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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #livres

Esprits maléfiques Les dévoreurs d’Ames.

Esprits maléfiques

tome 2

Les dévoreurs d’Ames. 

Deuxième et dernier tome de cette mini-série.

En ce 8 mars, journée internationale des femmes, je voulais vous parler d’une mini-série et d’une auteure, Ellen Oh,   d’origine coréenne qui  prône la diversité dans la littérature, plus particulièrement celle des genres de de l’imaginaire les « Esprits maléfiques » ne manque pas à la règle que c’est fixé cette auteure.

Pas seulement entre homme et femme, que cette série se veut, comme l’ensemble de l’œuvre de cette auteure, entre les diverses  cultures, choix sexuels ou de vie !

 

 Destiné au préadolescent cette traduction d’Anne Delourt, donneras à vos enfants, de longues heures de plaisirs.

De plus en plus, les plus jeunes ne lisent plus du « papier » au mieux ils parcourent des textes prédigérés sur une tablette.

Avec Nathan éditions, maison spécialisée dans la littérature jeunesse, depuis le plus jeune âge jusqu’aux ouvrages parascolaires, bien sûr dans le cadre ce site, nous abordons les ouvrages des genres de l’imaginaire, quelques soit le public auxquels il est destiné, son origine, son âge, le sous-genre : merveilleux, science-fiction, fantastique héroïque-fantasy…

 

Résumé :

 Harper, sa famille et sa meilleure amie Dayo partent pour Halloween sur une île des Caraïbes. L'apprentie chasseuse d'esprit sent dès son arrivée que l'île est hantée par des créatures très différentes de ce qu'elle a pu rencontrer jusqu'à ce jour.

Avec ses pouvoirs de plus en plus puissants, elle tente de comprendre de quoi les fantômes du coin ont peur… et d'où viennent les traces de morsure sur le cou des enfants.

Grâce à sa grand-mère, Harper réalise que des dévoreurs d'âmes sont prisonniers de l'île. Ces créatures se nourrissent des âmes des fantômes mais aussi de celles des vivants…

Pour se libérer, ils vont procéder, le soir d'Halloween, à de nombreux sacrifices humains.

Á charge d'Harper et de ses amis de les arrêter !

Un roman d'effroi efficace, parfaitement adapté pour les 11-14 ans : des scènes effrayantes mais une héroïne tendre et bienveillante qui permet au lecteur de dépasser ses peurs.

La série qui hantera vos nuits…

Un T2 qui monte en puissance : plus de rebondissements, plus de monstres et de nouveaux chasseurs d'esprit !

Une galerie de personnages (garçons et filles) attachants qui permet à tout jeune lecteur de s'identifier.

 

Auteur : E. Oh

L’AUTRICE : Ellen Oh, d'origine coréenne, vit aux États-Unis dans l'État de Washington. Elle a étudié le droit et a exercé le métier d'avocate avant de se lancer dans l'écriture. Esprits maléfiques est sa première série traduite en français. Elle est également cofondatrice et présidente de "We Need Diverse Books" : une association qui promeut, aux États-Unis, la diversité dans la littérature jeunesse pour "un monde dans lequel chaque enfant peut se reconnaître dans les pages d'un livre".

Traductrice : Anne Delcourt

 

 

Roman fantastique, pour les enfants dès 11 ans.

256 Pages

ISBN : 978-2-09-258147-6

15,95 €

DÈS 11 ANS  COLLÈGE - 5E 

NOUVEAUTÉ

Esprits maléfiques,

les dévoreurs d'âmes -

T2 - Dès 11 ans

Collection : Roman Grand format

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Couverture d'illustration Éric Marcelin

Couverture d'illustration Éric Marcelin

Manhattan Marilyn

Philippe Laguerre

Il est rare que je vous parle d’un ouvrage déjà sorti depuis plusieurs années et d’autant plus quand il s’agit d’un thriller, mais voilà il ne s’agit pas de n’importe quel ouvrage ni de n’importe quel auteur.

 

Philippe Laguerre est un auteur atypique et que nos internautes connaissent bien, il a déjà publié sous son pseudonyme Philippe Ward des ouvrages fantastique dont nous avons déjà parlé, il est également le directeur artistique des Éditions Rivière  Blanche

 

Revenons à cet ouvrage, il part de la mort de celle qui fut une star planétaire Marilyn Monroe (pou pidou Mister président).

Il reprend à son compte les diverses théories du complot   pour les transcender et en faire une passionnante intrigue. Avec Manhattan Marilyn, il joue avec les théories du complot et nous offre un thriller historique passionnant et une vision lucide des États-Unis sous la présidence d'Obama.

 

Un tel scénario pourrait sans souci être la base (car une adaptation d’un livre n’est jamais réalisable en réalité) au scénario d’un film noir.

Si vous ne l’avez jamais lu, je vous recommande de le faire, pour avoir l’eau à la bouche vous trouverez à la fin de cet article,  un extrait en téléchargement gratuit et légal, je remercie Philippe Laguerre de nous avoir autorisé de vous offrir cet extrait.

Vous trouverez également un lien avec l’éditeur, vous permettant de l’acquérir après ce dossier.

 

Résumé du livre :

Ancienne Marine en Irak, Kristin Arroyo découvre dans les affaires de son grand-père décédé - un célèbre portraitiste - des clichés inédits de Marilyn Monroe. Aidée par un photographe, elle décide de monter une exposition.

Malheureusement, rien ne se passe comme prévu : une mystérieuse organisation s'en prend à eux. Pourchassée, traquée, la jeune femme va rapidement comprendre que son destin est lié à celui de Marilyn Monroe et s'efforcer de reconstituer les derniers jours de l'égérie hollywoodienne afin de percer le mystère qui entoure sa disparition.

MANHATTAN MARILYN

Philippe Laguerre ( Auteur)

Aux éditions :   Critic  -  Collection : Thriller

-  Livre

ISBN : 979109064

Broché: 348 pages

Editeur : CRITIC EDITIONS (19 mai 2016)

Collection : Thriller

Langue : Français

ISBN-13: 979-1090648562

ASIN: B019OSYJJG

Dimensions du produit :

19,8 x 2,5 x 13 cm

Prix:19,00 €

Biographie de l'auteur

Philippe Laguerre est né à Bordeaux en 1958.

Installé dans l'Ariège, il aime regarder de vieux films, lire des romans policiers et voyager à travers le monde.

Lequel Philippe Laguerre publie ses romans et nouvelles fantastiques. Il a également écrit sous le pseudonyme de Gilles de Grandin. Il est également directeur de collection des éditions Rivière Blanche sous le nom de Philippe Ward . Il coécrit très régulièrement avec la traductrice et auteur Sylvie Miller.

 

Œuvres

Série Lasser, détective des dieux

Cette série est coécrite avec Sylvie Miller.

Un privé sur le Nil, Critic, coll. « Fantasy », 2012, 327 p. (ISBN 979-10-90648-02-9)

Mariage à l'égyptienne, Crtic, coll. « Fantasy », 2013, 306 p. (ISBN 979-10-90648-06-7)

Mystère en Atlantide, Critic, coll. « Fantasy », 2014, 352 p. (ISBN 979-1090648197)

Dans les arènes du temps, Critic, coll. « Fantasy », 2015 (ISBN 979-1090648470)

Romans indépendants

Artahe, CyLibris, 1997, 259 p. (ISBN 2-84358-006-4)

Irrintzina, Naturellement, coll. « Forces obscures », 1999, 285 p. (ISBN 2-910370-54-2)

Le Chant de Montségur (2001) (avec Sylvie Miller), Ed. CyLibris/Fantastique, 2001

La Fontaine de jouvence (sous le pseudonyme de Gilles de Grandin (2004), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2004, 2004

Meurtre à Aimé Giral (2006)

Dans l'antre des dragons (2008)

16, rue du repos (2009), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Noire n° 13, 2009

Mascarades (2009), Aïtamatxi Editions, 2009 (voir article sur ce site, lien ci-dessous)

Le glaive de justice (La saga de Xavi El Valent - 1) (2010) (avec Gildas Girodeau et François Darnaudet, Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2072, 2010, réédité dans Le Glaive de Justice, Hélios Poche, juin 2015

...Ceci est mon sang (Radu Dracula - 1) (2011) (avec Philippe Lemaire), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Noire n° 26, 2011

De Barcelona à Montsegur (La saga de Xavi El Valent - 2) (2012) (avec François Darnaudet, Gildas Girodeau et Boris Darnaudet, Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2106, 2013, réédité dans Le Glaive de Justice, Hélios Poche, juin 2015

Magie rouge, Trash éd., coll. Trash n° 12, 2014, 150 p.

