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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #fantastique

Zombie Walk samedi 24 septembre

Zombie Walk

samedi 24 septembre

 

L'événement culte d'AOA Prod est de retour pour sa 10e édition !

 

Le concept : Une Zombie Walk est une manifestation publique et gratuite de type défilé / carnaval, au cours de laquelle les participants sont déguisés et grimés en morts-vivants avant d'aller envahir les rues lyonnaises !

 

Cet événement ultra-festif (et toujours visuellement impressionnant) ne manque pas d'attirer des milliers de personnes depuis la première édition française organisée à Lyon en juin 2008  !

 

L'association AOA Prod vous donne rendez-vous le samedi 24 septembre prochain pour une dixième édition d'anthologie !

 

BRAINSTOCK FEST !

 

Cette année nous vous retrouvons autour du thème Brainstock Festival

 

Avec un petit clin d’œil au festival Woodstock, nous transformerons l'Esplanade du Gros Caillou en installant notre traditionnel village zombie ainsi qu’une scène musicale, permettant de promouvoir des groupes de la région, le temps d’une après-midi, placée sous le signe de la musique et de la fête.

 

 

ATELIER MAQUILLAGE !

 

Votre maquillage de zombie n’est pas convainquant ?

 

Vous ne savez pas comment vous en sortir pour transformer votre visage en un mort vivant sorti d’un film d’horreur ?

 

Qu’à cela ne tienne ! AOA Prod propose un atelier d’initiation de maquillage zombie le samedi  3 septembre 2016.

Zombie Walk samedi 24 septembre

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DARIO ARGENTO, invité d’honneur

DARIO ARGENTO, invité d’honneur

DARIO ARGENTO,

invité d’honneur

 

 

9ème

FESTIVAL EUROPÉEN DU FILM FANTASTIQUE DE STRASBOURG

DU 16 AU 25 SEPTEMBRE 2016

Dario Argento sera l’invité d’honneur.

 

Nous avons l’immense plaisir de vous annoncer que le maestro Dario Argento sera l’invité d’honneur de la 9ème édition du festival.

 

Après avoir débuté sa carrière notamment aux côtés de Sergio Leone en tant que co-scénariste de Il était une fois dans l’ouest, il va développer un style singulier, parfait mélange entre modernité et cinéma populaire, pour mettre en scène des thrillers et des films fantastiques qui le propulseront au rang des plus grands réalisateurs du genre.

 

Le maître du giallo donnera une Master class qui accompagnera une rétrospective permettant de revoir ses gialli ainsi que ses œuvres fantastiques les plus marquantes sur grand écran.

 

2016 sera décidément un très grand cru !

 

LA MASTER CLASS

La Master Class de Dario Argento aura lieu le samedi 24 septembre à 14h au cinéma Star St-Exupéry.

Elle sera encadrée par Jean-François Roger, directeur de la programmation de la Cinémathèque française, et sera suivie de la projection des Frissons de l'angoisse en version restaurée par la Cinémathèque nationale italienne.

 

LA RÉTROSPECTIVE

 

L’Oiseau au plumage de cristal avec Mario Adorf, Tony Musante, Suzy Kendall (1969)

 

Le Chat à neuf queues avec James Franciscus, Karl Malden, Catherine Spaak (1971 )

 

4 Mouches de velours gris avec Michael Brandon, Mimsy Farmer, Bud Spencer, Jean-Pierre Marielle (1971)

 

Suspiria avec Jessica Harper, Stefania Casini, Alida Valli, Joan Bennett, Udo Kier, Eva Axen, Miguel Bose (1977)

 

Ténèbres avec Anthony Franciosa, Daria Nicolodi, Christian Borromeo (1982) 

 

 

 

 

biographie et filmographie sommaire:

 Réalisateur Dario Argento est un réalisateur et scénariste italien né le 7 septembre 1940, à Rome. Wikipédia Naissance : 7 septembre 1940 (75 ans), Rome, Italie Enfants : Asia Argento, Fiore Argento Musique de film : Suspiria, Inferno, Zombie Livres : Paura, La sindrome, Les frissons de l'angoisse: un film de Dario Argento, Les Frissons de l'angoisse: Scénario du film Album : L'uccello dalle piume di cristallo

 

Filmographie

 Réalisateur

Cinéma

1970 : L'Oiseau au plumage de cristal (Drapeau de l'Italie L'uccello dalle piume di cristallo / The Bird With The Cristal Plumage)

 

1971 : Le Chat à neuf queues (Drapeau de l'Italie Il gatto a nove code /The Cat o'nine tails)

1971 : Quatre mouches de velours gris (Drapeau de l'Italie 4 mosche di velluto grigio Four Flies on Grey Velvet)

1973 : Cinq jours à Milan ( Le cinque giornate)

1975 : Les Frissons de l'angoisse (Drapeau de l'Italie Profondo rosso /Deep Red)

1977 : Suspiria

1980 : Inferno

1982 : Ténèbres (Drapeau de l'Italie Tenebre / Tenebrae)

1985 : Phenomena 1987 : Opéra (Drapeau de l'Italie Opera /Terror at the Opera)

1990 : Deux yeux maléfiques - segment Le Chat noir (Due occhi diabolici /i Two Evil Eyes)

1993 : Trauma

1996 : Le Syndrome de Stendhal (Drapeau de l'Italie La sindrome di Stendhal / The Stendhal Syndrome)

1998 : Le Fantôme de l'Opéra (Il fantasma dell'opera / Drapeau du Royaume-Uni The Phantom of the Opera)

2001 : Le Sang des innocents ( Non ho sonno / Sleepless)

2004 : Card Player Il Cartaio) 2007 : La Troisième Mère (La Terza madre / Mother of Tears) 2009 : Giallo

2012 : Dracula 3D

2015 : The Sandman

Télévision

 1973 : Testimone oculare (épisode 1 de la 1re saison de la série La porta sul buio)

1973 : Il tram (2e épisode de la 1re saison de la série La porta sul buio)

2005 : Jenifer (4e épisode de la 1re saison de la série Les Maîtres de l'horreur)

