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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #elisabeth vonarburg

Les éditions Alire - © 2024

Les éditions Alire - © 2024

TOUTES LES MERS DU MONDE

A la fin de l'article vous trouverez un entretien avec l'auteur

 

GUY GAVRIEL KAY est né en Saskatchewan en 1954. Après avoir étudié la philosophie au

Manitoba, il a collaboré à l’édition de l’ouvrage posthume de J.R.R. Tolkien, Le Silmarillion, puis

terminé son droit à Toronto, ville où il réside toujours.

Au milieu des années quatre-vingt, il publiait La Tapisserie de Fionavar, une trilogie qui devait le hisser au niveau des plus grands. Ont suivi Tigane, Une chanson pour Arbonne et Les Lions d’Al-Rassan, trois romans qui marquaient la naissance de la fantasy historique. Traduit en plus de vingt langues, il a vendu des millions d’exemplaires de ses livres au Canada et à l’étranger, ce qui en fait l’un des auteurs canadiens les plus lus dans le monde

 

 

Iseult Bacon-Marcaurelle — iseult@alire.com — T : (418) 440-9333

 

CE QU’IL FAUT SAVOIR…

• Prenant place sur les eaux et dans les cités d’un univers riche inspiré de la Renaissance italienne, Toutes les mers du monde marie habilement une intrigue politique bien ficelée à des personnages marquants, sans oublier de légères mais troublantes manifestations de l’au-delà et plusieurs sujets

profonds sur lesquels Kay nous invite à réfléchir grâce à sa plume lyrique et précise ;

• Depuis ses tout débuts, Kay offre parmi ses personnages à ses lecteurs des femmes fascinantes, qui ne sont jamais « décoratives » Lénia Serrana, dans ce nouveau roman, en est un exemple probant, tant elle est forte,

intelligente et indépendante ; La mémoire, et la manière dont celle-ci agit sur la psyché humaine, sont des thèmes récurrents dans l’oeuvre récente de Kay. Cette fois, c’est Lénia qui s’interroge : pourquoi choisit-on parfois d’oublier? et que cela dit-il sur qui nous sommes ?

Comme toujours, la finesse de la plume de la traductrice, Élisabeth Vonarburg, se marie brillamment à celle de Kay, avec pour résultat une rencontre merveilleusement belle entre Histoire et imaginaire, entre fantasy et poésie…

 

GF126, 648 pages, 36,95 $

978-2-89835-060-3

Le souvenir d’un foyer peut être trop éloigné, dans le temps, dans l’espace, dans l’immensité de la terre, ou de la mer. Il peut pâlir et se brouiller à mesure que passent les années, et en cela aussi c’est une souffrance. Certains, dans leurs rêves, reviennent à des voix remémorées, des sons, des parfums, des images. Mais beaucoup ne rêvent pas, ou ne rêvent pas du lieu d’où ils viennent.Lénia Serrana est de ceux-là. Enlevée de sa Batiare natale par des pirates alors qu’elle n’était qu’une enfant, elle a été pendant des années « Nadia » pour son maître asharite. Seul le meurtre a pu la délivrer, et maintenant elle vogue avec son associé kindath Rafèl ben Natan, acceptant divers contrats plus ou moins licites au gré des saisons.

 

Mais un de ceux-ci, l’assassinat du calife d’Abénévèn, si loin au sud de la grande mer du Milieu, sera plus dangereux que les autres et, par son succès, changera la destinée de Rafèl et Lénia à jamais. Mais l’écho de leur réussite atteindra avec eux les cités-États de Batiare, où Lénia revient enfin, de bon ou de mal gré, et s’éveillera alors chez les adeptes de Jad un nouvel espoir.

Et s’ils pouvaient enfin restaurer la grandeur de leur Empire souillé

 

 

GUY GAVRIEL KAY est né en Saskatchewan en 1954. Après avoir étudié la philosophie au

Manitoba, il a collaboré à l’édition de l’ouvrage posthume de J.R.R. Tolkien, Le Silmarillion, puis

terminé son droit à Toronto, ville où il réside toujours.Au milieu des années quatre-vingt, il publiait La Tapisserie de Fionavar, une trilogie qui devait le hisser au niveau des plus grands.