Nouvelles

Martha (1990)

Les vignes du seigneur (1998)

Le mur (2000) (avec Sylvie Miller)

Prorata temporis (2001)

After midnight (2002) (avec Sylvie Miller)

Mau (2002) (avec Sylvie Miller)

Le fils de l'eau (2003)

Le survivant (2003) (avec Sylvie Miller)

Les ferrets invisibles (2005) (avec Sylvie Miller)

Les chemins de l'esprit (2006)

Pas de pitié pour les pachas (2006) (avec Sylvie Miller)

Un futur inimitable (2007) (avec Sylvie Miller)

Noir Duo (recueil de nouvelles avec Sylvie Miller, 113 préfaciers, 2007)

La belle au poids mordant (2009) (avec Sylvie Miller)

N'est pacha qui veut (2009) (avec Sylvie Miller)

Le crépuscule des maudites (2010) (avec Sylvie Miller)

Le pacha botté (2010) (avec Sylvie Miller)

Voir Pompéi et mourir (2012) (avec Sylvie Miller)

Distinctions

2000 : Prix Masterton, catégorie roman français, pour Irrintzina.

2013 : Prix ActuSF de l'Uchronie, catégorie littérature, pour Lasser Détective des Dieux (avec Sylvie Miller).

Extrait en téléchargement légal et gratuit

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Arnauld Pontier cliché : Roberto Battistini.

Arnauld Pontier cliché : Roberto Battistini.

Entretien avec

Arnauld Pontier.

 

Stéphane Dubois,

Vous sortez, aux éditions Rivière Blanche, le tome 3 de F.E.L.I.N.E. – LE VAISSEAU NOIR - Révélation, pouvez-vous nous parler de la genèse de cette série ?

Arnauld Pontier,

J’ai toujours aimé le « Pulp », notamment en BD (je ne citerai que la géniale série Cobra, de Buichi Terasawa), et plus largement les héroïnes féminines : que ce soit les super-héroïnes des revues Strange et Marvel ou, dans les films et les jeux vidéo, la ribambelle de « Barbarella » et autres Lara Croft, toutes aussi sexy les unes que les autres. Elles représentent à mes yeux la beauté, la grâce, l’intelligence, la séduction : en bref, la Femme idéalisée. Fantasme adolescent que j’ai osé, enfin, coucher… sur papier.

Par ailleurs, le film 2001 Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrik, m’a marqué. J’avais 12 ou 13 ans lorsque je l’ai vu. Le personnage du supercalculateur C 500, «Carl » (HAL 9000 dans la v.o.) m’a quasiment paniqué. J’ai immédiatement voué une passion pour ce que l’on nomme depuis l’IA – l’Intelligence Artificielle. Je crois que j’ai lu un maximum d’ouvrages scientifiques et de SF mettant en scène des Répliquants et autres androïdes. La question fondamentale posée par ces œuvres est : Qu’est-ce qui différencie l’Homme de la machine ? Et qu’est-ce qui empêchera, demain, la machine, d’égaler, voire de surpasser l’Homme ? – NB : il faut m’arrêter sur le sujet, car sinon on en a pour des heures ! Alors, je pose au lecteur de F.E.L.I.N.E. la question suivante : qu’est-ce qui différencie ma F.E.L.I.N.E. d’une véritable femme ? Voilà. Et c’est une question essentielle. Existentielle.

Stéphane Dubois,

Justement au sujet de l’IA, vous citez à la fin de l’ouvrage plusieurs auteurs. Vous semblez penser que les IA sont un vrai danger pour l’homme, pour l’humanité ? Pour vous, c’est irréversible ?

Arnauld Pontier,

Je crois que le vrai danger pour l’Homme, c’est l’Homme lui-même. C’est une réponse convenue. S’agissant de l’IA, je ne sais pas si ce sera un danger immédiat. Ce qui est certain, c’est que cela se développe et qu’on ne pourra pas l’arrêter, et que ça modifie déjà notre « humanité », notre société.

Après la sphère strictement informatique, l’IA va changer de visage, s’intégrer à l’humain : pour réparer des handicaps physiques et mentaux par exemple. Ensuite, des robots autonomes accompliront des tâches qu’on ne pourra pas ou qu’on ne voudra plus faire. Dans l’armée, le maintien de l’ordre, l’exploration spatiale ou l’exploitation minière extraterrestre, par exemple, leur prédominance – quelle que soit leur forme – sera inévitable. On peut penser, même, que dans les hôpitaux ou les EHPAD, entre autres lieux médicalisés, des androïdes (hyperréalistes) pourraient être de formidables auxiliaires de vie. Et pourquoi pas ? Mais il faudra cadrer cette « vie synthétique », prévoir qu’elle évoluera (voire auto-évoluera). Immanquablement. Les « Lois de la robotique » d’Isaac Asimov sont une piste intéressante pour un tel contrôle. Car, à n’en pas douter, la création s’émancipera un jour son créateur, et alors…  le Terminator pourrait bien nous donner du fil à retordre.

Stéphane Dubois,

Vous pensez que cette F.E.L.I.N.E. aura combien de volumes ? Avez-vous prévu une suite ou des dérivés à celle-là ? 

Il s’agit d’une trilogie ; elle est donc achevée. Mais il est fort probable que j’utilise prochainement un personnage secondaire qui m’a passionné,  l’homme-chat, le Lyxien Noor-Jaan, pour rajouter à l’aventure – mais en marge – un quatrième volume... Ensuite, on verra où l’envie me conduira. Car je me suis attaché à l’univers et aux personnages de ma F.E.L.I.N.E….

Stéphane Dubois,

En quoi, les nombreux voyages que vous avez faits ont-ils influencé vos écrits ? Et votre connaissance des arts asiatiques ?

Arnauld Pontier,

Tout d’abord, la pratique des arts de combat asiatiques a été essentielle dans mon éducation -  j’ai commencé à l’âge de quatre ans (au Laos), et je n’ai jamais cessé de m’entraîner, tout au long de ma vie. A présent, j’enseigne des formes de « combat » plus douces comme le Tai Chi – qui est plus une méditation en mouvements mais qui demeure un art martial – et des arts de défenses plus techniques, qui font appel à l’intelligence du geste plus qu’à la force (comme le Hoshin Mo osool coréen ou le Dim-Mak chinois). L’Asie m’a également fait découvrir des odeurs et des couleurs spécifiques. Un exotisme qui représente pour moi ce qui est vivant, qui s’oppose au « terne » de nos sociétés occidentales standardisées. Une femme n’est pas seulement belle par son corps, elle l’est également par ses mouvements, ses vêtements, son odeur, ses couleurs, sa voix… Sa félinité me subjugue. Vous ne trouvez pas que « félinité » est bien plus parlant que « féminité » ? Les premières femmes que j’ai vues, enfant, se baigner nue dans la rivière ou puisant dans une jarre un peu d’eau avec une demi noix de coco pour se laver, étaient asiatiques. Félines.

