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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #nouvelles

Présences d’Esprits N°112 couverture Laurent Cuco

Présences d’Esprits N°112 couverture Laurent Cuco

Présences d’Esprits N°112

Le zine des mondes de l’imaginaire.

Cinéma Littérature BD  TV JEU Illustration.

Printemps 2023.

 

L’entretien avec le responsable de la 29eme Dimension, association finistérienne  de science-fiction est très   intéressante.

 

À noter également l’article sur les baisers dans STAR WARS, qui sort des articles habituels sur cette franchise.

 

Le dossier sur le cycle de la TOUR DE GARDE et la nouvelle de Simon Daguin « au piquet » sont également intéressant

 

Vous trouverez le bon d’abonnement   et d’adhésion en fin d’article.

 

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Sommaire et bulletin d'abonnement de Présences d’Esprits

Sommaire et bulletin d'abonnement de Présences d’Esprits

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 Monstrueuse Féerie.

Monstrueuse Féerie.

Monstrueuse Féérie.

vous trouverez à la fin de l'article le 1er chapitre en téléchhargement gratuit.

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L’esprit, redoutable, sait composer avec les normes, ou peut parfois les subir cruellement, pour peu que les Monstres se soient invités et qu’il les ait laissés entrer. Il peut vite alors s’enfoncer dans d’insondables méandres et subir alors, comme les Monuments ont à en subir, une décompensation poétique, sauf à avoir su entrer en intimité avec une Elfe.

Monstrueuse féérie est le premier volet de trois d’un conte insolite et fascinant tout entier parcouru d’un imaginaire de luttes sublimées visant à « se tenir debout face aux vivants ».

La monstrueuse beauté de tout un univers halluciné nous hèle puissamment pour une fugue hypnotique, admirable.

Avec ce récit, Laurent Pépin nous tend un miroir d’ombres fabuleuses, particulièrement attachantes, qui attestent de la fragilité de l’entendement et nous invitent à nous départir d’une Normalité trop souvent déployée tel un drapeau magistral, arrogant.

 

Laurent Pépin

Monstrueuse féérie

Conte

 « Et moi, j’étais très en colère.

La monstruosité de l’Autre m’assaillait, s’infiltrait dans mes failles archaïques.

Depuis mon enfance, je suis facilement disposé à la colère et à la peur.

Heureusement, j’allais bientôt vivre un véritable conte de fées. »

Préface de Laurence Biava

Édition entièrement révisée.

Prix public TTC (France) : 16,20€

 ISBN : 978-2-493872-04-3

L’esprit, redoutable, sait composer avec les normes, ou peut parfois les subir cruellement, pour peu que les Monstres se soient invités et qu’il les ait laissés entrer. Il peut vite s’enfoncer alors dans d’insondables méandres et subir alors, comme les Monuments ont à en subir, des décompensations poétiques, sauf à avoir su entrer en intimité avec une Elfe.

« Un exercice poétique, tendre, cruel et inattendu, de haute volée. »

Hugues Robert, pour Charybde

« Une violence poétique qui émeut autant qu’elle saisit. Il n’est pas excessif de dire que Laurent Pépin est un “grand” ; l’année littéraire commence en beauté. »

Marion Bauer, in Zone Critique

« Un conte moderne bouleversant »

Parme Cériset, in La Cause Littéraire

Ligne éditoriale des éditions Fables fertiles :

«Les fables que l’on prétendoit absurdes, deviennent les allégories de la vérité ; et l’erreur audacieuse n’insulte plus à la sagesse.»

 Etienne Pivert de Senancour, Rêveries, 1799

 

Dire la fable fertile, c’est la reconnaître esquisse de gestes nouveaux pour promesse d’abondantes récoltes.

Les éditions Fables fertiles se consacrent ainsi à porter au jour des langages de vérité en la forme de récits, de novellas, de recueils de nouvelles, de contes, de fables, d’autofictions, de témoignages d’artistes ou d’intellectuels aux voix et aux écritures singulières singulièrement appareillées au sens de la fable, entendue comme lieu propice aux germinations.

 

La Maison œuvre moins à promouvoir quelque science de l’évènement qu’à se faire toute docile et réceptive face à la durée extatique de l’expérience sensible. L’écriture fragmentaire, le lieu de la stupeur, l’écriture de la nuit présente à son mystère et toujours à venir sont la nourriture essentielle des éditions Fables fertiles.

