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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #fantastique

Les autaurs Buchet et Morvan
Les autaurs Buchet et Morvan

Les autaurs Buchet et Morvan

Sillage 19. Temps mort

MORVAN Jean David

BUCHET Philippe

 

Eh oui, déjà le tome 19 de cette désormais très connue série de Morvan et Buchet. On y retrouve les principaux protagonistes en proie à une espèce alienne qui maitrise le temps. Quelles en seront les conséquences pour nos héros ? Seront-ils en profiter ou cela lui provoqueras plus de déboires que de bienfaits ? Vous le découvrirez en lisant le dernier opus de la série parut.

Pensez aussi à lire dans le même univers« NÄVIS ».

 / ISBN : 978-2-7560-6486-4 Scénariste : MORVAN Jean David

Coloriste : BUCHET Philippe

Illustrateur : BUCHET Philippe

Série : SILLAGE

Collection : INTEGRALES 20 ANS, LONG METRAGE, NEOPOLIS

Sillage 19. Temps mort

 ISBN : 978-2-7560-6486-4

Scénariste : MORVAN Jean David

Coloriste : BUCHET Philippe

Illustrateur : BUCHET Philippe

Série : SILLAGE

Collection : INTEGRALES 20 ANS, LONG METRAGE, NEOPOLIS

 

Résumé

Avec une régularité de métronomes, les auteurs de cette série culte nous proposent un nouvel épisode passionnant de leur héroïne, Nävis, qui pourrait pour la première fois maîtriser le temps…

Sillage est confronté à sa première décision de convoi indépendant : doit-il accueillir en son sein deux représentants  d’une espèce pourchassée par les troupes de choc de la Constituante et présentée comme l’une des pires menaces de tout l’univers ? Cette espèce serait capable de maîtriser le temps. Voilà un pouvoir dont Nävis et Bobo, qui traquent le voleur de l’ornosphère, auraient bien besoin.

 

MORVAN Jean David

Biographie

JEAN-DAVID MORVAN est né en 1969 à Reims où il réside toujours.

 Il est l’un des scénaristes de bande dessinée les plus prolifiques de sa génération. Il s’est d’abord essayé au dessin, mais abandonne ses études pour devenir scénariste. Il publie ses premiers textes dans des fanzines. En 1994, il publie Nomad avec Sylvain Savoia. La série Sillage, commencée en 1998 et dessinée par Buchet, connaît un succès immédiat. En 2009, il remporte un Silver Award au Prix international du manga pour l’album Zaya.

