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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #fantastique

Kaleidos T01 La Mer-Suspendue

Kaleidos T01 La Mer-Suspendue

Kaleidos T01

La Mer-Suspendue

Septembre 2023

J’ai  particulièrement apprécié les tons pastel de cet ouvrage destiné aux 8-14 ans.

Prévue en 3 volumes dont le second paraitra fin 2023.

Le scénario est absolument passionnant et bien adapté au public visé.

Je recommande aux parents d’en faire l’acquisition pour leurs enfants.

Le principal héros ne se destinait pas à connaitre de telles aventures, bien au contraire il était très heureux dans son rôle de balayeur de bibliothèque !

 

 

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Kaleidos est un monde fantastique délaissé par ses dieux sur lequel les différents peuples expérimentent pour la première fois le libre-arbitre. Un univers tout public bourré d'action et de personnages attachants.

 

Le jeune Jharzafat est un velkuin plutôt adepte du récurage de bibliothèques à la serpillère que de l'exploration du monde sauvage et de l'étude sur le terrain de la faune qui le peuple. Mais lorsqu'il se trouve sur le chemin de Qwydine, une princesse paltrii, et de sa dangereuse et fougueuse nurse-guerrière, son destin va prendre une tournure qu'aucun oracle de Kaleidos n'aurait pu prédire.

 

Lucio Leoni

Illustrateur,

LUCIO LEONI réside en Italie. Il a étudié à la Scuola del Fumetto de Milan et au Graphic Study Telloli à Monza. Il fait ses premiers pas comme dessinateur pour Disney. à travers l'agence Epierre, il collabore sur de des numéros de Paperfantasy, Paperino, Paperinik et contribue à donner vie à Topolino (Mickey, pour les Italiens). Il travaille d'arrache-pied pour de nombreux magazines comme Prezzemolo, Topo Gigio ou encore Arthur King. Il devient ensuite l'un des créateurs du magazine Ink des Editions Penguin's. Chez Soleil, il a travaillé sur diverses séries, telles qu’Alice Matheson, Oracle, Les Brumes d’ Asceltis, etc.

 

 

Emanuela Negrin

Illustrateur,Coloriste

EMANUELA NEGRIN est née à Monza (Italie) où elle réside. Autodidacte, elle travaille d'abord avec Lucio Leoni comme encreur, puis sur divers scénarios et personnages. Récemment, elle a commencé une activité de coloriste. Au Lombard, elle travaille sur la série L'instit Latouche, en collaboration avec Lucio Leoni. Ils publient tous deux sous le nom de « Leogrin », contraction de leurs deux patronymes. Chez Soleil, avec Lucio Leoni, elle collabore aux séries Les Brumes d'Asceltis, Alice Matheson et Oracle.

 

 

mOTUS

Illustrateur,Scénariste

 

 

INFORMATIONS SUR L'ALBUM

Série Kaleidos

Collection Jeunesse

EAN 9782413049340

Dimensions 24.2 x 32 x 1 cm

Nombre de pages 56

Kaleidos T01 La Mer-Suspendue

Kaleidos T01 La Mer-Suspendue

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Rémina - Édition prestige

Rémina - Édition prestige

Rémina - Édition prestige

 

Rémina, sous-titré La planète de l'enfer en français, est un seinen mangas de Junji Itō, prépubliés dans le magazine Big Comic Spirits puis publié par Shōgakukan en un volume relié sorti en août 2005. La version française a été éditée par Tonkam dans la collection « Frissons » en un tome sorti en janvier 2008.

 

Cette édition de prestige ravira les fans de cet auteur et des seinen en  général.

Il s’agit d’une version intégrale de l’œuvre.

 Compléter par une nouvelle intitulé « Des millions de solitaires ».

 Lecture dans le sens japonais.

 

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La planète de l'enfer

Publié une première fois en 2008 par les éditions Tonkam, retrouvez Rémina en édition prestige !

Le professeur Oguro découvre une planète inconnue apparue soudainement par un trou de ver" et la baptise "Rémina" du prénom de sa fille unique. Sa trouvaille est applaudie partout dans le monde, et sa fille devient du jour au lendemain l'idole des foules... mais la planète Rémina avale les autres planètes les unes après les autres et menace maintenant notre globe !

 

 

Junji Ito

Mangaka, Illustrateur,Scénariste,Coloriste

JUNJI ITÔ est né le 31 juillet 1963  dans la préfecture de Gifu, au Japon.

