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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #nouvelles

Contes macabres Edgar Allan Poe Benjamin Lacombe

Contes macabres

Edgar Allan Poe

Benjamin Lacombe

 

En 2010 Benjamin Lacombe avait déjà illustré  Edgar Allan Poe et ses « contes macabres », publié aux  Éditions Soleil. Il nous aura donc fallu presque neuf ans pour avoir ce deuxième volume d’une sélection thématique de nouveaux contes.

 

Thématique, car si le premier volume était consacré aux femmes et à la mort, ce nouvel opus s’intéresse aux hommes et aux fantastiques.

 

Rappelons que les « contes macabres » avaient été traduits par Charles Baudelaire   dont vous trouverez une liste des traductions E.A.POE, peut-être pas exhaustive, en bas de page.

 

Je ne vous ferais pas l’affront de vous parler des textes ou de l’œuvre de l’auteur des « Contes Macabres », si vous suivez régulièrement ce site, vous ne pouvez qu’être amateur de son œuvre.

 

Venons-en donc aux illustrations le trait de Benjamin Lacombe est idéal pour ce genre de texte,  il semble évident qu’il a subi, et on le comprend l’influence de Mark Ryden, mais il a su aussi sans  détaché et crée son propre style.

 

 Ils avaient déjà illustré « Alice aux pays des merveilles » et « Notre dame de Paris, décidément il sait choisir ses auteurs. À remarquer concernant les auteurs que ceux du 19e siècle on ça faveur.

 

A la fin de l’ouvrage vous trouverez « Notes nouvelles sur E.A.POE »

 

Très bel ouvrage, avec une finition luxe, il ferait un très beau cadeau pour votre entourage je vous le recommande donc très fortement.

 

Déconseillé aux moins de 16 ans.   

 

Résumé :

L’influence d’Edgar Allan Poe dans le monde a été et demeure considérable : la critique contemporaine le situe parmi les plus remarquables écrivains de la littérature américaine du XIXe siècle, et ses nouvelles ont revêtu, au fil des ans, grand nombre de titres et d’aspects. Le premier volume des Contes macabres s’articulait autour de la vision de la femme et de la mort, tandis que ce second volume s’intéresse à celle de l’homme et du fantastique.

 

Note de l’éditeur :

Le premier volume des Contes macabres s’articulait autour de la vision de la femme et de la mort, tandis que ce second volume s’intéresse à celle de l’homme et du fantastique. Forte, pleutre, habitée par la mélancolie ou basculant dans la folie, la figure masculine selon Poe est complexe et, par là même, terriblement envoûtante.

 

Benjamin Lacombe a sélectionné de nouveaux contes, parmi lesquels Manuscrit trouvé dans une bouteille ou Petite discussion avec une momie, et propose un nouveau voyage graphique, à la frontière du réel, dans les tréfonds de l’âme humaine.

 

Après le succès incontesté du premier opus, Benjamin Lacombe propose un nouvel hommage au maître du romantisme américain autour de la figure masculine et du fantastique. L’influence d’Edgar Allan Poe dans le monde a été et demeure considérable : la critique contemporaine le situe parmi les plus remarquables écrivains de la littérature américaine du XIXe siècle, et ses nouvelles ont revêtu, au fil des ans, grand nombre de titres et d’aspects.

 

 

Benjamin Lacombe a sélectionné de nouveaux contes, parmi lesquels Manuscrit trouvé dans une bouteille ou Petite discussion avec une momie, et propose un nouveau voyage graphique, à la frontière du réel, dans les tréfonds de l’âme humaine. Un second hommage au maître du romantisme américain.

 

Biographies et bibliographies des auteurs :

Edgar Allan Poe

(1809-1849)

Edgar Allan Poe, né à Boston en 1809, a étudié en Angleterre, puis dans un collège de Virginie. Plus tard, il s’engagea dans l’armée et publia, à ses frais, son premier recueil, Tamerlan et autres poèmes (1827). En 1829, il trouva refuge chez une tante sans fortune, Maria Clemm, mère d’une fille, Virginia, qu’il épousa lorsque celle-ci eut quatorze ans. La même année, il publia un second recueil, Al Aaraaf.

 

À partir de 1831, Poe a composé des nouvelles, contes et poèmes : en 1833, Le Manuscrit trouvé dans une bouteille obtint un prix. Il continua alors à publier des oeuvres jusqu’au Corbeau, son plus grand succès. Malgré cela, Poe vécut dans la misère avec Maria Clemm et sa femme qui décéda en 1847. Il mourut à l’hôpital en 1849, à la suite d’une crise de delirium tremens.

 

Bibliographie (sélection)

 

Publications en volume du vivant d'Edgar Poe

 

(en) Tamerlan and Other Poems, Boston, Calvin F. S. Thomas, 1827.

(en) Al Aaraaf, Tamerlane and Minor Poems, Baltimore, Hatch and Dunning, 1829.

 

(en) Poems, second edition, New York, Elam Bliss, 1831.

 

(en) The Narrative of Arthur Gordon Pym from Nantucket, New York, Harper & Brothers, janvier-février 1837.

 

(en) The Narrative of Arthur Gordon Pym from Nantucket, Londres, Wiley & Putnam, 1838.

 

(en) The Conchologist's First Book, Philadelphie, Haswerl, Barrington et Haswell (réimpr. 1840, 1845) (1re éd. 1839).

 

(en) Tales of the Grotesque and Arabesque, Philadelphie, Lea & Blanchard, 1840, 2 volumes - publiés à 750 exemplaires.

 

(en) The Prose Romances of Edgar A. Poe (contenant : The Murders in the Rue Morgue et The Man that was used up), Philadelphie, William H. Graham, 1843, publié probablement à 250 exemplaires.

 

(en) The Raven and other Poems, New York, Wiley & Putnam, 1845.

(en) Tales, New York, Wiley & Putnam, 1845.

(en) Eureka, New York, Wiley & Putnam, 1848.

 

Éditions posthumes des œuvres d'Edgar Poe

(en) The Works of the Late Edgar Allan Poe (édition de Rufus Griswold), volumes 1-2, New York, J. S. Redfield, 1850 ; vol. 3, 1850 ; vol. 4, 1856 (édition posthume préparée par Edgar Poe, réimprimé par Redfield jusqu'en 1859 puis par W. J. Widdleton jusqu'en 1871).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (édition de John Henry Ingram), 4 volumes, Édimbourg, Black, 1874-1875 (plusieurs rééditions avec d'importantes corrections et révisions).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (avec un mémoire de Richard Henry Stoddard) 6 volumes, New York, A. C. Armstrong & Son, 1884 ; Londres, Kegan Paul, Trench, 1884 (8 volumes, New York, George P. Putnam's Sons, A. C. Armstrong & Son, 1884).

 

(en) The Works of Edgar Allan Poe (édition d'Edmund Clarence Stedman et George Edward Woodberry), 10 volumes, Chicago, Stone & Kimball, 1894-1895.

