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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #romans

La porte des ténèbres par Alan Haigh,

La porte des ténèbres par Alan Haigh,

La porte des ténèbres

par Alan Haigh,

 aux éditions

« Le Masque fantastique »

 

 

Il s'agit d'un roman assez ancien, paru en 1977, et dix-huitième et dernier titre de la courte première série « fantastique » chez Le Masque, ceux avec les couvertures rouges, pour les collectionneurs.

 

Assez difficiles à trouver, ces petits livres de poche présentent des textes inédits à l'époque, et rarement repris ensuite. L'auteur qui se cache sous le pseudonyme de Alan Haigh est en réalité un critique et anthologiste belge bien connu, Jacques van Herp, qui publia quelques romans et nouvelles sous divers noms d'emprunt.

 

« La porte des ténèbres » est un roman court (220 pages) qui conte l'arrivée d'un jeune professeur de français dans une province reculée d'un pays indéfini. Dès les premières lignes, le lecteur comprend que le personnage est ambigu, que ses interrogations concernant son poste rejoignent celles qu'il se pose sur son identité.

 

Parvenu à destination, le récit (à la première personne et au présent) devient celui d'une découverte hallucinée, celle d'une enclave hors du temps peuplée d'autochtones cachant des secrets inquiétants.

 

La lecture de « La porte des ténèbres » se révèle assez addictive : le style en est simple, mais pourvu d'un vocabulaire riche et précis, et l'accumulation des mystères et des situations paradoxales pousse à tourner les pages jusqu'à une révélation à la hauteur des enjeux posés au départ.

 

Ce final mettant en scène un culte à des entités dignes de Lovecraft donne une dimension mythique à une histoire qui, autrement, aurait pu passer pour assez anecdotique.

 

Ce qui différencie ce récit de ceux proposés par Lovecraft et ses adeptes, c'est la sensualité torride qui habite les protagonistes : le jeune héros manifeste une sexualité exigeante mais contrariée, et il trouvera une partenaire idéale en la personne d'une manipulatrice désignée pour le conduire à accomplir son destin.

 

Enfin, des scènes d'un culte exotique et malsain, à la limite du sadomasochisme apportent un piment sulfureux à la lecture.

 

En conclusion, il s'agit d'un petit roman agréable à lire, d'un auteur à découvrir, qui aurait pu, à la grande époque, trouver sa place parmi l'équipe de la mythique collection « Angoisse » au Fleuve Noir.

 

Serge ROLLET

 

Informations d'édition

Format: Poche

Langue: Français

Genre: S.F., Fantasy & Terreur > Fantastique

Editeur: Librairie des Champs-Elysées

Collection: Collection fantastique rouge

N° dans la collection: 18

Date parution: 1977

Nb pages: 222

ISBN: 2702406165

 

Biographie et bibliographie sommaire :

Naissance : Bruxelles, Bruxelles-Capitale, Belgique, 26 novembre 1923.

Décès : Etterbeek, Bruxelles-Capitale, Belgique, 30 décembre 2004.

 

Autres noms connus  

Vrai nom / nom complet : VAN HERP Jacques

Pseudonyme(s) :

ARVEL Alain

BERCHMANS Michel

CÉTESKI Ladislas

JOULY André

KENKÖNNERY Illy

LEBLOND Willy

MONNIER Marc

NADA Carlo

PROVIST Alain

VÉDÉWÉ Michel

 

Pseudonyme(s) collectif(s) :

GOISSERT Michel

JANSEN Michel

 

Bibliographie :

La Nef ensorcelée  (En coll. avec Paul HANOST) , 1977  (Nouvelle)

La Porte des ténèbres (1977)

Le Blackjoke , 1978  (Nouvelle)

4e de couverture

4e de couverture

Première série « fantastique » chez Le Masque

Première série « fantastique » chez Le Masque

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Couverture: The golden Age, Arnaud Martin

Couverture: The golden Age, Arnaud Martin

Les Démoniaques

&

autres textes de

Christophe Lartas

 

Nous avions déjà eu l’occasion de déjà eu l’occasion de chroniquer les livres de Christophe Lartas, les œuvres de Christophe LARTAS (voir lien ci-dessous). Son dernier ouvrage son dernier recueil de nouveaux fantastiques intitulés Les Démoniaques & autres textes.

 

Plus accessible que les précédents sans doute, il réunit 22 textes noirs et singuliers, mêlant contes étranges ou horrifiques, nouvelle dystopique et récits philosophiques.

 

Régnant sur une société à l’agonie où prédominent l’injustice et la destruction, les Démoniaques sont les incontestables Seigneurs de ce monde — mais à quel prix ? Cette nouvelle dystopique saisissante nous plonge dans une métropole infernale, en tout point étouffante, où la survie même constitue un acte de résistance. 

 

Autour de ce texte d’une force certaine s’agencent deux livres : le premier, « Chimères et cauchemars », renferme des contes dédiés à l’étrange et au fantastique, tandis que le second, « Chemins vers rien », propose plusieurs courts récits philosophiques au ton volontiers acerbe.

