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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

"Et si on retournait le premier film ?"

"Et si on retournait le premier film ?"

Jour de tournage !

 

Jeudi 19 mars 2015

 

Les 120 ans du Cinématographe

 

Rue du Premier-Film, entre 12h et 20h

 120 ans après, venez tourner les nouvelles Sorties d'usine

 

Il y a 120 ans, le 19 mars 1895, Louis et Auguste Lumière posaient leur Cinématographe chemin Saint-Victor à Lyon (désormais rue du Premier-Film) et tournaient Sortie d'usine en mettant en scène leurs ouvriers et ouvrières, donnant ainsi naissance au cinéma.
 
Pour célébrer cet  anniversaire et marquer le premier acte des festivités, rendez-vous le
19 mars 2015 entre 12h et 20h sous le Hangar de l’Institut Lumière, décor du premier film de l’histoire du cinéma, pour tourner les nouvelles Sorties d’usine.

 

Deux formules :
 

1 - Participez à un remake en vous inscrivant à l’horaire de votre choix
12h/ 12h30/ 13h/ 13h30 /14h/ 18h30/ 19h/ 19h30/ 20h


Déroulé :
- Rendez-vous dans la salle de l’Institut Lumière pour une projection du premier film de l’histoire du cinéma, Sortie d’usine, tournée par Louis Lumière le 19 mars 1895
- Filmage du remake
- Retour dans la salle pour visionner votre Sortie d’usine ! (il sera envoyé à tous les participants par email)

 

Inscription au 04 78 77 47 59 / 19mars@celebration-lumiere.org
 

2 - Tournage libre !
A n’importe quel moment de la journée entre 12h et 20h, rendez-vous sous le Hangar de l’Institut Lumière : faites votre propre Sortie d’usine en groupe, en famille, entre amis, avec vos collègues de travail avec votre propre caméra ou avec l’Appli « Lumière 1895 », disponible à partir du 17 mars 2015, pour tourner des films à la manière du Cinématographe Lumière.

 

(Communiqué de presse)

 

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Brocante Cinéma et Photographie de Lyon

Brocante Cinéma et Photographie de Lyon

Cinéma et Photographie de Lyon :

Samedi 21 mars

et

dimanche 22 mars 2015

 

Édition de Printemps

 

 

 

Dans le quartier de naissance du Cinématographe, découvrez le rendez-vous incontournable de tous les passionnés de cinéma et de photographie.

 

Créée en 2010, la Brocante Cinéma et Photographie de Lyon a très vite suscité un vif intérêt. D’une vingtaine d’exposants la première année, le nombre de participants a rapidement doublé. En 2012, la manifestation s’étend sur 2 jours et commence à attirer des exposants et visiteurs  venus de l’étranger (Allemagne, Suisse, Belgique, Japon… L’année 2013 est marquée par l’organisation d’une exposition des projecteurs Buisse et Botazzi.

 

Pour l’édition 2014, organisée le week-end de clôture du festival LUMIERE, une centaine d’exposants de toute l’Europe et environ 6 000 visiteurs se sont retrouvés rue du Premier-Film pour vendre, échanger, acheter : appareils photos, caméras, matériel de projection, affiches, livres, photos, objets insolites, musiques….

 

Impossible pour les désormais « habitués » de rater une édition de la Brocante Cinéma et Photographie de Lyon, à l’image des célèbres rendez-vous internationaux de Bièvres et Argenteuil.

 

2015 sera une année particulière !

 

Pour la première fois, l’Institut Lumière organise une édition de Printemps de la Brocante Cinéma et Photographie de Lyon. Celle-ci se déroulera le jour des 120 ans de la toute première projection organisée par les frères Lumière, et à l’endroit même du tournage du premier film Sortie d’Usine. Des expositions de matériel et des animations seront  présentes pendant le week-end.

 

L’institut Lumière investit la rue du Premier-Film pour la transformer en village du Cinéma et de la Photographie et renforce l’image et la légitimité de Lyon comme la ville du cinéma et de l’image.

 

Sur la Brocante Cinéma et Photographie de Lyon les stands de pièces de collection, côtoient les stands des affichistes, bouquinistes et vendeurs de DVD. Les Leica côtoient les Pola, le vintage côtoie le moderne.

 

Les associations et clubs, tels que le Club Niepce montrent l’étendue de leurs activités : édition, exposition de matériel, exposition photo…

 

 

Infos Pratiques :

Samedi 21 mars : 11h-19h

Dimanche 22 mars : 9h-19h

 

Entrée gratuite

 

Plusieurs lieux Rue du Premier-Film - Lyon : école, lycée…

 

Métro ligne D arrêt Monplaisir-Lumière

 

(Communiqué de presse)

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EN 2015, LE CINÉMATOGRAPHE LUMIÈRE A 120 ANS

EN 2015,

LE CINÉMATOGRAPHE LUMIÈRE

A 120 ANS

 

Une exposition - Une restauration - Un livre - Des célébrations

 

 

 

1895 2015

 

 

 

En 2015, cela fera 120 ans que le Cinématographe Lumière a été inventé. L’Institut Lumière, installé depuis 1982 rue du Premier-Film à Lyon et présidé par Bertrand Tavernier, a décidé de célébrer à nouveau l’événement, vingt ans après le centenaire de 1995.

