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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #romans

Voyage en terre très très lointaine

 

Moi et ma super bande,

Voyage en terre

très très lointaine.

 

Si vous êtes à la recherche d’un livre pour votre enfant de 7 à 11 ans, et à l’approche des fêtes de fin d’année, alors il faut lui offrir « Voyage en terre très très lointaine » de la série des « Moi et ma super bande ».

 

La bande part au pays des Rennes, des Lutins et bien sûr du père Noël avec leur professeur.

 

Un roman pour la jeunesse de 120 pages, très bien illustrée par Zelda Zonk.

 

En plus de rêver, l’ouvrage applique (que l’on soit pour ou contre peu importe) l’orthographe rectifier qui fait désormais référence dans les programmes scolaires, cela permettra à votre enfant de ne pas faire de « fotes » (enfin un peu moins) ce qui est bien sûr un plus pour les parents qui sont attentifs à l’instruction de leurs enfants.

 

Donc je recommande aux papas et mamans « Noel » de la mettre dans la chaussette près de la cheminée.

 

Mais à cet âge il croit encore au père Noël, enfin il croit que s’ils disent qu’ils y croient plus ils auront peut-être pas de cadeaux, alors…

 

 

 

 

 

La super bande en sortie scolaire ! Un roman illustré pour les enfants de 7 à 11 ans, facile à lire tout seul et à comprendre. Une histoire rythmée et passionnante qui donne vraiment envie de lire.

 

L'histoire : Le maître d'Ella et de ses copains a organisé une sortie scolaire. Au programme : visite du musée et du zoo de la ville. Sauf que rien ne se passe comme prévu. Le maître oublie son sac, Paulo veut absolument sauver le petit cochon qui se réfugiait dedans (si, si), Ella se coince le pied dans le siège du bus, Hanna confond un moineau avec un léopard et chacun trouve un cadeau surprise dans ses pâtes à la bolognaise. Tout ça n'a aucun sens ? Normal, il s'agit d'Ella et de sa bande !

 

 Un roman humoristique pour les enfants de 7 à 11 ans.

 

Auteur : T. Parvela

Illustrateur : Z. Zonk

Traducteur : J. Kuningas

 

9,95 €

120 Pages

Disponible

Parution : juin 2016

ISBN : 978-2-09-255965-9

 

Disponible également en numérique

7,99 €

Collection : Premiers romans

Série : Moi et ma super bande

 

 

Biographie et bibliographie des auteurs:

Timo Johannes Parvela

En 1983, Timo Parvela obtient son baccalauréat. En 1988, il reçoit son bachelor en sciences de l'éducation de l'université de Jyväskylä. De 1988 à 1990 il est directeur de l'école élementaire de Tupamäki à Petäjävesi et de 1990 à 1991 il est professeur de l'école primaire de Tyyppälä dans la municipalité rurale de Jyväskylä. De 1992 à 1996, il enseigne à l'école primaire d'Aarnivalkea (fi) d'Espoo. Depuis 1996, Timo Parvela est écrivain indépendant.

 

Ouvrages

(fi) Poika, Helsinki, Tammi, 1989 (ISBN 951-30-9154-6)

(fi) Puhuva koira, Helsinki, Tammi, 1990 (ISBN 951-30-9519-3)

(fi) Pelkotiloja, Helsinki, Tammi, 1992

(fi) Pikkuveljet ja taika-avain, Helsinki, Tammi, 1993 (ISBN 951-31-0244-0)

(fi) Ohutta yläpilveä, Helsinki, Tammi, 1994 (ISBN 951-31-0452-4)

(fi) Isäni on supermies, Helsinki, Tammi, 1996 (ISBN 951-31-0837-6)

(fi) Ansa ja Oiva, Porvoo, Helsinki, Juva, WSOY, 1999 (ISBN 951-0-23494-X)

(fi) Outo juttu, Helsinki, Tammi, 2000 (ISBN 951-31-1756-1)

(fi) Ansa ja Oiva suurkaupungissa, Helsinki, WSOY, 2000 (ISBN 951-0-24894-0)

(fi) Sanoo isä, Helsinki, Tammi, 2001

(fi) Mitä siihen sanot, isä?, Helsinki, Tammi, 2002 (ISBN 951-31-2554-8)

(fi) Keinulauta, Helsinki, WSOY, 2006

(fi) Taron suuri pieni seikkailu, Helsinki, WSOY, 2014 (ISBN 978-951-0-40285-6)

 

Série Hilma (1995, 2004–2005

 (fi) Hilma ja Pingviini (ill. Markus Majaluoma), Helsinki, Lasten oma kirjakerho, 1995 (ISBN 951-875-838-7)

(fi) Hilma ja täydellinen lemmikki (ill. Kristiina Louhi), Helsinki, WSOY, 2004 (ISBN 951-0-28920-5)

(fi) Hilma ja hyvä harrastus (ill. Kristiina Louhi), Helsinki, WSOY, 2005 (ISBN 951-0-30269-4)

 

Série Ella ja kaverit (1995–)

 

Série Kirjava kukko

(fi) Ella ja kiristäjä, Helsinki, Tammi, 1995 (ISBN 951-31-0623-3)

(fi) Ella teatterissa, Helsinki, Tammi, 1996 (ISBN 951-31-0875-9)

(fi) Ella luokkaretkellä, Helsinki, Tammi, 1997 (ISBN 951-31-1063-X)

(fi) Ella ja lopettaja, Helsinki, Tammi, 1998 (ISBN 951-31-1316-7)

(fi) Ella ja Pate, Helsinki, Tammi, 1999 (ISBN 951-31-1632-8)

(fi) Ella ja Pukari, Helsinki, Tammi, 2000 (ISBN 951-31-1944-0)

(fi) Ella yökoulussa, Helsinki, Tammi, 2001 (ISBN 951-31-2221-2)

 

Romans pour enfants

(fi) Ella Lapissa, Helsinki, Tammi, 2003 (ISBN 951-31-2874-1)

(fi) Ella ja Paterock, Helsinki, Tammi, 2004 (ISBN 951-31-3130-0)

(fi) Ella aalloilla, Helsinki, Tammi, 2005 (ISBN 951-31-3437-7)

(fi) Varokaa lapsia!, Helsinki, Tammi, 2006 (ISBN 951-31-3685-X)

(fi) Ella ja seitsemän törppöä, Helsinki, Tammi, 2007 (ISBN 978-951-31-3895-0)

(fi) Ella ja Äf Yksi, Helsinki, Tammi, 2008 (ISBN 978-951-31-4315-2)

(fi) Ella ja jättipotti, Helsinki, Tammi, 2009 (ISBN 978-951-31-4943-7)

(fi) Ella ja kaverit juhlatuulella, Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5719-7)

(fi) Ella ja Yön ritarit, Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5588-9)

(fi) Ella ja Sampan urotyöt, Helsinki, Tammi, 2011 (ISBN 978-951-31-5929-0)

(fi) Ella ja kadonnut karttakeppi, Helsinki, Tammi, 2012 (ISBN 978-951-31-5996-2)

(fi) Ella ja kaverit menevät metsään, Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-5997-9)

(fi) Ella ja kaverit karkaavat koulusta (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2014

(fi) Ella ja kaverit lapsenvahteina, Helsinki, Tammi, 2015

(fi) Ella ja kaverit liemessä (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2015

(fi) Ella ja kaverit salaisessa palveluksessa (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2016

 

Série Anna ja Antti (1999–2003)

(fi) Annan ja Antin aamutouhut, Espoo, Weilin+Göös, 1999 (ISBN 951-35-6548-3)

