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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

© Brigitte Lacombe

© Brigitte Lacombe

Martin Scorsese

Prix Lumière 2015

 

C’est le cinéaste américain Martin Scorsese qui recevra le prochain Prix Lumière. Il lui sera remis lors du festival Lumière qui se tiendra à Lyon et dans le Grand Lyon (désormais Métropole de Lyon) du lundi 12 au dimanche 18 octobre 2015.

 

Décerné par l’Institut Lumière, le Prix Lumière est attribué à Martin Scorsese pour l’ensemble de son œuvre, pour sa cinéphilie généreuse, pour son inlassable combat en faveur de la sauvegarde du cinéma du passé, pour ses fictions, pour ses documentaires, pour son amour de la musique, pour sa bienveillance à l’égard des jeunes cinéastes du monde entier, et aussi pour son rire tonitruant.

 

Né à New York en 1942 d’une famille d’origine italienne, Martin Scorsese a étudié le cinéma à la New York University d’où il est sorti diplômé. Il a fait ses débuts avec des courts métrages remarqués, dont le célèbre The Big Shave, et a signé en 1967 son premier long métrage, Who’s That Knocking at My Door.

 

En 1970, Martin Scorsese s’embarque dans l’aventure de Woodstock, le documentaire-fleuve de Michael Wadleigh, dont il devient le monteur. Il travaille alors avec Thelma Schoonmaker, qui allait devenir sa monteuse attitrée et l’une de ses plus fidèles collaboratrices.

 

Palme d’or du Festival de Cannes en 1976 avec Taxi Driver, Martin Scorsese en a été le Président du Jury en 1998. I

 

Il est également Président d’honneur de la Cinéfondation.

 

En 1990, il a créé aux USA la Film Foundation, qui a permis de restaurer des dizaines de chefs-d’oeuvre de l’histoire du cinéma.

 

En 2007 à Cannes, il a fondé avec Gian Luca Farinelli et Thierry Frémaux la World Cinema Foundation, destinée à financer la restauration de films venus d’Asie, d’Amérique latine, d’Europe de l’Est ou d’Afrique.

 

Récemment, la World Cinema Foundation est devenue The World Cinema Project et continue de présenter son travail de restauration à Cannes Classics, à Bologne et partout ailleurs dans le monde. Plusieurs de ces restaurations seront présentées à Lyon.

 

Membre éminent de la communauté des cinéastes-cinéphiles, et en cela particulièrement désigné pour recevoir le Prix Lumière, Martin Scorsese était proche de Michael Powell, qu’il a accueilli à New York à la fin de sa vie, comme le fit Bertrand Tavernier à Paris.

 

Martin Scorsese a réalisé 23 longs métrages. Il est également l’auteur ou le producteur de nombreux documentaires, dont la plupart sur des figures importantes de la musique (George Harrison, les Rolling Stones, Bob Dylan) ou du cinéma (ses différents « voyages » dans le cinéma américain ou le cinéma italien, Elia Kazan ou récemment Sidney Lumet).

 

Son œuvre a été couronnée de nombreuses distinctions internationales et d’un Oscar du meilleur réalisateur, qu’il a remporté en 2007 pour The Departed (Les Infiltrés), après de nombreuses nominations.

 

Martin Scorsese vient d’achever en Asie le tournage de Silence, adapté du roman de l’écrivain japonais Shuzaku Endo, un projet qu’il portait depuis longtemps.

 

À noter que la Cinémathèque française ouvrira le 7 octobre prochain une exposition conçue en 2013 par la Deutsche Kinemathek et dédiée à l’univers de Martin Scorsese.

 

Ce sera le premier voyage de Martin Scorsese à Lyon : « Ce que signifie le festival Lumière est très important, a-t-il déclaré. Et il représente beaucoup pour moi. Je suis fier d’y être invité et de recevoir le Prix Lumière. »

 

Le Prix Lumière lui sera remis le vendredi 16 octobre au Centre de Congrès – salle 3000 de Lyon, en présence du public français et de nombreux invités venus du monde entier.

 

 Le Prix Lumière a été créé par Thierry Frémaux et Bertrand Tavernier afin de célébrer à Lyon un metteur en scène ou une personnalité du septième art, à l’endroit même où le Cinématographe a été inventé par Louis et Auguste Lumière et où ils ont tourné leur premier film, Sortie d’Usine, en 1895. Parce qu’il faut savoir exprimer notre gratitude envers les artistes qui habitent nos vies, le Prix Lumière est une distinction qui repose sur le temps, la reconnaissance et l’admiration.

