Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Site sur la Science-fiction et le Fantastique

<< < 10 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 > >>

Articles avec #livres

Danse avec le taureau

 

 

 Danse avec le taureau

 

Serial killer aux fêtes de Bayonne

Ward Philippe

 Collection Zones Noires

 Éditions Wartberg

 

 

Le 17 septembre 2015 en librairie

 

Philippe Ward

 

À propos de Danse avec le taureau :

 

« Ce roman, je le porte en moi depuis que, tout jeune, j’ai découvert les gravures de taureaux sur les parois de la grotte de Niaux. J'ai toujours été fasciné et impressionné par la puissance qui se dégage de ces bêtes. Danse avec le taureau est un hommage à cet animal. Et bien entendu, la corrida s’est imposée à moi. Bien que je ne sois pas du tout un aficionado, je n’ai d'ailleurs jamais assisté à une corrida, j’ai eu envie d'aborder ce sujet explosif. Je me suis rendu compte qu'entre les pros et les anti le dialogue est devenu presque impossible. Dans ce roman, je ne prend pas parti mais j'ai voulu montrer justement cet antagonisme, cette passion qui anime les deux parties. J’ai situé l'intrigue au Pays Basque, d’abord parce que c’est un pays de corrida, puis et surtout parce que je suis amoureux de cette région, de ses villes, de ses villages, de sa cuisine, de son histoire, de sa géographie. J’ai aussi voulu une héroïne plutôt qu'un héros, je sentais qu’une femme basque était le personnage idéal.

 

L’Euzkadi et moi, c’est une longue histoire d’amour. Cela remonte à si longtemps que je ne m’en souviens pas. Mais tous les ans, je vais m’y ressourcer. J’ai besoin de ces instants magiques. Je ne suis pourtant pas basque, mais je suis un pyrénéen et le Pays Basque c’est aussi les Pyrénées. J'aime écrire en musique. Pour ce roman, le rock basque a été omniprésent et en a rythmé toute l'écriture, en particulier le groupe Akelarre dont je suis un inconditionnel. Mais aussi Betagari, Sustraia, Kenzapi, Itoiz ou des chanteurs comme Anje Duhalde, Niko Etxart, Firmin Muguruza. »

 

Le directeur d’une revue taurine est retrouvé assassiné d’un coup d’épée dans la nuque, nu, une marque étrange dans le dos. Puis, c’est au tour d’un agent de toréros de subir le même sort, suivi par un surfeur, un dirigeant de club de rugby et un homme politique. À quinze jours des Fêtes de Bayonne, qui attirent plus d’un million de festayres, la justice fait appel à Amaia Aguerre, une enfant du pays, mais surtout la première profiler française pour arrêter le massacre. S'engage alors une course effrénée contre la mort pour éviter que le serial killer ne frappe une nouvelle fois comme il l’a annoncé sur les murs des arènes de Bayonne. Elle va devoir rassembler tous ses talents pour décrypter au plus vite le profil psychologique du meurtrier car, à première vue, aucun lien ne semble exister entre ces cinq victimes. Et pour couronner le tout, elle va se retrouver confrontée à la guerre que se livre les aficionados et les anti-corridas et à Bayonne c'est un sujet avec lequel on ne plaisante pas…

 

 

DANSE AVEC LE TAUREAU

 

Serial Killer aux Fêtes de Bayonnede Philippe Ward

 

DANSE AVEC LE TAUREAU (éditions Wartberg) – Collection Zones Noires . 12 x 20 cm . 168 pages . 10,90 €

 

Philipe Ward

 

Né à Bordeaux, Philippe Ward vit depuis 32 ans en Ariège. En duo, Sylvie Miller et Philippe Ward sont devenus l'un des rares couples de la littérature de l'imaginaire français. Après une vingtaine de nouvelles et un roman, Le Chant de Montségur, ils publient aux éditions Critic les aventures d'un privé, Jean-Philippe Lasser dans une étonnante Égypte uchronique. En solo, Philippe Ward a écrit Artahe ou Mascarades. Meurtre à Aimé Giral et Dans l'antre des dragons.

 

 

Communiqué de presse

 

 

Voir les commentaires

Planète des ombres Christophe  Lartas

Planète des ombres

Christophe  Lartas

Editions de L’Abat-Jour

                                                                                                       

L’auteur accentue le coté cauchemardesque et post-apocalyptique, qui avait déjà marqué ces précédents ouvrages et plus particulièrement « Saturne ». il s’agit d’une livre d’horreur fantastique et de SF, qui comme souvent  chez les auteurs post-apocalyptique est une étude de l’âme humaine, la fin présentant un côté mystique indéniable.

 

Planète des Ombres, est divisée en trois parties : l’Extermination des homos sapiens sapiens (environ 100 pages), Ombres et poussière (environ 100 pages, La Mort (une quinzaine)  L’écriture est énergique, ce côté est renforcé  par des chapitres courts, parfois de 2 ou trois pages, ce qui rend l’écriture fluide.

 

Cet ouvrage confirme et amplifie tout le bien que l’on pensait de Christophe Lartas et le place dans la listes des grands auteurs  français et étranger de la littérature de l’imaginaire, à l’avenir ces ouvrages devraient faire le buzz.

