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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

21e festival du film fantastique de Gérardmer

21e festival du film fantastique de Gérardmer

 

Le 21e festival du film fantastique de Gérardmer qui se tiendra du 29 janvier au 02 février sera présidé par Jan Kounen qui succédera à Christophe Lambert, 8 films seront en compétition officielle cette année.

 

Entouré d’un jury composé de Kim Chapiron, Béatrice Dalle, Alain Damasio, Vahina Giocante , Tania Raymonde et de Juan Solanas, Jan Kounen, le président du festival, à qui l’on doit, entre autre Dobermann et 99 francs, aura la lourde tâche de choisir la perle rare parmi une sélection de huit longs métrages en compétition, dont trois premiers films.

 

Bien représentés, la France et les USA compteront chacun deux films en lice. Côté français Ablations d’Arnold de Parscau et Dark Touch de Marina De Van devraient piquer la curiosité des festivaliers.  Outre-atlantique, ce sont The Sacrament de Ti West et We Are What We Are de Jim Mickle qui tenteront de succéder à Mamá, le Grand Prix de l’an dernier.

Les amateurs du cinéma d’horreur asiatique ne devraient pas être en reste avec Miss Zombie de Sabu et Rigor Mortis de Juno Mak.  Enfin le thriller spatial The Last Days on Mars de Ruairi Robinson ne manquera pas de réveiller les sens de ceux qui se seraient laissé engourdir par le froid hivernal.

 

HOMMAGE A KIM JEE-WOON

 

En parallèle, le festival rendra un hommage au réalisateur et scénariste sud-coréen Kim Jee-woon auteur notamment de J'ai rencontré le Diable et Le Bon, la brute et le cinglé. A noter également qu’une sélection de films hors compétition sera présentée.

Parmi eux, All Cheerleaders Die le nouveau film de Lucky McKee, L' étrange couleur des larmes de ton corps, d’Hélène Cantet & Bruno Forzani, Deep Sleep de Luciano Onetti ou encore The Machine de Caradog W. James. Expos, rencontres, nuit du fantastique, lectures et compétition de courts seront aussi au menu des réjouissances.

 

(communiqué de presse)

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Jan Halexander (catalogue)

 

 Presque tout le catalogue vidéo des films de Jann Halexander disponible en video-on-demand sur la plate-forme

 

  (J’Aimerais, J’Aimerais, 2007)

Synopsis : 2006. Chantonnay, petite ville de Vendée. Antoine Blanchard, homme solitaire victime d'homophobie, est amoureux fou d'un député catholique, Philistin de Valence, qui cache sa double vie à sa femme et ses enfants. La relation amoureuse est malsaine, étouffante et ne tarde pas à virer au drame…

Fiche technique : Scénario : Jann Halexander Image : Jolyon Derfeuil Son : Jann Halexander / Aurélien Merle Montage : Aurélien Merle Musique : Jann Halexander Production : Trilogie Halexander Durée : 30 minutes Diffusion : DVD Collection Homovies, Société Les Films de l'Ange, juillet 2007. Durée totale du dvd (inclus bonus audio, bonus vidéos, interview, concert de Jann Halexander et bandes annonces) 1h47. Pal.Stéréo. All Zones. Couleur. Collection Homovies. Distribution : Jann Halexander : (Antoine Blanchard) Valère Alama : (Philistin de Valence)

 

Autour du film : La sortie du film fut accompagnée d'une certaine polémique : il a été reproché notamment au réalisateur de donner le rôle d'un député vendéen à un acteur noir. Il s'agit d'un film muet, avec de longues plages de silences jugées déstabilisantes qui alternent avec de courtes plages musicales. Valère Alama qui joue le rôle du député n'est autre que l'ex-ami du chanteur-réalisateur franco-gabonais (source : horreur.com).

En effet, le réalisateur eut beaucoup de difficultés pour trouver un acteur noir pour jouer le rôle d'un homosexuel. Le journal Vendée Matin a annoncé la réalisation d'une suite, toujours par le même réalisateur, prévue pour 2008, intitulée Goodbye Tristesse. La captation du concert figurant dans les bonus eut lieu au théâtre parisien Darius Milhaud. Le film a été tourné dans la commune de Chantonnay en Vendée.