(fi) Anna ja Antti. Rapinaa yössä, Helsinki, WSOY, 2001 (ISBN 951-0-25631-5)

(fi) Anna ja Antti, ei saa!, Helsinki, WSOY, 2002 (ISBN 951-0-26847-X)

(fi) Anna ja Antti. Kiusankappale, Helsinki, WSOY, 2003 (ISBN 951-0-27769-X)

 

Sammon vartijat (2007–2009)

(fi) Tuliterä, Helsinki, Tammi, 2007

(fi) Tiera, Helsinki, Tammi, 2008

(fi) Louhi, Helsinki, Tammi, 2009

 

Maukka ja Väykkä (2007–)

(fi) Maukka ja Väykkä (ill. Virpi Talvitie), Espoo, Itupiikki, 2007 (ISBN 978-952-92-1589-8)

(fi) Maukka, Väykkä ja mieletön lumipallo (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2009 (ISBN 978-951-31-4955-0)

(fi) Maukka ja Väykkä rakentavat talon (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5549-0)

(fi) Maukka, Väykkä ja suuri seikkailu (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2011 (ISBN 978-951-31-5927-6)

(fi) Maukka, Väykkä ja Karhu Murhinen (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2012 (ISBN 978-951-31-6167-5)

(fi) Maukan ja Väykän satukirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-6168-2)

(fi) Maukan ja Väykän pieni kirja ystävyydestä (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-7122-3)

(fi) Maukan ja Väykän naamakirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2014 (ISBN 978-951-31-7995-3)

(fi) Maukan ja Väykän matkakirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2015 (ISBN 978-951-31-8503-9)

 

Série Pate (2014–)

(fi) Paten aikakirjat, Helsinki, Tammi, 2014 (ISBN 978-951-31-7800-0)

(fi) Pate ja maailman paras joukkue, Helsinki, Tammi, 2015 (ISBN 978-951-31-8354-7)

 

Série Kepler62 (2015–)

(fi) Parvela, Timo & Sortland, Bjørn (ill. Pasi Pitkänen), Kepler62: Kirja yksi – Kutsu, Helsinki, WSOY, 2015 (ISBN 978-951-0-41258-9)

(fi) Sortland, Bjørn & Parvela, Timo (ill. Pasi Pitkänen), Kepler62: Kirja kaksi – Lähtölaskenta, Helsinki, WSOY, 2015 (ISBN 978-951-0-41259-6)

 

Prix et récompenses

Prix Hans-Christian-Andersen, 1989

Prix Arvid Lydecken , 1997

Prix Kaarina Helakisa, 2005

Prix du grand club du livre finlandais, 2005

Prix Pirkanmaan Plättä, 2005

Prix Finlandia Junior, 2006

Prix Topelius , 2007

Prix Laivakello , 2011

Prix Finlande, 2014

 

Zelda ZONK

Depuis une quinzaine d’années, Zelda illustre régulièrement des albums. Elle travaille aussi pour la presse jeunesse, et fait parfois des incursions chez les adultes à travers des articles de sites professionnels.

 

 Zelda préfère dire qu’elle est dessinatrice plutôt qu’illustratrice : elle aime mettre l’accent sur l’expressivité et la spontanéité des personnages qui naissent sous ses coups de crayon. Elle pense son dessin comme une écriture, pour elle c’est un moyen de transmettre une idée en quelques traits.

 

 Zelda Zonk est une illustratrice française. Elle a suivi des études d’arts appliqués et est graphiste de formation.

 

 Depuis une quinzaine d’années, Zelda illustre régulièrement des albums. Elle travaille aussi pour la presse jeunesse, et fait parfois des incursions chez les adultes à travers des articles de sites professionnels.

 

 Elle sait jongler à 4 balles, pratique le fleuret et le sabre, et vit à Paris . Elle a travaillé chez Astrapi et a illustré chez Bayard des : Mes premiers J'aime Lire. Elle a aussi publié de nombreux ouvrages pour La Martinière Jeunesse, Larousse Jeunesse, Mila Éditions.

 

Bibliographie

• Moi et ma super bande, T.1 à 10, avec Timo Parvela (Nathan, 2016 - 2018)

• Kikekoa et Ornicar, T.1 à 3, avec Arnaud Alméras (Nathan, 2012 - 2015)

• Mon hamster et moi, avec Anne Didier (Bayard Jeunesse, 2010)

• Que du bonheur, avec Sylvaine Jaoui (La Martinière Jeunesse, 2009)

• Rangez-vous en file indienne ! : pour enfin comprendre ce que dit ta maîtresse, avec Armelle Barnier et Sylvie Hennequin (Mila éditions, 2008)

• Le Grand Livre du mercredi, avec Benoît Delalandre (Larousse, 2007)

• Finis ton assiette ! : Pour comprendre enfin ce que demandent tes parents, collectif (Mila éditions, 2007)

• Questions intimes de filles, avec Sylvie Sargueil (La Martinière Jeunesse 2007)

• C’est pas compliqué le bonheur, avec Sylvaine Jaoui (La Martinière Jeunesse, 2005)

• Y a-t-il un autre monde possible ?, avec Anne Jankéliowitch (La Martinière Jeunesse, 2004)

 

 

 

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Voyage en terre très très lointaine

 

Moi et ma super bande,

Voyage en terre

très très lointaine.

 

Si vous êtes à la recherche d’un livre pour votre enfant de 7 à 11 ans, et à l’approche des fêtes de fin d’année, alors il faut lui offrir « Voyage en terre très très lointaine » de la série des « Moi et ma super bande ».

 

La bande part au pays des Rennes, des Lutins et bien sûr du père Noël avec leur professeur.

 

Un roman pour la jeunesse de 120 pages, très bien illustrée par Zelda Zonk.

 

En plus de rêver, l’ouvrage applique (que l’on soit pour ou contre peu importe) l’orthographe rectifier qui fait désormais référence dans les programmes scolaires, cela permettra à votre enfant de ne pas faire de « fotes » (enfin un peu moins) ce qui est bien sûr un plus pour les parents qui sont attentifs à l’instruction de leurs enfants.

 

Donc je recommande aux papas et mamans « Noel » de la mettre dans la chaussette près de la cheminée.

 

Mais à cet âge il croit encore au père Noël, enfin il croit que s’ils disent qu’ils y croient plus ils auront peut-être pas de cadeaux, alors…

 

 

 

 

 

La super bande en sortie scolaire ! Un roman illustré pour les enfants de 7 à 11 ans, facile à lire tout seul et à comprendre. Une histoire rythmée et passionnante qui donne vraiment envie de lire.

 

L'histoire : Le maître d'Ella et de ses copains a organisé une sortie scolaire. Au programme : visite du musée et du zoo de la ville. Sauf que rien ne se passe comme prévu. Le maître oublie son sac, Paulo veut absolument sauver le petit cochon qui se réfugiait dedans (si, si), Ella se coince le pied dans le siège du bus, Hanna confond un moineau avec un léopard et chacun trouve un cadeau surprise dans ses pâtes à la bolognaise. Tout ça n'a aucun sens ? Normal, il s'agit d'Ella et de sa bande !

 

 Un roman humoristique pour les enfants de 7 à 11 ans.