Il commence à dessiner dès son plus jeune âge. Fortement influencé par les oeuvres de Kazuo Umezu, un des premiers mangakas d’horreur, il se dirige très vite vers ce secteur pour en devenir l’un des maîtres aujourd’hui. Il publie son premier manga en 1987 : Tomié, dans un magazine féminin spécialisé dans les récits d’horreur, pour lequel il remporte une mention spéciale au Prix Kazuo Umezu, présidé par son idole. Il continue alors sur sa lancée, en publiant Spirale dans l’un des plus grands magazines du même genre : Big Comic Spirits à partir de 1998. Parmi ses oeuvres les plus notables figurent également Gyo et Uzumaki. Plusieurs de ses mangas ont été adaptés pour le cinéma et la télévision.

 

Il considéré comme l'un des maîtres du manga d'horreur.

 

Épouse: Ayako Ishiguro (m. 2006), Formation: Nakatsu High School.

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Howard Vernon

Howard Vernon

Howard Vernon

 par Philipe VASSEUR.

Un talent de série A au service du cinéma Z. (1908-1996)

 

S'il est un acteur qui fut remarquable par sa voix, sa prestance et sa gueule de jeune premier, ce fut bien Howard Vernon, d'origine germanique (de père américain et d'une maman suisse, et né en Allemagne). Notre homme démarra sa carrière lors d’un après-guerre soucieux de trouver de bons comédiens pour incarner les officiers nazis dans les films glorifiant la résistance.

 

Howard parle parfaitement trois langues (anglais, allemand, français), il a une voix nasillarde à nulle autre pareille ; sa formation théâtrale, son passé de danseur de claquette et son visage à la fois beau et inquiétant complètent à merveille le tableau.

 

Il est fait pour ces rôles d'officiers allemands, au même titre que Erik von Stroheim ! Hélas, les étiquettes empêchent souvent d'étendre les champs artistiques. Vernon réalise une prestation époustouflante dans le film de Melville, le Silence de la Mer, en 1949, mais il peine à trouver les voies de la notoriété. Certes il enchaîne les tournages, souvent les méchants et/ou les gangsters, sans retrouver un rôle à la hauteur de cet officier allemand pacifiste que lui avait offert Melville.

 

Survient alors la rencontre avec l'infatigable faiseur de films Z, nous avons nommé l'inénarrable Jess Franco. Franco l'embauche dans ce qui sera un de ses premiers (et meilleurs) films, l'horrible Docteur Orlof, tourné en noir et blanc et sorti en 1962. Un château, un savant fou, sa fille entre la vie et la mort à qui il veut transplanter une nouvelle peau prélevée sur des jeunes femmes qu'il assassine : tous les ingrédients sont réunis pour concrétiser un kitsch d'horreur.

 

Après quoi, Vernon rentre de plain-pied dans la série B et Z tant qu'à faire et, au contraire d'un Klaus Kinski ou d'un Christopher Lee, il ne sortira plus jamais du bouillon de nanardises. Il aime d'ailleurs à y plonger essentiellement avec Jess Franco car c'est avec le réalisateur, de plus en plus fou au fil des années, qu'il tourne le plus.

 

Dans cet avalanche de scénarios à la mords-moi le nœud où se mêlent érotisme, gore, fantastique, Howard Vernon s'en tire cependant toujours à bon compte. Il est rappelé de temps en temps par des auteurs de renom (Godard pour Alphaville, Frankenheimer, Fritz Lang), mais il est déjà trop tard : Vernon est pour toujours et à jamais estampillé "star du cinéma bis". Il boucle d'ailleurs la boucle en 1988 lorsqu'il apparaît, à 80 ans, dans le film Les Prédateurs de la nuit, jouant justement le docteur Orlof, chargé d'opérer 25 ans après le film éponyme les filles kidnappées par le directeur de la clinique les Mimosas.

 

 En fin de carrière, Vernon jouit cependant d'une réhabilitation bien qu'il ait joué dans à peine 10 films "d'auteur" (sur les 152 auxquels il a participé).

 

 Il décède en 1996 et nous, fans de cinéma bis, sommes ravis qu'il ait pu être l'un des plus dignes de nos ambassadeurs. Rien que pour cela, nous disons "Chapeau l'artiste".

Howard Vernon

Howard Vernon

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Les 5 terres T11 "Tomber vraiment"

Les 5 terres T11 "Tomber vraiment"

Les 5 terres T11

"Tomber vraiment"

 

Cet avant dernier tome du second cycle, met en avant le Sistre toujours aussi cruel et déterminé a ce venger.

 

J’aime cette série, même si je dois la déconseillé aux personnes sensible, en raison de certaines scènes.

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Le Sistre a trouvé refuge auprès de la secte du Lantana, mais la stratégie d'Alissa l'a fragilisé. Attaqué de toutes parts, il va devoir montrer qu'il est le plus fort... Ou disparaître.