 (Occident, 2008)

Quelque part en Europe. Statross Reichmann, métis bisexuel vit une relation tourmentée avec un jeune homme blanc d'extrême-droite, Hans. Tiraillé entre l'amour qu'il porte à cet homme violent, raciste, et l'envie de partir, Statross ne se doute pas qu'il est la cible d'une force malveillante qui décime peu à peu son entourage… Sensualité, kitsch, sexualité, racisme, violence et amour son au rendez-vous dans ce film d'auteur réalisé par Jann Halexander, qui est la suite complètement autonome de Statross le Magnifique, film culte de Rémi Lange, sorti en 2006. Avec le chanteur Jann Halexander dans le rôle de Statross (il signe également la BO et le scénario), Philippe R dans le rôle de l'amant, Hans, Ester de Paris dans le rôle de la mère… ### Bonus : 7 Chansons de Jann Halexander

Information/communiqué de presse

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Main basse sur le Sixieme continent

Main basse sur le Sixieme continent

« Main basse sur le Sixième Continent »

Nicolas Antoniucci

 

Ce roman à la fois écologique, anticipation et politique  se déroule après 2040. Le sixième continent est cette masse de déchets qui dériver a la limite de l’équateur, à l’époque où se déroule l’action, les aventuriers et les exclus de la société aseptisés de tous poils, vont vers ce nouveau Far West aquatique, ce nouvel eldorado. Y cherchent-ils dans cet enfer de pollution, ou vivent des êtres hybrides issus de modifications génétiques inconnues, l’Eden, qu’ils non pas connu dans une société où l’on ne mange plus que des galettes fabriquées en usine, toutes similaires évitent les dangers que des aliments naturels peuvent engendrer, sans danger, mais sans vraie vie, sans plaisir, vaut-elle la peine d’être vécue dans ces conditions, on peut en douter.  

 

Monde ou les lois humaines n’ont plus court, sur le « Sixième continent » y règne des êtres hybrides sorti des livres, publicités les «  Célébrités Posthumes, Imagés, Bondissantes » du débonnaire Li PO à H.G. Wells jusqu’à  l’inquiétant Nostradamus nouveaux dieux tiré des livres, publicités voir bande dessiné la nature ayant joué avec les ADN, la nature ou autre chose ?

 

Pas mal de questions philosophiques, économiques, sociétales sont posées dans cet ouvrage sans pour autant en faire un livre difficilement accessible, bien au contraire.

 

 

Résumé de "Main basse sur le sixième continent"

Paul, un SDF surnommé Diogène, voit sa vie basculer lorsqu’il reçoit un héritage inattendu. Devenu riche, il part pour le Sixième Continent où affluent des aventuriers de tous bords car ses fonds marins rengorgent d¿or et de pierres précieuses...

 

Biographie de Nicolas Antoniucci

Nicolas Antoniucci s'est engagé avec passion dans l'architecture, il y a de cela quarante ans. Ce métier lui a ouvert les portes de la création. Il permet de rendre visible l'imaginaire qui se révèle, jours après jours, grâce à la matière mise en œuvre, qu'elle soit bois, fer, béton ou pierre. Aujourd'hui, il s'intéresse aux rêves et aux réalités que portent les mots, les phrases, les histoires et vient de signer son cinquième livre.

 

Bibliographie :

 

« Les pages blanches et la Falaise de Sol », Société des Ecrivains, 2003.

 

« Objets », Société des Ecrivains, 2003.

 

« L'Arbre du Kamas », TDB, 2008, Réédition: Libres d'écrire - juin 2013.

 

« Alpha Cha et le tatouage de jade », Editions Beaudelaire, 2010.

 

Meurtre dans un paysage qui n'est pas encore le nôtre,

Kirographaires 2012, Réédition : Libres d'écrire - août 2013.

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Prolongations -Théâtre- monologue ''Confessions d'un Vampire Sud-Africain'', Paris 8 et 9 janvier 2014 (avec Jann Halexander)  

 

 THEATRE/MONOLOGUE

 

 CONFESSIONS D'UN VAMPIRE SUD-AFRICAIN

 

 

 

 Il ressemble à un homme, il parle comme un homme, il chante comme un homme.

 

 Il est sensuel comme un homme, il rit comme un homme, ce n´est pas un homme.

 

 C'est un Vampire. Il s´appelle PRETORIUS MALAN. Et il a des choses à dire...

 

2014. Pretorius Malan, 106 ans, vampire sud-africain, métis et bisexuel raconte sa vie à un groupe d’étudiants français. Solitaire, aigri, obsédé, dur, il parle de sa vie, de sa liaison passionnelle avec Dracula, de ses victimes et de la société sud-africaine de 1908 à 2014…

 

Confessions d'un Vampire Sud-Africain est un monologue écrit par le chanteur pianiste et réalisateur Jann Halexander (A Table, Il est minuit Docteur Schweitzer) qui interprète la vampire Pretorius Malan. Il a incarné avant Antoine Blanchard dans le film J'Aimerais J'Aimerais. La pièce a été présentée une cinquantaine de fois au Musée des Vampires, en région parisienne, à Paris, à Angers, à Bruxelles, à Cologne depuis 2008. Après avoir présenté la pièce le 31 octobre 2013, au Magique, à Paris, pour les fêtes d'Halloween, Jann Halexander joue les prolongations le mercredi 8 et jeudi 9 janvier, 2014 toujours au cabaret Au Magique.