2005 : Aimez-vous Hitchcock ? (Ti Piace Hitchcock ? / Do you like Hitchcock)

2006 : J'aurai leur peau (Pelts - 6e épisode de la 2e saison de la série Les Maîtres de l'horreur)

Producteur

1978 : Zombie (film) (Dawn of the Dead), de George A. Romero

1985 : Démons (Démoni), de Lamberto Bava

1986 : Démons 2 (Démoni 2), de Lamberto Bava

1989 : Sanctuaire (La chiesa), de Michele Soavi

1991 : La Secte (La Setta) de Michele Soavi

 

Trilogie animalière

1.L'Oiseau au plumage de cristal (1970),2.Le Chat à neuf queues (1971),3.Quatre mouches de velours gris (1971)

« Trilogie des Enfers »

(ou « Les trois Mères) ] 1.Suspiria (1977) 2.Inferno (1980) 3.La Troisième Mère (2007)

Études, essais

 Dario Argento : sensualità dell'omicidio, Antonio Tentori. Alessandria : Edizioni Falsopiano, 1997, 196 p. (Falsopiano cinema ; 2) (ISBN 88-87011-09-5)

 

Les Frissons de l'Angoisse - Livret d'analyse, Jean-Baptiste Thoret, Wild Side Video, Paris, 2004

Dario Argento, magicien de la peur, Jean-Baptiste Thoret. Paris : "Cahiers du cinéma", 2002, 160 p. (Auteurs) (ISBN 2-86642-345-3)

Dario Argento : toutes les facettes de la créativité du "Maître de l'horreur", Vivien Villani. Rome : Gremese, 2008, 127 p. (Grands cinéastes de notre temps) (ISBN 978-88-7301-617-5)

Crime designer : Dario Argento et le cinéma, Bernard Joisten. Maisons-Alfort : Ère ; Paris : diff. Belles lettres, 2007, 154 p. (ISBN 978-2-915453-33-1)

Dario Argento : le montreur d'ombres, photographies présentées par Gérard Noël. Cahors : G. Noël, 1988, 31 p. (Horror pictures) (ISBN 2-9502269-2-2)

Dario Argento : acte 2, conception-éd., Gérard Noël. Cahors : G. Noël, 1988, 31 p. (Horror pictures) (ISBN 2-9502269-3-0)

Voyage au cœur des Ténèbres, Julien Astorino. Nancy : Wotan Editions, 2014, 192 p. ISBN 9781326061678

Dario Argento : le règne animal, Thibault Loucheux. Nîmes : Lacour-Ollé, 2015, 105 p. (ISBN 978-2-7504-4096-1)

 

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Nains 05 - Tiss du Bouclier

Nains 05 -

Tiss du Bouclier

 

Va bientôt paraitre aux Éditions Soleil, le dernier volet de la saison 1 de la Série « Nains ».

Comme la série « Elfes » le concept d’un scénariste unique avec des dessinateurs différents pour chaque tome.

Tiss est le principal personnage de ce tome, il s’agit d’une Héroïne. Quel serait le destin de cette jeune fille ? Parviendra-t-elle à rendre son père fier d’elle ?

Cet album est très réussi, de beaux dessins, un personnage attachant, avec un scénario solide.

 

Tout est fait pour nous faire évoluer dans un univers d’Heroic fantasy, assez noir.

Vous le serez en lisant cet album, à préciser  que chaque album de la série est une histoire indépendante des autres, vous n’êtes donc pas obligé, même   si je  vous le conseille, de lire les 4 précédents tomes.

 

 Date de parution : 24/08/2016  /

ISBN : 978-2-3020-5369-4

Scénariste : JARRY Nicolas

Illustrateur : DEMARE Nicolas

Série : NAINS

Collection : Heroic fantasy

 

Résumé

Tenir ou périr !

« Qu’importe que nos ennemis brisent nos rangs, qu’ils brisent nos lames, qu’ils brisent nos casques et nos os... jamais ils ne briseront notre volonté. »

Brahm, capitaine de l’ordre du Bouclier, perd son épouse alors qu’elle met au monde son fils. Tiss, sa fille, s’occupe de son mieux  de leur foyer, mais elle échoue à protéger son petit frère d’une bande d’Ogres. L’enfant est gravement blessé, il sera un boitard pour le reste de sa vie, un infirme incapable de tenir le rang.

Tous les espoirs que Brahm avait placés en son fils sont anéantis, celui-ci ne sera jamais le grand cognar qu’il avait espéré. Malgré l’opposition de son père, Tiss décide de prendre la place de son petit frère et d’apprendre le métier des armes...

 

Nicolas JARRY

Scénariste

 

Biographie

NICOLAS JARRY est né en 1976 à Rosny-sous-Bois. Il réside en Dordogne.

 Lors de sa participation au Festival du Film Fantastique, Nicolas Jarry fait la connaissance de Jean-Luc Istin. Cette rencontre aboutit à son premier scénario de bande dessinée, Les Brumes d'Asceltis. Ainsi, est né le premier tome des Chroniques de Magon (Delcourt) et une prolifique carrière de scénariste, principalement chez Soleil.

 

Nicolas DEMARE

Dessinateur, Illustrateur

 

 Biographie

Né en 1974 en région parisienne, et après avoir dessiné depuis tout petit, il prend sa première claque à 8 ans avec les comics. La seconde viendra quelques années plus tard avec la découverte de Tolkien et de la fantasy (Moorcock, Leiber …). La messe est dite ! Bien décidé alors à y arriver, il dévore toutes sortes de livres (anatomie, narration, BD…) en parallèle, suit un cursus scolaire standard (bac, fac…). C'est à 20 ans qu'il rencontre François Plisson qui lui ouvre son atelier et le monde de la bande dessinée. Nicolas écume les festivals avec un fanzine, multiplie les connaissances et prend confiance en lui. Il quitte alors la FAC à 24 ans, se réoriente vers l'infographie, puis finit par travailler quelques années dans le jeu vidéo. C'est finalement à 29 ans que s'offre à lui la possibilité de faire de la BD et c'est en 2005 qu'il rejoint le petit peuple de la collection Celtic en dessinant "Merlin, la Quête de l'Épée" de Jean-Luc Istin.

