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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #cinema -dvd

Sélection  FEFFS 2016

 

Sélection  

FEFFS 2016

 

 

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, vous trouverez également les films de la rétrospective principale, M for Murder !

 

Nous vous annoncerons le reste des films sélectionnés à partir du 17 août.

 

COMPÉTITION FANTASTIQUE

Transfiguration de Michael O'Shea avec Eric Ruffin, Chloe Levine, Aaron Moten Etats-Unis

 

I am not a serial killer de Billy O'Brien avec Christopher Lloyd, Laura Fraser, Max Records Irlande

 

Shelley de Ali Abbasi avec Ellen Dorrit Petersen, Cosmina Stratan, Björn Andrésen Danemark

 

Grave de Julia Ducournau avec Garance Marillier, Ella Rumpf, Rabah Naït Oufella France / Belgique

 

Under The Shadow de Babak Anvari avec Narges Rashidi, Bobby Naderi, Arash Marandi Britannique / Jordanien / Qatarien

 

COMPÉTITION CROSSOVERS

Psycho Raman de Anurag Kashyap avec Nawazuddin Siddiqui, Sobhita Dhulipala, Vicky Kaushal Indien

 

Opération Avalanche de Matthew Johnson avec Matthew Johnson, Krista Madison, Samantha Michelle Etats-Unis / Canada

 

Outlaws and Angels de J.T. Mollner avec Chad Michael Murray, Francesca Eastwood, Teri Polo, Luke Wilson Etats-Unis

 

Creative Control de Benjamin Dickinson avec Benjamin Dickinson, Dan Gill, Alexia Rasmussen Etats-Unis

 

 

MIDNIGHT MOVIES

31 de Rob Zombie avec Sheri Moon Zombie, Malcolm McDowell, Elizabeth Daily Etats Unis

 

The Greasy Strangler de Jim Hosking avec Michael St. Michaels, Sky Elobar, Elizabeth De Razzo Etats-Unis

 

We are the flesh (Tenemos la carne) de Emiliano Rocha Minter avec María Cid, María Evoli, Diego Gamaliel Mexique

 

Holidays de Anthony Scott Burns, Kevin Kolsch, Dennis Widmyer, Nicholas McCarthy, Adam Egypt Mortimer, Gary Shore, Kevin Smith, Sarah Adina Smith, Scott Stewart avec Harley Quinn Smith, Kevin Smith, Lorenza Izzo Etats-Unis

 

 RÉTROSPECTIVE M FOR MURDER

Comme chaque année, le FEFFS remet au goût du jour des classiques du cinéma de genre lors de rétrospectives à thématique.

 

Cette année, le festival explorera la figure du tueur en série à travers une sélection de films emblématiques traversant l’histoire du cinéma.

 

Du mètre étalon de Fritz Lang, M le Maudit, en passant par la délicieuse comédie noire Noblesse oblige, réalisée aux studios d’Ealing par le britannique Robert Hamer avec un Alec Guiness qui endosse huit rôles différents, jusqu’à des films plus sombres tels que L’Etrangleur de Boston avec un Tony Curtis à contre emploi dans un film à la mise en scène novatrice de Richard Fleischer qui s’essaye au split screen, ou encore Cruising de William Friedkin avec Al Pacino dans un de ses rôles les plus marquant.

 

M le Maudit de Fritz Lang avec Peter Lorre, Ellen Widmann, Inge Landgut (1932)

 

Noblesse Oblige de Robert Hamer avec Dennis Price, Valerie Hobson, Alec Guinness (1949)

 

L’Étrangleur de Boston de Richard Fleischer avec Tony Curtis, Henry Fonda, George Kennedy (1968)

 

Cruising de William Friedkin avec Al Pacino, Paul Sorvino, Karen Allen (1980)

 

Maniac de William Lustig avec Joe Spinell, Caroline Munro, Abigail Clayton (1980)

 

Schizophrenia de Gerald Kargl avec Erwin Leder, Silvia Rabenreither (1983)

 

Henry portrait d’un tueur en série de John McNaughton avec Michael Rooker, Tom Towles, Tracy Arnold (1986)

 

Manhunter de Michael Mann avec William Petersen, Kim Greist, Joan Allen (1986)

 

Carmin profond de Arturo Ripstein avec Regina Orozco, Daniel Gimenez Cacho, Marisa Paredes (1996)

 

 

 

(Communiqué de presse)

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BIFFF 2016

Films déja Chroniqués

BIFFF 2016 SCHERZO DIABOLICO,   Tag
BIFFF 2016 SCHERZO DIABOLICO,   Tag

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Memories of the Sword

 

 

Memories of the Sword

BIFFF 2016

Premiere Internationale,

hors compétition.

Korée , 2015 ‧

Drame/Film d'action ‧ 2h 10 m

 

 

Ce film coréen du Réalisateur Heung-shik Park, nous offre un film plus abouti au niveau de la dramaturgie que le fut des films comme « tigre et dragon ». 126  minutes d’actions et d’émotions. Les  somptueuses images ne sont pas les seuls atouts de ce film. Une histoire solide avec une fin que certains qualifieraient, mais je ne suis pas de cet avis, de « mélos », sans voir la morale de cette fable dramatique.