 

 

Cette célébration débutera au printemps, qui fut le théâtre en 1895 des moments décisifs du premier tournage (19 mars à Lyon), de la première présentation de l’invention (22 mars à Paris) et des premières « vues cinématographiques » tournées ensuite en série à Lyon, à Paris ou à La Ciotat.

 

 

Elle se poursuivra jusqu’en décembre qui marquera le souvenir de la première séance publique payante qui eut lieu au Salon Indien du Grand Café le 28 décembre 1895, boulevard des Capucines à Paris. Elle reprendra enfin en 2016 pour refaire le parcours des premiers opérateurs que Louis Lumière envoya faire le tour de la planète à partir de 1896 pour en ramener les images du monde.

 

 

Les points d’orgue de cette célébration seront :

 

— Du 27 mars au 14 juin, une exposition au Grand Palais à Paris, qui redira la splendeur et l’importance de « l’aventure Lumière » dans une ville qui a compté dans son histoire

 

— En mai, la restauration en numérique haute définition 4K et en 35 mm de 150 films Lumière

 

— En septembre, la sortie d’un ouvrage de référence sur Lumière publié par Actes Sud et l’Institut Lumière

 

Ainsi que, les 19 mars, 22 mars et 28 décembre, trois manifestations, à Paris et à Lyon, sur les traces des Lumière.

 

 

1Au Grand Palais, l’exposition « Lumière ! Le cinéma inventé »

27 mars – 14 juin 2015

 

Pour la première fois, et dans ce lieu unique qu’est le Grand Palais (construit pour l’Exposition universelle de 1900 dont les Lumière furent parmi les grandes figures), Paris accueillera du 27 mars au 14 juin 2015 une grande exposition dédiée aux Lumière.

 

Le projet est d’offrir dans le Salon d’Honneur du prestigieux bâtiment parisien une exposition événement consacrée à l’épopée du Cinématographe et à toute l’oeuvre de la famille Lumière. L’ensemble sera abordé de façon renouvelée : on dépassera la seule tradition visant à faire de Louis Lumière (et de son frère Auguste) un inventeur et un génie de la technique, pour montrer en quoi son oeuvre est d’une richesse, d’une créativité et d’une modernité méconnues.

 

 Car les Lumière, ça n’est pas seulement le cinéma, c’est aussi une vie dédiée aux images dont, en 1903, l’invention de la photographie en couleur : les Autochromes. Ainsi, l’exposition abordera l’invention du Cinématographe mais aussi les autres dimensions de l’épopée industrielle et artistique de la famille Lumière. Une famille dont le frère, Auguste, invente le tulle gras et sauve des milliers de grands brûlés pendant la Grande Guerre et qui compte également le père, Antoine, peintre et photographe, amateur du Kinétoscope Edison, ami de Nadar et des poètes, qui incite ses enfants à inventer le Cinématographe.

 

Au-delà d’une exposition esthétique, pédagogique et populaire dont les commissaires sont Thierry Frémaux et Jacques Gerber, le parcours et le dispositif scénographique, confié à l’architecte-scénographe Nathalie Crinière, contribueront à montrer les images, fixes et animées, et à retrouver et offrir leur magie originelle.

 

D’un parti pris visuel qui bénéficiera des dernières techniques liées au numérique, l’exposition mettra en valeur les trésors des collections de l’Institut Lumière, les archives privées, les appareils, les documents graphiques, ainsi que les archives familiales. Elle s’enrichira aussi de la participation de nombreuses institutions, dont la Cinémathèque française. Ce « parcours sensible » dans l’esthétique Lumière sera une grande découverte pour ceux qui ignorent tout de cette belle aventure.

 

120 ans après les premières projections publiques à Paris et 115 après le triomphe du Cinématographe à l’Exposition universelle de 1900, l’histoire des Lumière se prolonge dans les lieux mêmes de ce triomphe : le Grand Palais à Paris. Bâtiment emblématique de l’Exposition universelle de 1900, construit pour elle et consacré « par la République à la gloire de l’art français », il est situé au coeur de Paris, sur l’avenue des Champs-Élysées. Il est comme la Tour Eiffel un des symboles de Paris dans le monde. Pouvait-on rêver d’un endroit plus fort et plus évident pour un tel événement ?

 

L’exposition « Lumière ! Le cinéma inventé » est financée par l’Institut Lumière, le CNC, la Ville de Lyon, la Métropole de Lyon, la Région Rhône-Alpes, le Musée des Confluences, la Région Ile-de- France, ainsi que BNP Paribas et Chopard. Elle bénéficie aussi du soutien de Renault Trucks, de Brochier Soieries, de l’Hôtel Scribe et de Codimat.

