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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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 Affiche Festival Lumiere 2023

Affiche Festival Lumiere 2023

 

Affiche Festival Lumiere 2023

 

À propos de l'affiche

 

L'affiche officielle du festival Lumière 2023 est un hommage à la personnalité qui recevra le 15e Prix Lumière : Wim Wenders.

 

 

 

Elle a été composée à partir d'une scène de Paris, Texas, pour lequel le cinéaste fut récompensé de la Palme d'or au Festival de Cannes, et met à l'honneur Nastassja Kinski, qui trouve dans ce film l'un de ses plus beaux rôles. Ce plan est devenu une image mythique de l'histoire du cinéma.

 

About the poster

The official poster for the Lumière film festival 2023 is a tribute to the personality who will receive the 15th Lumière Award: Wim Wenders.

 

 

 

Based on a scene from the movie Paris, Texas, for which Wenders won the Palme d'Or at the Cannes Film Festival, it features Nastassja Kinski in one of her finest and most memorable roles. This image has become iconic in the history of cinema.

 

 

Wim Wenders

 

Prix Lumière 2023

 

 

Lumiere Award 2023

 

Après Tim Burton, lauréat l’année dernière, c’est à nouveau un géant du cinéma qui recevra cette année le 15e Prix Lumière.

 

Il s’agit de qui a incarné le renouveau du cinéma allemand et européen au tournant des années 1970-1980. Cinéaste de l'errance, il a réinventé le road movie. Il est l'homme de Paris, Texas et des Ailes du désir, celui qui mène une pleine carrière d’artiste et vient d’effectuer, en 2023, un étourdissant doublé avec ses deux nouveaux films : ANSELM et PERFECT DAYS.

 

Il s’agit de… WIM WENDERS !

 

Wim Wenders fut l’un des premiers cinéastes invités par l’Institut Lumière en 1991, pour une rétrospective et une exposition photographique. Il n’est jamais revenu rue du Premier-Film. Célébrer à Lyon, dans la ville de naissance du Cinématographe Lumière, ce cinéaste voyageur, virtuose polymorphe et visionnaire, photographe accompli, qui n’a cessé de se réinventer et a eu mille vies, était une évidence depuis longtemps.

 

 

L'hommage à Wim Wenders au festival Lumière

 

Rétrospective

 

Rétrospective des films de Wim Wenders, fictions et documentaires, en copies restaurées, en présence du cinéaste.

 

En collaboration avec Les Films du Losange, Haut et Court, Paradis Films, Pathé, Tamasa et la fondation Wim Wenders.

 

Avant-première de Perfect Days (Prix d'interprétation masculine pour Koji Yakusho au Festival de Cannes, sortie en salle le 29 novembre 2023. Distribution France : Haut et Court) présentée par Wim Wenders.

 

Projections du documentaire Anselm, le bruit du temps (sortie en salle le 18 octobre 2023. Distribution France : Les films du Losange), présentées par Wim Wenders.

 

 

Et aussi

 

Édition par Carlotta : Les Ailes du désir en coffret Ultra-collector et L'Ami américain en Blu-ray le 17 octobre 2023. Coffret La Trilogie de la route le 21 novembre 2023. Chambre 666 et Chambre 999 de Lubna Playoust en blu-ray et DVD le 5 décembre 2023.

 

Rééditions de livres épuisés et nouvelles parutions en collaboration avec L'Arche. Et de nombreux autres événements de programmation.

 

Programmation complète et détaillée annoncée prochainement.

 

 

 

Expositions

 

Un programme de deux expositions photographiques pour explorer l'immense travail de photographe de Wim Wenders dans les galeries de l'Institut Lumière.

 

En collaboration avec Wim Wenders Stiftung et Wenders Images.

 

Programme d'expositions annoncé prochainement.

 

 

 

Célébrations

 

 

Wim Wenders recevra le 15e Prix Lumière vendredi 20 octobre 2023 à l'Amphithéâtre de la Cité Internationale.

 

 

Le vendredi 20 octobre 2023 en après-midi, il donnera une master class au Théâtre des Célestins animée par Thierry Frémaux.

 

 

 

La billetterie sera disponible courant septembre 2023.

 

 

Wim Wenders succédera à Tim Burton, Jane Campion, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Francis Ford Coppola, Jane Fonda, Wong Kar-wai, Catherine Deneuve, Martin Scorsese, Pedro Almodóvar, Quentin Tarantino, Ken Loach, Gérard Depardieu, Milos Forman et Clint Eastwood.

 

Il sera à Lyon du mercredi 18 au dimanche 22 octobre. Il recevra le Prix Lumière à Lyon, le vendredi 20 octobre 2023

 

 

Le Prix Lumière a été créé par Thierry Frémaux pour célébrer une personnalité pour l’ensemble de son œuvre et le lien qu’elle entretient avec l’histoire du cinéma. Il est remis à Lyon, ville de naissance du Cinématographe Lumière, et est devenu avec les années l’un des prix les plus prestigieux reconnus par la profession et la presse internationale.

Prix Lumiere 2023

Wim WENDERS

Wim WENDERS

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Le Prix Lumière 2023 est...

Le Prix Lumière 2023 est...

Le Prix Lumière 2023 est...

 

Il s'agit de... WIM WENDERS !

 

 

LYON FRANCE - Après Tim Burton, lauréat l'année dernière, c'est à nouveau un géant du cinéma qui recevra cette année le 15e Prix Lumière.