Scénariste

7 secondes  Scénariste de 2000 à 2006

Al'Togo  Scénariste de 2003 à 2012

Amour à mort  Scénariste en 2012

Annie Zoo  Scénariste en 2009

Appoline, disparue il y a 8 ans  Scénariste en 2009

Arrache-cœur (L')  Scénariste en 2012

Au bord de l'eau (Wang) Scénariste de 2008 à 2010

Aventures de Huckleberry Finn de Mark Twain (Les)  Scénariste de 2011 à 2013

Aventures de Walibi (Les)  Scénariste de 2012 à 2013

Bunker Baby Doll  Scénariste en 1997

Cœur des batailles (Le)  Scénariste de 2007 à 2008

Contes cruels du Japon  Scénariste en 2011

Contes du boudoir hanté (Les)  Scénariste de 2008 à 2010

Crime School  Scénariste de 2011 à 2012

Cycle de Tschaï (Le)  Scénariste de 2000 à 2008

Dieu singe (Le)  Scénariste de 2008 à 2011

Double assassinat dans la rue Morgue, d'Edgar Allan Poe  Scénariste en 2008

Écume des jours (L')  Scénariste en 2012

Fleau.world  Scénariste en 2003

Guerres civiles  Scénariste de 2006 à 2008

Helldorado  Scénariste de 2006 à 2011

Hercule (Morvan, Looky)  Scénariste de 2012 à 2013

HK  Scénariste de 1996 à 2001

HK (Nouvelle édition)  Scénariste de 2004 à 2012

Homme qui rit (L')  Scénariste de 2007 à 2011

Horde  Scénariste en 1994

Hyper l'hippo  Scénariste de 2005 à 2010

Ils ont fait l'Histoire  Scénariste de 2014 à 2016

Je suis morte  Scénariste de 2003 à 2008

Jolin la teigne  Scénariste de 2003 à 2004

Lord Clancharlie  Scénariste en 2003

Luuna  Scénariste de 2010 à 2013

Magnum Photos  Scénariste de 2014 à 2016  

Mandiguerre (La) Scénariste de 2001 à 2007

Meka  Scénariste de 2004 à 2005

Mémoire d'Abraham (La)  Scénariste de 2010 à 2011

Merlin  Scénariste de 2002 à 2003

Mon année  Scénariste de 2009 à 2010

Mystère de Marie Roget, d'Edgar Allan Poe (Le)  Scénariste en 2011

Naja  Scénariste de 2008 à 2012

Nävis  Scénariste de 2004 à 2011

Nirta Omirli  Scénariste de 2004 à 2006

Nomad  Scénariste de 1994 à 2014

Nomad 2.0  Scénariste de 2013 à 2016

Ocelot  Scénariste en 2015

OmS en série   Scénariste de 2012 à 2014

Petit monde (Le)  Scénariste de 2005 à 2008  

Plus jamais ça Scénariste de 2003 à 2004

Préhistos (Les)  Scénariste en 1997

Quête des réponses (La)  Scénariste en 1998

Ravage  Scénariste en 2016

Reality show  Scénariste de 2003 à 2011

Reflets perdus  Scénariste en 1993

Ronces  Scénariste de 2005 à 2014

Sauvage (Hersent)  Scénariste en 2015

Sept  Scénariste en 2008

Sherlock Fox  Scénariste en 2014

Sillage  Scénariste de 1998 à 2016

Sillage (Les chroniques de)  Scénariste  de 2004 à 2008

Sillage (Premières armes)  Scénariste en 2014

Sir Pyle S. Culape  Scénariste de 1999 à 2003

Spirou et Fantasio  Scénariste de 2004 à 2013

Spirou et Fantasio - La collection  Scénariste de 2013 à 2014

Spirou et Fantasio -2- (Divers)  Scénariste en 2006

 SpyGames  Scénariste en 2014

 Sur les traces de Luuna  Scénariste en 2008

 T.O.O The only one  Scénariste en 2005

 Taras Boulba  Scénariste en 2008

 Tom Sawyer de Mark Twain (Les Aventures de)  Scénariste de 2007 à 2013

 Tribolo, l'incroyable aventure  Scénariste en 2007

 Trois Mousquetaires (Les) (Rubén)  Scénariste de 2007 à 2011

 Trois... et l'ange  Scénariste de 2005 à 2008

 Troll  Scénariste en 1998

 Troll  Scénariste de 1996 à 2006

 Trop de bonheur (TDB)  Scénariste de 2002 à 2008

 Univerne  Scénariste de 2011 à 2012

 Vampires  Scénariste en 2002

 Vies tranchées  Scénariste en 2010

 Wakfu Heroes  Scénariste en 2010

 Wolverine : Saudade  Scénariste en 2006

 Youth United  Scénariste en 2015

 Zaya  Scénariste de 2012 à 2013

 Zorn & Dirna  Scénariste de 2001 à 2013

 Naja (en anglais)  Scénariste en 2014

 Spirou y Fantasio (Las aventuras de)  Scénariste de 2008 à 2009

 Robbedoes en Kwabbernoot  Scénariste de 2004 à 2008  

 Dessinateur

Spirou et Fantasio -5- (Int. Dupuis 1)  Dessinateur de 2012 à 2016

Coloriste

Web of Spider-Man (2009)  Coloriste en 2010

Autres collaborations

Sillage  Préface en 2007

Univers de Stefan Wul (Les)

 

BUCHET Philipe

Biographie

Philippe Buchet est né le 17 mai 1962 à Juniville, dans les Ardennes. Après un bref passage sur Paris, il s’installe à Reims comme illustrateur indépendant et travaille pour diverses entreprises de communication. Par le biais d’une d’entre elles, il rencontre Jean David Morvan avec lequel il s’attèle à un projet de BD de science-fiction : Sillage. Sacré meilleur coloriste au festival de Solliès en 1998 pour le premier tome de la série, Philippe Buchet n’a cessé d’accumuler les prix depuis : Meilleur Album 2000 au festival de Maison- Laffitte, Soleil d’Or 2000 du meilleur graphiste au festival de Solliès. La série a également été primée deux fois au Festival d’Angoulême, pour les tomes 8 et 10.

Scénariste

Nävis  Scénariste de 2004 à 2009

Sillage (Les chroniques de)  Scénariste de 2004 à 2008

Sillage (Premières armes)  Scénariste en 2014

Dessinateur

(Catalogues) Expositions  Dessinateur en 2005

2235 l'odyssée de la retraite  Dessinateur en 2000

Edge II  Dessinateur en 2007

Jour J  Dessinateur en 2010

Lanfeust par ses amis  Dessinateur en 2005

Nomad  Dessinateur de 1994 à 1995

Nomad  Dessinateur en 2013

Quête des réponses (La)  Dessinateur en 1998

Sillage  Dessinateur de 1998 à 2016

Sillage (Les chroniques de)  Dessinateur en 2005

Tintouin au Tibet  Dessinateur en 2004

Vampires  Dessinateur en 2002

Wolverine : Saudade  Dessinateur en 2006

Coloriste

Sillage  Coloriste de 1998 à 2006

Vampires  Coloriste en 2002

Autres collaborations

Atelier Mastodonte (L')  en 2013

Chat (Le) en 1999

Kanopé  Préface en 2014

Nomad 1996

Sillage (Les chroniques de)  Couverture de 2004 à 2008

Spirou et Fantasio  en 2004

Sillage 19. Temps mort MORVAN Jean David BUCHET Philippe
Sillage 19. Temps mort MORVAN Jean David BUCHET Philippe
Sillage 19. Temps mort MORVAN Jean David BUCHET Philippe
Sillage 19. Temps mort MORVAN Jean David BUCHET Philippe
Sillage 19. Temps mort MORVAN Jean David BUCHET Philippe

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Utopiales 2016 le Club y est !

Utopiales 2016

Le Club y ait !