 

(en) The Complete Works of Edgar Allan Poe (édition de James Albert Harrison, avec des notes de Robert Armistead Stewart), 17 volumes, New York, Thomas Y. Crowell and Company, 1902 (édition baptisée : The Virginia Edition et The Monticello Edition, cette dernière version ayant un papier d'un plus grand format).

 

(en) The Complete Poems of Edgar Allan Poe (préface et mémoire de James Howard Whitty), Boston & New York, Houghton Mifflin Co., 1911.

 

(en) Politian, an unfinished tragedy by Edgar A. Poe: edited from the original sources, including the autograph manuscripts in the Pierpont Morgan Library (édition de Thomas Ollive Mabbott), Richmond, The Edgar Allan Poe shrine, 1923.

 

(en) The Collected Works of Edgar Allan Poe (édition de Thomas Ollive Mabbott) : Volume 1 : Poems, Cambridge, The Belknap Press of Harvard University Press, 1969 (réimpression, 1979 puis, sous la forme de livres brochés, sans un certain nombre d'annexes, Harvard, 1980 ; rémpression avec le texte complet, University of Southern Illinois, 2000) ;Volumes 2-3 : Tales and Sketches, Cambridge, The Belknap Press of Harvard University Press, 1978 (réimpression, 1979 ; University of Southern Illinois, 2000).

 

(en) The Collected Writings of Edgar Allan Poe (édition de Burton Ralph Pollin) : Volume 1 : The Imaginary Voyages (comprenant : The Narrative of Arthur Gordon Pym, The Unparalleled Adventure of one Hans Pfaall et The Journal of Julius Rodman), Boston, Twayne Publishers, 1981 ;

Volume 2 : The Brevities: Pinakidia, Marginalia and Other Works, New York, Gordian Press, 1985 ;

Volumes 3 & 4 : Writings in The Broadway Journal: Nonfictional Prose, New York, Gordian Press, 1986 ;

Volume 5 : Writings in the Southern Literary Messenger: Nonfictional Prose, New York, Gordian Press, 1997.

 

 

Traductions de Charles Baudelaire (1857)

Notes nouvelles sur Edgar Poe (Introduction de Charles Baudelaire)

Le Démon de la perversité (1845)

Le Chat noir (1843)

William Wilson (1839)

L’Homme des foules (1840)

Le Cœur révélateur (1843)

Bérénice (1835)

La Chute de la maison Usher (1839)

Le Puits et le pendule (1842)

Hop-Frog (1849)

La Barrique d’amontillado (1846)

Le Masque de la mort rouge (1842)

Le Roi Peste (1835)

Le Diable dans le beffroi (1839)

Lionnerie (1835)

Quatre bêtes en une (1833)

Petite Discussion avec une momie (1845)

Puissance de la parole (1845)

Colloque entre Monos et Una (1841)

Conversation d’Eiros avec Charmion (1839)

Ombre (1835)

Silence (1835)

L’Île de la fée (1841)

Le Portrait ovale (1842)

 

Benjamin Lacombe

(1982-)

Benjamin Lacombe, auteur et illustrateur né à Paris en 1982, est l’un des représentants phares de la nouvelle illustration française.

En 2001, il entre à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD), et signe à dix-neuf ans sa première BD. Son projet de fin d’études, Cerise Griotte, est son premier livre qui paraît aux éditions du Seuil, en 2006. Il est publié l’année suivante par Walker Books (États-Unis), et sélectionné par le Time Magazine comme l’un des dix meilleurs livres jeunesse de l’année. Depuis, Benjamin a écrit et illustré une trentaine d’ouvrages vendus à plus de 1,2 million d’exemplaires à travers le monde. Il expose son travail en galerie et travaille notamment avec Ad Hoc Art (New York), Dorothy Circus (Rome), Maruzen (Tokyo) et la Galerie Daniel Maghen (Paris).

 

Publications (sélection)

 

Littérature jeunesse

Le Petit Chaperon rouge, Éditions Soleil , 2003.

Cerise Griotte, Éditions Seuil Jeunesse, 2006.

Longs cheveux, Éditions Talents Hauts, 2006.

La Funeste nuit d'Ernest, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Sarbacane, 2007.

Les Amants Papillons, Édition Seuil Jeunesse, 2007.

La petite sorcière, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Seuil Jeunesse, 2008.

Le Grimoire de Sorcières, Éditios Seuil Jeunesse, 2008.

La grande journée du petit Lin Yi, Éditions Milan Jeunesse, 2009.

La Mélodie des Tuyaux, conte musical lu par Olivia Ruiz, Éditions Seuil Jeunesse, 2009.

Blanche-Neige, Éditions Milan, 2010.

L'herbier des fées, texte coécrit avec Sébastien Perez, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2011.

Ondine, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2012.

Swinging Christmas, texte coécrit avec Olivia Ruiz, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2012.

Madame Butterfly, Éditions Albin Michel Jeunesse, 20134

Les Super-héros détestent les artichauts, Éditions Albin Michel Jeunesse, 2014.

L'ombre du Golem, (deux tirages simple et deluxe) Texte Eliette Abécassis Benjamin Lacombe,2017

 

Littérature adulte

Edgar Allan Poe, Les contes macabres, Édition Soleil, 2010.

Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Partie 1, Éditions Soleil, 2011.

Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Partie 2, Éditions Soleil, 2012.

Memories, Éditions Daniel Maghen, 2013.

Marie-Antoinette, Carnet secret d'une reine, Éditions Soleil, 2014.

Prosper Mérimée,Carmen,Éditions Soleil,2017.

Curiosités, Artbook Benjamin Lacombe,Éditions Daniel Maghen Eds,2017.

 

Bande dessinée

L'esprit du temps tome 1, Éditions Soleil, 2003.

L'esprit du temps tome 2, Éditions Soleil, 2005.

Léonard & Salaï tome 1, Éditions Soleil, 2014.

 

Illustration

Charles Perrault, Le maître chat, Éditions Hatier, 2003.

Pourquoi la carapace de la tortue n'est-elle plus lisse du tout ?, texte de Mimi Barthélémy, Seuil Jeunesse, 2006.

Raconte-moi encore un conte, collectif d'illustrateurs, Éditions Tourbillon, 2007.

Destins de chiens, texte de Sébastien Perez, Éditions Max Milo Jeunesse, 2007.

L'Enfant silence, texte de Cécile Roumiguière, Éditions Seuil Jeunesse, 2008.

La Grande journée du petit Lin-Yi, texte de Brenda Willams, traduit par Charlotte Fierens, Milan, 2009.

Il était une fois, Éditions, Seuil Jeunesse, 2010. Album pop up qui interprète les textes classiques suivants : Poucette, Pinocchio, Madame Butterfly, Le Petit Chaperon rouge, Alice au pays des merveilles, La Barbe bleue, La Belle au bois dormant, Peter Pan.

Jakob et Wilhelm Grimm, Blanche Neige, Milan, 2010.

Rossignol, texte de Sébastien Perez, Éditions Seuil Jeunesse, 2011.

À l'école des pages du Roy Soleil, texte d'Arthur Ténor, Tome 1 : « Sabotages en série à Versailles », Éditions Seuil Jeunesse, 2011.