 

 

 

 Pièce interdite aux moins de 18 ans...

 

 

 

 Mercredi 8 et Jeudi 9 janvier 2014  AU MAGIQUE  21H00

 

 42 rue de Gergovie – 75014 Paris – Métro Pernety ligne 13

 

 Réservation au Magique : 01.45.42.26.10

 

 Tarif plein : 12 euros - Tarif Billetreduc.com : 10 euros

 

 Tarif sur réservation : 10 euros – Tarif RSA : 5 euros

 

 (possibilité de dîner sur place sur réservation)

 

  

 

 Production © Label Trilogie Halexander / Lalouline Editions

 

 

 

 Extrait :

 

 "Chaque jour, j'attendais 17 heures avec impatience, mon coeur battait pour lui, j'en rêvais chaque nuit. Nous deux discutions des vins du Cap, de ma famille, des neiges sur nos montagnes, de la cueillette des mûres, des jus de fruits de Ceres, du soleil parfois traître et des kaffirs, des orientaux, des bonnes familles afrikaners, il me parlait de l'Europe, de la France, de la Roumanie. Peu à peu, Dracula m'apprenait des mots français, roumains, surtout français, il me disait que c'était la plus belle langue du monde. Je n'en doutais pas. Une fois, après avoir fini de manger, il me demanda de m'asseoir face à lui, j'étais intimidé...et amoureux. Il m'a dit : Pretorius...c'est un beau prénom. Pour un beau visage. Il m'a dit donnez moi votre main droite. Je la lui tendis, il la serra fort, avec chaleur, non ce n'était pas de l'amitié, il la porta à ses lèvres et y posa un baiser. Moi je tremblais, je tremblais de tout mon être. Je n'avais jamais connu ça. Il a vu que j'étais mal à l'aise, peut-être même que je suais. Il a souri. Avez-vous vu l'amour sourire ? D'ailleurs c'était plus que de l'amour...l'amour est raison...au moins. Mais là..." 

 

 

 

 

Prolongations - Théâtre- monologue ''Confessions d'un Vampire Sud-Africain'', Paris 8 et 9 janvier 2014 (avec Jann Halexander)

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TWENTIETH CENTURY FOX et RELIANCE ENTERTAINMENT

présentent

 

En association avec IM Global

 

Une production BBC Earth Films et Evergreen Studios

 

 

 

Un film de Barry Cook et Neil Nightingale

 

 

SUR LA TERRE DES DINOSAURES

(Walking With Dinosaurs)

 

 

Avec les voix originales de

John Leguizamo

Justin Long

Karl Urban

 

Scénario : John Collee

Image : John Brooks

Montage : John Carnochan, Jeremiah O’Driscoll

Musique : Paul Leonard-Morgan

 

 

Un film produit par

Mike Devlin, Amanda Hill, Deepak Nayar

 

 

 

Sortie nationale : 18 décembre 2013 

 

 

L’HISTOIRE

 

 

Située il y a 70 millions d'années, au temps où les dinosaures régnaient en maîtres sur la Terre, notre histoire suit les aventures de Patchi, le dernier né de sa famille. Sur le long chemin qui le mènera vers l’âge adulte, il devra survivre dans un monde sauvage et imprévisible, et faire face aux plus dangereux prédateurs.

 

Quand son père est tué, le jeune Patchi, son grand frère Scowler et son amie Juniper sont séparés du reste de la horde pendant la grande migration. Désormais à la recherche des siens, le trio va devoir surmonter de nombreux obstacles, et vivre une aventure palpitante au cours de laquelle Patchi va révéler son immense courage.

 

 

 

LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES QUI ONT INSPIRÉ ‘SUR LA TERRE DES DINOSAURES’

         

De nombreux éléments nouveaux ont été découverts depuis la diffusion de la série « Sur la terre des dinosaures » à la télévision, amenant notre compréhension de ces formidables créatures à un niveau jamais atteint auparavant. Des ossements de dinosaures ont été mis au jour sur tous les continents, démontrant ainsi qu’ils prospéraient partout sur le globe, pendant l’ère Mésozoïque – ère qui regroupe le Trias, le Jurassique et le Crétacé. L’histoire de ce film se déroule à la fin du Crétacé.

