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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #philippe ward

Critique de Danse avec le taureau par Serge Rollet

Critique de:

Danse avec le taureau

par Serge Rollet

 

En temps normal, je ne suis pas amateur de romans policiers. Contrairement à la plupart de mes contemporains, je n’ai jamais été touché par la vague de « polars scandinaves » qui a inondé récemment les tables des libraires, et je ne serai probablement pas plus concerné par les futures déferlantes de « thrillers papous » ou de « suspense moldo-valaques » que ne manqueront pas de susciter les éditeurs et les critiques. Bref, les enquêtes policières ne me passionnent pas, le whodunit m’assomme, et c’est avec allégresse que je me tamponne le coquillard de la question fatale : « Est-ce bien le colonel Moutarde qui a tué le docteur machin avec un chandelier en plastique mou ? »

 

Quant à la tauromachie, mon opinion est plus nuancée que celles des pro- et des anti-, même si ça m’étonnerait qu’on me voie un jour sur les gradins d’une arène, coincé entre une touriste teutonne et un aficionado à béret. Et puis, cette manie qu’ont les toreros de s’habiller comme Lady Gaga, et de coiffer un chapeau qui ressemble à des oreilles de Mickey, je trouve ça suspect…

 

Alors, me demanderez-vous, tas de petits curieux, pourquoi te risquer à donner ton opinion sur « Danse avec le Taureau », le thriller basque de Philippe Ward ? Eh bien, je vous répondrais que c’est parce que je connais la plume de Philippe Ward, dont j’avais apprécié le fascinant « Irrintzina » et les nouvelles collectées dans le recueil « Noir Duo », et que je voulais découvrir la façon dont il se débrouillait avec le genre hautement codifié du roman policier.

 

Et je n’ai pas mis longtemps à m’apercevoir que Philippe se sort de l’exercice avec brio : son style dépouillé, direct, s’accorde à merveille avec la tension de l’enquête, qui s’avère menée sans faille vers une conclusion qui, si elle n’est pas surprenante, est logique et solidement étayée. Le personnage principal est vraisemblable, assez attachant pour que ses efforts donnent envie de continuer la lecture, tandis que les personnages secondaires sont dépeints avec vigueur et concision. Évidemment, sur un format aussi court (moins de 200 pages), l’auteur ne se lance pas dans des descriptions trop détaillées, et parfois la psychologie et les sentiments des protagonistes sont esquissés à grands traits, mais l’essentiel est là : le style est vigoureux, fluide et débarrassé de tout tic d’écriture, et le « suspense » policier de rigueur est bien présent.

 

Mais ce qui constitue pour moi l’attrait principal de ce roman, c’est la patte de Philippe Ward, qui prouve qu’il n’est pas qu’un « faiseur de polars », mais bel et bien un écrivain de talent. Ce style qui permet de le reconnaître, c’est d’abord l’ancrage dans une région, SA région, qu’il revisite sans cesse en apportant à chaque livre une petite touche supplémentaire. Tout au long de son œuvre, Philippe Ward vante et illustre son Sud-Ouest natal, avec un regard où l’amour et la fidélité n’excluent pas la lucidité et le sens critique. Et moi, j’aime ces auteurs qui revendiquent leur identité, qui s’appuient sur un territoire et un peuple pour raconter leur histoire.

 

Ensuite, si « Danse avec le Taureau » reste un polar, Philippe Ward ne peut s’empêcher d’instiller dans son récit des éléments inquiétants, surprenants, comme une épée qu’un destin unique semble avoir chargée d’une énergie mystérieuse, ou bien les résurgences de l’antique culte de Mithra. Et là, grâce à ces détails évoquant le surnaturel, mon intérêt a été relancé pour aller à la conclusion du récit. Car ce qui m’attire dans l’art de conter de Philippe, c’est sa capacité à faire accepter des éléments appartenant au fantastique dans des romans fortement ancrés dans la réalité d’un lieu et d’une culture, à l’instar d’un Masterton par exemple.