Facéties de chats, texte de Sébastien Perez, Éditions Margot, 2015.

Curiosity House : The Shrunken Head, texte de Lauren Oliver et H.C. Chester, 2015.

Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles, Éditions Soleil, 2015.

Lewis Carroll, Alice de l'autre côtés du miroir, Éditions Soleil, 2016.

Frida, Éditions Albin Michel Jeunesse ,2016.

 

Auteur

Blues Bayou, illustrations de Daniela Cytryn, Milan Jeunesse Éditions, 2009.

Le Carnet Rouge, illustrations d'Agata Kawa, Seuil, 2010

 

 

Benjamin Lacombe

Benjamin Lacombe

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Entretien Frédéric Bonnotte Auteur

Entretien

Frédéric Bonnotte

Auteur

 

Stéphane Dubois,

Bonjour Frédéric,

Avant de parler de ton dernier ouvrage « Juno », je voudrais que tu nous dises d’où te vient le gout pour la SF, comment as-tu découvert cet univers ?

 

Frédéric Bonnotte,

Bonjour !
J’ai grandi en lisant du Stephen King. J’ai passé des heures à m’intégrer dans ses univers macabres et dérangés. Il m’a donné envie, très jeune, de faire de même : créer des univers et des personnages, y incorporer des problématiques. Il m’a donné envie, à mon tour et armé de mon état d’esprit encore juvénile, de créer des histoires qui feraient rêver bien des lecteurs, autant que lui a réussi à me faire rêver. Et c’est plus récemment que j’ai commencé à m’intéresser à l’astronomie et aux sciences, à essayer de comprendre ce qui ne pourra jamais l’être : qu’est-ce que l’univers ? Un univers qui a tellement de facette qu’il nous permet de rêver et donc, d’imaginer, encore et encore. Quelle meilleure source d’inspiration ?

 

 

Stéphane Dubois,

Tu ne t’intéresses pas qu’à l’écriture, tu es aussi compositeur de musique, comment tu articules les deux, Bach est un de tes compositeurs préférés je crois, et tu fais…du Métal ?

 

Frédéric Bonnotte,

Je suis un grand fan de musique, effectivement. J’adore la mélodie, deux chants qui s’harmonisent, deux instruments qui ne jouent pas la même chose mais qui, une fois assemblés, donnent des messages emplis de sens. C’est bel et bien le métal qui m’a fait découvrir ces aspects musicaux. C’est plutôt drôle à dire, mais un bon nombre de groupe de métal actuel ne s’oriente pas vers la brutalité pure. Certes, vous trouverez du gras et inaudible dans le métal, mais d’autres se jouent de la musique, se jouent des notes et de structures labyrinthiques.

 

J’ai donc joué dans mon propre groupe qui s’appelait « Subconscience » pendant de longues années. Ca a été une très bonne expérience. Mais le groupe s’est dissout en 2012. Après tout ceci, je crois qu’il était inéluctable de me mettre à la musique classique. Après avoir réellement écouté la Toccate & fugue de Bach, j’étais sûr de ce que j’aimais dans la musique.

 

Le projet de mes compositions musicales était de créer des livres audio très musicaux, tout en tirant des compositions métal et en les arrangeant musicalement pour les rendre classique. Mais je crois que je suis toujours en pleine recherche de mon style, des instruments à utiliser, etc.

 

 

Stéphane Dubois,

KING et Damasio font partie de tes auteurs préférés, que t’apportent-ils par rapport à d’autres auteurs des genres de l’imaginaire ?

 

 

Frédéric Bonnotte,

King a été celui qui m’a fait réellement découvrir la littérature. Je n’ai jamais lu de grands classiques français, par exemple. J’ai préféré être éduqué par le langage parfois cru de King, par ses histoires horribles. Damasio, quant à lui, m’a apporté plusieurs choses. J’avais arrêté d’écrire une fois bien entré dans le monde actif. C’est après la lecture du fabuleux « La Horde du Contrevent » que mes envies d’explorer des univers m’ont repris. Dans ce livre, j’avais remarqué un détail, plutôt quelque chose de très important et que je n’avais pas compris avant : si les personnages n’ont aucune âme, alors le livre n’en aura aucune. C’est lui qui m’a donné envie de recommencer à écrire après une longue période d’arrêt, car je pensais avoir trouver ce qu’il manquait donc à mes premiers essais : une âme.

 

Stéphane Dubois,

Avant JUNO, tu avais déjà publié Le Monde Effroyable de Maconïs prévu en 2 tomes associés aux Chroniques des Génies, quelle était ta démarche ?

 

Frédéric Bonnotte,

J’avais effectivement publié Le Monde Effroyable de Maconïs, prévu en deux tomes, sur diverses plates formes littéraires. Mais l’histoire était trop longue, peut-être trop simple ou trop cinématographique. Le roman tombait à l’abandon, plus ou moins. J’aimais tellement ces personnages des Génies que j’ai voulu retravailler le roman. Je l’ai rendu plus court, plus clair quoique parfois un peu plus métaphorique. Cependant, la première personne à avoir lu la nouvelle version n’a pas eu le courage de lire plus de deux pages : le style lui déplaisait vraiment. J’ai voulu abandonner mais l’attrait des Génies était trop fort. Je ne pouvais pas m’arrêter sur cette critique rapide. Finalement, la même maison d’édition qui a édité Juno a choisi de s’emparer du roman également. Il sera disponible sous sa version finale d’ici très peu de temps et effectivement sous le nom des Chroniques des Génies.

 

 

Stéphane Dubois,

Pourquoi as-tu besoin de plusieurs modes d’expression  artistique pour t’exprimer : écriture, dessin, musique, imagination. Jeux vidéo…

 

Frédéric Bonnotte,

Tout simplement, je crois, parce que mon cerveau et mon imagination ne sont jamais réellement en pause. J’aime créer, imaginer, développer. Approfondir un univers littéraire avec quelques notes de musique, cela me procure réellement du plaisir. Malheureusement, le dessin n’est pas ma spécialité – dirons-nous que c’est plutôt affreux – et j’aurais tout autant aimé créer des bandes dessinées, etc. Tout ça pour soulager une imagination débordante et comme je l’avais écrit dans la première question, dans l’espoir de faire rêver d’autres comme j’ai pu rêver.

 

Stéphane Dubois,

Venons-en à JUNO comment t’es venu l’idée de cet ouvrage et comment tu le situes dans ta démarche globale de création.

 

Frédéric Bonnotte,

L’idée de l’ouvrage m’est venue en regardant le film « Cloverfield ». J’appréciais beaucoup l’idée qu’enfin, un être humain seul ne puisse empêcher la fin du monde. Et qu’au contraire, les protagonistes de l’histoire sont, tout au long de ce carnage cinématographique, juste spectateurs de ce qu’il se passe. Donc l’idée d’écrire dessus est née naturellement. Mais je voulais inclure une légère contradiction : mes personnages seraient spectateurs tout en ayant un léger rôle à jouer.