 

Les Prix Lumière:

 

 

Clint Eastwood Prix Lumière 2009

Milos Forman Prix Lumière 2010

Gérard Depardieu Prix Lumière 2011

Ken Loach Prix Lumière 2012

Quentin Tarantino Prix Lumière 2013

Pedro Almodóvar Prix Lumière 2014

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couverture: Mathieu Coudray

couverture: Mathieu Coudray

Présences D’Esprits

N° 83 printemps 2015

 

Le zine des mondes de l’imaginaire

Littérature .BD. Cinéma .

TV .Jeu. Illustration

 

Cette fois le fanzine que vous commencez à bien connaitre nous propose tout un dossier sur les Dragons.

Dossier de 15 pages très bien documenté.

 

Un entretien avec L.L. KLOETZER, chose pas si courante, suivi d’une analyse sous forme de chronologie de son œuvre par l’écrivain Léo Henri.

 

On y trouvera également la transcription de la table ronde de Jean Ray/Harris Dickson qui sait tenue aux 11e rencontres de l’imaginaire de sèvres en décembre 2014. 

 

La rubrique « Les veux fanzines » nous propose cette fois-ci les spins-of des revues phares

 

Côté graphisme vous trouverez un article et un entretien sur RUNE ÉDITIONS.

 

Les amateurs de nouvelles pourront ce délectez de celle de Laurent Dols « Enfer à classer ».

Sans oublier bien sur les rubriques :

Des nouvelles de la galaxie (News)

Lectures (Livres)

Graphisme (BD, illustrations)

Visons (ciné, DVD, télé, spectacles)

 

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Cérémonie du Méliès d’Or 2015 Trieste Italie

La Cérémonie du Méliès d’Or 2015

se tiendra à Trieste

Science + Fiction Festival

 

Pendant 6 jours en Novembre, Trieste deviendra la capitale du cinéma fantastique européen. Le 5e Trieste Science + Fiction Festival ne va pas seulement accueillir le rassemblement de la Fédération européenne des festivals de films fantastiques mais va également accueillir la prestigieuse cérémonie du Méliès d’Or le 6 novembre, récompensant le meilleur long-métrage et court-métrage couronnés précédemment par un Méliès d’Argent dans les différents festivals de la Fédération.

 

Le festival de Trieste se déroule du 3 au 8 novembre et cette année des festivités spécifiques réuniront des sommités du cinéma européen de genre, qu’il s’agisse de réalisateurs ou de programmateurs des plus grands festivals européens de genre.

 

La Fédération européenne des festivals de film fantastique est un réseau solidaire de 22 festivals de films de 16 pays différents, rassemblant dans son ensemble plus de 450.000 spectateurs.

 

Fantaspoa (Brésil) et Morbido (Mexique), les deux premiers membres d’Amérique du Sud, ont récemment rejoint la Fédération. Leur mission est de promouvoir les productions européennes de genre à travers l’Europe et le monde, en améliorant leur visibilité et leur position parmi le public et l’Industrie, et en encourageant leur circulation.

 

La Fédération s’emploie, quant à elle, à remplir cette mission à travers les Méliès pour mettre en valeur les meilleurs films fantastiques européens.

 

“Nous sommes très excités de recommencer la circulation du cycle du Méliès d’Or entre les membres affiliés, en commençant par Trieste en 2015“, commente Christian Hallman Coordinateur de la Fédération.

 

Trieste Science + Fiction a démarré en 2000 et explore les mondes de la fantasy et de la science-fiction, en accordant une attention particulière aux langages expérimentaux et aux nouvelles technologies du cinéma, de la télévision, des arts visuels et du divertissement.

 

Le festival est organisé par le centre du film La Capella Underground avec le soutien financier du Ministère italien de la Culture, le Conseil de la Culture de la Région Autonome de Friuli-Venezia Giulia, la Municipalité de Trieste, la Province de Trieste.

 

Sala Tripcovich sera le principal lieu de Trieste Science+Fiction, grâce à la collaboration avec la Municipalité de Trieste et le Théâtre Lirico Giuseppe Verdi. Juste à côté, la Casa del Cinema, le domicile des principales associations de films de Trieste accueillera le siège social des festivals, tout comme les autres événements, en collaboration avec le Théâtre Miela.