 

En conclusion, « Danse avec le Taureau » est un court roman policier qui se lit avec plaisir, même si la corrida vous répugne ou vous indiffère, surtout grâce au talent et au métier de son auteur, qui sait capter constamment l’attention du lecteur.

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Pierre-Alexis Orloff. Un Amour de Panthéra Rivière Blanche

Pierre-Alexis Orloff

Un Amour de Panthéra

Rivière Blanche

 

Dans ce quatrième volet de la saga, écrite par le très mystérieux Pierre-Alexis Orloff, l’on retrouve Panthera une nouvelle fois aux prises avec des personnages mystérieux et peu recommandables pour la plupart.

 

Si Panthéra  et Percival Arlington filent le parfait amour, il n’en est pas moins que d’autres fait marquant de cette saga uchronique fantastique  peuplé d’être tel des satyres, nymphes, farfadet et autres créatures.

 

La préface de Jean-Marc Lofficier colle tout à fait à cette œuvre mystérieuse, ce quatrième opus serait le dernier d’une tétralogie, peut-être, mais rien n’est moins sûr en lisant les toutes dernières lignes, j’ai comme un gros doute.

 

Pour une première œuvre Pierre-Alexis Orloff, fait fort, ce n’est peut-être pas pour rien  qu’il a été récompensé par le Prix Masterton en 2000.

 

Je vous recommande de le lire, mais si vous n’avez pas lu les 3 premiers épisodes de la saga, il conviendrait peut-être de les acquérir auprès de Rivière Blanche, pour ne pas trop vous perdre dans les méandres complexes des destins qui se croisent.

 

Pierre-Alexis Orloff

Noire 92. Un Amour de Panthera

ISBN-13: 978-1-61227-575-8

220 pages - 20 euros

Introduction de Jean-Marc Lofficier

Illustration Christine Clavel

Résumé du Livre:

"Sous le regard horrifié de Carlier, il examina le vaste assortiment d’outils susceptibles de se muer en instruments de torture entre ses mains expertes. Un temps, son choix sembla se porter sur le ciseau à bois qu’il ramassa de la main gauche, conservant dans la droite le marteau dont il s’était déjà servi. Il fit mine de les approcher du pied nu de son prisonnier, puis poussa un long soupir et les reposa.

« Au diable les demi-mesures ! S’exclama-t-il. Je n’ai pas le temps de m’amuser : j’ai besoin que vous parliez sans tarder. Réjouissez-vous : ce sera plus vite terminé. » Sur ces mots, il empoigna le chalumeau."

 

Antoine Carlier, désormais employé par l’avocat Roger Formellot, a pris en filature l’ancien SS Heinrich von Verschtaufen ainsi que son étrange assistant, l’Inca Huayna, une mission qui se révélera extrêmement dangereuse et mouvementée, alors que se déchaînent les conséquences mystiques de l’assassinat du docteur Lanerolles par le redoutable satyre Faustus.

Panthéra, quant à elle, semble devoir filer le parfait amour avec Percival Arlington, mais saura-t-elle protéger son employeuse Marie-France d’Aygues-Vives des dangers qui la menacent en la personne des splendides quoique meurtrières jumelles Colson ? Son identité secrète résistera-t-elle à l’enquête des services secrets qui s’intéressent de très près à son amie Tanya ?

 

Et qui est cette mystérieuse jeune femme, elle aussi vêtue d’un collant noir, prête à entrer en action ? Une autre Panthéra ?

 

Pierre-Alexis Orloff est un être presque aussi mystérieux que les personnages qu’il invente. Passionné de cinéma et de littérature populaire, il mène une existence de reclus et peu de gens peuvent se vanter de l’avoir déjà rencontré. Panthéra est sa première œuvre publiée.

 

Bibliographie

Pierre-Alexis Orloff.