Les découvertes récentes qui suivent, notamment, ont inspiré SUR LA TERRE DES DINOSAURES :

 

LES LIEUX DE TOURNAGE

ALASKA :

Anchorage 

Girdwood

Kenai 

Ninilchik 

Homer 

 

NOUVELLE-ZÉLANDE :

Glenorchy

Te Anau

Lacs Mavora

Fleuve Ahuriri (près d’Omarama)

Rivières Eastwood & Westwood (près de Kingston Station)

Rivière Kawarau

 

LES VOIX ORIGINALES

 

 

 

Ricky.......................................................................................... CHARLIE ROWE

Oncle Zack...................................................................................... KARL URBAN

Jade.......................................................................................... ANGOURIE RICE

Alex........................................................................................ JOHN LEGUIZAMO

Patchi............................................................................................ JUSTIN LONG

Scowler....................................................................................... SKYLER STONE

Juniper........................................................................................... TIYA SIRCAR

Présentateur radio.......................................................................... CLAY SAVAGE

Cartes d’identité des dinosaures...................................................... JUDE TINSLEY

                                                                                          MARY MOUSER

                                                                             KATHERINE SILVERMAN

                                                                                 MADISON MOELLERS

                                                                                        MICHAEL LEONE

Dialogues écrits par................................................................... GERRY SWALLOW

 

 

 

FICHE TECHNIQUE

 

 

Réalisateurs.................................................................................... BARRY COOK

                                                                                             NEIL NIGHTINGALE

Scénariste...................................................................................... JOHN COLLEE

Producteurs.................................................................................... MIKE DEVLIN

                                                                                                     AMANDA HILL

                                                                                                   DEEPAK NAYAR

Producteurs exécutifs...................................................................... STUART FORD

                                                                                               MARCUS ARTHUR

                                                                                                  DAVID NICKSAY

Producteurs exécutifs............................................................................. TIM HILL

                                                                                                     MILES KETLEY

                                                                                           ZAREH NALBANDIAN

Coproducteurs......................................................................... DANA BELCASTRO

                                                                                                   SCOTT KROOPF

                                                                                                      JOHN LYNCH

Coproducteurs exécutifs............................................................... FRAN LOCASCIO

                                                                                              MARTYN FREEMAN

                                                                                         STEPHEN MCDONOGH

Directeur de la photographie........................................................... JOHN BROOKS

Chefs monteurs...................................................................... JOHN CARNOCHAN

                                                                                        JEREMIAH O’DRISCOLL

Compositeur................................................................. PAUL LEONARD-MORGAN

Histoire secondaire.......................................................................... JOE LIDSTER

Superviseur de production.................................................. MARJORIE CHODOROV

Superviseur de la musique............................................................... SEASON KENT

Superviseur des effets visuels........................................................ WILL REICHELT

Directeur de l’animation........................................................... MARCO MARENGHI

Directeur artistique................................................................... SIMON WHITELEY

 

ÉQUIPE NOUVELLE-ZÉLANDE

                  

Producteurs délégués............................................................. RICHARD FLETCHER

                                                                                                TREVOR HAYSOM

Administratrice de production.................................. ANNIE DODMAN            

1er assistant réalisateur.............................................................. ANTONIO GRANA

Caméraman et steadicam................................................................. DANA LITTLE

Stéréographie...................................................................................... JEFF RIOS

Ingénieur technique 3D............................................................. ROBIN CHARTERS

Chef électricien............................................................................... JOHN HOGAN

Chef machiniste....................................................................... PETER BRADSHAW

Chef accessoiriste............................................................................ SHAY GRANT   

Supervision du script................................................................. DIANNE MOFFATT

                                                                                                       PAM HISLOP   

Régie......................................................................................... PHILIP TURNER

Coordination production..................................................................... LYN WILLIS

                                                                                               PHEE PHANSHELL   

Superviseur effets spéciaux.............................................................. DEAN CLARKE

Technicien Lidar............................................................................ CLAY WYGANT

                                                                                                       DAN WOBBE

 

HISTOIRE SECONDAIRE – ÉQUIPE ADDITIONNELLE

                  

1er assistant réalisateur....................................................................... JOE NOLAN   

Chef décorateur............................................................................ GRANT MAJOR

Directeur artistique.......................................................................... KEN TURNER

Charpentier................................................................................... MIKE APPLEBY

Peintre............................................................................................. ANDY KING

Storyboard................................................................................ JEFF BALSMEYER

Graphiste................................................................................. BRADY ERICKSON   

Cadreur............................................................................................ ROB MARSH

Steadicam................................................................................. SIMON HARDING

Ingénieur du son......................................................................... TONY JOHNSON

Supervision du script...................................................................... SARAH HINCH

Chef électricien............................................................................ GILES COBURN

Chef machiniste............................................................................... TONY KEDDY

Costumière........................................................................... BARBARA DARRAGH

Maquilleuse............................................................................... DAVINA LAMONT

Coordinatrice oiseaux....................................................................... ROSIE MILES

Effets spéciaux....................................................................... FILM EFFECTS LTD.