Ont suivi Tigane, Une chanson pour Arbonne et Les Lions d’Al-Rassan, trois romans qui marquaient la naissance de la fantasy historique. Traduit en plus de vingt langues, il a vendu

des millions d’exemplaires de ses livres au Canada et à l’étranger, ce qui en fait l’un des auteurs canadiens les plus lus de sa génération

 

 

GUY GAVRIEL KAY J.R.R. Tolkien TOUTES LES MERS DU MONDE Toronto Roman Science fiction Fantasy Manitoba Québec Élisabeth Vonarburg Canada

 

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Congrès Boréal

Congrès Boréal

Jean Pettigrew

Jean Pettigrew

Prix Hommage visionnaire 2023

 

 

Jean Pettigrew, lauréat du prix Hommage visionnaire de la science-fiction et du fantastique québécois

 

Montréal, le 25 septembre 2023 – C’est avec fierté et émotion que nous annonçons que Jean Pettigrew devient le nouveau lauréat du prix Hommage visionnaire de la science-fiction et du fantastique québécois.

 

Rares sont les personnes qui ont marqué les littératures québécoises de l’imaginaire autant que Jean Pettigrew. Éditeur chevronné il fonde en 1996 les éditions Alire il a contribué à l’émergence du milieu tel qu’on le connaît aujourd’hui. «Jean Pettigrew n’a pas que donné une tribune aux autrices et auteurs en les publiant, il les a aussi accompagnés dans leur écriture en accomplissant avec rigueur et exigence son travail d’éditeur. Ce faisant, il a contribué de manière significative à la qualité des littératures de l’imaginaire au Québec.» affirme Claude Janelle, critique et spécialiste des littératures de genre.

 

Ces réalisations ne doivent pas faire oublier qu’il a commencé son parcours littéraire comme auteur, avec la publication de sa première œuvre en 1981. Au fil d’une cinquantaine de nouvelles et de plusieurs pièces de théâtre, il a su développer une plume unique, humaniste, et encline à l’hybridation des genres.

 

Élisabeth Vonarburg, autrice et toute première lauréate de l’Hommage visionnaire, souligne en ces mots le rôle joué par Jean Pettigrew : «Y aurait-il de la littérature de genres de qualité au Québec si Jean Pettigrew n’avait pas été dingue? La fondation des éditions Alire, la pérennité de la revue Solaris et la courte, mais nécessaire production de la revue Alibis constituent son héritage le plus marquant, sans parler de L’Année de la SFFQ, du DALIAF et du Grand Prix Jacques Brossard, pour lesquels il a su trouver ou accompagner des aussi dingues que lui. Merci, Jean.»

 

Le prix sera officiellement remis lors du Congrès Boréal 2023, qui se tiendra au Collège de Bois-de-Boulogne du 20 au 22 octobre prochain. Un trophée réalisé par l’artiste montréalais Karl Dupéré-Richer sera dévoilé pour marquer cet événement.

 

À PROPOS

Créé en 2013, le prix Hommage visionnaire de la science-fiction et du fantastique québécois vise à célébrer les auteurs majeurs de la science-fiction et du fantastique québécois qui, depuis les 50 dernières années, ont su produire des œuvres d’ampleur et de qualité exceptionnelles. Un nouvel auteur est honoré tous les deux ans.

 

Le prix Hommage visionnaire est administré par SFSF Boréal Inc., corporation sans but lucratif agissant depuis 1981 dans le domaine des littératures de l’imaginaire. Le mandat de la Société de Fantastique et de Science-Fiction Boréal Inc. (SFSF Boréal Inc.) est d’organiser des congrès, des lancements collectifs, des soirées culturelles et toute autre activité susceptible de promouvoir la diffusion de la littérature et des créations relevant de la science-fiction et du fantastique. Sa principale activité est le congrès Boréal, qui réunit chaque année professionnels et amateurs de littératures de l’imaginaire.

 

Lauréats du prix Hommage visionnaire :

  • 2023 : Jean Pettigrew
  • 2019 : Daniel Sernine
  • 2017 : Joël Champetier
  • 2015 : Esther Rochon
  • 2013 : Élisabeth Vonarburg

 

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La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

 

Résumé

LES NOUVELLES DE CE RECUEIL :

Amours de verre

Dans le pays-qui-sera, la musique est partout. Elle accompagne chaque moment de la vie : naissance, deuil, récréation scolaire, « ouverture de chaque session du Parlement », etc. Chaque habitant du pays-qui-sera sait jouer d’au moins un instrument, mais ce n’est pas tout le monde qui a le talent de Guzla Retsiolèz. La compositrice légendaire rencontrera par hasard Zanne Herrica, une nomade constamment à la recherche de nouvelles sonorités. Ou peut-être est-ce plutôt Zanne qui rencontrera Guzla ? Plus tard, bien plus tard, viendra Toome, un souffleur de verre, qui n’a pas encore trouvé le violon lui étant destiné.