 

 Spazio Italia projettera des courts-métrages Italiens, des documentaires et des longs-métrages et le festival organisera aussi les traditionnels événements “Meetings on Futurology” dédiés à la science et la littérature, en collaboration avec les principaux centres scientifiques internationaux basés à Trieste, ainsi que le Urania Life Achievement Award (en collaboration avec le magazine du même titre) remis à un grand artiste dans le genre fantastique.

 

(Communiqué de presse)

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A.Lice Auteure Entretien

A.Lice Auteure Entretien

 

Stéphane Dubois,

 

Votre pseudo vient-il du roman de Lewis Caroll ?

 

A.Lice,

En fait, non. Alice, c’est juste un prénom que j’affectionne pour de mystérieuses qualités esthétiques. C’est un peu mon prénom secret, celui que j’aurai aimé porter. Mais c’est aussi, par jeu, celui d’un de mes personnages : une Intelligence Artificielle créée il y a quelques années, devenue la biographe d’un dieu mystérieux à la mémoire défaillante, un certain Curtis… Celles et ceux qui lisent la Saison 2 de DG comprendront.

 

Mais ta question est double. Dans mon cas, un pseudo était de toute façon obligatoire.

 

 Mon employeur désapprouverait grandement que je sois l’auteure d’une saga érotique. Et c’est un euphémisme. Je garde donc tout secret ; même ma famille ne sait pas qui est A. Lice.

 

 

 

Stéphane Dubois,

Comment en êtes-vous venus à écrire des romans, quels ont été les ouvrages ou les auteurs qui vous ont marqué, influencé ?

 

 

A.Lice,

 Je ne sais pas, des fois je me pose la question. J’écris depuis toujours, je crois. Des nouvelles, des petits textes, des scénarii pour jeux de rôles, des délires personnels, des lettres… Les romans sont venus quand j’étais étudiante. J’ai commencé par une trilogie que j’ai mis cinq ans à terminer. Une œuvre de jeunesse que j’ai en partie désintégrée pour ne garder sous le coude que les quelques idées vraiment originales qu’elle contenait ; des petites graines qui une fois germées ont été diluées dans DG. Puis sont venus d’autres romans, plus « sérieux », et des nouvelles écrites juste pour le plaisir.

 

En parallèle, j’ai énormément lu. Mes premiers émois je m’en souviens très bien, c’était vers la fin du primaire, avec la découverte de la SF : Niourk de Stefan Wul et la bande dessinée Yoko Tsuno de Roger Leloup. Puis ont suivi tous les grands que vous imaginez, Dick, Asimov, Lovecraft, Silverberg, Tolkien… avec toujours cette fascination pour Dune de Franck Herbert, comme beaucoup j’imagine, et à travers Dune, tous les livres-univers.

 

Plus récemment, je citerai Greg Egan, Kim Stanley Robinson, Priest, Tim Powers, Banks, Guy Gavriel Kay, Card… Il y en a trop ! Et j’oublierai tous ceux dont l’étiquette est moins connotée SF, comme Albert Sanchez Piñol. Aujourd’hui je lis beaucoup moins de fictions, par manque de temps d’une part, et d’autre part parce que mes lectures récentes ont été décevantes. Je n’aime pas, par exemple, toute la fantasy adolescente et autres machins à base de vampires.

 

Je préfère écrire.

 

Stéphane Dubois,

Pourquoi avoir choisi de mêler : sexe, fantastique et science-fiction dans la même saga.

 

A.Lice,

Parce que j’ai toujours fait ça ! Je veux dire, mêler SF et fantastique. Dans DG, Alicia explique à Lolita que si la magie suivait les lois du monde réel, alors ce ne serait pas de la magie. Je pense pourtant exactement l’inverse : si la magie existait, alors elle aurait des lois, des règles, qui pourraient être étudiées selon des critères scientifiques, rationnels, et la magie deviendrait de la science. Il n’y a pas de différences fondamentales, ou sérieuses, entre SF et fantasy. De plus, toute technologie très en avance pourrait passer pour de la magie ; je crois que Clarke l’a dit, et c’est plus ou moins explicite dans le Mythe de Cthulhu. Les lecteurs découvriront certainement qu’Alicia se trompe. Voilà pour le premier mélange ; reste le sexe…

 

Pendant plusieurs années j’ai été occupée par certains projets personnels, années où j’ai relativement peu écrit. Par contre j’ai bourré mon ordi d’idées tordues ; de plus en plus adultes, dirons-nous. J’avais envie d’écrire un truc sexuel, quelque chose de puissant.