 

Auteur : T. Parvela

Illustrateur : Z. Zonk

Traducteur : J. Kuningas

 

9,95 €

120 Pages

Disponible

Parution : juin 2016

ISBN : 978-2-09-255965-9

 

Disponible également en numérique

7,99 €

Collection : Premiers romans

Série : Moi et ma super bande

 

 

Biographie et bibliographie des auteurs:

Timo Johannes Parvela

En 1983, Timo Parvela obtient son baccalauréat. En 1988, il reçoit son bachelor en sciences de l'éducation de l'université de Jyväskylä. De 1988 à 1990 il est directeur de l'école élementaire de Tupamäki à Petäjävesi et de 1990 à 1991 il est professeur de l'école primaire de Tyyppälä dans la municipalité rurale de Jyväskylä. De 1992 à 1996, il enseigne à l'école primaire d'Aarnivalkea (fi) d'Espoo. Depuis 1996, Timo Parvela est écrivain indépendant.

 

Ouvrages

(fi) Poika, Helsinki, Tammi, 1989 (ISBN 951-30-9154-6)

(fi) Puhuva koira, Helsinki, Tammi, 1990 (ISBN 951-30-9519-3)

(fi) Pelkotiloja, Helsinki, Tammi, 1992

(fi) Pikkuveljet ja taika-avain, Helsinki, Tammi, 1993 (ISBN 951-31-0244-0)

(fi) Ohutta yläpilveä, Helsinki, Tammi, 1994 (ISBN 951-31-0452-4)

(fi) Isäni on supermies, Helsinki, Tammi, 1996 (ISBN 951-31-0837-6)

(fi) Ansa ja Oiva, Porvoo, Helsinki, Juva, WSOY, 1999 (ISBN 951-0-23494-X)

(fi) Outo juttu, Helsinki, Tammi, 2000 (ISBN 951-31-1756-1)

(fi) Ansa ja Oiva suurkaupungissa, Helsinki, WSOY, 2000 (ISBN 951-0-24894-0)

(fi) Sanoo isä, Helsinki, Tammi, 2001

(fi) Mitä siihen sanot, isä?, Helsinki, Tammi, 2002 (ISBN 951-31-2554-8)

(fi) Keinulauta, Helsinki, WSOY, 2006

(fi) Taron suuri pieni seikkailu, Helsinki, WSOY, 2014 (ISBN 978-951-0-40285-6)

 

Série Hilma (1995, 2004–2005

 (fi) Hilma ja Pingviini (ill. Markus Majaluoma), Helsinki, Lasten oma kirjakerho, 1995 (ISBN 951-875-838-7)

(fi) Hilma ja täydellinen lemmikki (ill. Kristiina Louhi), Helsinki, WSOY, 2004 (ISBN 951-0-28920-5)

(fi) Hilma ja hyvä harrastus (ill. Kristiina Louhi), Helsinki, WSOY, 2005 (ISBN 951-0-30269-4)

 

Série Ella ja kaverit (1995–)

 

Série Kirjava kukko

(fi) Ella ja kiristäjä, Helsinki, Tammi, 1995 (ISBN 951-31-0623-3)

(fi) Ella teatterissa, Helsinki, Tammi, 1996 (ISBN 951-31-0875-9)

(fi) Ella luokkaretkellä, Helsinki, Tammi, 1997 (ISBN 951-31-1063-X)

(fi) Ella ja lopettaja, Helsinki, Tammi, 1998 (ISBN 951-31-1316-7)

(fi) Ella ja Pate, Helsinki, Tammi, 1999 (ISBN 951-31-1632-8)

(fi) Ella ja Pukari, Helsinki, Tammi, 2000 (ISBN 951-31-1944-0)

(fi) Ella yökoulussa, Helsinki, Tammi, 2001 (ISBN 951-31-2221-2)

 

Romans pour enfants

(fi) Ella Lapissa, Helsinki, Tammi, 2003 (ISBN 951-31-2874-1)

(fi) Ella ja Paterock, Helsinki, Tammi, 2004 (ISBN 951-31-3130-0)

(fi) Ella aalloilla, Helsinki, Tammi, 2005 (ISBN 951-31-3437-7)

(fi) Varokaa lapsia!, Helsinki, Tammi, 2006 (ISBN 951-31-3685-X)

(fi) Ella ja seitsemän törppöä, Helsinki, Tammi, 2007 (ISBN 978-951-31-3895-0)

(fi) Ella ja Äf Yksi, Helsinki, Tammi, 2008 (ISBN 978-951-31-4315-2)

(fi) Ella ja jättipotti, Helsinki, Tammi, 2009 (ISBN 978-951-31-4943-7)

(fi) Ella ja kaverit juhlatuulella, Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5719-7)

(fi) Ella ja Yön ritarit, Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5588-9)

(fi) Ella ja Sampan urotyöt, Helsinki, Tammi, 2011 (ISBN 978-951-31-5929-0)

(fi) Ella ja kadonnut karttakeppi, Helsinki, Tammi, 2012 (ISBN 978-951-31-5996-2)

(fi) Ella ja kaverit menevät metsään, Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-5997-9)

(fi) Ella ja kaverit karkaavat koulusta (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2014

(fi) Ella ja kaverit lapsenvahteina, Helsinki, Tammi, 2015

(fi) Ella ja kaverit liemessä (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2015

(fi) Ella ja kaverit salaisessa palveluksessa (ill. Mervi Lindman), Helsinki, Tammi, 2016

 

Série Anna ja Antti (1999–2003)

(fi) Annan ja Antin aamutouhut, Espoo, Weilin+Göös, 1999 (ISBN 951-35-6548-3)

(fi) Anna ja Antti. Rapinaa yössä, Helsinki, WSOY, 2001 (ISBN 951-0-25631-5)

(fi) Anna ja Antti, ei saa!, Helsinki, WSOY, 2002 (ISBN 951-0-26847-X)

(fi) Anna ja Antti. Kiusankappale, Helsinki, WSOY, 2003 (ISBN 951-0-27769-X)

 

Sammon vartijat (2007–2009)

(fi) Tuliterä, Helsinki, Tammi, 2007

(fi) Tiera, Helsinki, Tammi, 2008

(fi) Louhi, Helsinki, Tammi, 2009

 

Maukka ja Väykkä (2007–)

(fi) Maukka ja Väykkä (ill. Virpi Talvitie), Espoo, Itupiikki, 2007 (ISBN 978-952-92-1589-8)

(fi) Maukka, Väykkä ja mieletön lumipallo (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2009 (ISBN 978-951-31-4955-0)

(fi) Maukka ja Väykkä rakentavat talon (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2010 (ISBN 978-951-31-5549-0)

(fi) Maukka, Väykkä ja suuri seikkailu (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2011 (ISBN 978-951-31-5927-6)

(fi) Maukka, Väykkä ja Karhu Murhinen (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2012 (ISBN 978-951-31-6167-5)

(fi) Maukan ja Väykän satukirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-6168-2)

(fi) Maukan ja Väykän pieni kirja ystävyydestä (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2013 (ISBN 978-951-31-7122-3)

(fi) Maukan ja Väykän naamakirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2014 (ISBN 978-951-31-7995-3)

(fi) Maukan ja Väykän matkakirja (ill. Virpi Talvitie), Helsinki, Tammi, 2015 (ISBN 978-951-31-8503-9)

 

Série Pate (2014–)

(fi) Paten aikakirjat, Helsinki, Tammi, 2014 (ISBN 978-951-31-7800-0)

(fi) Pate ja maailman paras joukkue, Helsinki, Tammi, 2015 (ISBN 978-951-31-8354-7)

 

Série Kepler62 (2015–)

(fi) Parvela, Timo & Sortland, Bjørn (ill. Pasi Pitkänen), Kepler62: Kirja yksi – Kutsu, Helsinki, WSOY, 2015 (ISBN 978-951-0-41258-9)

(fi) Sortland, Bjørn & Parvela, Timo (ill. Pasi Pitkänen), Kepler62: Kirja kaksi – Lähtölaskenta, Helsinki, WSOY, 2015 (ISBN 978-951-0-41259-6)

 

Prix et récompenses

Prix Hans-Christian-Andersen, 1989

Prix Arvid Lydecken , 1997

Prix Kaarina Helakisa, 2005

Prix du grand club du livre finlandais, 2005

Prix Pirkanmaan Plättä, 2005

Prix Finlandia Junior, 2006

Prix Topelius , 2007

Prix Laivakello , 2011

Prix Finlande, 2014

 

Zelda ZONK

Depuis une quinzaine d’années, Zelda illustre régulièrement des albums. Elle travaille aussi pour la presse jeunesse, et fait parfois des incursions chez les adultes à travers des articles de sites professionnels.