 

Il s'agit de celui qui a incarné le renouveau du cinéma allemand et européen au tournant des années 1970-1980. Cinéaste de l'errance, il a réinventé le road movie. Il est l'homme de Paris, Texas et des Ailes du désir, celui qui mène une pleine carrière d'artiste et vient d'effectuer, en 2023, un étourdissant doublé avec ses deux nouveaux films : ANSELM et PERFECT DAYS.

 

 Wim Wenders fut l'un des premiers cinéastes invités par l'Institut Lumière en 1991, pour une rétrospective et une exposition photographique. Il n'est jamais revenu rue du Premier-Film. Célébrer à Lyon, dans la ville de naissance du Cinématographe Lumière, ce cinéaste voyageur, virtuose polymorphe et visionnaire, photographe accompli, qui n'a cessé de se réinventer et a eu mille vies, était une évidence depuis longtemps.

 

Wim Wenders recevra le Prix Lumière le vendredi 20 octobre 2023.

 

Wim Wenders succédera à Tim Burton, Jane Campion, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Francis Ford Coppola, Jane Fonda, Wong Kar-wai, Catherine Deneuve, Martin Scorsese, Pedro Almodóvar, Quentin Tarantino, Ken Loach, Gérard Depardieu, Milos Forman et Clint Eastwood.

 

 Il sera à Lyon du mercredi 18 au dimanche 22 octobre. Il recevra le Prix Lumière, le vendredi 20 octobre 2023.

 

 Le Prix Lumière a été créé par Thierry Frémaux pour célébrer une personnalité pour l'ensemble de son œuvre et le lien qu'elle entretient avec l'histoire du cinéma. Il est devenu avec les années l'un des prix les plus prestigieux reconnus par la profession et la presse internationale.

 

Biographie/Filmographie

Wilhelm Wenders, dit Wim Wenders, né le 14 août 1945 à Düsseldorf (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) en Allemagne, est un réalisateur, producteur de cinéma, scénariste et photographe allemand.

 

Il est l'un des représentants majeurs du nouveau cinéma allemand des années 1960-70.

Depuis 1996, il est président de l'Académie européenne du cinéma, installée à Berlin.

 

En 2023, il reçoit le "prix Nobel du cinéma" : le prix Lumière.

 

Réalisateur, Scénariste, Acteur :

Nom de naissance Wilhelm Ernst Wenders

Nationalité Allemand

Naissance 14 août 1945 (Düsseldorf - Allemagne)

Age 77 ans

Ayant grandi à Coblence et Oberhausen, Wim Wenders commence des études de médecine et de philosophie, mais les interrompt pour aller passer un an à Paris, où il fréquente assidûment la Cinémathèque. En 1967, il entre à l'Ecole supérieure du cinéma et de la télévision, à Munich. Parallèlement, il écrit des critiques de films pour le journal Süddeuttsche Zeitung et la revue Kritik. Il termine sa formation en tournant en 1970 Un été dans la ville, qui n'a jamais pu être distribué pour des raisons de droits musicaux.

 

Pour son deuxième long métrage, il adapte un roman de Peter Handke, L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty, qui marque le début d'une fructueuse collaboration avec l'écrivain, ainsi qu'avec l'acteur Rüdiger Vogler. Wenders signe ensuite une "trilogie du voyage", composée des road movies contemplatifs Alice dans les villes, Faux mouvement et Au fil du temps, un film en noir et blanc de trois heures qui lui vaut sa première sélection au Festival de Cannes.

 

En 1977, Wim Wenders élargit son horizon cinématographique en tournant entre l'Europe et les Etats-Unis L'Ami américain, un thriller tiré de l'oeuvre de Patricia Highsmith avec Dennis Hopper dans le rôle de Tom Ripley. Acceptant une commande de Francis Ford Coppola, il réalise Hammett, un hommage au célèbre auteur de polars. Mais cet amateur de littérature est également un cinéphile averti. Il le prouve en co-dirigeant Nick's movie (1980) avec Nicholas Ray, Tokyo-ga, une déclaration d'amour au cinéma d'Ozu, et, plus tard, Par-delà les nuages (1995), sur lequel il sera l'assistant de luxe du maître Antonioni.

 

La consécration arrive en 1984 avec Paris, Texas, une émouvante traversée de l'Amérique qui décroche la Palme d'Or au Festival de Cannes, suivi des Ailes du désir, un film-poème sur Berlin qui donnera lieu à une suite tournée après la chute du Mur. Le cinéaste-voyageur, qui sillonna le Portugal pour L'Etat des choses (Lion d'or à Venise en 1982) et Lisbonne story, livre en 1991 Jusqu'au bout du monde, une ambitieuse fable futuriste qui déconcerte les spectateurs.

 

Au milieu des années 90, Wim Wenders retourne aux Etats-Unis pour mettre en scène des films désenchantés sur l'évolution de la société américaine : le polémique The End of violence (1997) avec Gabriel Byrne et Andie MacDowell, Land of plenty (2004), une méditation, tournée en DV, sur les conséquences des attentats du 11 septembre 2001, et Don't come knocking (2005), un drame sentimental interprété par Jessica Lange et Sam Shepard.