 

Réunissant 22 textes noirs et singuliers, Les Démoniaques & autres textes est un recueil à dominante fantastique qui témoigne une nouvelle fois de l’originalité et du style de Christophe Lartas.

 

Un extrait de la nouvelle principale du recueil est disponible ci-dessous en PDF.

 

Les Démoniaques & autres textes de Christophe Lartas

Publié par les  Editions de l'Abat-Jour

Nouvelles fantastiques.

212 pages

ISBN : 979-10-90106-59-8

 Format 20 x 13 cm

papier bouffant ivoire

Editions l’abat-jour

15 euros.

 

(Communiqué de presse)

Les Démoniaques &amp; autres textes de Christophe Lartas

Extrait en téléchargement légal et gratuit

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Illustration: Jean-Félix Lyon

Illustration: Jean-Félix Lyon

Le Tombeau des Patriarches

Muriel Carchon

 

Le changement climatique, la physique quantique, l’intelligence artificielle et la biotechnologie sont au cœur de cet ouvrage.  Ce Récit d'événements fictifs à partir d'un point de départ historique, en l’occurrence la dégradation de notre environnement, et la développent de plus en plus important de l’intelligence artificielle.

 

Dans un univers ou les machines règnes sur la « cité », les humains rejeter dans les sous-sols avec l’armée de l’ombre une sorte de Lumpenprolétariat de 2188. 

 

XXL est l’intelligence qui régente désormais toute la planète, les humains non plus d’avenir, mais ce n’est pas ce que pense quatre d’entre eux : Mnémosyne, Xyan, Siloé et Rahm parvenir à sauver l’humanité, peut-être même d’elle-même est leur   leitmotiv.

 

Les éditions « Rivière Banche » nous permettent de découvrir ou redécouvrir des auteurs rares, au côté des « stars » de la Science-fiction.

 

Je vous recommande fortement de lire cet œuvre.

 

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À la fin de cet article vous trouverez un extrait de cet ouvrage en téléchargement gratuit et légal.

Remerciement à Philippe Ward.

 

Hors-Collection 61.

Le Tombeau des Patriarches

ISBN-13: 978-1-61227-866-7

232 pages - 20 euros

Editions Riviere blanche

Couverture: Jean-Félix Lyon

 

Ils avaient pris pour habitude de se retrouver dans les entrepôts frigorifiques des Abattoirs de la ville. Chacun partait de chez lui, et après de multiples détours, arrivait dans ce quartier déserté depuis fort longtemps. A dire vrai, ils étaient de moins en moins nombreux à s'éloigner autant du cœur de La Cité. Ils y accédaient par d'anciens tunnels abandonnés, qui n'étaient plus utilisés pour le transport depuis plusieurs décennies.

 

 

 

En 2188, XXL domine la planète. La Terre appartient désormais aux Machines. Rares sont les hommes libres. Dans La Cité règne un ordre parfait. Le Centre de Remise en Forme, le Réservoir et le Tombeau des Patriarches rythment l'existence. En bas, dans les entrailles de la Terre, l’Armée de l’Ombre survit au pire… Dans ce monde déshumanisé, des résistants : Mnémosyne, Rahmi, Silhoé et Xyan portent en secret un rêve fou. Héritiers du Savoir, gardiens de la Sagesse et de l’antique Tradition, ces survivants encore humains parviendront-ils à vaincre la barbarie ?

 

 Biographie de l’auteure :

Muriel Carchon est née en Algérie en 1953. Pour échapper à la cruelle réalité de son exil, elle se réfugie dans le monde des livres.

 

Quand elle perd son frère, son mari (auteur de polars) Yves Carchon lui propose de coécrire un roman historique sur le peuplement de l'Algérie en 1848.

 

C'est le déclic, elle relève le défi : se lancer dans l'écriture sur la distance d'un roman.

 

Ils écrivent Les Volontaires de la Nouvelle France en 2013 et une suite, réclamée par les lecteurs, Les Moissons de l'Exil en 2014 couronné par le Prix du roman de Mazamet 2015.

 

Elle se lance enfin en solitaire dans un roman d'initiation d'un jeune garçon sur fond d'aventures au 19ème siècle : Croire en son destin et oser le vivre en décembre 2015 qui obtient le 1er Prix Littéraire de la ville de Figeac 2017.

 

CHAPITRE PREMIER 2188 — La Cité

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Le marchand de sable Gaia ALEXIA

Le marchand de sable

Gaia ALEXIA

LA ROMANCE FANTASTIQUE

LA PLUS ATTENDUE DE L’ÉTÉ !

 

DÉJÀ 2 MILLIONS DE LECTEURS CONQUIS ! sur Wattpad.

 

Nola Nott a tellement dû croire à la légende du Marchand de sable lorsqu’elle était enfant que des années plus tard, il hante ses cauchemars. Précédé de papillons rouge sang et semant du sable derrière lui, Nola le sent, il n’attend qu’une chose : s’en prendre à elle.

