

 

Corédacteurs en chef : Jean Pettigrew, Pascal Raud.

Comité de direction littéraire :Jean Pettigrew, Pascal Raud, Francine Pelletier, Elisabeth Vonarburg, Daniel Sernine.

 

Éditeur : Jean Pettigrew

Site Internet : www.revue-solaris.com

Webmestre : Christian Sauvé

Abonnements : voir formulaire

Coordonnatrice : Francine Pelletier

Téléphone : (418) 837-2098

Trimestriel : ISSN 0709-8863

Dépôt légal :

Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Bibliothèque et Archives Canada.

 

Solaris est une revue publiée quatre fois par année par les Publications bénévoles des littératures de l’imaginaire du Québec inc. Fondée en 1974 par Norbert Spehner, Solaris est la première revue de science-fiction et de fantastique en français en Amérique du Nord.

 

Solaris reçoit des subventions du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts et des lettres du Québec et reconnaît l’aide financière accordée par le gouvernement du Canada pour ses coûts de production

et dépenses rédactionnelles par l’entre mise du Fonds du Canada pour les magazines. Toute reproduction est interdite à moins d’entente spécifique avec les auteurs et la rédaction.

Les collaborateurs sont responsables de leurs opinions qui ne reflètent pas nécessairement celles de la rédaction.

 

Date de parution : 27 juillet 2023

Prix 2024 Solaris 

Le Prix Solaris s’adresse aux auteurs de nouvelles canadiens qui écrivent en français, dans les domaines de la science-fiction, du fantastique et de la fantasy.

 

Dispositions générales

Les textes doivent être inédits et avoir un maximum de 10500 mots (60 000 caractères espaces comprises). Ces derniers doivent être envoyés en trois exemplaires (des copies car les originaux ne seront pas rendus).

 

Afin de préserver l’anonymat du processus de sélection, ils ne doivent pas être signés mais identifiés sur une feuille à part portant le titre de la nouvelle ainsi que le nom, le numéro de téléphone et l’adresse courriel de l’auteur, le tout glissé dans une enveloppe scellée. La rédaction n’acceptera qu’un seul texte par auteur.

 

Les textes doivent parvenir à la rédaction de Solaris, au 120, côte du Passage, Lévis (Québec) G6V 5S9, et être bien identifiés sur l’enveloppe par la mention « Prix Solaris ».

 

Vous pouvez également soumettre votre nouvelle en format .doc ou .PDF à laredaction@revue-solaris.com.

 

La date limite pour les envois postaux est le 18 mars 2024, le cachet de la poste faisant foi (et 23h59, UTC - 4:00 pour les formats numériques).

 

Le lauréat ou la lauréate recevra une bourse en argent de 1000 $. L’œuvre primée sera publiée dans Solaris en 2024.

 

Les gagnants (première place) des prix Solaris des deux dernières années, ainsi que les membres de la direction littéraire de Solaris, ne sont pas admissibles.

 

Le jury, formé de spécialistes, sera réuni par la rédaction de Solaris. Il aura le droit de ne pas accorder le prix si la participation est trop faible ou si aucune œuvre ne lui paraît digne de mérite. La participation au concours signifie l’acceptation du présent règlement.

 

Pour tout renseignement supplémentaire, contactez Francine Pelletier au courriel suivant : fpelletier@revue-solaris.com

 

 

Le Prix Joël-Champetier

 

Le Prix Joël-Champetier s’adresse aux auteurs de nouvelles non canadiens qui écrivent en français, dans les domaines de la science-fiction, du fantastique et de la fantasy.

 

Dispositions générales :

Règlement 1. Les textes doivent être inédits et avoir un maximum de 10 500 mots (60 000 caractères espaces comprises).Afin d’éliminer les frais de poste, seuls les fichiers numériques .doc, .docx et .PDF seront admissibles.

 

Règlement 2. Afin de préserver l’anonymat du processus de sélection, les fichiers numériques ne doivent pas être signés, mais le courriel d’envoi doit indiquer clairement le titre du texte ainsi que le nom et l’adresse postale complète de l’auteur.

 

Règlement 3. La rédaction n’acceptera qu’un seul texte par auteur.

