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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #catherine deneuve

LA TOUR de Guillaume Nicloux

LA TOUR de Guillaume Nicloux

LA TOUR de Guillaume Nicloux

avec Angèle Mac

et Lina-Camelia Lumbroso

                                                                                      

Attention ne conviens pas aux moins de 18 ans et aux personnes sensibles.

 

Merci de laisser des commentaires

Faites connaitre le site à vos amis et contacts.

 

*****************

 

 

LA TOUR Le nouveau film de Guillaume Nicloux

Avec Angèle Mac, Hatik , Ahmed Abdel-Laoui, Lina-Camélia Lumbroso

France | Durée : 1h29 | Format : Scope 2.39 | Couleur | Son : 5.1

SYNOPSIS

Au cœur d'une cité, les habi­tants d'une tour se réveillent un matin et découvrent que leur immeuble est enve­lop­pé d'un brouillard opaque, obs­truant portes et fenêtres – une étrange matière noire qui dévore tout ce qui tente de la tra­ver­ser. Pris au piège, les rési­dents tentent de s'organiser, mais pour assu­rer leur sur­vie, ils suc­combent peu à peu à leurs ins­tincts les plus pri­mi­tifs, jusqu'à som­brer dans l'horreur...

 

 

 

AU CINÉMA LE 8 FÉVRIER

 

Guillaume Nicloux

Biographie bibliographie filmographie

Guillaume Nicloux

Nationalité          Fançaise

Profession          Réalisateur, écrivain

 

Films notables  

Le Poulpe

Cette femme-là

La Clef

 

Guillaume Nicloux, né le 3 août 1966 à Melun, est un réalisateur, scénariste et romancier français.

 

Biographie

Débuts de réalisateur et romancier (années 1980-1990)

En 1986, Guillaume Nicloux devient boursier du Centre national des lettres et crée sa compagnie, La Troupe. Il écrit plusieurs pièces de théâtre et met en scène Georges Arnaud, Maurice Pons et Copi.

 

En 1988, âgé de 22 ans, il démarre un cycle filmique dont les scénarios sont rédigés selon un principe d’écriture automatique. Son premier long métrage La Piste aux étoiles, tourné en 16 mm noir et blanc, est éclairé par Raoul Coutard, le chef opérateur de Jean-Luc Godard. L’année suivante, il filme au théâtre Goldoni de Venise Le Cirque imaginaire de Jean-Baptiste Thierrée et Victoria Chaplin.

 

En 1990, Nicloux tourne Les Enfants volants (Michael Nyman en compose la musique), et inaugure sa première sélection au Forum du festival de Berlin et au festival de Toronto. En 1991, il termine son cycle expérimental en réalisant pour Arte un film sans scénario, écrit au jour le jour, La Vie crevée avec Michel Piccoli. Le film sera en compétition au festival de Locarno.

 

En 1994, il réalise Faut pas rire du bonheur, avec Bernard-Pierre Donnadieu et Laura Morante. Le film est sélectionné à La Quinzaine des Réalisateurs, au festival de Cannes.

 

Durant deux ans, Nicloux se consacre exclusivement à l’écriture de romans qui paraîtront successivement aux éditions Climats, Flammarion et Jean-Jacques Pauvert. En 1997, il reprend son activité de cinéaste avec la comédie très décalée Le Poulpe interprété par Jean-Pierre Darroussin et Clotilde Courau. De 1998 à 2000, Nicloux écrit trois autres romans.

 

Cinéma noir (années 2000)

En 2001, Maurice Pialat envisage d’adapter Zoocity (réédité en 2003 chez Folio). La même année, Nicloux entame une trilogie consacrée au film noir dont le premier volet est Une affaire privée avec Thierry Lhermitte et Marion Cotillard. Second opus en 2003, Cette femme-là avec Josiane Balasko et Eric Caravaca.

 

En 2007, La Clef, avec Guillaume Canet et Vanessa Paradis, clôt le triptyque1.

 

Entretemps, en 2006, il réalise pour UGC Le Concile de Pierre, tourné en Mongolie, avec Monica Bellucci et Catherine Deneuve.

 

En 2009, Nicloux tourne La Reine des connes, dans la collection Suite noire pour France 2/Arte, avec Clément Hervieux-Léger.