 

Ailleurs et au Japon

L’autrice jongle avec les lignes découpées de divers textes et ainsi naît une machine. En plein vol, celle-ci peut déplacer le paysage. Mais cet étrange oiseau craint tellement de tomber que cela finit par arriver et, dans sa chute, il perd ses ailes de métal. Il ne sait plus quoi faire d’autre qu’attendre dans cette « forêt quasi marine » dans laquelle il a rebondi. Jusqu’au moment où une femme apparaît, peut-être tombée du ciel comme lui. Une géante. Une femmemontagne.

 

Le Dormeur dans le cristal

Ils voyagent dans l’espace depuis si longtemps à l’abri du temps dans leur champ T qu’ils se sentent éternels. Peut-être le sont-ils vraiment… Pour la première fois, ils trouvent sur une planète en décrépitude un autre être humain. Celui-ci est figé en plein coeur d’un « dodécaèdre taillé dans un seul bloc de diamant artificiel ». Le Dormeur dans le cristal. Bien sûr, ils l’amènent avec eux sur leur vaisseau. Maïa a alors le loisir d’aller lui rendre visite tous les jours, même si le dormeur reste immobile. Elle lui imagine des vies avant elle et, pourquoi pas, avec elle lorsqu’il se réveillera enfin.

 

Les Villes invisibles

Dans les nouvelles cités dômes vous n’avez que cinq destinations, autant que les doigts de la main. Autobulles, taxibulles ou métro, il suffit d’apposer votre main et de vous laisser porter dans la marée de cachemantes. Que vous soyez Thélaïme ou Gisèle, que vous alliez à la Zone Hôpital, à la Zone Commerciale ou au District des Écoles, peut-être que ce jour sera LE jour. Le bon moment, celui d’entre deux vies. L’instant d’être diverti et transporté dans les restes des quartiers d’avant dans ces villes invisibles. Pour se perdre et peut-être finalement se retrouver soi-même.

 

Into White

Tish retourne au Saguenay-Lac-St-Jean après trente ans d’absence. Trente ans à survivre et à aider comme elle le pouvait dans une BETs en Amérique du Sud. C’est suite au décès de son frère, l’ancien maire de Saguenay Ville Verte, qu’elle se décide enfin à quitter les débris du Big One en Californie. Elle fait le chemin accompagnée de Maddie, une petite fille à la peau qui s’illumine, une génétiquerie. Tish y revoit ses anciens amis et amours, mais seulement pour un court instant. Une simple pause sur leur trajet. Car Maddie et elle ne s’arrêteront pas tant qu’elles n’auront pas vu la neige blanche, celle qui ne fon pas.

 

La course de Minuit

Cinquante ans après le voyage de Tish, Minuit et Shikuan viennent de gagner la dernière course à l’ombre de l’année. Mais si les courses de Zep sont terminées, reste encore la Course aux souvenirs, celle qui se fait à pied de GrandeAnse à Gilbertville. Celle qu’a courue Minuit la rebelle il y a quinze ans avant de quitter sa région natale et la Famille. Celle que Péri veut courir accompagnée de Minuit qu’elle a choisie comme kukum. Une course aux souvenirs, un espoir, un passage de l’adolescence à l’âge adulte alors que l’ombre recouvre la terre et que le siècle se termine pour laisser sa place à un nouveau quand arrivera minuit…

 

La Femme aux semelles de temps

Celle qu’on surnomme la vieille au sac à dos a un problème ce matin avec la semelle de sa sandale droite qui s’est incrustée au ras du trottoir. Par-dessus le marché, elle s’est trompée de chemin. Et son sac qui est plein « juste des urgences-oublis, mais ça pèse son poids quand même ». Elle n’est pas sûre de pouvoir rentrer avec ce soulier fichu et l’autre « semelle aussi [qui] va naufrager… » Mais il y a soudain ces deux gamines qui arrivent et la guident vers une femme qui répare les souliers par chez elles, un rare quartier avec un coin d’arbres, une sorte de jardin communautaire. Au beau milieu des quelques maisons encore debout, « c’est joli, ça repose les yeux ».

 

Mot de l’autrice : Pourquoi la science-fiction ?