Les textes doivent être acheminés à l’adresse courriel suivante :

prixjoelchampetier@revue-solaris.com

 

Règlement 4. Aucun frais d’inscription n’est exigé pour les abonnés de la revue. Les non-abonnés devront cependant payer un montant minimum non remboursable de 24 $ CAD (14 à 18 €, selon le taux de change), afin de pouvoir participer. Ce montant équivaut à l’abonnement annuel (quatre numéros) le plus avantageux, soit celui pour le format numérique (PDF ou epub).

 

Le statut d’abonné du participant devra être officialisé via le site transactionnel de la revue avant la soumission du texte au prix Joël-Champetier. Le coordonnateur de a revue (la seule personne à connaître

l’identité véritable des soumissionnaires), rejettera de plein droit tous les textes ne satisfaisant pas cette condition de participation.

 

La date limite pour la réception des textes est le dimanche 27 août 2023, à 23h59,UTC - 4:00.

 

Le lauréat ou la lauréate recevra une bourse en argent de 1000 €. L’œuvre primée sera publiée dans le numéro d’hiver 2024 de Solaris.

 

Le jury, formé de spécialistes des littératures de l’imaginaire, sera réuni par la rédaction de Solaris. Il aura le droit de ne pas accorder le prix si la participation est trop faible ou si aucune oeuvre ne lui paraît digne de mérite.

La participation au concours signifie l’acceptation du présent règlement.

Pour tout renseignement supplémentaire,contactez Francine Pelletier, coordonnatrice,au courriel suivant : laredaction@revue-solaris.com

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SOLARIS   N° 226

SOLARIS N° 226

SOLARIS   N° 226

Le nouveau numéro de la plus grande revue de Science-fiction en langue française.

Toujours aussi passionnant, je vous conseille de vous connectez à leurs site pour l’acquérir, ainsi que des numéros anciens.

Vous trouverez ci-dessous le sommaire du N° 226.

 Merci de bien vouloir partager et de laisser un commentaire

Faites connaitre le site à vos amis et contacts.

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Sommaire           Solaris 226

Printemps 2023 Vol. 48 n° 4

 

3        Pascal Raud       Présentation

 

7        Michèle Laframboise       Lecture complice

23        Frédéric Parrot     De l’intérieur

33        Annie Tenaglio     Une place au paradis

54        Sébastien Chartrand     Par-delà la Mer et le Ciel

89        Claude Lalumière     L’Indifférence et la Raideur

95        Dave Côté     Cet endroit qu’on doit protéger

 

115        Montréal atomique   Les Carnets du Futurible

        Mario Tessier

 

141        Le Fil des kilomètres, de Christian   Le Daliaf présente…

Guay-Poliquin

        Claude Janelle

145        N. Faure, C. Hébert, P.-L. Lafrance,   Les Littéranautes

A. Paquin, J.-L. Trudel, É. Vonarburg

155        G. Blouin, M. Cayer, P.-A. Côté,    Lectures

P.-L. Lafrance, A. Paquin, É. Vonarburg

 

Érick Lefebvre a étudié les arts à l’Université Laval et la joaillerie à la Maison des métiers d'art de Québec.

Aussi à l’aise avec le crayon, le stylet numérique ou le fer à souder,  sa démarche s’inspire principalement de la science-fiction, du fantastique, du rétrofuturisme et de la fantasy.  Il a notamment publié dans les pages des revues Clair/Obscur et Brins d’Éternité.

 

Illustrations intérieures

Laurine Spehner: 7

Julie Ray: 23

Marc Pageau: 33

Adeline Lamarre: 54

Sagana Squale: 89

François Pierre Bernier: 95

Suzanne Morel: 115

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La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

 

Résumé

LES NOUVELLES DE CE RECUEIL :

Amours de verre

Dans le pays-qui-sera, la musique est partout. Elle accompagne chaque moment de la vie : naissance, deuil, récréation scolaire, « ouverture de chaque session du Parlement », etc. Chaque habitant du pays-qui-sera sait jouer d’au moins un instrument, mais ce n’est pas tout le monde qui a le talent de Guzla Retsiolèz. La compositrice légendaire rencontrera par hasard Zanne Herrica, une nomade constamment à la recherche de nouvelles sonorités. Ou peut-être est-ce plutôt Zanne qui rencontrera Guzla ? Plus tard, bien plus tard, viendra Toome, un souffleur de verre, qui n’a pas encore trouvé le violon lui étant destiné.