 

Diversification (années 2010)

 

Le scénariste/réalisateur aux côtés de l'acteur Michel Houellebecq durant la promotion de L'Enlèvement de Michel Houellebecq.

 

Il retrouve Jean-Pierre Darroussin en 2010 et réalise Holiday, un huis clos sur le principe du Whodunit.

 

En 2011, il met en scène L'Affaire Gordji : Histoire d'une cohabitation pour Canal Plus, document-fiction où Michel Houellebecq interprète le patron de la DST.

 

À partir de 2012, Nicloux renoue avec des projets plus introspectifs. Il adapte La Religieuse de Denis Diderot, avec Pauline Étienne et Isabelle Huppert, en compétition officielle au festival de Berlin. L’année suivante, il tourne L'Enlèvement de Michel Houellebecq, avec Michel Houellebecq lui-même, sélectionné au Forum du festival de Berlin. Le film reçoit successivement le prix du meilleur scénario et le prix spécial du jury au festival de Tribeca, ainsi que le prix du meilleur film au festival des films du monde de Montréal.

 

Valley of Love avec Gérard Depardieu et Isabelle Huppert, en compétition officielle à Cannes, marque la première collaboration entre Nicloux et Depardieu. L’année suivante, ils tournent ensemble The End, premier long métrage français conçu pour une diffusion directement en VOD premium. Pour la troisième fois, l’un de ses films est sélectionné au Forum du festival de Berlin. Même s’il continue de tourner en 35 mm, Nicloux déclare au Monde, le 9 avril 2016 : « Nous sommes entrés dans l’ère du digitographe. »

 

En 2017, il met en scène Les Confins du monde, tourné au Vietnam, avec Gaspard Ulliel et Gérard Depardieu qui raconte le destin foudroyé d’un jeune soldat tiraillé entre désir de vengeance et passion amoureuse3.

 

En 2018, Nicloux réalise sa première mini-série pour Arte, intitulée Il était une seconde fois4,5, dans laquelle il retrouve l'acteur Gaspard Ulliel.

 

Publications

Romans

Zoocity. Paris : Baleine, 1996, 302 p. (Instantanés de polar ; no 22). Rééd. Gallimard, 2003, 319 p. (Folio policier ; no 284).

 

Le Saint des seins (série Le Poulpe no 2). Paris : Baleine, 1996, 152 p. (Baleine ; no 21. Le Poulpe). Rééd. EJL, 1999, 94 p. (Librio noir ; no 304. Le Poulpe). In coffret Le Poulpe, une sélection de 5 enquêtes du Poulpe.

 

C’est juste une balade américaine. Castelnau-le-Lez : Climats, 1997, 201 p. (Sombres climats ; no 4).

Le Destin est une putain. Paris : Flammarion, 1998, 198 p.

Jack Mongoly. Paris : Flammarion, 1998, 255 p.

Monsieur Chance. Castelnau-le-Lez : Climats, 1998, 234 p. (Sombres climats ; no 6).

Le Poulpe, le film : pour l’attendrir, faut taper dessus (novélisation du film. Coauteurs : Jean-Bernard Pouy et Patrick Raynal). Paris : Baleine, 1998, 140 p. (Baleine ; no 145. Le Poulpe).

L'Honneur perdu de Georges Blesse. Paris : Baleine, 2000, 95 p. (Série grise ; no 4).

Des brutes et des méchants, préface d'Alain Corneau. Paris : J.-J. Pauvert, 2001, 187 p. (Un cinéaste/un roman).

 

Bande dessinée

Le Saint des seins, scénario et dessins d'Alain Garrigue. Montpellier : 6 pieds sous terre, 2000, [46] p. (Céphalopode ; no 2).

 

Nouvelle

« Famille Killer : la fille », in Libération no 5, 12-13 août 2000, Cahier d’été : "Un été 2000", p. VIII, ill. n/b de Loïc Faujour. « Cette semaine, la famille Serial Killer (Fin) ». Reprise in Les 7 familles du polar, anthologie dirigée par Jean-Bernard Pouy. Paris : Baleine, 2000, p. 110-113.

« Le terrain » collectif Flammarion, 1998.

Articles

2016 : Les inrockuptibles no 1073 « 11 critiques de films pour Michel Houellebecq »

 

Filmographie

Cinéma

Courts métrages

1988 : La Piste aux étoiles

1999 : Lucie, avec Sylvie Testud, collection « Scénario sur la drogue ».