 

A ne pas mettre en toutes les mains (-18 ans)

 

 

Format papier - 16 euros Format numérique - 5  euros

Roman fantastique, 244 pages

 ISBN : 979-10-90106-21-5

 

Biographie et informations

 

Nationalité : France

 Né(e) à : Martigues, le  26/11/1966

 

 

Biographie :

 

 Christophe Lartas est né le 26 novembre 1966 à Martigues, et vit aujourd'hui dans le Finistère, en Bretagne. Il est notamment l'auteur d'un recueil de textes et de poèmes en prose, Des gens de néant (extraits parus dans les revues NRF, Verso et Multiples), d'un récit paru chez La Clef d'Argent, Saturne, d'un recueil de nouvelles, Satanachias, et d'un recueil de poèmes en prose, Howard Phillips Lovecraft bloc d'éternité, parus également chez La Clef d'Argent.

Planète des ombres Christophe  Lartas

Voir les commentaires

Quelques couvertures

Quelques couvertures

Midi-Minuit Fantastique 

L'intégrale, vol. 2

 

Les afficionados du cinéma fantastique des années 1962 – 70 seront heureux d’apprendre que dans les semaines qui viennent paraitra au Editions Rouge. Fondée en 1962 par Michel Caen, Alain Le Bris, Jean-Claude Romer et Jean Boullet, sa parution cessa en 1971.

 

Ce volume inclus le mythique« Érotisme et épouvante dans le cinéma anglais »   no 8, janvier 1964.   

 

Avec ce volume, comme avec le premier, les plus anciens pourront retrouvez avec nostalgie et plaisir les films de leurs enfances, les plus jeunes découvrir ce qui fut le cinéma fantastique avant leurs naissance, et tous apprécier les compléments dans le DVD inclus, avec des courts métrages introuvables ailleurs.

 

Vous le retrouverez en librairie le sera en librairie le 20 octobre, mais je ne serais trop vous conseillez de le commander à votre libraire préférer dès maintenant, ou de le commander directement aux éditions Rouge Profond, 18 rue Granet 13100 Aix-en-Provence à partir de la fin septembre.

 

Deux autres volumes sont prévu : Volume 3 : octobre 2016, Volume 4 et volume d'index : octobre 2017

 

> Auteurs :Michel Caen & Nicolas Stanzick

 

 

 > Date de parution : octobre 2015

 

Résumé

 

Mai 1962. Les kiosques à journaux affichent la photo saisissante d’un loup-garou aux prises avec une voluptueuse jeune femme. En lettres noires et rouge sang brille pour la première fois un nom appelé à la postérité : Midi-Minuit Fantastique. Tout au long des années 1960, ces trois mots magiques résonnent comme la plus intense des promesses…

 

Fondée par Michel Caen, Alain Le Bris, Jean-Claude Romer et Jean Boullet, la toute première revue européenne consacrée au cinéma de genre ne se contente pas de défricher un domaine alors méconnu et méprisé. En dix ans d’existence et vingt-quatre numéros, MMF s’impose comme une publication à la fois ludique et exigeante, foisonnante et avant-gardiste. En un mot : culte. Sa rédaction fédère de brillants spécialistes : Francis Lacassin, Yves Boisset, Bertrand Tavernier… De prestigieuses plumes d’horizons divers s’invitent ponctuellement dans ses colonnes : Philippe Druillet, Domenico Paolella, Robert Hossein, Vincent Price… Le ton est libertaire, les racines populaires, l’inspiration surréaliste. L’iconographie de sexe et de sang, éminemment évocatrice. Un seul credo : le fantastique est l’autre nom de l’érotisme. MMF saisit en temps réel un âge d’or du 7e art et accouche d’une subversive « politique des horreurs ». La Hammer, le gothique italien, l’épouvante américaine sont à l’honneur. Dracula et Peeping Tom deviennent les héros noirs d’une contre-culture qui annonce mai 1968 et la libération sexuelle. Cinéma bis, cinéma d’auteur, underground, littérature et BD s’entremêlent dans un enthousiasmant maelström pop…

 

Ce deuxième volume, dirigé par Michel Caen (qui nous a quittés le 15 décembre 2014) et Nicolas Stanzick, préfacé par Barbara Steele, regroupe les numéros 7 à 11 de la revue, dont l’introuvable n°8 « Érotisme et épouvante dans le cinéma anglais ». Enrichi de photos et textes inédits, il comporte aussi le DVD Les Cauchemars de Midi-Minuit – une sélection de cinq courts métrages réalisés par des proches de la revue. Manière de fêter comme il se doit la renaissance d’une revue devenue littéralement mythique.

 

 DVD produit par Soft Prod :

 

Cinq courts métrages : Fantasmagorie de Patrice Molinard, avec Édith Scob (40 mn – 1963) ; La Prima donna de Philippe Lifchitz, avec Nelly Kaplan (10 mn – 1964) ; Vampirisme de Bernard Chaouat et Patrice Duvic, avec Michel Beaune (13 mn – 1967) ; Satan bouche un coin de Jean-Pierre Bouyxou et Raphaël-G. Marongiu, avec Pierre Molinier (10 mn – 1968) ; La Fée sanguinaire de Roland Lethem, avec To Katinaki (24 mn – 1968).