 

 Zelda préfère dire qu’elle est dessinatrice plutôt qu’illustratrice : elle aime mettre l’accent sur l’expressivité et la spontanéité des personnages qui naissent sous ses coups de crayon. Elle pense son dessin comme une écriture, pour elle c’est un moyen de transmettre une idée en quelques traits.

 

 Zelda Zonk est une illustratrice française. Elle a suivi des études d’arts appliqués et est graphiste de formation.

 

 Depuis une quinzaine d’années, Zelda illustre régulièrement des albums. Elle travaille aussi pour la presse jeunesse, et fait parfois des incursions chez les adultes à travers des articles de sites professionnels.

 

 Elle sait jongler à 4 balles, pratique le fleuret et le sabre, et vit à Paris . Elle a travaillé chez Astrapi et a illustré chez Bayard des : Mes premiers J'aime Lire. Elle a aussi publié de nombreux ouvrages pour La Martinière Jeunesse, Larousse Jeunesse, Mila Éditions.

 

Bibliographie

• Moi et ma super bande, T.1 à 10, avec Timo Parvela (Nathan, 2016 - 2018)

• Kikekoa et Ornicar, T.1 à 3, avec Arnaud Alméras (Nathan, 2012 - 2015)

• Mon hamster et moi, avec Anne Didier (Bayard Jeunesse, 2010)

• Que du bonheur, avec Sylvaine Jaoui (La Martinière Jeunesse, 2009)

• Rangez-vous en file indienne ! : pour enfin comprendre ce que dit ta maîtresse, avec Armelle Barnier et Sylvie Hennequin (Mila éditions, 2008)

• Le Grand Livre du mercredi, avec Benoît Delalandre (Larousse, 2007)

• Finis ton assiette ! : Pour comprendre enfin ce que demandent tes parents, collectif (Mila éditions, 2007)

• Questions intimes de filles, avec Sylvie Sargueil (La Martinière Jeunesse 2007)

• C’est pas compliqué le bonheur, avec Sylvaine Jaoui (La Martinière Jeunesse, 2005)

• Y a-t-il un autre monde possible ?, avec Anne Jankéliowitch (La Martinière Jeunesse, 2004)

 

 

 

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Couverture : J. Dreidemy

Couverture : J. Dreidemy

 

Hôtel des frissons,

l'étrange visite.

Roman frissons dès 8 ans.

Auteur : V. Villeminot

Illustrateur : J. Dreidemy

 

Avec ce quatrième opus de la série, vous connaissez Surement si vous avez des enfants de 8 ans et plus ce curieux hôtel dont les visiteurs sont pour le moins curieux.

 

Contrairement à ce que croient pas mal de gens, les enfants aiment bien avoir peur, et ce genre d’ouvrages peut pour plus tard leur donner le gout des livres des genres de l’imaginaire. Et non les genres, de l’imaginaire n’est pas forcement gore et horrifique, ils sont même souvent en prise directs avec les grands phénomènes sociétaux.

 

Bien sûr nos charmantes têtes rousses (ben quoi pas toujours blondes les têtes) n’en sont pas encore la …quoique.

 

Je recommande bien sûr aux parents, mais aussi aux enseignants, aux bibliothécaires charger du secteur « Jeunesse » d’acquérir ce volume, et l’ensemble de cette collection.

 

 

Résumé de la série :

Une série pour les 8-11 ans qui aiment avoir peur !

 

Bienvenue à l'hôtel des Frissons : un hôtel lugubre et inquiétant, à chaque tome, un "client" bien particulier à découvrir.

 

Résumé du roman :

Coup de blues pour Margot, la fille du propriétaire de l'Hôtel des Frissons. Sa mère mystérieusement assassinée lui manque. Tristan, le fils du cuisinier, essaie de lui changer les idées, mais rien à faire… Quand soudain un fantôme apparaît et révèle à Margot une information effroyable: l'assassin de sa mère vient de réserver une chambre dans l'hôtel… Est-il venu pour commettre un nouveau crime ?

 

CYCLE 2 (CP, CE1, CE2)

Un roman illustré, dès 8 ans.

96 Pages

Auteur : V. Villeminot

Illustrateur : J. Dreidemy

Disponible

ISBN : 978-2-09-257749-3

Collection : Romans Poche

Série : L’Hôtel des frissons

5,95 €

 

Biographie et bibliographie des auteurs :

 

Vincent Villeminot

Né le 17 mai 1972 à Tours, Vincent Villeminot est diplômé de sciences politiques (Paris). En 1994, il étudie également au Centre de formation des journalistes (CFJ)1. À l'âge de 22 ans il part en Égypte avec son épouse Claire où il participe à la création d'une université d'enseignement du journalisme français. Après avoir collaboré à plusieurs publications, dont le journal d'insertion La Rue, il se tourne vers l'écriture romanesque : il est désormais auteur à temps plein, pour les adultes comme les plus jeunes. Il compte à son actif une trentaine d'ouvrages pour les enfants, et explore aujourd'hui dans ses romans pour les adolescents plusieurs facettes du fantastique et de l'anticipation.

 

Œuvres

 

Recueils

Histoires pour faire peur, Paris, Fleurus, 2011, 61 p. (ISBN 978-2-215-09804-1)

Anatole n'aime pas l'école (ill. Laurent Parienty), Paris, Fleurus, coll. « J'aime la vie ! », 2003, 24 p. (ISBN 2-215-04433-0)

Ma première grande histoire de fée (ill. Hervé Florès), Paris, Fleurus, coll. « Ma première grande histoire de… », 2007, 20 p. (ISBN 978-2215-04647-9)

Vincent Villeminot et Claire Renaud, 13 histoires maboules d'école qui rigole !, Paris, Fleurus, coll. « 13 histoires maboules… », 2007, 76 p. (ISBN 978-2-2150-4654-7)

Bienvenue à Monstroville !, Paris, Fleurus, 2012, 64 p. (ISBN 978-2-215-11756-8)

 

Romans jeunesse

La Confrérie des âmes, Paris, Plon jeunesse, coll. « Héroïc Fantasy », 2008, 403 p. (ISBN 978-2-259-20891-8)

La Confrérie des âmes : Corps et âmes, Paris, Plon jeunesse, coll. « Héroïc Fantasy », 2010, 377 p. (ISBN 978-2-259-21143-7), chap. 2

Le livre des mondes perdus, Paris, Feurus, 2010, 176 p. (ISBN 978-2-215-04935-7)

Whisper girls. 1, Paris, Fleurus, 2011, 266 p. (ISBN 978-2-215-09833-1)

Shadow girls. 2, Paris, Fleurus, 2012, 340 p. (ISBN 978-2-215-11742-1)

Instinct. 1, Paris, Nathan, 2011, 372 p. (ISBN 978-2-09-202314-3)

Instinct. 2, Paris, Nathan, 2011, 328 p. (ISBN 978-2-09-252836-5)