 

Pour l’éviter, elle se plonge dans ses cours jusque tard dans la nuit, notamment dans ceux de mythologie nordique, cette matière qui lui donne tant de fil à retordre.

 

Tant qu’elle est réveillée, tout va bien pour Nola, mais que se passerait-il si rêve et réalité se confondaient et que l’homme de ses cauchemars apparaissait au détour d’une rue ?

 

Peut-on tomber amoureuse de son pire cauchemar ?

Aux heures les plus sombres, se joue une course poursuite digne de la  cavalcade de la lune en pleine nuit.

 

17 euros

130 x 205 mm

TOME 1 : déjà parut.

 

 

TOME 2 : parution le  27 JUIN

 

Le marchand de sable – tome 2

Alexia Gaia

 

DÉTAILS

Mane, alias le Marchand de sable, a fait voler en éclats toutes les certitudes de Nola. Passant des rêves à la réalité, l’homme qui hantait ses cauchemars lui a révélé l’existence d’un monde peuplé de dieux aux pouvoirs incroyables. Un monde dans lequel elle aurait été la déesse de la nuit et lui celui de la lune. Un monde où ils se seraient aimés avant qu’elle ne le trahisse…

 

Alors qu’ils succombent de nouveau et que Mane choisit d’oublier sa haine, il pourrait voir ses espoirs se briser et son coeur avec. Sera-t-il suffisamment fort pour supporter les nouvelles épreuves ou laissera-t-il son âme s’obscurcir davantage ?

 

Et si derrière l’histoire d’amour de Mane et Nola se cachait des enjeux qui les dépassent ?

 

Après les succès d’Adopted Love et de Baby Random, Gaïa Alexia revient avec une série transcendant les codes de la New Romance. Elle y embarque ses lecteurs dans un territoire où mystère et attirance ne font qu’un, au coeur des mythes nordiques.

 

La success-story de la GAIA ALEXIA.

Adopted Love : meilleure vente de la collection Hugo Poche.

* Lauréate du concours « Au masculin » sur Fyctia pour Adopted Love avec plus d’1,8 million de lectures.

 

+ 100 000 ventes de ses séries précédentes (Adopted Love et Baby Random).

 

L’auteure :

À l’instar de sa génération, Gaïa Alexia est ultra connectée à sa communauté qui la porte vers la victoire lors d’un concours d’écriture sur Fyctia, puis vers sa première publication en librairie.

 

Le Marchand de sable est un défi qu’elle se lance : créer un univers fantastique tout en gardant l’authenticité des codes de la romance qui a fait son succès.

 

Communiqué de presse

Le marchand de sable Gaia ALEXIA

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Christine Barsi – SolAs
L'auteure

L'auteure

Christine Barsi – SolAs

 

 

Présentez-nous votre ouvrage

 

SolAs est un roman de science-fiction, mon cinquième roman publié par 5 Sens Éditions à ce jour.

Une mission sur un astéroïde, porteur des précieux champs de plasma, amène une astrophysicienne à découvrir les particularités intrinsèques de l’essence plasmatique stellaire et à y appréhender les signes d’une humanité que personne ne soupçonne. Lorsque la relation singulière qui la lie à l’un des membres de son équipe s’engage dans une direction inattendue, elle devra assumer ses choix et oublier ce qu’elle est pour l’accueillir.

C'est au cœur de l'astéroïde SolAs, ainsi que sur Origine, que se jouera le final alors que les grandes variations climatiques ont bouleversé l'équilibre des puissances en place et fait des terres canadaskiennes ainsi qu'étatsuniennes, une sorte de mausolée vivant, et que l'Eurafrique connaît dorénavant le froid et la glace.  Le périple qui entraînera Maylis jusqu'au bout du monde l'entraînera également au-delà d'une position sans retour, où elle devra choisir entre une humanité en perdition et un nouvel horizon plus périlleux encore. Mais qu'a-t-elle concouru à amener sur Origine ?

 

Avez-vous un sujet de prédilection ?

 

Sous couvert d’une passion qui va à l’encontre de toute éthique apparente, l’histoire traite des flux de conscience énergétique, de l’énergie pensante et de la création de la vie sous forme d’entités…  notamment dans le creuset d'un bâtiment d'astrophysique.

Dans ce livre, ce qui m’a importé, c’est aborder des sujets d’actualités scientifiques et techniques tels l’astrophysique et l’énergie plasma, cette fameuse essence plasmatique, l’exobiologie, les astéroïdes et leur gestion, les entités aliens, les techniques de laser et de générateurs de particules, la génétique mais également l’extraction minière. Comme généralement chez moi, je confronte ces thèmes à la nuisance, cette fois, non plus des grands lobbies pharmaceutiques ou des laboratoires ayant pignon sur rue mais de celle de l’industrie minière et astéroïdique.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

 

L’amour franchit toutes les barrières, transcende les êtres au-delà de ce qu’ils peuvent appréhender.