 

Passionné de musique, Wim Wenders connaît un triomphe inattendu en 1999 avec son documentaire sur la musique cubaine, Buena Vista Social Club, et signe quatre ans plus tard The Soul of a man, où il rend hommage à quelques pionniers du blues. La même année il tourne Land of plenty qui, comme son film suivant, Don't Come Knocking, tentent de cerner "l'esprit de l'Amérique".

 

Il participe, en 2007, au projet Chacun son cinéma réalisé en l'honneur des 60 ans du Festival de Cannes (mais son film n'est visible que sur le DVD) et revient au Festival l'année suivante pour présenter Rendez-vous à Palerme. Connaissant de plus en plus de difficultés à monter ses films (Rendez-vous à Palerme (Palermo Shooting) n'est jamais sorti en salles) il se lance pourtant sur un projet ambitieux : un documentaire sur la chorégraphe Pina Bausch où il tente une utilisation novatrice de la 3D.

 

Jonglant entre fiction et documentaire, Wim Wenders participe en 2011, à Mundo Invisível, qui compile les courts-métrages de plusieurs réalisateurs sur le thème de l'invisibilité, et retrace, trois ans plus tard, la vie du photographe Sebastiao Salgado dans Le Sel de la terre. Le film reçoit le César du Meilleur documentaire 2015. Revenant à la fiction, il dirige Charlotte Gainsbourg, Rachel McAdams et James Franco dans le dramatique Every Thing Will Be Fine.

 

 

Rétrospective Wim Wenders

PRIX LUMIERE

PRIX LUMIERE

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14e édition du festival Lumière

14e édition du festival Lumière

14e édition du festival Lumière

Nous vous attendons pour la 14e édition du festival Lumière, qui se tiendra du samedi 15 au dimanche 23.octobre.

La programmation a été annoncée.: au total, plus de 400.séances sont proposées dans près de 40.salles de cinéma et de spectacle de Lyon et de sa Métropole – vous trouverez le programme complet ici.

La grande fête du cinéma classique se prépare, et Lyon, ville de naissance du Cinématographe Lumière, vous attend.

La billetterie bat son plein (plus de 50.000 billets vendus.!) mais il reste de nombreuses places pour vous permettre de réaliser votre programme parmi toutes les séances proposées.

Pour ceux n'habitant pas Lyon et qui souhaitent préparer leur séjour, nous sommes heureux de pouvoir vous faire bénéficier de tarifs préférentiels dans nos hôtels partenaires, vous retrouverez ici toutes les informations nécessaires.

Un bureau d'accueil est à votre disposition pour vous aider à organiser votre venue : hospitalitydesk@festival-lumiere.org  / 04.78.78.54.73.

Nous vous encourageons à prendre votre accréditation, qui permet des tarifs préférentiels pour toutes les séances et d'autres avantages dont vous trouverez tous les détails sur notre site.

Pour les professionnels du cinéma, une accréditation spéciale est disponible en remplissant le formulaire sur notre site.

Bon festival à tous!

L'équipe du festival Lumière

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RIDLEY SCOTT RETRO

RIDLEY SCOTT RETRO

RIDLEY SCOTT RETRO

du 1er juin au 17 juillet 2022

 

L’Institut Lumière clôt sa saison en mettant à l’honneur l’un des plus grands cinéastes contemporains, auteur de quelques-uns des plus grands classiques de la fin du XXe siècle et du début du XXIe. Un conteur d’histoires hors pair, démiurge créateur d’univers et génial directeur d’acteurs. Fresques historiques, science-fiction, péplum ou film noir… du cinéma, rien que du cinéma.

 

 

Un géant insatiable : à près de 85 ans, Sir Ridley Scott – il a été anobli en 2003 – ne quitte pas les plateaux de tournage. Il achève un Napoléon (vu par Joséphine), projette une nouvelle suite de Alien… Non seulement l’âge décuple sa créativité, mais ses projets restent d’une ampleur peu commune, toujours plus spectaculaires. Sans doute s’agit-il de rattraper le temps perdu : Scott a près de quarante ans quand il tourne son premier long métrage, Les Duellistes (1977). Il a appris le cinéma sur le tas en réalisant des centaines de films publicitaires, devenant une sommité du genre. C’est sa puissance visuelle, souvent liée à de précises références picturales, et son savoir-faire technique qu’il va mettre au service de la fiction, sans jamais perdre de vue le plaisir et l’émotion du spectateur.

Si son nom reste associé à deux immenses classiques du cinéma de science-fiction, Alien – le 8e passager (1979) et Blade Runner (1982), ce n’est pas le genre qui l’attire en premier lieu. Parce qu’il a passé ses jeunes années à Londres sous les bombes allemandes, ses films sont d’abord traversés par les horreurs de la guerre : guerres impériales dans Les Duellistes, guerre sainte dans Kingdom of Heaven (2005), guérilla politique dans Robin des Bois (2010). Plus largement, les conflits de pouvoir et les trahisons qui les accompagnent le passionnent, que ce soit dans la Rome antique (Gladiator, 2000, avec son comédien fétiche, Russell Crowe), la pègre (American Gangster, 2007) ou au sein d’une richissime famille italienne (House of Gucci, 2021)... Navigant avec aisance entre les genres, les époques et les pays, Ridley Scott ressuscite une utopie hollywoodienne abîmée par l’air du temps, celle d’un cinéma à grand spectacle pour adultes. Le dernier des cinéastes classiques ?