 

A voir

 

 

 

Casting :

Lee Byung-hun as Deok-gi/Yoo-baek

Jeon Do-yeon as Seol-rang/Wallso

Kim Go-eun as Hong-ee/Seol-hee

Lee Junho as Yull

Lee Geung-young as Teacher

Kim Tae-woo as Jon-bok

Kim Soo-an as Gu-seul

Kim Young-min as Wang

Sung Yoo-bin as Gam-cho

Bae Soo-bin as Poong-cheon

 

Fiche technique :

Première sortie : 2014 (Corée du Sud)

Réalisateur : Park Heung-shik

Scénario : Park Heung-shik, Choi A-reum

Producteurs : Kim Hyun-chul, Kim Hyun Cheol

Distributeur : Lotte Entertainment

Memories of the Sword Official Trailer 1 (2015) - Lee Byung-hun Movie HD

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Affiche etr Photo du Film, Photo de Joseph Losey, Photo de la Presentation du film au Festival Lumière 2015
Affiche etr Photo du Film, Photo de Joseph Losey, Photo de la Presentation du film au Festival Lumière 2015
Affiche etr Photo du Film, Photo de Joseph Losey, Photo de la Presentation du film au Festival Lumière 2015
Affiche etr Photo du Film, Photo de Joseph Losey, Photo de la Presentation du film au Festival Lumière 2015

Affiche etr Photo du Film, Photo de Joseph Losey, Photo de la Presentation du film au Festival Lumière 2015

M Joseph Losey

Festival Lumière 2015

 

Clotilde Courau et le producteur du film firent la présentation du film au Festival Lumière, le producteur du film de 1951 est le fils de celui du film de Fritz Lang. Son père avait acheté à la veuve de Fritz Lang les droits du film.

 

Ce film fut contrairement à celui de Fritz Lang tourné en décor naturel dans les rues de Los Angeles.

 

Fidèle à l’original le fait de tournée en décors naturels permis au réalisateur de nous montrer les bas-fonds de la ville américaine.

 

Il reste que je préfère l’atmosphère plus noire et plus glauque du film original, le film de Joseph Losey reste néanmoins un film qu’il faut avoir dans sa collection de DVD.

 

Un autre réalisateur avait été pressenti, mais la banque qui devait financer le projet n’en  voulut pas, car inscrit sur la blackliste des « Activité Anti-Américaine » du triste Sénateur Joseph McCarthy, il en fut retiré après avoir courageusement dénoncé d’autres personnes et ce fut au tour de Joseph Losey d’être accusé.

 

Cette chasse à la sorcière des intellectuelles durant 4 ans fut et reste une tache à jamais déshonorant l’Amérique.

 

Comme toujours je vous gâte, cette fois je vous mets les Bandes annonces des deux films, oui je sais je suis trop bon :)

 

Résumé, fiche technique et biographie (Institut Lumière)

 

M

de Joseph Losey , États-Unis , 1951

 

Un insaisissable tueur en série (David Wayne) kidnappe et tue de façon abjecte des fillettes. Il est activement recherché par la police. Mais le mécontentement des habitants est tel que le gang de la ville, qui craint également que la police ne finisse pas fouiller dans ses affaires, ne tarde pas à s’en mêler. Débute alors une chasse à l’homme haletante.

 

Reprise du film allemand M le maudit de Fritz Lang (1931), l’intrigue est transposée en Californie. Joseph Losey a été contraint par son producteur de respecter le découpage original, ce qui pourrait donner à son film des airs de plagiat. Mais il le qualifiera lui-même de "remake" : « "remake" que j’ai fait non sans réticences car je ne crois pas aux "remakes", mais avec une attitude, face au problème, totalement différente de celle de Lang. » (Positif, n°293/294, juillet-août 1985)

 

Et pour cause : si Losey a conservé le thème original, il a tourné entièrement hors studios, contrairement à Lang, ce qui lui a permis d’inscrire une touche personnelle au film, en dépeignant les bas-fonds de Los Angeles.

 

Son libéralisme est également plus marqué que celui de Lang. Il dresse un constat social dans lequel le meurtrier est en fait une victime. Le film constitue un plaidoyer pour une justice équitable et raisonnable, adaptée aux personnes atteintes de démence. L’interprétation de David Wayne est d’ailleurs admirable, rendant presque le personnage de M sympathique, particulièrement dans la scène du jugement final, filmée en un long plan-séquence apte à donner des frissons. Même le crime le plus inexcusable mérite un jugement adéquat.

 

Losey signe un film dont il dira, humblement, « qu’il offre quelques-unes des meilleures choses [qu'il ait] jamais réalisées et d’extraordinaires interprétations. »

 

 

 

M

États-Unis, 1951, 1h28, noir et blanc, format 1.37

Réalisation : Joseph Losey

Assistant réalisation : Robert Aldrich

Scénario : Leo Katcher, Norman Reilly Raine, Waldo Salt, d’après M le maudit (M) de Fritz Lang (scénario de Fritz Lang et Thea von Harbou)

Photo : Ernest Laszlo

Directeur artistique : Martin Obzina

Musique : Michel Michelet

Montage : Edward Mann

Décors : Ray Robinson

Production : Seymour Nebenzal, Superior Pictures

Interprètes : David Wayne (Martin W. Harrow), Howard Da Silva (Carney), Martin Gabel (Charlie Marshall), Luther Adler (Dan Langley), Steve Brodie (lieutenant Becker)

 

Sortie aux États-Unis : mars 1951

Sortie en France : 8 février 1952  

 

Film restauré et présenté en avant-première de la ressortie en salle par Tamasa. 

Ressortie DVD et Blu Ray par Sidonis

M (1951) Film Noir - Joseph Losey

M le Maudit (1931) // Bande-annonce HD (VO)

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Quelques couvertures

Quelques couvertures

Midi-Minuit Fantastique 

L'intégrale, vol. 2

 

Les afficionados du cinéma fantastique des années 1962 – 70 seront heureux d’apprendre que dans les semaines qui viennent paraitra au Editions Rouge. Fondée en 1962 par Michel Caen, Alain Le Bris, Jean-Claude Romer et Jean Boullet, sa parution cessa en 1971.

 

Ce volume inclus le mythique« Érotisme et épouvante dans le cinéma anglais »   no 8, janvier 1964.   

 

Avec ce volume, comme avec le premier, les plus anciens pourront retrouvez avec nostalgie et plaisir les films de leurs enfances, les plus jeunes découvrir ce qui fut le cinéma fantastique avant leurs naissance, et tous apprécier les compléments dans le DVD inclus, avec des courts métrages introuvables ailleurs.