Les voies de la création sont infinies, tant dans le domaine des arts que dans celui des sciences et de la spiritualité. Dans leur plénitude, elles enfantent d’innombrables formes dont l’émergence amène autant d’êtres à notre image… ou pas.

 

Pourriez-vous nous citer quelques passages de SolAs ?

 

En voici un premier :

 « Le chant du Métal : « Le métal qui draine toute l’attention des grands lobbies n’incarne déjà  plus qu’un matériau sur le déclin. Il maintient son illusion tel un magicien ou un automate, mais à terme, sa source se tarit tandis que sa déchéance n’est plus qu’une notion de temps ultime. »

…Khal Sihlen évaluait d’un air méfiant le métal qui se convulsait derrière la paroi de bioverre épais qui assurait leur sécurité. Sans qu’il comprenne comment c’était arrivé, ils avaient perdu le contrôle de ce secteur. À l’une des étapes du processus, mais laquelle ? Il pouvait voir le roboïde, en charge des opérations, figé le long de la citerne d’acier trempé, sa coque à l’épreuve des miasmes acides et des explosifs à forte charge avait été démantelée ; une lèpre inconnue le rongeait à un rythme déroutant. Près de lui, au sol, Warrhaen était tombé. Au travers de la visière du casque, il avait l’air mal en point et le métal paraissait attiré par son immobilité ; un métal si particulier. Depuis son axe d’observation, Khal jeta un coup d’œil derrière lui, au-delà du périmètre sécuritaire ; comme lui, les scientifiques ne comprenaient pas. Affolés, ils tentaient d’isoler la zone afin de la placer en quarantaine…

 

En voici un second :

…Si l’année de sa mise en orbite, l’ancrage satellitaire du corps spatial avait causé beaucoup de bruits et amené un développement accru de l’intérêt général pour tout ce qui touchait de près ou de loin à l’astrophysique et l’astronomie, les deux années suivantes avaient vu étouffer dans l’œuf les discours plus ou moins cohérents des experts. À croire que l’on voulait que les foules oublient l’évènement, pour mieux inciter le corps scientifique à œuvrer dans les coulisses, comme à son habitude. Aujourd’hui, alors que Maylis allait sur ses vingt-trois ans, la presse à sensation ne laissait filer que quelques bribes à intervalles irréguliers, alors même que PlasmAtal, l’une des plus grosses entreprises industrielles implantées en Eurafrique et en Ruschin, avait investi le corps stellaire et installé son site d’exploitation après en avoir obtenu la licence adéquate, auprès des autorités compétentes. Dans les revues scientifiques et dans les quelques rares articles qui abordaient le sujet de l’astéroïde et du type de production que l’on y effectuait, il était question d’un plasma métalloïdique aux propriétés fascinantes, mais les précisions s’arrêtaient là. Pourtant, la jeune femme devinait qu’il y avait davantage que ce que les infos distillaient par doses infinitésimales…

 

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

 

Mon ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent aux mystères occultes, aux problématiques actuelles de l’éthique de la manipulation du génome, de la préservation des ressources naturelles, à ceux qui aiment ce monde et ces composantes, les grandes forêts, tout en étant amateurs de belles lignes et de réflexions sur l’existence que je glisse régulièrement dans mes romans. Ce livre mêle de manière équilibrée la science, la technique, les conflits entre races et la passion irrépressible d’un être pour un autre. Il s’adresse aux amoureux de la science comme aux amoureux des belles histoires d’amour.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

 

En ce milieu d’année 2019, je suis sur la rédaction du tome 3 de Déviance, ma romance vampirique. Dans le même temps, j’attends les résultats de la soumission du tome 2. Je nourris également un autre gros projet de SF pesant plus de mille cinq cents pages qu’il va falloir retravailler et réécrire — un très long travail en perspective.

Il va me falloir intensifier ma présence sur les salons du livre et cafés littéraires. En 2019, j’ai participé au salon du Livre et de la Bd sur Mennecy, organisé quelques séances de dédicaces au sein de mon centre commercial Auchan de Fontenay-sous-bois. Je cherche aussi à faire traduire l’un de mes livres, et j’aspire à ce que l’un de mes romans passe à la télé ou au ciné « Le grand cinéma » comme le clame Jacques Villeret dans « le Diner de Cons ». Toutes sortes d’idées me trottent dans la tête, et il faudra bien qu’elles trouvent un exutoire.

 

Avez-vous le sentiment d’avoir progresser dans votre univers de romancière ?

 

Eh bien oui ! Écrire ne suffit cependant pas, bien que je m’y adonne de manière de plus en plus intense au fil des années.

Alors je me suis confrontée à l’univers réel afin de réaliser ma première vidéo de présentation de l’auteure ainsi que de ses œuvres ; Gérard Confino au moyen du média « Planète Gaïa TV » m’en a donné l’opportunité et je l’en remercie.