 

L’intérêt du livre est qu’il n’y a pas de héros, concrètement. Chaque personnage devient le JE de l’histoire et nous permet de s’identifier à lui. Nous sommes tous héros de cette histoire. Chacun des protagonistes réagira à sa manière face à l’histoire. Chacun des protagonistes prendra telle ou telle décision. Chacun d’entre eux aura participé à sa manière à l’histoire de Juno. Je crois, qu’au final, chacun des protagonistes n’est qu’une représentation de mes divers états d’esprits : déprimé ou enjoué, spectateur ou poète, animal ou enfant.

 

 

 

Stéphane Dubois,

Et tu penses associer comme tu l’as déjà fait, plusieurs formes d’art à JUNO.

 

Frédéric Bonnotte,

J’aurais voulu le faire mais tout ceci est plutôt délicat. Trouver un éditeur qui serait prêt à mettre en vente un audiobook dans ce style n’est pas évident, surtout pour un auteur inconnu du grand public. C’est un gros risque. Damasio l’avait fait, dans son style. Il m’avait donné les bases d’un projet que j’avais en tête depuis bien longtemps et bien avant la lecture de sa Horde. L’autre grande difficulté est de composer des morceaux qui colleraient avec l’univers et qui seraient audibles, la musique assistée par ordinateur n’est pas de tout repos ! Pour Juno, je n’ai composé que deux morceaux, très différents l’un de l’autre mais n’en ai pas refait d’autres depuis que le livre a été édité.

 

Stéphane Dubois,

Pour finir quels sont tes projets à plus ou moins long terme ?

 

Frédéric Bonnotte,

Réussir à me vendre et à me faire connaître, ce qui n’est pas toujours simple. Je ne suis pas très vendeur... Continuer à créer des mondes à l’agonie, dans mon style d’anticipation. Et continuer malgré tout de créer des mondes qui, sous de tristes aspects perdus, ne le sont jamais réellement : il y aura toujours de l’espoir.

 

L’objectif utopique serait de percer dans ce domaine, d’avoir accès au cinéma, de rendre concrètes les images qui se dessinent dans ma tête lorsque j’écris. Tout ceci serait l’extase professionnelle.

 

Mais en étant plus réaliste, l’objectif rêvé est de recevoir des mails de lecteurs ayant vibré pour mes lectures. Là, je pourrais me dire que j’aurais réussi ce que je voulais réellement faire de ma vie : faire rêver.

 

Bibliographie :

  • Juno – Frédéric Bonnotte, édité par Le Lys Bleu Editions
  • Chroniques des Génies – Frédéric Bonnotte, édité par Le Lys Bleu Editions
  • Scary – Frédéric Bonnotte, accepté mais sous réserve
  • « Les brumes de nos sens » (en cours d’écriture)

 

Biographie :

Frédéric Bonnotte est un passionné de littérature, d’astronomie et de science-fiction. Fraiseur-aléseur de métier, il écrit durant ses temps libres et quelques romans aux nuances apocalyptiques et totalement désespérées naissent, dont Juno et les Chroniques des Génies.

Extrait de JUNO , merci a l'auteur.

Entretien Frédéric Bonnotte Auteur

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Le Gambit du renard Yoon Ha Lee

Le Gambit du renard

Yoon Ha Lee

 

Surement que l’auteur un joueur comme beaucoup de mathématiciens,  car « gambit » est un terme employé dans divers jeux comme les  échecs, les dames et d’autres qui désigne un sacrifice volontaire de pion.

 

L’on retrouve les racines coréennes avec la figure légendaire du « renard à neuf queues » remis dans une perspective futuriste. Et le Renard de ce roman est prêt à sacrifier beaucoup de pions pour arriver à ses fins. Le roman fait partie d’une trilogie dont il est le premier volume.

 

Et c’est bien là tout le génie de l’auteur, s’approprier une ancienne légende pour un faire un Space opera moderne et crédible.

 

Ce premier roman vient après de très nombreuses nouvelles, dont vous trouverez plus bas la bibliographie, et d’entrée l’auteur nous surprend agréablement, il n’est pas toujours, voire rarement évident de passer de la nouvelle au roman, trop souvent la déception est là.

 

Les Éditions Denoël devraient publier les deux autres tomes, une fois les traductions effectuées, du moins nous l’espérons et le souhaitons vivement.

 

À lire et conserver dans sa bibliothèque.  

 

 

 

 

Résumé du livre :

Une histoire des plus surprenantes dans un univers aussi fascinant que déroutant. Un monde inclassable, saisissant d’humanité et de cruauté.

 

Après avoir utilisé des armes non conventionnelles lors de son affectation sur le monde Saupoudré, la capitaine Kel Cheris tombe en disgrâce. Pour lui donner une chance de se racheter, elle est promue général par le commandement de la faction Kel qui lui confie une mission d’une importance vitale pour l’Hexarcat, le système des six factions : mater la rébellion en cours dans la Forteresse stratégique des Aiguilles Diffuses. Mais cette promotion est assortie d’une terrible condition : ancrer en elle l’esprit du général Shuos Jedao, ancien traître et fou sanguinaire mort depuis des siècles, mais stratège de génie qui n’a jamais perdu une bataille.

 

Sur place, les choses se compliquent : la rébellion est-elle vraiment menée par une septième faction dissoute depuis des siècles ? Et que cachent les six factions officielles à la horde menée par Kel Cheris ?

 

Que sait exactement Jedao, et qui fut-il réellement ? Un premier roman qui nous ouvre les portes d’un monde original reprenant notamment les figures mythologiques coréennes dont le Kumiho, le renard à neuf queues. Un imaginaire proche des origines de l’auteur. Ce roman a rencontré un grand succès aux États-Unis.

 

 « Le Gambit du renard est un roman parfaitement accompli. Yoon Ha Lee fait une entrée spectaculaire dans le genre. » Alastair Reynolds.

 

 « Un croisement entre Starship Troopers et Apocalypse Now – et c’est Kurtz qui est aux commandes ! Un space opera à couper le souffle, porté par un foisonnement d’idées et d’étrangetés qui rappelle les

oeuvres de Hannu Rajaniemi, voire de Cordwainer Smith. Un premier roman à ne louper sous aucun prétexte. » Stephen Baxter « Un premier roman exceptionnel. » Locus

 

 

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Sébastien Raizer

Nombre de pages : 368

Format : 140 x 205 mm

ISBN : 978.2.207.14156.4

Prix : 22,50 €

 

Biographie et bibliographie :

Biographie :

Yoon Ha Lee, né en 1979, est un écrivain américain d’origine coréenne. Il est diplômé de l’Université de Stanford et a enseigné les mathématiques.

 

Après avoir fréquenté l'école internationale de langue anglaise Seoul Foreign School, il obtient un diplôme d'enseignement de niveau secondaire en mathématiques à l'Université de Stanford. Il a exercé les métiers d'analyste, de web designer et d'enseignant en mathématiques.