 

L'incendie du Palais a sauvé le Sistre, mais laissé tout le monde sous le choc. Alissa a fort à faire pour remonter le moral des troupes et faire valoir le bien-fondé de sa stratégie. Tandis que Shin Taku s'entête, que Thori doit affronter l'échec et qu'Otsue et Thori font une découverte surprenante, au Palais, Keona et Yero trompent l'ennui d'une drôle de manière...

 

 

 

Lewelyn

Illustrateur, Scénariste

LEWELYN est un collectif composé de

 

Andoryss

Illustrateur, Scénariste

Andoryss est née en 1981 à Saintes. Elle réside en Seine Saint-Denis.

Après un Bac S, elle obtient une maîtrise puis un CAPES de biologie-géologie. Depuis 2005, elle est professeur de SVT au collège mais n’a jamais perdu de vue sa passion pour la littérature et l’écriture. Depuis l’âge de 8 ans, elle n’a cessé d’écrire des romans sans jamais les proposer à un éditeur. Dévoreuse de bande dessinée franco-belge et de manga, elle propose son premier scénario de BD sur Café Salé et attire l’intérêt du dessinateur Marc Yang. En 2011, elle débute la série Les Enfants d’Evernight  avec Yang aux Éditions Delcourt. En 2012, elle écrit le scénario de 7 naufragés pour la deuxième saison de la série concept . En 2013, elle publie en un an les trois tomes de Le Cercle , un comics à la française, dessiné par Nesskain.

 

David Chauvel

Illustrateur, Scénariste

David Chauvel est né en 1969 à Rennes et réside à Quimper. Chômeur après l’obtention poussive d’un BTS Commerce international, il dépense ses allocations en BD. Une vocation naît : il sera scénariste et rejoint le studio Atchoum. Après des récits courts, il écrit « Black Mary », dessiné par Erwan Fagès.

 

Suivent les séries « Rails », avec Fred Simon, « Les Enragés » avec Erwan Le Saëc et « Nuit Noire » avec Jérôme Lereculey. D’abord marqué par la « nouvelle vague britannique » (Moore, Gaiman) et le polar, il élargit sa palette avec « Ring Circus » ou « Arthur » et rencontre aussi le succès en jeunesse, avec « Popotka » » et Octave », séries plusieurs fois primées.

 

Fin 2004, il se lance dans le métier d’éditeur avec la série-concept « 7 » et édite des one-shots comme « Come Prima », Fauve d’Or en 2014 ou « L’Homme Gribouillé », de Lehman et Peeters… tout en continuant d’écrire, par exemple le pavé politique « Res Publica » ou la série « Les 5 Terres ». Aujourd’hui, il partage son temps entre son travail d’éditeur et de scénariste.

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-Patrick Wong est un auteur polyvalent. Il débute l’écriture via des scénarios de courts-métrages puis s’approche de la photographie. En parallèle, il se lance dans les études de sociologie et des sciences politiques. Après ses études, il travaille dans le journalisme et la communication, tout en continuant à explorer la photographie. C’est en écrivant un article sur la petite délinquance qu’il se lance dans l’écriture d’un scénario pour un roman graphique. La rencontre avec Karim Friha, auteur de bandes dessinées, va le conforter et le professionnaliser dans cette voie. Il signe alors son premier livre avec les éditions Delcourt.

Jérôme Lereculey

Illustrateur,

Jérôme Lereculey est né le 12 janvier 1970 à Saint Malo. Il réside aujourd’hui à Cancale. Après le Bac, il suit des études scientifiques, et intègre une école d’ingénieur textile. Parallèlement, il suit pendant huit ans les cours périscolaires de l’école des Beaux-Arts de Rennes. Puis, pendant un an, il prend des cours du soir de nu à Mulhouse. Son apprentissage de l’art de la bande dessinée s’affirme à travers l’association Atchoum qu’il crée à Rennes avec Fagès, Le Saëc et Duval. Il progresse grâce à Plessix, Rollin et Pellerin qui lui apprennent à maîtriser son style. Lereculey obtient le prix Ballon Rouge, prix du meilleur dessinateur, pour un polar sorti de l’imagination débridée de David Chauvel : Nuit Noire . Puis, ils se retrouvent revisitant les mythes gallois pour une adaptation en bande dessinée de la vie du roi Arthur. En 2007, il dessine un tome de 7, Sept voleurs , avec toujours David Chauvel au scénario. Et en 2019, il dessine la série 5 Terres qui va vite devenir un succès public et critique.

Dimitris Martinos

Illustrateur, Scénariste, Coloriste

 

INFORMATIONS SUR L'ALBUM

Série Les 5 Terres

Collection Terres de légendes

EAN 9782413047599

Dimensions 23 x 32 x 1.2 cm

Nombre de pages 56

Les 5 terres T11 "Tomber vraiment"

Les 5 terres T11 "Tomber vraiment"

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Festival européen du film fantastique de Strasbourg.