 

Après le Grand Palais, elle se fera itinérante pour aller s’installer en Italie, Russie, États-Unis, Canada, Argentine, Corée, Brésil. Elle terminera son voyage en étant accueillie par l’un de ses co-producteurs, le nouveau Musée des Confluences à Lyon.

 

 

2. La restauration en 4K de 150 films Lumière et la sortie d’un Blu-ray / DVD

Mai-juin 2015

 

Le Cinématographe a été inventé par Louis et Auguste Lumière en 1895. Le 19 mars, ils tournent à Lyon leur premier film : Sortie d’Usine. Le 22 mars, ils le projettent à Paris, à la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale. C’est un triomphe. Pendant l’année 1895, ils tourneront eux-mêmes (sous la direction de Louis) des dizaines de films, principalement à Lyon et à La Ciotat, avant de recruter des opérateurs qui permettront au Cinématographe de compter 1422 films au catalogue, comme l’ont établi les Archives Françaises du Film du CNC.

 

Souvent considéré comme simplement un inventeur, Louis Lumière fut aussi, et on ne le sait guère, un créateur qui se posa d’emblée, avec ses opérateurs, des questions de metteur en scène. Georges Sadoul, Henri Langlois ou Jean-Luc Godard l’ont dit dans les années soixante : il existe un « Lumière cinéaste ».

 

Pour le redire, et montrer la splendeur d’une oeuvre qui reste à redécouvrir, l’Institut Lumière fait restaurer près de 150 films qui seront là pour prouver que l’oeuvre Lumière est partie intégrante de l’histoire du cinéma, que Louis Lumière n’est pas seulement au bout de la chaine des inventeurs, il est aussi au début de la chaine des créateurs.

 

150 films Lumière restaurés par l’Institut Lumière avec les Archives Françaises du Film du CNC, Eclair Group et l’Immagine Ritrovata de Bologne. Grâce au mécénat de la Fondation Total, la Fondation du Patrimoine a apporté son soutien à cette restauration.

 

 

3. Lumière ! (Actes Sud / Institut Lumière)

Septembre – octobre 2015

 

Pour accompagner une célébration qui durera toute l’année, l’Institut Lumière et les éditions Actes Sud publieront à l’automne un beau livre sur Lumière.

 

Lumière ! est l’hommage rendu à des inventeurs et entrepreneurs hors du commun qui, à travers le cinéma mais aussi la photographie et les Autochromes, voulurent enchanter le monde pour l’offrir au plus grand nombre. Il est aussi l’histoire d’une famille qui fut celle de la France et une aventure industrielle d’une incroyable richesse.

 

L’ouvrage proposera également de nombreuses analyses et réflexions qui sont autant de pistes dans l’univers esthétique et technique qui entourait le cinéma naissant. À travers les contributions des historiens, des directeurs de musées ou de cinémathèques, des membres de la famille mais aussi des cinéastes contemporains, grâce à une iconographie de grande qualité, parfois peu vue en France, Lumière ! est un passionnant voyage dans le temps et autour du globe, au coeur de cette histoire du septième art qui, depuis les grains de la pellicule, s’écrit désormais avec les images numérisées du Digital Cinema Package.

 

À nouveau réunis pour une belle aventure éditoriale, Actes Sud et l’Institut Lumière publieront un ouvrage de référence, le livre politique et historique Lumière.

 

Sous la direction de Thierry Frémaux, préface de Bertrand Tavernier. Avec des textes de Laurent Mannoni et Serge Toubiana (Cinémathèque française), Béatrice de Pastre (Archives Françaises du Film du CNC), Max Lefrancq-Lumière (petit-fils de Louis Lumière), Pierre Sorgue et Jean-Marc Lamotte (Institut Lumière), Bertrand Lavedrine, Jean-Paul Gandolfo (ENS Louis Lumière), Vincent Pomarède (Musée du Louvre), Jacques Rittaud-Hutinet et Vincent Pinel (spécialistes des Lumière), Philippe Jacquier (arrière petit-fils de Gabriel Veyre) et Marion Jacquier, Bernadette Angleraud (historienne), Nathalie Boulouch (Université Rennes 2), Pierre-William Glenn ainsi que Dominique Païni et de nombreux autres contributeurs.

 

500 pages, 200 illustrations

 

 

4. Sur les traces des Lumière : 19 mars, 22 mars et 28 décembre 1895/2015

 

 

Le 19 mars prochain, une journée à Lyon se déroulera sur les lieux du premier tour de manivelle. « Jour de tournage » permettra aux visiteurs de se rendre rue du Premier-Film devant le Hangar de la société Lumière (désormais Institut Lumière), pour visionner les films mais aussi pour tourner d’innombrables « Sorties d’Usine ». À cette occasion l’Institut Lumière sortira, pour les Smartphones, une application nommée « Lumière 1895 », qui permettra de tourner, en 2015, des « films Lumière » à la durée et au format originels.

 

Le 22 mars suivant, la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale, boulevard Saint Germain à Paris, proposera une conférence rappelant celle qui, le 22 mars 1895, permit à Louis et Auguste Lumière de montrer pour la première fois les résultats de leur nouvelle invention.