Nains 05 - Tiss du Bouclier
Nains 05 - Tiss du Bouclier
Nains 05 - Tiss du Bouclier
Nains 05 - Tiss du Bouclier

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Hunt - Le Jeu du Loup-Garou

Hunt -

Le Jeu du Loup-Garou

 

le  premier opus du la série, nous mets tout de suite dans l’univers du jeu de société.

 

Le manga est inspiré par le jeu « Nanji wa jinrô nariya? »  "Êtes-vous un loup-garou ?"), qui est la version japonaise du jeu Are you à werewolf ?, lui-même inspiré du jeu Mafia/Werewolf, qui est aussi l'inspiration du jeu Les loups-garous de Thiercelieux... ouf !

 

Mais à mon avis elle est  cette série est à réservé au fan des jeux en questions, guère plus.

 

ISBN : 978-2-3020-5118-8 Scénariste : KAWAKAMI Ryo

Illustrateur : KOUDO

Série : HUNT LE JEU DU LOUP GAROU

Collection : Seinen

Soleil Manga

 

Résumé

Si vous connaissez le jeu du Loup-Garou, vous allez adorer ce manga. Et si vous ne le connaissez pas, préparez-vous à en apprendre les règles cruelles !

 

Un soir, Airi Nishina, en deuxième année de lycée, se fait enlever par un groupe inconnu.

 

À son réveil, elle se retrouve enfermée dans une étrange pièce  souterraine en compagnies d’autres élèves, à qui l’on annonce qu’ils vont devoir participer au jeu du loup-garou qu’ils le veuillent ou non.

 

Ce jeu est une lutte à mort entre les « loups-garous » et les villageois. Pour ceux qui ne respectent pas les règles imposées, une mort atroce.

 

Peur et frissons sont au rendez-vous dans ce jeu mortel !

Hunt - Le Jeu du Loup-Garou
Hunt - Le Jeu du Loup-Garou

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Loue pour tournage

(film ou photo)

à

SAINT JEAN KERDANIEL

22170   Cotes d’Armor

(France)

 

Sur 1,7  hectare de terrain attenant entièrement clos de haies bocagères, nombreuses dépendances (grange, écurie, étable, crèche).   

 

Tailles des haies et bosquets en court.

 

Idéal pour tournage trash ou fantastique.

 

Autres photos sur demande. 

 

Merci de bien vouloir partager.

Me joindre via "contact"

 

Ecuries
Ecuries
Ecuries

Ecuries

Grange Exterieur
Grange Exterieur

Grange Exterieur

Intérieur grange
Intérieur grange

Intérieur grange

Terrain 12.000m2
Terrain 12.000m2

Terrain 12.000m2

Divers dépendances
Divers dépendances
Divers dépendances
Divers dépendances

Divers dépendances

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Figurines collection Naruto shippuden Altaya

Figurines de collection

Naruto shippuden

Altaya

 

Les Éditions Altaya, spécialiste de la vente de figurines et d’objet de collections, sorte « La Collection officielle : Naruto shippuden ».

 

Comme toujours dans ce cas-là, les figurines sont accompagnées d’un fascicule et des « cadeaux » sont prévus pour les personnes qui s’abonneront.

 

Malheureusement, cette fois-ci la qualité des figurines n’y est pas du tout, matière plastique bon marché, et non numérotée, fascicule réduit a ça plus simple expression.

 

Il faut être un fan dans discernement, pour vraiment vouloir absolument s’abonner à cette collection, juste bonne pour jouer dans la cour de récréation.

 

C’est vraiment plus que regrettable, espérons qu’à l’ avenir Altaya rectifiera le tir pour de nouvelles collections.

Figurines collection Naruto shippuden Altaya

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Sélection  FEFFS 2016

 

Sélection  

FEFFS 2016

 

 

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, vous trouverez également les films de la rétrospective principale, M for Murder !

 

Nous vous annoncerons le reste des films sélectionnés à partir du 17 août.

 

COMPÉTITION FANTASTIQUE

Transfiguration de Michael O'Shea avec Eric Ruffin, Chloe Levine, Aaron Moten Etats-Unis

 

I am not a serial killer de Billy O'Brien avec Christopher Lloyd, Laura Fraser, Max Records Irlande

 

Shelley de Ali Abbasi avec Ellen Dorrit Petersen, Cosmina Stratan, Björn Andrésen Danemark

 

Grave de Julia Ducournau avec Garance Marillier, Ella Rumpf, Rabah Naït Oufella France / Belgique

 

Under The Shadow de Babak Anvari avec Narges Rashidi, Bobby Naderi, Arash Marandi Britannique / Jordanien / Qatarien

 

COMPÉTITION CROSSOVERS

Psycho Raman de Anurag Kashyap avec Nawazuddin Siddiqui, Sobhita Dhulipala, Vicky Kaushal Indien

 

Opération Avalanche de Matthew Johnson avec Matthew Johnson, Krista Madison, Samantha Michelle Etats-Unis / Canada

 

Outlaws and Angels de J.T. Mollner avec Chad Michael Murray, Francesca Eastwood, Teri Polo, Luke Wilson Etats-Unis

 

Creative Control de Benjamin Dickinson avec Benjamin Dickinson, Dan Gill, Alexia Rasmussen Etats-Unis

 

 

MIDNIGHT MOVIES

31 de Rob Zombie avec Sheri Moon Zombie, Malcolm McDowell, Elizabeth Daily Etats Unis

 

The Greasy Strangler de Jim Hosking avec Michael St. Michaels, Sky Elobar, Elizabeth De Razzo Etats-Unis

 

We are the flesh (Tenemos la carne) de Emiliano Rocha Minter avec María Cid, María Evoli, Diego Gamaliel Mexique

 

Holidays de Anthony Scott Burns, Kevin Kolsch, Dennis Widmyer, Nicholas McCarthy, Adam Egypt Mortimer, Gary Shore, Kevin Smith, Sarah Adina Smith, Scott Stewart avec Harley Quinn Smith, Kevin Smith, Lorenza Izzo Etats-Unis

 

 RÉTROSPECTIVE M FOR MURDER

Comme chaque année, le FEFFS remet au goût du jour des classiques du cinéma de genre lors de rétrospectives à thématique.