Festival européen du film fantastique de Strasbourg.

Festival européen du film fantastique de Strasbourg.

 

La fin de cet article vous trouverez en téléchargement gratuit et légal le programme complet du festival.

 

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Le Festival européen du film fantastique de Strasbourg est un rendez-vous majeur du cinéma fantastique en France et constitue, parmi les événements européens, l’un des plus complets du genre. Il met en avant les nouvelles productions internationales du cinéma fantastique tout en faisant la part belle aux thrillers, films et comédies noirs, ainsi qu’aux jeux vidéo et au cinéma en réalité virtuelle. Il propose également de nombreuses rétrospectives de films, témoignant de son attachement profond au patrimoine cinématographique.

 

En sa qualité de membre affilié à la MIFF (Méliès International Festivals Federation), le festival de Strasbourg organise en France la compétition du Méliès d’argent du meilleur film fantastique européen. Les lauréats de ce prix sont automatiquement sélectionnés pour le Méliès d’or qui est remis chaque année dans le cadre de l’un des festivals de la MIFF. Pour plus d’informations à ce sujet, voir : www.melies.org.

 

La programmation éclectique du Festival de Strasbourg, mêlant cinéma indépendant, cinéma de studios, cinéma d’auteur et cinéma de niche, à laquelle s’ajoutent des manifestations parallèles très diverses, attire chaque année un public nombreux et varié. En 2019, il a accueilli au total plus de 33 000 personnes et présenté 46 longs-métrages, 22 films de rétrospectives et 18 courts-métrages (voir sections et prix).

 

De nombreux événements sont organisés en parallèle chaque année, et notamment : des master class avec de grands réalisateurs et professionnels de l’industrie cinématographique, des interventions artistiques dans des musées, des conférences, ateliers et expositions, ainsi que la zombie walk et le Village du Festival qui propose des activités pour petits et grands. Outre les projections en plein air, qui attirent chaque année 4 000 spectateurs, le festival de Strasbourg propose également des événements originaux autour du cinéma, comme en 2016 avec la projection des Dents de la Mer aux Bains municipaux de la ville, à laquelle les spectateurs ont pu assister sur des sièges flottants.

 

En 2012, le Festival a enrichi son offre en proposant des événements au Shadok, centre d’arts numériques, axés sur les jeux vidéo, la création numérique et les expériences en réalité virtuelle. En 2020, la section trouve son nom : Connexions. Parmi les temps forts, on citera l’Indie Game Contest pour les développeurs indépendants de jeux vidéo, des installations de créateurs numériques issues d’un programme de résidence d’artistes, ainsi que le VR Film Corner, présentant les dernières tendances du monde à 360° du cinéma en réalité virtuelle.

 

Chacun trouvera son bonheur dans cet événement convivial réunissant cinéphiles, geeks, fanboys et fangirls et spectateurs plus classiques, pour dix jours de festivités et de découverte cinématographique dans l’une des plus belles villes de France, qui manifeste ainsi tout son amour pour le septième art.

Programme complet du Festival européen du film fantastique de Strasbourg.

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Couverture : Régis Brin Deau

Couverture : Régis Brin Deau

AOC N°69

Aventures Oniriques et Compagnie.

Nouvelles Articles sur l’écriture Bande dessinée

Science-fiction Fantasy   Fantastique

Été 2023

 

Ce numéro nous offre 4 nouvelles dont celle de Clémentine Charles « Morts-de-fin » que j’ai particulièrement appréciée, sans que les 3 autres soient à démériter.

 

Vous retrouverez bien sûr les rubriques habituelles de ce fanzine : Livres, BD  …

Et un appel à texte si vous souhaitez participer à cette revue.

 

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Sommaire d'AOC N°69

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Abonnement AOC

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Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires par NATASHA BEAULIEU

Perles noires

par NATASHA BEAULIEU

Entrevue

 

Pourquoi avez-vous eu envie de replonger dans cet univers avec Jimmy Novak et Tura Sherman ? Qu’est-ce que les années qui ont passé entre L’Ombre pourpre et Les Perles noires ont apporté à votre écriture ou à l’histoire ?

 

Dix-huit ans plus tard, j’ai eu besoin de reconnecter avec Jimmy Novak et Tura Sherman. Je devais découvrir où ils en étaient dans leur vie. C’était une manière de mieux comprendre où j’en étais dans la mienne.

 

Pour Les Perles noires, j’ai choisi de garder le même style d’écriture que les autres romans des « Cités intérieures ». Mais, surtout, on y retrouve des personnages solitaires et marginaux qui évoluent dans une ambiance gothique urbaine. Nous sommes dans le suspense fantastique. C’est ce qui fait la particularité des « Cités intérieures » et donc, des Perles noires.