 

Bonne nouvelle  le « Club Présences d’Esprits » est à nouveau présent aux UTOPIALES, après plusieurs années d’absences.

 

Un très bon accueil lui est réservé par le public, le stand bien placé à la sortie de la librairie, offre au public de découvrir ou de redécouvrir ses publications AOC, qui publie des nouvelles (textes ou BD) et le fanzine « Présences d’Esprits », ainsi que des anthologies sur les diverses formes de la science-fiction.

 

Vous avez encore aujourd’hui et demain pour les rencontrer, acquérir les revues et anthologie, vous y abonnés et bien sûr adhérez au club, meilleures façons de le soutenir.

Nous vous conseillons également de visitez le pole ludique situez au sous-sol , vous pourrez par exemple y rencontrer les associations de jeux de figurines, de jeux de Rolle, et de Jeux GRANDEURS nature.

Utopiales 2016 le Club y est !
Utopiales 2016 le Club y est !
Utopiales 2016 le Club y est !

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CYCLE D’INARI  Couverture de l'album

CYCLE D’INARI Couverture de l'album

LE CYCLE D’INARI WINSTON WILSTEINER

TOME 01 – L’ÂME ET LA MATIÈRE

PAR WINSTON WILSTEINER

Editions Delcourt

 

 

ONVI de la bande dessinée, cet album, tout en couleur pastel, même pour les scènes les plus sombres, oscille entre autobiographie et fantastique. Parcouru d’espoir, de rêves, de cauchemars on suit le chemin initiatique vers la guérison, que la médecine traditionnelle occidentale est incapable de lui offrir.

 

Sans être totalement une œuvre « fantastique » certains aspect du premier tome du Cycle d’INARI, en as certains aspect.

 

Résumé de l’album :

Tiraillé entre une vie parisienne sans intérêt, et la Japon où l’attend sa future fiancée, Winston erre dans un labyrinthe de doutes. Face aux décisions à prendre, aux choix à faire, il prend conscience que la vie n’est pas quelque chose de déjà tout tracé. En parallèle à ses incertitudes, une douleur physique se réveille au niveau de ses jambes et l’empêche également d’avancer de façon fluide.

 

Biographie officielle (Delcourt)

Winston est dessinateur de BD et prépare une exposition de ses planches. Mais un matin, Winston se retrouve mystérieusement paralysé de la jambe. Il consulte alors nombres de spécialistes, passe divers examen, mais rien n’y fait, personne n’est capable d’en donner la raison. La médecine étant a priori incapable de le soigner, les médicaments lui provoquant des hallucinations, Winston décide cependant

de suivre sa voix, et part au Japon pour accomplir ses projets. Une série d’expériences troublantes va alors changer son destin. À travers ce récit initiatique et autobiographique, Winston Wilsteiner livre un témoignage étonnant sur la spiritualité, l’amour et la mort.

 

 

• Le Cycle d’Inari est prévu en deux tomes : du point de vue ésotérique, le premier aborde principalement le rapport aux rêves, alors que le second évoque l’initiation de l’auteur par une chamane shintoïste.

 

WINSTON WILSTEINER

EST NÉ EN 1979 PRÈS DE LA ROCHELLE

Après deux ans de prépa à l’ENS (Section Art et Création Industrielle), il étudie l’infographie à Supinfocom. Diplôme en poche, il devient graphiste indépendant et travaillera pendant 5 ans à Paris

dans l’animation 3D, la publicité et l’illustration. En 2008, il part travailler au Japon pour un studio d’animation et participe à la création de plusieurs long-métrages d’animation japonais. Il rentre en France en 2010 pour commencer l’écriture du Cycle d’Inari, tout en continuant à travailler régulièrement avec le Japon. Winston Wilsteiner est directeur artistique (Nike, Indochine, Dassault…), illustrateur et auteur. Il travaille pour un célèbre studio japonais. En France, ses travaux de peinture

ont été exposés à la Galerie Espace L’une à Paris.

CYCLE D’INARI WINSTON WILSTEINER
CYCLE D’INARI WINSTON WILSTEINER
CYCLE D’INARI WINSTON WILSTEINER

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La Momie 1932
La Momie 1932
La Momie 1932

La Momie 1932

 de Karl Freund ,

États-Unis , 1932

 

Le réalisateur fut chef opérateur de Dracula, mais également de Fritz Lang et de Friedrich Wilhelm Murnau,quant au maquilleur, il fut le créateur du Maquillage de Frankenstein interprété déjà par Boris Karloff.

 

Contrairement à d’autres films de « momies », où l’action prime, ici le « pouvoir » d’Imhotep est    hypnotique. Film à la fois d’épouvante et film romantique.

 

De longue et- dures séances de maquillages, durant des heures,  avec des produits de nos jours interdits qui faisait baigné l’acteur dans un véritable nuage d’éther, qui le mettait dans un état second.

 

A avoir dans sa collection, disponible désormais en Blu-ray dans une version restaurée, je ne serais que trop vous incité à vous le procurer.

 

 

Résumé du Film Institut Lumière.