Stéphane Dubois,

Vous avez également publié des romans, nouvelles, récits, poésie et contes, quelle forme de création littéraire est pour vous la plus complète, voir la plus complexe à appréhender ?

Arnauld Pontier,

Pour un lecteur d’aujourd’hui, à l’évidence, c’est la poésie qui « ne passe plus ». D’ailleurs, pour en trouver en librairies… Malheureusement. Sans doute parce qu’un poème, aussi court soit-il, synthétise finalement quelque chose d’assez long à « lire », qui vous demande du temps et de la réflexion. Qui nécessite votre implication. Et l’homme d’aujourd’hui  réclame du rapide, du « fast-food », du pré-mâché. Bien entendu, je fais ici une généralité.

En tant qu’auteur, c’est également la poésie qui me demande le plus de travail, de remise en cause.

Stéphane Dubois,

Avez-vous d’autres projets en prévision ?

Arnauld Pontier,

Une nouvelle édition de mon récit de voyage Sur Mars, paraît ce mois-ci aux éditions 1115. Une version révisée et augmentée (un premier texte avait paru en 2009). Je prépare également un nouveau roman, un post-apo, que je souhaite écrire de manière « blanche », littéraire. Privilégier l’histoire, certes, mais également l’atmosphère, en soignant la musique des mots, la scansion des phrases (comme j’ai pu le faire dans mes romans chez Actes Sud,notamment Le Cimetière des anges, ou dans ce Sur Mars sus évoqué). Enfin, je participe régulièrement à des AT de nouvelles, car j’adore écrire et lire des nouvelles. En 2019, quatre de mes textes sont d’ores et déjà retenus, chez Arkuiris et Rivière Blanche notamment. Pourvu qu’il y en ait d’autres !

Stéphane Dubois,

Quand et où nos internautes peuvent-ils espérer vous rencontrer pour des séances de dédicaces dans les semaines et mois à venir ?

Arnauld Pontier,

Je serai présent, en compagnie de Pierre Thomas, planétologue, professeur émérite à l'ENS de Lyon, à la Librairie de Paris de Saint-Etienne, le 26 mars, dans le cadre d’une soirée organisée par l’association Astronef. Il sera question de Mars. Ensuite, on pourra me retrouver à Livres en scène, à Ceyzeriat, les 04 et 05 mai ; aux Imaginales d’Epinal, du 23 au 26 mai ; aux Imagin’ères d’Angers, les 8 et 9 juin ; au Salon du livre de Pusignan, les 14 et 15 septembre, et enfin aux Aventuriales de Ménétrol, les 28 et 29 septembre. Du moins, c’est l’état de mon planning de dédicaces à ce jour.

Stéphane Dubois,

Merci d’avoir bien voulu nous accorder cet entretien.

 

Biographie et bibliographie de l’auteur :

Je suis né en septembre 1957, à Valenciennes. J'ai passé une grande partie de mon enfance à l’étranger (principalement au Laos et en Algérie) et j'ai ensuite voyagé, dans une quarantaine de pays. Depuis 2014, je vis dans un petit village de Haute-Savoie.

J'ai exercé différents métiers (disquaire, anténiste, serveur, publicitaire, testeur informatique, cadre administratif…), dont celui d’éditeur (j'ai longtemps dirigé les éditions Paris Musées, que j'ai contribuer à créer).

Depuis 2012, j'enseigne les arts chinois (Qi Gong, Tai Chi, Do In…) et  je poursuis mon travail d’écriture et de direction d’ouvrages

Depuis 2002, j'ai publié de nombreux textes : romans, nouvelles, récits, poésie et contes, en littérature générale comme en littérature de l’imaginaire.

Voici quelques points de repère :

 

1957, le 30 septembre : naissance à Valenciennes (59)

1961, départ pour Paksé (Laos)

1962, départ pour Vientiane (Laos)

1967, départ pour Béchar (Algérie)

1969, départ pour Aïn Témouchent (Algérie)

1971, retour en France, à Embrun (05) - élève au lycée Honoré Romane

1976, décembre, service militaire à Hauteville (21)

1977, mars, fin du service à Besançon -  au 27° RI

1979, faculté de Lettres modernes d'Aix-en-Provence

1981, arrivée en région parisienne...

2002, premier roman : La Fête impériale

2003, deuxième roman : La Treizième Cible et premier livre pour enfants : La Légende du jardin japonais

2004, prix Marguerite Yourcenar pour La Treizième Cible, et premier recueil collectif : Linea n° 3

2005, troisième roman : Le Cimetière des anges et deuxième livre pour enfants : Les Petits Vers

2006, quatrième roman : Equinoxe et réédition en collection Babel (poche) de La Fête impériale

2007, premier recueil de poésie : Marbre et traduction en portugais de mon premier roman, La Fête impériale : Festa Imperial - Memórias De Um Libertino

2008, cinquième roman : Le Fruit du silence

2009, premier récit de voyage : Sur Mars, récit de voyage en terre rouge, 3 recueils de nouvelles collectifs : Si elles savaient..., Codex Atlanticus n° 18 et Au nom de la fragilité

2010, 2 recueils de nouvelles collectifs : Histoires cueillies pour Haïti et Histoires d'eau.

2012, second recueil de poésie : Le monde entrebâillé

2013, sixième roman : Agharta - Le temps des Selkies (de la SF)

2014, 3 recueils de nouvelles collectifs : Le Réchauffement climatique et après..., Dimension Système solaire et Histoires de Folie.

2015, premier recueil de nouvelles personnel : Dimension Arnauld Pontier (SF et Fantastique) et 2 recueils de nouvelles collectif : Dimension New York 1 et D'écriture en écriture

2016, nouveau lieu de résidence : Thollon-les-Mémises (74), 1 recueil de nouvelles collectif : L'Art de séduire

2017, septième roman : F.E.L.I.N.E. (de la SF) et 1 recueil de nouvelles collectif : Entre rêves et irréalité

2018, huitième roman : L'Equilibre de l'extinction (FELINE 02),1 recueil de nouvelles collectif : Musiques d'outre-mondes, première publication en revue (Galaxies n°52), second recueil de nouvelles personnel : The Avenue in the Rain, deuxième publication en revue (GandahaR n°15)

A VENIR... Provisoirement

2019, neuvième roman : Le Vaisseau noir (FELINE 03), 3 recueils de nouvelles collectifs : Migrations du futur, Le Temps revisité et Etranges détectives, troisième livre pour enfants : Nicolas contre la reine de Serkle, second récit de voyage : Sur Mars - voyage en terre rouge.

Illustration Mike Hoffman

Illustration Mike Hoffman

2174. Le Vaisseau Noir

Lars Hamilton, alias Lothar Milton, ex-Conseiller général de la Fédération, Maître de l’organisation déviante Arach, responsable de trois génocides planétaires, reste insaisissable…

Mais si, grâce à ses multiples avatars, il a pu jusqu’à présent échapper à la F.E.L.I.N.E. : la Force d’Elimination, de Libération et d’Intervention Nano-Equipée, échappera-t-il au capitaine Saronis et à son extraordinaire VAISSEAU NOIR ?

Prix

18,00 € 

Référence

BL2174

ISBN-13: 978-1-61227-840-7

172 pages - 18 euros

Extrait en téléchargement légal et gratuit

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 Appel à textes  Swiss Wars : Quand la guerre fait réfléchir... sur la Suisse

 Appel à textes

Swiss Wars :

Quand la guerre fait réfléchir...

sur la Suisse !