 

Vous le retrouverez en librairie le sera en librairie le 20 octobre, mais je ne serais trop vous conseillez de le commander à votre libraire préférer dès maintenant, ou de le commander directement aux éditions Rouge Profond, 18 rue Granet 13100 Aix-en-Provence à partir de la fin septembre.

 

Deux autres volumes sont prévu : Volume 3 : octobre 2016, Volume 4 et volume d'index : octobre 2017

 

> Auteurs :Michel Caen & Nicolas Stanzick

 

 

 > Date de parution : octobre 2015

 

Résumé

 

Mai 1962. Les kiosques à journaux affichent la photo saisissante d’un loup-garou aux prises avec une voluptueuse jeune femme. En lettres noires et rouge sang brille pour la première fois un nom appelé à la postérité : Midi-Minuit Fantastique. Tout au long des années 1960, ces trois mots magiques résonnent comme la plus intense des promesses…

 

Fondée par Michel Caen, Alain Le Bris, Jean-Claude Romer et Jean Boullet, la toute première revue européenne consacrée au cinéma de genre ne se contente pas de défricher un domaine alors méconnu et méprisé. En dix ans d’existence et vingt-quatre numéros, MMF s’impose comme une publication à la fois ludique et exigeante, foisonnante et avant-gardiste. En un mot : culte. Sa rédaction fédère de brillants spécialistes : Francis Lacassin, Yves Boisset, Bertrand Tavernier… De prestigieuses plumes d’horizons divers s’invitent ponctuellement dans ses colonnes : Philippe Druillet, Domenico Paolella, Robert Hossein, Vincent Price… Le ton est libertaire, les racines populaires, l’inspiration surréaliste. L’iconographie de sexe et de sang, éminemment évocatrice. Un seul credo : le fantastique est l’autre nom de l’érotisme. MMF saisit en temps réel un âge d’or du 7e art et accouche d’une subversive « politique des horreurs ». La Hammer, le gothique italien, l’épouvante américaine sont à l’honneur. Dracula et Peeping Tom deviennent les héros noirs d’une contre-culture qui annonce mai 1968 et la libération sexuelle. Cinéma bis, cinéma d’auteur, underground, littérature et BD s’entremêlent dans un enthousiasmant maelström pop…

 

Ce deuxième volume, dirigé par Michel Caen (qui nous a quittés le 15 décembre 2014) et Nicolas Stanzick, préfacé par Barbara Steele, regroupe les numéros 7 à 11 de la revue, dont l’introuvable n°8 « Érotisme et épouvante dans le cinéma anglais ». Enrichi de photos et textes inédits, il comporte aussi le DVD Les Cauchemars de Midi-Minuit – une sélection de cinq courts métrages réalisés par des proches de la revue. Manière de fêter comme il se doit la renaissance d’une revue devenue littéralement mythique.

 

 DVD produit par Soft Prod :

 

Cinq courts métrages : Fantasmagorie de Patrice Molinard, avec Édith Scob (40 mn – 1963) ; La Prima donna de Philippe Lifchitz, avec Nelly Kaplan (10 mn – 1964) ; Vampirisme de Bernard Chaouat et Patrice Duvic, avec Michel Beaune (13 mn – 1967) ; Satan bouche un coin de Jean-Pierre Bouyxou et Raphaël-G. Marongiu, avec Pierre Molinier (10 mn – 1968) ; La Fée sanguinaire de Roland Lethem, avec To Katinaki (24 mn – 1968).

 

Cinq bonus : Fantasmagorie, un rêve de cinéma d’Erwan Le Gac et Nicolas Stanzick (20 mn – 2015) ; Dracula n’est jamais vaincu de Patrice Molinard (2 mn – 1962) ; Fantasmagorie : scène coupée (1 mn – 1963) ; Les Midi-Minuistes font du cinéma d’Erwan Le Gac et Nicolas Stanzick (15 mn – 2015) ; présentations de Nicolas Stanzick (12 mn – 2015).

 

•215 x 265 mm ; •cartonné, relié •752 pages  •800 images noir & blanc et couleur •DVD 147 mn (multizone) •60 € (plus 5 euro de port, France Métropolitaine), •ISBN 978-2-915083-62-0

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Décès : Wes Craven
Décès : Wes Craven

 

 Décès : Wes Craven

 

Wesley Earl « Wes » Craven est un réalisateur, scénariste, producteur, acteur et monteur de cinéma américain né le 2 août 1939 à Cleveland dans l'Ohio et mort le 30 août 2015. Le célèbre cinéaste, viens de décédé d’une tumeur au cerveau viens d’annoncer ca famille.

 

Comme réalisateur, scénariste voir acteur, il marqua de son empreinte, et pas que dans les films d’horreur, le cinéma mondial.

 

«Aujourd'hui, le monde a perdu un grand homme, mon ami et mentor Wes Craven», a tweeté l'actrice Courteney Cox,

 

 

Filmographie

Réalisation

2013   Coming of Rage  Réalisateur    

2011   Scream 4  Réalisateur 

2010   My Soul To Take  Réalisateur 

2006   Paris, je t'aime  Réalisateur 

2004   Red Eye / sous haute pression  Réalisateur 

2003   Cursed  Réalisateur 

2000   Scream 3  Réalisateur 

1999   La Musique de mon coeur  Réalisateur 

1997   Scream 2  Réalisateur 

1996   Scream  Réalisateur 

1995   Un vampire à Brooklyn  Réalisateur 

1994   Freddy - Chapitre 7 : Freddy sort de la nuit  Réalisateur 

1991   Le Sous-sol de la peur  Réalisateur 

1990   Objectif meurtre  Réalisateur    

1989   Shocker  Réalisateur 

1988   L'Emprise des ténèbres  Réalisateur 

1986   Casebusters (TV)  Réalisateur    

1986   L'Amie mortelle  Réalisateur 

1985   Chiller  Réalisateur 

1985   La Colline a des yeux 2  Réalisateur 

1984   Freddy - Chapitre 1 : Les Griffes de la Nuit  Réalisateur 

1984   Invitation en enfer (TV)  Réalisateur 

 1982   La Créature du marais  Réalisateur 

 1981   La Ferme de la terreur  Réalisateur 

 1978   L'Eté de la peur  Réalisateur 

 1978   The Evolution of Snuff  Réalisateur 

 1977   La Colline a des yeux  Réalisateur 

 1972   La Dernière maison sur la gauche  Réalisateur 

 