 

Ailleurs et au Japon

L’autrice jongle avec les lignes découpées de divers textes et ainsi naît une machine. En plein vol, celle-ci peut déplacer le paysage. Mais cet étrange oiseau craint tellement de tomber que cela finit par arriver et, dans sa chute, il perd ses ailes de métal. Il ne sait plus quoi faire d’autre qu’attendre dans cette « forêt quasi marine » dans laquelle il a rebondi. Jusqu’au moment où une femme apparaît, peut-être tombée du ciel comme lui. Une géante. Une femmemontagne.

 

Le Dormeur dans le cristal

Ils voyagent dans l’espace depuis si longtemps à l’abri du temps dans leur champ T qu’ils se sentent éternels. Peut-être le sont-ils vraiment… Pour la première fois, ils trouvent sur une planète en décrépitude un autre être humain. Celui-ci est figé en plein coeur d’un « dodécaèdre taillé dans un seul bloc de diamant artificiel ». Le Dormeur dans le cristal. Bien sûr, ils l’amènent avec eux sur leur vaisseau. Maïa a alors le loisir d’aller lui rendre visite tous les jours, même si le dormeur reste immobile. Elle lui imagine des vies avant elle et, pourquoi pas, avec elle lorsqu’il se réveillera enfin.

 

Les Villes invisibles

Dans les nouvelles cités dômes vous n’avez que cinq destinations, autant que les doigts de la main. Autobulles, taxibulles ou métro, il suffit d’apposer votre main et de vous laisser porter dans la marée de cachemantes. Que vous soyez Thélaïme ou Gisèle, que vous alliez à la Zone Hôpital, à la Zone Commerciale ou au District des Écoles, peut-être que ce jour sera LE jour. Le bon moment, celui d’entre deux vies. L’instant d’être diverti et transporté dans les restes des quartiers d’avant dans ces villes invisibles. Pour se perdre et peut-être finalement se retrouver soi-même.

 

Into White

Tish retourne au Saguenay-Lac-St-Jean après trente ans d’absence. Trente ans à survivre et à aider comme elle le pouvait dans une BETs en Amérique du Sud. C’est suite au décès de son frère, l’ancien maire de Saguenay Ville Verte, qu’elle se décide enfin à quitter les débris du Big One en Californie. Elle fait le chemin accompagnée de Maddie, une petite fille à la peau qui s’illumine, une génétiquerie. Tish y revoit ses anciens amis et amours, mais seulement pour un court instant. Une simple pause sur leur trajet. Car Maddie et elle ne s’arrêteront pas tant qu’elles n’auront pas vu la neige blanche, celle qui ne fon pas.

 

La course de Minuit

Cinquante ans après le voyage de Tish, Minuit et Shikuan viennent de gagner la dernière course à l’ombre de l’année. Mais si les courses de Zep sont terminées, reste encore la Course aux souvenirs, celle qui se fait à pied de GrandeAnse à Gilbertville. Celle qu’a courue Minuit la rebelle il y a quinze ans avant de quitter sa région natale et la Famille. Celle que Péri veut courir accompagnée de Minuit qu’elle a choisie comme kukum. Une course aux souvenirs, un espoir, un passage de l’adolescence à l’âge adulte alors que l’ombre recouvre la terre et que le siècle se termine pour laisser sa place à un nouveau quand arrivera minuit…

 

La Femme aux semelles de temps

Celle qu’on surnomme la vieille au sac à dos a un problème ce matin avec la semelle de sa sandale droite qui s’est incrustée au ras du trottoir. Par-dessus le marché, elle s’est trompée de chemin. Et son sac qui est plein « juste des urgences-oublis, mais ça pèse son poids quand même ». Elle n’est pas sûre de pouvoir rentrer avec ce soulier fichu et l’autre « semelle aussi [qui] va naufrager… » Mais il y a soudain ces deux gamines qui arrivent et la guident vers une femme qui répare les souliers par chez elles, un rare quartier avec un coin d’arbres, une sorte de jardin communautaire. Au beau milieu des quelques maisons encore debout, « c’est joli, ça repose les yeux ».

 

Mot de l’autrice : Pourquoi la science-fiction ?