 

ÉQUIPE ALASKA

                  

Producteur délégué................................................................. RICHARD GELFAND

1ers assistants réalisateurs.......................................................... ANTONIO GRANA

                                                                                        JONATHAN SOUTHARD   

Supervision du script................................................................... BRICE HABERER   

Steadicam................................................................................... MANOLO ROJAS

1er assistant opérateur................................................................. THOMAS BANGO

Stéréographie........................................................................ MANNING TILLMAN

Ingénieur technique 3D............................................................. ROBIN CHARTERS   

Superviseur effets visuels................................................ JOHN SULLIVAN   

Ensemblier................................................................................... JOE HAMILTON   

Storyboard.................................................................................... OLIVER DEAR

Artistes reconstruction dinosaures.................................. SCOTT HARTMAN

                                                                                                      MARK WITON

Chef machiniste................................................................................. GREG KERN

Régie.......................................................................................... BOB CROCKETT

                                                                                                       RAINE HALL

Repérages.................................................................................... MATT SZUNDY

Coordinateur effets spéciaux....................................................... JOHN HARTIGAN

Coordinatrices de production........................................................ SARA SCARRITT

                                                                                                      MEG HALSEY

POSTPRODUCTION

Australie

                  

Superviseur postproduction..................................................... MARC VAN BUUREN

Coordinatrices de postproduction............................................ PIPPA SHEEN

                                                                                                  EDWINA HAYES

Monteur animation........................................................................ SIMON KLAEBE

Monteur images décor................................................................................ BIN LI            

Création voix dinosaures................................................................ MAX BYGRAVE

                                                                                                        TIM OWENS

                                                                                                      JONNY CREW

Prise de son nature...................................................................... TIMOTHY DODD   

Prestations montage son................................... SOUND & MUSIC SOLUTION (SMS)            

Design sonore................................................................................ PAUL PIROLA

Mixage son................................................................................... ANDREW NEIL

                                                                                                 STEVE BURGESS

 

POST PRODUCTION

Los Angeles

                  

Superviseur postproduction.......................................................... FRANK SALVINO

Superviseur postproduction – Evergreen Studios.................... PAT DEVLIN

Superviseur effets visuels – Evergreen Studios................. SCOTT BILLUPS

Producteur effets visuels – Los Angeles....................... DUSAN STRUGAR

Superviseur stéréo post.............................................................. THOMAS CABELA

Superviseur stéréo............................................................................ VINCE PACE

Sur la terre des Dinosaures

Sur la terre des Dinosaures

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A.O.C Aventures Oniriques et Compagnie

Spécial Concours Vision du Futur 2013

 

Le fanzine du Club Présences d’Esprits est cette fois consacré au concours « Vision du Futur » et publie les nouvelles primées.

Les nouvelles devaient s’inspirer de l’un des thèmes suivants.

« Tuer ou se faire  tuer, manger ou se faire manger: telle était la loi ; et il obéissait à ce commandement issu des profondeurs du temps »

Jack London. Trente textes ont abordé ce thème.

 

• « J'avais l'impression d'être sur le point de toucher du doigt quelque chose qui flottait à la lisière de ma conscience, quelque chose qui m’était familier... »

Roland Wagner. Vingt-sept nouvelles ont été reçues concernant ce thème.

 

•             « engrenage ». Ce thème a inspiré vingt textes.

 

Les prix ont été remis le 29 juin lors de l'assemblée générale du club Présences d'esprits.

 

Le premier prix a été décerné à Marc Oreggia pour sa nouvelle « Dark Rocks ».

 

le second prix a été décerné à Arnaud Cabannes pour « Point de fuite ».

 

Ces  deux textes ont été inspirés par la citation de Jack London.

 

Deux accessits ont également été décernés, à Milora pour « Mamie Lucie », et Morrad Benxayer pour l’Alif. Ces textes font référence à la citation de Roland Wagner.

 

On ne serait trop que recommandé a tous les amateurs (dans le bon sens du terme) de la littérature de genre, de lire ce numéro et comme toujours je recommande également de s’abonner à cette excellente fanzine de littérature ( et de BD ) ,on peut s’abonner via le net directement auprès du club.

 

Vous trouverez en suivant le lien ci-dessous le palmarès de l’année dernière.

Couverture Lodgraph

Couverture Lodgraph

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Les Légendaires (Exposition)

 

Dix ans déjà pour Les Légendaires, qui fêteront cet anniversaire au Festival. Une grande exposition rétrospective revient sur l’univers de cette série signée Patrick Sobral, devenue l’une des plus populaires de la bande dessinée francophone.

 

L’histoire est bien connue des jeunes lecteurs, toujours plus nombreux à se passionner pour Les Légendaires de Patrick Sobral depuis la parution en 2004 du premier tome de la série, La Pierre de Jovénia. Après avoir tenté d’utiliser la pierre pour retrouver jeunesse et vigueur, le malveillant sorcier noir Darkhell a condamné tous les habitants d’Alysia à retrouver leurs corps d’enfants.