 

Cinq bonus : Fantasmagorie, un rêve de cinéma d’Erwan Le Gac et Nicolas Stanzick (20 mn – 2015) ; Dracula n’est jamais vaincu de Patrice Molinard (2 mn – 1962) ; Fantasmagorie : scène coupée (1 mn – 1963) ; Les Midi-Minuistes font du cinéma d’Erwan Le Gac et Nicolas Stanzick (15 mn – 2015) ; présentations de Nicolas Stanzick (12 mn – 2015).

 

•215 x 265 mm ; •cartonné, relié •752 pages  •800 images noir & blanc et couleur •DVD 147 mn (multizone) •60 € (plus 5 euro de port, France Métropolitaine), •ISBN 978-2-915083-62-0

Voir les commentaires

Illustration  Philippe  LEMAIRE

Illustration Philippe LEMAIRE

 

Radu Dracula

Philippe Lemaire

4 : Jésus, fils de David, aie pitié de moi !

 

4eme opus, de la saga commencé à 4 mains avec Philippe Ward.  L’auteur continu de renouveler le mythe des vampires, et plus particulièrement de celui créer par l'écrivain irlandais Bram Stoker.

 

Traversant les siècles, du 15 eme au 20eme, le mort-vivant poursuit sa quête et son combat pour retrouver le gardien du Saint Graal.

Arriveras-t-il à finir  par voir aboutir ca quête ?

Vous le découvrirez en lisant ce dernier opus.

 

Bram Stoker, n’es pas du tout trahi, bien au contraire, l’ensemble de la saga respect l’œuvre originale, tout en y faisant preuve d’indépendance, à la fois inventif et bien construit, on prend plaisir à lire cette œuvre, des passages plus sombre, d’autre plus à la Dan Brown.

 

Si vous découvrez cette saga avec cet opus, il vous faut, vraiment, lire les 3 premiers tomes.

  

Résumé du livre

 

 La Princesse repoussa de ses bras frêles la lourde dalle de béton et s'extirpa hors du compartiment inoccupé du caveau. Elle épousseta son antique robe de velours pourpre avant de remettre la dalle en place et sortit de la chapelle funéraire. Un brouillard épais avait envahi le cimetière d'Highgate en ce début de nuit, lui conférant une touche fantastique qui ravit la non-morte.

 

Quand Radu Dracula meurt en Octobre 1476, il ne sait pas que sa vie ne fait que commencer. Le Diable lui confie une quête qui justifie sa condition de non-mort.

 

 Dans ce quatrième Opus, Radu Dracula revient dans son pays après son séjour aux Amériques en 1494. Une nouvelle piste s'ouvre à lui, celle du gardien du Graal : Judas L'Iscariot. Mais celui-ci, lui glisse entre les mains chaque fois que Radu croit le retrouver. La confrontation aura lieu de nos jours dans le cimetière d'Highgate à Londres. Car l'arrivée de Maria a réveillé les vampires anglais. Mais Torquemada a décidé d'être présent.

 

 Après… Prenez et buvez, ceci est mon sang, Que cette coupe s'éloigne de moi et L'un de vous me livrera !, Philippe Lemaire continue à réécrire le mythe du vampire et sa quête du Graal. Une nouvelle vision de Dracula.

 

Philippe Lemaire

 Noire 78. Radu Dracula 4: Jesus, Fils de David, aie pitié de moi!

 ISBN-13: 978-1-61227-448-5

 212 pages

 

Bibliographie sommaire

 

Auteur :

...Que cette coupe s'éloigne de moi! (2012)

Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! (2015)

L'Un de vous me livrera ! (2013)

Chronique Manna-hata , 2015 (Nouvelle)

 

  Illustrateur   

...Ceci est mon sang! (de Philippe WARD) (2011)

...Que cette coupe s'éloigne de moi! (2012)

16, rue du Repos (de Philippe WARD) (2009)

Confession d'un Vampire (de Philippe WARD) (2009)

Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! (2015)

L'Un de vous me livrera ! (2013)

Les Vestiges de l'Aube (de David S. KHARA) (2010)

 SIRE CÉDRIC, Nécrophage , 1999 (Nouvelle)

Voir les commentaires

Illustration YOZ

Illustration YOZ

Dimension New York 1

 

Philippe Ward, nous présente une anthologie en deux volumes sur New York, cela n’étonnera pas ceux qui suive ce site régulièrement, dans un précèdent article nous avions en effet parlé de son livre « Manhattan Gost »  avec Michael Laguerre  pour les photos (voir lien ci-dessous).

 

Dans ce fort volume de 564 pages Philippe  Ward, nous présente une grande variété de nouvelles sur la ville à  la grosse pomme.

 

Les auteurs ont répondu largement à l’appel qui leur était lancé, pour cette anthologie, au point que deux volumes sont prévu malgré les 564 pages du premier tome.

 

Les thèmes sont très variés, mais nous n’éduquerons pas ceux-ci pour vous laisser le plaisir de la découverte.