De même, je sonde le Net à la recherche de groupes de science-fiction et de fantastique qui m’impliqueraient dans le domaine afin de me faire connaître et de connaître mieux les rouages de cet univers de la création et de l’édition. Dans ce cadre, j’ai intégré le cercle des passionnés de SF par le biais de leur réseau Facebook « Les Mercredis de la SF ». Ils m’ont ouverts d’autres horizons technologiques, à moi qui en suis fan. Ainsi la réalité augmentée, ainsi la Noosfère et le NooMuseum de Yann Minh, un vrai trésor de créativité dans lequel tout artiste aspire à s’immerger. Merci à toi Yann, pour ce précieux cadeau que tu nous fais.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

 

J’aime écrire, une passion nécessaire pour un écrivain sans laquelle celui-ci n’irait pas au bout de son tout premier manuscrit. L’écriture se définit par la persévérance essentielle et la volonté tout aussi essentielle de parvenir à l’achèvement qui consacrera l’œuvre de l’artiste. L’existence d’un écrivain s’avère solitaire dans sa phase cruciale de l’écriture ; il lui faut l’affronter au quotidien ainsi qu’un ascète en quête de sagesse. Mais se rajoutant à ces performances, se tient celle d’amener à la vie ses personnages, de les faire évoluer au sein d’une histoire qui ne s’appréciera jamais que par la richesse du vécu de ces derniers.

Il m’arrive souvent de les trouver exigeants alors qu’ils m’entraînent dans leurs tribulations dont j’ai le sentiment de ne rien maîtriser, en dehors d’une certaine architecture dans le cadre du scénario.

Pour finir et comme chaque fois, je répèterais encore et encore la phrase que j’ai découverte il y a quelque temps, celle de George Bernard Shaw qui disait : « Vous voyez des choses et vous dites : « pourquoi ? » Mais moi je rêve de choses qui n’ont jamais existé, et je dis : « pourquoi pas ? » »

 

Vous trouverez ci-dessous le prologue et un extrait du roman en téléchargement gratuit et légal, remerciement  à l’auteure.

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A la tombée du ciel

A la tombée du ciel

Par Sophie Cameron

(Traduction Anne Guitton)

 

Le personnage Jaya n’arrive pas a faire son deuil de sa mère, ma rencontre avec un ange, comme le titre l’indique tombé du ciel vas la changer. 

 

Cette anomalie ce propage dans le monde entier, et le père de Jaya deviens obsédée de ces ange qui tombe sur Terre pour s’y écrasé, quand ils ne sont pas tuer par la foule.

 

Dans le genre fantasy-urban, nous avons une bonne surprise dans une écriture agréable à lire.

 

L’auteure commença l’écriture de cet ouvrage lors d’une masterclass de Juno Dawson, elle reçut ses encouragements et il fut une sorte de mentor pour Sophie Cameron.

 

 

A partir de 14 ans.

Remerciement au service de presse de Nathan.

Article basé sur des épreuves non corrigés.

 

Dans un monde devenu fou, chaque choix compte.

 

Résumé du livre :

Cela aurait pu être une météorite, ou une éruption solaire annonçant la fin du monde. Mais ce sont des créatures ailées qui ont commencé à tomber du ciel.

 

Pour Jaya, 16 ans, c’est une anomalie de plus dans un monde qu’elle ne comprend pas. Comment vivre alors qu’elle a vu sa mère mourir ? Que son père est obsédé par l’idée de prévoir la prochaine chute ? Jaya n’a qu’une envie : rester loin de tous ces problèmes.

 

Mais quand un ange atterrit à ses pieds, elle va devoir faire des choix. Et réapprendre à vivre, pour l’aider à repartir.

 

Un roman réaliste avec une touche de fantastique qui lui donne toute sa force et son originalité.

Le portrait poignant d'une jeune fille en deuil qui tente de se reconstruire dans un monde en déroute.

Une quête palpitante, loin des romans psychologiques contemplatifs, qui parle d'acceptation et de justice.

 

 

Kirkus « best books of 2018 »

sélection du Carnegie Medal 2019.

 

Dès 14 ans

Collection : GRAND FORMAT

Langue : Français

ISBN-10: 2092577573

ISBN-13: 978-2092577578

15,4 x 22,5 cm

312 pages

16,95 €

Parution : 11 juillet 2019

 

 

 

L’AUTRICE : Sophie Cameron est née dans les Highlands écossais, là où se déroule son roman. Elle a vécu en Allemagne et au Canada avant de s'installer à Barcelone avec sa compagne.

 

Elle aime écrire de la « fantasy réaliste » (comme elle l’appelle), des histoires d’adolescents réels avec une touche de magie.

 

À la tombée du ciel est son premier roman et a déjà reçu plusieurs prix prestigieux (Kirkus best books of 2018, sélection du Carnegie Medal 2019).