Laurent Pépin

Laurent Pépin

1er chapitre de Monstrueuse Féerie.merci à Laurent Pépin

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Couverture : CHROMA

Couverture : CHROMA

A.O.C N°68

Aventures Oniriques et Compagnie.

Nouvelles BD Science-fiction Fantasy Fantastique.

Printemps 2023.

 

Le nouveau numéro de votre fanzine préféré vient de sortir.

 

Il est toujours possible d’y  être publié pour cela contacter chez le  CLUB PRÉSENCE D’ESPRIT.

Les nouvelles sont illustrées de  superbes dessins, nous vous en mettons deux.

 

 

Comme toujours je vous conseille fortement de vous abonner à nos revue  et d’adhérer à notre association.

 


 [SD1]

A.O.C N°68
A.O.C N°68
A.O.C N°68

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SOLARIS   N° 226

SOLARIS N° 226

SOLARIS   N° 226

Le nouveau numéro de la plus grande revue de Science-fiction en langue française.

Toujours aussi passionnant, je vous conseille de vous connectez à leurs site pour l’acquérir, ainsi que des numéros anciens.

Vous trouverez ci-dessous le sommaire du N° 226.

 Merci de bien vouloir partager et de laisser un commentaire

Faites connaitre le site à vos amis et contacts.

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Sommaire           Solaris 226

Printemps 2023 Vol. 48 n° 4

 

3        Pascal Raud       Présentation

 

7        Michèle Laframboise       Lecture complice

23        Frédéric Parrot     De l’intérieur

33        Annie Tenaglio     Une place au paradis

54        Sébastien Chartrand     Par-delà la Mer et le Ciel

89        Claude Lalumière     L’Indifférence et la Raideur

95        Dave Côté     Cet endroit qu’on doit protéger

 

115        Montréal atomique   Les Carnets du Futurible

        Mario Tessier

 

141        Le Fil des kilomètres, de Christian   Le Daliaf présente…

Guay-Poliquin

        Claude Janelle

145        N. Faure, C. Hébert, P.-L. Lafrance,   Les Littéranautes

A. Paquin, J.-L. Trudel, É. Vonarburg

155        G. Blouin, M. Cayer, P.-A. Côté,    Lectures

P.-L. Lafrance, A. Paquin, É. Vonarburg

 

Érick Lefebvre a étudié les arts à l’Université Laval et la joaillerie à la Maison des métiers d'art de Québec.

Aussi à l’aise avec le crayon, le stylet numérique ou le fer à souder,  sa démarche s’inspire principalement de la science-fiction, du fantastique, du rétrofuturisme et de la fantasy.  Il a notamment publié dans les pages des revues Clair/Obscur et Brins d’Éternité.

 

Illustrations intérieures

Laurine Spehner: 7

Julie Ray: 23

Marc Pageau: 33

Adeline Lamarre: 54

Sagana Squale: 89

François Pierre Bernier: 95

Suzanne Morel: 115

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La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

La Femme aux semelles de temps (Recueil)

 

Résumé

LES NOUVELLES DE CE RECUEIL :

Amours de verre

Dans le pays-qui-sera, la musique est partout. Elle accompagne chaque moment de la vie : naissance, deuil, récréation scolaire, « ouverture de chaque session du Parlement », etc. Chaque habitant du pays-qui-sera sait jouer d’au moins un instrument, mais ce n’est pas tout le monde qui a le talent de Guzla Retsiolèz. La compositrice légendaire rencontrera par hasard Zanne Herrica, une nomade constamment à la recherche de nouvelles sonorités. Ou peut-être est-ce plutôt Zanne qui rencontrera Guzla ? Plus tard, bien plus tard, viendra Toome, un souffleur de verre, qui n’a pas encore trouvé le violon lui étant destiné.

 

Ailleurs et au Japon

L’autrice jongle avec les lignes découpées de divers textes et ainsi naît une machine. En plein vol, celle-ci peut déplacer le paysage. Mais cet étrange oiseau craint tellement de tomber que cela finit par arriver et, dans sa chute, il perd ses ailes de métal. Il ne sait plus quoi faire d’autre qu’attendre dans cette « forêt quasi marine » dans laquelle il a rebondi. Jusqu’au moment où une femme apparaît, peut-être tombée du ciel comme lui. Une géante. Une femmemontagne.