2000 : Echange standard, collection « Les Redoutables ».

Longs métrages

1990 : Les Enfants volants

1994 : Faut pas rire du bonheur

1998 : Le Poulpe

2002 : Une affaire privée

2003 : Cette femme-là

2006 : Le Concile de pierre

2007 : La Clef

2010 : Holiday

2013 : La Religieuse

2015 : Valley of Love

2016 : The End

2018 : Les Confins du monde

2019 : Thalasso

2022 : La Tour

Télévision

Téléfilms

1992 : La Vie crevée (diffusion : Arte)

2009 : La Reine des connes, collection Suite noire (diffusion : France 2, Arte)6

2012 : L'Affaire Gordji : Histoire d'une cohabitation (diffusion : Canal+)

2014 : L'Enlèvement de Michel Houellebecq

Documentaire

2021: Les Rois de l'arnaque (diffusion : Netflix)

Série télévisée

2018 : Il était une seconde fois

Acteur

1998 : Seul contre tous

1998 : Le Poulpe

2003 : Cette femme-là

2008 : Cliente

2015 : En solitaire

NOTE AUDIO D'INTENTION DE GUILLAUME NICLOUX -

Guillaume NICLOUX

Guillaume NICLOUX

Hatik

Hatik

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Les Prédateurs Catherine Deneuve David Bowie

LUMIERE 2016

Les Prédateurs

Catherine Deneuve

David Bowie

 

Il y a peu sur ce site, j’avais annoncé que le prix Lumière2016 serait attribué à Madame Catherine Deneuve, un internaute, auquel j’avais répondu, prétendait qu’elle n’avait jamais tourné de SF ou de film fantastique.

 

Surement trop jeune pour bien connaitre la carrière de la star française, Catherine Deneuve  à interpréter des rôles dans les genres les plus divers. Pour ce qui concerne les genres de l’imaginaire cela va du Merveilleux avec « peau d’âne », les films plus difficilement  classables de Luis Buñuel et pour en venir au film concerner par cet article dans des films fantastiques, film de vampire, et que l’on ne me parle pas de « avec les codes de…mais pas… ».

 

 Sinon je m’énerver sérieusement et je tiens à garder ma tension du jeune homme que je suis plus.

 

Bref on retrouve deux des plus grandes stars du cinéma mondial dans ce film, David Bowie a été un autant un grand musicien qu’un grand acteur (Furyo, labyrinthe, l’homme qui venait d’ailleurs…).

 

Ce film d’épouvante mériterait d’être largement plus connu, Catherine Deneuve y est pharaonique ainsi que David Bowie.

 

Fil indispensable dans votre dvdthéque.

 

Samedi 15 octobre 2016 à 17:45 Cinéma Opéra en présence de Régis Wargnier

 

Fiche du Film (Institut Lumière)

 

The Hunger

de Tony Scott ,

Royaume-Uni,

États-Unis ,

1983

 

Née en Égypte, il y a près de quatre mille ans, Miriam (Catherine Deneuve) est une immortelle. Grâce au sang frais dont elle se nourrit, elle conserve une jeunesse éternelle qu’elle partage avec son compagnon John (David Bowie) depuis trois cents ans. Soudain, ce dernier est frappé d’un vieillissement accéléré. Pour le sauver, Miriam fait appel à Sarah (Susan Sarandon), médecin spécialisée dans les mécanismes du vieillissement.

 

 

Adaptant le roman de l’auteur horrifique Whitley Strieber, Tony Scott, venu du monde de la publicité, livre, avec Les Prédateurs, un premier long métrage atypique, qui sera présenté hors compétition au Festival de Cannes en 1983.

 

Cet héritage publicitaire, le réalisateur l’entretient, cultivant avec soin une esthétique sophistiquée, aux allures de vidéo-clip. Les décors sont superbes et les costumes de Catherine Deneuve spécialement conçus par Yves Saint-Laurent. Lumière bleutée, plans striés, effets de voilages : Scott imprime à son film une plastique glaçante de cinéma publicitaire, grâce au talent de son chef opérateur Stephen Goldblatt.

 

 

 

PREDATEURS-1983-01

 

 

 

Dans les salles, le film échoue à trouver son public et la critique reproche au cinéaste ses excès de style, ce look new-wave qui a pourtant contribué ensuite à faire des Prédateurs un film emblématique des années 1980.