 

 Mais c’était compter sans la détermination de Danaël, Jadina, Shimy, Gryf et Razzia, cinq justiciers connus sous le nom des Légendaires, qui doivent tout faire pour retrouver leur apparence d’adultes et rentrer en grâce auprès des peuples d’Alysia.

 

Dans cette quête semée d’embûches, que l’on suit au fil des albums, les Légendaires croisent de très nombreux personnages : êtres humains bien sûr, mais aussi jaguarians, elfes, trolls et quantité d’autres créatures plus ou moins sympathiques, aux noms parfois évocateurs… Au fil de leurs pérégrinations, les personnages visitent de vastes mondes, souvent étranges et peu rassurants.

 

La variété et l’étendue de ces mondes, toujours plus nombreux et ouverts, agrandissent de façon spectaculaire le champ d’action des personnages et inscrivent Les Légendaires dans une saga au long cours.

 

Dessinateur et scénariste de la série depuis ses débuts, Patrick Sobral est ainsi parvenu à faire des Légendaires, en dix ans et 16 tomes parus, un très grand succès de librairie, récompensé en 2013 au Festival par le Fauve d’Angoulême – Prix Jeunesse.

 

Le mélange réussi d’humour et d’aventure, mais aussi le traitement particulier du graphisme, expliquent sans doute aussi en partie la popularité de la série. Synthétisant dans son style expressif et ses choix de narration le meilleur du comics, de la bande dessinée franco-belge et du manga, Sobral a su élaborer avec talent et inspiration un univers hybride, multiple et coloré, qui revivifie habilement la tradition de l’heroïc fantasy.

 

Coproduite par le Festival et les éditions Delcourt, l’exposition permet à tous les visiteurs de découvrir, décrypter et parcourir les arcanes de cet univers de légende. Pédagogique, récréative et interactive, l’exposition revient sur l’histoire de la série depuis ses débuts, en proposant un voyage au coeur des mondes des Légendaires, ainsi qu’un aperçu des techniques et des étapes du travail de Patrick Sobral.

 

Pour la première fois, les personnages, ainsi que certains objets emblématiques de la série, sont mis en scène dans des éléments de décor provenant des albums. Des jeux sont également au générique de ce rendez-vous festif avec l’univers des Légendaires, sans oublier bien sûr la série sœur Légendaires : Origines, animée par la dessinatrice Nadou, spin off en plein essor avec deux tomes déjà parus. Nadou sera présente aux côtés de Patrick Sobral durant les quatre jours du Festival, pour accompagner la découverte de l’exposition.

 

L’un et l’autre ont promis à la communauté des fans de nombreuses autres surprises.

 

On peut lever le voile sur au moins l’une d’entre elles : un grand cosplay aux couleurs des personnages de la série, qui se tiendra dans les abords immédiats de l’exposition.

 

Exposition Les Légendaires

Champ de Mars, Hall 2 • Du jeudi 30 janvier au dimanche 2 février 2014, 10 h/19 h.

Production : 9eArt+/Delcourt • Commissariat : Nicolas Albert

Régie : Joël Portal • Création/constructions : Argos Arhea Design

41e Festival international de la bande dessinée

© Editions Delcourt, 2013 – Patrick Sobral

41e Festival international de la bande dessinée

 

 

Les Légendaires

Les Légendaires

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Du Transperceneige à Snowpiercer

 

Classique de la bande dessinée, Le Transperceneige de Lob, Rochette et Legrand est devenu un long-métrage, Snowpiercer. Une exposition lève le voile sur les dessins et peintures inédits réalisés par Rochette en écho au tournage du film de Bong Joon-Ho.

 

Événement et succès international au cinéma en 2013 après avoir été un événement et un succès éditorial lors de sa première publication il y a trois décennies, Le Transperceneige, alias Snowpiercer à l’écran, entre en gare d’Angoulême le temps du 41e Festival.

 

L’histoire de cette bande dessinée de haute tenue, remarquable réussite de la SF made in France, est peu commune. Rescapé de multiples accidents parfois tragiques (dont la disparition prématurée de son tout premier dessinateur, Alexis, suivie en 1990 de celle de son concepteur Jacques Lob, unique scénariste à avoir jamais décroché le Grand Prix du Festival d’Angoulême), Le Transperceneige doit à une succession de hasards improbables d’avoir contre toute attente, trente ans après sa parution, trouvé à s’incarner au cinéma, et de quelle manière !

 

Adapté avec un grand respect par le brillantissime Bong Joon-ho, surdoué d’un cinéma coréen débordant d’idées et d’énergie, Le Transperceneige devenu Snowpiercer s’impose comme un grand film après avoir été un grand livre, qualité au fond assez rare dans l’histoire des longs métrages issus de la bande dessinée.