 

Cette année, le festival explorera la figure du tueur en série à travers une sélection de films emblématiques traversant l’histoire du cinéma.

 

Du mètre étalon de Fritz Lang, M le Maudit, en passant par la délicieuse comédie noire Noblesse oblige, réalisée aux studios d’Ealing par le britannique Robert Hamer avec un Alec Guiness qui endosse huit rôles différents, jusqu’à des films plus sombres tels que L’Etrangleur de Boston avec un Tony Curtis à contre emploi dans un film à la mise en scène novatrice de Richard Fleischer qui s’essaye au split screen, ou encore Cruising de William Friedkin avec Al Pacino dans un de ses rôles les plus marquant.

 

M le Maudit de Fritz Lang avec Peter Lorre, Ellen Widmann, Inge Landgut (1932)

 

Noblesse Oblige de Robert Hamer avec Dennis Price, Valerie Hobson, Alec Guinness (1949)

 

L’Étrangleur de Boston de Richard Fleischer avec Tony Curtis, Henry Fonda, George Kennedy (1968)

 

Cruising de William Friedkin avec Al Pacino, Paul Sorvino, Karen Allen (1980)

 

Maniac de William Lustig avec Joe Spinell, Caroline Munro, Abigail Clayton (1980)

 

Schizophrenia de Gerald Kargl avec Erwin Leder, Silvia Rabenreither (1983)

 

Henry portrait d’un tueur en série de John McNaughton avec Michael Rooker, Tom Towles, Tracy Arnold (1986)

 

Manhunter de Michael Mann avec William Petersen, Kim Greist, Joan Allen (1986)

 

Carmin profond de Arturo Ripstein avec Regina Orozco, Daniel Gimenez Cacho, Marisa Paredes (1996)

 

 

 

(Communiqué de presse)

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Les Légendaires, de Patrick Sobral ©Éditions Delcourt, 2016

Les Légendaires, de Patrick Sobral ©Éditions Delcourt, 2016

Timbre Jeunesse

 

BD LES LÉGENDAIRES

 

 

La Poste édite deux timbres à l’effigie des héros de la BD LES LÉGENDAIRES Voilà une rentrée synonyme de bonne nouvelle pour les fans de manga !

 

Le 19 septembre, La Poste éditera des timbres mettant à l’honneur les héros de la bande dessinée Les Légendaires créée par Patrick Sobral et éditée par Delcourt, dont le 19e tome paraîtra en octobre.

 

Ces timbres BD sont les 1ers d’une nouvelle série de timbres Jeunesse lancée par La Poste pour cette rentrée.

 

Ces 4 visuels dont 2 timbres, sont une création originale de Patrick Sobral, représentant ses héros Danaël, Gryf, Jadina, Shimy, et Razzia.

 

Un QR code permet de visionner un cours de dessin proposé par Patrick Sobral ainsi que des extraits de BD et une vidéo animée présentant les personnages.

 

Les légendaires ont été créés en 2004 par Patrick Sobral, dans le style manfra (contraction de manga et français). Cette série raconte les aventures de 5 héros redevenus des enfants de 12 ans suite à « l’accident de la pierre de Jovenia», soudés par l’amitié, l’héroïsme et le respect. Leur devise est : « Légendaires unis un jour, Légendaires unis toujours ».

 

Près de 5 millions d’albums ont été vendus depuis la création de la série en 2004. En octobre 2016 sortira le 19e tome, « Artémus le Légendaire ».

 

Ces 4 visuels dont 2 timbres, sont une création originale de Patrick Sobral, représentant ses héros Danaël, Gryf, Jadina, Shimy, et Razzia.Un QR code permet de visionner un cours de dessin proposé par Patrick Sobral ainsi que des extraits de BD et une vidéo animée présentant les personnages.

 

 

 

Né le 18 novembre 1972 à Limoges, Patrick Sobral connaît un choc en regardant la série TV Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque), adaptée du manga de Masami Kurumada. Il décroche un CAP de dessin et devient…décorateur sur porcelaine de Limoges ! En 2003, il propose à l’éditeur Guy Delcourt une BD très influencée par les mangas.

 

Cela tombe bien : la bande dessinée japonaise triomphe alors en France et les éditeurs cherchent des auteurs qui, comme Patrick Sobral, intègrent ses influences. Alors que l’industrie de la porcelaine périclite, le jeune dessinateur se lance résolument dans le 9e art.

 

La mini-feuille de 3 diptyques Valeur faciale : 4,20 ! (3 diptyques indivisibles à 1,40! l’un)

L’offre spéciale collection : la mini–feuille & 4 cartes postales (1offerte)

Prix de vente : 5,80 ! TTC (dont 4,20 ! de timbres)

 A collectionner avec les timbres

 

Auteur : Patrick SOBRAL

Mise en page : Mathilde LAURENT

Impression : héliogravure

Le diptyque

Format du diptyque : 152 mmx38 mm

(Format timbres & vignettes 38 mm X 38 mm)

Valeur faciale : 1,40 €

(0, 70 € chaque timbre et 2 vignettes sans valeur d’affranchissement)

Tirage : 600 000 diptyques

Mini-feuille de 3 diptyques

Valeur faciale : 4,20 € (3 diptyques indivisibles à 1,40€ l’un)

Tirage : 125 000 mini-feuilles

 

L’offre spéciale collection

La mini–feuille de 3 diptyques & 4 cartes postales dont une offerte

Prix de vente : 5,80 € TTC (dont 4,20 € de timbres)

Tirage : 3 000 exemplaires

 

Le diptyque, la mini-feuille et l’offre spéciale collection seront vendus en avant-première les 16 & 17 septembre 2016 à : ▪ PARIS (75) Le Carré d’Encre, de 10 h à 18 h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 Paris.

 

A partir du 19 septembre 2016, ils seront vendus dans certains bureaux de poste, sur le site Internet www.laposte.fr/boutique, au Carré d’Encre, par abonnement ou par correspondance à Phil@poste Service Clients Z.I Avenue Benoît Frachon, BP 10106 Boulazac, 24051 PERIGUEUX CEDEX 09.