Parce que je peux y faire tout le reste : de la psychologie et de l’action, de la philosophie et du mystère, de l’horreur et de la politique, des sciences…

 

Et comme femme, ça m’est absolument indispensable d’écrire, de lire et de penser SF. À part la colère et le chagrin, quels modes d’expression et de réflexion sur la vie des femmes le monde d’aujourd’hui nous offre-t-il ? Je veux pouvoir imaginer comment ça peut être différent, le décrire, le faire sentir pour que ça devienne peut-être possible un jour. Pas seulement à propos des femmes, mais des êtres humains. C’est quoi, un être humain ? Il n’y a que la SF pour poser cette question dans toutes ses dimensions.

Et moi, j’aime vivre au large…

 

 

Ce qu’il faut savoir

• Élisabeth Vonarburg est sans contredit l’écrivaine de science-fiction la plus connue et la plus talentueuse de l’histoire de la littérature québécoise, voire de la francophonie tout entière ;

• Les sept nouvelles du recueil nous amènent dans différents univers, époques et futurs de l’humanité. Chacune d’elles explore à sa façon des facettes du temps. Les trois dernières nous offrent d’ailleurs un regard assez optimiste sur l’avenir, comme s’il restait un petit espoir que les humains se mettent à prendre les choses en main et améliorent ainsi leur sort, à coups de jardins communautaires, de course des jeunes pour l’espoir et pourquoi pas même de Ville Verte ;

• Les livres d’Élisabeth Vonarburg ont été publiés et/ou traduits dans plusieurs pays, dont les États-Unis et la France. Et en 2018, elle remportait le Prix extraordinaire des Utopiales lors du festival du même nom à

Nantes, honneur récompensant la qualité de l’ensemble de son œuvre sur les quatre dernières décennies !

 

 

ÉLISABETH VONARBURG est une des figures les plus marquantes de la science-fiction québécoise. Elle est reconnue tant dans la francophonie que dans l’ensemble du monde anglo-saxon et la parution de ses ouvrages est toujours considérée comme un événement. Outre l’écriture de fiction, Élisabeth Vonarburg pratique la traduction (la presque totalité de l’œuvre de Guy Gavriel Kay, entre autres), s’adonne à la critique (notamment dans la revue Solaris) et à la théorie littéraire (Comment écrire des histoires). Depuis 1973, Élisabeth Vonarburg a fait de la ville de Chicoutimi son port d’attache

 

 

« Son style, sa culture sa verve proverbiale et ses manies de touche-à-tout font d’elle une incontournable. Voilà, c’est dit. »

Le Devoir

« Élisabeth Vonarburg s’est imposée comme l’un des grands noms des littératures de l’imaginaire au Québec. »

Entre les lignes

 

Élisabeth Vonarburg sera présente au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

 

 

 

La Femme aux semelles de temps

Science-fiction

R228, 320 pages, 15,95 $

978-2-89835-031-3

 

Communiqué de presse

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Élisabeth Vonarburg

Élisabeth Vonarburg

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Les Passerelles du temps, Daniel Sernine
Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps,

Daniel Sernine

Les Passerelles du temps regroupe six nouvelles qui peuvent se lire autant comme un roman choral que comme un recueil. Les récits se croisent, se recoupent parfois au cœur du Carnaval et au travers le temps.

Les Alii, une race extraterrestre, ont sélectionné pour leur intellect et leurs extraordinaires compétences quelques centaines d'humains afin de veiller sur notre planète et intervenir en toute discrétion pour ralentir sa destruction amorcée.

Toutefois, lorsque la situation semble sur le point d'atteindre un point de non-retour, une solution s'impose aux Alii, un « Grand Ménage », soit l'élimination de quatre-vingt-seize pour cent de la population, histoire de donner un second souffle à la planète bleue.

Dans le monde d'« après », sur le boulevard des Étoiles, le Carnaval bat son plein. Ces six nouvelles vous y plongent :

Les Passerelles du temps

Boulevard des Étoiles

Les Amis de Monsieur Soon

Hôtel Carnivalia

La Tête de Walt Umfrey

À la recherche de Monsieur Goodtheim

Daniel Sernine sera présent au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

À propos de l'auteur

Daniel Sernine est né à Montréal en 1955. Il publie en 1978 un premier recueil de nouvelles fantastiques, Les Contes de l'ombre. Il récidivera plus de trente fois au cours des décennies qui suivront, proposant une œuvre riche et diversifiée qui s'adresse tant au public jeunesse qu'au public adulte. Appréciant également le fantastique et la science-fiction, il a respectivement inscrit dans ces genres deux cycles monumentaux.