 

 

AU PROGRAMME

SOIRÉE D’OUVERTURE RIDLEY SCOTT

Mercredi 1er juin

Présentée par Jérémy Cottin

19h30 Gladiator de Ridley Scott (2000, 2h35)

 

DOUBLE PROGRAMME BLADE RUNNER

Jeudi 9 juin

18h30 Blade Runner de Ridley Scott (1982, Final Cut 1h57)

21h Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve (2017, 2h43)

Tarif spécial : Pass 2 films

Pendant la soirée, invitation à la revue de cinéma Rockyrama et vente des trois numéros dédiés à Ridley Scott (Blade Runner, Alien et Ridley Scott)

 

VOYAGE À TRAVERS LE CINÉMA DE RIDLEY SCOTT

par Fabrice Calzettoni

Mardi 14 juin

18h30 Cinq séquences présentées et commentées par Fabrice Calzettoni : Alien, Blade Runner, Black Rain, Gladiator, Seul sur Mars (env. 1h)

20h Thelma et Louise de Ridley Scott (1991, 2h09)

 

CONFÉRENCE SUR RIDLEY SCOTT

Mercredi 22 juin

En présence de Marc Moquin, rédacteur en chef de la revue cinéma Revus & Corrigés, auteur de Tony et Ridley Scott, frères d’armes (2018, Playlist Society)

18h30 Conférence sur Ridley Scott (env. 1h15)

20h30 Les Duellistes de Ridley Scott (1977, 1h35)

 

DOUBLE PROGRAMME ALIEN AU COMMENCEMENT

Jeudi 30 juin

Animé par Jérémy Cottin

18h30 Prometheus de Ridley Scott (2012, 2h04)

21h15 Alien : Covenant de Ridley Scott (2017, 2h02)

Tarif spécial : Pass 2 films

Pendant la soirée, invitation à la revue de cinéma Rockyrama et vente des trois numéros dédiés à Ridley Scott (Blade Runner, Alien et Ridley Scott)

 

 

Les films de Ridley Scott seront projetés dans la version cinéma de leur sortie française, à l’exception de :

 

– Alien – Le 8e passager : version Director’s Cut de 2003

– Blade Runner : version Final Cut de 2007

– Kingdom of Heaven : version Director’s Cut, inédite au cinéma en France

 

Par ailleurs, des versions longues ou remontages de certains films ont été édités uniquement en vidéo. Ces DVD et Blu-ray de Legend, Gladiator, La Chute du faucon noir, American Gangster, Robin des Bois, Cartel… sont à découvrir à la Librairie du Premier-Film.

 

(Communiqué de presse)

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Entretien avec Lorenzo Codelli

Entretien avec

Lorenzo Codelli ,

Lumière 2018

 

 

 

Stéphane Dubois,

 

Bonjour Lorenzo Codelli,

 

Vous avez de présenter plusieurs films à Lumière 2018.

 

 Lorenzo Codelli,

 

J’ai présenté les très beaux « Simon et Laure », « Trois petites paroles », « Les camarades » et « Saint Jack ».

 

 

Stéphane Dubois,

 Pouvez-vous nous dire deux mots sur le festival de Trieste  (Italie) ?

 

Lorenzo Codelli,

Le Festival International du Film de Science-Fiction est né à Trieste, ma ville, en 1963. L’ami Bertrand Tavernier y avait gagné l’Astéroïde d’Or en 1980 avec « La mort en direct ». Il s’appelle maintenant Science Plus Fiction et il se déroule la semaine prochaine, du 30 octobre au 6 novembre, à Trieste. On essaye de montrer les films de sci-fi inédits les plus intéressants, introduits par les réalisateurs, et on organise aussi des débats et rencontres sur littérature et science. Douglas Trumbull, que j’ai interviewé à Lyon Lumière il y a une semaine, sera notre invité d’honneur.

 

Stéphane Dubois,

Quels sont actuellement vos réalisateurs de films de Science-fiction préférer, pouvez-vous conseillé à nos internautes une playlist de films plus ou moins récents ?

 

Lorenzo Codelli,

Ridley Scott pour “The Martian” et Denis Villeneuve pour “Arrival”. L’italien Gabriele Mainetti pour “Lo chiamavano Jeeg Robot”.

 

Stéphane Dubois,

De plus en plus de films sont produits pour une diffusion exclusivement numérique via les plates-formes de VOD, quel est l’avenir des salles de cinéma face à cette concurrence ? Quels est avenir pour le cinéma de science-fiction et de fantastique pour les films indépendants, face aux grosses productions telles celles de MARVEL, DC Comics, Disney ?

 

 Lorenzo Codelli,

Impossible de prévoir l’avenir. Les salles de cinéma autant que les festivals, les cinémathèques, les télés anciennes, s’ils ne vont pas rapidement changer je crains qu’ils risquent tous l’extinction massive, tels les dinosaures pendant la préhistoire. L’Avenir commercial en salle presque nul. L’Avenir multimédia en énorme expansion.

 

 

Lorenzo Codelli,

Depuis 10 ou 20 ans on découvre en France et en Europe ce cinéma, concernant plus particulièrement les films fantastiques, héroïque-fantasy et de science-fiction coréenne quels sont leurs spécificités par rapport aux films de genre occidentaux ? Comme scénariste à  les « Neuf Vies de Cinéma coréen », vous connaissez bien ce cinéma . 