 

Y participeront, outre l’Institut Lumière, la Cinémathèque française et son directeur Serge Toubiana, la Fédération Nationale des Cinémas Français et son Président Richard Patry, ainsi que la société Gaumont et son Président Nicolas Seydoux, qui redira les liens qui unissait Léon Gaumont et Louis Lumière.

 

Enfin, le 28 décembre 2015, dans ce qui était autrefois le Salon Indien du Grand Café au 44 boulevard des Capucines et qui est devenu l’hôtel Scribe, le public sera convié à diverses manifestations de célébration autour du Cinématographe Lumière mais aussi des images contemporaines qui sont celles de notre siècle.

 

Entre-temps, à Neuville-sur-Saône ou à La Ciotat, à Lyon à nouveau, d’autres événements se dérouleront dans ce qui furent des « villes Lumière. »

 

 

Une exposition

« Lumière ! Le cinéma inventé »

Salon d’Honneur / Grand Palais / Paris

(27 mars – 14 juin 2015)

www.grandpalais.fr

 

 

Une restauration

150 films Lumière restaurés par l’Institut Lumière avec les Archives Françaises du Film du CNC, Eclair Group et l’Immagine Ritrovata de Bologne

Sortie d’un DVD Blu-ray en juin 2015

Édité par l’Institut Lumière et France Télévisions

 

 

Un livre

Dans la collection Institut Lumière / Actes Sud, un beau livre qui fait le point sur l’aventure Lumière, en rassemblant les textes d’une vingtaine d’auteurs et qui propose des illustrations inédites venus des films, des Autochromes, des stéréoscopes familiaux, des photoramas et du cinéma 75 mm.

Sortie : septembre-octobre 2015

 

 

 

 

(Communiqué de presse)

 

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MARVEL FUN N°1

MARVEL FUN N°1

 

Les éditions Marvel.com ont édité récemment le premier numéro d’une nouvelle revue, avec en plus des histoires de super héros, des  jeux, et des posters.

 

Le concept n’est pas sans rappelez je trouve celle de la grande période des Éditions Lug, y compris le papier et l’encrage.

 

Avec le retour sur la scène des comics français comme ceux créer par Milton (Mikro, Epsilon, Kronos et Cosmo) ou Photonik  de  Ciro Tota  et repris par des éditions indépendantes depuis quelques années.

 

MARVEL ne pouvait rester sans réagir à mon sens, ce n’est pas le genre de la maison de laisser un marché à un conçurent, quel qu’ils soient et quelques soit la place qu’il occupe sur le marché des comics en France.

 

Diffusez en supermarché et Hypermarché, cette revue sort de l’ordinaire MARVEL, également en ce qui est de sa diffusion.

 

Nous verrons si c’est juste un plan « marketing » pour affaiblir la création française et dans ce cas cela disparaitra un jour sans plus crier gare que pour sa création de ou si c’est un projet pérenne, avec une ligne éditoriale sérieuse et penser dans la durée.

 

Si vous les avez lus, dites dans les commentaires du site ce que vous en pensez 

 

 

 

MARVEL FUN N°1
MARVEL FUN N°1

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Prix René Barjavel 2015 | Concours de nouvelles de Science-Fiction

Prix René Barjavel 2015 | Concours de nouvelles de Science-Fiction

Prix René Barjavel 2015 

Concours de nouvelles de Science-Fiction

 

 

Pour la 4ème édition des Intergalactiques, le Festival de Science-Fiction de Lyon qui se déroule du 19 au 25 octobre 2015, une nouvelle édition du Prix Barjavel est lancée !

 

Le Prix Barjavel récompense la meilleure nouvelle de Science-Fiction, cette année sur le thème :

 

« Le voyageur imprudent »

 

Les nouvelles doivent sont à envoyer à l’adresse:

 

prix.barjavel@intergalactiques.net

 

avant le 15 juillet au plus tard.

 

 

 

--------

 

RÈGLEMENT DU CONCOURS 2015 :

 

 

Caractéristiques des nouvelles :

 

• La nouvelle doit être inédite, et se présenter sous la forme d’un manuscrit en langue française.

 

• Elle doit comporter au maximum 3500 mots.

 

• Le titre figurera au début de la première page.

 

• Les textes ne devront comporter ni signature ni aucun signe distinctif. Aucune mention pouvant renseigner le jury sur l’identité du candidat ne devra être incluse dans le texte.

 

 

Format d'envoi :

 

• Format : PDF uniquement ;

 

• Taille : 21 x 29,7 cm ;

 

• Police de caractère : Times New Roman 12, interligne 1,5 ;

 

• Marges : 2,5 cm en haut, en bas et sur les côtés ;

 

• Le fichier aura pour nom : le nom de la nouvelle.

 

 

Indications pour l'envoi du mail :

 

Sujet du mail : Titre de la nouvelle, nom et prénom de l’auteur.

 

Dans le corps du mail, il sera obligatoirement indiqué :

 

• Nom, prénom

 

• Adresse postale

 

• Numéro de téléphone

 

• Adresse électronique.