Collection noire (Editions Rivière Blanche)

11 L'effroyable vengeance de Panthera – 2008

30 Panthera contre Faustus – 2014

69 La Mère de Panthera – 2011

92Un Amour de Panthera 2016. 220 p. - 20 euros.

 

Récompense

Masterton

Prix créé en 2000

Prix décerné chaque année depuis 2000. Le jury est composé de professionnels francophones de la littérature (écrivains, journalistes, directeurs de collection). Le président du jury est Marc Bailly ;

2009      Roman français :   Pierre-Alexis ORLOFF pour L'Effroyable vengeance de Panthéra

Couvertures : Christine CLAVEL
Couvertures : Christine CLAVEL
Couvertures : Christine CLAVEL

Couvertures : Christine CLAVEL

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Illustration YOZ

Illustration YOZ

Dimension New York 1

 

Philippe Ward, nous présente une anthologie en deux volumes sur New York, cela n’étonnera pas ceux qui suive ce site régulièrement, dans un précèdent article nous avions en effet parlé de son livre « Manhattan Gost »  avec Michael Laguerre  pour les photos (voir lien ci-dessous).

 

Dans ce fort volume de 564 pages Philippe  Ward, nous présente une grande variété de nouvelles sur la ville à  la grosse pomme.

 

Les auteurs ont répondu largement à l’appel qui leur était lancé, pour cette anthologie, au point que deux volumes sont prévu malgré les 564 pages du premier tome.

 

Les thèmes sont très variés, mais nous n’éduquerons pas ceux-ci pour vous laisser le plaisir de la découverte.

 

Quoi d’étonnant que les auteurs de SF ce soit inspiré de cette ville, et pas que en littérature, au cinéma avec  celui de Fritz Lang.   Les comics aussi on prie pour décor New York : le Gotham de Batam, le Métropolis de Superman (surement inspiré par Fritz Lang, bien que le Métropolis de Superman soit plus « lumineux » que le côté « glauque » de Batman, qui correspond plus à Lang).

 

 Liste des auteurs :

Anthologie de nouvelles présentée par Philippe Ward.

 

 Textes de Robert Barr, Luce Basseterre, Daphnis Olivier Boelens, Eric Boissau, Fabien Clavel, Cathy Coopman, David Criscuolo, Francois Darnaudet, Romain Dasnoy, Olivier Deparis, Anne Escaffit, Michael Espinosa, Roger Facon, Alize Gabaude, Rémy Guyard, Vincent Jounieaux, Philippe Lemaire, Meddy Ligner, Jean-Marc Lofficier, Pascal Malosse, Jean Mazarin, Patrick Planès, Arnauld Pontier, Catherine Rabier, Chantal Robillard, Pierre-A. Sicart, Christian Surieux et Maxime Tedesco.

Traductions de Jean-Daniel Brèque.

 

Présentation :

"Dès l'aérogare, j'ai senti le choc," chantait Claude Nougaro dans Nougayork.

 

 Ce choc je l'ai ressenti le jeudi 30 Décembre 2010. Après plus de 15 heures de trajet, voiture, aéroport, avion, aéroport, avion, métro, j'étais là à la sortie du métro de New York, et je regardais comme un idiot, les yeux levés au ciel, l'immeuble du New York Times; tout autour de moi des new-yorkais passaient sans me voir, et sans voir les buildings. Là, j'ai eu le choc de ma vie. Je suis tombé amoureux direct de la ville qui ne dort jamais.

 

 Le temps de déposer la valise à l'hôtel, je marchais la bouche bée dans Times Square; dans mes oreilles passaient toutes les chansons sur New York; devant mes yeux défilaient les séries télé et les films se déroulant dans la ville. En moins d'une heure, j'étais tombé amoureux de New York. Pourtant, j'aimais les vieilles villes, Le Caire, Rome, Madrid, Paris, Alexandrie, les villes avec une histoire, avec l'Histoire. Alors en marchant dans Times Square en ce 30 décembre, au milieu de la foule, du bruit, des lumières, je n'étais pas à ma place et pourtant... Oui pourtant j'étais sous le charme comme un amoureux. Et puis le lendemain, il y a eu la 5ème avenue, la traversée du pont de Brooklyn, Central Park, les promenades au hasard dans les rues...