 

Lorenzo Codelli,

Le cinéma coréen  dit « de genre », fait essentiellement pour les gosses, est nul presque autant que celui hollywoodien du même bas niveau qu’il essaye d’imiter. Heureusement il y a encore en Corée des maîtres actifs comme (par ordre de préférence)  Lee Chang Dong,  Bong Joon Ho, Hong Sang Soo, Kim Ki Duk etc.

 

 

Biographie sommaire :

Membre fondateur du Festival Grand Lyon Lumière.

 

Directeur adjoint de la Cineteca del Friuli, historien et archiviste, il est le conseiller de Thierry Frémaux au Festival de Cannes pour l’Italie. Collaborateur de nombreux festivals internationaux, il écrit régulièrement pour la revue «Positif» (Paris) ainsi que pour d’autres média. Organisateur de cycles cinématographiques, entre autres pour le Musée du Louvre, le Centre Georges Pompidou, le Festival de Villerupt, il est l’auteur de nombreuses monographies de cinéastes.

 

Bibliographie sommaire:

 

• Voci & schermi (1996)

• SPECIALE FAR EAST FILM II. Voci e schermi (2000)

• Voci e SKermi (A.I. Intelligenza artificiale) (2001)

• Il festival di san Sebastian: una vetrina sul fantastico (2005)

• Il fantasma di Star Wars (2005)

• Fant-à-Cannes (2005)

• Voci e HKermi (2005)

• Fant'à Cannes 60 (2008)

• Voci e schermi: Fant'à Cannes (2008)

• China Futures: una retrospettiva cinematografica (2010)

• Cinema - Fant'à Cannes (Storie dal crepuscolo di un mondo / 1) (2011)

• Voci e schermi: Fant'à Cannes (Gli ammutinati dell'astronave) (2012)

• Voci e schermi: Fant'à Cannes (L'uomo che credeva di essere se stesso) (2012)

• Cinema - Voci e Schermi: Fant'A` Cannes 2017 (Reportage dal festival più "in" di questo e altri mondi. Con SK e David Lynch) (2017)

Entretien avec Lorenzo Codelli

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Librairie du Premier Film

Librairie du Premier Film

 

Si vous passez à Lyon et êtes fans de Cinéma, quelques soit le genre de films que vous aimez, il faut absolument, vous rendent dans cette librairie.

 

Vous y trouverez bien sûr des livres, mais aussi des photographies, des DVD et des Blu-Ray.

 

Régulièrement des expositions temporaires  sont organisées dans la Galerie de la Librairie.

Librairie du Premier Film

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Emma festivalière Lumière 2019

Emma festivalière

Lumière 2019

Nous avons rencontré au Festival Lumière 2018, Emma, 19 ans, étudiante en cinéma, elle nous parle de sa passion pour le cinéma de science-fiction et de fantastique.

 

Stéphane Dubois,

Bonjour Emma, tu es amatrice de films, si j’ai bien compris ton prénom vient d’Emma Peel 

Emma, 

Oui, du personnage de « chapeau melon et bottes de cuir ».

Stéphane Dubois,

Tu fais des études de cinéma tu as fait des films d’études déjà ?

Emma,

Je suis en 2e années de cinéma, à la faculté, nous devons faire des films régulièrement, j’ai fait une entrée d’un train en gare en référence à « L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat» des frères Lumière… mais chez moi, à la gare de Couzon au mont d’Or. 

Stéphane Dubois

 

Comment t’est venu ce gout pour les films de science-fiction ?

Emma,

Mon père était un grand fan de Star Wars, je ne devais avoir que 4 ans quand j’ai vu « un Nouvel espoir », et cela ne sait jamais arrêter.

Stéphane Dubois,

Dans le cinéma de films de genre : science-fiction, fantastique… en dehors de Star Wars quels sont les sont tes préférences ?

Emma,

La saga des « Seigneurs des anneaux » est incontournable, les films « Aliens », plus récemment  « Seul sur Mars », je n’ai pas encore vu « The Prédator », le dernier film qui se déroule dans l’espace est le film sur Neil Armstrong « First Man », il s’agit  d’un biopic.

 

Stéphane Dubois,

En série TV,  tu as vu quoi dernièrement ?

 

Emma,

« Star trek discovery » qui est pas mal, autrement des séries médiévales comme « Game of thrones »

 

Stéphane Dubois,

Tu parles de « Star Trek Discovery » en disant « pas mal » par rapport aux saisons précédentes de la comme « Voyageur »  tu la trouves comment ?

 

Emma,

Il s’agit dans cet univers, de la première série que j’ai vue complète, j’ai vu des extraits des anciennes séries, avec Patrick Stewart avec « New Génération », j’aime beaucoup cet acteur.

 

La nouvelle série à une ambiance  très différente des plus anciennes, elle est bien plus sobre.

 

Ma série TV préférée est « Docteur Who », la nouvelle saison avec une femme dans le rôle-titre, ce qui est sympa.

 

Stéphane Dubois,

Tu as dans « Docteur Who » des régénérations qu’elle est celle que tu as le plus aimée ?

 

Emma,

Le 8e Docteur avec Peter Capaldi, il en impose en étant à la fois nostalgique, un peu triste et à avoir de l’humour.

 

Stéphane Dubois,

Le fait que la dernière régénération du Docteur Who soit une femme change quoi cela change le personnage, ce n’est un effet de mode ?