 

Communiqué de Presse Delcourt, Juillet 2016

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Entretien avec  Axelle «Psychée» Bouet « Les Chants de Loss »

*********

 

Entretien avec 

Axelle «Psychée» Bouet

« Les Chants de Loss »

 

Stéphane Dubois,

Bonjour, Axelle «Psychée» Bouet,

Entre notre premier entretien en 2009 et la publication du premier tome de ta saga «  Les Chants de Loss » quelles ont été tes créations ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

2009… presque l’impression d’une vie passée en fait. Ce n’est même pas une image. Quand j’ai commencé à travailler sur les Chants de Loss, j’ai ouvert une boite de Pandore, cela revenait à changer de vie ; plus exactement celle-ci a-t-elle changé quand j’ai commencé à être connue, reconnue, et considérer que j’avais désormais un devoir envers mes fans et tous les gens qui ont acheté le premier tome, et qui attendent le second, mais aussi le jeu de rôle dans le monde de Loss.

 

En fait, de 2009 à début 2014, j’ai travaillé bon an mal an à mon métier : l’illustration. J’ai renoncé en cours de route à la bande dessinée, pour tout un tas de raisons, mais avant tout le rapport travail/rémunération qui était simplement catastrophique. Tant de boulot, difficile pour moi, difficile en général, pour presque aucun retour financier, était une intense source de frustration, pas de passion on d’engouement. J’ai donc dis : plus jamais.

 

Mais vers 2013, les mois sans travail étaient plus nombreux que les mois avec, je déprimais, je n’arrivais même plus à dessiner pour moi-même, je faisais pour dire vrai un joli début de dépression. C’est suite à une discussion avec un ami, que j’ai suivi son conseil : si je ne pouvais plus dessiner, je pouvais écrire. Et de ce conseil, mûri quelques –courts- temps, est né l’idée des Chants de Loss. La suite, tu la connais un peu, je pense…

 

Stéphane Dubois,

De tous les auteurs avec qui j’ai un entretien en neuf ans, tu es la première à citer comme l’une des sources de ton inspiration le « Monde de Gor » de John Norman, n’est pas contradictoire avec ton côté féministe, vu la place des « kajiras » dans cet univers très particulier.

 

Axelle «Psychée» Bouet,

Je cite, avant, pas mal d’autres auteurs, mais tu t’y arrête parce qu’en effet, c’est peu commun. Ah ça, c’est particulier, oui. La saga de Gor par John Norman, pour le lecteur qui ne connait pas, c’est une série en 33 volumes, commencé en 1967, et achevée (je crois) en 2013 dans un monde de planète-fantasy un peu à la Conan, mais sexiste au dernier degré, où l’auteur considère –et justifie ! - que la femme est naturellement esclave (sexuelle de préférence), et l’homme est naturellement le dominateur ultime. Il l’explique d’ailleurs en long et en large avec une foule de détails qui confine à la nausée. Mais il a inventé un monde très riche, jouant avec une uchronie employant l’antiquité comme base, mais qui aurait évolué très différemment, et des emprunts à la SF.

 

Quant aux idées de l’auteur, au mieux, elles font sourire par leur naïveté, au pire, elles finissent par mettre en colère la plupart des lecteurs un tant soit peu lucides ou ouverts d’esprit sur les rapports hommes/femmes. Il a d’ailleurs fait l’objet d’une controverse magistrale par les mouvements féministes américains dans les années 80-90. Il y avait largement de quoi. A titre personnel, je ne peux pas sacquer l’auteur – et j’ai eu du mal à lire ses romans, pas très bien écrits, et mal traduits par des traducteurs de romans de gare pas très bien payés.

En fait, on s’est toujours dis, avec quelques amies qui ont lu comme moi quelques volumes, que Gor aurait dû être écrit par une femme, ce qui aurait profondément, à priori, changé son sujet. Quand j’ai créé le monde de Loss et le sujet de mon roman, j’avais décidé que celui-ci serait la révolte et la dénonciation des pires travers de la nature humaine, dont l’esclavage et le sexisme, à travers un récit dur et sur lequel je ne me montrerais en rien consensuelle. 

 

Nier alors que Norman fut l’une de mes inspirations, ce serait franchement gros, et même si je ne l’aime pas et n’aime pas les idées qu’il diffuse dans ses romans, j’adore l’univers qu’il a conçu et respecte le travail que cela lui a demandé. Mon récit, qui tient sur neuf tomes, est en effet dur, et polémique… je me suis déjà faite incendier et harceler pour avoir osé décrire sans complaisances, mais sans jamais prendre parti en tant que narratrice, des horreurs qui ne sont que le reflet de ce que nous, humains, avons fait dans l’histoire et faisons encore.

 

De ce côté-là, j’ai eu aussi d’autres inspirations, l’une des plus importantes, bien avant Norman, étant Tanith Lee avec La Saga d’Uasti, et pour la manière de montrer l’horreur de la nature humaine, les écrits de Camus, surtout la Peste.

 

Vala, si vous ne l’avez pas deviné, je suis féministe. Dans Loss, se trouvent la somme de mes pires rêves et mes plus splendides cauchemars, un exutoire personnel à la folie humaine que j’ai trop souvent touché de près, comme témoin ou victime.  Et si Loss n’est pas du tout un roman d’horreur, certains chapitres sont bel et bien écrit pour toucher profondément le lecteur, le faire réagir, le révolter et éveiller son indignation.

 

Parfois, les gens ont décidé de l’être contre moi, qui ai écrit ces mots, et non contre mon histoire elle-même. Mais cela prouve que ça marche !

 

Stéphane Dubois,

Quel fut l’accueil de ton premier tome ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

J’ai eu un peu mal à le faire connaitre au tout début, mais cela n’étonnera personne, au vu de la multiplication des sorties littéraires papier et numériques. C’est aux premières illustrations inspirées du monde de Loss que sont arrivés des lecteurs, des curieux, puis de véritables fans, nombreux maintenant.