Entretien en anglais

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Asylum  L’asile pour jeunes filles rebelles Emilie Autumn

Asylum

 L’asile pour jeunes filles rebelles

Emilie Autumn

(Traducteur: Arthur Desinge)

 

L’ouvrage est principalement écrit sous la forme d’un journal intime qu’Émilie Autumn trouve et soit fait écho à son sort, ce journal intime est celui d’un certaine Émilie qui raconte ce qui ce passe dans un manoir de l’Angleterre victorienne.

 

Chaque chapitre de ce cahier intime est très court une demi-page, voir juste une ligne.

 

Cela donne une écriture particulièrement vive, coupante comme un rasoir.

 

La dernière page invite les lecteurs à y écrire commence sa propre histoire, renvoyant ce même lecteur a utilisé les marges, est interlignée pour écrire le sien. 

 

L’auteure est une artiste complète ancienne violoniste de Love Machine, chanteuse, comédienne et romancière, Asylum est une œuvre très fortement autobiographique Émilie Autumn ayant fait à l’âge de 16 ans une semaine dans un hôpital psychiatrique.

 

Très dérangeant, cet ouvrage nous renvoie au plus profond de nos terreurs, de nos failles. Ainsi que ce que fut et ce qu’est encore souvent le traitement des gens « différents » par a psychiatrie. Vous êtes différents, vous êtes insoumis, vous ne devez pas être normal, il faut vous « soigner », les internements abusifs en Angleterre et en France sont bien connus, en France ils non jamais été aussi nombreux.

               

Elle a aussi évoqué le fait de faire de son ouvrage The Asylum for Wayward Victorian Girls une comédie musicale à Broadway Londres, mais il est également question d’une adaptation cinématographique de l’Asile pour jeunes filles rebelles.

 

Vous avez une idée sur qui

pourrait en être l’actrice principale?

Dites-le-nous dans les commentaires.

 

D’un style cyberpunk, cet ouvrage n’en est pas moins référencé à l’université d’Oxford à Londres pour son programme de psychologie.

 

 

L’auteur appelle les lectrices et les lecteurs

à exprimer leurs voix quelle juge essentielle ?

Profitez des commentaires de ce site pour le faire.

 

 

DÉTAILS

Violoniste à l’aube d’une belle carrière, Emilie souffre de troubles bipolaires. Après une tentative de suicide, elle est hospitalisée, puis internée dans un service psychiatrique. En dépit de ses protestations, la voici traitée comme une criminelle, gavée de médicaments, privée des libertés les plus élémentaires, coupée du monde. Et de surcroît, en butte au harcèlement du sinistre docteur Sharp. Pour ne pas basculer dans la folie, elle entreprend de consigner le quotidien de sa détention. Et découvre dans son petit carnet noir le message de détresse d’une jeune femme séquestrée dans un asile de fous de l’Angleterre victorienne. Une Emily qui lui ressemble en tous points. Une porte sur un autre monde s’est ouverte, un monde étrange où fleurissent les idylles entre détenues, où les spectres bruissent sous le papier peint, où des rats de haute éducation s’expriment dans une langue des plus châtiée. Réalité, ou divagations ?

 

(Texte de l’éditeur)

Fiche technique :

Format Broché

EAN 9782755640823

ISBN 978-2-7556-4082-3

Éditeur Hugo Roman

Date de publication 06/06/2019

Collection NOUVEAUX MONDES

Nombre de pages 421

Dimensions 22 x 14 x 3 cm

Poids 590 g

Date de publication: 06/06/2019

Collection : Nouveaux mondes

Prix papier: 21.00 €

Prix numérique: 12.99€

 

Biographie de l’auteur :

Emilie Autumn, née le 22 septembre 1979 à Malibu, est une chanteuse américaine. Elle joue du violon, classique et électrique ainsi que du piano. Elle est une artiste signée Trisol Record mais garde son indépendance grâce à son propre label, The Asylum Emporium (anciennement Traitor Record). L'artiste cultive son propre monde et son propre univers musical qu'elle appelle le « Violindustrial » (une contraction entre violin ('violon') et industrial ('industriel')) ou « Victoriandustrial » (une contraction entre Victorian ('victorien') et industrial ('industriel')).

 

Discographie

1997 : On A Day…

2001 : Chambermaid (EP)

2001 : By The Sword (EP)

2003 : Enchant

2006 : Opheliac (EP)

2006 : Opheliac

2006 : Your Sugar Sits Untouched (Poetry Book & CD)

2007 : Liar/Dead is the New Alive (EP)

2007 : Laced - Unlaced

2007 : A Bit O' This & That

2007 : Enchant (Réédition)

2008 : 4 O'Clock

2008 : Girls Just Wanna Have Fun & Bohemian Rhapsody (EP)

2009 : The Opheliac Companion (Behind The Scenes)

2010 : Opheliac (Deluxe Edition)

2012 : Fight Like A Girl

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CaCesthesia de Guy Kermen,

CaCesthesia

de Guy Kermen,

aux éditions

« Les Ombres d'Élyranthe »

 

Présentation de l'éditeur :

 

"Températures idéales pour déterrer un cadavre. En tout cas, ce sera plus facile que la dernière fois. Se laver les mains lui repose l'esprit. Frotte les paumes et la tranche de bas en haut, le contour des poignets. Contemple la mousse savonneuse avec béatitude. Puis rince ses mains trapues d'homme rustre dans une bassine d'eau brûlante." Des récipients du péché, extrait. Trente-et-un récits pour découvrir toute l'horreur cachée derrière nos façades.