 

En 1999, Yoon Ha Lee vend ses premières nouvelles, notamment à The Magazine of Fantasy & Science Fiction, Clarkesworld et Lightspeed magazine. Trois de ses nouvelles sont republiées dans l'anthologie de Gardner Dozois The Year's Best Science Fiction. En 2010, The Pirate Captain's Daughter est nommé pour le prix WSFA Small Press. En 2011, puis 2012, Flower, Mercy, Needle, Chain et Ghostweight sont nommés pour le prix Theodore Sturgeon et le prix Locus de la meilleure nouvelle courte.

 

En 2013, les éditions Prime Books publient son recueil de nouvelles Conservation of Shadows. Aliette de Bodard écrit l'introduction de l'ouvrage, et recommande en particulier les nouvelles Ghostweight et The Knight of Chains, the Deuce of Stars.

 

Les droits de publication de son premier roman sont acquis par les éditions Solaris Books. Il s'agit d'une trilogie intitulée The Machineries of Empire, dont le premier tome Le Gambit du renard (Ninefox Gambit) est paru en juin 2016.

 

Bibliographie

Série The Machineries of Empire

1.Le Gambit du renard, Denoël, coll. « Lunes d'encre », 2018 ((en) Ninefox Gambit, Solaris Books, 2016), trad. Sébastien Raizer

 

Prix Locus du meilleur premier roman 2017

 

2.(en) Raven Stratagem, Solaris Books, 2017

3.(en) Revenant Gun, Solaris Books, 2018

 

Recueil de nouvelles[modifier | modifier le code]

(en) Conservation of Shadows, Prime Books, 2013 (en) Ghostweight, 2011

(en) The Shadow Postulates, 2007

(en) The Bones of Giants, 2009

(en) Between Two Dragons, 2010

(en) Swanwatch, 2009

(en) Effigy Nights, 2013

(en) Flower, Mercy, Needle, Chain, 2010

(en) Iseul's Lexicon, 2013

(en) Counting the Shapes, 2001

(en) Blue Ink, 2008

(en) The Battle of Candle Arc, 2012

(en) A Vector Alphabet of Interstellar Travel, 2011

(en) The Unstrung Zither, 2009

(en) The Black Abacus, 2002

(en) The Book of Locked Doors, 2012

(en) Conservation of Shadows, 2012

 

 

Autres nouvelles

(en) Distinguishing Characteristics, 2014 Parue dans Dangerous Games

(en) Always the Harvest, 2014 Parue dans Upgraded

(en) Warhosts, 2014 Parue dans War Stories

(en) The Contemporary Foxwife, 2014 Parue dans Clarkesworld Magazine #94

(en) Combustion Hour, 2014 Parue sur Tor.com

(en) The Bonedrake's Penance, 2014 Parue dans Beneath Ceaseless Skies #143

(en) Wine, 2014 Parue dans Clarkesworld Magazine #88

(en) The Cold Inequalities, 2015 Parue dans Meeting Infinity

(en) Interlingua, 2015 Parue dans Uncanny Magazine

(en) Variations on an Apple, 2015 Parue sur Tor.com

(en) The Old Road, 2015 Parue dans Not One of Us #54

(en) Gamer's End, 2015 Parue dans Press Start to Play

(en) Snakes, 2015Parue dans Clarkesworld Magazine

(en) Apocalypse Foxes, 2015 Parue dans Daily Science Fiction

(en) Two to Leave, 2015 Parue dans Beneath Ceaseless Skies

(en) The Graphology of Hemorrhage, 2015 Parue dans Operation Arcana

(en) The Queen's Aviary, 2015 Parue dans Daily Science Fiction

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Le conflit – Oiseaux et Cie Nicolas Antoniucci

Le conflit – Oiseaux et Cie

Nicolas Antoniucci

 

Vous connaissez désormais bien cet auteur, nous vous avons parlé plusieurs fois déjà des ouvrages, et avons également publié un entretien de Nicolas ANTONIUCCI.

 

Il décrit son dernier ouvrage comme un parallèle de son précédent livre « Cnidaria, Reine méduse ».

D’ailleurs vous y retrouvez les inspecteurs Jules Bavure et La Biche belle et dangereuse experte des arts martiaux.

 

Si sans aucun doute il s’agit bien dans cet ouvrage, d’un peu plus de 130 pages,  d’un livre de science-fiction, il s’agit aussi d’une enquête policière avec de l’action et du suspense.

 

La longueur du texte et le fait qu’il soit relativement court, et en plus le fait que nous vous offrons ci-dessous, un extrait en téléchargement  libre et gratuit (légal) ainsi que le lien direct avec le site de l’auteur, rend difficile de vous en parler en profondeur sans déflorer l’intrique.

 

Comme dans ses précédents ouvrages Nicolas ANTONIUCCI utilise la science-fiction pour nous alerter sur ce que peut faire de négatif l’homme sur son propre environnement «Main basse sur le sixième  Continent », ou sur la folie guerrière elle aussi destructrice pour notre planète.

 

Les hommes sont destructeurs, pour eux-mêmes, mais peut-être aussi pour leur planète.

 

Si nous devons faire des efforts, les derniers évènements de l’actualité montrent bien que les plus pollueurs ne sont pas les plus pauvres, mais que l’on veut faire payer les plus pauvres.

 

Le précepte « pollueurs-payeurs » est devenu « pauvres-payeurs ».   

 

Je vous en recommande la lecture.

 

 

 

Résumé de l’ouvrage :

Les inspecteurs Jules Bavure et La Biche enquêtent sur des meurtres dont toutes les victimes portent mystérieusement des noms d’oiseaux.

 

Les scènes de crime sont encombrées d’objets de peu de propos, météorites, plumes colorées ou insectes d’origines préhistoriques et rampants…

 

Ils sont aux prises avec des personnages aux allures atypiques, tels un hacker, Corvus Poltergeist, et Cornix, un petit bonhomme aux allures étranges, affublé d’une tête circulaire et de grands pieds de clowns.

 

Cette affaire prit tellement d’ampleur qu’elle concernera tous les pays de la Terre se trouvant simultanément attaqués par des êtres issus de la planète Mars mais qui l’auront quittée jadis, lorsqu’elle sera devenue impropre à la vie.

 

L’histoire du livre « Le Conflit – Oiseau & Cie » raconte une guerre qui eut lieu, entre hommes et Martiens.

 

Il est une sorte de parallèle, tracée dans le ciel et l’espace, du précédent roman de l’auteur, « Cnidaria, Reine méduse », se déroulant dans les profondeurs des océans.

 

Date de parution 16/11/2018

Collection Romans

 Format 15cm x 22cm

EAN 978-2376921158

ISBN 2376921155

 Nombre de pages 142

Editeur : Libre d’ECRIRE

 Format 15,20 x 22,90 cm

 Prix : 15 E

Extrait Le conflit – Oiseaux et Cie Nicolas Antoniucci

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Rétrograde Peter Cawdron

 

Rétrograde

Peter Cawdron

 

Le côté écriture cinématographique très cinématographique de ce livre peut déplaire aux amateurs de Science-fiction hard. Cet auteur a eu souvent des avis très tranchés sur ces diverses oeuvres par exemple : Z is for Zombies (voir bibliographie plus bas dans l’article). Surement que ce livre aurait mérité d’être traité sous forme d’une nouvelle et donc avec une centaine de pages de moins.