 

Emma,

Cela change peu de choses, mais reste cohérent dans l’histoire, Némésis le maitre est devenue une femme  donc pourquoi pas le Docteur Who. Cela apporte un nouvel élan de fraicheur, ils veulent renouveler la série. Il change également le design, de la nouveauté afin d’attirer un nouveau public. Bien sûr il y a également un effet de mode d’être dans le gout du jour, mais tant qu’ils l’utilisent en restant cohérant dans l’histoire cela ne pose pas de problème.

 

Cela n’est pas comme si James Bond allait devenir une femme.

 

Stéphane Dubois,

Merci Emma, de nous avoir accordé cet entretien.

 

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Bernard, Festivalier Lumière 2018

Bernard, Festivalier ,Lumière 2018

 

Stéphane Dubois,

Vous venez de voir un film de Claire Denis « Trouble Every Day » (2001) pouvez- vous nous dire ce que vous en avez pensé ?

 

Bernard,

J’ai vu Trouble Every Day de Claire Denis, je ne connaissais pas cette réalisatrice. Un film d’épouvante que je n’ai pas du tout aimé. Je trouve qu’il est à la limite  du film d’horreur, il essaie de revenir sur des films comme « Cannibale holocauste » ou les films de Dario Argento. Beaucoup d’hémoglobine et la période contemporaine, à la limite cela ne fait même pas peur, pour un film sur le cannibalisme. Je n’ai pas apprécié du tout ce film.

Stéphane Dubois,

Pourquoi aimer vous les films de science-fiction et de fantastique ?

Bernard,  

Cela permet de s’échapper du quotidien, l’anticipation, le monde dans le futur. Ce sont des scénarios qui permettent de s’échapper de la vie quotidienne, de voir des personnages particuliers, des mondes virtuels, des mondes qui n’existent pas ou sont une caricature de celui dans lequel nous vivons. Cela permet de voir autre chose de profiteur d’un autre cinéma. 

Mais également en référence à la période de l’enfance, de la BD, des Comics et désormais des mangas. Je trouve sympathique ces films.

Stéphane Dubois,

Quels sont les films de genre que vous préférez ?

Bernard,

Je considère comme un sommet de la SF « Blade Runner », ce film a marqué une génération,  récemment il y a eu la suite, que j’ai beaucoup aimée.

Mais également j’apprécie énormément « Soleil vert », dans les films plus récents « Avatar » est excellent.  

Je découvre avec plaisir les films asiatiques tirés des mangas, particulièrement ceux des Studios Ghibli.

 

Stéphane Dubois,

Dans les films asiatiques quels sont vos préférez ?

Bernard,

Ceux des  Studios Ghibli partent exemple, qui ne sont pas forcément des films de SF, mais que j’apprécie particulièrement tel le « Le Tombeau des lucioles » qui est passé il y a quelques années au Festival Lumière. Ils sont souvent tirés de l’univers des mangas. 

Stéphane Dubois,

Justement en parlant de BD, nous sommes dans la ville des éditions Lug, mais également des éditions Imperia et des éditions des Remparts. Quels étaient vos BD préférés ?

Bernard,

J’ai grandi avec les « Strange », « Titans », « Nova » avec des personnages également créés par des Français comme Milton.   Amateur de bandes dessinées on arrive rapidement à celui du cinéma. C’est une ouverture sur la vie qui permet de discuter avec des personnes de notre monde. De garder le souvenir de nos jeunes années.

 

Stéphane Dubois,

Quel était votre personnage de BD préféré quand vous étiez enfant ?

 

Bernard,

Le personnage que je préférais était Batman, Superman, mais moins, je pense qu’on arrive au film graphique, c’est très hétéroclite au niveau des personnages.

 

Stéphane Dubois,

Durant ce Festival Lumière, quels sont les films que vous avez vus ou allez voir ?

 

Bernard,

Je profite au maximum de ce qu’offre le Festival Lumière. J’aime des films français, mais aussi des films étrangers et pas uniquement des films de SF ou de Fantastique.

J’ai pris grands plaisirs a découvrir les films d’Alfonso Cuaron, j’ai adoré « Roma »  et « Soit belle et tait toi », et aussi Roger Rabbit, cela n’a bien sur rien à voir, le revoir plusieurs décennies après fut un plaisir. Je vais voir aussi un Buster Keaton et la rétrospective consacrés à Peter Bogdanovitch. J’ai vu aussi beaucoup de films d’Henri Fonda, je vais revoir avec plaisir « On achève bien les chevaux » et « La Maison du lac ». Cela permet de voir une Amérique différente de celle d’aujourd’hui avec des films engagés. Je vais finir le Festival Lumière avec « Le Retour »  avec Jane Fonde un film d’Hal Ashby (1978). Ce film montre la guerre du Vietnam sous un autre jour.

 

Remerciement à Bernard de bien avoir voulu nous accorder cet entretien.

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2001: l'odyssée de l'espace.

2001: l'odyssée de l'espace.

De Stanley Kubrick

En version 70mm restaurée

Les 50 ans d'un mythe à  l'Auditorium de Lyon

 

Quel spectacle !

L’évènement que fut cette projection de « 2001, l’odyssée de l’espace » dans sa copie restaurée par Warner, supervisée par Christopher Nolan, à l’occasion des 50 ans du film. L’Auditorium de Lyon, l’une des plus belles salles de France, sera un écrin parfait pour la redécouverte de l’extraordinaire film de Stanley Kubrick.