Qu'elle soit fantastique, futuriste ou bien ancrée dans nos réalités, elle se niche partout, prête à surgir et à nous happer. Trente-et-une façons de côtoyer la mort en compagnie de monstres de légendes, de personnalités illustres, ou de quidams banals. Trente-et-une visions sans aucune illusion. Des années de lecture et de cinéma de genre ont profondément marqué le style de Guy Kermen, le poussant au fil du temps vers une écriture sèche, directe, qui frappe en plein coeur et vous emporte avec elle dans les tréfonds de l'âme humaine.

 
Cacesthesia : sensation morbide. Et vous ? Comment vous sentirez-vous au bout de cette descente en enfer ?

Article :

Troisième parution pour la jeune maison d'édition franco-belge, avec le second membre fondateur du forum « L'Écritoire des Ombres », Guy Kermen. Sous divers pseudonymes, Guy Kermen a publié trois romans, «Bayou » et « Night Stalker » aux défuntes mais déjà mythiques éditions « Trash », puis « Héca-Tomb » chez Zone 52, ce qui signifie que le monsieur n'en est pas à son coup d'essai, ni qu'il fait dans la dentelle !

 

Derrière ce titre intrigant se cache un recueil de  trente-et-un courts récits, qui résument la carrière littéraire d'un auteur aux multiples visages. Nous découvrons donc un grand nombre de nouvelles qui touchent un petit peu tous les genres, à condition qu'ils soient « mauvais » : le fantastique, la science-fiction, l'horreur le thriller ou l'épouvante. Il s'agit d'une promenade – éprouvante parfois – à travers des thématiques variées : un soupçon de science-fiction, une touche de Gore, une grosse louche d'épouvante et de terreur, le tout macéré dans un fantastique de bon goût. Mais on sent que les petits préférés de Guy Kermen restent les tueurs en séries, qui a déjà évoqués dans « Night Stalker », et dont il ne semble pas se lasser.

 

Cet auteur n'a pas son pareil pour se glisser dans l'esprit malade des assassins compulsifs, et je gage que, dans sa bibliothèque, les biographies de John Wayne Gacy, de l'étrangleur de Boston ou de Edward Gein sont plus consultées que celles de Gandhi ou de mère Thérésa... Fasciné par les États-Unis et admirateur de Stephen King, Guy Kermen explore souvent les aspects les moins reluisants de ce pays, et nous propose des rencontres avec des spécimens d'humanité peu fréquentables. Mais là où l'auteur à succès du Maine tartine des centaines de pages parfois inutiles, parfois étouffantes, souvent bourratives, Kermen brosse des instantanés rapides, des « flashes » brefs et percutants, aptes à créer le malaise chez le lecteur. Ces petits portraits de tueurs, ces courtes incursions sur les « territoires de l'inquiétude » du fantastique sont autant de coups de projecteur sur une autre face de la réalité, et l'accumulation de ces éclairages  suffit à créer un style propre.

 

Le style, parlons-en. Guy Kermen sait raconter une histoire, et en peu de mot, ce qui se révèle bien plus difficile, en définitive, que de s'étaler dans de longues descriptions introspectives. En quelques phrases sobres et rythmées, il parvient souvent à installer une atmosphère trouble, malsaine. Ces ambiances, cette ambiguïté entre réalisme et surnaturel sont l'essence du fantastique, loin de certains effets grand-guignolesques à la mode de nos jours.

 

C'est donc une bonne initiative des « Ombres d'Élyranthe » d'avoir œuvré pour que ces nouvelles sortent des forums Internet où elles étaient archivées pour être diffusées plus largement, en espérant qu'elles trouvent un public avide de vrai fantastique. 

 

Serge Rollet

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BIFFF 2019 Fin de Festival, rendez-vous au 38e BIFFF

BIFFF 2019

Fin de Festival,

rendez-vous au 38e BIFFF

 

Snifff (avec trois F comme dans le nom du BIFFF, lol), c’est hélas déjà terminé cette édition du festival de Bruxelles et vraiment, ça va être difficile parce que j'y es passé de super moment !

 

Parce que le BIFFF, c’est un festival de passionné fait pour les passionnés et le public ressent tout à fait cela, on le voit a leurs réactions dans la salle et surtout à leur présence parce qu’il y a eu beaucoup de séances sold out (très remplies), surtout dans la grande salle.

 

Étant donné que je travaillais dans mon magasin en même temps qu'il y avait le festival, je n'ai  pas pu faire beaucoup d'événements, mais j'ai comme même eu l'occasion de découvrir quelques films et une bonne partie a été récompensée donc j'ai fait pas mal de bons choix apparemment.