 

1921, près de Thèbes, en Égypte. Une expédition du British Museum, conduite par Joseph Whemple (Arthur Byron), découvre la momie du prêtre Im-Ho-Tep (Boris Karloff), ainsi qu’un coffret sur lequel une inscription menace de mort quiconque l’ouvrirait. Le jeune collaborateur de Whemple, impatient, ouvre néanmoins le coffret, et déchiffre à voix basse les hiéroglyphes du papyrus qu'il contient. Il ramène ainsi à la vie Im-Ho-Tep, qui disparaît lentement. Onze ans plus tard, le fils de Whemple, Frank (David Manners), achève une nouvelle fouille infructueuse. Un Égyptien lui révèle le lieu de la sépulture de la princesse Anck-es-en-Amon…

 

Dans les années 1930, l’Occident se passionne pour l’Égypte ancienne et ses mystères. Une décennie plus tôt, lord Carnarvon et Howard Carter mettaient au jour le tombeau de Toutankhamon, une découverte qui aurait déclenché la « malédiction du pharaon », faisant périr prématurément une vingtaine de personnes liées à la découverte. Carl Laemmle Jr., des studios Universal, charge Nina Wilcox Putnam et Richard Schayer de s’inspirer de cette histoire pour le scénario d’un film. La Momie est ainsi tirée d’une histoire originale et non d’une adaptation, fait rare pour le genre à cette époque.

 

 

D'abord film d’épouvante, La Momie glisse lentement vers la romance, mélangeant folle passion et malédictions anciennes. Boris Karloff hante l'œuvre de son regard noir, de sa stature magistrale, de sa prestance hors norme. Le maquilleur Jack Pierce est ici au sommet de son art, réalisant un visage de momie saisissant, qui inflige huit heures de maquillage quotidien au comédien.

 

Le réalisateur Karl Freund n’est autre que le chef opérateur de plusieurs chefs-d’œuvre du cinéma expressionniste allemand (Le Dernier des hommes de F.W. Murnau en 1924, Metropolis de Fritz Lang en 1927…). Passé brièvement à la mise en scène (sept films entre 1932 et 1935), il livre avec La Momie un somptueux noir & blanc, des images dans un clair-obscur des plus inquiétants. Ce qui fascine également ici est son subtil travail sur le hors-champ, un pouvoir de suggestion qui fait monter sans cesse l’inquiétude du spectateur. Un pouvoir si intense que, malgré une violence jamais montrée, le film, à sa sortie, sera interdit aux moins de 16 ans.

 

 

Fiche technique diverses sources

 

La Momie (The Mummy)

États-Unis, 1932, 1h13, noir et blanc, format 1.37

Réalisation : Karl Freund

Scénario : John L. Balderston, d’après une histoire de Nina Wilcox Putnam et Richard Schayer

Photo : Charles J. Stumar, Jerome Ash ,Piotr Ilitch TCHAÏKOVSKI (extrait du ballet 'Le Lac des Cygnes')

Musique : James Dietrich

Montage : Milton Carruth

Décors : Willy Pogany

Costumes : Vera West

Bijoux : Eugene JOSEFF (bijoux - non crédité)

Maquillage : Jack Pierce

Effets spéciaux : John P. Fulton

Production : Carl Laemmle Jr., Universal Pictures

Interprètes : Boris Karloff (Im-Ho-Tep/Ardath Bey), Zita Johann (Helen Grosvenor/la princesse Anck-es-en-Amon), David Manners (Frank Whemple), Arthur Byron (sir Joseph Whemple), Edward Van Sloan (le docteur Muller), Bramwell Fletcher (Ralph Norton), Noble Johnson (l’esclave nubien), Kathryn Byron (Mme Muller), Leonard Mudie (le professeur Pearson), James Crane (le pharaon), Henry Victor (le guerrier saxon)

 

Noir et blanc - 1.37:1 / Mono (Western Electric Noiseless Recording Sound System)

Producteur(s) Carl LAEMMLE (présentation), Carl LAEMMLE Jr (producteur), Stanley BERGERMAN (producteur associé - non crédité)

Sociétés de production Universal Pictures

Distributeurs inédit en salles en France

International :Universal Pictures

Video :Universal Pictures Vidéo (2002, 2010, 2016)

Chef opérateur   Charles J. STUMAR (Format/Ratio : 1.37:1),

 

 

 

Effets spéciaux  John P. FULTON (effets spéciaux), Jack P. PIERCE (maquillages spéciaux - non crédité)

Décors  Willy POGANY (non crédité)

Dates de sortie   Etats-Unis : 22/12/1932

 

Sortie aux États-Unis : 22 décembre 1932

 

FILM RESTAURÉ

 

 

France : 05/11/2002 (en DVD)

France : 16/10/2007 (en DVD)

France : 23/02/2010 (en DVD)

France : 01/03/2016 (en DVD)

France : 01/03/2016 (en Blu-ray)

 

Genre Fantastique

Pays  Etats-Unis

 

Durée   01 h 13

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Affiche Japonaise et Belge du Film, photo extrait du film.
Affiche Japonaise et Belge du Film, photo extrait du film.
Affiche Japonaise et Belge du Film, photo extrait du film.

Affiche Japonaise et Belge du Film, photo extrait du film.

Alphaville,

une étrange aventure de Lemmy Caution

de Jean-Luc Godard ,

France, Italie , 1965.

