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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

SCANDALE À PARIS Douglas Sirk

SCANDALE À PARIS

Un film de Douglas Sirk

 

Comme annoncé il y a peu, nous arrivons au dernier film de la série de films classiques restauré et disponible à partir de cette semaine distribuer par Artus Films. Ce film bénéficie donc d’une nouvelle copie après une restauration 2K.

 

Je vous avais également signalé que ce dernier film, pour cette série, n’était pas un film qu’habituellement nous chroniquons sur notre site, il s’agit cette fois d’une comédie policière.

 

Je n’ai pas voulu séparer ce film des 5 autres juste pour la raison qu’il ne serait pas un film de genre, en plus avec l’approche des fêtes de fin d’années, vous recherchez peut-être des cadeaux qui sortent des grosses productions hollywoodiennes actuelles.

 

Revenons au film « Scandale à Paris » est une comédie policière de Douglas Sirk, ce cinéaste à de nombreux films à son actif (voir biographie et filmographie en fin d’article). Il avait sa propre vision de l’esthétisme du cinéma : un personnage monte un escalier : il progresse s’élève dans la vie, les couleurs avaient de même une signification assez tranchée, pas de demi-teinte ou de pastel.

 

Les vrais amateurs de ce genre de films retrouveront donc une « perle » du cinéma des années 40/50.

  

Résumé du film :

Né en Prison, Vidocq connaît une jeunesse tumultueuse. Grâce à une bande d’escrocs, il se fait passer pour un sous lieutenant de l’armée de Bonaparte et emprunte l’identité de François Vidocq à une pierre tombale. Grand séducteur, il accède, par le biais de sa connaissance du monde de la pègre, au poste de chef de la sûreté et envisage de cambrioler la banque centrale de Paris.

 

Cette fantaisie policière caustique, drôle autant que raffinée, constitue une biographie très libre de l’ex bagnard-aventurier qui sut devenir chef de la police française et instaura des méthodes d’investigation révolutionnaires. Le grand George Sanders (CREPUSCULE, LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY, BEL AMI, RICHARD CŒUR DE LION) habite littéralement ce personnage cynique et hors du commun par le biais de son dandysme, de son flegme et de son élégance toute britannique.

 

Un pur chef d’œuvre !

 

Un classique de la comédie américaine

 

Un classique de la comédie américaine avec :

-              George Sanders (Le portrait de Dorian Gray, Crépuscule, Sumuru la cité sans hommes)

-              Signe Hasso (Othello, La septième croix, Le ciel peut attendre)

-              Un film de Douglas Sirk (Le secret magnifique, Les amants de Salzbourg, Ecrit sur du vent)

 

Suppléments

-              Diaporama d’affiches et photos

-              Films-annonces de la collection Les Classiques

 

USA – 1946

Un film de Douglas Sirk –

Avec George Sanders, Signe Hasso, Carole Landis, Akim Tamiroff

Scénario Ellis St. Joseph -

Musique Hans Eisler –

Photographie Guy Roe –

Montage Albrecht Joseph -

Décors Frank Paul Sylos

 

Durée : 100 minutes

Versions : anglais

Sous titres : français

Format 1.37 original respecté

16/9ème compatible 4/3

Noir et blanc

Tous publics

Prix TTC public : 9,90 euros

Sortie : 5 DECEMBRE 2017

Douglas Sirk

Douglas Sirk

Biographie et Filmographie.

 

Biographie

Né à Hambourg, Douglas Sirk est cependant élevé au Danemark, pays d'origine de sa famille. Adolescent, il rejoint l'Allemagne où son père, journaliste, s'installe définitivement. Étudiant dilettante en droit, philosophie, puis en histoire de l'art (à l'image d'un Mankiewicz, cet excédent de bagage culturel lui confère plus tard un statut d'aristocrate à Hollywood), il obtient pour financer ses études au début des années vingt un premier emploi au théâtre de Hambourg où il monte rapidement ses premières pièces.

 

Fort de quelques succès, il embrasse alors totalement une carrière de metteur en scène au théâtre, en poste successivement à Chemnitz, Brême, Leipzig où il s'installe en 1929. Ses positions lui valent rapidement quelques démêlés avec les nouvelles autorités nazies (sa seconde femme, Hilde Jary, est d'origine juive). Devant le caractère incontournable des complications auxquelles il doit faire face pour monter le moindre des projets, après un premier et dernier coup d'éclat à Berlin, il accepte un poste à la UFA en 1934 où il acquiert au regard des autorités une nouvelle virginité.

 

Entrant de plain-pied dans ce qui est une industrie, Sierck adapte ses ambitions artistiques à ce média populaire par essence. Il obtient rapidement des succès importants. Bien que fortement courtisé, il fuit littéralement l'Allemagne en 1937, laissant derrière lui un fils issu de son premier mariage avec l'actrice Lydia Brincken, devenue adhérente au parti nazi. À la prise du pouvoir par Hitler, cette dernière obtint un jugement interdisant au réalisateur de voir son fils. Embrigadé dans les jeunesses hitlériennes, le jeune enfant devint une star dans quelques films de propagande. Douglas Sirk rejoint alors sa femme dont il est séparé physiquement depuis plusieurs années. Il s'installe brièvement en Italie, puis en France, avant de gagner les États-Unis.