 

À sa décharge, il faut dire qu’il a beaucoup écrit, justement de nouvelles, bien plus que de romans..

 

Alors, quoi dire de positif sur cette œuvre ?

Le premier point sait que cet ouvrage a de toute évidence été écrit avec une documentation scientifique très approfondie, le Dr Andrew  Rader, ingénieur chez SPACEX et auteur de divers livres sur cette thématique, explicite très clairement que la colonisation permanente de Mars est possible dans les 40 à 50 ans, qu’il s’agit d’une question d’ingénierie et la technologie actuelle ou proche le permettrait.

 

J’ai depuis l’enfance toujours été passionné par l’exploration spatiale et comme beaucoup j’ai vu en direct le premier homme poser le pied sur la Lune.

Je ne verrais surement pas la colonisation et l’exploitation de MARS, par les hommes dommage, mais j’y suis totalement favorable, tant pis si je choque les « écolos », j’ai toujours affirmé haut et fort mon opinion sur ce thème (comme sur d’autres sujets). Au moins si ce livre n’est pas le meilleur publié par DENOEL dans sa collection LUNE d’ENCRE, il a ce mérite de nous faire réfléchir à cette future avancé de l’Humanité.

 

 

 

Résumé du livre :

En arrivant sur Mars, ils étaient parés à toutes  les éventualités, sauf une… Comment survivre quand tout contact avec la Terre est coupé ?

 

Liz Anderson est l’une des cent vingt personnes vivant au sein de la colonie martienne Endeavour. En tant que micropaléobiologiste, elle est chargée d’explorer les tunnels de lave souterrains et d’analyser les échantillons de roche à la recherche d’une éventuelle vie microbienne, présente ou passée. Entourée de ses collègues représentant les principaux pays du monde, et sous la direction de quatre agences spatiales travaillant de concert, Liz s’est engagée pour une mission de dix ans sur la planète rouge.

 

Mais la camaraderie martienne vole en éclats lorsque, sur Terre, les silos de toutes les nations s’ouvrent et font pleuvoir le feu nucléaire sur plusieurs grandes villes du globe. Les communications sont coupées et les colons se retrouvent isolés à plusieurs centaines de millions de kilomètres de chez eux.

 

Qui croire quand les rumeurs prennent le pas sur l’information ? Vers qui se tourner quand les rivalités entre les nations resurgissent ? Et comment, malgré le chagrin et l’incompréhension, continuer à agir pour le bien de la colonie et de l’humanité tout entière ? Alors qu’à tout instant Mars peut vous tuer.

Un thriller de politique-fiction qui suscitera chez le lecteur méfiance et paranoïa, d’autant que cette histoire est scientifiquement plausible…

 

.

 

Traduit de l’anglais (Australie) par Mathieu Prioux

304 pages, sous couverture illustrée, 140 x 205 mm

Pays : Australie

 Époque : XXIe siècle

 ISBN : 9782207142059 –

 Code distributeur : B26877

Nombre de pages : 304

Format : 140 x 205 mm

Prix : 21,00 €

 

Biographie et bibliographie de l’auteur :

Peter Cawdron est l’auteur de plusieurs romans et nouvelles. Il vit à Brisbane, en Australie

 

Fiction Series

 Z is for Zombies ◦ 1 What We Left Behind (2015)

◦ 2 All Our Tomorrows (2015)

 

Romans

• The Road to Hell (2011)

• Anomaly (2011)

• Xenophobia (2013)

• Little Green Men (2013)

• Feedback (2014)

• My Sweet Satan (2014)

• Starship Mine (2016)

• Welcome to the Occupied States of America (2016)

• Nosferatu (2017)

• Retrograde (2017)

• Losing Mars (2018)

 

Recueils:

Trixie & Me (2012)

• Hello World (2015)

• Alien Space Tentacle Porn (2015)

Free Fall (2015)

 

Nouvelles

• Trixie & Me (2012)

• #DontTell (2014)

• Alien Space Tentacle Porn (2015)

• Hello World (2015)

• The End (2015)

• Heil Hitler! (2015)

• Free Fall (2015)

• Alien Space Tentacle Porn (2015)

• Natural (2015)

• The Man Who Remembered Today (2016)

• Killer (2016)

• Déjà vu (2017)

• Trixie and Me (2017)

• Butch and Sundance (2017)

• Mirror, Mirror (2017)

• Retrograde (excerpt) (2017)

 

Essais:

• Is There Life in Space? (2015)

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Couverture: Anthony Avon

Couverture: Anthony Avon

A.O.C N° 50

Aventures Oniriques et Compagnie

Nouvelles – Articles d’Ecriture – Bande dessinés

Science-fiction – Fantasy -Fantastique

Spécial Visions du futur

 

Comme chaque année beaucoup d’entre vous attendait ce numéro spécial pour y découvrir ceux et celles qui seraient primés et mis dans la lumière de la galaxie SF.

 

Voilà qui est fait.

 

Le numéro spécial VISION DU FUTUR est désormais disponible, et cela fait 21 ans que cela dure. D’ailleurs le Club Présences du  Futur à publier un recueil de nouvelles primé ces 20 ans dernières années, vous trouverez en bas de cet article un lien avec la page du site du club qui vous permettra de l’acquérir.

 

Vous trouverez également à la fin de cet article le règlement pour 2019.

 

Je ne serais que trop vous conseiller de commander très rapidement ce numéro qui est très demander.

 

Bien entendu le mieux serait encore de vous abonnez à AOC et Présences d’esprits, voire de rejoindre le club.  

 

Enfin une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, dès maintenant le concours VISION DU FUTUR  2019 est lancé, et vous trouverez ci-dessous le règlement et les informations pour vous y inscrire.

 

******

 

 

 

 

CONCOURS VISION DU FUTUR 2019

 

Les textes soumis devront donc s’inspirer d’un (et seulement d’un) des thèmes ou citations suivants :

 

 

a.   « Si vous trouvez ce monde mauvais, vous devriez en voir quelques autres… » Philip K. Dick

 

b.   « La terre frémit, le sol fume,

         Au milieu de la grande nuit. » Louise Michel

 

c.   « On avait surpris le garçon à commettre un acte répugnant […]. Âgé de huit ans, il faisait ça depuis déjà plusieurs années. »  

Théodore Sturgeon

 

 d.   Le vent se lève

 

Affûtez votre esprit, cajolez votre imagination, soyez drôle, émouvant, inventif, bref, faites-vous (et faites-nous) plaisir! Prenez le temps de laisser votre texte reposer, relisez-le, il n’en sera que meilleur!

 

Enfin,

Utilisez quelques minutes de votre temps pour prendre connaissance du règlement complet, ci-dessous :

 

Article 1.

La nouvelle devra appartenir au genre des littératures de l’Imaginaire (science-fiction, fantastique, fantasy, merveilleux).