 

Quoi d’étonnant que les auteurs de SF ce soit inspiré de cette ville, et pas que en littérature, au cinéma avec  celui de Fritz Lang.   Les comics aussi on prie pour décor New York : le Gotham de Batam, le Métropolis de Superman (surement inspiré par Fritz Lang, bien que le Métropolis de Superman soit plus « lumineux » que le côté « glauque » de Batman, qui correspond plus à Lang).

 

 Liste des auteurs :

Anthologie de nouvelles présentée par Philippe Ward.

 

 Textes de Robert Barr, Luce Basseterre, Daphnis Olivier Boelens, Eric Boissau, Fabien Clavel, Cathy Coopman, David Criscuolo, Francois Darnaudet, Romain Dasnoy, Olivier Deparis, Anne Escaffit, Michael Espinosa, Roger Facon, Alize Gabaude, Rémy Guyard, Vincent Jounieaux, Philippe Lemaire, Meddy Ligner, Jean-Marc Lofficier, Pascal Malosse, Jean Mazarin, Patrick Planès, Arnauld Pontier, Catherine Rabier, Chantal Robillard, Pierre-A. Sicart, Christian Surieux et Maxime Tedesco.

Traductions de Jean-Daniel Brèque.

 

Présentation :

"Dès l'aérogare, j'ai senti le choc," chantait Claude Nougaro dans Nougayork.

 

 Ce choc je l'ai ressenti le jeudi 30 Décembre 2010. Après plus de 15 heures de trajet, voiture, aéroport, avion, aéroport, avion, métro, j'étais là à la sortie du métro de New York, et je regardais comme un idiot, les yeux levés au ciel, l'immeuble du New York Times; tout autour de moi des new-yorkais passaient sans me voir, et sans voir les buildings. Là, j'ai eu le choc de ma vie. Je suis tombé amoureux direct de la ville qui ne dort jamais.

 

 Le temps de déposer la valise à l'hôtel, je marchais la bouche bée dans Times Square; dans mes oreilles passaient toutes les chansons sur New York; devant mes yeux défilaient les séries télé et les films se déroulant dans la ville. En moins d'une heure, j'étais tombé amoureux de New York. Pourtant, j'aimais les vieilles villes, Le Caire, Rome, Madrid, Paris, Alexandrie, les villes avec une histoire, avec l'Histoire. Alors en marchant dans Times Square en ce 30 décembre, au milieu de la foule, du bruit, des lumières, je n'étais pas à ma place et pourtant... Oui pourtant j'étais sous le charme comme un amoureux. Et puis le lendemain, il y a eu la 5ème avenue, la traversée du pont de Brooklyn, Central Park, les promenades au hasard dans les rues...

 

 Vous tenez dans la main le premier tome de ce Dimension New York. Je ne vous dévoilerai pas les sujets; je vous en laisse la surprise, car je veux que vous les découvriez comme j'ai moi-même découvert New York. Vous allez découvrir non pas UN New York, mais DES New York, car New York n'est pas unique... à chacun sa vision de cette ville.

 

TABLE DES MATIERES:

 Préface de Philippe Ward

 Daphnis Olivier Boelens : Entrailles

 Philippe Lemaire : Chronique Manna-hata

 Patrick Planès : Brisants New-Yorkais

 Francois Darnaudet : Retour à Sleepy Hollow

 Estelle Faye : Gardens in the Desert

 Fabien Clavel : Rome n'est plus dans Rome

 Romain Dasnoy : Un Télégramme pour Manhattan

 Chantal Robillard : Ex

 Jean-Marc Lofficier : Sibilla à Tribeca

 Alize Gabaude : Grace

 Roger Facon : Les Visages Voilés de Ténèbres

 Olivier Deparis : Conditionnés pour survivre

 Meddy Ligner : Quand King Kong débarqua à New York

 Anne Escaffit : Mon New York, Ta Lumière

 Vincent Jounieaux : Mini York

 Luce Basseterre : Ceux qui sont restés

 Pascal Malosse : Nocturnes

 Jean Mazarin : Adieu, Général...

 Maxime Tedesco : Les Rêveurs de Brooklyn Island

 Arnauld Pontier : Liberty Island

 Eric Boissau : Des Vers dans la Pomme

 David Criscuolo : Station Fantôme

 Catherine Rabier : Skyline

 Christian Surieux : NY Velvet

 Robert Barr : Le Sorcier de Wall Street

 Robert Barr : Opération Boursière

 Pierre-A. Sicart : 25¢

Cathy Coopman : La Dogwalkeuse

 Michael Espinosa : Les Invisibles

 Rémy Guyard : Parce que la nuit...

 

Rivière Blanche, Fusée 39. Dimension New York 1, ISBN-13: 978-1-61227-452-2

Voir les commentaires

finalistes du Prix Rosny Aîné 2015

Les finalistes

du Prix Rosny Aîné 2015

 

 

Les finalistes du prix Rosny Aîné pour l’édition 2015 ont été dévoilés. Pour rappel, ce prix du public récompense des œuvres de science-fiction francophone à travers deux catégories, romans et nouvelles.

 

Le vote pour le deuxième tour se déroulera comme d’habitude à la 42e  convention nationale française de science-fiction du 20 au 23 août à Valayan (84).