Au fil des années, il a remporté de nombreux prix, dont le Prix de littérature jeunesse 1984 du Conseil des Arts du Canada, les Grands Prix 1992 et 1996 de la science- fiction et du fantastique québécois et, plus récemment, le prix Hommage visionnaire, qui couronnait l'ensemble de son œuvre.

Entrevue avec l'auteur (extrait)

Votre recueil est lié à vos précédents romans publiés chez Alire. Qu'est-ce qui relie tous vos textes de science-fiction entre eux, que ce soit des nouvelles ou des romans ? Comment décririez-vous le monde futur que vous avez créé ?

Le titre n'a pas été choisi au hasard. Les Passerelles du temps vient effecti­vement connecter Boulevard des Étoiles à « La Suite du temps », qui était déjà liée à mon roman Chronoreg et à la majorité de mes nouvelles de SF. Tout l'ensemble constitue ce que j'appelle mon « cycle éryméen », que j'ai situé dans le présent et dans le futur proche. Selon la tournure d'esprit du lecteur, on peut qualifier ma SF de dystopique ou de lucide.

Dans vos nouvelles, il est question d'une décision qui a été prise de réduire la population terrestre.  Pourquoi et comment en être arrivé là ?

Il faut avoir lu « La Suite du temps » ou du moins, absolument, Les Écueils du temps. Les allusions dans « Les Passerelles du temps » ne suffisent probablement pas. L'intention d'origine, pour les Éryméens, était de réduire radicalement la fertilité des Terriens, afin que le déclin démographique subséquent soulage la planète des effets catastrophiques de la surpopulation. L'idée était de répandre un agent contraceptif aéroporté, avec l'aide des Alii pour l'aspect logistique. Mais ces extraterrestres ont remplacé le contraceptif par un virus mortel de conception terrienne, et l'opération Anankè a été mortelle pour 96 % de l'humanité. Les gens du Carnaval y réfèrent par l'euphémisme « le Grand Ménage ».

En librairie en février 2023.

Communiqué de presse.

 

 

 

 

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SOLARIS 225

SOLARIS 225

SOLARIS 225

Hiver 2023 Vol. 48 n° 3

Je vais vous parlez de la plus ancienne revue de science-fiction francophone au monde : SOLARIS, créer en 1974 Par  Norbert Spehner, et actuellement dirigé par : Jean Pettigrew.

Depuis très longtemps SOLARIS organise un prix littéraire «PRIX SOLARIS » destiné aux Canadiens, et depuis 2016  le PRIX Joël Hampetier destiné aux auteurs non canadiens francophones.

En France cette revue est peu connue, si s’abonné est relativement compliqué et cher en raison du change et des frais de port, il est dommage que l’on ne peut pas avoir une version numérique (heu, c'est moi qui écrit cela ?).

 Pour vous faire apprécier au mieux ce fanzine, je vous mets ci-dessous le sommaire très détaillé du dernier numéro.

Depuis 2000, il ne publie plus de bandes dessinées.

Il dispose d’une librairie :  

 Solaris 120, côte du Passage Lévis (QUEBEC) G6V 5S9 Canada. Si vous passez au Québec passez les voir.

Vous trouverez ci-dessous le lien avec le site de la revue a la fin de l’article.

Je vous en recommande vivement la lecture.

 

Merci  d‘écrire un commentaire.

Faite connaitre le site a vos amis et contacts.

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Sommaire

Présentation

LE PRIX JOËL-CHAMPETIER…

Comme vous le savez depuis le dévoilement du 29 octobre dernier, Champetier. De fait, il s’agit de sa deuxième victoire, preuve de son remarquable talent car, faut-il le rappeler, les textes sont présentés au jury de façon anonyme. Or, les membres de ce dernier… ont choisi « L’Auberge au bord du monde » pour la maîtrise de l’écriture dont son auteur a fait preuve, pour l’ambiance de mystère et d’émotion retenue qu’il a su créer, ainsi que pour la fin qui permet aux lecteurs et lectrices une grande liberté d’interprétation. Que dire de plus sinon que ce numéro débute donc avec un nouveau bijou de Christian Léourier.