 

Qu’un astre si sombre ait finalement bénéficié d’une aussi bonne  étoile méritait bien que l’on explore, par exposition interposée, quelques-uns des aspects  méconnus de ce passage du 9e au 7e art.

 

L’exposition est aussi, bien sûr, un parcours à travers le travail du dessinateur de la trilogie, Jean-Marc Rochette. Il n’a que vingt-six ans lorsque le magazine (À Suivre) commence à publier Le Transperceneige en épisodes fin 1982, après que Jacques Lob a « recruté » ce jeune dessinateur alors peu connu. Il passera plus tard par la peinture (qu’il n’a depuis lors jamais abandonnée) avant de revenir à la bande dessinée, notamment pour donner une suite au Transperceneige en 1999 et 2000 avec le scénariste Benjamin Legrand, puis de croiser la route du cinéma en la personne du réalisateur Bong Joon-ho.

 

Fasciné par l’allégorie tragique qu’incarne ce train, grand lecteur de bande dessinée quand il ne dessine pas lui-même, le cinéaste convainc Rochette de réaliser une série d’images inédites qui seront utilisées sur le tournage du film, et que l’on voit fugacement apparaître à l’écran. Ce n’est plus de la bande dessinée, ce n’est pas de la peinture non plus – mais ces illustrations charbonneuses sont assurément des images habitées, pour ne pas dire hantées.

 

Touché par cette expérience, qui lui permet d’explorer de l’intérieur des pans méconnus de sa propre création, le dessinateur décide de poursuivre sur sa lancée, et crée dans la foulée du tournage une vingtaine de dessins et peintures inédits inspirés par l’univers du train et son cortège de folies : portraits de quelques-uns des principaux personnages, confrontations violentes saisies sur le vif ou scènes obscures surgies des tréfonds de cette histoire démesurée.

 

C’est l’ensemble de ces images inédites, dont certaines traitées par Rochette en grand format, qui sont rassemblées à Angoulême dans le cadre de cette exposition – soit au total près de 70 oeuvres originales, assorties d’une dizaine de photos du film. De quoi continuer à faire défiler longtemps Le Transperceneige dans les méandres de notre imaginaire, ainsi que l’écrivait Jacques Lob voilà trente et quelques années dans le récitatif de la toute première image de l’histoire : « Parcourant la blanche immensité d’un hiver éternel et glacé, d’un bout à l’autre de la planète roule un train qui jamais ne s’arrête. »

 

Exposition Du Transperceneige à Snowpiercer

Espace Franquin, rez-de-chaussée, 1, boulevard Berthelot •

Du jeudi 30 janvier au dimanche 2 février 2014

Production : 9eArt+ / Casterman / Centre Culturel Coréen •

Commissariat : Stéphane Beaujean et Nicolas Finet •

Scénographie : Dominique Clergerie

© Jean-Marc Rochette /

(Communiqué de Presse)

Du Transperceneige à Snowpiercer
Du Transperceneige à Snowpiercer

Du Transperceneige à Snowpiercer

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100 ans et plus de cinéma fantastique et de science-fiction.

 

Cet ouvrage attendu depuis longtemps par les amateurs de cinéma de genre est enfin disponible. Ecris par Jean-Pierre Andrevon, avec les contributions de : Pierre Gires, Jean-Pierre Fontana, François Cau, Bernard Médioni et Sébastien Sochas. C’est contributeurs sont tous des spécialistes reconnus des films de genre.

Jean-Pierre Andrevon à travailler à cet ouvrage durant 10 ans, voire plus. On avait annoncé plus de pages au départ, la mise en page fut revu avec le même texte et le même nombre de photos, pour faciliter la lecture et des questions techniques. Ce fut la raison du retard de prêt d’un mois et demi de sa sortie.

Très richement illustré avec des photos mais aussi des affiches parfois rare ou étonnante comme celle d’un « Dracula » avec Christopher Lee nous venant d’un pays d’Asie.

Il n’existait pas en langue française d’encyclopédie sur le cinéma fantastique et de science-fiction (avec des notices sur un certain nombre de série TV).

Les amateurs de série TV de SF et de fantastique, y trouveront un dossier de 10 pages intitulé : « du sérial aux séries ».

Comme tout le reste on peut jouer au petit jeu de « c’est trop court » « c’est trop long », sur tel ou tel entrée, c’est le sort de tous les dictionnaires et de toutes les encyclopédies.

Un autre point important est que l’auteur ne s’enferme pas dans un texte purement informatif, forcement formater, mais laisse ses gouts, ses opinions s’exprimé soit dans les textes, soit dans la notation des films. C’est un livre  de passionnés pour des passionnés.

Le plus intéressant est bien sur moins les grands films cultes que de découvrir des films, des acteurs, des réalisateurs… méconnus ou tombés dans l’oubli.