 

 

Prix & dotations :

 

Le gagnant du Prix Barjavel verra :

 

• Sa nouvelle publiée en édition numérique avec notre partenaires les éditions ActuSF.

 

• Dotation en ouvrages de littératures de l’imaginaire.

 

Le jury de cette 4ème édition sera dévoilé le 15 mars 2015.

 

 

Date limite & adresse :

 

• La date limite pour les envois est le 15 juillet 2015 à minuit.

 

• Les nouvelles sont adressées à : prix.barjavel@intergalactiques.net

 

• Remise des prix le dimanche 25 octobre lors du Salon Littérature et Cinéma de l'imaginaire à la MJC Monplaisir.

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ORIOL Les 3 fruits Dargaud
ORIOL Les 3 fruits Dargaud

ORIOL Les 3 fruits Dargaud

 

Entretien

ORIOL

Les 3 fruits

Dargaud

 

Stéphane Dubois,

Vous avez commencez par l’animation, avec le film « Noctura »  » il s’agissait d’univers assez sombre. Ainsi qu’un livre intitulé « El Zombie 

 

Oriol,

« El Zombie » était destiné à un public d’enfants, un film d’horreur pour enfants.

 

Stéphane Dubois,

Le fait d’avoir travaillé dans l’animation se retrouve-t-il dans vos albums de BD ?

 

Oriol,

Je dessinais des story bord des films, pour la couleur cela joue effectivement.

 

Stéphane Dubois,

Parlez-nous des « trois fruits »  de quoi s’agit-il cette fois ?

 

Oriol,

C’est un conte d’horreur qui parle de la mort et des sacrifices « qu’as-tu fait pour mériter la vie éternelle »,  il s’agit cette fois ci d’une œuvre, d’un one shot.

 

Stéphane Dubois,

 

Déjà la « peau de l’ours » primé à Bruxelles, avec le  Prix Saint Michel de l’Avenir, était déjà un one-shot vous préférer travailler des tomes uniques que des séries ?

 

Oriol,

Les one-shot sont l’occasion d’expérimenter divers genres, divers styles.

 

Stéphane Dubois,

Donc vous  expérimenter divers styles avec vos one-shot, quels sont les différences entre une œuvre comme la «Peau  de l’ours » ou « El Zombie » au niveau stylistique ?

 

Oriol,

La différence principale, c’est l’histoire, c’est différent si tu parles d’amour  ou de la mort. Si on évoque la méditerranée, cela évoque certaines couleurs, alors que dans les « trois fruits » c’est plus des couleurs qui évoque le moyen-âge, l’horreur. Et les sensations dont parles les albums sont très différentes.

 

Stéphane Dubois,

Dans quel univers ce situe les « trois fruits » ?

 

Oriol,

Il s’agit d’un monde magique, sans véritable période, mais avec des éléments moyenâgeux, de la fantasy, un conte fantastique. Les « trois fruits » sont les 3 enfants du roi.

 

Stéphane Dubois,

Quel est le prochain one-shoot que vous préparez et dans quel type d’univers va-t-il ce dérouler ?

 

Oriol,

Effectivement je prépare un nouvel album, l’histoire sera différente, c’est la vie d’un peintre catalan oublier, dont la vie ne fut pas facile. Il sortira chez Dargaud en 2017.

 

   

Biographie officielle

Oriol Hernandez Sanchez (Terrassa, Barcelone, 1983) qui signe simplement "Oriol", est un dessinateur qui a été introduit dans le milieu de la bande dessinée professionnelle grâce au scénariste Zidrou sur le marché français. Tout d'abord, avec une courte histoire en 2010 et deux ans plus tard avec l'album La Peau de l'Ours (Dargaud), qui a reçu un franc succès. I

 

Au niveau de la formation, il a étudié une première année de baccalauréat artistique à l'Escola de Cómic Joso (1996 à 2002), où il enseigne plus tard le cours «Illustration numérique". Il a travaillé dans l'illustration, la publicité et l'animation. Parmi ces travaux, on notera que depuis deux ans il travaille pour Filmax Animation, il a participé à des films Donkey Xote et Nocturna, et publié en 2010 comme illustrateur de livres d'images El Zombi et ¡A mí no me gustan los libros! (Algar Editorial, propriété de Editorial Bromera, qui ont également été publiés en catalan).

 

Oriol est l'un des auteurs espagnols les plus prometteurs. Il a étudié à l'Ecole Joso de 1996 à 2003, avant de commencer sa carrière professionnelle en 2003 dans le domaine de l'animation. Il a collaboré avec la société de production Filmax, où il a travaillé à la production de Donkey Xote en s'occupant du développement graphique.

 

Il a également développé des concepts et des backgrounds pour le film Noctura. Aujourd'hui, il enseigne à l'Ecole Joso l'illustration numérique.

 

En 2010, avec Zidrou, il publie dans un album collectif chez Dupuis sa première bande dessinée courte Maman Noël.