 

Les Prédateurs, c’est également un casting à l’alchimie remarquable, dans lequel on trouve Catherine Deneuve, subversive, froide, altière, aux côtés de la jeune Susan Sarandon et de David Bowie, figure rock androgyne.

 

Résolument ancré dans son époque, Les Prédateurs propose, en filigrane, derrière le brio de sa mise en scène, des thèmes de sa génération : l’apparition du sida, la contamination, l’impuissance de la médecine, mais également l’homosexualité féminine, à travers la relation sensuelle que nouent Catherine Deneuve et Susan Sarandon.

 

Film d’épouvante aux accents psychologiques, Les Prédateurs redéfinit les contours et les formes du mythe du vampire. À l'image de son titre original, The Hunger, le film exploite l’appétit de vivre, la faim dévorante de jeunesse, une quête insatiable, sanglante et libidineuse. Référence queer et pop, Les Prédateurs s’impose aujourd’hui comme un film culte du cinéma fantastique.

 

 

 

Les Prédateurs (The Hunger)

Royaume-Uni, États-Unis, 1983, 1h36, couleurs (Metrocolor), format 2.35

Réalisation : Tony Scott

Scénario : Ivan Davis, Michael Thomas, d’après le roman Les Prédateurs (The Hunger) de Whitley Strieber

Photo : Stephen Goldblatt

Effets visuels : Paul Corbould, Garth Inns, Graham Longhurst

Musique : Denny Jaeger, Michel Rubini, Bauhaus, Iggy Pop…

Montage : Pamela Power

Décors : Brian Morris

Costumes : Milena Canonero, Yves Saint-Laurent (pour Catherine Deneuve)

Production : Richard Sheperd, Metro-Goldwyn-Mayer, Peerford Ltd.

Interprètes : Catherine Deneuve (Miriam Blaylock), David Bowie (John Blaylock), Susan Sarandon (Sarah Roberts), Cliff De Young (Tom Haver), Beth Ehlers (Alice Cavender), Dan Hedaya (le lieutenant Allegrezza), Rufus Collins (Charlie Humphries), Suzanne Bertish (Phyllis), James Aubrey (Ron), Bessie Love (Lilybelle), Willem Dafoe (l’homme dans la cabine téléphonique)

 

Sortie aux États-Unis : 29 avril 1983

Présentation au Festival de Cannes : 10 mai 1983

Sortie en France : 13 juillet 1983

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© Patrick Swirc - Modds

© Patrick Swirc - Modds

Catherine Deneuve

Prix Lumière 2016

 

C’est la comédienne française Catherine Deneuve qui recevra le 8e Prix Lumière. Il lui sera remis lors du festival Lumière qui se tiendra à Lyon et dans sa Métropole du samedi 8 au dimanche 16 octobre 2016. « C’est une déesse du cinéma » dit d’elle Martin Scorsese qui reçut le Prix Lumière en 2015.

 

Décerné par l’Institut Lumière, le Prix Lumière est attribué à Catherine Deneuve pour ce qu’elle est, ce qu’elle fait, ce qu’elle dit, ce qu’elle joue, ce qu’elle chante et ce qu’elle enchante depuis toujours et pour toujours.

 

Catherine Deneuve est née à Paris dans une famille de comédiens : son père Maurice Dorléac est acteur au théâtre et au cinéma, sa mère Renée Simonot fut pensionnaire au Théâtre de l’Odéon, et l’une de ses soeurs, Françoise, sera également comédienne.

 

Elle fait ses premiers pas devant la caméra en 1957 dans Les Collégiennes d’André Hunebelle, et obtient d’autres petits rôles (L’Homme à femmes de Jacques-Gérard Cornu, Les Portes claquent de Michel Fermaud et Jacques Poitrenaud, le segment Sophie réalisé par Marc Allégret dans le film collectif Les Parisiennes).

 

Au début des années 1960, elle rencontre le cinéaste Roger Vadim. Elle joue pour lui, aux côtés d’Annie Girardot, dans Le Vice et la vertu, rôle important dans une décennie qui sera florissante : Catherine Deneuve illumine les films de Jacques Demy (Les Parapluies de Cherbourg qui fait d’elle une star, Les Demoiselles de Rochefort, Peau d’âne) et plonge dans l’univers de Roman Polanski (Répulsion), de Luis Buñuel (Belle de jour, Tristana) ou de François Truffaut (La Sirène du Mississipi).