 

Même si, je dois être honnête, j'ai été beaucoup aiguillé par le monsieur de la presse, monsieur Leenhardt qui a été très gentil et disponible pour moi et qui a même accepté que mon épouse m'accompagne.

 

Mais au-delà des films, j'ai envie de dire que surtout, le BIFFF est un lieu où les gens sont heureux de venir, de se retrouver et de communier devant un genre qu'ils affectionnent, le fantastique.

C’est l'occasion de boire une bière entre amis, de discuter du film qu'on vient de voir, de se faire embêter par les créatures (les animateurs déguisés) et puis il y a eu beaucoup de moments sympas comme les chansons des invités et le rafting dont je vous ai déjà parlé.

 

Et aussi des rencontres comme Damien Granger (je suis complètement fan vu que j'ai quasiment tous les Mad movies chez moi) et aussi Richard,  qui vend des DVD (j'ai trouvé pas très cher une édition de Sharknado que je n'avais pas !) et encore bien d'autres.

 

Mais surtout, la grande star du festival, ça reste le public qui est vraiment très drôle avec ses réflexions ("la porte", "tuer encore, plus jamais", "elle est encore chaude" (ma femme a moins ri, mais bon, lol) et son humour.

 

J'ai juste eu une fois quelqu'un de pas très drôle qui criait "mets ta bite" à chaque fois, c'était assez saoulant.

 

Je remercie encore Stéphane de m'avoir accordé sa confiance et aussi les organisateurs et au service de presse  du festival qui ont tous été très gentil avec moi.

 

Je vous donne rendez-vous très bientôt pour de nouvelles aventures.

 

 

Hugues Tayez

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De Sang et de Rage Tomi Adeyemi

De Sang et de Rage

Tomi Adeyemi

 

Bientôt sera enfin disponible en version française, cette œuvre très différente de ce que l’on a l’habitude de lire en France.

 

Les origines nigérianes de Tomi Adeyemi lui font situer l’action en Afrique, fait rare pour un roman fantastique de ce situer sur ce continent trop méconnu des occidentaux, et particulièrement les légendes, contes et œuvres des genres de l’imaginaire.

 

On y perçoit l’antagonisme entre le pouvoir empreint d’occidentalisme et les traditions ancestrales locales.

 

On ne lâche pas ce livre, même si certains passages peuvent être très durs,  les croyances et la culture africaine sont la base de cette œuvre,

 

Au-delà des nombreux rebondissements, les passages d’un personnage à l’autre dopent la lecture de ce livre.

 

J’ai le sentiment que l’on risque un jour, peut-être pas si lointain qu’une adaptation cinéma ne serait pas à attendre trop longtemps, du moins son annonce.

 

Tomi Adeyemi a répondu à un entretien dans une vidéo,  sur la comparaison avec l’auteure d’Harry Potter : JK Rowling !  Dont vous trouverez le lien ci-dessous.

 

Article basé sur un exemplaire non-corrigé.

 

Sortie prévu le 2 mai 2019.

 

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Résumé du livre :

Ils ont tué ma mère.

Ils ont pris notre magie.

Ils ont voulu nous éliminer.

À présent, dressons-nous.

 

Il fut un temps où la terre d'Orïsha était baignée de magie. Mais une nuit, tout a basculé, le roi l'a fait disparaître et a asservi le peuple des majis. Zélie Adebola n'était alors qu'une enfant. Aujourd'hui, elle a le moyen de ramener la magie et de rendre la liberté à son peuple - même si face à elle se dresse le prince héritier du trône, prêt à tout pour la traquer.

 

Dans une Afrique imaginaire où rôdent les léopardaires blancs et où les esprits ont soif de vengeance, Zélie s'élance dans une quête périlleuse...

 

Biographie :

Né(e) à : San Diego, Californie, le 01/08/1993, de nationalité américaine.

 

Tomi Adeyemi est un romanciere nigériane américain et un coach en création littéraire. Elle est connue pour son livre Children of Blood and Bone, la première de la trilogie Legacy of Orïsha publiée par Henry Holt Books for Young Readers.

 

Diplômée en littérature anglaise de l'Université Harvard, elle étudie, grâce à une bourse, la mythologie et la culture ouest-africaines à Salvador, au Brésil.

 

Après son retour aux États-Unis, elle s'installe en Californie et travaillé pour une société de production cinématographique à Los Angeles.

 

En 2018, elle publie son premier roman, "Children of Blood and Bone" (De sang et de rage), le premier tome d'une série, "Legacy of Orisha".

 

Son livre, un roman fantasy pour les adolescents et jeunes adultes, a été classé dans les meilleures ventes du New York Times. 20th Century Fox a acheté les droits pour une adaptation cinématographique.

 

Son deuxième roman, "Children of Virtue and Vengeance" sortira en juin 2019.

Tomi Adeyemi vit à San Diego et enseigne l'écriture créative via son site.

Entretien avec l’auteure

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