DRACULA
Tod Browning
Bela Lugosi
Premier film fantastique parlant, il incarne le début du renouveau du film de genre, après la période du muet.
Bela Lugosi, n’était pas le premier choix pour le rôle, suite une blessure de l’acteur pressenti, Bela Lugosi qui interprétait depuis deux ans le rôle de Dracula au théâtre, fut à quelques semaines du début du tournage, choisi pour tenir le rôle.
Cela joua sur son interprétation, jugé par certains trop théâtral.
Je n’entrerai pas dans la polémique du meilleur interprète de Dracula : Bela Lugosi ou Christopher Lee, je vous laisse le soin de le faire via les commentaires.
À noter qu’à plusieurs reprises, le terme Dracula ou Comte Dracula est substitué par celui de Nosferatu, dans un contexte où il semble admis pas tous, que cela est un synonyme. Ce fait est une référence, voir peut-être même plus, un hommage au film Nosferatu le vampire (Nosferatu, eine Symphonie des Grauens en version originale) film muet allemand réalisé par Friedrich Wilhelm Murnau sorti en 1922, adapté du roman Dracula sans que ce dernier eu les droits d’où une bataille judiciaire épique.
Résumé du film et fiche technique
Malgré les avertissements, Renfield rend visite au comte Dracula dans son château des Carpates... Tod Browning confère au mythe littéraire une puissance visuelle rare et fait entrer Bela Lugosi au panthéon des acteurs mythiques.
Réalisateur(s) : Tod Browning
Acteurs et actrices
Bela Lugosi Rôle : Dracula
Helen Chandler Rôle : Mina Seward
David Manners Rôle : Jonathan Harker
Dwight Frye Rôle : Renfield
Edward Van Sloan Rôle : Pr Abraham Van Helsing
Herbert Bunston Rôle : Jack Seward
Frances Dade Rôle : Lucy Weston
Joan Standing Rôle : Briggs
Scénario
Scénariste
John L. Balderston D'après l'oeuvre de Bram Stoker
Soundtrack
Compositeur Philip Glass
Production
Producteur Carl Laemmle Jr.
Equipe technique
Directeur de la photographie Karl Freund
Maquilleur Jack P. Pierce
Sociétés
Production
Universal Pictures
USA • 1931 • 1h15 • Anglais VOSTFR
Pathé Bellecour me 12 à 21h45
(présentation Julie Bertuccelli)
commentaires