Instinct. 3, Paris, Nathan, 2012, 347 p. (ISBN 978-2-09-252837-2)

Réseaux. 1, Paris, Nathan, 2013, 446 p. (ISBN 978-2-09-254241-5)

Réseaux. 2, Paris, Nathan, 2014, 364 p. (ISBN 978-2-09-254709-0)

Ma famille normale contre les zombies (ill. Yann Autret), Paris, Nathan, 2015, 256 p. (ISBN 978-2-09-255330-5)

Ma famille normale contre les yétis (ill. Yann Autret), Paris, Nathan, 2015, 256 p. (ISBN 978-2-09-255331-2)

Stéphane, Paris, Nathan / Syros, 2015, 448 p. (ISBN 978-2-09-255616-0)

Vincent Villeminot, Yves Grevet, Carole Trebor et Florence Hinckel, Contagion, Paris, Nathan, 2016, 449 p. (ISBN 978-2-09-256718-0)

La Brigade de l'ombre, vol. 1 : La prochaine fois ce sera toi, Bruxelles, Casterman, 2016, 307 p. (ISBN 978-2-203-10636-9)

Les Pluies, Paris, Fleurus, 2016, 320 p. (ISBN 9782215132141)

Samedi 14 novembre, Paris, Sarbacane, 2016, 216 p. (ISBN 978-2-84-865922-0, présentation en ligne [archive])

Le copain de la fille du tueur, Paris, Nathan, 2016, 263 p. (ISBN 978-2-09-256522-3, présentation en ligne [archive])

La Brigade de l'ombre, vol 2: Ne te fie à personne, , Casterman, 2017, 361p. (ISBN 9782203151741)

La brigade de l'ombre, vol 3: Ne compte que sur les tiens,  Casterman, 2017, 353 p. (ISBN 9782203158900)

 

Romans pour adultes

Vincent Villeminot et Christine Pedotti, La Longue Patience du sanglier, Paris, 2009, 292 p. (ISBN 2-259-20520-8)

 

 

L’illustratrice

Joëlle Dreidemy

Diplômée de l’École Émile Cohl, Joëlle Dreidemy est illustratrice pour la France et à l’international. Elle est prof à Émile Cohl et leadeuse du groupe rock Pilgrim. De nombreux prix ont été décernés à ses 2 albums, The Lamb Who Came for Dinner et Smelly Peter the Great Pea Eater traduits en français (et en espagnol, portugais, italien, coréen…) sous les titres Le Loup, l’agneau et le dîner (éditions Le Ballon) et Le roi des mangeurs de pois (Ousti Livres).

 

Œuvres (Sélection)  

Hôtel des frissons,  L’étrange visite, Nathan, Octobre 2018

Ma vie moisie, dieu et moi, Shirley Banana : Sarbacane, 1 octobre 2018

Le Génie de la lampe de poche, Sarbacane, 16 août 2017

Popy sauve le monde , Sarbacane,  2 janvier 2017

L'ogre à poil(s) , Sarbacane, 31 août 2016

La Sorcitresse , Sarbacane, 30 septembre 2015

Popy la Tornade, Sarbacane, 15 janvier 2015

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Chevaliers  Gringoles Opération Goofus

 

Les Chevaliers des Gringoles

Livre 2 : Opération Goofus

 

Les jeunes lecteurs retrouveront avec plaisirs Les Chevaliers des Gringoles dans cette deuxième aventure.

 

Cayou va voir nos héros devoirs une nouvelle fois partir à l’aventure. Ils y feront de nouvelles rencontres.

 

De la vraie fantasy adaptée au plus jeune en étant empreinte d’humour. L’univers des zombies et leurs « langages » sont  ceux que nous connaissons dans les ouvrages de fantasy pour « adultes ». L’amitié est bien sûr et sait bien normal l’un des axes de cette série    .

 

Je vous conseille fortement d’acheter cet ouvrage, et si vous avez manqué le premier tome de le prendre également chez votre libraire pour votre enfant, garçons ou filles.

 

Cette série est prévue en quatre volumes, le troisième  «Le Secret du Ki » sortira en   librairie en mars 2019.

 

Auteur : E. Ji

Illustrateur : . Papaya

 

Résumé du volume :

Un Chevalier des Gringoles a toujours un plan (bon, pas toujours, mais la plupart du temps)

 

Décidément, à Cayou-des-Gringoles, c’est pas la fête à la grenouille tous les jours. Après mon affrontement avec Drake sur les Menhirs maudits, voilà que de sombres individus venus du ciel débarquent sur notre île pour mettre la main sur ce qu’on a de plus cher ! D’après mes calculs, ça nous fait une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c’est que nos ennemis sont méchamment dangereux.

 

 La bonne… c’est qu’on a une botte secrète.

 

 

 

Version papier ISBN 978-2-09-257396-9

15,50 €

240 Pages

14,5x21 cm

 

Collection :  Roman Grand format

 

Format : E-Pub à télécharger  (Configuration requise)  

ISBN : 978-2-09-257397-6

11,99 €

 

Prochainement :

Livre 3 :

«Le Secret du Ki » sortira en   librairie en mars 2019.

 

Biographie des auteurs :

Erwan Ji

 

Erwan Ji est né en 1986 à Quimper. Il aime les feux de cheminée qui crépitent, l’odeur du blé noir, quand la tête d’un bébé kangourou sort de la poche de sa maman, et les descriptions de pique-nique dans Le Club des cinq. Il n’aime pas quand la mousse du bain s’est envolée, les gens qui chantent faux mais qui chantent quand même, ceux qui demandent « Ça va ? » sans écouter la réponse, et abandonner devant une pistache trop fermée. Lorsqu’il avait sept ans, il a mangé du sable en pensant pouvoir obtenir les pouvoirs de son idole, Superman.

 

Papaya:

Née en 1987 en Russie. Apres cinq ans dans l’industrie du jeu vidéo, elle s’est orienté vers la réalisation d’illustrations à son propre compte.

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Couverture réalisée par  Caza

Couverture réalisée par Caza

Les Voies de Tim Powers

 

J’ai découvert cet auteur lors de sa première et discrète publication chez « J’ai Lu » en 1986, tout à fait par hasard, en furetant dans une librairie généraliste de province. Le roman s’intitulait « Les Voies d’Anubis », et comportait une belle illustration de couverture réalisée par le grand Caza. Mais il était noyé dans la masse des autres « J’ai Lu », sous la mention « Science-fiction », c’est donc par le plus grand des hasards que je l’ai acheté.

 

D’abord, je ne pense pas que Tim Powers écrive de la science-fiction. Même si « les Voies d’Anubis » conte une histoire de voyage temporel, et que le moyen de parvenir à se déplacer dans le temps est vaguement habillé d’un jargon pseudo-scientifique, il ne s’agit que d’un prétexte grossier, dont l’auteur se débarrasse d’ailleurs assez vite. Je crois plutôt que monsieur Powers est un esprit un tantinet sadique, qui n’aime rien tant que projeter ses héros dans des situations intenables, invraisemblables, et qui s’amuse à leur faire subir les pires avanies. En effet, le héros des « Voies… » est un universitaire américain pas très heureux (il est traumatisé par l’accident de moto qu’il a provoqué et qui a coûté la vie à sa femme), pas très sportif et pas très aventureux. Bref, il est presque un anti-héros, paisible et timoré, un spécialiste de la littérature anglaise parmi tant d’autres professeurs obscurs, que rien ne prédestine à vivre des aventures grand-guignolesques à travers le temps et l’espace.