 

Romans

•Ayerdhal : Bastards (Au diable Vauvert)

•Dominique Douay : Car les temps changent (Les Moutons électriques)

•Estelle Faye : Un éclat de givre (Les Moutons électriques)

•Raphaël Granier de Cassagnac : Thinking Eternity (Mnémos)

•Laurent Genefort : Les Vaisseaux d’Omale (Denoël)

•Bernard Henninger : Impulsion (Asgard)

•Antoine Volodine : Terminus Radieux (Le Seuil)

 

Nouvelles

•Lionel Davoust : La Route de la Conquête (La Route de la Conquête, Critic)

•Sylvie Denis : Le Court roman de la momie (Utopiales 2014, ActuSF)

•Dominique Douay : Pas de deux sur la planète des ombres (Utopiales 2014, ActuSF)

•Sylvie Lainé : L’Opéra de Shaya (L’Opéra de Shaya, ActuSF)

•Martin Lessard : Vingt fois sur l’émotion remettez votre ouvrage (Galaxies n°27)

Voir les commentaires

Eternum Le Sarcophage Christophe Bec Jaouen Casterman

Eternum Le Sarcophage

Christophe Bec Jaouen

Casterman

 

Le sarcophage, est le premier volume d’une histoire en 3 parties. Publier chez Casterman, cette histoire est prenante dès les premières cases, bien construite, et superbement illustrés, l’histoire commence dans une lune éloignée de la Terre en l’an 2297.

 Histoire de SF, mais pas seulement, un coté mystique apparait dès les premières pages, il se renforce encore plus à la fin de ce tome.

 

On attend la suite avec impatience.

 

L’auteur Christophe Bec, n’est surement pas un inconnu pour beaucoup d’entre vous, vous trouverez à la fin de cet article sa biobibliographie.

 

Je ne serais que trop vous en recommander la lecture.

 

 

Auteurs :  Christophe Bec,   Jaouen  

Tome : 1,Pages : 48,Prix : 13,50 €.

 

résumé:

2297. L’Homme a envahi et colonisé la majeure partie de notre galaxie.

 

Aux confins de la Voie Lactée, une équipe d'excavateurs découvre un mystérieux sarcophage enfoui dans les entrailles d’une planète aride.

 

Sur Terre, les astronomes d’un observatoire d’Amérique du Sud repèrent un mystérieux rayon cosmique, apparu soudainement depuis le Nuage de Magellan, une galaxie mineure en orbite autour de la nôtre.

 

Peu de temps après, la base lunaire rompt tout contact avec la Terre. Une équipe de scientifiques et de militaires est envoyée sur place, elle découvre un spectacle apocalyptique. Les hommes et femmes se sont entretués.

 

Le Consortium qui exploite les ressources minières des planètes décide de ramener sur Terre l’étrange sarcophage afin de l’étudier et d’en percer les secrets.

 

Que renferme-t-il ? Est-ce un vestige d’une civilisation extraterrestre ?

 

 

Detail produit

ISBN : 2203086033

EAN : 9782203086036

Dimensions : 24.1x32.1x1 cm

 

 

Biographie de Christophe Bec

 

Il est à la fois dessinateur et scénariste. Professionnel de la bande dessinée depuis une vingtaine d’années, il affiche une copieuse bibliographie conjuguant les séries (Zéro absolu avec Marazano, Sanctuaire avec Xavier Dorison, Carthago avec Éric Henninnot, Prométhée avec divers dessinateurs) et les one shot, comme Anna avec Stéphane Betbeder. Le diptyque Death Mountains a concrétisé sa première contribution au catalogue Casterman. Il vit à Albi.

 

1969 : Naissance le 24 août de Christophe Bec à Rodez. Ses parents travaillant pour la coopération, il vit ses premiers mois au Maroc. Le petit Christophe passera le reste de son enfance dans un village aveyronnais. C'est là qu'il apprendra à lire, dans un recueil du Journal de Tintin. Et, déjà, le premier choc avec la BD : L'Extraordinaire odyssée de Corentin, de Paul Cuvelier. Et bien sûr les aventures de Tintin.

 

 1979 : Sa vocation se révèle à l'âge de 10 ans. Malade, il passe quinze jours cloué au lit chez ses grands-parents, où il trouve au fond d'un placard une pile de vieux Astérix. Suivront les années d'apprentissage en autodidacte, la création de petits fanzines tirés à dix exemplaires, un premier album publié par un petit éditeur local.

 

 1989 : Création du journal "Esquisse", qui sera nominé pour l'Alph'art 1990 du meilleur fanzine à Angoulême.

 

 1990 : Christophe Bec entre à l'École de bande dessinée d'Angoulême. La rencontre avec d'autres jeunes auteurs sera déterminante et se concrétisera un an plus tard avec la publication d'un album historique intitulé "La Bête du Gévaudan".

 

 Peu après, Christophe signe son premier contrat professionnel aux Éditions Soleil.

 

 1997 : Il publie le premier tome de la série "Zéro Absolu", sur un scénario de Richard Marazano.

 2001 : Avec Xavier Dorison au scénario, il lance aux Humanoïdes Associés la série "Sanctuaire".