 

Et c’est là que j’ai pu avoir des retours, alors que le premier tome était à peine édité. Le public le plus enthousiaste est féminin, je dirais que plus des deux tiers des lecteurs sont des lectrices. Dans la grande majorité des cas, les retours sont élogieux, enthousiastes, passionnés, et si vous demandez, y compris des féministes. Ils soulignent toujours la gravité des propos, les côtés terribles du sort pénible que vit le personnage principal, et sont impatients de le voir évoluer, se révolter, se battre contre l’univers où elle est plongée. Comme il y a beaucoup de protagonistes, dont au moins quatre principaux, chaque lecteur a son préféré et s’attache à ses aventures.

 

Les plus beaux éloges sont sur trois sujets : la profondeur des personnages, la richesse de l’univers, et la manière dont certains passages peuvent marquer le lecteur. J’en ai fait pleurer quelques-uns, ce qui me fait très plaisir !

 

Désormais, je sais que j’ai tout un tas de gens qui attendent chaque nouveau chapitre, et j’ai une certaine pression car le tome 2 est quasi fini, et tout le monde attend avec impatience de le voir disponible à l’achat, même ayant lu gratuitement tous les chapitres sur Internet. Et comme je le souligne ci-dessus… parmi toutes les réactions, il y a aussi les (rares) rejets viscéraux confinant même à la haine, le reproche du contenu du roman, de ses thèmes, de son sujet… C’est une minorité qui, je dirais, ne réalise pas bien que si cela les révolte, c’est bien parce que c’était mon but, et pas par complaisance. Mais ils ne prennent pas le temps d’y réfléchir. Ce n’est pas faute d’avoir prévenu en 4ème de couverture, et sur la préface du bouquin !

 

Stéphane Dubois,

Tu prévois 9 volumes, tu n’as pas peur, soit de « tourner en rond », soit de manquer d’inspiration pour te lancer dans un tel projet ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

J’ai prévu neuf tomes dès que j’ai établi le plan de la saga : ils ont tous leur synopsis depuis avant même les premiers chapitres, j’ai écrit la quasi-totalité des deux derniers chapitres de la saga, et je tiens un plan de développement dont j’évite de trop m’écarter… quand cela arrive, c’est la faute à mes personnages, ils font des bêtises tous seuls sans que je puisse toujours les remettre dans la ligne de mon scénario ! Et, oui, quand on écrit, au bout d’un moment les protagonistes qu’on couche sur le papier se mettent à avoir une vie propre… ce qui devait tenir en trois pages peut en faire sept, ce qui devait se produire au chapitre 8 arrive au 5 ou au 11, etc… Aussi précis soit-il l’auteur ne peut pas anticiper toutes les actions et réactions possibles à une situation, c’est en cela que mes héros font des choses que je n’avais pas prévus.

 

Mais sinon, non, ne j’ai pas du tout crainte de tourner en rond ou tomber en panne d’inspirations ! J’ai surtout peur de mettre plus de dix ans à écrire tout cela, à cause de mes soucis de santé. Et ça, ça me chagrine bien plus. Maintenant, ce n’est pas une crainte qui doit me faire hésiter !

 

Stéphane Dubois,

C’est tout un univers que tu prévois de faire, tu es en train de développer, un jeu de rôle en ligne, c’est une forme de création qui ta toujours attiré ? Quand peut-on espérer pouvoir y jouer ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

Ah non, pas un JDR en ligne, mais un bon vieux jeu de rôle papier, avec dés et feuilles de personnages. Il se nomme Les Chants de Loss, le jeu de rôle, il a un éditeur –autre que mes romans- et c’est un pavé qui demande un énorme travail de création et de rédaction, et que j’écris avec deux co-auteurs : Emilie Latieule, et Alysia Lorétan. S’y ajoute pour le premier livre de supplément consacré à Armanth, la Cité des Maitres-marchands, Stéphanie Roth.

 

Oui… y’a que des filles dans cette équipe. Je ne l’ai même pas fait exprès !

 

Et normalement, il devrait être publié dans le courant du second trimestre 2017… Vers Avril si tout va bien. On peut en suivre, comme pour les romans, l’avancée sur le site qui lui est consacré.

 

Stéphane Dubois,

La saga littéraire et le jeu seront totalement indépendants, des personnages nouveaux seront-ils dans le jeu ?

Dans la Saga littéraire, peu ton espérer y trouvez  des « indices » pour le jeu ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

Le roman est une aventure, une saga qui se passe dans le monde de Loss, qui en dévoile les plus profonds secrets et finit par en révolutionner certains aspects majeurs. Je vais éviter de spoiler en disant quoi, mais on devine bien ce qui va tomber en lisant les romans… ce que le lecteur a le plus envie de voir tomber, forcément !

 

Le jeu de rôle est contemporain au premier tome, mais il se passe quelques années avant. Aux joueurs, au meneur de jeu, alors, de prendre en main l’univers et de décider de son futur et de son destin : il ne peut être celui des romans, et, par exemple, deux personnages majeurs du roman, Lisa et Elena, les deux héroïnes terriennes, ne sont jamais décrites dans le jeu de rôle… car celui-ci se passe avant leur arrivée sur Loss.

 

Il n’y a donc pas d’indices dans le roman pour le jeu de rôle. Par contre, le jeu de rôle révèle des secrets de la saga du roman, des explications de certaines choses que les lecteurs des romans vont découvrir par la suite. Ces explications sont clairement précisées comme des spoils… et il vaut mieux que seul le meneur de jeu les lise et pas les joueurs ! Et il peut même très bien se passer de les lire ou n’en lire qu’une partie. Ces informations qui dévoilent les secrets du monde et des romans de Loss ne seront d’ailleurs jamais dévoilés sur le net, pour éviter les diffusions de ces infos.

 

Stéphane Dubois,

À voir les illustrations du site de jeu, il y a des aspects assez érotiques, plus que dans la saga littéraire ?

 

Axelle «Psychée» Bouet,

Sur deux tomes, les romans comptent actuellement trois chapitres de scènes explicitement sexuelles, plus deux chapitres au contenu très glauque, si je compte les plus remarquables. L’érotisme n’est pas son sujet, mais une de ses composantes. Et le jeu de rôle n’a pas de composante érotique… sauf celles que le meneur de jeu et les joueurs voudront y mettre, en rapport avec les thématiques du monde de Loss.