 

… ET LA SUITE DU VOLET « FICTION »

C’est Alain Ducharme qui a eu la délicate tâche de prendre la suite avec « Un silence, vu de loin », une nouvelle de SF qui, à sa façon, met en lumière une conception singulière du temps altéré tout en introduisant la thématique de l’enfance – ces deux motifs, qui imprègnent une bonne partie de ce numéro, ont inspiré Sagana Squale pour créer sa magnifique illustration de couverture, et afin de donner une couleur graphique unifiée, nous lui avons aussi confié l’illustration de tout le volet fiction.

 

Dave Côté et Pascal Raud ont entremêlé leur imaginaire respectif dans « Bal(l)ade en dix temps » pour nous offrir une fantasy urbaine bien déjantée dans laquelle des parents plutôt atypiques devront régler Les petits problèmes provoqués par leur progéniture quelque peu turbulente. Autre texte mettant en vedette – ou plutôt en victime ! –  une progéniture atypique, « Faux-bourdon », du trop rare Claude Mercier, présente une courte mais percutante transcription orale d’une situation pour le moins… particulière.

 

« Le Rite du guérisseur », de Josée Bérubé, nous ramène dans une ambiance plus mystique, plus éthérée, afin de suivre le périple mental et temporel de Mishtashipu, qui mène jusqu’au départ final – et pourtant transitoire – celui qui l’accompagnait depuis si longtemps.

 

Et comme dans notre précédent numéro, Élisabeth Vonarburg conclut le volet avec une de ces nouvelles dont elle a le secret, « La Femme aux semelles de temps ». À la fois toute simple mais joliment complexe, pleine d’interrogations sur la suite du monde mais aussi de chaleur humaine, on retrouve à la fois le monde de l’enfance et l’incroyable force du temps qui, inexorablement, nous amène, certes vers un certain futur, mais aussi sur la voie de la connaissance intérieure.

 

ET QUOI D’AUTRE?

Notre Futurible en résidence s’intéresse à un sujet qui, en d’autres mains, aurait pu rebuter quelques âmes sensibles. Mais avec sa maîtrise et sa verve habituelles, Mario Tessier nous dévoile tout – ou presque – sur les insectes aux spécificités étonnantes et leurs non moins remarquables – et souvent très angoissantes – présences dans la science-fiction littéraire et cinématographique.

 

J’attire maintenant votre attention sur le retour de la chronique du Daliaf présente… Pour ce numéro, Claude Janelle nous présente Andrée A. Michaud et son roman fantastique qui lui a valu le Prix du Gouverneur général en 2001, Le Ravissement. Et permettez-moi d’ajouter que, lorsque vous lirez ces lignes, le site www.daliaf.com. sera ouvert et accessible à toutes et tous. Que vous proposera-t-il ?

Rien de moins que le répertoire complet de la production francophone canadienne dans les genres de l’imaginaire – SF, F et Fy – de 1835 à aujourd’hui (17 753 oeuvres), car Claude Janelle et moi avons conçu

ce site afin qu’il englobe à la fois le contenu rédactionnel de la collection de L’Année de la science-fiction et du fantastique québécois (L’ASFFQ) et celui du DALIAF (Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française). Il recense, en cette fin d’année 2022, très exactement 3145 auteur-e-s.

 

Enfin, je m’en voudrais de ne pas dire un seul petit mot sur le volet critique du présent numéro, car il a plein de bonnes choses à vous proposer.

 

DE QUELQUES DÉPARTS

Je prends quelques lignes pour souligner deux départs. Tout d’abord, celui d’un auteur de SF que j’ai toujours admiré pour la puissance de son imaginaire, Greg Bear (1951-2022). Lisez ou relisez Éon, Éternité, Héritage… Que du bonheur pour le cortex ! Le milieu de la SFFQ a aussi perdu en novembre un membre

éminent de sa communauté, en la personne du très sympathique et néanmoins spécialiste émérite du fanzinat québécois, Georges Henri Cloutier (1947-2022). Salut, mon ami, puisses-tu trouver quelques passionnantes feuilles de chou là où tu es parti…

Jean PETTIGREW

SOLARIS 225
SOLARIS 225

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le Lion et le Singe

le Lion et le Singe

Deux contes musicaux.

 

Le lion et le singe

Un conte traditionnel d’Afrique avec CD par Franck Sylvestre

Illustrations d’Élise Kasztelan

Le lion est le plus dangereux de la savane.

Quand il arrive, tous les animaux ont peur d’être dévorés !

Mais un jour, le lion tombe au fond d’un grand trou. Le singe se demande s’il doit l’aider à sortir…

Toi, tu ferais quoi ?