 

Comme nous le faisons à presque chaque festival, nous avons donné la parole à deux jeunes après la projection du film.

 

Vous trouverez le fichier audio en bas de page.

Au grand regret de tous, Anna Karina avait  annulé sa présentation, et à priori sa venue au festival.

 

Résumé du film et fiche technique Institut Lumière.

Lemmy Caution (Eddie Constantine), le célèbre agent secret, part pour la ville futuriste d’Alphaville. Là, il doit retrouver et ramener Henry Dickson (Akim Tamiroff), son ancien collègue et créateur de la machine Alpha 60, qui contrôle Alphaville. Lemmy Caution est confronté à une population désormais privée de sentiments et pour laquelle les mots n’ont plus de valeur. Il va alors tenter de détruire Alpha 60.

 

 

Alphaville marque un tournant dans la carrière d’Eddie Constantine, qui joue pour la première fois dans un film de cet ordre. Cette première collaboration avec Godard offre une nouvelle dimension à Lemmy Caution, après cinquante films en douze ans dans lesquels l'acteur a joué dans le même registre. L’accueil du film est mitigé (500 000 entrées, ce qui est peu pour Constantine) – mais la même année Godard réaliseraPierrot le fou, un de ses plus grands succès, devenu mythique.

 

« Poésie, tendresse… Sauver ceux qui pleurent » : la note de suicide de Henry Dickson résume le message de Godard. Alphaville est une condamnation de la société moderne qui s’annonce dans les années 1960 et de la déshumanisation qu’elle entraîne. L'urbanisme glacé et les machines caractérisent la modernisation, alors que l’art – Paul Eluard et son Capitale de la douleur lu par Natacha – sauvegarde la conscience et l’amour.

 

 

Son budget ne lui permettant pas de construire des décors, Godard a tourné à Paris, dans des lieux qui lui évoquaient ce que serait l’an 2000 – le rond-point de La Défense, la piscine moderne d’un groupe scolaire de Vincennes, le métro aérien – afin de créer sa dystopie futuriste. Il a accentué la froideur et l’obscurité des lieux en choisissant de tourner dans un noir et blanc peu contrasté.

 

« Convoquant les codes du film noir américain, Godard met en scène dans un enchaînement de plans d’un beauté sidérante un monde où les affects ont été balayés et où la mémoire est effacée à mesure qu’elle se constitue, tout en distillant comme des blagues une rafale de références à la bande dessinée, à la littérature classique, aux films de vampires de l’époque du muet. » (Isabelle Regnier, Le Monde, 7 février 2010)

 

 

 

Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution

France, Italie, 1965, 1h40, noir et blanc, format 1.37

Réalisation & scénario : Jean-Luc Godard

Assistant réalisation : Jean-Pierre Léaud

Photo : Raoul Coutard

Musique : Paul Misraki

Montage : Agnès Guillemot

Décors : Pierre Guffroy

Production : Athos Films, Chaumiane, Filmstudio

Interprètes : Eddie Constantine (Lemmy Caution), Anna Karina (Natacha von Braun), Akim Tamiroff (Henry Dickson), Howard Vernon (le professeur von Braun), Jean-André Fieschi (le professeur Heckell), Jean-Louis Comolli (le professeur Jeckell), Michel Delahaye (l’assistant)

 

Sortie en France : 5 mai 1965 

Présentation au Festival de Berlin : juin 1965

Sortie en Italie : 7 août 1965

 

FILM RESTAURÉ

 

samedi 15 octobre 2016 à 17:30  La Fourmi

Paroles dee Festivaliers: Alphaville de Godart

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Géant de fer de Brad Bird (1999)

Le Géant de fer

de Brad Bird

(1999)

 

Le jeune public lyonnais pourra découvrir en en avant-première de sa ressortie en salles, le 7 décembre prochain, un film du réalisateur de en 2004 : Les Indestructibles (The Incredibles) et en 2007 : Ratatouille, pour ce qui concernent les films pour la jeunesse.

 

Mercredi 12 octobre à 14h30

À la Halle Tony Garnier

Goûter offert après la séance !

4/6 Euro l’entrée.

 

 

A noter deux choses, premièrement en plus du film « Le Géant de fer », le jeune public peu assisté aux projections de la rétrospective de Buster Keaton, de « Peau d’âne » de Jacques Demy et de la « Mélodie du bonheur » de Robert Wise.

 

 

La deuxième est que les enfants hospitalisé ne sont pas oublié.

 

 

En partenariat avec Les Toiles Enchantées depuis 2010 le Festival Lumière propose des projections dans les services pédiatriques de la région lyonnaise.

 

En 2016, le festival Lumière sera de nouveau présent au sein de ces hôpitaux, en partenariat avec Les Toiles Enchantées.

 

Projection à l'Hôpital Femme-Mère-Enfant à BRON :

Le Géant de fer de Brad Bird (1h26) VF

 Mercredi 12 octobre à 14h30

En présence de Clotilde Courau

 

Centre Léon Bérard

Le Géant de fer de Brad Bird (1h26) VF

 Jeudi 13 octobre à 18h15

En précence de Julie Bertuccelli

Avec le soutien de BNP Paribas

 

 

 

Résumé et fiche technique

(source :allociné, Institut Lumière)

 

La touchante amitié d’un petit garçon et d’un robot géant venu d’une planète inconnue. Un chef-d’œuvre de l’animation de la fin des années 1990, pépite du studio Warner Bros par Brad Bird (Les Indestructibles, Ratatouille), devenu l’un des talents de Pixar.