 

Contacté par un milliardaire aussi retors que cancéreux au dernier degré, notre Brendan Doyle vient à Londres pour donner une conférence sur Coleridge. Très vite, il s’aperçoit que tout n’est pas aussi simple : en fait, le richissime mourant manigance un voyage dans le temps, dont le but avoué est d’assister à une causerie donnée par le poète en 1810 ! Appâté par la curiosité littéraire, Doyle accepte de partir à travers une brèche temporelle, afin de rencontrer Coleridge en chair et en os, et aussi pour glaner quelques renseignements sur un poète énigmatique, William Ashbless.

 

Bien évidemment, rien ne se passe comme prévu, et le malheureux Brendan va se retrouver projeté dans les bas-fonds de Londres où il subira toutes les mésaventures possibles et imaginables, dont il ne sortira pas indemne, ni physiquement, ni moralement.

 

« Les Voies d’Anubis » est un roman inracontable, frénétique, plein de fantaisie et d’humour cruel. À contre-courant des tendances du fantastique actuel, timoré et formaté pour plaire au plus grand nombre, c’est aussi un livre exigeant. Car Powers est aussi un érudit, capable de situer son récit dans des lieux précis, et dans un contexte historique bien défini. Qu’il évoque le Londres crapuleux ou celui de Lord Byron, ou bien Le Caire après le retrait des Français, cet auteur-là sait jouer de la suspension d’incrédulité en insérant ses péripéties imaginaires dans un cadre réaliste minutieusement mis en place. Donc, pour bien apprécier l’ouvrage, il est peut-être recommandé d’avoir un minimum de culture et de curiosité intellectuelle, de savoir que Coleridge n’est pas l’avant-centre de Manchester United, et qu’un mameluk n’est pas une pâtisserie orientale…

 

Alors si les clowns échassiers ne vous font pas peur, si vous voulez rencontrer des mages égyptiens dégénérés, si vous voulez assister à une fête foraine en 1666 sur la Tamise embâclée, si vous voulez savoir comment un loup-garou fait pour s’épiler, empruntez « Les Voies d’Anubis », vous n’en sortirez peut-être pas indemne, vous non plus…

 

En conclusion, j’envie les lecteurs qui vont découvrir Tim Powers aujourd’hui, grâce aux grâce aux rééditions grand format qui sont sorties en librairie chez d'autres éditeurs !

 

Serge Rollet.

 

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Les Ombres d'Élyranthe

Les Ombres d'Élyranthe

 

Un nouvel éditeur vient de faire paraître une première anthologie consacrée aux genres de l'imaginaire. Il s'agit des « Ombres d'Élyranthe », une petite association franco-belge gérée de main de maître(sses) par deux autrices issues du forum l' « Écritoire des Ombres ». Lester L, Gore m'a fait parvenir un exemplaire de ce recueil afin que j'en dise quelques mots. Je vais donc commencer, de façon exceptionnelle, par l'aspect extérieur de l'objet.

Je fais en effet partie de cette catégorie de lecteurs qui ne se laissent pas influencer par l'illustration de couverture, et pour tout dire, je préfère les éditions de poche anciennes, moins tapageuses et uniformisées que celles d'aujourd'hui. Parlez-moi plutôt des vieux « J'Ai Lu », avec les illustrations nébuleuses et quasi abstraites de Tibor Csernus, ou des Fleuve Noir avec les couvertures si sexy de Gourdon ! Aujourd'hui, j'ai l'impression que l'édition de l'imaginaire tape dans un stock inépuisable de dessins assistés par informatique comportant obligatoirement des bogoss musculeux et des dragons évoquant davantage le carton-pâte que les forces élémentaires de la nature.

Les « Ombres d'Élyranthe » proposent donc un bel objet, de format agréable, pourvu d'une couverture originale. Il s'agit en fait d'un véritable miroir dépoli, qui tranche sur le fond sombre, entouré de l'image d'un cadre baroque du plus bel effet. J'avoue que l'effet d'ensemble est attirant, et intriguant. Mais, comme disent les Anglais, on ne juge pas un livre à sa couverture.

Alors, « Ombres » est un bel exemple du dynamisme et de la diversité des auteurs français, loin  de l'uniformisation commerciale que l'on retrouve dans les catalogues des « grands » éditeurs, et donc sur les tables des libraires. Science-fiction option « space opera érotique » (remarquable « Trou de Ver »), allégorie poétique à la Chambers (« Les Masques de Carmina », « L'écrivain »), thématique lovecraftienne (« Aquariophilie »), humour sombre (« le Vieux Roger »), tous les genres, tous les aspects des littératures de l'imaginaire sont représentés dans cette anthologie, si bien qu'il est très difficile de les citer tous. À noter aussi que les nouvelles sont toutes assez courtes, ce qui ajoute encore à la variété de l'ouvrage. Ainsi, chacun trouvera son bonheur, selon le genre ou le style qu'il préfère, parmi les dix-neuf nouvelles qui composent « Ombres ».

Enfin, une préface de Ludovic Païni-Kaffin et une présentation des auteurs parachèvent un recueil bien sympathique et hautement recommandable.

 

Serge Rollet.

 

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Critique de Danse avec le taureau par Serge Rollet

Critique de:

Danse avec le taureau

par Serge Rollet

 

En temps normal, je ne suis pas amateur de romans policiers. Contrairement à la plupart de mes contemporains, je n’ai jamais été touché par la vague de « polars scandinaves » qui a inondé récemment les tables des libraires, et je ne serai probablement pas plus concerné par les futures déferlantes de « thrillers papous » ou de « suspense moldo-valaques » que ne manqueront pas de susciter les éditeurs et les critiques. Bref, les enquêtes policières ne me passionnent pas, le whodunit m’assomme, et c’est avec allégresse que je me tamponne le coquillard de la question fatale : « Est-ce bien le colonel Moutarde qui a tué le docteur machin avec un chandelier en plastique mou ? »

 

Quant à la tauromachie, mon opinion est plus nuancée que celles des pro- et des anti-, même si ça m’étonnerait qu’on me voie un jour sur les gradins d’une arène, coincé entre une touriste teutonne et un aficionado à béret. Et puis, cette manie qu’ont les toreros de s’habiller comme Lady Gaga, et de coiffer un chapeau qui ressemble à des oreilles de Mickey, je trouve ça suspect…

 

Alors, me demanderez-vous, tas de petits curieux, pourquoi te risquer à donner ton opinion sur « Danse avec le Taureau », le thriller basque de Philippe Ward ? Eh bien, je vous répondrais que c’est parce que je connais la plume de Philippe Ward, dont j’avais apprécié le fascinant « Irrintzina » et les nouvelles collectées dans le recueil « Noir Duo », et que je voulais découvrir la façon dont il se débrouillait avec le genre hautement codifié du roman policier.

 

Et je n’ai pas mis longtemps à m’apercevoir que Philippe se sort de l’exercice avec brio : son style dépouillé, direct, s’accorde à merveille avec la tension de l’enquête, qui s’avère menée sans faille vers une conclusion qui, si elle n’est pas surprenante, est logique et solidement étayée. Le personnage principal est vraisemblable, assez attachant pour que ses efforts donnent envie de continuer la lecture, tandis que les personnages secondaires sont dépeints avec vigueur et concision. Évidemment, sur un format aussi court (moins de 200 pages), l’auteur ne se lance pas dans des descriptions trop détaillées, et parfois la psychologie et les sentiments des protagonistes sont esquissés à grands traits, mais l’essentiel est là : le style est vigoureux, fluide et débarrassé de tout tic d’écriture, et le « suspense » policier de rigueur est bien présent.