Dès les balbutiements du genre, les oeuvres de science-fiction ont raconté des épopées de combat. Des premières guerres interstellaires qui fourmillent dans les « pulps magazines » des années 1930 aux fictions post-apocalyptiques contemporaines, la SF a su mettre en scène, de façon exemplaire, des mondes et des personnages en situation de lutte. Loin de faire l'apologie de la violence et de la haine, la guerre présente dans les récits ou les films de science-fiction traduit plutôt – métaphoriquement – un désir de renouvellement, une critique des règles et des coutumes qui structurent le milieu dans lequel se déroule l'intrigue.

En ce sens, les fictions guerrières mettent au défi nos certitudes, nous proposent les visions d'un monde toujours à (re)construire. Ainsi, ces fictions nous enseignent que ce que nous tenons pour solide, assuré, permanent, est toujours susceptible de disparaître ou de se transformer ; elles nous rappellent également que la guerre peut être une métaphore de nos comportements individuels problématiques. Ainsi, pour la science-fiction, toute guerre est d'abord une aspiration vers l'ailleurs – vers notre ailleurs. Et notre petite Helvétie, si traditionnellement « neutre », n'est de loin pas à l'abri de tels bouleversements.

Pour sa deuxième édition, le Prix de l'Ailleurs propose aux auteur.e.s de science-fiction francophones, tant émergent.e.s que confirmé.e.s, de réfléchir aux rapports entre l'image de la guerre, et notre Suisse si tranquille... peut-être trop tranquille… Sera-t-on bientôt confrontés à un conflit climatique nous obligeant à gagner nos montagnes pour y fonder des communautés alternatives et survivalistes ? Sera-t-on conduits à affronter un jour des extraterrestres belliqueux en créant une coalition intercantonale et plurilingue ? Que deviendront, dans le futur, ces petites guerres domestiques qui déchirent parfois couples et familles, apparemment « biens sous tous rapports » ? De multiples perspectives s'ouvrent à vous, chères et chers auteur.e.s, qui toutes convergent sous la thématique des Swiss Wars, clin d'oeil évident à la saga de George Lucas.

• Les propositions de textes, d'une longueur de 15 à 30'000 signes, sont à envoyer par mail à prix@ailleurs.ch pour le 30 mars 2019 à minuit.

• Merci de mentionner vos coordonnées (nom, prénom et adresse) dans le corps du mail, et non dans le texte lui-même afin de garantir une redistribution anonyme au jury.

• Les textes lauréats seront dotés, et publiés dans le prochain volume du Prix de l'Ailleurs, aux éditions Hélice Hélas, en août 2019.

Le Prix de l’Ailleurs a été créé en 2017 à l'initiative de chercheurs.euses, de journalistes spécialisé.e.s et d'écrivain.e.s. Premier prix littéraire suisse de ce type, il entend faire reconnaître et favoriser la production d'oeuvres de science-fiction en Suisse. Il est soutenu par l'Université de Lausanne, la Maison d'Ailleurs d'Yverdon-les-Bains, et la librairie Basta !

Pour l'édition 2019, Armasuisse soutient le Prix de l'Ailleurs dans le cadre d'une convention de partenariat avec la Maison d'Ailleurs, lié à la veille technologique.

Contact

Marc Atallah

Directeur de la Maison d’Ailleurs – Président de l’Association romande de science-fiction

@ : matallah@ailleurs.ch | Tél. : +41 79 552 94 45

Colin Pahlisch

Coordinateur de l’Association romande de science-fiction

@ : colin.pahlisch@unil.ch | Tél. : +41 79 567 27 49

 

Communiqué de presse.

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Les secrets du STROM

Les secrets du STROM

Le Labyrinthe des Âmes  

D’Emmanuelle et Benoît de Saint-Chamas

 

L’on doit cette nouvelle trilogie,  aux enfants des auteurs qui les ont encouragés a reprendre la plume dans le même univers, leur disant de laissait un point d’interrogation à la fin du volume trois. Ce nouveau cycle peu ce lire de manière totalement indépendante du premier cycle.  

Les auteurs ont toujours écrit leurs ouvrages à quatre mains, ce qui sans être unique, est relativement rare dans l’édition française.

Ne doutons pas que comme d’autres ouvrages qu’ils ont déjà publiés, cette nouvelle trilogie soit rapidement traduite en plusieurs langues.

Il existe toute une communauté autour de cet univers : Fan-film réalisé par Constance Quémeneur  qui anime également le forum dédier à STROM.

 

Je vous conseille de le faire réserver à votre libraire préférer, afin d’être sûr de ne pas manquer la sortie du premier tome. Le second tome est prévu pour octobre 2019.

En librairie le 4 avril 2019

Article basé sur un exemplaire non corrigé.

 

Le livre

 Depuis des siècles, aux quatre coins de la planète, l’Organisation des Chevaliers de l’Insolite protège l’humanité contre les forces invisibles qui la menacent. Au sein de cette société secrète, Raphaël et Raphaëlle Chêne, chevaliers et lycéens de 15 ans, poursuivent leur formation dans les sous-sols du musée du Louvre. Le jour où des fuites et d’étranges vols sont commis au coeur de l’Organisation, les jumeaux doivent passer rapidement de la théorie à la pratique. Un traître est parmi eux…

 

Un 2e cycle qui peut aussi se lire totalement indépendamment du 1er.

 

Les auteurs

 Avec un silex, on peut fabriquer des armes ou des flèches mais il faut deux silex pour faire des étincelles : c’est sûrement pour cela qu’Emmanuelle et Benoît de Saint Chamas écrivent à quatre mains, en « frottant » leurs imaginaires.

 

Leurs livres, traduits dans plusieurs pays, ont été récompensés par de nombreux prix littéraires. Le Louvre occupe une place importante dans leur vie comme dans leur écriture : Benoît y travaille, Emmanuelle est passée par l’École du musée et plusieurs de leurs livres (Contes de l’alphabet, Contes du Grenier, Contes des six trésors…) évoquent ce lieu de magie et d’émerveillement. Ils ont également scénarisé, avec François Place, le site internet du musée pour la jeunesse.

 

C’est lors d’une visite nocturne du Louvre, à la lumière d’une lampe-torche, que leur est venue l’idée de STROM, une saga fantastique puisant dans un imaginaire enraciné dans le réel, un genre qu’ils affectionnent depuis leur premier roman, Le Secret de la Stèle Sacrée.

 

Benoît a été conseiller d’un ministre et s’occupe à présent des affaires internationales à la Direction du musée du Louvre. Emmanuelle est maître de conférences à l’Institut d’Études Politiques de Paris (Sciences-Po). Ils sont mariés, ont trois enfants et sont Chevaliers des Arts et des Lettres.

 

ISBN :9782092580530

320 pages –

À partir de 10 ans

– 15,95 € –

 En librairie le 4 avril 2019

 Parution du tome 2 en octobre 2019

 

Biographie et bibliographie des auteurs :

Emmanuelle et Benoît de Saint Chamas

 

Benoît de Saint Chamas

Né en 1970. Marié, 3 enfants.

Etudes d’économie, diplômé de Sciences-Po (1992)

Conseiller auprès du Président du musée du Louvre depuis 2005, et maître de conférences à Sciences-Po Paris depuis 2000

 

Emmanuelle de Saint Chamas

Née en 1973. Mariée, 3 enfants.

Khâgne, Maîtrise de lettres, Ecole du Louvre, diplômée de Sciences-Po (1998)

Maître de conférences à Sciences-Po Paris depuis 2002

 

C’est une tradition familiale qui est à l’origine de tout : dans la famille d’Emmanuelle, à Noël, chaque enfant devait à tour de rôle lire un conte de Noël. Alors que nous étions fiancés, nous nous sommes dit : « et pourquoi n’inventerions-nous pas une histoire ? ». Nous avons écrit notre premier conte la semaine de notre mariage (1997). Deux ans après, au moment de la naissance de notre fille Laetitia, nous publiions notre trilogie des Contes de l’Alphabet (Ed du Jasmin, 1999), qui a reçu le Prix Saint-Exupéry 2000.