 

Le Dormeur dans le cristal

Ils voyagent dans l’espace depuis si longtemps à l’abri du temps dans leur champ T qu’ils se sentent éternels. Peut-être le sont-ils vraiment… Pour la première fois, ils trouvent sur une planète en décrépitude un autre être humain. Celui-ci est figé en plein coeur d’un « dodécaèdre taillé dans un seul bloc de diamant artificiel ». Le Dormeur dans le cristal. Bien sûr, ils l’amènent avec eux sur leur vaisseau. Maïa a alors le loisir d’aller lui rendre visite tous les jours, même si le dormeur reste immobile. Elle lui imagine des vies avant elle et, pourquoi pas, avec elle lorsqu’il se réveillera enfin.

 

Les Villes invisibles

Dans les nouvelles cités dômes vous n’avez que cinq destinations, autant que les doigts de la main. Autobulles, taxibulles ou métro, il suffit d’apposer votre main et de vous laisser porter dans la marée de cachemantes. Que vous soyez Thélaïme ou Gisèle, que vous alliez à la Zone Hôpital, à la Zone Commerciale ou au District des Écoles, peut-être que ce jour sera LE jour. Le bon moment, celui d’entre deux vies. L’instant d’être diverti et transporté dans les restes des quartiers d’avant dans ces villes invisibles. Pour se perdre et peut-être finalement se retrouver soi-même.

 

Into White

Tish retourne au Saguenay-Lac-St-Jean après trente ans d’absence. Trente ans à survivre et à aider comme elle le pouvait dans une BETs en Amérique du Sud. C’est suite au décès de son frère, l’ancien maire de Saguenay Ville Verte, qu’elle se décide enfin à quitter les débris du Big One en Californie. Elle fait le chemin accompagnée de Maddie, une petite fille à la peau qui s’illumine, une génétiquerie. Tish y revoit ses anciens amis et amours, mais seulement pour un court instant. Une simple pause sur leur trajet. Car Maddie et elle ne s’arrêteront pas tant qu’elles n’auront pas vu la neige blanche, celle qui ne fon pas.

 

La course de Minuit

Cinquante ans après le voyage de Tish, Minuit et Shikuan viennent de gagner la dernière course à l’ombre de l’année. Mais si les courses de Zep sont terminées, reste encore la Course aux souvenirs, celle qui se fait à pied de GrandeAnse à Gilbertville. Celle qu’a courue Minuit la rebelle il y a quinze ans avant de quitter sa région natale et la Famille. Celle que Péri veut courir accompagnée de Minuit qu’elle a choisie comme kukum. Une course aux souvenirs, un espoir, un passage de l’adolescence à l’âge adulte alors que l’ombre recouvre la terre et que le siècle se termine pour laisser sa place à un nouveau quand arrivera minuit…

 

La Femme aux semelles de temps

Celle qu’on surnomme la vieille au sac à dos a un problème ce matin avec la semelle de sa sandale droite qui s’est incrustée au ras du trottoir. Par-dessus le marché, elle s’est trompée de chemin. Et son sac qui est plein « juste des urgences-oublis, mais ça pèse son poids quand même ». Elle n’est pas sûre de pouvoir rentrer avec ce soulier fichu et l’autre « semelle aussi [qui] va naufrager… » Mais il y a soudain ces deux gamines qui arrivent et la guident vers une femme qui répare les souliers par chez elles, un rare quartier avec un coin d’arbres, une sorte de jardin communautaire. Au beau milieu des quelques maisons encore debout, « c’est joli, ça repose les yeux ».

 

Mot de l’autrice : Pourquoi la science-fiction ?

Parce que je peux y faire tout le reste : de la psychologie et de l’action, de la philosophie et du mystère, de l’horreur et de la politique, des sciences…

 

Et comme femme, ça m’est absolument indispensable d’écrire, de lire et de penser SF. À part la colère et le chagrin, quels modes d’expression et de réflexion sur la vie des femmes le monde d’aujourd’hui nous offre-t-il ? Je veux pouvoir imaginer comment ça peut être différent, le décrire, le faire sentir pour que ça devienne peut-être possible un jour. Pas seulement à propos des femmes, mais des êtres humains. C’est quoi, un être humain ? Il n’y a que la SF pour poser cette question dans toutes ses dimensions.