 

Mais ce qui constitue pour moi l’attrait principal de ce roman, c’est la patte de Philippe Ward, qui prouve qu’il n’est pas qu’un « faiseur de polars », mais bel et bien un écrivain de talent. Ce style qui permet de le reconnaître, c’est d’abord l’ancrage dans une région, SA région, qu’il revisite sans cesse en apportant à chaque livre une petite touche supplémentaire. Tout au long de son œuvre, Philippe Ward vante et illustre son Sud-Ouest natal, avec un regard où l’amour et la fidélité n’excluent pas la lucidité et le sens critique. Et moi, j’aime ces auteurs qui revendiquent leur identité, qui s’appuient sur un territoire et un peuple pour raconter leur histoire.

 

Ensuite, si « Danse avec le Taureau » reste un polar, Philippe Ward ne peut s’empêcher d’instiller dans son récit des éléments inquiétants, surprenants, comme une épée qu’un destin unique semble avoir chargée d’une énergie mystérieuse, ou bien les résurgences de l’antique culte de Mithra. Et là, grâce à ces détails évoquant le surnaturel, mon intérêt a été relancé pour aller à la conclusion du récit. Car ce qui m’attire dans l’art de conter de Philippe, c’est sa capacité à faire accepter des éléments appartenant au fantastique dans des romans fortement ancrés dans la réalité d’un lieu et d’une culture, à l’instar d’un Masterton par exemple.

 

En conclusion, « Danse avec le Taureau » est un court roman policier qui se lit avec plaisir, même si la corrida vous répugne ou vous indiffère, surtout grâce au talent et au métier de son auteur, qui sait capter constamment l’attention du lecteur.

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« De Chair et d’Encre&quot;, Dola Rosselet

« De Chair et d’Encre",

Dola Rosselet

aux éditions Rivière Blanche,

collection Noire 

                                                           

Même –et surtout- sans tenir compte du foisonnement des sous-genres artificiels qui encombrent les librairies,  (bit-lit, urban, dark, high fantasy…) je suis convaincu qu’il existe plusieurs catégories de fantastique, ce genre inclassable que la critique méprise et que le public comprend mal. On y trouve les récits qui lorgnent vers l’épouvante, ceux qui rendent hommage aux grands maîtres, les nouvellistes aux préoccupations sociales, les commerciaux qui surfent sur les modes, et que sais-je encore. Il existe aussi une marge de textes qui résistent à tout classement, ce qui énerve sans doute les maniaques pontifiants de la mise sous étiquette. Et je pense que le recueil de Dola Rosselet fait partie de ces derniers, tant la variété des thèmes abordés a tout pour désorienter les taxonomistes du surnaturel. Science-fiction, heroic-fantasy, thriller, horreur, Dola Rosselet n’hésite pas à nous proposer des nouvelles dans tous les genres, avec toujours autant d’originalité. Ses univers, aussi divers soient-ils, portent la marque de fabrique de son talent particulier : esquissés à petites touches, ils donnent toute latitude à leur lecteur d’imaginer des suites possibles grâce à des fins souvent ouvertes, qui laissent le champ libre à l’imaginaire.

 

Je ne décortiquerai pas chaque nouvelle, je préfère laisser aux chanceux qui vont découvrir « De Chair et d’Encre » le plaisir de la nouveauté, mais ce recueil plein de diversité présente néanmoins une belle unité grâce à un style qui ne se relâche jamais. L’écriture de Dola Rosselet, sous des dehors de simplicité, ne laisse rien au hasard : les termes choisis sont évocateurs, et contribuent à distiller une ambiance particulière à chaque histoire. Distiller… Sans doute le mot est bien adapté, car les parfums et les odeurs occupent une place particulière dans cet ensemble : une fragrance récurrente d’eau de Cologne suffit à susciter l’inquiétude dans « À la Vie, à la Mort », bien mieux que les accessoires trop utilisés des récits de maisons hantées. De même, dans « Comme un Parfum de Deuil », la bien aimée trop tôt disparue est personnifiée par son parfum, comme si chaque être, en plus de son âme propre, se définissait par son empreinte olfactive. Que ce soit sur les champs de bataille de la Grande Guerre ou dans un ascenseur, à la toute fin du monde en compagnie du dernier homme ou dans une arche spatiale désemparée, cette sensualité dans le style de Dola Rosselet, cette attention portée à leur ressenti intime est la marque d’un auteur unique.

 

Si vous aimez sortir des sentiers battus avec des récits originaux et pleins de sensibilité, si les poncifs actuels d’un fantastique commercial vous écœurent, allez faire un tour sur les berges de la Rivière Blanche, et laissez-vous porter par les nouvelles « De Chair et d’Encre », vous ne reviendrez pas indemnes du voyage…

 

Serge Rollet

Extrait gratuit en téléchargement légal.

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Les Nocturnes, tome 1 L’Éveil

Les Nocturnes,

tome 1 L’Éveil

 

 Roman des rêves pour jeunes adultes –

 

Premier roman d’Anthony LUCCHINI, Les Nocturnes, tome 1 L’Éveil, un voyage initiatique fantastique qui nous plonge au coeur du pays des rêves et des cauchemars.

 

Anthony LUCCHINI signe ici son premier roman fantastique.

 

Rédigé après 14 ans de réflexion et débuté dans une cour de lycée, ce roman, qui ne devait être au début qu’un recueil de rêves, a très vite pris corps.

 

S’inspirant de tout ce qui l’entoure, Anthony LUCCHINI a su créer un univers cohérent et intriqué dans lequel le lecteur, comme ses personnages, est happé. Au travers de son jeune personnage principal, Rémi, l’auteur met en place un véritable voyage initiatique au cours duquel l’adolescent se retrouve confronté à ses sentiments et ses émotions, pour découvrir qu’ils ont davantage de pouvoir que la violence.

 

Derrière la mise en scène des rêves d’un adolescent introverti et une richesse narrative, à la fois dans l’histoire, mais aussi dans la construction même du récit, il s’agit bien d’un véritable récit fantastique qui met à mal les clichés du genre.

 

Édité par Beta Publisher – Paris

 

Roman disponible depuis le 18 Avril 2018 au prix de 14.99 € TTC

 

4e de COUVERTURE

N’avez-vous jamais rêvé de terres lointaines, de monstres ou de magie ?

Ne vous êtes-vous jamais réveillé avec d’étranges images en tête ou des palpitations ?

Rémi, adolescent renfermé, va découvrir dans le monde de Labàs des vérités insoupçonnées.

Accompagné de ses trois amis, il va, au travers de ce voyage initiatique, vivre des aventures épiques et faire face à ses pires cauchemars.

 

AVIS LECTEURS

Les Miss Cho Colatine Bouquinent - Review complète

Je dois dire que mettre en scène les rêves d’un adolescent introverti est une idée juste sensationnelle. Créer ses mondes magiques avec tout autant de codes que de mondes crée ; les faire vivre en rapport avec la personnalité de Rémi où chaque petits détails te renseignent sur ce qu’il est vraiment sont une idée hyper judicieuse. Le monde de l’auteur est tellement riche que tu ne sais plus où trop donner de la tête (mais pour de très bonnes raisons). T’es finalement happé dans un monde extraordinaire où mille et une couleurs t’explosent à la figure. De l’aventure à gogo, des confrontations, des enjeux importants.

 

C’est gargantuesque ! C’est inimaginable ! C’est fantastique ! Si le roman s’inscrit dans le genre fantastique, on frôle toute de même la fantasy et/ou la science-fiction. L’auteur a la capacité de faire vivre à son lecteur ce dépaysement époustouflant. Son imaginaire déborde pour ton plus grand plaisir. La plume de Anthony Lucchini est 100 % efficace et les changements de narrateur ne freinent aucunement la fluidité du texte.