Nous écrivons à quatre mains, recourant à diverses techniques pour « croiser nos imaginations » qui sont assez complémentaires. Ecrire est pour nous un plaisir, une détente : nous avons toujours avec un petit carnet à portée de main et nous avons composé la plupart des scenarii de nos contes dans des restaurants, des lieux insolites (ex : nous avons inventé la première histoire des Contes des six trésors lors d’une ronde de nuit au Louvre) ou au cours de promenades ou de voyages.

Nous aimons les contes parce qu’ils permettent d’aborder simplement et de façon accessible les grands mystères de la vie. Nos histoires se veulent une passerelle entre le conte classique et le monde moderne. Elles s’adressent tout autant aux enfants qu’à leurs aînés, et rien ne nous fait plus plaisir que de croiser des parents ou des grands-parents qui ont passé un bon moment, seuls ou en compagnie de leurs enfants, en nous lisant.

Notre motivation : apporter un peu de joie, d’émotion, d’optimisme, encourager le goût de la lecture et inventer de nouveaux mondes qui n’ont d’autres limites que celles de notre imagination.

Nous venons de publier notre premier roman : il s’intitule le Secret de la Stèle Sacrée (Editions du Jasmin). Il s’agit d’un roman fantastique qui se déroule dans un monde imaginaire à la fois très proche et très éloigné du nôtre.

Depuis 2002, nous donnons ensemble un enseignement d’ouverture à Sciences-Po autour du thème des « formes brèves » (contes, nouvelles, aphorismes, formules historiques, slogans etc…et même « brèves de comptoirs »)

Nous travaillons en ce moment à la scénarisation du futur site internet du Louvre destiné aux enfants, prochainement mis en ligne sur www.louvre.fr (illustrateur : François Place)

 

 

Bibliographie

Publications

– Le Secret de la Stèle Sacrée, Jasmin, 2007 (sélection du Grand Prix des Jeunes Lecteurs de la PEEP 2008 et du prix littéraire des Vosges 2008) –traduit en italien

– Contes des six trésors, Jasmin, 2006 (Prix littéraire Européen 2007 ; sélection du Prix des Incorruptibles 2008 et du Grand Prix des Jeunes Lecteurs de la PEEP 2007) –traduit en coréen

– Sagesses et Malices des anges et des pauvres diables, Albin Michel, 2006

– Contes de la Cave, Seuil 2003, illustrations de François Roca (Prix de Cabourg 2003, Prix de Narbonne 2004, Prix « Tatoulu » 2005) –traduit en italien

– Contes du Grenier – Seuil, 2002, illustrations de François Roca –traduit en italien

– Une Nuit de Noël, Seuil, 2002, illustrations de Christophe Durual

– Le Puits du Diable, Ed du Jasmin, 2002, illustrations de Laura Rosano

– Contes de l’Alphabet, en 3 vol - Ed du Jasmin, 1999, illustrations de Quentin Gréban (Prix St Exupéry 2000)

Autre Parution récente des Éditions Nathan Jeunesse

Autre Parution récente des Éditions Nathan Jeunesse

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Illustration de couverture : Alain BRION

Illustration de couverture : Alain BRION

John Varley

Blues pour Irontown

[Irontown Blues]

Sherlock le chien cyber-augmenter de Christopher Bach, est bien plus qu’un faire-valoir, il Un humour et un caractère bien trempé.

Sherlock fan des films et des livres noirs, est en primé très bavard.

Christopher Bach ex-flic sur Luna, devenu un privé désenchanté ce vois entrainé dans  des aventures par une jeune femme.

John Varley nous offre un personnage a la Chandler on croit ce retrouver  dans certaines scènes face à un Philip Marlowe du futur.

Le chapitrage et l’écriture incisive de l’auteur font que l’on ne lâche pas l’ouvrage.

Surement l’un des meilleurs romans de cet auteur.

Je vous le recommande donc fortement.

Trad. de l'anglais (États-Unis) par Patrick Marcel

Résumé de l’ouvrage :

Christopher Bach était policier lors de la Grande Panne, ce jour où le Calculateur central, qui contrôle tous les systèmes de survie sur Luna, a connu une défaillance fatale. La vie de Chris a alors irrémédiablement basculé, et il essaie désormais d’être détective privé. Assisté de son chien cybernétiquement augmenté, Sherlock, il tente de résoudre les quelques missions qu’on lui confie en imitant les héros durs à cuire qui peuplent les livres et films noirs qu’il adore.

Lorsqu’une femme entre dans son bureau et prétend avoir été infectée volontairement par une lèpre incurable, Chris est tout disposé à l’aider à retrouver celui qui l’a contaminée. Mais il va vite déchanter en comprenant que son enquête doit le mener là où personne n’a réellement envie d’aller de son plein gré : à Irontown…

Blues pour Irontown est un mélange détonant de roman noir et de science-fiction. Situé dans le même univers que les précédents ouvrages de l’auteur, notamment Gens de la Lune et Le Système Valentine, parus chez Denoël, il marque le retour, tant attendu, de John Varley à son meilleur.

 

272 pages,

140 x 205 mm

ISBN : 9782207143421 /

Gencode : 9782207143421

Code distributeur : B26900

Collection Lunes d'encre

21,90 euro

Biographie et bibliographie de l’auteur :

John Herbert Varley Alias Herb Boehm

Naissance

9 août 1947 (71 ans)

Austin, Texas, États-Unis

Il grandit à Fort Worth (Texas), déménage à Port Arthur en 1957 et est diplômé de la Nederland High School. Il part à l'Université d'État du Michigan avec une bourse d'état du mérite scolaire. Il choisit cette université car, parmi celles qu'il peut se permettre de payer, c'est la plus éloignée du Texas.

Il commence des études de physique, change pour des études de lettres puis quitte l'école avant son 20e anniversaire et arrive à San Francisco juste à temps pour le Summer of Love de 1967. Vivant de petits boulots et dépendant de la mission de St-Anthony pour manger, il décide que l'écriture est un meilleur moyen de subsistance.

Il se retrouve à Woodstock en 1969 lorsque sa voiture tombe en panne d'essence à un demi mile du concert. Il a également vécu à Portland et Eugène, en Oregon, à New York, à San Francisco de nouveau, Berkeley, et Los Angeles

 

Distinctions

Prix Hugo

Prix Nebula

Prix Locus

Prix Apollo

Prix Prometheus

 

Œuvres principales

La trilogie de Gaïa (1979-84)

Le Système Valentine (1998)

John Varley Blues pour Irontown

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Illustration de couverture : Aurélien Police.

Illustration de couverture : Aurélien Police.

Katherine Arden

L'Ours et le Rossignol

(The Bear and the Nightingale)

Trad. de l'anglais (États-Unis) par Jacques Collin.

 

Ce premier ouvrage a été très bien accueilli dès ça sortir aux États-Unis Robin Hobb à elle-même à  encensé ce dernier. Basé sur des contes de la période médiévale, on voit à travers les histoires que raconte  Dounia ce  dessiné une volonté de ne pas plier devant les préjugés de l’époque sur les femmes, que Vassia va combattre. Vassia, se bat pour sa liberté, mais aussi celles des femmes de son époque et refuse le sort réserver aux femmes dans ce royaume de Rus’. 

 

 L’action se déroule dans la Russie du XIVe siècle, entre glace, foret et  esprit dans un petit village. Le principal personnage Vassia apparait relativement tardivement. Précisons qu’il s’agit de l’actuelle Russie européenne, de l’Ukraine et de la Biélorussie.  

 

Nous sommes à une période charnière ou les anciennes croyances font de plus en plus face au christianisme de plus en plus puissant.