 

Durant les premières années de ce qu'il conçoit alors comme un exil bien temporaire, Sierck, après l'échec de son premier projet avec la Warner, embrasse une brève carrière d'éleveur puis de fermier (années qu'il considère comme parmi les plus heureuses de sa parenthèse américaine). Rattrapé par l'histoire (l'attaque sur Pearl Harbor ouvre une période plombée par des ressentiments anti-germaniques sourds mais généralisés), il est contraint d'abandonner son activité et trouve refuge dans sa famille du cinéma où, bien que porté par son pedigree de réalisateur à succès, il débute comme simple auteur sous le nom américanisé de Douglas Sirk.

 

C'est avec un petit projet indépendant (Hitler's Madman), porté par un groupe de ressortissants germaniques et réalisé en une semaine (la version finalement exploitée sera étoffée, à la demande de Mayer, de plans complémentaires tournés par l'auteur) qu'il ravive l'intérêt des studios en tant que réalisateur. Il consolide cette position avec ses réalisations suivantes, premiers films où il dirige George Sanders qui devient un ami. Sa carrière débute alors réellement, carrière type d'un réalisateur sous contrat à Hollywood se traduisant par une filmographie éclectique. Autant de projets plus ou moins imposés par les pontes des studios auxquels il tente d'imprimer une touche personnelle.

 

De fait, éprouvé par l'attitude des grands industriels d'Hollywood (tout particulièrement Harry Cohn, qu'il juge simplement médiocre), désireux aussi de retrouver des traces de son fils (qu'il ne revoit jamais, car tombé sur le front russe), Sirk abandonne en 1949 cette position pendant un an dans l'espoir de renouer avec son Allemagne. Ce retour au pays s'avère non fécond. Déçu, Sirk rejoint la Californie.

 

Il renoue dans les années 1950 avec des succès publics conséquents (construits en partie autour de l'acteur Rock Hudson dont il fait une star), tout particulièrement une série de mélodrames dans lesquels il finit par imposer une signature. Ces œuvres, aujourd'hui ses plus connues (de Tout ce que le ciel permet à Le Temps d'aimer et le Temps de mourir et Mirage de la vie), sont cependant reçues froidement par ses contemporains, les critiques affichant souvent un mépris plus qu'ouvert. Son œuvre américaine est finalement réévaluée bien après la fin de sa carrière.

  

Filmographie

Réalisateur

 

1934 : Zwei Genies

1935 : La Fille des marais (Das Mädchen vom Moorhof)

1935 : Der Eingebildete Kranke

1935 : Dreimal Ehe

1935 : April, April!

1935 : Les Piliers de la société (Stützen der Gesellschaft)

1936 : 't was een april

1936 : La Neuvième symphonie (Schlußakkord)

1936 : Das Hofkonzert

1937 : La Chanson du souvenir

1937 : Paramatta, bagne de femmes (Zu neuen Ufern)

1937 : La Habanera

1938 : Accord final

1939 : Boefje

1943 : Hitler's Madman

1944 : L'Aveu (Summer Storm)

1946 : Scandale à Paris (A Scandal in Paris)

1947 : Des filles disparaissent (Lured)

1948 : L'Homme aux lunettes d'écaille (Sleep, My Love)

1949 : Jenny, femme marquée (en) (Shockproof)

1949 : Slightly French

1950 : Le Sous-marin mystérieux (Mystery Submarine)

1951 : La Première Légion (The First Legion)

1951 : Tempête sur la colline (Thunder on the Hill)

1951 : The Lady Pays Off

1951 : Week-End with Father

1952 : No Room for the Groom (en)

1952 : Qui donc a vu ma belle ? (Has Anybody Seen My Gal?)

1953 : Meet Me at the Fair

1953 : Take Me to Town (en)

1953 : All I Desire

1954 : Taza, fils de Cochise (Taza, Son of Cochise)

1954 : Le Secret magnifique (Magnificent Obsession)

1954 : Le Signe du païen (Sign of the Pagan)

1955 : Capitaine Mystère (Captain Lightfoot)

1955 : Tout ce que le ciel permet (All That Heaven Allows)

1956 : Demain est un autre jour (There's Always Tomorrow)

1956 : Écrit sur du vent (Written on the Wind)

1957 : Les Ailes de l'espérance (Battle Hymn)

1957 : Les Amants de Salzbourg (Interlude)

1958 : La Ronde de l'aube (The Tarnished Angels)

1958 : Le Temps d'aimer et le Temps de mourir (A Time to Love and a Time to Die)

1959 : Mirage de la vie (Imitation of Life)

1975 : Sprich zur mir wie der Regen

1977 : Sylvesternacht

1979 : Bourbon Street Blues

 

Scénariste[modifier | modifier le code]

1936 : La Neuvième symphonie (Schlußakkord)

1936 : Das Hofkonzert

1937 : La Chanson du souvenir

1937 : Liebling der Matrosen

1937 : Paramatta, bagne de femmes (Zu neuen Ufern)

1939 : Boefje

1944 : L'Aveu (Summer Storm)

1977 : Sylvesternacht

1979 : Bourbon Street Blues

 

Autre

1946 : Le Démon de la chair d'Edgar George Ulmer, pour sa participation à la mise en scène mais il n'est pas crédité.