Et moi, j’aime vivre au large…

 

 

Ce qu’il faut savoir

• Élisabeth Vonarburg est sans contredit l’écrivaine de science-fiction la plus connue et la plus talentueuse de l’histoire de la littérature québécoise, voire de la francophonie tout entière ;

• Les sept nouvelles du recueil nous amènent dans différents univers, époques et futurs de l’humanité. Chacune d’elles explore à sa façon des facettes du temps. Les trois dernières nous offrent d’ailleurs un regard assez optimiste sur l’avenir, comme s’il restait un petit espoir que les humains se mettent à prendre les choses en main et améliorent ainsi leur sort, à coups de jardins communautaires, de course des jeunes pour l’espoir et pourquoi pas même de Ville Verte ;

• Les livres d’Élisabeth Vonarburg ont été publiés et/ou traduits dans plusieurs pays, dont les États-Unis et la France. Et en 2018, elle remportait le Prix extraordinaire des Utopiales lors du festival du même nom à

Nantes, honneur récompensant la qualité de l’ensemble de son œuvre sur les quatre dernières décennies !

 

 

ÉLISABETH VONARBURG est une des figures les plus marquantes de la science-fiction québécoise. Elle est reconnue tant dans la francophonie que dans l’ensemble du monde anglo-saxon et la parution de ses ouvrages est toujours considérée comme un événement. Outre l’écriture de fiction, Élisabeth Vonarburg pratique la traduction (la presque totalité de l’œuvre de Guy Gavriel Kay, entre autres), s’adonne à la critique (notamment dans la revue Solaris) et à la théorie littéraire (Comment écrire des histoires). Depuis 1973, Élisabeth Vonarburg a fait de la ville de Chicoutimi son port d’attache

 

 

« Son style, sa culture sa verve proverbiale et ses manies de touche-à-tout font d’elle une incontournable. Voilà, c’est dit. »

Le Devoir

« Élisabeth Vonarburg s’est imposée comme l’un des grands noms des littératures de l’imaginaire au Québec. »

Entre les lignes

 

Élisabeth Vonarburg sera présente au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

 

 

 

La Femme aux semelles de temps

Science-fiction

R228, 320 pages, 15,95 $

978-2-89835-031-3

 

Communiqué de presse

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Élisabeth Vonarburg

Élisabeth Vonarburg

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A.O.C. N°67

A.O.C. N°67

A.O.C. N°67

Aventure Onirique et Compagnie

Hiver 2023

Nouvelles –Articles sur l’écriture- Bandes dessinées

Science-fiction- Fantasy- Fantastique.

 

Pour rappel le fanzine est en recherche permanente de textes, BD et illustration vous pouvez faire les soumettre en suivants les instructions ci-dessous.

 

Avec 3 nouvelles, l’on retrouve après 2 ans d’absences les textes vainqueurs du match d’écriture des Imaginales 2022.

 

Avec Présences d’Esprits, AOC forme le diptyque idéal pour les amateurs des genres de l’imaginaire.

 

Pensez à faire connaître le site à vos amis et contacts.

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A.O.C. N°67
A.O.C. N°67

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Christel Lacroix

Christel Lacroix

 

PERLA DA VINCI

 Christel Lacroix

Le titre ne peut que faire penser à la Jeune Fille à la PERLE** de Johannes Vermeer, mais aussi au « Da Vinci Code » de Dan Brown.

 

Christel Lacroix avec ce roman manie avec bonheur divers genres.

Elle sait naviguer entre métaphysique, éthique, Trans humanisme, romantisme, amour et une fin très poétique.

Tout en prenant des distances en matière des lois de la robotique d’Asimov*.

La Jeune Fille à la perle (en néerlandais : Meisje met de parel) est une peinture à l'huile sur toile réalisée par le peintre néerlandais Johannes Vermeer vers 1665.**

J’ai beaucoup aimé ce roman d’anticipation qui manie donc plusieurs genres à la fois.

Christel Lacroix nous offre une nouvelle que vous pourrez lire en suivant le lien ci-dessous, quelle en soit remerciez.

 

Je vous le recommande fortement.

 

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Sélectionné pour le Prix Machiavel du roman, Prix littéraire du Cercle Leonardo da Vinci 2022

 

Présentation

 

Une histoire d’humanité dans un monde déshumanisé

 

Ce roman mélange habilement le thème de l’intelligence artificielle et des manipulations génétiques, formant le pivot de son univers.