 

Pouvez-vous nous parler un peu plus de l’Eau noire ? Que permet-elle ?

 

L’Eau noire est une métaphore de ma vision de la réalité. Tout ce que l’esprit est capable de concevoir a existé, existe ou existera un jour, quelque part, explique Stick à son frère Jimmy Novak, qui a peint un monde imaginaire auquel il a finalement pu accéder. L’Eau noire est une ouverture vers le monde des Cités intérieures, accessible à certains personnages des Perles noires. En cours d’écriture du roman, mon père est mort. J’ai alors compris que l’Eau noire pouvait aussi anticiper ce qui se passe après la mort.

 

Pourquoi l’histoire se passe-t-elle en grande partie à Montréal et au Japon ?

 

Jimmy Novak, un des personnages principaux des Perles noires et des Cités intérieures, est né à Montréal. Le coeur de cette saga se situe dans le parc La Fontaine, dans le bassin nord, près de la fontaine. C’est là que l’Eau noire apparaît la première fois. J’aime situer mes romans à Montréal, la ville où j’habite, et dans des villes que j’ai visitées et appréciées. Ma ville préférée est Londres mais, pour Les Perles noires, Stick devait arriver très loin de Montréal pour que sa quête de retrouver Jimmy soit plus captivante. C’est pourquoi j’ai choisi Tokyo.

 

Grâce au personnage d’Iki Yoshioka, on peut découvrir le Japon, ses quartiers, ses habitants et traditions. Avez-vous un intérêt particulier pour la culture japonaise ?

 

À l’adolescence, après l’Angleterre, je voulais visiter le Japon. J’y suis finalement allée en 2019. J’ai vécu dans le quartier Kabukicho, à l’hôtel Gracery, où une partie des aventures de Stick et Iki se déroulent. J’ai donc pu décrire l’ambiance du red light tokyoïte avec précision. J’ai grandi avec Minifée, Ultraman et Godzilla. Puis sont venus les jardins japonais, les sushis et l’art du zen. Plus tard, j’ai découvert l’auteur Haruki Murakami et sa trilogie IQ84 dans laquelle fantastique et réalité sont indissociables. Depuis, il m’arrive de penser que j’écris aussi du réalisme magique plutôt que du fantastique pur.

 

Pour quelles raisons Jimmy Novak ouvre-t-il le Penlocke ? Et pourquoi a-t-il choisi d’utiliser la réalité virtuelle dans son bar ?

 

Jimmy Novak  à cœur de réaliser le Penlocke, un projet créatif d’envergure qui mijote en lui depuis des années. Le soir de l’inauguration, s’y déroule un événement singulier qui lui permettra de bientôt réaliser son but secret : celui de retourner dans le monde imaginaire qu’il a peint sur un mur, 22 ans plus tôt. Novak choisit les réalités virtuelles et augmentées parce qu’elles lui permettent de recréer son monde imaginaire de manière plus concrète qu’une oeuvre peinte. Il apprécie les possibilités des nouvelles technologies et de l’interactivité, qui lui permettent de transcender son art.

 

Pourquoi avez-vous décidé de séparer les points de vue entre plusieurs personnages pour en faire un roman choral ?

 

J’aime beaucoup cette manière de construire un roman car elle contribue à augmenter l’effet de suspense. Avec Les Perles noires, j’ai choisi garder le même genre de narration que les autres romans des Cités intérieures. Je trouve que les trames parallèles qui finissent par se croiser ressemblent à la réalité. Nous vivons chacun et chacune dans notre bulle, puis nous allons rejoindre la bulle de quelqu’un d’autre et nous réalisons que nous connaissons quelqu’un en commun et une partie de sa bulle se greffe aussi à la nôtre. C’est comme ça que nous découvrons de nouveau allies.

 

 

 

Pour quelles raisons aimez-vous mettre en scène des personnages qui sont différents des autres, des marginaux ?

 

Parce que je me suis toujours sentie marginale, alors je m’identifie à eux. Je suis l’androgyne Stick, le peintre Jimmy Novak, la dominatrice Tura Sherman et un peu de tous les personnages des Perles noires. À travers leur marginalité, ce sont des facettes de moi-même que j’exprime : traits de caractère, fascinations, désirs, expériences de vie…

 

Mes personnages s’inspirent aussi parfois de gens que j’ai côtoyés. Peu importe, tous m’aident à mieux comprendre qui je suis et pourquoi j’écris ce que j’écris. C’est une analyse psychologique en constante évolution, et je continue donc à réfléchir sur ce sujet.

 

Qu’est-ce qui vous plaît dans le genre du fantastique ?