Parce que je peux y faire tout le reste : de la psychologie et de l’action, de la philosophie et du mystère, de l’horreur et de la politique, des sciences…

 

Et comme femme, ça m’est absolument indispensable d’écrire, de lire et de penser SF. À part la colère et le chagrin, quels modes d’expression et de réflexion sur la vie des femmes le monde d’aujourd’hui nous offre-t-il ? Je veux pouvoir imaginer comment ça peut être différent, le décrire, le faire sentir pour que ça devienne peut-être possible un jour. Pas seulement à propos des femmes, mais des êtres humains. C’est quoi, un être humain ? Il n’y a que la SF pour poser cette question dans toutes ses dimensions.

Et moi, j’aime vivre au large…

 

 

Ce qu’il faut savoir

• Élisabeth Vonarburg est sans contredit l’écrivaine de science-fiction la plus connue et la plus talentueuse de l’histoire de la littérature québécoise, voire de la francophonie tout entière ;

• Les sept nouvelles du recueil nous amènent dans différents univers, époques et futurs de l’humanité. Chacune d’elles explore à sa façon des facettes du temps. Les trois dernières nous offrent d’ailleurs un regard assez optimiste sur l’avenir, comme s’il restait un petit espoir que les humains se mettent à prendre les choses en main et améliorent ainsi leur sort, à coups de jardins communautaires, de course des jeunes pour l’espoir et pourquoi pas même de Ville Verte ;

• Les livres d’Élisabeth Vonarburg ont été publiés et/ou traduits dans plusieurs pays, dont les États-Unis et la France. Et en 2018, elle remportait le Prix extraordinaire des Utopiales lors du festival du même nom à

Nantes, honneur récompensant la qualité de l’ensemble de son œuvre sur les quatre dernières décennies !

 

 

ÉLISABETH VONARBURG est une des figures les plus marquantes de la science-fiction québécoise. Elle est reconnue tant dans la francophonie que dans l’ensemble du monde anglo-saxon et la parution de ses ouvrages est toujours considérée comme un événement. Outre l’écriture de fiction, Élisabeth Vonarburg pratique la traduction (la presque totalité de l’œuvre de Guy Gavriel Kay, entre autres), s’adonne à la critique (notamment dans la revue Solaris) et à la théorie littéraire (Comment écrire des histoires). Depuis 1973, Élisabeth Vonarburg a fait de la ville de Chicoutimi son port d’attache

 

 

« Son style, sa culture sa verve proverbiale et ses manies de touche-à-tout font d’elle une incontournable. Voilà, c’est dit. »

Le Devoir

« Élisabeth Vonarburg s’est imposée comme l’un des grands noms des littératures de l’imaginaire au Québec. »

Entre les lignes

 

Élisabeth Vonarburg sera présente au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

 

 

 

La Femme aux semelles de temps

Science-fiction

R228, 320 pages, 15,95 $

978-2-89835-031-3

 

Communiqué de presse

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Élisabeth Vonarburg

Élisabeth Vonarburg

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Présences d’esprits n° 107,Couverture : Grégory Fromenteau

Présences d’esprits n° 107,Couverture : Grégory Fromenteau

Présences d’esprits n° 107

Le zine des mondes de l’imaginaire.

Cinéma BD Littérature TV Jeu Illustration.

Hiver 2022

 

Votre fanzine préféré vient de sortir son nouveau numéro, avec un très important dossier sur Élisabeth Vonarburg, sans oublier pour le plaisir de tous et toute une nouvelle « les invisibles » d’Elisabeth Vonarburg.

 

Bien sûr vous y retrouverez les rubriques habituelles.

À noter un dossier sur le cinéma asiatique et un entretien avec le dessinateur de la couverture Grégory   Fromenteau.

 

Abonnez-vous  et rejoignez  notre club grâce au bulletin en fin d’article.

 

Merci de bien vouloir partager l’article et

faire connaître notre  site à vos amis et contacts.

*******************

 

Couverture : Grégory Fromenteau

 

Traduction REVERSO.

 

Spirit Presences No. 107

The zine of imaginary worlds.

Cinema BD Literature TV Game Illustration.

Winter 2022

 

Your favorite fanzine has just released its new issue, with a very important dossier on Élisabeth Vonarburg, without forgetting for the pleasure of all and a whole new «invisible» of Elisabeth Vonarburg.

 

Of course you will find the usual headings.

Note a dossier on Asian cinema and an interview with cover cartoonist Grégory Fromenteau.

 

Subscribe and join our club with the newsletter at the end of the article.

 

Please share the article and let your friends and contacts know about our site.

 

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Cover: Grégory Fromenteau

Présences d’esprits n° 107

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