En savoir +

 

Film présenté en VF.

*Ressortie en salles le 7 décembre prochain.

 

Remerciements à Warner Bros.

 

 

Billets en vente !

6 € adultes / 4 € enfants (moins de 12 ans)

Achat conseillé des places à l’avance

 

 

 

Réalisateurs Brad Bird 

 

 

 

Acteurs de doublage (Voix originales)

Jennifer Aniston  Rôle : Annie Hughes

Harry Connick Jr  Rôle : Dean McCoppin

Vin Diesel  Rôle : Iron giant

Eli Marienthal Rôle : Hogarth Hughes

Cloris Leachman  Rôle : Mrs. Lynley Tensedge

John Mahoney  Rôle : General Rogard

M. Emmet Walsh  Rôle : Earl Stutz

James Gammon  Rôle : Mary Loach

Kent Mansley Christopher MacDonald

 

 

Scénario

Scénariste Brad Bird, Tim McCanlies

 

Soundtrack

Compositeur Michael Kamen

 

Interprète (chansons du film) Brad Bird

 

Parolier (chansons du film) Teddy Newton

 

 

Production

Productrice Allison Abbate

 

Equipe technique

 

Directeur de la photographie Steven Wilzbach

Monteur Darren T. Holmes

Chef décorateur Mark Whiting

Réalisateur/Concepteur de story-board Teddy Newton

 

 

Sociétés

Production

Warner Bros.

Production

Warner Bros. Animation

Distributeur France (Sortie en salle)

Warner Bros. France

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DRACULA Tod Browning  Bela Lugosi

DRACULA

Tod Browning 

Bela Lugosi

 

Premier film fantastique parlant, il incarne le début du renouveau du film de genre, après la période du muet.

 

Bela Lugosi, n’était pas le premier choix pour  le rôle, suite une blessure de l’acteur pressenti, Bela Lugosi qui interprétait depuis deux ans le rôle de Dracula au théâtre, fut à quelques semaines du début du tournage, choisi pour tenir le rôle.

 

Cela joua sur son interprétation, jugé  par certains trop théâtral.

 

Je n’entrerai  pas dans la polémique du meilleur interprète de Dracula : Bela Lugosi ou Christopher Lee, je vous laisse le soin de le faire via les commentaires.

 

À noter qu’à plusieurs reprises, le terme Dracula ou Comte Dracula est substitué par celui de Nosferatu, dans un contexte où il semble admis pas tous, que cela est un synonyme. Ce fait est une référence, voir peut-être même plus, un hommage au film Nosferatu le vampire (Nosferatu, eine Symphonie des Grauens en version originale) film muet allemand réalisé par Friedrich Wilhelm Murnau sorti en 1922, adapté du roman Dracula sans que ce dernier eu les droits d’où une bataille judiciaire épique.

 

 

Résumé du film et fiche technique

Malgré les avertissements, Renfield rend visite au comte Dracula dans son château des Carpates... Tod Browning confère au mythe littéraire une puissance visuelle rare et fait entrer Bela Lugosi au panthéon des acteurs mythiques.

 

Réalisateur(s) : Tod Browning

Acteurs et actrices

 

Bela Lugosi Rôle : Dracula

Helen Chandler Rôle : Mina Seward

David Manners   Rôle : Jonathan Harker

Dwight Frye   Rôle : Renfield

Edward Van Sloan  Rôle : Pr Abraham Van Helsing

Herbert Bunston  Rôle : Jack Seward

Frances Dade  Rôle : Lucy Weston

Joan Standing  Rôle : Briggs

 

 

 

Scénario

 

 

Scénariste

 

John L. Balderston D'après l'oeuvre de Bram Stoker

 

 

Soundtrack

 

Compositeur Philip Glass

 

Production

 

 

Producteur Carl Laemmle Jr.

 

Equipe technique

 

Directeur de la photographie Karl Freund

 

Maquilleur Jack P. Pierce

 

Sociétés

Production

Universal Pictures

 

USA • 1931 • 1h15 • Anglais VOSTFR

 

 

Pathé Bellecour me 12 à 21h45

(présentation Julie Bertuccelli)

DRACULA Tod Browning  Bela Lugosi

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Affiche d'époque

Affiche d'époque

THE INVISIBLE MAN 

L’HOMME INVISIBLE

James Whale

Festival Lumiere 2016

 

Ce film est l’adaptation d’un roman de HG Wells, les effets spéciaux étaient particulièrement soignée et originaux, il reste crédible de nos jours. La longue scène de l’auberge, fut tournée en deux fois, une premières avec tous les acteurs y compris Claude Rains (homme invisible) entièrement recouvert de feutre noir, puis retournée sans lui avec de nombreuses marques au sol, ensuite l’on superposa les deux pour tirer un négatif ou Claude Rains était invisible, de cette manière on contourna le problème du détourage qui quand un personnage est isolé ne pose pas de problème, mais devient une grosse galère dès que d’autre personnages le touche, comme par exemple  le tenir par le bras.