 

Une copie restaurée de 70 mm dans un auditorium, alliant donc images et son de très grandes qualités

Ce film expérimental, largement incompris à ça sortit, comme un grand nombre de films de Stanley Kubrick, avec la seule fin optimiste de son œuvre, si l’on excepte plus tard « Eyes Wild Shut ». Les spectateurs dans le meilleur des cas n’applaudissaient pas (y compris les producteurs de la MGM) voir quittant en nombres la salle.

 

Pour Kubrick la Science-fiction devait forcement être mythique.

 

MGM PRÉSENTE

UN FILM DE STANLEY KUBRICK

“2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE“

C’est le réalisateur américain Christopher Nolan (Inception, Interstellar…) – fervent admirateur de Kubrick et lui-même amateur de 70mm, format qu’il a choisi pour son dernier film, Dunkerque – qui a supervisé la restauration du film. « La modernité et la précision de l'image filmée en 70mm par Kubrick étaient vraiment incroyables sur le support original. Nous avons donc repris les négatifs originaux pour en refaire des nouveaux. Tout a dû être fait chimiquement, sans la moindre numérisation. Finalement, tout ne se joue pas réellement dans les gradations de couleurs ou dans la haute résolution mais plutôt dans l'émotion et l'expérience vécues devant le film. »

Considéré comme le chef-d’œuvre de Stanley Kubrick (qui en a fait pourtant d’autres), 2001 sera projeté dans sa version originale au festival Lumière 2018. C’est une occasion unique de (re)découvrir ce pilier (ou devrait-on dire monolithe) du cinéma mondial, sorti en avril 1968. En 70mm, dans les conditions que Kubrick lui-même souhaitait.

Cette projection exceptionnelle fait suite à celle de Cannes Classics en mai dernier et est rendue possible grâce à Warner et Ned Price responsable des restaurations Warner.

 

 

Un an avant que l’homme ne pose le pied sur la Lune, Stanley Kubrick réalise 2001, l’Odyssée de l’espace. Si le film est une  superproduction, il n’en est pas moins extrêmement secret, d’une nature quasi expérimentale.

 

2001 est un film avant-gardiste qui frappa tous ces prédécesseurs de vieillissement. Point de "petits hommes verts", mais un réalisme précis dans le traitement technique de ce qu’allait devenir le voyage spatial. En voyant plus tard les images de la Terre vue de l’espace, Kubrick regrettera de l’avoir faite « trop claire »…

 

Expérience cinématographique hors du commun, 2001 lance, en outre, une grande interrogation métaphysique. Kubrick a d’ailleurs toujours laissé le champ libre aux interprétations et aux extrapolations les plus délirantes. Inutile d’espérer en percer le mystère. Il aborde donc, sans les résoudre, la question de la place de l’homme dans l’univers, celle de sa destinée, ainsi que celle de l’homme par rapport à la machine. Face à la présence d’Hal, ordinateur qui se détraque sous l’assaut incontrôlé de ses sentiments devenus humains, le vernis de la civilisation craque – comme dans toute l’œuvre de Kubrick -, et c’est en redevenant sauvage que Bowman triomphe de la machine. Les pulsions destructrices de l’homme et la confortable civilisation aux conventions policées sont incompatibles.

 

Génie de l’image et plasticien hors pair, Stanley Kubrick livre un film d’une beauté assourdissante, poème futuriste devenu mythique. 2001 est une douce chorégraphie, un lent ballet d’astronefs au son du Beau Danube bleu, une perfection formelle mêlée à une ambition intellectuelle sans égale.

 

En 1977, alors qu’il n’a que 7 ans, Christopher Nolan, futur réalisateur d’Interstellar et de Dunkerque, assiste à la projection du film à Londres. « L’écran s’est ouvert devant moi, et je me suis senti partir pour un voyage dont je ne suis jamais revenu tout à fait. Je voudrais permettre à une nouvelle génération de vivre l’expérience à son tour. » Aux côtés de Ned Price de Warner Bros. et à partir du négatif original conservé dans les entrepôts de la firme à Burbank en Californie, Christopher Nolan a supervisé la « recréation photochimique » de 2001, une version unrestored en 70mm, rendant ainsi au film l’écrin voulu par Kubrick pour son odyssée.

 

Résumé  du film et fiche  technique

2001 : A Space Odyssey

 

de Stanley Kubrick , États-Unis, Royaume-Uni , 1968

 

Dans le désert africain, une tribu de singes subit les assauts répétés d’une bande rivale qui lui dispute un point d’eau. La découverte d’un étrange monolithe noir inspire au chef des primates assiégés un geste inédit et décisif. Brandissant un os, Moonwatcher (Daniel Richter) passe à l’attaque et massacre ses adversaires avant de lancer victorieusement l'os en l’air. Le premier outil (et la première arme) est né, la voie est ouverte pour l’Homme… Quatre millions d’années plus tard, un vaisseau spatial évolue en orbite. À son bord, le docteur Floyd (William Sylvester) enquête sur la découverte d’un monolithe noir qui émet d’étranges signaux vers Jupiter. Dix-huit mois plus tard, David Bowman (Keir Dullea) et Frank Pool (Gary Lockwood) font route vers Jupiter à bord de Discovery, sous l’œil attentif du super-ordinateur Hal 9000…

