Donjon Monsters T16
Quelque part ailleurs
(Donjon niveau -79 à 9)
Les fans de cet univers trouveront à la fin de l’article le catalogage complet.
Tous les morts et esprits disparaissent, revient Andrée jeune avocate d’enquêter et de trouver la solution au mystère.
Après de longues péripéties, y parviendront-elles ?
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Voyage dans l'espace et le temps, enquête et révélations, ce nouveau "Monsters", dessiné par Guy Delisle, va ravir les fans de l'univers Donjon.
Nécropolis est une ville riche. Tout Terra Amata y enterre ses proches pour bénéficier de la magie de son cimetière : pouvoir communiquer avec les morts. Mais quand la ville haute ne suffit plus pour loger les habitants fortunés, le lieu prend un autre intérêt. À la disparition subite des fantômes, la jeune avocate Andrée décide de mener l'enquête... au point de se retrouver emportée loin dans l'espace et le temps.
Joann Sfar
scénariste, Illustrateur, coloriste
Scénariste, dessinateur, romancier et réalisateur, Joann Sfar est né en 1971 à Nice. Dès l’enfance, il consacre son temps à dessiner et raconter des histoires. Après sa maîtrise de philosophie, il entre à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, puis publie ses premières pages dans la revue Lapin (L’Association). À partir du milieu des années 90, il publie ses premières séries : Noyé Le Poisson (L’Association), Les Aventures d’Ossour Hyrsidoux (Cornélius), Petrus Barbygère, Potamoks, Troll (Delcourt) et La Fille du professeur (Dupuis) qui obtient le Prix René Goscinny et l’Alph’art Coup de coeur au Festival d’Angoulême. En 1998, il se lance avec Lewis Trondheim dans la série Donjon, parodie d’héroic-fantasy, qui reçoit un succès critique et public. Auteur prolifique, il crée un nombre incommensurable de séries : Professeur Bell, Petit Vampire, Le Bestiaire amoureux (Delcourt), Les Olives noires (Dupuis), Le Chat du Rabbin (Dargaud), Pascin (L‘Association). En 2002, il devient directeur de collection chez Bréal, puis chez Gallimard avec la collection Bayou. La même année, il entame la publication de ses Carnets, chez Delcourt. En 2008, il adapte Le Petit Prince en bande dessinée chez Gallimard, avant de se lancer dans le cinéma. Il réalise le biopic Gainsbourg, vie héroïque, pour lequel il reçoit le César du Meilleur Premier Film en 2011, puis adapte Le Chat du Rabbin en film d’animation, pour lequel il reçoit le César du Meilleur film d’animation en 2012. En 2013, il publie son premier roman, L’Éternel, chez Albin Michel et entame la série Star of the Stars avec Pénélope Bagieu au dessin chez Gallimard. En 2014, il est fait officier dans l'ordre des Arts et des Lettres.