 

Une formidable histoire d’amour, improbable et inattendue, va germer au-delà des limites de l’éthique.

 

L’ « Impossible » va s’inviter, adoucissant cet univers technologique et abrupt.

 

Le lecteur se demandera alors où peut bien se cacher cette frontière si fragile entre l’envisageable et l’impensable.

 

Un roman d'un nouveau genre, un livre surprenant où le romanesque rencontre la science. Une histoire qui nous met en face de la grande question de la condition humaine et des conséquences des progrès technologiques.

 

 

Note de l'éditeur

 

Ce roman est référencé dans la catégorie "science-fiction". Mais à bien y réfléchir, n’est-il pas du domaine du probable ?

 

S’y croisent de nombreuses références historiques, scientifiques et évidemment une belle histoire d’Amour où la poésie s’en mêle pour arrondir les angles saillants de la science.

 

Ce roman traite de l’intelligence artificielle et du transhumanisme. Une formidable histoire d’amour va y germer entre le héros du roman, un peu perdu, et une belle androïde à la pointe de l’humanisation. Un professeur humaniste et un professeur démoniaque dessineront leur avenir à l’éprouvette de leurs folies... Le lecteur, une fois la première page tournée, se posera la question de la frontière entre l’envisageable et l’impensable jusqu’au point final, et sûrement bien après.

 

Biographie

 

Christel LACROIX chercheuse curieuse ascendant rêveuse a d’abord exploré l’univers des sciences. Son doctorat de recherche pharmaceutique en poche, et quelques coups d’œil dans le microscope plus tard, elle se rend compte que l’envie d’écrire a germé dans son conscient.

 

Chacun de ses romans est conçu de façon à susciter la réflexion du lecteur.

 

Son jeu favori : mêler subtilement les mondes ou les époques afin que le réel n’apparaisse jamais tel qu’on peut le concevoir.

 

Funambule sur cet entre deux mondes, mais aussi poète à la belle étoile, elle espère qu’une fois le livre fermé, le lecteur, à son tour, parte en quête du sens caché de l'existence.

 

Lois d’Asimov :

Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger ;

 

Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la première loi ;

 

Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi.

PERLA DA VINCI - Christel Lacroix
PERLA DA VINCI - Christel Lacroix

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Présences d’Esprits 111

Présences d’Esprits 111

Présences d’Esprits 111

Cinéma Littérature BD TV Jeu Illustration

Hiver 2023

 

Un dossier très complet sur la bande dessinée et une nouvelle de Dorothée COLL, illustrer par  Philippe CHEUILLARD.

 

Mais en plus le plus important un appel à texte pour       VISION DU FUTUR, 2023.

Vous trouverez le règlement ci-dessous.

 

Je vous mets aussi le bulletin d’abonnement.

Bonne lecture et écriture.

Présences d’Esprits 111
Présences d’Esprits 111

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Les Passerelles du temps, Daniel Sernine
Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps, Daniel Sernine

Les Passerelles du temps,

Daniel Sernine

Les Passerelles du temps regroupe six nouvelles qui peuvent se lire autant comme un roman choral que comme un recueil. Les récits se croisent, se recoupent parfois au cœur du Carnaval et au travers le temps.

Les Alii, une race extraterrestre, ont sélectionné pour leur intellect et leurs extraordinaires compétences quelques centaines d'humains afin de veiller sur notre planète et intervenir en toute discrétion pour ralentir sa destruction amorcée.

Toutefois, lorsque la situation semble sur le point d'atteindre un point de non-retour, une solution s'impose aux Alii, un « Grand Ménage », soit l'élimination de quatre-vingt-seize pour cent de la population, histoire de donner un second souffle à la planète bleue.

Dans le monde d'« après », sur le boulevard des Étoiles, le Carnaval bat son plein. Ces six nouvelles vous y plongent :

Les Passerelles du temps

Boulevard des Étoiles

Les Amis de Monsieur Soon

Hôtel Carnivalia

La Tête de Walt Umfrey

À la recherche de Monsieur Goodtheim

Daniel Sernine sera présent au Salon international du livre de Québec du 14 au 16 avril 2023.