 

Le fait de pouvoir imaginer des choses qui ne se peuvent pas, en principe, mais pour lesquelles il n’existe aucune preuve qu’elles sont impossibles. Par exemple, l’Eau noire. Peut-être existe-t-elle déjà, quelque part, mais que personne n’a pu revenir nous le confirmer après s’y être immergé. Dans Les Perles noires, il est aussi question d’extraterrestres. Mythe ou réalité ? Stick possède le don d’interrompre le fil du temps, le temps de lire une information dans l’esprit d’un individu. Certes, je ne connais personne qui en est capable, mais qui peut affirmer que ce ne sera jamais possible ?

 

Bien des mystères sont soulevés dans cette histoire. Plusieurs se résolvent mais d’autres restent en suspens. Est-ce que vous prévoyez une suite aux Perles noires ? Et si oui, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce à quoi on peut s’attendre ?

 

On m’avait posé la question à la publication de L’Ombre pourpre. J’avais alors répondu que je ne le savais pas. Y aura-t-il une suite aux Perles noires ? Je ne le sais pas plus. J’aime qu’un roman me laisse de l’espace pour me questionner. Que l’intrigue ne soit pas totalement résolue peut m’agacer mais, si j’ai apprécié l’expérience de lecture, le plaisir va se poursuivre au-delà car l’œuvre va m’habiter plus longtemps. La marge entre le réel et la fiction ne cesse de rétrécir. On ne peut pas tout expliquer dans le réel. Comment le pourrait-on, dans la fiction ?

 

Natasha Beaulieu, merci !

Biographie/ Bibliographie

NATASHA BEAULIEU a grandi dans un environnement propice à stimuler l’imagination. Elle a écrit ses premiers textes toute jeune et, au fil des ans, elle a exploré différentes formes d’art (danse, théâtre, musique, cinéma, dessin de mode et haute couture).

 

Après avoir obtenu un diplôme de l’Université Concordia en Fine Arts (cinéma et littérature), elle a été, entre autres, journaliste, rédactrice pigiste et libraire. Si la trilogie fantastique des « Cités intérieures » a révélé le « noir talent » de Natasha Beaulieu au grand public, c’est avec Le Deuxième Gant qu’est née sa réputation de grande prêtresse des amours déjantés... Les Perles noires est son septième roman paru chez Alire.

 

DE LA MÊME AUTEURE

 

LES CITÉS INTÉRIEURES

1. L’Ange écarlate. Roman.

Beauport : Alire, Romans 033, 2000.

2. L’Eau noire. Roman.

Lévis : Alire, Romans 067, 2003.

3. L’Ombre pourpre. Roman.

 

Lévis : Alire, Romans 096, 2006.

Le Deuxième Gant. Roman.

Lévis : Alire, GF, 2010.

Lévis : Alire, Romans 144, 2012

.

Regarde-moi. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2012.

Lévis : Alire, Romans 160, 2014.

 

Le Secret du 16 V. Roman.

 

Lévis : Alire, GF, 2014.

Lévis : Alire, Romans 183, 2017.

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Gérard Kikoïne par Philippe Vasseur.

Gérard Kikoïne par Philippe Vasseur.

Gérard Kikoïne par Philippe Vasseur.

 

 

Docteur Jekyll and Mister Hyde, version 1989 réalisé par Gérard Kikoïne et interprété par le magistral Anthony Perkins.

 

Nous avons découvert ce film récemment avec un grand intérêt, après être, depuis tant d'années, resté focalisé sur la version 1941 réalisée par Victor Fleming et interprétée par l'incomparable Spencer Tracy. D'ailleurs il ne sert à rien de comparer les deux versions, il faut simplement les apprécier de différentes façons. L'approche de Kikoïne est fidèle à ses attachements filiaux au cinéma Bis et ses inévitables touches "érotiques".

 

Le Docteur Jekyll 1989 restitue à merveille l'époque Victorienne, dans ses costumes, ses décors. La photo est percutante, les couleurs étincèlent et participent à cette mise en œuvre "vintage et épouvante" digne de certains clips punks ou gothiques des années 80. Compte tenu des antécédents de Kikoïne, il semblait assez logique qu'il puisse mêler la légende de Jekyll et Hyde à l'épopée de Jack l'Eventreur, en y rajoutant la petite dose d'érotisme dont lui seul a le secret.

 

Il parvient aussi à y inviter adroitement les consommations de crack et de cocaïne, ces deux substances qui font basculer notre protagoniste dans une folie meurtrière. Mais, si cette version se révèle l'une des adaptations les plus singulières du roman de Stephenson, cela tient avant tout à l'omniprésence de l'immense et torturé Anthony Perkins. Perkins, après son rôle emblématique de Norman Bates dans le non moins emblématique Psychose de Hitchcock en 1960, n'avait finalement jamais rejoué un rôle à la mesure de son talent pour les films "angoissés", sauf peut-être dans l'excellent les jours et les nuits de China Blue, de Ken Russel.