 

En 2012, toujours sur un scénario de Zidrou, il publie aux Editions Dargaud, La Peau de l'ours un one-shot qui nous fait voyager entre l'Italie moderne et les Etats-Unis des années 30.

 

C'est avec un immense plaisir que nous vous annonçons que le dessinateur espagnol Oriol a reçu le Prix Saint Michel de l'Avenir à Bruxelles pour La peau de l'ours ! Félicitations à l'auteur.

La Peau de l'Ours Oriol Dargaud
La Peau de l'Ours Oriol Dargaud

La Peau de l'Ours Oriol Dargaud

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Sandoval Rafa, Prométhéens (Les), Le lombard

Sandoval Rafa, Prométhéens (Les), Le lombard

 

Entretien

Sandoval Rafa,

Prométhéens (Les),

Le lombard

 

Stéphane Dubois,

Vous présentez « Prométhéens (Les) »    Une tétralogie, en général on a 2 auteurs, parfois 3, ici nous en avons 4, comment on travail à 4 sur un album ?

 

Sandoval Rafa,

 

C’est typiquement le système américain, il y a d’abord le scénario,  le scénariste fait son travail qu’il envoie au dessinateur, puis le coloriste intervient. C’est un travail à la  chaine.

 

Stéphane Dubois,

Pouvez-vous nous dirent quelles sont les différences de travails entre les comics et la « Franco-belge » ?

 

Sandoval Rafa,

Il y en a beaucoup, la narration est totalement différente, le marché européen est beaucoup plus lent, plus poser. Le format est totalement diffèrent le format « album » en franco-belge est bien plus grand on travaille plus les horizontales que dans les comics ou on travaille plus le vertical. En comics cela se passe de bien plus prêt, avec le format franco-belge on a plus de distance, de profondeur, de décors.

 

Les délais sont bien plus rapides en Amérique qu’en Europe.

 

Stéphane Dubois,

Comment arrive-t-on  à faire sur la mythologie gréco-romaine ?

 

Sandoval Rafa,

J’ai toujours voulu travailler en Europe, à la base je suis un auteur de comics américain, j’ai eu un entretien avec l’éditeur Antoine Maurel des Éditions Le Lombard. L’éditeur m’a proposé ce projet que j’ai beaucoup aimé.

 

Le scénario existait déjà les deux scénaristes un francais et un belge l’avaient déjà écrit.

 

C’est la première fois que je participe à un projet sur une base mythologique.

 

Stéphane Dubois,

C’est l’histoire de dieux déchue, en quoi cela lui à parut intéressant ce type d’approche ?

 

Sandoval Rafa,

J’ai toujours aimé la mythologie et l’histoire, j’ai toujours eu envie de travailler sur ce genre de scénario. Je me concentre sur la tétralogie.

 

Stéphane Dubois,

Vous avez fait par le passez beaucoup de comics, pour MARVEL comme pour DC, qu’elle  est votre personnage préférer sur lequel vous avez travaillé ?

 

Sandoval Rafa,

Mes favoris sont : Hercule, Catwoman, Les Avengers sont mes favoris. Je pense retravailler quand la tétralogie sera finie

 

Biographie

Rafael López Sandoval (Grenade, 1975) a d'abord signé ses premiers travaux Rafa Lopez et plus tard Rafa Sandoval. Il a déménagé à Barcelone à deux ans, où il a étudié les beaux-arts, étude inachevée pour commencer à l'occasion à travailler dans la publicité.

 

Il a travaillé dans l'animation, design des personnages, storyboard et dessinateur (par exemple pour BRB où il a œuvré pour des projets comme Fantaghiró et La Hija del Corsario Negro) et aussi pour Disney (animation, comics). Dans le monde de la BD, depuis 2007, il dessine régulièrement pour Marvel Comics pour les différentes commandes (Hercules, Avengers: The Initiative, X-Men Legacy), bien qu'il ait eu l'occasion de collaborer avec des scénaristes de Marvel de premier plan comme Brian Michael Bendis et Jonathan Hickman sur deux projets différents sur la ligne Ultimate de l'éditeur.

En 2012, il commence à travailler pour DC, en travaillant sur la série de Catwoman.

 

Rafael López Sandoval (Grenade, 1975) a d'abord signé ses premiers travaux Rafa Lopez et plus tard Rafa Sandoval.

 

Il a déménagé à Barcelone à deux ans, où il a étudié les beaux-arts, étude inachevée pour commencer à l'occasion à travailler dans la publicité. Il a travaillé dans l'animation, design des personnages, storyboard et dessinateur (par exemple pour BRB où il a œuvré pour des projets comme Fantaghiró et La Hija del Corsario Negro) et aussi pour Disney (animation, comics). Dans le monde de la BD, depuis 2007, il dessine régulièrement pour Marvel Comics pour les différentes commandes (Hercules, Avengers: The Initiative, X-Men Legacy), bien qu'il ait eu l'occasion de collaborer avec des scénaristes de Marvel de premier plan comme Brian Michael Bendis et Jonathan Hickman sur deux projets différents sur la ligne Ultimate de l'éditeur.