L’auteure dans sa postface prévient qu’elle a pris quelques libertés avec la réalité historique, c’est l’apanage des auteurs de donner la préférence à l’intrigue dramatique sur l’histoire, cela peut choquer quelques puristes bien sûr, de même la transition du russe a pour but de son aveu de faciliter la lecture et la compréhension pour le lecteur du texte.

 

Chaque conte peut-être lut séparément, mais je vous conseille quand même une lecture linéaire.

 

Logiquement les deux tomes de cette trilogie devrait paraitre dans la même collection.

 

Un utile glossaire clôture cet ouvrage.

 

Résumé du livre :

Au plus froid de l’hiver, Vassia adore par-dessus tout écouter, avec ses frères et sa sœur, les contes de Dounia, la vieille servante. Et plus particulièrement celui de Gel, ou Morozko, le démon aux yeux bleus, le roi de l’hiver. Mais, pour Vassia, ces histoires sont bien plus que cela. En effet, elle est la seule de la fratrie à voir les esprits protecteurs de la maison, à entendre l’appel insistant des sombres forces nichées au plus profond de la forêt. Ce qui n’est pas du goût de la nouvelle femme de son père, dévote acharnée, bien décidée à éradiquer de son foyer les superstitions ancestrales.

 

Inspiré de contes russes, L’Ours et le Rossignol a su en garder toute la poésie et la sombre cruauté. C’est le premier roman de Katherine Arden.

 

368 pages, 140 x 205 mm

ISBN : 9782207143933 /

Gencode : 9782207143933

Code distributeur : B26911

Pays : États-unis

Collection Lunes d'encre

Parution : 17-01-2019

Collection Lunes d'encre

Prix : 21,90 €

Disponible au format numérique :

15,99

 

Biographie :

Nationalité : États-Unis

 Né(e) à : Austin, Texas ,  1987

Katherine Arden est diplômée en langues russe et français au Middlebury College en 2011.

Elle a passé un an en France en tant que lycéenne et près de deux ans à Moscou comme étudiante.

"The Bear and the Nightingale", son premier roman et le premier tome d'une trilogie, a été publié en 2017.

Elle vit dans le Vermont.

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L’éveil du Dieu Serpent

L’éveil du Dieu Serpent

De Christine Barsi

 

Sur Terre, en 2027, la guerre sous-jacente n’est pas celle à laquelle s’attendent les masses, mais plutôt de celle qu’on leur dissimule depuis plusieurs décennies.

 

Nous sommes envahis, bien plus que nos déclencheurs d’alerte ne cessent de nous le clamer. Les Reptiliens, les Gris et la déclinaison des races hybrides sont parmi nous. Que nous veulent-ils ?

 

Avril Scott, éthologue au sein d’une association de protection de l’environnement, et renommée pour son expertise des dossiers sensibles traitant des abus dans le domaine des organismes génétiquement modifiés, devra l’appréhender et affronter l’homme d’affaires et scientifique Maur Evans qui se dressera sur son passage et l’entraînera dans un périple australien qui les mènera de Sydney à Melbourne, aux Blue Mountains, et jusqu’au cœur de la Tasmanie.

 

 

532 pages

Format 140x210

Chf 28.- / 23,80 euros

 

Christine Barsi

 

L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. Aujourd’hui, l’auteure travaille dans les ressources humaines, pour une grande entreprise d’informatique et d’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif quatre romans publiés à compte d’éditeur.

 

(Communiqué de presse)

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Contes macabres Edgar Allan Poe Benjamin Lacombe

Contes macabres

Edgar Allan Poe

Benjamin Lacombe

 

En 2010 Benjamin Lacombe avait déjà illustré  Edgar Allan Poe et ses « contes macabres », publié aux  Éditions Soleil. Il nous aura donc fallu presque neuf ans pour avoir ce deuxième volume d’une sélection thématique de nouveaux contes.

 

Thématique, car si le premier volume était consacré aux femmes et à la mort, ce nouvel opus s’intéresse aux hommes et aux fantastiques.

 

Rappelons que les « contes macabres » avaient été traduits par Charles Baudelaire   dont vous trouverez une liste des traductions E.A.POE, peut-être pas exhaustive, en bas de page.

 

Je ne vous ferais pas l’affront de vous parler des textes ou de l’œuvre de l’auteur des « Contes Macabres », si vous suivez régulièrement ce site, vous ne pouvez qu’être amateur de son œuvre.

 

Venons-en donc aux illustrations le trait de Benjamin Lacombe est idéal pour ce genre de texte,  il semble évident qu’il a subi, et on le comprend l’influence de Mark Ryden, mais il a su aussi sans  détaché et crée son propre style.

 

 Ils avaient déjà illustré « Alice aux pays des merveilles » et « Notre dame de Paris, décidément il sait choisir ses auteurs. À remarquer concernant les auteurs que ceux du 19e siècle on ça faveur.

 

A la fin de l’ouvrage vous trouverez « Notes nouvelles sur E.A.POE »

 

Très bel ouvrage, avec une finition luxe, il ferait un très beau cadeau pour votre entourage je vous le recommande donc très fortement.

 

Déconseillé aux moins de 16 ans.   

 

Résumé :

L’influence d’Edgar Allan Poe dans le monde a été et demeure considérable : la critique contemporaine le situe parmi les plus remarquables écrivains de la littérature américaine du XIXe siècle, et ses nouvelles ont revêtu, au fil des ans, grand nombre de titres et d’aspects. Le premier volume des Contes macabres s’articulait autour de la vision de la femme et de la mort, tandis que ce second volume s’intéresse à celle de l’homme et du fantastique.

 

Note de l’éditeur :

Le premier volume des Contes macabres s’articulait autour de la vision de la femme et de la mort, tandis que ce second volume s’intéresse à celle de l’homme et du fantastique. Forte, pleutre, habitée par la mélancolie ou basculant dans la folie, la figure masculine selon Poe est complexe et, par là même, terriblement envoûtante.

 

Benjamin Lacombe a sélectionné de nouveaux contes, parmi lesquels Manuscrit trouvé dans une bouteille ou Petite discussion avec une momie, et propose un nouveau voyage graphique, à la frontière du réel, dans les tréfonds de l’âme humaine.

 

Après le succès incontesté du premier opus, Benjamin Lacombe propose un nouvel hommage au maître du romantisme américain autour de la figure masculine et du fantastique. L’influence d’Edgar Allan Poe dans le monde a été et demeure considérable : la critique contemporaine le situe parmi les plus remarquables écrivains de la littérature américaine du XIXe siècle, et ses nouvelles ont revêtu, au fil des ans, grand nombre de titres et d’aspects.

 

 

Benjamin Lacombe a sélectionné de nouveaux contes, parmi lesquels Manuscrit trouvé dans une bouteille ou Petite discussion avec une momie, et propose un nouveau voyage graphique, à la frontière du réel, dans les tréfonds de l’âme humaine. Un second hommage au maître du romantisme américain.

 

Biographies et bibliographies des auteurs :

Edgar Allan Poe

(1809-1849)

Edgar Allan Poe, né à Boston en 1809, a étudié en Angleterre, puis dans un collège de Virginie. Plus tard, il s’engagea dans l’armée et publia, à ses frais, son premier recueil, Tamerlan et autres poèmes (1827). En 1829, il trouva refuge chez une tante sans fortune, Maria Clemm, mère d’une fille, Virginia, qu’il épousa lorsque celle-ci eut quatorze ans. La même année, il publia un second recueil, Al Aaraaf.

 

À partir de 1831, Poe a composé des nouvelles, contes et poèmes : en 1833, Le Manuscrit trouvé dans une bouteille obtint un prix. Il continua alors à publier des oeuvres jusqu’au Corbeau, son plus grand succès. Malgré cela, Poe vécut dans la misère avec Maria Clemm et sa femme qui décéda en 1847. Il mourut à l’hôpital en 1849, à la suite d’une crise de delirium tremens.