 

 Vous tenez dans la main le premier tome de ce Dimension New York. Je ne vous dévoilerai pas les sujets; je vous en laisse la surprise, car je veux que vous les découvriez comme j'ai moi-même découvert New York. Vous allez découvrir non pas UN New York, mais DES New York, car New York n'est pas unique... à chacun sa vision de cette ville.

 

TABLE DES MATIERES:

 Préface de Philippe Ward

 Daphnis Olivier Boelens : Entrailles

 Philippe Lemaire : Chronique Manna-hata

 Patrick Planès : Brisants New-Yorkais

 Francois Darnaudet : Retour à Sleepy Hollow

 Estelle Faye : Gardens in the Desert

 Fabien Clavel : Rome n'est plus dans Rome

 Romain Dasnoy : Un Télégramme pour Manhattan

 Chantal Robillard : Ex

 Jean-Marc Lofficier : Sibilla à Tribeca

 Alize Gabaude : Grace

 Roger Facon : Les Visages Voilés de Ténèbres

 Olivier Deparis : Conditionnés pour survivre

 Meddy Ligner : Quand King Kong débarqua à New York

 Anne Escaffit : Mon New York, Ta Lumière

 Vincent Jounieaux : Mini York

 Luce Basseterre : Ceux qui sont restés

 Pascal Malosse : Nocturnes

 Jean Mazarin : Adieu, Général...

 Maxime Tedesco : Les Rêveurs de Brooklyn Island

 Arnauld Pontier : Liberty Island

 Eric Boissau : Des Vers dans la Pomme

 David Criscuolo : Station Fantôme

 Catherine Rabier : Skyline

 Christian Surieux : NY Velvet

 Robert Barr : Le Sorcier de Wall Street

 Robert Barr : Opération Boursière

 Pierre-A. Sicart : 25¢

Cathy Coopman : La Dogwalkeuse

 Michael Espinosa : Les Invisibles

 Rémy Guyard : Parce que la nuit...

 

Rivière Blanche, Fusée 39. Dimension New York 1, ISBN-13: 978-1-61227-452-2

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Manhattan Ghost Philippe Ward Mickaël  Laguerre Rivière Blanche

Manhattan Ghost

Philippe Ward

Mickaël  Laguerre

Rivière Blanche

 

Philipe Ward nous livre avec Michaël Laguerre un ouvrage fort curieux.

 

La page de gauche est consacrée à une photo pleine page, photos qui sont absolument superbes de New York, d’ailleurs c’est le seul vrai regret que j’ai eu a la lecture du livre, le papier n’est pas « digne » des photos de Mickaël Laguerre, il aurait fallu un papier plus approprier.

 

Venons-en au texte, Philippe Ward n’est pas un inconnu de nos habitués nous avions fait un entretien sur la maison d’édition « Rivière Blanche » avec lui, et publier un article (voir lien plus bas) sur « Mascarades ». Cet ouvrage est de facture classique, comme toujours avec Philipe Ward. Texte et photos sont intimement liés, sans que l’une soit prépondérante sur l’autre

 

Cette fois il s’agit d’une nouvelle ayant pour toile de fond la « grosse pomme », on ressent l’amour des auteurs pour cette ville à la fois  dans les photos et le texte.

 

Lisa Kilpatrick, d’origine irlandaise comme son nom l’indique, travail dans la police new-yorkaise, un jour elle rencontre un ami…sauf qu’il est mort depuis déjà un bon moment. C’est aussi ça la particularité de ce livre nous offre des fantômes « lumineux ». Rien de glauque. Passionné de musique Lisa nous entraine dans la quête de la vérité sur la disparition de… John Lennon

 

Ce texte fantastique ainsi que les photos sont un prétexte idéal pour une promenade dans Manhattan, mais le Manhattan « ghost » celui des fantômes de la ville, il pourrait presque si vous vous rendez dans cette ville vous servir de guide touristique.