 

En 2012, il commence à travailler pour DC, en travaillant sur la série de Catwoman.

 Bibliographie

Entretien: Sandoval Rafa, Prométhéens (Les), Le Lombard
Entretien: Sandoval Rafa, Prométhéens (Les), Le Lombard
Entretien: Sandoval Rafa, Prométhéens (Les), Le Lombard

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Entretien : Montlló Miki / Dessinateur Coloriste / Warship

Entretien :

Montlló Miki

/ Dessinateur Coloriste /

Warship

 

Stéphane Dubois

Vous sortez « Warship » s’agit-il de SF, de Space-Opéra, de post apocalyptique comme genre ?

 

Montlló Miki,

Ce n’est pas du post-apocalyptique, ce n’est pas un monde qui serait le nôtre, mais un autre univers. Il s’agit plus d’un Space opéra et de SF.

 

Stéphane Dubois,

En combien de tomes est prévu Warship ?

 

Montlló Miki,

Il s’agira d’une tétralogie.

 

 

Stéphane Dubois,

Comment êtes-vous venus à la BD ?

 

 Montlló Miki,

J’ai commencé par travaillé dans l’animation, mais j’avais toujours rêvé de dessiné une bande dessinée. J’ai présenté mon projet aux Éditions Dargaud, et j’ai eu la  chance de l’innocent, car ils ont tout de suite accepté mon projet. De l’animation, me reste le fait de travaillé en digital.

 

Stéphane Dubois,

Vous êtes espagnol, alors pourquoi vivre et travaillé à Berlin ?

 

Montlló Miki,

Des raisons personnelles, j’ai la chance d’avoir un métier qui me permet de travailler n’importe où. J’avais envie de voyager avant de me fixer. De plus Berlin est une ville très animée sur le plan social et culturel.

 

Stéphane Dubois,

Vous avez travaillé sur « Orbital », pouvez-vous nous en parler ?

 

Montlló Miki,

Initialement j’ai écrit le scénario, mais je  me suis rendu compte que je ne pouvais pas faire les deux scénarios et dessin, j’ais donner au scénariste toutes mes idées, tout ce que j’avais envie de faire et comment. À partir de là Sylvain Runberg a pris ce qui lui semblait intéressant.

 

Stéphane Dubois,

Avez-vous d’autres projets chez Dargaud, voire chez d’autres éditeurs ?

 

 Montlló Miki,

Je me concentre, sur la tétralogie « Warship ». Mais j’ai déjà des idées d’autres projets, mais pas forcément dans la science-fiction.

 

 

Biographie (officielle)

Né en 1984 en Espagne, Miki Montllo est illustrateur pour l'animation et les jeux vidéo, et il vit actuellement à Berlin. Il a travaillé sur un tome d'Orbital de Sylvain Runberg, qui lui confie aujourd'hui le dessin d'une nouvelle série chez Dargaud : Warship Jolly Roger. Cet espagnol au talent inouï exprime son potentiel dans ce space opera à paraître en 2014.

 

 

Entretien : Montlló Miki / Dessinateur Coloriste / Warship

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Cet album est dédié uniquement :

à la BD, aux Comic’s et aux Mangas.

 

Il sera régulièrement mis à jour alors surveillé le site.

(Mise à Jour Février 2015)

 

Editions LUG.

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Entretien :

Otsuka Eiji

Mangaka

 

 

Stéphane Dubois,

Avant de parler de votre œuvre, je voudrais que vous nous disiez ce que vous pensez du fait que pour la première fois le Grand prix du Festival International de la BD d’Angoulême soit attribué à un japonais. Et que peut-il apporter au Manga japonais et de l’Asie en général ?

 

 

Otsuka Eiji,

C’est un moment important, car relier par les médias japonais, mais aussi asiatiques. Ils vont mettre l’accent sur le fait que c’est la première fois qu’un japonais, voir un Asiatique reçoit cette  prestigieuse récompense.

 

Je pense qu’il est tout à fait normal qu’un mangaka comme Katsuhiro Otomo reçoive ce prix, pour ce qui est de l’influence de ce prix sur les jeunes mangakas en Asie qui souhaiteront se montrer à la hauteur du maitre.

 

Je pense que les dessinateurs chinois, coréens plus que les dessinateurs japonais ?

 

J’ai l’impression que beaucoup d’auteurs japonais cherchent aussi activement à se faire connaitre en dehors de leurs pays.

 

Je pense que cela aura surtout de l’influence dans les autres pays d’Asie où les auteurs cherchent à se faire connaitre de l’étranger.

 

Stéphane Dubois,

Venons en à votre œuvre, vous faites beaucoup de choses, vous êtes dessinateur, professeur, critique de manga.

Vous avez été connu en France grâce à : MPD-Psycho, Kurosagi - livraison de cadavre ?.

 

Otsuka Eiji,

Ma motivation est différente pour chaque œuvre, pour MDP- Psycho je voulais m’inspirer de suspense psychologique a la  David Fincher comme Seven, voir comme Psychose d’ Alfred Hitchcock.