 

Mais j’adore dessiner l’érotisme et ses aspects, dont je me suis fait plaisir. Du reste les illustrations érotiques sont très minoritaires dans toutes celles que j’ai produite pour illustrer le jeu de rôle et les romans. Mais je le répète : j’adore ça ! C’est un sujet qui me passionne alors de temps en temps, je cède à mes envies !

 

 

******************

 

Résumé de la Saga : Les Chants de Loss

 

 

Tome Un : Armanth

Venez à la rencontre des Chants de Loss. Une série  de romans dans un univers de fantasy Da Vinci-punk, sur un monde étranger et lointain, qui n’était pas fait  pour les humains.

 

Par Axelle «Psychée» Bouet, illustratrice, créatrice et romancière

 

Les Chants de Loss

Nombre de pages : 257

Prix de vente : 20 CHF

ISBN : 978-2-36868-145-9

Auteur

Axelle «Psychée» Bouet

Editeur

Les Chants de Loss

 

 

Loss est l’histoire d’une révolution.

Loss est une planète jeune, sauvage et  rude, où la faune et la flore rivalisent de  gigantisme. Loss est un monde vierge dont  peu encore est exploré, et connu. Un monde  hostile et flamboyant de vie. Un monde qui  n’était pas fait pour les humains. 

 

Loss est le nom d’un métal rare et précieux,  qui a assuré le progrès de ces hommes importés sur cette planète, les amenant à une civilisation au flamboiement de la Renaissance. Il leur a permis de créer des navires lévitant, des dynamos électriques et des armes à impulsion magnétique. Il a fondé leurs civilisations. Il a donné aux hommes le moyen de créer des merveilles, mais tout autant de tragédies.

 

Mais, surtout, certains rares individus, en présence de ce métal, s’y accordent, comme un diapason fait résonner le verre et apprennent soudainement à Chanter avec lui.

 

Le Chant de Loss permet de manipuler  la gravité, et l’électromagnétisme. Il peut faire des miracles. Il peut changer le monde et le détruire. Les Chanteurs de Loss ont failli anéantir leur espèce. Ils sont craints, pourchassés et asservis. Si on les utilise, on ne leur permet plus d’exister.

 

Cependant, s’il est une leçon que les terriens, encore aujourd’hui arrachés à leur foyer et leur planète, ont appris aux lossyans, et savent mieux que personne, c’est que rien n’est véritablement impossible aux humains, le pire comme le meilleur, dès lors qu’ils le pensent possible.

 

Loss est le récit de cette leçon, quand, pour survivre, ne reste que la révolte et la révolution d’un monde tout entier.

 

Les romans Les Chants de Loss

Les Chants de Loss s’étalent sur 9 volumes, dont un est publié et un second bientôt achevé. Ils racontent l’histoire de Lisa, terrienne perdue sur Loss ayant commencé au plus bas de l’échelle sociale ; brisée et asservie, traumatisée, conditionnée, croyant avoir tout perdu, elle va reconquérir de son intelligence et de son courage sa liberté dans un monde sexiste, aussi cruel qu’il est merveilleux et exotique. Mais elle est Chanteuse de Loss, elle détient un pouvoir ravageur et irrésistible. Une arme que rien ne peut arrêter.

 

Elle va devenir un outil, puis l’étendard d’une lutte pour la liberté, celle d’une partie des peuples des Mers de la Séparation. Emmenés par des  idéaux de progrès humain, social et scientifique, ceux-ci vont se battre  contre la toute-puissance de l’Église du Concile Divin, empire surpuissant et monstre tentaculaire établi partout et se considérant légitime à diriger le destin des hommes, et leur imposer ses Dogmes.

 

Cette lutte emportera tout, y compris Loss, elle-même qui, à travers ses chamans, ne pourra rester neutre dans un conflit qui dévoilera les origines étonnantes et vertigineuses d’un mystère qui perdure depuis la nuit des temps. Qui sont les lossyans ? Comment ceux-ci sont parvenus sur Loss, ce monde qui n’est pas fait pour eux ? Et qui enfin, apporte sur Loss des humains venus de la Terre, et pourquoi ?

 

Qu’est-ce que les Chants de Loss ?

Les Chants de Loss sont une série de romans, un univers et un jeu de rôle, de fantasy Da Vinci-punk sur un monde étranger et lointain, qui n’était pas fait pour les humains.

 

Loss est un monde où créatures mortelles, pouvoirs mystérieux, secrets  oubliés et civilisations anciennes côtoient la science de la Renaissance,  les merveilles technologiques des génies et des ingénieurs, les exploits  des navires lévitant, des armes à impulsion et des premières machines  électriques, et les effrois des premières expériences sur la vie.

 

Loss est peuplé dans l’ensemble des terres formant un sous-continent autour des Mers de la Séparation. Mille après le Long-Hiver provoqué par les Chanteurs de Loss, qui menaça de faire disparaitre tous les hommes,  les sociétés ont prospéré en une vingtaine de cultures dirigées le plus

souvent par des Cités-Etats. Un empire domine pourtant les Mers de la Séparation, l’Hégémonie d’Anqimenès, fief de la toute puissante Eglise du Concile Divin. Cette religion qui a écrasé presque toutes les autres formes de culte devenus marginaux impose partout par la parole et la force militaire sa loi, et décide ce qui est moral et de ce qui est impie.

 

Une seule Cité-Etat fait véritablement de l’ombre à sa toute-puissance :

Armanth, capitale de l’Athemaïs. La Cité des Maitre-marchands, le havre des savants et des libres penseurs, la cité aux cent milles esclaves, la plus grande et la plus libre ville de tout Loss.

 

«Les Chants de Loss, c’est la somme de mes pires rêves et mes plus splendides cauchemars. Oui, dans cet ordre là. D’aucuns diront que c’est un vrai univers de jeu de rôle, certains parleront de féminisme ou au contraire de sexisme, d’autres qu’il raconte un récit terrible et dérangeant, voire effrayant. S’il est tout cela à la fois et surtout s’il ne peut vous laisser indifférent, c’est qu’il aura atteint son but.