 

Catherine Deneuve a tourné dans de nombreux films, elle est une actrice exigeante et une star populaire, la muse de grands maîtres et l’accompagnatrice indéfectible des jeunes réalisateurs. Traversant le cinéma français et international avec élégance et intensité, avec une distinction qui n’appartient qu’à elle, dotée de cette voix lointaine si reconnaissable, elle a travaillé avec les grands noms du cinéma français (André Téchiné, Agnès Varda, Jean-Pierre Melville, Alain Corneau, Régis Wargnier, Jean-Paul Rappeneau, Philippe de Broca, Philippe Garrel, Benoît Jacquot), européen (Luis Buñuel, Manoel de Oliveira, Raoul Ruiz, Marco Ferreri, Dino Risi, Mario Monicelli, Lars von Trier), américain (Terence Young, Tony Scott, Robert Aldrich) et désormais avec la nouvelle génération (Gaël Morel, François Ozon, Marjane Satrapi, Christophe Honoré, Arnaud Desplechin, Emmanuelle Bercot).

 

Si sa filmographie est éblouissante, ses rôles le sont tout autant. Femme forte ou fragile, énigmatique ou quotidienne, c’est avec une douce distance qu’elle développe un don d’ubiquité : être partout et se laisser désirer, emprunter les chemins de traverse, ne tourner que ce qu’on désire ardemment. Catherine Deneuve devenue mythe a un sens prodigieux pour choisir des cinéastes avec lesquelles elle veut voyager. « Je ne travaille pas à ma postérité. Je me sens comme une passagère. »

 

Sa carrière a été récompensée par de nombreux prix et si elle est discrète sur son parcours personnel, elle est engagée depuis des années pour le cinéma de patrimoine en tant qu’ambassadrice à la préservation du patrimoine cinématographique pour l’Unesco. Femme engagée, Catherine Deneuve a pris position sur le droit des femmes, l’abolition de la peine de mort et le soutien aux réfugiés. Elle fut également le visage de Marianne en 1985.

 

Ils ont dit d’elle :

 

Arnaud Desplechin : « Elle voulait changer le cinéma et sa douce intransigeance a tout bouleversé. Elle a inventé une façon nouvelle de regarder un film et de l’aimer. »

 

Régis Wargnier : « Son visage est comme un écran qui révèle et qui cache. »

 

Roman Polanski : « Travailler avec elle est comme danser le tango avec une cavalière farouche. »

 

André Téchiné : « J’ai appris à voir le monde à la clarté d’une fin d’après-midi d’été, quand les choses prennent leur vraie valeur. Elle est l’émanation de la lumière du soir, de l’étendue et du silence. »

 

François Truffaut : « D’une apparence romantique et fragile et d’un visage sublime qui suggère une deuxième existence pleine de pensées secrètes, elle crée du rêve et invente du mystère. »

 

 

Le Prix Lumière sera remis à Catherine Deneuve le vendredi 14 octobre au Centre de Congrès de Lyon, en présence du public et de nombreux invités venus du monde entier.

 

Le Prix Lumière a été créé par Thierry Frémaux et Bertrand Tavernier afin de célébrer à Lyon une personnalité du septième art, à l’endroit même où le Cinématographe a été inventé par Louis et Auguste Lumière et où ils ont tourné leur premier film, Sortie d’Usine, en 1895. Parce qu’il faut savoir exprimer notre gratitude envers les artistes qui habitent nos vies, le Prix Lumière est une distinction qui repose sur le temps, la reconnaissance et l’admiration.

 

Les Prix Lumière :

Clint Eastwood Prix Lumière 2009 [vidéo]

Milos Forman Prix Lumière 2010 [vidéo]

Gérard Depardieu Prix Lumière 2011 [vidéo]

Ken Loach Prix Lumière 2012 [vidéo]

Quentin Tarantino Prix Lumière 2013 [vidéo]

Pedro Almodóvar Prix Lumière 2014 [vidéo]

Martin Scorsese Prix Lumière 2015 [vidéo]

 

(Communiqué de Presse-Institut Lumière)

Clip Officiel

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