  

Acteur

 

 

2007   Diary of the Dead - Chronique des morts vivants  journaliste audio 1 

2006   Paris, je t'aime  - 

 2005   Boston Justice - Saison 2 Episode 26  Lui-même 

 2004   Inside Deep Throat  Himself 

 2004   Red Eye / sous haute pression  un passager de l'avion (non crédité) 

 2001   Jay & Bob contre-attaquent  Lui-même 

 2000   Scream 3  L'homme à la caméra vidéo pendant la visite du studio 

 1998   Welcome to Hollywood  Lui-même 

 1997   Scream 2  Un homme à l'hopital 

 1996   Scream  Fred 

 1994   Freddy - Chapitre 7 : Freddy sort de la nuit  Lui-même 

 1993   Body Bags (TV)  l'homme au visage terreux 

 1989   Shocker  Un homme 

  

Scénario

2015   People Under the Stairs  Auteur    

2015   The Disciples  Adaptateur    

2013   Coming of Rage  Auteur    

2013   Coming of Rage  Scénariste    

2010   Freddy - Les Griffes de la nuit  Auteur 

2010   My Soul To Take  Scénariste 

2007   La Colline a des yeux 2  Scénariste 

2006   La Colline a des yeux  Scénariste 

 2006   Paris, je t'aime  Scénariste 

 2006   Pulse  Scénariste 

 2003   Freddy contre Jason  Scénariste 

 1994   Freddy - Chapitre 7 : Freddy sort de la nuit  Scénariste 

 1992   Le Bar de l'angoisse  Créateur    

1991   Freddy - Chapitre 6 : La fin de Freddy - L'ultime cauchemar  Scénariste 

 1991   Le Sous-sol de la peur  Scénariste 

 1990   Objectif meurtre  Scénariste    

1989   Freddy - Chapitre 5 : l'enfant du cauchemar  Scénariste 

 1989   Shocker  Scénariste 

 1989   The People Next Door  Créateur    

1988   Freddy - Chapitre 4 : le cauchemar de Freddy  Scénariste 

 1987   Freddy - Chapitre 3 : les griffes du cauchemar  Scénariste 

 1985   Freddy - Chapitre 2 : la revanche de Freddy  Scénariste 

 1985   La Colline a des yeux 2  Scénariste 

 1984   Freddy - Chapitre 1 : Les Griffes de la Nuit  Scénariste 

 1982   La Créature du marais  Scénariste 

 1981   La Ferme de la terreur  Scénariste 

 1978   The Evolution of Snuff  Scénariste 

 1977   La Colline a des yeux  Scénariste 

 1972   La Dernière maison sur la gauche  Scénariste 

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Photographe: Twentieth Century Fox
Photographe: Twentieth Century Fox

Photographe: Twentieth Century Fox

LA NUIT AU MUSÉE :

LE SECRET DES PHARAONS

(Night at the Museum : Secret of the Tomb)

Avec

Ben Stiller

Robin Williams

Owen Wilson

Steve Coogan

Ricky Gervais

Dan Stevens

Rebel Wilson

Scénario : David Guion & Michael Handelman

Sur une histoire de Mark Friedman et David Guion & Michael Handelman d’après des personnages créés par Thomas Lennon & Robert Ben Garant

Image : Guillermo Navarro, ASC

Décors : Martin Whist

Montage : Dean Zimmerman

Musique : Alan Silvestri

Superviseur des effets visuels : Erik Nash

Costumes : Marlene Stewart

Un film produit par Shawn Levy, p.g.a., Chris Columbus, Mark Radcliffe

Sortie nationale : 4 février 2015

Durée : 1 h 37 min

L’HISTOIRE

Ben Stiller réendosse le rôle de Larry, le gardien de musée le plus survolté, dans le dernier volet de la saga La Nuit au Musée. Il quitte New York pour Londres où il va vivre sa plus grande aventure. Accompagné de ses amis le Président Roosevelt, Attila, le Romain Octavius, Jedediah et le pharaon Ahkmenrah, ainsi que de nouveaux personnages délirants, il va tenter de sauver la magie avant qu’elle ne disparaisse à tout jamais.

Pyramide l'équipe du film

Pyramide l'équipe du film

PYRAMIDE 

Titre original: THE PYRAMID

Sortie: 06/05/2015

Réalisateur: Grégory Levasseur

Genre: Horreur

 

Réalisateurs

Grégory Levasseur 

 

Acteurs et actrices

 Ashley Hinshaw  Rôle : Dr. Nora Holden

Denis O'Hare  Rôle : Dr. Miles Holden

James Buckley  Rôle : Terrence “Fitzie” Fitzsimmons

Christa Nicola  Rôle : Sunni Marshe

Daniel Amerman  Rôle : Luke

 Amir Kamyab  Rôle : Michael Zahir

Faycal Attougui  Rôle : Corporal Shadid

Omar Benbrahim  Rôle : Stagiaire Joufflu

 

Scénario

Scénariste  Daniel Meersand  

Scénariste Nick Simon 

Titre original:

POLTERGEIST -3D

Sortie: 29/07/2015

Réalisateur: Gil Kenan

Genre: Horreur

 

Sortie Cinéma 2015

Titre original:  The Fantastic Four (2015)

Origine: USA

Sortie: 05/08/2015

Réalisateur: Josh Trank

Genre: Action | Fantasy | Sci-Fi

Writing Credits (in alphabetical order)

Simon Kinberg ... (screenplay)