 

J’aurais du mal à citer toutes les inspirations, et vous seriez surpris d’y trouver en vrac le cycle de Dune (Franck Herbert), la saga d’Uasti (Tanith Lee), Nausicaä de la Vallée du Vent (Miyazaki), ou encore Conan (Robert  E. Howard), sans oublier des choses plus étranges comme l’Hypothèse Gaïa (James Lovelock), ou la saga de Gor (John Norman). A cela, soupoudrez le tout de divers films et séries télévisées (comme Da Vinci’s Demons ou Outlander), de jeux de rôles aussi variés qu’Animonde et Pendragon en passant par Shaan et Prophecy, de mon amour des créatures de l’Eocène et du Crétacé ; enfin de ma passion pour la Renaissance Italienne et  Vénitienne. J’aurais pu parler de mon engouement pour la science-fiction en général, qui se devine beaucoup dans le monde de Loss, mais ce serait discuter d’évidences.»

Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman
Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman
Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman
Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman
Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman
Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman

Illustra tion du Jeu de Rôle et du Roman

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FESTIVAL EUROPÉEN DU FILM FANTASTIQUE DE STRASBOURG   JEUX VIDÉO  RÉALITÉ VIRTUELLE

9ème FESTIVAL EUROPÉEN

DU FILM FANTASTIQUE DE STRASBOURG

DU 16 AU 25 SEPTEMBRE 2016

 JEUX VIDÉO & RÉALITÉ VIRTUELLE

 

 

Européen du Film Fantastique de Strasbourg développe une section dédiée aux jeux vidéo avec le soutien du Shadok, la Fabrique du numérique.

 

Les festivaliers pourront tester les jeux indépendants sélectionnés à l’Indie Game Contest, assister à un cycle de conférences mais aussi rejouer aux classiques grâce à l’installation de bornes d’arcade en pixel perfect et de consoles de jeu branchées à des tubes cathodiques.

Le festival proposera également une exposition de l’artiste Raquel Meyers. Cette artiste utilise le mode texte pour créer ses œuvres sur Commodore 64. L’exposition comprendra également des impressions 3D ainsi que des performances en Live.

 

L’INDIE GAME CONTEST

 Découvrez la richesse et l’originalité du monde du jeu vidéo indépendant grâce à l’Indie Game Contest.

Au Shadok, pendant la durée du festival, chacun pourra venir tester une sélection de jeux vidéo, reflet d’une grande diversité géographique, mais également foisonnante en propositions de gameplay, design et scénario.

Un jury devra départager les participants et décernera deux prix : l’Octopix du meilleur jeu vidéo, ainsi que le prix du meilleur jeu vidéo fantastique. 

 

LES MEMBRES DU JURY

 

JULIETTE NOUREDDINE

Chanteuse

Juliette est une chanteuse atypique, auteur-compositeur et interprète. En avril 2016 elle a été nommée à la présidence de la commission du Fonds d’aide au jeu vidéo du CNC, consacrant l’attrait singulier qu’elle porte au jeu vidéo, en tant que joueuse, mais surtout en tant que défenseuse de la création vidéoludique.

 

ÉTIENNE PERIN

Yullaby Studios

Étienne Périn débute sa carrière dans le jeu vidéo en tant que graphiste pixel en 2003. Après 4 années passées au sein de Gameloft, il monte sa boîte avec quatre associés et anciens collègues : Yullaby. En 2011, Étienne renoue avec ses velléités d'indépendance et de liberté en produisant ses propres jeux, d'abord des petits jeux Flash, il produira par la suite pour l'iPhone Gauge, un jeu de sport expérimental, puis Zorbié, un jeu d'arcade volontairement dégénéré et idiot. Il travaille actuellement sur Jeanne, un jeu d'horreur intimiste.

 

SEBASTIEN GAILLARD

Professionnel de l'industrie de l'Entertainment

Sébastien Gaillard est un professionnel de l'industrie de l'Entertainment depuis plus de 15 ans. Après des études d’ingénieur et de technologies du son, il s’oriente vers l’enregistrement en studio pour divers groupes musicaux. Il fait ses premières armes à la grande époque de la French Touch sur des jeux d’aventure chez Cryo Interactive et a ensuite collaboré avec divers studios français : Ubisoft, Darkworks, Arkane Studios. Sébastien dirige depuis 3 ans le département audio du studio DONTNOD. 

 

MARIA KALASH

Journaliste

Maria est journaliste à CANARD PC.

 

LES CONFERENCES

Trois conférences seront également organisées sous forme de tables rondes avec des professionnels du domaine.

 

Dim 18 sept - 16h

 

Détournements artistiques du jeu vidéo

Le jeu vidéo est une source inépuisable de production d’outils et de contenus dont quiconque peut s’emparer à loisir. Pour les joueurs, il s’agit de s’adonner à la rédaction de fanfictions, au machinima, au modding ou au speedrun. Mais le jeu vidéo fait aussi l’objet de détournements par les artistes, qu’il s’agisse du glitch art, de s’approprier un objet vidéoludique ou encore de concevoir des expérimentations ludiques, etc.

 

 

Mer 21 septembre - 18h

Financements du jeu vidéo

Comment financer un jeu vidéo aujourd’hui ? Qu’il s’agisse de ressources privées ou publiques, quelles en sont les modalités, les contraintes ? Existe-t-il de manière indicible des critères esthétiques qui permettront de trouver plus facilement des aides ? Et plus simplement, quelles sont les démarches à suivre, tant administratives que communicationnelles ?

 

Ven 23 septembre - 18h

Son dans le jeu vidéo

Voix, bruit et musique trouvent leur place dans le jeu vidéo au même titre que tout autre expression artistique qui mobilise le son. Des sons 8 bits au déploiement d’un orchestre symphonique, du son mono au binaural, le jeu vidéo dévoile cependant nombre de singularités qui viendraient circonscrire son identité sonore. Cette table ronde sera l’occasion d’évoquer l’histoire, la technique et l’esthétique du son dans le jeu vidéo.

 

(Communiqué de presse)

 

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