À propos de l'auteur

Daniel Sernine est né à Montréal en 1955. Il publie en 1978 un premier recueil de nouvelles fantastiques, Les Contes de l'ombre. Il récidivera plus de trente fois au cours des décennies qui suivront, proposant une œuvre riche et diversifiée qui s'adresse tant au public jeunesse qu'au public adulte. Appréciant également le fantastique et la science-fiction, il a respectivement inscrit dans ces genres deux cycles monumentaux.

Au fil des années, il a remporté de nombreux prix, dont le Prix de littérature jeunesse 1984 du Conseil des Arts du Canada, les Grands Prix 1992 et 1996 de la science- fiction et du fantastique québécois et, plus récemment, le prix Hommage visionnaire, qui couronnait l'ensemble de son œuvre.

Entrevue avec l'auteur (extrait)

Votre recueil est lié à vos précédents romans publiés chez Alire. Qu'est-ce qui relie tous vos textes de science-fiction entre eux, que ce soit des nouvelles ou des romans ? Comment décririez-vous le monde futur que vous avez créé ?

Le titre n'a pas été choisi au hasard. Les Passerelles du temps vient effecti­vement connecter Boulevard des Étoiles à « La Suite du temps », qui était déjà liée à mon roman Chronoreg et à la majorité de mes nouvelles de SF. Tout l'ensemble constitue ce que j'appelle mon « cycle éryméen », que j'ai situé dans le présent et dans le futur proche. Selon la tournure d'esprit du lecteur, on peut qualifier ma SF de dystopique ou de lucide.

Dans vos nouvelles, il est question d'une décision qui a été prise de réduire la population terrestre.  Pourquoi et comment en être arrivé là ?

Il faut avoir lu « La Suite du temps » ou du moins, absolument, Les Écueils du temps. Les allusions dans « Les Passerelles du temps » ne suffisent probablement pas. L'intention d'origine, pour les Éryméens, était de réduire radicalement la fertilité des Terriens, afin que le déclin démographique subséquent soulage la planète des effets catastrophiques de la surpopulation. L'idée était de répandre un agent contraceptif aéroporté, avec l'aide des Alii pour l'aspect logistique. Mais ces extraterrestres ont remplacé le contraceptif par un virus mortel de conception terrienne, et l'opération Anankè a été mortelle pour 96 % de l'humanité. Les gens du Carnaval y réfèrent par l'euphémisme « le Grand Ménage ».

En librairie en février 2023.

Communiqué de presse.

 

 

 

 

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SOLARIS 225

SOLARIS 225

SOLARIS 225

Hiver 2023 Vol. 48 n° 3

Je vais vous parlez de la plus ancienne revue de science-fiction francophone au monde : SOLARIS, créer en 1974 Par  Norbert Spehner, et actuellement dirigé par : Jean Pettigrew.

Depuis très longtemps SOLARIS organise un prix littéraire «PRIX SOLARIS » destiné aux Canadiens, et depuis 2016  le PRIX Joël Hampetier destiné aux auteurs non canadiens francophones.

En France cette revue est peu connue, si s’abonné est relativement compliqué et cher en raison du change et des frais de port, il est dommage que l’on ne peut pas avoir une version numérique (heu, c'est moi qui écrit cela ?).

 Pour vous faire apprécier au mieux ce fanzine, je vous mets ci-dessous le sommaire très détaillé du dernier numéro.

Depuis 2000, il ne publie plus de bandes dessinées.

Il dispose d’une librairie :  

 Solaris 120, côte du Passage Lévis (QUEBEC) G6V 5S9 Canada. Si vous passez au Québec passez les voir.

Vous trouverez ci-dessous le lien avec le site de la revue a la fin de l’article.

Je vous en recommande vivement la lecture.

 

Merci  d‘écrire un commentaire.

Faite connaitre le site a vos amis et contacts.

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Sommaire

Présentation

LE PRIX JOËL-CHAMPETIER…

Comme vous le savez depuis le dévoilement du 29 octobre dernier, Champetier. De fait, il s’agit de sa deuxième victoire, preuve de son remarquable talent car, faut-il le rappeler, les textes sont présentés au jury de façon anonyme. Or, les membres de ce dernier… ont choisi « L’Auberge au bord du monde » pour la maîtrise de l’écriture dont son auteur a fait preuve, pour l’ambiance de mystère et d’émotion retenue qu’il a su créer, ainsi que pour la fin qui permet aux lecteurs et lectrices une grande liberté d’interprétation. Que dire de plus sinon que ce numéro débute donc avec un nouveau bijou de Christian Léourier.