 

Curieusement, on se prend à aimer ce personnage qui deviens de plus en plus fou, de plus en plus  violent.

 

Claude Rains, arrive a donner vie à un personnage,  alors que l’on ne voie jamais l’acteur, au mieux recouvert de bandelette genre momie (nous en  parlerons prochainement de La Momie, également programmée) ou tous bonnement invisible et dans ce cas, tout l’art de l’acteur est dans les intonations de sa voix.

 

 

Un vrai classique des films de science-fiction.

 

 Résumé et fiche technique :  

 

 

 

Un scientifique ayant trouvé le moyen de devenir invisible cherche désespérément l’antidote à sa formule... Sommet de l’âge d’or du cinéma fantastique hollywoodien, et une interprétation hallucinée de Claude Rains.

 

Réalisateur(s) : James Whale Interprète(s) : Claude Rains, Gloria Stuart, WM Harrigan

 

USA • 1933 • 1h11 • Anglais VOSTFR

 

 

 

l Institut Lumière ve 14 à 14h30

l Cinéma Opéra sa 15 à 16h

 

 

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Les Prédateurs Catherine Deneuve David Bowie

LUMIERE 2016

Les Prédateurs

Catherine Deneuve

David Bowie

 

Il y a peu sur ce site, j’avais annoncé que le prix Lumière2016 serait attribué à Madame Catherine Deneuve, un internaute, auquel j’avais répondu, prétendait qu’elle n’avait jamais tourné de SF ou de film fantastique.

 

Surement trop jeune pour bien connaitre la carrière de la star française, Catherine Deneuve  à interpréter des rôles dans les genres les plus divers. Pour ce qui concerne les genres de l’imaginaire cela va du Merveilleux avec « peau d’âne », les films plus difficilement  classables de Luis Buñuel et pour en venir au film concerner par cet article dans des films fantastiques, film de vampire, et que l’on ne me parle pas de « avec les codes de…mais pas… ».

 

 Sinon je m’énerver sérieusement et je tiens à garder ma tension du jeune homme que je suis plus.

 

Bref on retrouve deux des plus grandes stars du cinéma mondial dans ce film, David Bowie a été un autant un grand musicien qu’un grand acteur (Furyo, labyrinthe, l’homme qui venait d’ailleurs…).

 

Ce film d’épouvante mériterait d’être largement plus connu, Catherine Deneuve y est pharaonique ainsi que David Bowie.

 

Fil indispensable dans votre dvdthéque.

 

Samedi 15 octobre 2016 à 17:45 Cinéma Opéra en présence de Régis Wargnier

 

Fiche du Film (Institut Lumière)

 

The Hunger

de Tony Scott ,

Royaume-Uni,

États-Unis ,

1983

 

Née en Égypte, il y a près de quatre mille ans, Miriam (Catherine Deneuve) est une immortelle. Grâce au sang frais dont elle se nourrit, elle conserve une jeunesse éternelle qu’elle partage avec son compagnon John (David Bowie) depuis trois cents ans. Soudain, ce dernier est frappé d’un vieillissement accéléré. Pour le sauver, Miriam fait appel à Sarah (Susan Sarandon), médecin spécialisée dans les mécanismes du vieillissement.

 

 

Adaptant le roman de l’auteur horrifique Whitley Strieber, Tony Scott, venu du monde de la publicité, livre, avec Les Prédateurs, un premier long métrage atypique, qui sera présenté hors compétition au Festival de Cannes en 1983.

 

Cet héritage publicitaire, le réalisateur l’entretient, cultivant avec soin une esthétique sophistiquée, aux allures de vidéo-clip. Les décors sont superbes et les costumes de Catherine Deneuve spécialement conçus par Yves Saint-Laurent. Lumière bleutée, plans striés, effets de voilages : Scott imprime à son film une plastique glaçante de cinéma publicitaire, grâce au talent de son chef opérateur Stephen Goldblatt.

 

 

 

PREDATEURS-1983-01

 

 

 

Dans les salles, le film échoue à trouver son public et la critique reproche au cinéaste ses excès de style, ce look new-wave qui a pourtant contribué ensuite à faire des Prédateurs un film emblématique des années 1980.

 

Les Prédateurs, c’est également un casting à l’alchimie remarquable, dans lequel on trouve Catherine Deneuve, subversive, froide, altière, aux côtés de la jeune Susan Sarandon et de David Bowie, figure rock androgyne.

 

Résolument ancré dans son époque, Les Prédateurs propose, en filigrane, derrière le brio de sa mise en scène, des thèmes de sa génération : l’apparition du sida, la contamination, l’impuissance de la médecine, mais également l’homosexualité féminine, à travers la relation sensuelle que nouent Catherine Deneuve et Susan Sarandon.

 

Film d’épouvante aux accents psychologiques, Les Prédateurs redéfinit les contours et les formes du mythe du vampire. À l'image de son titre original, The Hunger, le film exploite l’appétit de vivre, la faim dévorante de jeunesse, une quête insatiable, sanglante et libidineuse. Référence queer et pop, Les Prédateurs s’impose aujourd’hui comme un film culte du cinéma fantastique.