 

Puis il y a un déclic, je me suis dit que les gens étaient finalement peut-être prêts à lire quelque chose de différent, que c’était « le bon moment », et j’ai commencé à bosser sur DG.

 

Nos fantasmes dépendent de notre imaginaire, et comment mieux les nourrir qu’avec de l’imaginaire pur ?

 

De façon moins rhétorique, j’avais depuis toujours une idée très particulière sur les univers différents, une sorte d’analyse, pour faire ma pédante, comme quoi la cohérence interne est bien plus importante que la crédibilité. Je le pense de plus en plus, et je crois que pour les gens, c’est pareil.

 

Prenons Star Wars par exemple. Cet univers n’a aucune crédibilité (c’est mon avis), et pourtant ça fonctionne, parce que dans cet univers, ça reste cohérent.

 

Dans DG, et j’espère que les lecteurs en avançant le réaliseront, je me suis attachée à rendre cohérent un univers hyper-sexualisé, malgré son indéniable originalité.

 

Stéphane Dubois,

Combien de tome pensez-vous écrire sur DG ?

 

 A.Lice,

Difficile à dire. J’écris (lentement) le troisième volume. Il s’agit de gros livres ; je n’ai pas envie de me payer la tête des acheteurs. Dans mon esprit tordu, il est terminé, tout est clair, pratiquement déjà rédigé. Je me suis mis la pression à son sujet et je vais tout faire pour qu’il soit prêt pour Noël. Il en va de même pour le quatrième, même s’il est moins bien planifié. Je dirai qu’au final il y aura environ six volumes. Oui, c’est énorme. Je suis folle.

 

Stéphane Dubois,

Tu qualifierais de pornographique la saga ?

 

A.Lice,

Ah ! Ze question ! Ma position ne va pas faire l’unanimité, et tant mieux s’il y a débat. Je sais que la pornographie peut aussi être littéraire, ou la littérature pornographique, en théorie, mais je distingue le porno de l’érotisme. L’érotisme, pour moi, fait naître le désir ou l’entretient, par le biais de l’excitation. Et cette excitation est mentale. La pornographie serait plus directe, et donnerait à voir sans faire travailler l’imagination. En littérature, s’abstenir d’une pseudo-façade poétique et utiliser les mots pour ce qu’ils sont (une bloggeuse dit que je ne mâche pas mes mots) laisse toujours le lecteur ou la lectrice imaginer et concevoir la scène. Tout est dans votre tête. Mais j’ai peut-être tort ; je l’accepte sans problème. Ce que je ne voudrais pas, c’est voir le mot porno plaqué sur mes livres avec tout le cortège d’a priori négatifs que cette étiquette implique de médiocrité. La Saga DG parle des fantasmes, du désir et du plaisir. C’est ça qui compte vraiment : le plaisir de lire. J’ai déjà quelques retours très positifs de la part de lecteurs des deux sexes. Certains adhèrent au ton particulier de la saga, une oscillation permanente entre le premier et le second degré, entre l’humour et le sérieux. Visiblement, une fois mon érotisme particulier accepté, c’est l’histoire racontée qui devient prépondérante.

 

 

Stéphane Dubois,

Les hommes n’ont pas le beau rôle dans ta saga, tu qualifierais de « féministe » ton œuvre, ou carrément de gynarchique ?

 

A.Lice,

Je ne cherche pas à faire une œuvre féministe.

 

Il n’y a aucun message dans DG, juste de l’aventure et du sexe (ce qui revient au même, finalement). Les hommes sont minoritaires au début, parce qu’il faut bien commencer par quelque chose. Mais certains ont un rôle plus qu’important. Pour utiliser un terme geek, le personnage le plus « puissant » de la saga est bel et bien un homme, le fameux Curtis. Et si les femmes sont à l’honneur, et les sexualités féminines aussi, c’est bien parce qu’il s’agit avant tout de l’histoire des Dangerous Girls, pas de celle d’éventuels Dangerous Boys (des BG ?).

 

 

Stéphane Dubois,

En dehors de DG, tu as d’autres projets ?