 

Bibliographie (sélection)

 

Publications en volume du vivant d'Edgar Poe

 

(en) Tamerlan and Other Poems, Boston, Calvin F. S. Thomas, 1827.

(en) Al Aaraaf, Tamerlane and Minor Poems, Baltimore, Hatch and Dunning, 1829.

 

(en) Poems, second edition, New York, Elam Bliss, 1831.

 

(en) The Narrative of Arthur Gordon Pym from Nantucket, New York, Harper & Brothers, janvier-février 1837.

 

(en) The Narrative of Arthur Gordon Pym from Nantucket, Londres, Wiley & Putnam, 1838.

 

(en) The Conchologist's First Book, Philadelphie, Haswerl, Barrington et Haswell (réimpr. 1840, 1845) (1re éd. 1839).

 

(en) Tales of the Grotesque and Arabesque, Philadelphie, Lea & Blanchard, 1840, 2 volumes - publiés à 750 exemplaires.

 

(en) The Prose Romances of Edgar A. Poe (contenant : The Murders in the Rue Morgue et The Man that was used up), Philadelphie, William H. Graham, 1843, publié probablement à 250 exemplaires.

 

(en) The Raven and other Poems, New York, Wiley & Putnam, 1845.

(en) Tales, New York, Wiley & Putnam, 1845.

(en) Eureka, New York, Wiley & Putnam, 1848.

 

Éditions posthumes des œuvres d'Edgar Poe

(en) The Works of the Late Edgar Allan Poe (édition de Rufus Griswold), volumes 1-2, New York, J. S. Redfield, 1850 ; vol. 3, 1850 ; vol. 4, 1856 (édition posthume préparée par Edgar Poe, réimprimé par Redfield jusqu'en 1859 puis par W. J. Widdleton jusqu'en 1871).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (édition de John Henry Ingram), 4 volumes, Édimbourg, Black, 1874-1875 (plusieurs rééditions avec d'importantes corrections et révisions).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (avec un mémoire de Richard Henry Stoddard) 6 volumes, New York, A. C. Armstrong & Son, 1884 ; Londres, Kegan Paul, Trench, 1884 (8 volumes, New York, George P. Putnam's Sons, A. C. Armstrong & Son, 1884).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (édition d'Edmund Clarence Stedman et George Edward Woodberry), 10 volumes, Chicago, Stone & Kimball, 1894-1895.

 

(en) The Complete Works of Edgar Allan Poe (édition de James Albert Harrison, avec des notes de Robert Armistead Stewart), 17 volumes, New York, Thomas Y. Crowell and Company, 1902 (édition baptisée : The Virginia Edition et The Monticello Edition, cette dernière version ayant un papier d'un plus grand format).

 

(en) The Complete Poems of Edgar Allan Poe (préface et mémoire de James Howard Whitty), Boston & New York, Houghton Mifflin Co., 1911.

 

(en) Politian, an unfinished tragedy by Edgar A. Poe: edited from the original sources, including the autograph manuscripts in the Pierpont Morgan Library (édition de Thomas Ollive Mabbott), Richmond, The Edgar Allan Poe shrine, 1923.

 

(en) The Collected Works of Edgar Allan Poe (édition de Thomas Ollive Mabbott) : Volume 1 : Poems, Cambridge, The Belknap Press of Harvard University Press, 1969 (réimpression, 1979 puis, sous la forme de livres brochés, sans un certain nombre d'annexes, Harvard, 1980 ; rémpression avec le texte complet, University of Southern Illinois, 2000) ;Volumes 2-3 : Tales and Sketches, Cambridge, The Belknap Press of Harvard University Press, 1978 (réimpression, 1979 ; University of Southern Illinois, 2000).

 

(en) The Collected Writings of Edgar Allan Poe (édition de Burton Ralph Pollin) : Volume 1 : The Imaginary Voyages (comprenant : The Narrative of Arthur Gordon Pym, The Unparalleled Adventure of one Hans Pfaall et The Journal of Julius Rodman), Boston, Twayne Publishers, 1981 ;

Volume 2 : The Brevities: Pinakidia, Marginalia and Other Works, New York, Gordian Press, 1985 ;

Volumes 3 & 4 : Writings in The Broadway Journal: Nonfictional Prose, New York, Gordian Press, 1986 ;

Volume 5 : Writings in the Southern Literary Messenger: Nonfictional Prose, New York, Gordian Press, 1997.

 

 

Traductions de Charles Baudelaire (1857)

Notes nouvelles sur Edgar Poe (Introduction de Charles Baudelaire)

Le Démon de la perversité (1845)

Le Chat noir (1843)

William Wilson (1839)

L’Homme des foules (1840)

Le Cœur révélateur (1843)

Bérénice (1835)

La Chute de la maison Usher (1839)

Le Puits et le pendule (1842)

Hop-Frog (1849)

La Barrique d’amontillado (1846)

Le Masque de la mort rouge (1842)

Le Roi Peste (1835)

Le Diable dans le beffroi (1839)

Lionnerie (1835)

Quatre bêtes en une (1833)

Petite Discussion avec une momie (1845)

Puissance de la parole (1845)

Colloque entre Monos et Una (1841)

Conversation d’Eiros avec Charmion (1839)

Ombre (1835)

Silence (1835)

L’Île de la fée (1841)

Le Portrait ovale (1842)

 

Benjamin Lacombe

(1982-)

Benjamin Lacombe, auteur et illustrateur né à Paris en 1982, est l’un des représentants phares de la nouvelle illustration française.

En 2001, il entre à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD), et signe à dix-neuf ans sa première BD. Son projet de fin d’études, Cerise Griotte, est son premier livre qui paraît aux éditions du Seuil, en 2006. Il est publié l’année suivante par Walker Books (États-Unis), et sélectionné par le Time Magazine comme l’un des dix meilleurs livres jeunesse de l’année. Depuis, Benjamin a écrit et illustré une trentaine d’ouvrages vendus à plus de 1,2 million d’exemplaires à travers le monde. Il expose son travail en galerie et travaille notamment avec Ad Hoc Art (New York), Dorothy Circus (Rome), Maruzen (Tokyo) et la Galerie Daniel Maghen (Paris).

 

Publications (sélection)

 

Littérature jeunesse

Le Petit Chaperon rouge, Éditions Soleil , 2003.

Cerise Griotte, Éditions Seuil Jeunesse, 2006.

Longs cheveux, Éditions Talents Hauts, 2006.

La Funeste nuit d'Ernest, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Sarbacane, 2007.

Les Amants Papillons, Édition Seuil Jeunesse, 2007.

La petite sorcière, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Seuil Jeunesse, 2008.

Le Grimoire de Sorcières, Éditios Seuil Jeunesse, 2008.

La grande journée du petit Lin Yi, Éditions Milan Jeunesse, 2009.

La Mélodie des Tuyaux, conte musical lu par Olivia Ruiz, Éditions Seuil Jeunesse, 2009.

Blanche-Neige, Éditions Milan, 2010.

L'herbier des fées, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2011.

Ondine, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2012.

Swinging Christmas, texte coécrit avec Olivia Ruiz, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2012.

Madame Butterfly, Éditions Albin Michel Jeunesse, 20134

Les Super-héros détestent les artichauts, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2014.

L'ombre du Golem, (deux tirages simple et deluxe) Texte Eliette Abécassis Benjamin Lacombe,2017

 

Littérature adulte

Edgar Allan Poe, Les contes macabres, Édition Soleil, 2010.

Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Partie 1, Éditions Soleil, 2011.

Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Partie 2, Éditions Soleil, 2012.