Franck Sylvestre nous livre ici, pour le plus grand bonheur des petites oreilles, un conte animalier plein d’humour, qui ne finit pas forcément bien pour tout le monde...

L’auteur et conteur

Originaire de la Martinique, Franck Sylvestre a commencé par jouer de la musique, puis il a étudié pour devenir comédien. C’est seulement ensuite par un drôle de hasard, qu’il a trébuché sur un conte africain qui l’a beaucoup inspiré. Et il est devenu conteur. Depuis il parcourt villes et villages, ici et à l’étranger, pour raconter des histoires aux enfants. Chez Planète rebelle, il a également publié les albums jeunesse Contes du ciel et de la terre (2010) et La légende de Barbe Noire (2018).

L’illustratrice

Après quatre années d’études aux Beaux-Arts d’Épinal et de Rennes, en France, Élise Kasztelan s’installe en Normandie en 2016. Elle y commence son activité de graphiste et illustratrice. En parallèle des commandes et des projets pour des lieux culturels et clients divers, elle imprime ses propres images et

celles d’autres artistes dans son atelier de sérigraphie, et mène des ateliers pour le public. Son travail mêle expérimentations graphiques colorées, impression manuelle et dessin figuratif.

 

Fiche technique :

Le lion et le singe

Auteur : Franck Sylvestre

Illustratrice : Élise Kasztelan

Éditions : Planète Rebelle

Album cartonné avec CD

ISBN Imprimé 978-2-924797-89-1

ISBN Audio 978-2-924797-91-4

Nombre de pages : 32

Dimensions : 21 × 21 cm

Prix TTC : 19,95 €

Dès 3 ans

Diffuseur : CEDIF

Distributeur : DNM

Livre-CD

 

2)	Le poil de Baribal

2) Le poil de Baribal

  1. Le poil de Baribal

 

Faire un bébé, c’est pas très compliqué.

Il faut...

Rendre visite à la sorcière.

Prendre garde aux abeilles,

aux anguilles et à maman orignal.

Jouer au rodéo.

Sauter dans l’eau.

S’envoler dans les airs comme une

montgolfière, et enfin…

Cueillir un poil d’oreille d’ours noir,

grimpant et grouillant.

 

Pour adapter ce conte traditionnel, la conteuse abitibienne Renée Robitaille a planté son décor dans les rivières et les forêts du Québec.

Soutenue par les vives illustrations d’Olesya Shchukina, elle répond avec malice et ingéniosité à l’une des premières grandes questions de la vie.

Robitaille, Renée

Conteuse québécoise captivante, Renée Robitaille est également autrice et enseignante à ses heures. Elle raconte tant pour les petites que les grandes oreilles et visite les bibliothèques et les écoles.

Depuis 1999, elle est encensée par les publics de la francophonie, trimbalant ses histoires partout au Canada, en Europe et en Afrique.

Conter fleurette - contes pour enfants

Illustrateur: Olesya Shchukina

Née en Russie en 1986, Olesya Shchukina travaille à Paris en illustration et cinéma d’animation. Elle a fait ses études à l’Université de cinéma et télévision à Saint-Pétersbourg en Russie et à l’école La Poudrière en France. Ses courts métrages Le vélo de l’éléphant et La luge ont été sélectionnés et récompensés par plusieurs festivals internationaux. Olesya a travaillé pour le long-métrage Ma vie de Courgette, en tant que peintre décor et illustratrice. Elle a collaboré notamment avec les magazines Georges, Graou et Grilled cheese.

 

 

Compositeur/musicien: Loranger, Étienne

À partir de 5 ans

32 pages ISBN: 978-2-924797-77-8

Année de publication : 2020

Robitaille, Renée

Livre CD 22,95$ Durée totale du CD : 18:35

MP31.99 $

 

Fiche technique :

Le poil de Baribal

Autrice : Renée Robitaille

Illustratrice : Olesya Shchukina

Éditions : Planète Rebelle

En librairie le 22 avril 2021

Album cartonné avec CD

ISBN Imprimé 978-2-924797-77-8

ISBN Audio 978-2-924797-79-2

Nombre de pages : 32

Dimensions : 21 × 21 cm

Prix TTC : 19,95 €

Dès 3 ans

Diffuseur : CEDIF

Distributeur : DNM

 

 

Communiqué de presse.

 

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