Jack Kirby ... (characters)

Stan Lee ... (characters)

T.S. Nowlin ... (revisions)

Jeremy Slater ... (story and screenplay)

 

Casting

Kate Mara ... Sue Storm / The Invisible Woman

Miles Teller ... Reed Richards / Mr. Fantastic

Toby Kebbell ... Victor Domashev

Jamie Bell ... Ben Grimm / The Thing

Michael B. Jordan ... Johnny Storm / The Human Torch

Tim Blake Nelson ... Harvey Elder

Reg E. Cathey ... Dr. Franklin Storm

Patrick Kearns ... Hazmat worker

Chet Hanks ... Jimmy Grimm

Christopher Heskey ... Delta Force Soldier #2

Jerome Andries ... Baxter Security Guard #1

Jerrad Vunovich ... Baxter Student

Jodi Lyn Brockton ... Lawyer

Don Yesso ... Pentagon General

Victor Frankenstein

Victor Frankenstein

Victor Frankenstein

Titre original: FRANKENSTEIN

Origine: USA

Sortie: 28/10/2015

Réalisateur: Paul McGuigan

 

Date de sortie 28 octobre 2015

Réalisé par Paul McGuigan

Avec

James McAvoy,

Daniel Radcliffe,

Jessica Brown Findlay

 

Genre Fantastique , Aventure , Epouvante-horreur

Nationalité Américaine

The Martian affiche du film

The Martian affiche du film

The Martian

Date de sortie 2 décembre 2015

Réalisé par

Ridley Scott

 

Avec

Matt Damon,

Jessica Chastain,

Michael Peña

Genre Science-fiction

Nationalité Américain

 

Tiré du roman français « Seul sur Mars », raconte la vie d'un astronaute réputé mort qui doit survivre seul sur la "planète rouge". Une copie d’une page du scénario de Ridley Scott a été envoyez dans l’espace par une fusé Orion.

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Les Yeux sans visage de Georges Franju, France, Italie, 1960

Les Yeux sans visage de Georges Franju, France, Italie, 1960

Les Yeux sans visage

de Georges Franju,

France, Italie, 1960

 

Le Festival Lumière Grand Lyon 2014, nous offrent à voir une programmation SF/FANTASTIQUE/HORROR, importante et de qualité.

 

Avec « les yeux sans visage » nous avons l’exemple que « maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (Lavoisier) si ce n’est en chimie, mais dans le cinéma de l’imaginaire.

 

Franju étant très influencé par Louis Feuillade (né le 19 février 1873 à Lunel (Hérault), et mort le 26 février 1925 à Nice (Alpes-Maritimes),  Leos Carax rendant hommage dans Holy Motors à « Les yeux sans visages » Pédro Almodovar sans inspirant pour «  La piel que habito » pour laquelle il dira de Banderas « qu’il ne fut jamais aussi juste que dans ce rôle ».

 

Je ne serais que trop vous déconseiller soit au « Village du Festival » soit chez les distributeurs de vous procurez le DVD du film.

 

 

Résumé du film

Le docteur Génessier (Pierre Brasseur) est un neurochirurgien réputé, dont les recherches scientifiques, et en particulier celles concernant les hétérogreffes, lui ont assuré une renommée internationale. Mais un drame a bouleversé sa vie : sa fille Christiane (Édith Scob), complètement défigurée à la suite d’un grave accident, a disparu de la clinique où elle était en traitement. Un jour, on repêche dans la Seine le corps d’une jeune fille au visage rongé, et Genessier, convoqué à la morgue, reconnaît formellement sa fille. Les obsèques ont lieu le surlendemain. Mais une jeune patiente est recluse dans la villa du médecin et des jeunes filles blondes disparaissent…

 

 

Les Yeux sans visage est sans doute la première des rares incursions du cinéma français dans le cinéma d’épouvante. Entre horreur réaliste et poésie, l’histoire d’un savant, certes fou, mais d’amour pour sa fille défigurée, prêt à tout pour lui redonner son visage et son sourire. Le docteur Génessier est un homme normal, mu ni par la haine ni par le sadisme, un père aimant et non un docteur Mabuse. Drame de l’amour fou, Les Yeux sans visage questionne la passion, la déraison, la science et ses déviances. Un film d’épouvante sans monstres, proposant une vision désespérée de l’humanité.

 

Héritier du réalisme poétique et du surréalisme, Franju déclarait : « ce qui me plaît, c’est ce qui est terrible, tendre et poétique ». La mise en scène installe un climat de peur palpable grâce au jeu atone des comédiens (Brasseur et Valli, son âme damnée, sont glaçants), à la précision des descriptions (les scènes d’opérations filmées comme des documentaires), et surtout au noir et blanc d’Eugen Schüfftan, un des artisans de la lumière du cinéma expressionniste allemand, auteur de ce clair-obscur saisissant.

 

« Il fallait beaucoup d’audace pour oser un tel film, le calme presque monstrueux de Pierre Brasseur et la légèreté de fée de Melle Scob pour le rendre supportable. Mais le film d’épouvante possède des titres de noblesse et Franju n’a pas oublié la grande règle qui consiste à traiter l’irréel avec le maximum de réalisme. […] Les ancêtres de ce film habitent l’Allemagne, cette Allemagne de la grande époque cinématographique de Nosferatu. De longue date nous n’avions pas retrouvé la sombre poésie, l’hypnose que provoquent le macabre, les maisons funestes, les monstres fabuleux de l’écran. […] Franju n’hésite pas au bord. Il plonge. Il nous mène implacablement jusqu’au bout de ce que nos nerfs supportent. » (Jean Cocteau, cité dans Georges Franju, Gabriel Vialle, Seghers)

 

Des plumes au scénario

Pour travailler à l’adaptation du roman de Jean Redon, on fait appel à de grands noms : Pierre Boileau et Thomas Narcejac, auteurs en commun de nombreux romans policiers à succès, et Claude Sautet qui allait cette même année réaliser son premier film, Classe tous risques.