 2002 : Sortie du tome 2 de Sanctuaire, les couleurs de la série sont réalisées par l'un des meilleurs coloristes américain : Homer Reyes.

 

 2003 : Il crée "Processus" son site internet officiel : www.bec-processus.com

.

 2004 : Sortie du tome 3 qui clôt la série Sanctuaire. Déjà un best- seller, l'album se classe parmi les meilleures ventes de livres et de BD, avec à ce jour, plus de 150 000 ventes. Ce troisième volume est nominé au Festival du Film Policier […]

 

 

Sa Bibliographie

 

 

Dragan  finie en 1993

Princesse Rouge  finie en 1995

Zéro absolu  finie de 1997 à 2000

 

 Hôtel particulier  One shot en 2000

 

 Sanctuaire  finie de 2001 à 2007

 

 Anna  One shot en 2004

 

Carême  finie de 2004 à 2009

 

Bunker  finie de 2006 à 2012

 

Temps des loups (Le)  finie de 2006 à 2012

 

Carthago  en cours  de 2007 à 2014

 

Pandemonium (Bec - Raffaele)  finie de 2007 à 2012

 

Deus  abandonnée en 2008

 

Fontainebleau  One shot en 2008

 

Hanté (soleil)  en cours  en 2008

 

Prométhée  finie de 2008 à 2015

 

Sarah  finie de 2008 à 2014

 

Redemption  abandonnée en 2009

 

Ténèbres (Soleil)  en cours  de 2009 à 2013

 

Casse (Le)  finie en 2010

 

Under  finie de 2010 à 2011

 

Wadlow  One shot en 2010

 

Carthago Adventures  en cours  de 2011 à 2015

 

Doppelgänger  finie en 2011

 

Royal Aubrac  finie de 2011 à 2012

 

Meilleur Job du monde (le)  finie de 2012 à 2015

 

Aéropostale (L') - Des pilotes de légende  en cours  de 2013 à 2014

 

Death Mountains  finie en 2013

 

Fils de la perdition (Le)  One shot en 2013

 

Lancaster  en cours  de 2013 à 2014

 

Monde perdu (Le)  en cours  de 2013 à 2015

 

Montefiore (Les)  finie de 2013 à 2014

 

Deepwater Prison  en cours  en 2014

 

Filles de Soleil (Les  en cours  en 2014

 

Siberia 56  en cours  en 2014

 

Sunlight  One shot en 2014

 

Eternum  en cours  en 2015

 

Sanctuaire Genesis  en cours  en 2015

 

Sanctuaire Redux  finie en 2015

 

Bunker (en allemand)  en cours  de 2011 à 2012

 

Sanctum (Sanctuaire US)  finie

Voir les commentaires

Necronomi'Con Programme

 Necronomi'Con

Programme

 

La première convention Lovecraft France se prépare pour les 4 & 5 juillet prochain !

La première convention Lovecraft française dédiée à l'univers d'H. P. Lovecraft sous tous ses aspects s'annonce les 4 et 5 juillet 2015 à Lyon.

 

Auteurs, artisans, musiciens et autres spécialistes et amateurs du mythe de Cthulhu se retrouveront donc à la Maison Ravier pour de nombreuses animations :

Necronomi'Con Programme

SALON DU LIVRE :

 

- Librairie Trollune : Livres VF et VO -

Librairie Omerveilles : BD, Comics et Manga -

Les indés de l'imaginaire, éditeurs -

Editions Stellamaris -

Editions Le miroir aux nouvelles

 

► STANDS CRÉATEURS :

 

Produits D Rivets,

Xav' illustrations,

Kultur Rock Créations,

Pofesseur W.P,

L'Encre de Cthulhu,

Black Wings Jewelry,

Alfinor Kraft,

Emy Chaos Children,

Star Toys 83,

Le Fond du Chapo, Epsilon Vega

 

Exposition collective !

 

► ANIMATIONS :

- Astier Illustioniste ! -

Quizz ArtZone Chronicles

- Speedrun "They bleed Pixels"

 

 

Necronomi'Con Programme

► ESPACE JDR :

 

- 16 tables de jeu -

Editions Sans Détour

Necronomi'Con Programme
Necronomi'Con Programme

► PROJECTIONS :

 

- 2 séances de courts métrages 100% Univers Lovecraft -

Ciné-concert du film "Re-Animator" -

Des pause documentaires !

Necronomi'Con Programme
Necronomi'Con Programme

► TABLES RONDES :

 

- Traduire HP Lovecraft -

Adapter Lovecraft : cinéma & littérature -

Alone in the Dark : Infogrames et HP Lovecraft -

Construire une mythologie en littérature -

HP Lovecraft, l'homme -

Jouer avec le mythe : JDR & HP Lovecraft

Voir les commentaires

couverture: Mathieu Coudray

couverture: Mathieu Coudray

Présences D’Esprits

N° 83 printemps 2015

 

Le zine des mondes de l’imaginaire

Littérature .BD. Cinéma .

TV .Jeu. Illustration

 

Cette fois le fanzine que vous commencez à bien connaitre nous propose tout un dossier sur les Dragons.

Dossier de 15 pages très bien documenté.