Lewis Trondheim
scénariste, Illustrateur, coloriste
LEWIS TRONDHEIM est né en 1964. Il réside à Montpellier. Il suit les cours d'une école de publicité de 1986 à 1989. En 1987, il fait la connaissance de Jean-Christophe Menu et découvre la bande dessinée autrement qu'en album 46 pages couleurs. Un an plus tard, Lewis apprend à développer son style graphique en réalisant un fanzine, ACCI H3319. Il rejoint ensuite Menu, Stanislas, Mattt Konture, Killoffer et David B autour de la revue Labo (Futuropolis). Ensemble, ils fondent la structure d'édition de bandes dessinées L'Association en 1990. Un an plus tard, Lewis travaille au sein de l'atelier Nawak et publie en 1992 un étonnant pavé de 500 pages, Lapinot et les carottes de Patagonie (L'Association). Sous l'impulsion de l'éditeur Cornélius, il dessine ses Approximate Continuum Comics , dans lesquels il se raconte sous forme autobiographique. En janvier 1994, Lewis obtient à Angoulême l'Alph-Art Coup de coeur pour son livre Slaloms (L'Association). Durant cette année décisive, il devient papa, signe chez Dargaud la série Lapinot et quitte Paris pour le sud de la France. La période 1997-1999 voit naître de nombreux projets, comme une nouvelle série d'héroic-fantasy à la numérotation titanesque et audacieuse, Donjon , avec Joann Sfar et une pléiade d'auteurs, chez Delcourt. En 2000, il publie un grand nombre de séries jeunesse chez Delcourt : Kaput et Zösky , Allez Raconte avec José Parrondo, Trois chemins avec Sergio Garcia et Le Roi Catastrophe avec Fabrice Parme. Les deux premières sont adaptées en dessin animé, de même que La Mouche . à l'été 2004, il crée chez Delcourt la collection Shampooing, où sont accueillis nombre de talents singuliers, dont lui-même avec Mister I et Les Petits Riens de Lewis Trondheim, Yoann avec Fennec, Cyril Pedrosa avec Trois ombres , Guy Delisle avec Chroniques birmanes et Chroniques de Jérusalem , Boulet avec Notes. Lewis est élevé en 2005 au rang de Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres et reçoit en 2006 le Grand Prix de la ville d'Angoulême. Il a également imaginé et piloté la série de space opéra-comédie Infinity 8 (Rue de Sèvres). Récemment, il est au scénario de Happy Birds , avec Hugo Piette (Delcourt).
Guy Delisle
scénariste, Illustrateur, coloriste
Né en 1966 à Québec (Canada), Guy Delisle se passionne enfant pour les classiques de la bande dessinée franco-belge, dont Astérix, Tintin, Blake et Mortimer, et plus particulièrement Lucky Luke et décide de devenir auteur de bande dessinée ! Mais, au Québec, le marché de la bande dessinée est quasi inexistant et aucune école ne forme les dessinateurs en herbe aux subtilités de l’art séquentiel. Guy Delisle effectue donc un détour par le cinéma d’animation, dont il apprend les bases au Sheridan College de Toronto, avant de s’embarquer pour l’Europe en 1988. C’est le début d’une carrière d’animateur d’une dizaine d’années au cours de laquelle il travaille avec l’équipe de Folimage à Valence. Déjà friand de voyages, il enseigne l’animation pendant un an à La Réunion. En 1994, il collabore sur Le Moine et le Poisson, avec Michaël Dudok de Wit, primé au festival d’Annecy. Par la suite, Guy Delisle participe à Papyrus, Les Contes du chat perché et La Mouche d’après Lewis Trondheim. Son expérience de superviseur de l’animation en Chine lui fournit la matière de Shenzhen, carnet de voyage et chronique drolatique d’un animateur confronté au système de production chinois. Guy publie la plupart de ses travaux à L’Association, notamment Aline et les autres, suivi en 2001 par Albert et les autres. Dessinant parallèlement la série humoristique Inspecteur Moroni chez Dargaud, l’auteur publie en 2002 Pyongyang, un nouveau récit de voyage lié à son métier d’animateur, cette fois en Corée du Nord, un témoignage précieux sur le pays le plus fermé de la planète. Par son regard à la fois acéré et bienveillant sur une culture étrangère, Chroniques birmanes constitue le prolongement de la série d’ouvrages consacrée à ses séjours en Asie. Avec Chroniques de Jérusalem en 2011, il reprend encore une fois le mode du journal de bord pour raconter son expérience en Israël. L’album remporte le Fauve d’Or du Meilleur Album au Festival d’Angoulême 2012 et se vend à 180 000 exemplaires. Guy Delisle connaît un succès international et ses œuvres sont traduites en 13 langues. En 2013, il revient à la BD d’humour avec le Guide du mauvais père, dont le tome 1 s’est vendu à plus de 50 000 exemplaires à ce jour. Il signe de nouvelles chroniques en 2020 avec ses Chroniques de jeunesse (Delcourt).
Récompenses
2012 : Chroniques de Jérusalem de Guy Delisle - Fauve d’Or - Prix du Meilleur Album du Festival d’Angoulême
Walter
coloriste