 

Almodóvar et Les Yeux sans visage

Le film de Franju était le seul qu’Almodóvar avait en tête au moment du tournage de La piel que habito : « Comme dans ce film, je voulais raconter une histoire de terreur, mais sans l’attirail habituel des peurs et des sursauts. Comme chez Franju, j’aspirais à une intensité dans la terreur qu’on pourrait qualifier de lyrique, tout en restant au plus près du quotidien de mes personnages principaux. » (Positif, n° 607, septembre 2011).

 

Hommage

En 2012, le cinéaste Leos Carax rend hommage dans Holy Motors au film de Franju et à son interprète Édith Scob. La comédienne y interprète Céline, qui, au volant d’une limousine blanche, conduit Denis Lavant de rendez-vous en rendez-vous. À la fin du film, elle revêt le masque de Christine dans Les Yeux sans visage.

 

Casting et équipe du Film

 

Les Yeux sans visage

France, Italie, 1960, 1h28, noir et blanc, format 1.66

Réalisation : Georges Franju

Assistant réalisation : Claude Sautet

Scénario : Boileau-Narcejac, Jean Redon, Claude Sautet, Pierre Gascar, d’après le roman Les Yeux sans visage de Jean Redon

Photo : Eugen Schüfftan

Musique : Maurice Jarre

Montage : Gilbert Natot

Décors : Auguste Capelier

Costumes : Marie-Martine

Production : Jules Borkon, Champs-Élysées Productions, Lux Film

Interprètes : Pierre Brasseur (le docteur Génessier), Alida Valli (Louise), Juliette Mayniel (Edna Gruberg), Édith Scob (Christiane), François Guérin (le docteur Vernon), Alexandre Rignault (l’inspecteur Parot), Béatrice Altariba (Paulette), Charles Blavette (l’homme de la fourrière), Claude Brasseur (un inspecteur), Michel Etcheverry (le médecin-légiste), Yvette Étiévant (la mère), René Génin (Tessot), Lucien Hubert (un homme au cimetière), Marcel Pérès (un homme au cimetière)

 

Sortie en France : 11 janvier 1960

Sortie en Italie : 3 mai 1960

 

FILM RESTAURÉ

Gaumont

 

Biographie Georges Franju

Nationalité Français

Naissance 12 avril 1912 (Fougères - France)

Décès 5 novembre 1987 à l'âge de 75 ans (Paris - France)

Né à Fougères le 12 avril 1912, en Ille-et-Vilaine, rien ne prédestinait Georges Franju à faire une carrière artistique. Effectuant des études qu’il qualifie lui-même de "sommaires et primaires", il exerce divers métiers, comme employé dans une compagnie d’assurance ou cloueur de caisses chez un marchand de nouilles ( !). Il devient décorateur de théâtre puis affichiste, jusqu’à son service militaire qu’il termine en 1932. Dans son nouvel emploi au sein d’une imprimerie, il fait alors une rencontre déterminante pour le restant de sa carrière : celle d’Henri Langlois.

 

Leur passion commune du cinéma les pousse à tourner ensemble leur premier court-métrage, Le Metro, en 1934. Franju est alors à la prise de vue, tandis qu’Henri Langlois s’occupe du montage. En 1936, ils fondent le ciné-club "Le Cercle du cinéma". La première représentation est organisée grâce à de l’argent emprunté à la famille de Langlois. De ce souci de préserver les films –et les montrer- naît, le 9 septembre 1936, la Cinémathèque Française, fondée par Franju et Langlois, avec le soutien de Jean Mitry. En 1938, Franju devient le secrétaire exécutif de la Fédération Internationale des archives du film (FIAF).

 

En 1946, il fonde même l’Académie du cinéma, qui organise des conférences internationales.

 

Filmographie

1978 Le Dernier Mélodrame Réalisateur

1977 La Discorde Réalisateur

1976 Georges Melies raconte par son fils Réalisateur

1976 Photos souvenirs de Madeleine Renaud Réalisateur

1973 Nuits rouges Réalisateur

1970 La faute de l'abbé Mouret Réalisateur

1969 L'Affiche et la rue Réalisateur

1969 Strasbourg (court-métrage) Réalisateur

1968 La Normandie de Marcel Proust Réalisateur

1968 Service des affaires classées Réalisateur

1967 Amiens, ville ouverte (court-métrage) Réalisateur

1967 Eiffel, le magicien du fer (court-métrage) Réalisateur

1967 La Tapisserie de Bayeux Réalisateur

1967 Le Modern'Style a Paris (court-métrage) Réalisateur

1967 Le Musée d'Arromanches Réalisateur

1966 Rencontre avec Fantomas (court-métrage) Réalisateur

1965 Marche aux puces (court-métrage) Réalisateur

1965 Paris est une forêt (court-métrage) Réalisateur

1965 Thomas l'imposteur Réalisateur

1963 Judex Réalisateur

1962 Thérèse Desqueyroux Réalisateur

1961 Pleins Feux sur l'assassin Réalisateur

1959 Les yeux sans visage Réalisateur 1

958 La Première Nuit (court-métrage) Réalisateur

1958 La Tête contre les murs Réalisateur

1958 Notre-Dame, cathédrale de Paris (court-métrage) Réalisateur

1956 Le Théâtre national populaire (court-métrage) Réalisateur

1956 Sur le pont d'Avignon (court-métrage) Réalisateur

1955 A propos d'une rivière (court-métrage) Réalisateur

1955 Mon chien (court-métrage) Réalisateur

1954 Les Poussières Réalisateur

1953 Monsieur et Madame Curie (court-métrage) Réalisateur

1952 Le Grand Méliès (court-métrage) Réalisateur

1951 Hôtel des Invalides (court-métrage) Réalisateur

1950 En passant par la Lorraine (moyen-métrage) Réalisateur

1948 Le Sang des bêtes (court-métrage) Réalisateur

1934 Le Metro (court-métrage) Réalisateur

 

Acteur

2004 Le Fantôme d'Henri Langlois lui-même

 

Scénario

1970 La faute de l'abbé Mouret Dialoguiste

1970 La faute de l'abbé Mouret Scénariste

1965 Thomas l'imposteur Scénariste

1962 Thérèse Desqueyroux Scénariste

1959 Les yeux sans visage Scénariste

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Horizons perdus Lost Horizon de Frank Capra, États-Unis, 1937 Lumiere 2014

Horizons perdus Lost Horizon

de Frank Capra,

États-Unis, 1937

 

La copie qui nous a été donnée de voir est de 132 minutes, du moins la bande-son.