 

Si t’es fan de fantastique, t’as alors trouvé ton prochain livre de chevet. Garanti 100% aventure !

 

Addcition Livresque - Review complète

Si vous souhaitez vous plonger dans une pure histoire fantastique, alors «Les Nocturnes» saura satisfaire votre envie d’évasion!! En lisant ce récit, je me suis rendu compte que le texte convenait aussi bien aux jeunes lecteurs, environ 15 ans, qu’aux lecteurs plus affirmés.

 

La plume de l’auteur est vraiment très imaginative, Anthony Lucchini a créé de toutes  pièces un univers parallèle avec ses propres lieux et ses propres créatures, où la magie, la féerie et les ténèbres se mélangent, faisant vivre à quatre lycéens des aventures aussi extraordinaires que dangereuses. Une histoire exclusivement fantastique où le réel et l’irréel se confondent pour nous faire rêver les yeux ouverts.

 

BOOKTRAILER

L’une des particularités de notre Maison d’Édition est de créer un ou plusieurs booktrailer pour chacune de nos parutions. Toutes nos vidéos peuvent être directement accessibles sur notre chaîne youtube Beta Publisher (voir lien ci-dessous).

 

(Communiqué de presse)

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Emil Ferris remporte trois Eisner Awards
Emil Ferris remporte trois Eisner Awards

Emil Ferris

remporte

trois Eisner Awards

 

Chez Monsieur Toussaint Louverture, nous sommes très heureux de vous annoncer qu’à l’issue de la dernière cérémonie des Prix Eisner, qui se tenait le 20 juillet  San Diego (Californie), Emil Ferris et son ouvrage exceptionnel « Moi, ce que j’aime, c’est les monstres » viennent de se voir décerner trois récompenses, dont les plus prestigieuses :

 

Meilleur album et Meilleur auteur.

 

Avec ces prix, les plus importants qu’un auteur de bande dessinée puisse obtenir en Amérique du Nord, les professionnels ont célébré les remarquables qualités de cette œuvre hors norme.

 

Après avoir remporté les prix Ignatz, Lambda, Lynd Ward, et désormais, Eisner, Emil Ferris est encore en lice pour les Hugo qui seront décernés le 3 août prochain.

 

Palmarès d’Emil Ferris aux Prix Eisner:

Meilleur album

Meilleur auteur

Meilleure colorisation

 

EMIL FERRIS  SERA PRÉSENTE EN FRANCE DU 20 AU 30 SEPTEMBRE.

ELLE EST L’INVITÉE DU FESTIVAL AMERICA ET DU FESTIVAL FORMULA BULA.

EXPOSITION À LA GALERIE MARTEL

DU 22 SEPTEMBR E AU 20 OCTOBRE.

 

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres

Emil Ferris (en librairie le 23 août 2018)

34,90€

 

 

Résumé du livre :

Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s’imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d’être un monstre que d’être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d’une balle en plein cœur. Mais Karen n’y croit pas et décide d’élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu’entre le passé d’Anka dans l’Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s’embraser et les secrets tapis dans l’ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants.

 

Journal intime d’une artiste prodige, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est un kaléidoscope brillant d’énergie et d’émotions, l’histoire magnifiquement contée d’une fascinante enfant. Dans cette œuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d’un Crumb et l’univers de Maurice Sendak.

 

À travers ce livre, Emil Ferris tisse de courage, de force, de résilience, l’étendard de ceux qui survivent, de ceux qui se relèvent et ne veulent plus se taire. Et si ce n’est pas œuvre autobiographique tout y est néanmoins vrai. La clé de ce projet est la différence, et Emil Ferris l’a écrit pour les minorités, l’a dessinée pour la liberté d’être ce que l’on veut, humainement et intimement, et l’a porté envers et contre tout pour le droit d’être la femme que l’on veut. Et c’est pour ça que Moi, ce que j’aime, c’est les monstres nous frappe si fort aujourd’hui, car il s’adresse à nous, à nos problèmes, à notre monde.

 

 

Format 204×265 mm. 416 pages couleurs. Traduit de l’anglais par Jean-Charles Khalifa. Lettré à la main par Amandine Boucher et Emmanuel Justo. Photogravure Jimmy Boukhalfa. Mise en vente le 23 août 2018.

 

Dans la presse :

« Emil Ferris est une des plus grandes artistes de bande dessinée de notre temps. » — Art Spiegelman

 

« Une fois ouvert, il est impossible d’oublier le spectaculaire chef-d’œuvre d’Emil Ferris. C’est un livre monstrueusement génial. » — Alison Bechdel

 

« Une des œuvres les plus profondes, ambitieuses et abouties parues ces dix dernières années, tous supports confondus. Rarement des mots et des images ont fonctionné ensemble de manière aussi fluide au sein d’une histoire de cette complexité. » — Forbes

 

Biographie de l’auteur :

 En 2002, Emil Ferris (née en 1962 à Chicago), mère célibataire et illustratrice, gagne sa vie en dessinant des jouets et en participant à la production de films d’animations. Lors de la fête de son quarantième anniversaire avec des amis, elle se fait piquer par un moustique et ne reprendra ses esprits que trois semaines plus tard, à l’hôpital. On lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite : elle est frappée par l’une des formes les plus graves du syndrome du Nil occidental. Les médecins lui annoncent qu’elle ne pourra sans doute plus jamais marcher. Pire encore, sa main droite, celle qui lui permet de dessiner, n’est plus capable de tenir un stylo. « Le chef du service neurologie d’un des plus grands hôpitaux m’a dit que je ne marcherai plus jamais. Il en était sûr. » — Emil Ferris. À la sortie de l’hôpital, elle emménage son lit médicalisé et sa chaise roulante chez sa mère. Alors qu’elle ne se voit plus aucun avenir, les femmes fortes à ses côtés l’encouragent – la thérapeute en charge de sa rééducation, ses amies et sa fille –, et Emil décide de se battre. Elle va jusqu’à scotcher un stylo à sa main pour dessiner, ce qui lui prend un temps fou… mais à force de persévérance, elle s’améliore. Emil décide de prendre un nouveau départ et s’inscrit au Chicago Art Institute, dont elle sortira, avec son diplôme, d’un pas déterminé. « Étudier à l’Art Institute était exactement ce dont j’avais besoin. Je n’avais pas d’éducation artistique de niveau universitaire et décider d’atteindre quelque chose de mieux était comme dire à l’univers que je refusais d’accepter la paralysie sans me battre.» — Emil Ferris. C’est à cette époque qu’elle commence l’écriture de son roman graphique dont l’idée est bien plus ancienne. Elle mettra six ans à réaliser cette œuvre de 800 pages. Après 48 refus, l’éditeur indépendant Fantagraphics accepte le manuscrit. « Je travaillais sur un scénario basé sur la vision d’une fille loup-garou lesbienne blottie dans les bras d’un enfant Frankenstein transsexuel.

 

Ces deux parias “monstrueux” ont été l’inspiration pour une nouvelle que j’ai écrite en 2004. Karen me parlait toujours (elle grondait plutôt, à vrai dire) et c’est en me fondant sur cette nouvelle que j’ai créé le livre. » — Emil Ferris. Suite à quelques rocambolesques problèmes de livraison, le premier tome de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres paraît en février 2017. Du jour au lendemain, Emil Ferris est propulsée parmi les « monstres » sacrés de la bande dessinée. Tandis que les réimpressions s’enchaînent, c’est unanime : il s’agit d’une œuvre d’exception.

 

(Communiqué de presse)

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