 

… ET LA SUITE DU VOLET « FICTION »

C’est Alain Ducharme qui a eu la délicate tâche de prendre la suite avec « Un silence, vu de loin », une nouvelle de SF qui, à sa façon, met en lumière une conception singulière du temps altéré tout en introduisant la thématique de l’enfance – ces deux motifs, qui imprègnent une bonne partie de ce numéro, ont inspiré Sagana Squale pour créer sa magnifique illustration de couverture, et afin de donner une couleur graphique unifiée, nous lui avons aussi confié l’illustration de tout le volet fiction.

 

Dave Côté et Pascal Raud ont entremêlé leur imaginaire respectif dans « Bal(l)ade en dix temps » pour nous offrir une fantasy urbaine bien déjantée dans laquelle des parents plutôt atypiques devront régler Les petits problèmes provoqués par leur progéniture quelque peu turbulente. Autre texte mettant en vedette – ou plutôt en victime ! –  une progéniture atypique, « Faux-bourdon », du trop rare Claude Mercier, présente une courte mais percutante transcription orale d’une situation pour le moins… particulière.

 

« Le Rite du guérisseur », de Josée Bérubé, nous ramène dans une ambiance plus mystique, plus éthérée, afin de suivre le périple mental et temporel de Mishtashipu, qui mène jusqu’au départ final – et pourtant transitoire – celui qui l’accompagnait depuis si longtemps.

 

Et comme dans notre précédent numéro, Élisabeth Vonarburg conclut le volet avec une de ces nouvelles dont elle a le secret, « La Femme aux semelles de temps ». À la fois toute simple mais joliment complexe, pleine d’interrogations sur la suite du monde mais aussi de chaleur humaine, on retrouve à la fois le monde de l’enfance et l’incroyable force du temps qui, inexorablement, nous amène, certes vers un certain futur, mais aussi sur la voie de la connaissance intérieure.

 

ET QUOI D’AUTRE?

Notre Futurible en résidence s’intéresse à un sujet qui, en d’autres mains, aurait pu rebuter quelques âmes sensibles. Mais avec sa maîtrise et sa verve habituelles, Mario Tessier nous dévoile tout – ou presque – sur les insectes aux spécificités étonnantes et leurs non moins remarquables – et souvent très angoissantes – présences dans la science-fiction littéraire et cinématographique.

 

J’attire maintenant votre attention sur le retour de la chronique du Daliaf présente… Pour ce numéro, Claude Janelle nous présente Andrée A. Michaud et son roman fantastique qui lui a valu le Prix du Gouverneur général en 2001, Le Ravissement. Et permettez-moi d’ajouter que, lorsque vous lirez ces lignes, le site www.daliaf.com. sera ouvert et accessible à toutes et tous. Que vous proposera-t-il ?

Rien de moins que le répertoire complet de la production francophone canadienne dans les genres de l’imaginaire – SF, F et Fy – de 1835 à aujourd’hui (17 753 oeuvres), car Claude Janelle et moi avons conçu

ce site afin qu’il englobe à la fois le contenu rédactionnel de la collection de L’Année de la science-fiction et du fantastique québécois (L’ASFFQ) et celui du DALIAF (Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française). Il recense, en cette fin d’année 2022, très exactement 3145 auteur-e-s.

 

Enfin, je m’en voudrais de ne pas dire un seul petit mot sur le volet critique du présent numéro, car il a plein de bonnes choses à vous proposer.

 

DE QUELQUES DÉPARTS

Je prends quelques lignes pour souligner deux départs. Tout d’abord, celui d’un auteur de SF que j’ai toujours admiré pour la puissance de son imaginaire, Greg Bear (1951-2022). Lisez ou relisez Éon, Éternité, Héritage… Que du bonheur pour le cortex ! Le milieu de la SFFQ a aussi perdu en novembre un membre

éminent de sa communauté, en la personne du très sympathique et néanmoins spécialiste émérite du fanzinat québécois, Georges Henri Cloutier (1947-2022). Salut, mon ami, puisses-tu trouver quelques passionnantes feuilles de chou là où tu es parti…

Jean PETTIGREW

SOLARIS 225
SOLARIS 225

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