 

Article 2.

La nouvelle devra comporter un maximum de 40000 signes, espaces comprises. Le texte devra être totalement inédit, sur tous supports.

 

Article 3.

Le texte devra être envoyé en pièce jointe exclusivement en format .rtf ou .doc à : visionsdufutur@presences-d-esprits.com.

L’auteur devra préciser dans le corps du mail ses noms, prénoms, âge, adresse postale et adresse mail valide, ainsi que le titre de sa nouvelle et le sujet choisi pour élaborer son texte. Il précisera en outre par quel moyen il a pris connaissance de ce concours. Merci de veiller à fournir tous ces renseignements !

 

Les textes ne se conformant pas à ces règles ne seront pas retenus. En participant à ce concours, l’auteur s’engage à présenter un texte dont il est l’auteur. Il s’assurera qu’il reçoit bien un « accusé de réception » électronique de son texte. La participation est limitée à un texte par personne.

 

Article 4.

La date limite d’envoi est le Dimanche 7 avril, minuit.

 

Article 5.

Les décisions du jury seront promulguées lors de l’assemblée générale 2019 du Club Présences d’esprits (au mois de juin 2019). Elles sont sans appel. Le jury se réserve le droit de décerner jusqu’à trois prix au plus et de n’en attribuer aucun si la qualité globale des textes reçus était insuffisante. Le jury peut également accorder des accessits ou distinguer des textes.

 

Article 6.

Les textes ayant obtenu un prix seront publiés dans un numéro spécial d’AOC consacré au concours « Visions du Futur ». En participant à ce concours, les auteurs s’engagent à accepter la publication du texte présenté et primé. Les gagnants recevront en outre un abonnement d’un an à Présences d’Esprits AOC pour le premier prix, d’un an à AOC pour les deuxième et troisième prix.

Spécial Visions du futur

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KABOUL et autres souvenirs de la  Troisième Guerre mondiale

 

KABOUL

et autres souvenirs

de la  Troisième Guerre mondiale

 

Michael Moorcock,

illustré par Miles Hyman

Traduit de l’anglais (UK)

par Jean-Luc Fromental

 

Nous sommes dans une dystopie plus qu’une utopie, le personnage principal voyons   l’avenir comme un  armagedon. Nous dans un univers décrit comme ce qui était notre monde durant les années 50 et la guerre froide.

 

Sauf que la de froide on est déjà passé a une guerre « chaude » avec la Russie qui a conquis la Chine ou encore  l'Afrique et l'Australie qui on disparut. Bref, un monde que l’on espère ne jamais connaitre alors que nous sommes dans la commémoration de 1914-1918 l’une des pires boucheries que l’humanité n’ait jamais connut.

 

Il nous fait part de son cauchemar éveillé.

 

Résumé de l’album graphique :

DANS UN MONDE EN MARCHE VERS LE CHAOS FINAL…

Cette séquence de six nouvelles relate les faits et gestes de l’espion Tom Dubrowski dans un univers alternatif si proche qu’il ressemble trait pour trait à notre présent. Le monde, livré à une guerre globale dont nul ne connaît plus ni les causes ni les camps, fonce droit vers son Armageddon.

 

Biographies des auteurs

Dubrowski, acteur et narrateur de cette descente aux enfers, est un agent russe infiltré à Londres sous l’identité d’un antiquaire polonais. Cynique, lucide, lyrique, souvent désabusé, il tient le journal de ses aventures et pérégrinations en zones amies ou hostiles, ravagées par l’effroi, la destruction, la trahison et la mort. Les illusions perdues rôdent. C’est un Ulysse désenchanté qui parle, passant au fil de son récit d’un espion mondain évoquant le M. Ashenden de Somerset Maugham à un vétéran couturé de cicatrices inspiré d’Isaac Babel, l’écrivain juif qui chevaucha avec les détachements cosaques et en tira le célèbre Cavalerie rouge. Toute la puissance narrative et morale de Moorcock se concentre dans ces textes intenses, où s’enchaînent, à la manière des Désastres de la guerre de Goya, les images d’apocalypse, les visions d’horreur pure, ponctuées de miraculeux instants de paix et d’inoubliables portraits de femmes dont les souffrances, la force d’âme, la résilience font contrepoint à la folie meurtrière des hommes.

 

De l’anarchisme au féminisme, du débat sur la responsabilité individuelle à celui sur le déterminisme des origines, du rapport ambigu entre les sciences, les pouvoirs, les fanatismes religieux, du paradis perdu à la création d’un enfer terrestre, tous les thèmes et motifs de l’oeuvre immense de Moorcock, maître de la SF new wave et de la fantasy britannique, traversent cette brève et forte Odyssée pour le temps présent.

 

L’artiste Miles Hyman contribue par ses grandes images puissantes et distanciées à créer un livre unique, qui laisse sa part à l’expression graphique.

 

Auteur de plus de cent romans, Michael Moorcock a doté la littérature d’imagination de personnages classiques tels qu’Elric le Nécromancien, Corum, Hawkmoon, Von Bek ou Jerry Cornelius. Sa carrière est semée de chefs-d’œuvre comme Le Navire des glaces, Le Programme final, Les Danseurs de la fin des temps, Voici l’Homme, Gloriana, The Pyat Quartet, Mother London… Actuellement à l’œuvre sur le deuxième volume de son autobiographie, il partage son temps entre le Texas et Paris.

 

Miles Hyman est peintre, illustrateur et auteur de bandes dessinées. Américain installé en France depuis plus de trente ans, son œuvre repose en grande partie sur ses affinités avec la littérature. Il a illustré Conrad, Dos Passos, Dylan Thomas, Philippe Djian, réalisé des adaptations en bande dessinée de Jim Thompson (Nuit de fureur), James Ellroy (Le Dahlia noir) ou sa propre grand-mère, l’auteur Shirley Jackson (La Loterie). Son dernier album paru est Le Coup de Prague, qui met en scène l’écrivain Graham Greene.

 

Roman illustré, 224 pages,

15 illustrations couleurs

Format 180x240

Broché cousu sous jaquette

PVP : 22 €

ISBN : 978-2-207-13924-0

ÉDITIONS DENOËL

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CONCOURS DE NOUVELLES UTOPIALES 2018

CONCOURS DE NOUVELLES

UTOPIALES 2018

 

 

CONCOURS DE NOUVELLES // CATÉGORIE PRIMAIRE

Premier prix : Jeanne Oudit (école Ledru-Rollin, Nantes)

 

Lauréats par ordre alphabétique : Nina Blondeau (école Ledru-Rollin, Nantes), Nathan Cazes (école Ledru-Rollin, Nantes), Balthazar Chauveau (école Ledru-Rollin, Nantes), Pénélope Clément Wendling (école Fellonneau, Nantes), Faustine Coicaud (école Gay Lussac, Nantes), Philémon Lambert (école Ledru-Rollin, Nantes), Elias, Pavoine-Michel (école Gay Lussac, Nantes), Alban Rion (école Ledru-Rollin, Nantes), Elsa Teusan (école Fellonneau, Nantes)