 

Un entretien avec L.L. KLOETZER, chose pas si courante, suivi d’une analyse sous forme de chronologie de son œuvre par l’écrivain Léo Henri.

 

On y trouvera également la transcription de la table ronde de Jean Ray/Harris Dickson qui sait tenue aux 11e rencontres de l’imaginaire de sèvres en décembre 2014. 

 

La rubrique « Les veux fanzines » nous propose cette fois-ci les spins-of des revues phares

 

Côté graphisme vous trouverez un article et un entretien sur RUNE ÉDITIONS.

 

Les amateurs de nouvelles pourront ce délectez de celle de Laurent Dols « Enfer à classer ».

Sans oublier bien sur les rubriques :

Des nouvelles de la galaxie (News)

Lectures (Livres)

Graphisme (BD, illustrations)

Visons (ciné, DVD, télé, spectacles)

 

Voir les commentaires

A.Lice Auteure Entretien

A.Lice Auteure Entretien

 

Stéphane Dubois,

 

Votre pseudo vient-il du roman de Lewis Caroll ?

 

A.Lice,

En fait, non. Alice, c’est juste un prénom que j’affectionne pour de mystérieuses qualités esthétiques. C’est un peu mon prénom secret, celui que j’aurai aimé porter. Mais c’est aussi, par jeu, celui d’un de mes personnages : une Intelligence Artificielle créée il y a quelques années, devenue la biographe d’un dieu mystérieux à la mémoire défaillante, un certain Curtis… Celles et ceux qui lisent la Saison 2 de DG comprendront.

 

Mais ta question est double. Dans mon cas, un pseudo était de toute façon obligatoire.

 

 Mon employeur désapprouverait grandement que je sois l’auteure d’une saga érotique. Et c’est un euphémisme. Je garde donc tout secret ; même ma famille ne sait pas qui est A. Lice.

 

 

 

Stéphane Dubois,

Comment en êtes-vous venus à écrire des romans, quels ont été les ouvrages ou les auteurs qui vous ont marqué, influencé ?

 

 

A.Lice,

 Je ne sais pas, des fois je me pose la question. J’écris depuis toujours, je crois. Des nouvelles, des petits textes, des scénarii pour jeux de rôles, des délires personnels, des lettres… Les romans sont venus quand j’étais étudiante. J’ai commencé par une trilogie que j’ai mis cinq ans à terminer. Une œuvre de jeunesse que j’ai en partie désintégrée pour ne garder sous le coude que les quelques idées vraiment originales qu’elle contenait ; des petites graines qui une fois germées ont été diluées dans DG. Puis sont venus d’autres romans, plus « sérieux », et des nouvelles écrites juste pour le plaisir.

 

En parallèle, j’ai énormément lu. Mes premiers émois je m’en souviens très bien, c’était vers la fin du primaire, avec la découverte de la SF : Niourk de Stefan Wul et la bande dessinée Yoko Tsuno de Roger Leloup. Puis ont suivi tous les grands que vous imaginez, Dick, Asimov, Lovecraft, Silverberg, Tolkien… avec toujours cette fascination pour Dune de Franck Herbert, comme beaucoup j’imagine, et à travers Dune, tous les livres-univers.

 

Plus récemment, je citerai Greg Egan, Kim Stanley Robinson, Priest, Tim Powers, Banks, Guy Gavriel Kay, Card… Il y en a trop ! Et j’oublierai tous ceux dont l’étiquette est moins connotée SF, comme Albert Sanchez Piñol. Aujourd’hui je lis beaucoup moins de fictions, par manque de temps d’une part, et d’autre part parce que mes lectures récentes ont été décevantes. Je n’aime pas, par exemple, toute la fantasy adolescente et autres machins à base de vampires.

 

Je préfère écrire.

 

Stéphane Dubois,

Pourquoi avoir choisi de mêler : sexe, fantastique et science-fiction dans la même saga.

 

A.Lice,

Parce que j’ai toujours fait ça ! Je veux dire, mêler SF et fantastique. Dans DG, Alicia explique à Lolita que si la magie suivait les lois du monde réel, alors ce ne serait pas de la magie. Je pense pourtant exactement l’inverse : si la magie existait, alors elle aurait des lois, des règles, qui pourraient être étudiées selon des critères scientifiques, rationnels, et la magie deviendrait de la science. Il n’y a pas de différences fondamentales, ou sérieuses, entre SF et fantasy. De plus, toute technologie très en avance pourrait passer pour de la magie ; je crois que Clarke l’a dit, et c’est plus ou moins explicite dans le Mythe de Cthulhu. Les lecteurs découvriront certainement qu’Alicia se trompe. Voilà pour le premier mélange ; reste le sexe…

 

Pendant plusieurs années j’ai été occupée par certains projets personnels, années où j’ai relativement peu écrit. Par contre j’ai bourré mon ordi d’idées tordues ; de plus en plus adultes, dirons-nous. J’avais envie d’écrire un truc sexuel, quelque chose de puissant.

 

Puis il y a un déclic, je me suis dit que les gens étaient finalement peut-être prêts à lire quelque chose de différent, que c’était « le bon moment », et j’ai commencé à bosser sur DG.