Memories, Éditions Daniel Maghen, 2013.

Marie-Antoinette, Carnet secret d'une reine, Éditions Soleil, 2014.

Prosper Mérimée,Carmen,Éditions Soleil,2017.

Curiosités, Artbook Benjamin Lacombe,Éditions Daniel Maghen Eds,2017.

 

Bande dessinée

L'esprit du temps tome 1, Éditions Soleil, 2003.

L'esprit du temps tome 2, Éditions Soleil, 2005.

Léonard & Salaï tome 1, Éditions Soleil, 2014.

 

Illustration

Charles Perrault, Le maître chat, Éditions Hatier, 2003.

Pourquoi la carapace de la tortue n'est-elle plus lisse du tout ?, texte de Mimi Barthélémy, Seuil Jeunesse, 2006.

Raconte-moi encore un conte, collectif d'illustrateurs, Éditions Tourbillon, 2007.

Destins de chiens, texte de Sébastien Perez, Éditions Max Milo Jeunesse, 2007.

L'Enfant silence, texte de Cécile Roumiguière, Éditions Seuil Jeunesse, 2008.

La Grande journée du petit Lin-Yi, texte de Brenda Willams, traduit par Charlotte Fierens, Milan, 2009.

Il était une fois, Éditions, Seuil Jeunesse, 2010. Album pop up qui interprète les textes classiques suivants : Poucette, Pinocchio, Madame Butterfly, Le Petit Chaperon rouge, Alice au pays des merveilles, La Barbe bleue, La Belle au bois dormant, Peter Pan.

Jakob et Wilhelm Grimm, Blanche Neige, Milan, 2010.

Rossignol, texte de Sébastien Perez, Éditions Seuil Jeunesse, 2011.

À l'école des pages du Roy Soleil, texte d'Arthur Ténor, Tome 1 : « Sabotages en série à Versailles », Éditions Seuil Jeunesse, 2011.

Facéties de chats, texte de Sébastien Perez, Éditions Margot, 2015.

Curiosity House : The Shrunken Head, texte de Lauren Oliver et H.C. Chester, 2015.

Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles, Éditions Soleil, 2015.

Lewis Carroll, Alice de l'autre côtés du miroir, Éditions Soleil, 2016.

Frida, Éditions Albin Michel Jeunesse ,2016.

 

Auteur

Blues Bayou, illustrations de Daniela Cytryn, Milan Jeunesse Éditions, 2009.

Le Carnet Rouge, illustrations d'Agata Kawa, Seuil, 2010

 

 

Benjamin Lacombe

Benjamin Lacombe

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Au cœur de la folie Luca D’Andrea

Au cœur de la folie

Luca D’Andrea

 

L’auteur avec ce deuxième roman oscille habilement entre thrillers et fantastique dans les festivals de films on parlerait de cross-overs. Et on est vite pris par l’action, une action à couper  le souffle avec les  légendes Vulpendigen et des Kobolds en toile de fond. Vous découvrirez au fils des pages qui sont les voix que Simon Keller entend, lui dont la truie Lissy a donné le titre original du livre. Et ce trésor qui a plus de valeur que l’or quel peut-il être ?

 

Un huis clos en pleine montagne, fait aussi partie de l’originalité de l’œuvre, en effet si une partie de l’action est un huis clos, et que l’autre partie une chasse à l’homme en pleine nature dans la montagne hostile, je ne suis pas sûr que le fait que l’on ne soit pas plus dans le huis clos en étant dans l’hostilité montagnarde du sud-Tyrol.   

 

Le suspense est entretenu de mains de maitre par l’auteur et si « L’ESSENCE DU MAL » est déjà sur les RAI.ls (oui je sais c’est pourri le jeu de mots) de la production cinématographique, l’on ne devrait pas être étonné que ce deuxième roman suive la même voie dans un avenir proche.

 

Remerciement au service de presse Denoël  Sueurs Froides, pour le service de presses.  

 

Résumé de l’œuvre :

Après le succès international de L’Essence du mal, le nouveau thriller du petit génie du polar italien.

 

 

Italie, hiver 1974. Marlene a épousé Herr Wegener, l’homme le plus redouté de tout le Sud-Tyrol, pour  échapper à une vie de misère. Aujourd’hui pourtant, quelque chose a changé, et elle ne peut plus faire comme si de rien n’était. Elle sait que son mari ne lui pardonnera jamais cette trahison, mais elle décide néanmoins de le fuir après lui avoir dérobé un trésor immense, dont la valeur ne se compte pas en or.

 

Mais quand sa voiture dérape et quitte la route alors qu’elle tente de passer la frontière, Simon Keller la sauve et la recueille. Simon Keller est un Bau’r, un paysan qui vit dans une ferme perdue dans les montagnes.

 

Pendant ce temps, Herr Wegener a lancé une chasse à l’homme, poussé par la colère mais aussi par les ennuis que le geste de sa femme lui a causés vis-à-vis du Consortium, une puissante organisation criminelle. Un personnage féroce et sanguinaire a été mis sur les traces de Marlene, qui ne s’arrêtera qu’une fois sa mission accomplie. La femme devra bientôt évaluer quelle menace est la plus dangereuse pour elle. Son mari, le tueur ou Simon Keller. Ou bien la mystérieuse Lissy.

 

Avec ce deuxième roman, Luca D’Andrea confirme son talent pour construire des intrigues terriblement angoissantes. Luca D’Andrea, né en 1979 à Bolzano dans la région du Trentin- Haut-Adige, est un romancier et scénariste italien. Son premier thriller, L’Essence du mal, a connu un succès retentissant, est en cours de traduction dans une trentaine de pays et va  donner lieu à une adaptation cinématographique.

 

« Dans ce premier thriller maîtrisé, Luca D’Andrea flirte subtilement avec le fantastique et joue avec les nerfs du lecteur de son écriture nerveuse, fluide et non dénuée d’humour. Pas étonnant que ce livre  soit devenu un best-seller en Italie. » Le Monde des livres, à propos de L’Essence du mal.

 

 

Traduit de l’italien

par Anaïs Bouteille-Bokobza

Format : 155 x 225 mm

Nombre de pages : 448

ISBN : 978.2.207.14141.0

Prix : 21,90 €

 

Biographie et bibliographie de l’auteur :

Luca D'Andrea, né en 1979 à Bolzano dans la région du Trentin-Haut-Adige, est un romancier et scénariste italien.

 

En 2013, il est scénariste pour la série documentaire Mountain Heroes produite par Discovery Channel.

 

En 2016, il écrit son premier roman, le thriller L'Essence du mal (La sostanza del male) qui a pour cadre l'Italie, le Tyrol du Sud et le massif des Dolomites.

 

Ce livre est traduit en France l'année suivante dans la collection Sueurs froides.

 

En 2017, il remporte le prix Scerbanenco avec son second roman, Lissy (Au cœur de la folie).

 

Il est également l'auteur de la série de littérature d'enfance et de jeunesse Wunderkind

 

Romans

La sostanza del male (2016)

Publié en français sous le titre L'Essence du mal, traduction d’Anaïs Bouteille-Bokobza, Paris, Denoël, coll. « Sueurs froides », 2017 ; Réédition, Gallimard, coll. « Folio policier » no 866, 2018

 

Lissy (2017)

Publié en français sous le titre Au cœur de la folie, traduction d’Anaïs Bouteille-Bokobza, Paris, Denoël, coll. « Sueurs froides », 2018.

 

Beneath the Mountain (2018)

 

Littérature d'enfance et de jeunesse

Série Wunderkind

Una lucida moneta d'argento (2009)

La rosa e i tre chiodi (2010)

Il regno che verrà (2012)

 

Prix et distinctions

Prix Scerbanenco 2017 pour Lissy.

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