 

En effet seulement 125 minutes furent retrouvées au niveau des images dans un premier temps, SONY retrouva 1 minute.

 

Manquait donc encre 5 minutes  d’images, réparties en plusieurs séquences. L’astuce pour avoir un film complet, après restauration, consista à inclure en lieu et place des séquences filmées manquantes des photos de plateau et du tournage.

 

Cela permit de garder l’intégralité de la bande-son. Aussi étrange que cela puisse paraitre pris dans l’action cela passe bien, il est vrai qu’avant le film, un avertissement nous prévient.

 

L’action se situe à Shangri-La, lieu où le cinéma fantastique et la télévision situèrent plusieurs fois l’action :

 

Les horizons perdus (1973) aka "Shangri-la" 

 Shangri-La (1960) (TV Movie

Shangri-La Suite (2015) 

Shangri-La (2009) (TV Series) 

Shangri-La (1961) 

Strange Rumblings in Shangri-LA (2014) (TV Movie) 

Shangri-La (2011) 

Shangri-La (1998) 

The Refugees of Shangri-la (2014) 

 

Sans oublier que certaines séries  comme « Sanctuary » y situent l’action de certaines épidoses.

 

Le décorateur nous offre un merveilleux travail,  Stephen Goosson fut d’ailleurs récompensé pour cela. Le palais de la lamaserie  nous donne à voir une architecture avant-gardiste bien plus que traditionaliste comme on pourrait s’y attendre vu le thème.

 

Ressortie en salle au début de l’année, il est également disponible dans un coffret :   Coffret Frank Capra 4 DVD : Horizons perdus / Mr Smith au Sénat / New York Miami / L'Extravagant Mr Deeds.

 

A voir ou revoir absolument.

 

 

Résumé du Film

 

Robert Conway (Ronald Colman), grand diplomate en poste en Chine, doit quitter le pays où vient d’éclater une révolution. Avec quatre de ses compatriotes, il prend le dernier avion pour la Grande-Bretagne.

 

Mais l’avion est détourné vers le Tibet voisin et, après plusieurs incidents, ils arrivent à Shangri-La, inaccessible lamaserie, sorte de paradis perdu au sein des pics enneigés de l’Himalaya, isolée du reste du monde.

 

Les habitants, à la recherche de la sagesse éternelle, y vivent dans une atmosphère sereine et jouissent des bienfaits de la civilisation la plus moderne, ne connaissent ni la haine, ni l’envie, pas plus que l’argent, ou le vieillissement. Conway apprend qu’il a été choisi par le Grand Lama (Sam Jaffe) pour assurer sa succession.

 

C’est au kiosque d’une gare que Frank Capra acheta le livre de de James Hilton, Horizons perdus, dont il avait entendu parler. Il le lut et en rêva toute la nuit. Enthousiaste comme jamais, il demande à Harry Cohn de lui en acheter les droits et lui annonce que le film devrait coûter dans les deux millions de dollars.

 

Après réflexion, Harry Cohn, finalement convaincu, débloquera le budget souhaité, quatre fois supérieur à celui du film le plus cher jamais produit par Columbia à cette époque, et égal à la moitié du budget annuel de la société !

 

Jusque-là, l’œuvre de Capra est essentiellement réaliste. Pour cette incursion dans le genre fantastique, le cinéaste réalise un conte philosophique, teinté d’exotisme. Si le propos du film (humanisme, paix, solidarité…) est un classique de ses films, le réalisateur le porte à son paroxysme en dépeignant une utopie, un paradis terrestre.

 

Alors que le nazisme monte et que la guerre gronde en Europe, le film de Capra, avec son appel à la préservation de la paix mondiale, sonne comme une prémonition. Mais les protagonistes ne sont pas tous sous le charme de cet eldorado, sans doute un peu trop lisse et aseptisé, certains veulent à tout prix le quitter, nostalgiques des heurts et des passions qui font le sel de la vie. La chute n’en sera que plus dure, faisant basculer le film dans sa partie dramatique.

 

 

Dans cet opus rare, aussi mythique que l’est Shangri-La, la mise en scène de Frank Capra est époustouflante. Toutes les scènes précédant l’arrivée à la lamaserie sont filmées avec un réalisme quasi documentaire : l’incendie, le survol de l’Himalaya, l’atterrissage en catastrophe, la marche épuisante dans les montagnes glacées… Ce rendu exceptionnel fait ainsi de Shangri-La, par contraste, un endroit encore plus irréel. Les décors sont flamboyants, bénéficiant désormais du charme suranné des années 1930.

 

La légende dit que Capra, réputé comptable hors pair, a toujours respecté ses budgets au centime près. Il a peu parlé de celui d’Horizons perdus. C’est Joseph McBride qui révèlera dans Frank Capra, The Catastrophe of Success (Simon and Shuster) que le budget déjà phénoménal sera dépassé d’un tiers, coûtant au réalisateur ses bonnes relations avec Harry Cohn et remettant en cause son indépendance au sein d’un studio que ses succès ont contribué à développer.

 

Pour le biographe, « Lost Horizon a été une blessure que Capra s’est infligé à lui-même et qui devait causer un dommage durable à sa carrière.