 

Déjà très entamé par le Sida qui aura hélas raison de lui trois ans plus tard, Perkins trimballe sa grande dégaine trop maigre dans les rues sombres de Londres avec un brio tragicomique. Il en fait des tonnes certes, néanmoins ce jeu excessif demeure une réjouissance pour les puristes du cinéma Bis que nous sommes.

 

Les seconds rôles sont très secondaires, ce qui n'est en rien une critique négative car la semi-transparence des acteurs redonne à Perkins toute sa singularité de personnage principal.

 

Après tout, n'est-il pas "deux héros" dans le film : un médecin méticuleux, bourreau de travail le jour et égorgeur pathologique de femmes la nuit ? Glynis Barber, l'épouse du docteur, est certes touchante et très belle, mais elle ne laisse pas non plus un souvenir impérissable. Quant aux deux personnages de la prostituée et du rabatteur un tantinet androgyne, ils sont effectivement marquants et jouent leur partition de déglingués à merveille, mais leur apparition reste brève.

 

A sa sortie, la critique ne fut pas si élogieuse, pourtant on ne peut que saluer l'esthétisme et l'inventivité scénaristique. Il n'était pas question ici de reproduire une descente aux enfers psychologique qu'un Spencer Tracy avait magnifié, il fallait trouver d'autres ficelles à l'intrigue de Stephenson, et Kikoïne les a tirées habilement dans les dédales d'un Londres débauché, des scènes ubuesques et très belles (Jekyll et Hyde pris en conflit face au miroir tandis que sa femme l'attend impatiemment au pied du lit), un traumatisme d'enfance et la quête d'une vie sans interdits, sans limites.

 

 Pour ne pas déroger à la recette des films fantastiques, la fin est totalement amorale. La pauvre épouse du docteur Jekyll a fini elle aussi par se faire trucider et... l'assassin continue de hanter les rues sombres de la capitale anglaise. Comme un clin d'œil au film Psychose lorsque, dans la dernière scène, la fausse mère en perruque et en fauteuil roulant fait apparaître le visage de Perkins, ici le reflet de l'acteur s'aperçoit à travers une fenêtre de sa maison. Est-ce un hasard ou pas ? En tout cas cette image offre une très belle signature à un film qui reste, selon nous, une très belle référence des films horrifiques des années 80.

Anthony Perkins

Anthony Perkins

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Jean Rollin

Jean Rollin

Jean Rollin

par Philippe Vasseur

 

Un génie incompris du cinéma bis : Jean Rollin, né en 1938 et décédé en 2010. Jean Rollin est sans nul doute le cinéaste auquel nous, Cercle des Poètes, sommes le plus attachés.

 

Evidemment, Jean Rollin mérite bien mieux qu'un article sur une page FB, mais si cela peut permettre de susciter l'envie de découverte chez certaines personnes qui ne le connaissent pas, alors oui cela vaut la peine de lui rendre ce court hommage.

 

Influencé par les mouvements surréalistes et dadaïstes auxquels adhérait son artiste de maman, Jean Rollin va partir sur cette base pour construire une œuvre autour du gothisme, du vampirisme et de l'érotisme. D'accord, il faut adhérer au concept mais si c'est le cas, on bascule avec Rollin dans autre chose que les conventions habituelles du film fantastique et d'épouvante. Ses films ont d'emblée déplu à ceux qui attendaient justement cette convention quand bien même certains longs métrages sont de véritables chefs-d'œuvre (le Viol du vampire, 1968).

 

Hélas Jean Rollin n'a jamais eu la reconnaissance artistique qu'il méritait, ni même financière car il dut parfois se résoudre à réaliser de concrets et basiques films pornographiques pour se refaire une santé matérielle. Ce sur quoi il est important d'insister, c'est aussi son approche aux femmes : contrairement à Jess Franco qui s'en servait essentiellement comme faire-valoir sexuel, Jean Rollin, lui, leur accordait un réel pouvoir.

 

Dans ses films, elles dominent les hommes, elles monopolisent l'intrigue rollinienne. Jean Rollin n'engage pourtant pas d'actrices "connues", il va les chercher dans des films de seconde zone (souvent érotiques, voire pornographiques). C'est ainsi qu'il parvient à convaincre Brigitte Lahaie de sortir des arcanes du cinéma X.

 

Grâce à Jean Rollin (qu'elle considérait comme un second père), elle offre ses prestations les plus intimes et les plus belles même si ce ne sont pas les plus connues (Fascination en 1979, la Nuit des traquées en 1980 et les Mortes vivantes en 1982).