 

 

 

Les Prédateurs (The Hunger)

Royaume-Uni, États-Unis, 1983, 1h36, couleurs (Metrocolor), format 2.35

Réalisation : Tony Scott

Scénario : Ivan Davis, Michael Thomas, d’après le roman Les Prédateurs (The Hunger) de Whitley Strieber

Photo : Stephen Goldblatt

Effets visuels : Paul Corbould, Garth Inns, Graham Longhurst

Musique : Denny Jaeger, Michel Rubini, Bauhaus, Iggy Pop…

Montage : Pamela Power

Décors : Brian Morris

Costumes : Milena Canonero, Yves Saint-Laurent (pour Catherine Deneuve)

Production : Richard Sheperd, Metro-Goldwyn-Mayer, Peerford Ltd.

Interprètes : Catherine Deneuve (Miriam Blaylock), David Bowie (John Blaylock), Susan Sarandon (Sarah Roberts), Cliff De Young (Tom Haver), Beth Ehlers (Alice Cavender), Dan Hedaya (le lieutenant Allegrezza), Rufus Collins (Charlie Humphries), Suzanne Bertish (Phyllis), James Aubrey (Ron), Bessie Love (Lilybelle), Willem Dafoe (l’homme dans la cabine téléphonique)

 

Sortie aux États-Unis : 29 avril 1983

Présentation au Festival de Cannes : 10 mai 1983

Sortie en France : 13 juillet 1983

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Utopiales 2016

Utopiales 2016

 

 

Utopiales, Festival International de Science-Fiction de Nantes, rendez-vous désormais incontournable, réunira scientifiques, auteurs, artistes, et tous ceux qui, jour après jour, réfléchissent à la transformation de notre monde. Littérature, sciences, cinéma, bande dessinée, expositions, concerts, jeux de rôles, jeux vidéo et pôle asiatique…

 

Du 29 octobre au 3 novembre, la 17e édition explorera la thématique « Machine(s) ».

 

Grâce à elles, nous sommes plus forts, nous allons plus loin, plus haut et plus vite. Pour certains le fonctionnement de notre corps est semblable à celui d’une machine, nos articulations comme des axes et des poulies, nos muscles comme des câbles, nos cerveaux dont nous disons aisément qu’ils comportent des rouages… À leur manière, elles se rapprochent sans cesse du corps de l’être humain auxquel elles doivent tout, de leur naissance jusqu’à, peut-être un jour, leur identité.

 

Ultime arme d’un capitalisme dévastateur ou outil libérateur pour le travailleur ? Nous les construisons pour qu’elles nous délivrent du travail, certes, mais aussi de la distance, de la gravité, de la maladie et parfois de la mort. En se chargeant des tâches pénibles ou impossibles, ne se substitueraient-elles pas totalement à nous ? Allons-nous vers le « grand remplacement » par les machines ? La religion, la philosophie et la science se sont attachées à répondre à cette question. Mais la science-fiction est allée encore plus loin : les merveilleuses inventions de Verne, de Wells ou d’Asimov ont toutes interrogé la machine au regard de l’humanité elle-même, jusqu’à la machine citoyenne...

 

Ce thème sera décliné en quatre axes qui serviront de fil conducteur à la programmation :

 

Machine pour explorer

Minuscules ou gigantesques, les machines scientifiques explorent l’univers, des atomes aux étoiles, mais aussi le corps humain, le cerveau et, bientôt peut-être, nos pensées. Elles permettent ainsi de découvrir des mondes étranges et d’avancer vers l'inconnu.

 

Machine pour transformer

Nous avons créé les machines pour modeler la matière et agir sur le monde plus efficacement qu’à la seule force de nos muscles. Mais elles ont besoin de « carburant ». Ainsi, d’autres machines transforment la matière pour produire de l’énergie. La question de son abondance et de sa pérennité devient alors cruciale. La science-fiction s’alarme, et la science s’y attèle car, qui tient les machines à énergie tient l’humanité au creux de sa main !

 

Machine pour servir

Automates, robots ou androïdes hantent les pages de la science-fiction. D’abord esclaves, ces machines seront-elles un jour capables d’interpréter des instructions et de tenir compte de leur entourage ? Il leur faudrait pour cela être dotées d’émotions et d’empathie.

 

Machines extraordinaires

On rêve encore des machines inventées par Jules Verne ou Robert Heinlein et les scientifiques construisent d’incroyables engins pour explorer le réel. Mais la démesure n’est pas la seule composante de l’esthétique des machines : il existe également des outils d’une exquise facture où l’art vient s’immiscer dans la technique.

 

Auteurs, artistes, créateurs, chercheurs, scientifiques et essayistes réunis pour le temps de ces Utopiales 2016 tenteront d’apporter leurs réponses sensibles, prospectives, humaines et citoyennes au détour d’une table ronde ou d’une rencontre. Entamons un dialogue qui nous mènera peut-être à changer notre regard sur ces compagnons si souvent invisibles, du grille-pain jusqu’à Ariane V, qui nous suivent ou nous accompagnent depuis notre sortie des cavernes et avec lesquels nous co-évoluons.

 

Voici venue l’heure des machines.

 

Envisageons ensemble leurs lendemains !

 

Communiqué de Presse

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