 

Mourir de joie

Capra cherchait pour le rôle du Grand Lama le visage inconnu d’un acteur très âgé. La perle rare est trouvée dans la vallée de San Gabriel : un acteur de théâtre de 90 ans, jamais filmé. Les bouts d’essai sont concluants, l’équipe appelle son domicile pour annoncer la bonne nouvelle. Mais l’acteur, à l’annonce de cet engagement par sa domestique, meurt subitement. Capra : « Le coup de fil tant attendu de Hollywood était arrivé. Il avait souri, et il avait rendu son dernier soupir. » (Frank Capra, Hollywood Story, Stock)

 

Décors récompensés

Le décorateur Stephen Goosson fut récompensé pour son travail exceptionnel sur Horizons perdus. Les magnifiques décors de Shangri-La  ont été construits au sein de Burbank, le ranch de la Columbia.

 

Hangar et espadons

Afin de s’approcher d’une certaine réalité documentaire, Capra souhaite que les scènes de montagne et de neige soient filmées dans un froid réel. Avec son assistant, il font la découverte d’un hangar frigorifique isolé aux dimensions d’un petit studio : 25 mètres sur 50 et 8 mètres de haut ! Une heureuse découverte, suivie de celle des broyeuses de glace, fabriquant de la neige artificielle pour conserver les espadons congelés dans l’entrepôt. L’Himalaya en pleine banlieue.

 

Amputations

Le film a été plusieurs fois remanié, tantôt par le réalisateur, tantôt par Harry Cohn, patron de Columbia. Suppression du flashback, changement de fin… Les amputations seront réalisées même après la sortie du film. Les récits diffèrent, mais entre deux et six bobines sont retirées du film.

 

Casting

 

Horizons perdus (Lost Horizon )

États-Unis, 1937, 2h03, noir et blanc, format 1.37

Réalisation : Frank Capra  

Assistant réalisation : Charles C. Coleman

Scénario : Robert Riskin, d’après le roman Horizons perdus de James Hilton, avec la collaboration de Sidney Buchman  

Photo : Joseph Walker

Musique : Dimitri Tiomkin

Montage : Gene Havlick, Gene Milford

Décors : Stephen Goosson

Costumes : Ernest Dryden

Production : Frank Capra, Columbia Pictures

 

Interprètes : Ronald Colman (Robert Conway), Jane Wyatt (Sondra), Edward Everett Horton (Alexander P. Lovett), John Howard (George Conway), Thomas Mitchell (Henry Barnard), Margo (Maria), Isabel Jewell (Gloria Stone), H. B. Warner (Chang), Sam Jaffe (le Grand Lama), Hugh Buckler (lord Gainsford)

 

Sortie aux États-Unis : mars 1937 

Sortie en France : 9 avril 1937

 

FILM RESTAURÉ

Sony Pictures Entertainment

Park Circus

 

Ressortie en salle début 2015, par Park Circus

Dimanche 19 octobre 2014 à 15:00 CNP Terreaux

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Photo du Tournage

Photo du Tournage

THE ZERO THEOREM Terry Gilliam

 

Ce film qui fit l’ouverture du NIFFF 2014, rappel à parfois « BRAZIL », tout en ayant des aspects Steampunk évidents.

 

Parfois on peut avoir l’impression de se perdre dans une métaphore de l’existence, sur ce que nous étions, sommes et serons ou pas ?

 

Suivre Terry Gillian est souvent impossible, est-ce même souhaitable ?

 

De toute façon, nous nous aimons adorons ce film alors que dire d’autre ?

Si peut être allez le voir ou procurez-vous le DVD/ Blu-Ray.

 

Résumé du film :

 

Dans un futur dystopique orwellien, Christoph Walz incarne un génie de l’informatique qui, reclus dans une chapelle abandonnée, tente de décrypter la finalité de l’Existence.

 

Cyber-sex et passion amoureuse se mêlent alors dans un scénario semblant avoir été écrit par un Philip K. Dick sous stéroïdes.

Avec ce film stupéfiant, Gilliam clôt sa trilogie existentielle.

Affiche du Film

Affiche du Film

Casting et fiche technique

Acteurs et actrices

Christoph Waltz Rôle : Qohen Leth

David Thewlis Rôle : Joby

Mélanie Thierry Rôle : Bainsley

 

Matt Damon Rôle : Management

Tilda Swinton Rôle : Dr. Shrink-Rom

Lucas Hedges Rôle : Bob

Sanjeev Bhaskar Rôle : Docteur 1

 

Production

Producteur Nicolas Chartier

Producteur Dean Zanuck

Coproducteur Christoph Waltz

Coproducteur Zev Foreman

Coproducteur Chris Curling

Coproducteur Phil Robertson

Coproducteur Andreea Stanculeanu

Coproducteur Jean Labadie

Coproducteur Manuel Chiche

Producteur délégué Patrick Newall

Producteur exécutif Patricia Poienaru

Producteur associé Mark Bakunas

Producteur associé Dominic Rustam

Producteur associé Sebastien Chartier

Producteur associé Harrison Zanuck

Producteur associé Alicia Marotto

 Scénariste Pat Rushin

 

Equipe technique

Directeur de la photographie Nicola Pecorini

Compositeur George Fenton Monteur Mick Audsley

Directeur artistique Adrian Curelea

Chef décorateur Carlo Poggioli

Directrice du casting Irene Lamb

Directeur de production Patrick Newall

1er assistant réalisateur David Ticotin

Chef costumier David Warren

Scripte Andra Barbuica

Mixage André Jacquemin

Superviseur des effets spéciaux Nick Allder

Maquilleur Chris Lyons

Maquilleuse Dana Roseanu

Maquilleuse Iulia Roseanu

Chef coiffeur Kirstin Chalmers

Chef maquilleur Kirstin Chalmers

Distribution Attachée de presse Amy Gilliam

Sociétés Production Voltage Pictures

Production Zanuck Independent

Production Zephyr Films

Distributeur France (Sortie en salle) Wild Side Films / Le Pacte

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