 

CONCOURS DE NOUVELLES // CATÉGORIE COLLÈGE

Premier prix : Le Goff Luna (collège Le Haut Gesvres, Treillères)

 

Mention spéciale : Areski Daoulas-Etourneau (collège Pont Rousseau, Rezé)

 

Lauréats par ordre alphabétique : Aymeric Dumont (collège Antoine de Saint-Exupéry, Savenay), Adrien Dupont (collège Antoine de Saint-Exupéry, Savenay), Myriam Gillier (collège Saint Joseph, Longué-Jumelles), Victor Jausons (collège Paul Gauguin, Cordemais), Annwenn Langlais (collège Le Haut Gesvres, Treillères), Lilou Laubignat (collège Rutigliano, Nantes), Tillya Mamadou (collège Aristide Briand, Nantes), Fanny Waterlot-Launay (collège Le Haut Gesvres, Treillères)

 

CONCOURS DE NOUVELLES // CATÉGORIE LYCÉE

Premier prix : Romain Lucas (lycée Alcide d’Orbigny, Bouaye)

 

Lauréats par ordre alphabétique : Maxence Cheveux (lycée Pierre de Coubertin, Bolbec), Louann Danieau (lycée Saint Martin, Nord-sur-Erdre), Claire Fert-Thibout (lycée Saint Jacques de Compostelle, Le Puy-en-Velay), Aurélien Gauducheau (lycée Rosa Parks, La Roche-sur-Yon), Noémie Jaunasse (lycée Saint Martin, Nord-sur-Erdre), Pierre Karan (lycée André Boulloche, Saint-Nazaire), Eva Legendre (lycée Nelson Mandela, Nantes), Salomé Teillet (lycée Rosa Parks, La Roche-sur-Yon), Lou Vernier (lycée Nelson Mandela, Nantes)

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Palmarès UTOPIALES 2018

 

Palmarès UTOPIALES 2018

 

PRIX EXTRAORDINAIRE

 

Elisabeth Vonarburg

 

 

Prix littéraires

 

PRIX UTOPIALES

 

 

L’âme des horloges, David Mitchell, Éditions de L’Olivier, 2017

 

Le Prix Utopiales

 

Les Utopiales reconduisent, avec le soutien du Conseil Régional des Pays de la Loire, le Prix Utopiales. Ce prix récompense un roman ou un recueil dont l’auteur est européen, paru ou traduit en langue française durant la saison littéraire qui précède le festival, et appartenant au genre de la science-fiction (hors fantasy). Le jury est composé de 4 jurys lecteurs et d’un président du jury.

 

Le Prix Utopiales est doté de 2000 euros. Cette année, cinq ouvrages était en compétition :

 

 

Autres ouvrages qui était en compétition :

 

L'Or du diable Andreas Eschbach  Editions L’Atalante

 

Espace Lointain Jaroslav Melnik  Agullo Éditions

 

Amatka  Karin Tidbeck  Éditions lLa Voltethan

 

Station : La chute Al Robertson  Éditions Denoël

 

 

PRIX UTOPIALES JEUNESSE

 

Les puissants, T1 : Esclaves, Vic James, Éditions Didier Jeunesse, 2016

 

 

Le Prix Utopiales Jeunesse

Sept jeunes de la région nantaise, âgés de 13 à 16 ans composent le jury officiel. Le Président du Jury est Denis E.Savine, traducteur.Le Prix Utopiales Jeunesse est doté de 2000 euros. Cinq ouvrages était en compétition cette année :

 

 

Autres ouvrages en compétition :

 

The Rain Virginia Bergin  Éditions Bayard

 

Nouvelle Sparte  Erik L’Homme  Éditions Gallimard jeunesse

Star Trip Eric Senabre  Éditions Didier Jeunesse

 

La Mort du Temps Aurélie Wellenstein  Éditions Scrineo

 

 

 

PRIX JULIA VERLANGER

 

L’Enfant de poussière, Patrick K. Dewdney, Éditions Au diable Vauvert, 2018

 

 

 

 

PRIX MEILLEUR ALBUM DE BD

 

Ces jours qui disparaissent, Thimoté Le Boucher, Éditions Glénat, 2017

 

Mention spéciale du jury pour :

Alt-life, Thomas Cadène & Joseph Falzon, Éditions Le Lombard, 2018

 

 

CONCOURS DE NOUVELLES (Scolaire)

Les  noms des  lauréats des prix des concours de nouvelles seront communiqués le lundi 5 novembre.Nous vous en informerons.

 

PRIX CINÉMA

 

PRIX DU JURY // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE COURTS-MÉTRAGES

 

Edge of alchemy, Stacey Steers tats-Unis, 2017

 

Mention spéciale du jury :

Rust in peace, Will Welles, États-Unis, 2018

 

 

PRIX DU JURY CANAL + // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE COURTS-MÉTRAGES

 

The Replacement, Sean Miller, États-Unis, 2018

 

PRIX DU PUBLIC // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE COURTS-MÉTRAGES

 

Irony, de Radheya Jegatheva, Australie, 2017

 

 

GRAND PRIX DU JURY // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE LONGS-MÉTRAGES

 

Assassination Nation, de Sam Levinson, États-Unis, 2018

 

 

 

MENTION SPÉCIALE DU JURY // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE LONGS-MÉTRAGES

 

The Man with the magic box, Bodo Kox, Italie-Pologne, 2017

 

 

PRIX  DU PUBLIC // COMPÉTITION INTERNATIONALE DE LONGS-MÉTRAGES

 

Freaks, de Zach Lipovsky & Adam B. Stein, États-Unis, 2018

 

 

 

PRIX DU MEILLEUR SCÉNARIO DE JEU DE RÔLE

 

Ex Aequo :

 

Tolkraft pour son scénario : Make Oneida great again et Sébastien Mège pour son scénario : Seul un fou ne sait pas qu’il l’est.

 

PRIX DU MEILLEUR JEU VIDÉO RÉALISÉ A LA GAME JAM

Arena Spirit par Argann Bonneau, Youri Bossus, Étienne Cassin, Rémi Laot, François Mauxion

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Concours de nouvelles

Concours de nouvelles

Thème du concours est "apprendre et savoir" :

Nous avons accès à un volume d'informations colossal et des outils formidablement puissants ; est-il nécessaire d'apprendre une langue étrangère alors qu'un téléphone portable commence à pouvoir traduire en temps réel, néanmoins il est sans doute nécessaire de la connaître pour comprendre l'autre

Pour un ingénieur qu'est-il important de savoir qu'une méthode existe ou doit-il l'apprendre ?

Beaucoup de situations peuvent découler de cette description que nous laisserons les auteurs nous décrire.

Il s'agit de la première coopération entre la maison d'édition et l'association des anciens de Centrale-Supelec. Je négocie actuellement avec d'autres écoles d'ingénieurs et probablement des médecins pour étudier ces possibilités.

 

Ci-dessous vous pouvez télécharger le règlement et bulletin d’inscription du concours.

 

 

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