 

A force de ne pas être reconnu à son juste niveau, Rollin finit, au  milieu des années 80, par se détacher du cinéma. Il se consacre à l'écriture et, pour "survivre", devient directeur de collection chez Fleuve-Noir.

 

Il revient en 1997 avec un nouveau film de Vampires et réalise en 2007 une de ses œuvres majeurs La nuit des horloges avec l'actrice X Ovidie.

 

Pour ceux qui n'ont pas vu ses précédents films, celui-ci peut paraître compliqué voire impossible à regarder. En revanche, si on est un fan de la première heure, on ne peut que crier au génie. Jean Rollin est décédé hélas trois ans plus tard d'un cancer, il avait encore des projets plein les tiroirs (le Masque et la Méduse notamment, non sorti en salle mais projeté à la Cinémathèque française).

 

Gardons de cet immense auteur, l'image d'un parfait anticonformiste capable d'une prise de risque insensé pour ne ressembler à aucun autre réalisateur.

 

"Après trois minutes de projection, on savait qu'il s'agissait d'un film signé de Rollin" (Brigitte Lahaie)

Nuit des traquées

Nuit des traquées

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Schlag En Cavale De Philippe Vasseur et FloVass.

 Schlag En Cavale

De Philippe Vasseur et FloVass.

 

Ce roman à quatre mains n’est pas juste un roman policier.

Il y est sujet également de messe noire, de relations Dominant-dominé dans un univers campagnard qui pourrait être le vôtre.

 

Vous trouvez en fin de volume « anthologies vagabondes » un univers Dark et surréaliste

 

 

En fin d’article vous trouverez un extrait du roman policier écrit par PH. Vender et FloVass lut par  Les AntraSiths.

 

 

Lecture déconseillée aux moins de 16 ans. Sous cette réserve je vous le recommande particulièrement.

 

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Mais que signifie ce meurtre sordide, maquillé en cérémonial de messe noire ? Pourtant la belle quadragénaire, reconnue et respectable, n’avait pas le profil pour tomber dans ce piège terrifiant. Quoique… Le théâtre du drame ? Bah, une campagne plutôt tranquille, cela dit il y a des types un peu bizarres qui rôdent dans le secteur: par exemple ce junkie désocialisé, adepte de magie noire… Il avait croisé le chemin de la victime. D’ailleurs tout le monde le recherche depuis qu’elle a été tuée.

 

Et que dire de ce vieux curé colérique, puant le bouc et secrètement l

Mais, vérité, elle éclatera !

 

PH. Vender, quinquagénaire nourri aux polars depuis son adolescence, et FloVass, écrivain compulsif de 23 ans, ont associé leurs talents, leurs dingueries et leurs références, pour nous livrer un premier roman policier démoniaque et parfaitement irrévérencieux. Âmes sensibles s’abstenir.

 

Dans un épilogue, FloVass vous conduira au cœur d’un univers surréaliste, vous y comprendrez peut-être que ses anthologies vagabondes ont un lien très étroit avec schlag en cavale.

 

Broché

216 Pages

 

Dimensions       

15 x 5 x 21 cm

 

Collection          

Anthrasiths

 

Éditeur

Mémoirédition

 

Langue

Français

 

Auteur

Philippe Vasseur et FloVass

 

Âge       

Déconseillé au moins de 16 ans

 

ISBN      978-2957658534

 

Une brève biographie de Philippe Vasseur

 

Philippe Vasseur, écrivain – éditeur, fondateur et gérant de Mémoirédition.

 

L’écriture est une passion chevillée au corps depuis l’âge de 13 ans. Autant que je m’en souvienne, je n’ai jamais cessé depuis tout ce temps d’écrire. Ecrire des histoires inventées, ou celles d’autres personnes, bien réelles.

 

De 2001 à 2007, j’ai exercé à temps plein la profession d’écrivain-biographe en tant que travailleur indépendant. A cette période, j’ai également écrit trois romans dont Les profiteurs en 39-45 toujours disponible sur Internet.

 

L’entité Mémoirédition a été réactivée en janvier 2021 sous le numéro de Siret : 439 328 417 00021. Son statut est une micro-entreprise.

 

 

FLOVASS

Florian Vasseur, vit en Mayenne.

 

Écrivain compulsif, il exprime dans l’art poétique ses fantasmes, ses rêves remplis de mélancolie et de sensualité ; il plonge le lecteur dans sa vision déroutante de la vie, dépeignant une société parfois au bord de l’Apocalypse, et se faisant le porte-parole d’une jeunesse envahie de peurs : peur de l’avenir, de l’amour, de la mort, des autres, de la société, de ses pulsions. Ecrit dans un style Dark  surréaliste. .

Les AntraSiths vous lisent un extrait du roman policier écrit par PH. Vender et FloVass

©FloVASS juillet 2020

©FloVASS juillet 2020

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