 

Nos fantasmes dépendent de notre imaginaire, et comment mieux les nourrir qu’avec de l’imaginaire pur ?

 

De façon moins rhétorique, j’avais depuis toujours une idée très particulière sur les univers différents, une sorte d’analyse, pour faire ma pédante, comme quoi la cohérence interne est bien plus importante que la crédibilité. Je le pense de plus en plus, et je crois que pour les gens, c’est pareil.

 

Prenons Star Wars par exemple. Cet univers n’a aucune crédibilité (c’est mon avis), et pourtant ça fonctionne, parce que dans cet univers, ça reste cohérent.

 

Dans DG, et j’espère que les lecteurs en avançant le réaliseront, je me suis attachée à rendre cohérent un univers hyper-sexualisé, malgré son indéniable originalité.

 

Stéphane Dubois,

Combien de tome pensez-vous écrire sur DG ?

 

 A.Lice,

Difficile à dire. J’écris (lentement) le troisième volume. Il s’agit de gros livres ; je n’ai pas envie de me payer la tête des acheteurs. Dans mon esprit tordu, il est terminé, tout est clair, pratiquement déjà rédigé. Je me suis mis la pression à son sujet et je vais tout faire pour qu’il soit prêt pour Noël. Il en va de même pour le quatrième, même s’il est moins bien planifié. Je dirai qu’au final il y aura environ six volumes. Oui, c’est énorme. Je suis folle.

 

Stéphane Dubois,

Tu qualifierais de pornographique la saga ?

 

A.Lice,

Ah ! Ze question ! Ma position ne va pas faire l’unanimité, et tant mieux s’il y a débat. Je sais que la pornographie peut aussi être littéraire, ou la littérature pornographique, en théorie, mais je distingue le porno de l’érotisme. L’érotisme, pour moi, fait naître le désir ou l’entretient, par le biais de l’excitation. Et cette excitation est mentale. La pornographie serait plus directe, et donnerait à voir sans faire travailler l’imagination. En littérature, s’abstenir d’une pseudo-façade poétique et utiliser les mots pour ce qu’ils sont (une bloggeuse dit que je ne mâche pas mes mots) laisse toujours le lecteur ou la lectrice imaginer et concevoir la scène. Tout est dans votre tête. Mais j’ai peut-être tort ; je l’accepte sans problème. Ce que je ne voudrais pas, c’est voir le mot porno plaqué sur mes livres avec tout le cortège d’a priori négatifs que cette étiquette implique de médiocrité. La Saga DG parle des fantasmes, du désir et du plaisir. C’est ça qui compte vraiment : le plaisir de lire. J’ai déjà quelques retours très positifs de la part de lecteurs des deux sexes. Certains adhèrent au ton particulier de la saga, une oscillation permanente entre le premier et le second degré, entre l’humour et le sérieux. Visiblement, une fois mon érotisme particulier accepté, c’est l’histoire racontée qui devient prépondérante.

 

 

Stéphane Dubois,

Les hommes n’ont pas le beau rôle dans ta saga, tu qualifierais de « féministe » ton œuvre, ou carrément de gynarchique ?

 

A.Lice,

Je ne cherche pas à faire une œuvre féministe.

 

Il n’y a aucun message dans DG, juste de l’aventure et du sexe (ce qui revient au même, finalement). Les hommes sont minoritaires au début, parce qu’il faut bien commencer par quelque chose. Mais certains ont un rôle plus qu’important. Pour utiliser un terme geek, le personnage le plus « puissant » de la saga est bel et bien un homme, le fameux Curtis. Et si les femmes sont à l’honneur, et les sexualités féminines aussi, c’est bien parce qu’il s’agit avant tout de l’histoire des Dangerous Girls, pas de celle d’éventuels Dangerous Boys (des BG ?).

 

 

Stéphane Dubois,

En dehors de DG, tu as d’autres projets ?

 

A.Lice,

Oui. Mon roman le plus abouti est en révision pour une édition sur Kindle. Mais il est énorme et comme je n’ai le temps d’écrire que le dimanche ou pendant mes congés, ça avance doucement. Faut aussi que je change son titre, il parait que c’est invendable en l’état. J’ai aussi tout un tas d’idées que je n’ai ni le temps ni les besoins narratifs d’inclure dans DG ; alors je pense à un recueil de nouvelles dans l’univers de la saga. En parallèle, j’écris aussi une encyclopédie sur DG ; on verra bien s’il y a de la demande, un jour. Mais là, tout de suite, je cherche surtout à faire connaître la saga. D’où l’appel à contribution : si vous avez aimé, parlez-en autour de vous, sur facebook, dans la rue, au lit, partout !

 

  

 

Bibliographie :

actuellement deux livres, en exclusivité sur la boutique Kindle d’Amazon.

 

DG Saison 1 Le tombeau de Rose

 

DG Saison 2 La fin de l’innocence

Voir les commentaires

       Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Site sur toute la culture des genres de l'imaginaire: BD, Cinéma, Livre, Jeux, Théâtre. Présent dans les principaux festivals de film fantastique e de science-fiction, salons et conventions.

Pages

Archives

Hébergé par Overblog