 

À la fois novella et art-book  sait un ouvrage à ne pas manquer.

 

Biographie

 

Philippe Ward est le nom de plume sous lequel Philippe Laguerre publie ses romans et nouvelles fantastiques3. Il a également écrit sous le pseudonyme de Gilles de Grandin. Il est également directeur de collection des éditions Rivière Blanche. Il coécrit très régulièrement avec la traductrice et auteur Sylvie Miller.

 

Œuvres

Romans

Philippe Ward, Artahe : roman fantastique, Paris, CyLibris éd.,‎ 1997, 259 p. (ISBN 2-84358-006-4, notice BnF no FRBNF36189063)

 

Philippe Ward, Irrintzina, Pantin, Éd. Naturellement, coll. « Forces obscures »,‎ 1999, 285 p. (ISBN 2-910370-54-2, notice BnF no FRBNF37041014)

 

Le Chant de Montségur (2001) (avec Sylvie Miller), Ed. CyLibris/Fantastique, 2001

 

La Fontaine de jouvence (sous le pseudonyme de Gilles de Grandin (2004), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2004, 2004

Meurtre à Aimé Giral (2006)

Noir Duo (avec Sylvie Miller, 113 préfaciers, 2007)

Dans l'antre des dragons (2008)

16, rue du repos (2009), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Noire n° 13, 2009

Mascarades (2009), Aïtamatxi Editions, 2009

Le glaive de justice (La saga de Xavi El Valent - 1) (2010) (avec Gildas Girodeau et François Darnaudet), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2072, 2010

...Ceci est mon sang (Radu Dracula - 1) (2011) (avec Philippe Lemaire), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Noire n° 26, 2011

De Barcelona à Montsegur (La saga de Xavi El Valent - 2) (2012) (avec François Darnaudet, Gildas Girodeau et Boris Darnaudet), Black Coat Press, Rivière Blanche, Coll. Blanche n° 2106, 2013

Sylvie Miller et Philippe Ward, Lasser, détective des dieux, vol. 1 : Un privé sur le Nil, Rennes, Éd. Critic, coll. « Fantasy »,‎ 2012, 327 p. (ISBN 979-10-90648-02-9, notice BnF no FRBNF43503535)

Sylvie Miller et Philippe Ward, Lasser, détective des dieux, vol. 2 : Mariage à l'égyptienne, Rennes, Éd. Critic, coll. « Fantasy »,‎ 2013, 306 p. (ISBN 979-10-90648-06-7, notice BnF no FRBNF43597551)

Magie rouge, Trash éd., coll. Trash n° 12, 2014, 150 p.

 

Nouvelles

Martha (1990)

Les vignes du seigneur (1998)

Le mur (2000) (avec Sylvie Miller)

Prorata temporis (2001)

After midnight (2002) (avec Sylvie Miller)

Mau (2002) (avec Sylvie Miller)

Le fils de l'eau (2003)

Le survivant (2003) (avec Sylvie Miller)

Les ferrets invisibles (2005) (avec Sylvie Miller)

Les chemins de l'esprit (2006)

Pas de pitié pour les pachas (2006) (avec Sylvie Miller)

Un futur inimitable (2007) (avec Sylvie Miller)

La belle au poids mordant (2009) (avec Sylvie Miller)

N'est pacha qui veut (2009) (avec Sylvie Miller)

Le crépuscule des maudites (2010) (avec Sylvie Miller)

Le pacha botté (2010) (avec Sylvie Miller)

Voir Pompéi et mourir (2012) (avec Sylvie Miller)

 

Distinctions

2000 : Prix Masterton, catégorie roman français, pour Irrintzina

2013 : Prix ActuSF de l'Uchronie, catégorie littérature, pour Lasser Détective des Dieux (avec Sylvie Miller)

 

 

 

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