 

A.Lice,

Oui. Mon roman le plus abouti est en révision pour une édition sur Kindle. Mais il est énorme et comme je n’ai le temps d’écrire que le dimanche ou pendant mes congés, ça avance doucement. Faut aussi que je change son titre, il parait que c’est invendable en l’état. J’ai aussi tout un tas d’idées que je n’ai ni le temps ni les besoins narratifs d’inclure dans DG ; alors je pense à un recueil de nouvelles dans l’univers de la saga. En parallèle, j’écris aussi une encyclopédie sur DG ; on verra bien s’il y a de la demande, un jour. Mais là, tout de suite, je cherche surtout à faire connaître la saga. D’où l’appel à contribution : si vous avez aimé, parlez-en autour de vous, sur facebook, dans la rue, au lit, partout !

 

  

 

Bibliographie :

actuellement deux livres, en exclusivité sur la boutique Kindle d’Amazon.

 

DG Saison 1 Le tombeau de Rose

 

DG Saison 2 La fin de l’innocence

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Portrait-Robot // 21 juin 2015 – 31 janvier 2016

 

 

Musée de la science-fiction, de l’utopie et des voyages extraordinaires

 

 Portrait-Robot

 21 juin 2015 – 31 janvier 2016

 

Le robot constitue l’un des motifs les plus célèbres de l’imaginaire de la science-fiction et, par extension, du nôtre. Et c’est justement parce que nous avons tous en tête plusieurs exemples de ces êtres artificiels que la Maison d’Ailleurs, en collaboration avec la Haute Ecole d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (HEIG-VD), a décidé de se pencher sur ce vaste sujet et d’y réfléchir par le biais de la « métaphore ».

 

 Plus précisément, « Portrait-Robot » est une exposition qui considère les robots comme les images déformées des modèles industriels et technoscientifiques inventés par l’humanité pour se caractériser. Elle réfléchit de plus à l’origine du robot, à la manière dont les récits fictionnels auxquels il a donné naissance ont informé notre imaginaire et à la façon dont les artistes contemporains – au rang desquels Patrick Tresset , +Brauer et Richard Marnier –, à travers la singularité de leurs oeuvres, donnent une image spécifique non du robot lui-même, mais des rapports que les êtres humains entretiennent avec lui.

 

En ce sens, « Portrait-Robot » c’est aussi une exposition rappelant que créer des visages métalliques est un artifice qui vise à pointer les limites des définitions dans lesquelles nous sommes enserrés et, partant, qui nous permet de nous réinventer.

 

Il est à noter que la Maison d’Ailleurs a décidé d’étendre ses horaires d’ouverture : le musée sera dorénavant ouvert du mardi au dimanche, de 11h à 18h.

 

 

Vernissage // Samedi 20 juin 2015, dès 17h00

 

Le 20 juin 2015, c’est à 17h que « Portrait-Robot » ouvrira ses portes au public. La soirée du vernissage sera rythmée par plusieurs activités pour petits et grands : l’occasion de s’émerveiller des robots-musiciens de l’artiste allemand Kolja Kugler, de participer aux jeux organisés par l’OPTI et l’AMDA, et de prendre une photo avec Goldorak (studio-photo proposé par Retraites Populaires) ! Quant à la partie officielle, elle débutera à 19h et sera suivie par un apéritif et une dégustation des vins de Bonvillars AOC. La soirée se terminera enfin par la « Silent Party » organisée par L’Amalgame dans le Centre d’Art Contemporain d’Yverdon-les-Bains.

 

 

 

Tous les événements sont gratuits et tous publics

 

 

 

 

  (Communiqué de presse)

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PRIX SOLARIS 2015

 

Québec, le 10 mai 2015 – Le Prix SOLARIS 2015 a été attribué à Jean-Louis Trudel, pour sa nouvelle de science-fiction « Garder un phénix en cage ». Québécois d’adoption et Franco-Ontarien de cœur, Jean-Louis Trudel est un membre actif de la communauté SF canadienne, et cela dans les deux langues officielles. Il a publié dans nos pages d’innombrables critiques, articles et nouvelles ; c’est d’ailleurs un de nos fournisseurs réguliers de science-fiction quoiqu’il ne dédaigne pas les autres genres. Il a aussi publié plusieurs livres, dont plus de vingt romans pour la jeunesse dans la collection Jeunesse-pop, sous son nom, et sous le symbionyme Laurent McAllister, qu’il partage avec son camarade Yves Meynard. Il remporte le prix Solaris pour la troisième fois cette année.