 

Avec Kurosagi livraison de cadavres, nous sommes plus dans l’horreur, je  me suis inspiré des films d’horreur américains, tels les films de zombies comme ceux de Georges Romero par exemple.

 

Je voulais que cette œuvre joue sur la peur des morts qui ressuscite.

 

Housui Yamazaki, c’est inspiré pour les dessins de l’œuvre de Dario Argento.

 

Stéphane Dubois,

Il s’agit de vos œuvres les plus connues en France, mais quels sont les autres de vos œuvres que vous aimeriez faire connaitre au public français ?

 

 

Otsuka Eiji,

Une œuvre que j’ai spécialement dessinée pour ma venue en France : Mishima Boy (voir album ci-dessous), c’est une histoire qui se déroule dans les années 60, avec des meurtres et des actes de terrorisme comme ceux de l’Armée Rouge Japonaise.

 

Ces années étaient particulièrement symboliques pour ces raisons.

 

Stéphane Dubois,

 Des films d’animation ou avec des acteurs sont-ils prévus à partir de ces œuvres ?

 

Otsuka Eiji,

J’ai fait un média-mix, il s’agit de sortir en même temps un mange, un dessin animé, un jeu vidéo de ma première œuvre Madara, depuis j’ais décider de ne plus faire cela ; pour une de mes œuvres les droits ont été acquis par une maison de production américaine, un scénario a été écrit on pourrait transformer ce manga en film, mais à ce jour rien ne dit qu’il aboutira à un film d’animation.

 

Je trouve que le style de mes mangas ne correspond pas à un dessin animé, et cela complique les droits.  Au Japon le créateur n’a pas de droit de directeur cut, de droits de regard.

 

Sauf si comme cela m’est arrivé avec une série que j’ai montée en film et dont j’étais le producteur.

 

Mishima Boy est toute nouvelle je la dévoile au festival pour la première fois. 

 

Et une nouvelle BD qui se déroule au début de l’Ère Meiji (période historique du Japon entre 1868 et 1912 NDRL), c’est l’histoire vraie de deux écrivains japonais.

 

Entretien réalisé dans le cadre du Festival International de la BD d’Angoulême 2015.

 

 

Biographie

 

Il se rejoint le groupe de mangaka en herbe Sakuga Group quand il est au collège. Puis, en deuxième année de lycée, il devient l'assistant d'un mangaka Taro Minamoto, connu comme dessinateur de manga comique. Otsuka fait ses débuts comme mangaka de gags, à côté de ses études au lycée et publie quelque œuvres, mais il constate qu'il manque de talent pour exercer le métier de mangaka et il arrête de dessiner au bout d'un an de sa carrière de mangaka. Il suit les études d’ethnologie de folklore, fondé par Kunio Yanagita, à l'université de Tsukuba. À cette époque il travaille comme rédacteur en chef de plusieurs magazines, notamment celui de Manga Burriko. Il mène alors une vie partagée entre la rédaction de magazine et ses études. Il découvre des mangaka comme Kyoko Okazaki, Yumi Shirakura et Kamui Fujiwara, qui deviennent porte-étendard de mangaka alternatif à la fin des années 1980. Il devient ensuite scénariste de mangas et jusqu'à aujourd'hui il continue à publier des titres comme Kurosagi, livraison de cadavres ou MPD Psycho. Depuis la fin des années 1980 il cumule les postes de maître de conférences dans plusieurs universités privées puis, entre 2006 et 2013, devient professeur de Kobe Design University.

 

Critique de manga

 

Il est connu au Japon comme critique de manga, il enseigne le manga à l'université et publie des ouvrages sur ce thème. Il s'intéresse surtout au manga entre les années 1920 et la défaite du Japon dans la guerre de pacifique en 1945. À partir de la recherche historique du manga de cette période, il établit une théorie sur le manga. Selon lui, le manga actuel est un amalgame de la théorie de montage de Sergueï Eisenstein pour le cinéma et d'esthétique du dessin de comic américain Mickey Mouse de Walt Disney. De là, la création de manga peut être comparée à la réalisation d'un film. Comme le film, le manga est une succession de plans, et une case correspond à un plan cinématographique. Le découpage de la planche peut être ainsi assimilé au montage de cinéma.

 

Bibliographie sélective

Mangas traduits en français

Madara, dessin de Sho-U Tajima, 5 vol, traduit par Fédoua Thalal, Glénat

 

JAPAN, dessin de Mami Ito, 3 vol, Dargaud Kana

 

Léviathan, dessin de Yu Kinutani, 12 vol, Kazé Éditions

 

MPD-Psycho, dessin de Sho-u Tajima, 16 vol, Pika Édition

 

Kurosagi, livraison de cadavres, dessin de Housui Yamazaki, 13 vol, Pika Édition

 

Detective Ritual, d'après une idée originale de Ryûsui Seiryôin et dessin de Chizu Hashii, 6 vol, Pika Édition.

 

(Source Wikipédia)

Avec l’aimable autorisation d’Otsuka Eiji.
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