Bien présenté avec des pages d’un rouge profond (allusion double : à la maison d’édition et a l’hémoglobine des films de genre) qui sépare les lettres de l’alphabet, une belle mise en page soignée et élégante, un texte lisible.

C’est LE LIVRE à offrir pour les fêtes aux amateurs de films des genres de l’imaginaire. Son prix de 69 euro étant la qualité de l’ouvrage est raisonnable, on saluera le risque pris par un petit éditeur, hors du cénacle parisien.

A signaler la prochaine parution, chez le même éditeur de l’intégrale « Midi-Minuit Fantastique ». Nous en reparlerons bien sur ce site.

 

 

Auteur: Andrevon Jean-Pierre

Descriptif: Rouge Profond

Collection: Raccords

Année de Parution:2013

ISBN/EAN13:9782915083569

Rayonnage: cinéma science-fiction

100 ans et plus de cinéma fantastique et de science-fiction.

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Andreas Eschbach (Entretien)

Bonjour Andréas Eschbach

S.D :

Dès votre premier ouvrage « Des milliards de tapis de cheveux », (Éditions L'Atalante, 1999), vous avez été primé par le Science-Fiction Club Deutschland, ça fait quoi quand pour son premier livre on est ainsi récompensé par rapport à votre prochain ouvrage cela vous a mis la pression ?

Andréas Eschbach :

A l’époque, c’est l’éditeur qui était impressionné, il avait pris le risque de publier, non pas dans un format de poche, mais dans un format classique pour de la littérature « blanche » mais pas pour un auteur de SF.  De fait il fut heureux de voir ça prise de risque ainsi récompenser.

Cela n’a pas pesé sur le second livre, il était déjà fini et je commençais la rédaction du 3eme.

S.D :

Venons-en au « Maître de la matière », Éditions L'Atalante, 2013, maison d’édition que vous avez depuis le début pour ce qui est des versions françaises de vos ouvrages.

Quels sont les évolutions, et éventuellement le fil rouge entre vos divers ouvrages, s’il y en a un ?

Andréas Eschbach :

Il n’y a pas d’univers défini, chaque livre parle d’un univers différent, cela dépend de mes idées, de mon inspiration du moment.

S.D :

Et le « Maitre de la matière » pouvez-vous nous en parler ?

Andréas Eschbach :

C’est difficile de raconté l’histoire, c’est surtout une histoire d’amour. Cette histoire d’amour commence quand les deux personnages sont jeune, le sujet en arrière-plan, c’est l’histoire de l’humanité, il y avait-il une histoire avec la nôtre, la question des extraterrestres, pourquoi ne sont-ils pas là, la question des nanotechnologies est aussi aborder.   L’inspiration était le paradoxe de Fermi :« S’il y avait des civilisations extraterrestres, leurs représentants devraient être déjà chez nous. Où sont-ils donc ? ». Je ne donne pas bien sur la réponse du roman, la question derrière tout cela c’est tout le monde peu-t-il avoir tous ce qu’il veut. Le personnage masculin est pauvre alors que celle qu’il aime est riche, il a le désir de surmonté cette différence en faisant que tout le monde soit riche.

S.D :

Vous êtes né en Allemagne, pourquoi être venus vivre en France et plus particulièrement à Brest ?

 Andréas Eschbach :

J’habitais la ville de Stuttgart, et c’était un rêve que de vivre sur la côte, je suis tombé amoureux de la Bretagne depuis 10 ans.  

S.D :

Vous avez d’autre projets ?

Andréas Eschbach :

Pour l’édition française de mon prochain ouvrage, il faudra attendre plusieurs années le temps qu’il soit finalisé et traduit.

 

Biographie

Andras Eschbach est né en Allemagne en 1959. Après des études de physique aérodynamique, il fonde en 1993 une société de développement et de conseil informatique, dont il se retire quelques années plus tard pour se consacrer entièrement à l’écriture. Il est aujourd’hui écrivain libre. Passionné de littérature depuis son plus jeune âge, il écrit depuis ses 12 ans. Ses premières nouvelles ont été publiées dans diverses revues littéraires allemandes. En 1992, il décide de travailler à la publication d’un roman : Des milliards de tapis de cheveux, qui sera immédiatement reconnu, et récompensé par le Science-Fiction Club Deutschland. Auteur de plusieurs romans de SF, dont quatre ont été couronnés de prix littéraires, il est une révélation dans l’univers de la SF européenne de ces dernières années.

 

 

Repères bibliographiques

Maître de la matière, Éditions L'Atalante, 2013

Black*Out, Éditions L'Atalante, 2012

En panne sèche, Éditions L'Atalante, 2009

Kwest, Éditions L'Atalante, 2002

Jésus vidéo, Éditions L'Atalante, 2001

Des milliards de tapis de cheveux, Éditions L'Atalante, 1999

 

 

Andreas Eschbach

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