 

 

2001, l’Odyssée de l’espace (2001: A Space Odyssey)

États-Unis, Royaume-Uni, 1968, 2h42, couleurs (Technicolor), format 2.20 

Réalisation : Stanley Kubrick

Scénario : Stanley Kubrick, Arthur C. Clarke 

Photo : Geoffrey Unsworth

Effets spéciaux et visuels : Stanley Kubrick, Wally Veevers, Douglas Trumbull, Con Pederson, Tom Howard, Colin Cantwell

Musique : Aram Khachaturyan, György Ligeti, Johann Strauss, Richard Strauss 

Montage : Ray Lovejoy

Décors : Tony Masters, Harry Lange, Ernest Archer

Costumes : Hardy Amies

Chorégraphie : Daniel Richter

Production : Stanley Kubrick, Metro-Goldwyn-Mayer, Stanley Kubrick Productions 

Interprètes : Keir Dullea (David Bowman), Gary Lockwood (Frank Poole), William Sylvester (le docteur Heywood Floyd), Daniel Richter (Moonwatcher), Leonard Rossiter (Smyslov), Margaret Tyzack (Elena), Robert Beatty (Halvorsen), Sean Sullivan (Michaels), Douglas Rain (la voix de Hal 9000), Frank Miller (la voix du contrôleur de mission), Bill Weston (un astronaute), Edward Bishop (le capitaine de la navette Ariès B1), Glen Beck (un astronaute), Alan Gifford (le père de Poole), Ann Gillis (la mère de Poole), Penny Brahms (une hôtesse), Edwina Carroll (une hôtesse)  

Sortie aux États-Unis : avril 1968

Sortie au Royaume-Uni : 15 mai 1968

Sortie en France : 27 septembre 1968  

 

Démarche inédite depuis la première sortie du film en 1968, la copie 70mm a été tirée à partir d'éléments du négatif original. Il s'agit d'une recréation photochimique fidèle qui n'a fait l'objet d'aucune retouche numérique, effet remasterisé ni modification de montage. Grand admirateur de Stanley Kubrick, Christopher Nolan a travaillé en étroite collaboration avec l'équipe de Warner tout au long de la fabrication

 

Et pour accompagner la restauration, L’odyssée de 2001, un livre collectif préparé par Michel Ciment, grand spécial du Maître, sortira en librairie en octobre dans la collection Institut Lumière / Actes Sud.

Tarifs

12€ / 10€ (accrédités)

L’odyssée de 2001 50 ans d’un mythe

À paraître en octobre – Lancement pour le festival Lumière

L’odyssée de 2001 50 ans d’un mythe

« Cinquante ans après sa sortie, 2001, l’odyssée de l’espace a conservé son pouvoir de sidération, échappant toujours à toute classification et demeurant un film expérimental, aujourd’hui encore en avance sur son temps » écrit Michel Ciment dans la préface de ce court volume qui revient sur l’œuvre légendaire d’un cinéaste légendaire. En quelques articles et un entretien avec Stanley Kubrick, retour sur un moment important de l’histoire du cinéma, pour ouvrir cette nouvelle Collection Positif.

10x19 cm

96 pages

ISBN : 978-2-330-11391-9

En collaboration avec : Institut Lumière/ Actes Sud

 

Je le recommande fortement  cet ouvrage, à la fois au fan de Stanley Kubrick, de Science-Fiction, et de tous les amoureux du cinéma.

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Festival LUMIERE 2018 Enfants Malades

Festival LUMIERE 2018 Enfant Malades

 

À l’Hôpital Femme-Mère-Enfant à Bron,

 

Des séances de cinéma à l’hôpital Hôpital Femme-Mère-Enfant/ BRON.

 

Le festival s’associe à nouveau à Rêve de Cinéma, association présidée par Lambert Wilson, dont le but est d’organiser des projections dans les hôpitaux pédiatriques et centres spécialisés pour enfants et adolescents malades et handicapés. Le dimanche, le festival proposera aux enfants de l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron et ceux du Centre Léon Bérard, le même film que celui projeté à la Halle Tony Garnier. Ces séances seront présentées par des invités du festival.

 

En 2017, les enfants de l’Hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron et du Centre Léon Bérard avaient pu découvrir Le Roi Lion en présence des réalisatrices et actrices Anne Le Ny et Julie Gayet.

 

En 2018, le festival Lumière organisera également une projection au Centre Hospitalier Saint Joseph-

Saint Luc, à Lyon.

 

Comme chaque année, le festival Lumière s'associe à Rêve de cinéma pour apporter le cinéma aux enfants hospitalisés.

 

Hôpital Femme-Mère-Enfant/ BRON

Mercredi 17 octobre à 15h

 

 SÉANCE ENFANTS : Kirikou et la sorcière de Michel Ocelot et Raymond Burlet (1998, 1h15) en présence d’Abd Al Malik, auteur-compositeur interprète.

 

En plus de MERE-ENFANT, et du Centre  anti cancéreux Léon Bérard (Secteur Pédiatrie) qui accueille chaque année cette initiative, un nouveau lieu verra la projection du film, il s’agit de l’Hôpital Saint Joseph- Saint Luc dans e centre de Lyon.

 

 

 

 

Cette opération est réalisée avec le soutien de BNP Paribas

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