 

Le jury a également attribué une Mention Spéciale à « Comment nous sommes devenues écrivaines », de Natasha Beaulieu.

 

Le gagnant se mérite une bourse de 1 000 $. Sa nouvelle sera publiée dans SOLARIS 195, à l’été 2015.

 

La Mention Spéciale sera également publiée dans un prochain numéro de SOLARIS.

 

Le Prix SOLARIS 2015 a été remis le dimanche 10 mai 2015, lors du congrès Boréal à Québec.

 

Le jury du Prix SOLARIS 2015, appelé à délibérer selon un processus de sélection anonyme, était composé de :

 

Philippe Turgeon, adjoint à l’édition aux éditions Alire, Francine Pelletier, écrivaine,et Pascale Raud, nouvelliste et coordonnatrice de Solaris.

 

Toute l’équipe de Solaris remercie chaleureusement les participants et les membres du jury de leur collaboration et prie ses lecteurs de bien noter que la date limite de participation pour l’édition 2016 est le 11 mars 2016.

 

Communiqué de Presse :

Pascale Raud, coordonnatrice, Joël Champetier, rédacteur en chef

Jean-Louis Trudel et Natasha Beaulieu
Jean-Louis Trudel et Natasha Beaulieu

Jean-Louis Trudel et Natasha Beaulieu

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Prix Imaginales 2015 les lauréats

Prix Imaginales 2015

les lauréats

 

 

Le festival des Imaginales est l’occasion de remettre le prix éponyme depuis 2002. Il récompense les meilleures œuvres de fantasy.

 

•Roman francophone :

Manesh de Stefan Platteau (Les Moutons Electriques)

 

•Roman étranger traduit : C

Comme un conte de Graham Joyce, traduction Louise Malagoli (Bragelonne)

 

•Jeunesse :

La Voie des oracles d’Estelle Faye (Scrineo)

 

•Illustration :

Hélène Larbaigt pour L’étrange cabaret des fées désenchantées (Mnémos « Ourobores »)

 

•Nouvelle :

Père-des-Pierres (novella) d’Orson Scott Card,

traduction Jean-Daniel Brèque (L’Atalante)

 

•Prix spécial du Jury :

Vincent Ferré, pour le recueil Lire J.R.R. Tolkien (Pocket) et la supervision de la nouvelle traduction du Seigneur des Anneaux (par Daniel Lauzon, chez Christian Bourgois)

 

•Prix Imaginales des lycéens : 

Le Batard de Kosigan de Fabien Cerutti (Mnémos)

 

•Prix Imaginales des collégiens :

Les Autodafeurs de Marine Carteron (Le Rouergue)

 

•Prix Imaginales des écoliens :

Malenfer de Cassandra O’Donnelo (Flammarion)

 

•Prix Une autre Terre :

La Liquidation de Laurent Cordonnier (Les Liens qui Libèrent)

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Les trophés

Les trophés

Bloody Week-end

2015

Palmarès

 

Grand Prix

Timothy, Marc Martinez Jordan, Espagne ,2014, 9’

Prix Special du Jury

Juliet Marc-Henri Boulier, France, 2015, 10’

Meilleur effet FX

Le Désir du monstre de Aurélien Antezac France 2013 9’

Meilleur film d’animation

Imposteur Elie Chapuis, Suisse/France 2013, 6’30

Prix du Public

(Décerner uniquement sur les films d’animations)

La Maison de poussière Jean-Claude Rozec, France 2013 ,11’35

Prix Jeune

Présences de Thomas Lebasde France 2014, 17’

 

Jury professionnel international

Président du jury

BRIAN YUZNA

 

Membres du Jury

Alain SCHLOCKOFF,   Jake WEST,   Jean-Pierre DIONNET,   Jean-Pierre PUTTERS,   Anthony HICKOX,  John PENNEY

 

Membres du jury jeune

Maëva    18 ans Champagney (70)                                      

Esther 19 ans Audincourt (25)

Bastien 21 ans Belfort  (90)

 Franck 23 ans Frotey-lès- Vesoul (70)

 

 

les membres des jury et le public

les membres des jury et le public

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bloody week-end, le coté convention.
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 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
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 Cosplay Bloody Week-end 2015
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 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
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 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
 Cosplay Bloody Week-end 2015
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 Cosplay Bloody Week-end 2015
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