1974 : Tous les autres s'appellent Ali réalisé par Rainer Werner Fassbinder qui transpose Tout ce que le ciel permet dans l'Allemagne des années 1970, remplaçant le disciple de Thoreau par un travailleur marocain.

2002 : Loin du paradis, réalisé par Todd Haynes, est largement inspiré par l'œuvre de Sirk, et particulièrement Tout ce que le ciel permet.

SCANDALE À PARIS Douglas Sirk
SCANDALE À PARIS Douglas Sirk
SCANDALE À PARIS Douglas Sirk
SCANDALE À PARIS Douglas Sirk

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Rencontre Star Trek French Club LYON

Rencontre

Star Trek French Club

LYON

13 janvier 2018 Lyon

 

Sylvain B., notre ambassadeur Rhône-Alpes, organise une rencontre à Lyon le samedi 13 janvier 2018.

 

Au programme :

 

- Escape game "Orion" à Closed escape game (4, rue de la Martinière 69001 Lyon).

 

Le tarif par personne sera de 35 à 22 € selon le nombre de participants (35 € correspondant à 2 participants et 22 € correspondant à 7 participants). Durée : environ 2 heures.

 

- Dégustation de la galette des rois et/ou jeux de de plateau dans un bar en deuxième partie d'après-midi (à définir et préciser lorsque la salle d'escape sera réservée)

 

(Le programme est susceptible de changement sans préavis selon les circonstances.)

 

La sortie comprenant une escape game nécessitant une réservation, les inscriptions sont donc obligatoires et limitées à 7 participants (organisateur inclus).

 

(Communiqué de Presse)

Espace Game,

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L’ÉTRANGE Mr SLADE

L’ÉTRANGE Mr SLADE

Un film d’Hugo Fregonese

 

Ce film restauré en SD, basé comme beaucoup de triller anglo-saxon et américain sur les évènements de White Chapel, ou si vous préférez sur les meurtres de Jack l’Éventreur, qui ne pouvant pas en douter n’as  pas n’ont pas fini d’alimenter l’imaginaire des scénaristes du 7e Art.

 

Vous l’aurez compris il s’agit d’un thriller avec sa dose d’angoisse, certains diront d’épouvantes, l’épouvante  ne consistant pas forcement a des tonnes d’hémoglobines sur l’écran, mais pouvant, voir devant venir de l’ambiance, des lumières (ou des ombres) et bien sûr du son.  

 

Ce film fait partie de la série de six films restaurés qu’Artus Films sort en DVD, pour les fêtes, bien que le dernier s’éloigne des thématiques habituelles de notre site nous vous en parlerons, car il fait partie à notre sens d’un tout et de plus nous estimons que nous devons encourager les restaurations de films classiques, même si bien sûr nous souhaiterions qu’ils fassent de même avec des films français ou européens à l’avenir.

 

On y trouve deux des plus célèbres visages du cinéma de cette époque, la « Gueule » de Jack Palance  et le visage angélique de Constance Smith (voir leurs biographies et filmographies plus bas).     

 

Jack Palance reçut plusieurs récompenses internationales et joua dans des dizaines de films et série TV jusque dans les années 2000. Constance Smith arrêtera sa carrière six ans après le tournage de Mr.Slade, elle fera une apparition au côté de nombreuse star dans « Shampoo » en 1975.

 

Synopsis

1888. Dans la soirée précédant le troisième meurtre de Jack l’Eventreur, un pathologiste nommé Slade prend pension dans le grenier aménagé de la famille Harley. Très vite, la maîtresse de maison soupçonne ce nouveau locataire d’être le tueur au scalpel qui sème la terreur dans les rues de Londres. Lilly, nièce de cette dernière se sent irrésistiblement attirée par le nouveau venu. Ses jours sont-ils en danger ?

 

Avec cette cinquième adaptation cinématographique du célèbre roman de Marie Belloc Lowndes « The Lodger »,  l’argentin Hugo Fregonese ( QUAND LES TAMBOURS S’ARRETERONT, LE SOUFFLE SAUVAGE, LE RAID) succède sans démériter à Alfred Hitchcock, Maurice Elvey, John Brahm et Godfrey Grayson.

 

Un classique du Thriller américain

 

Un classique du Thriller américain avec :

-              Jack Palance (Le signe du païen, Les Mongols, Dracula et ses femmes vampires)

-              Constance Smith (Le gang des tueurs, Le trésor du Guatemala, Le chevalier de la violence)

-              Un film de Hugo Fregonese (Quand les tambours s’arrêteront, Passage interdit, Les cavaliers rouges)

 

 

Suppléments

-              Diaporama d’affiches et photos

-              Films-annonces de la collection Les Classiques

 

USA – 1953

Un film de Hugo Fregonese – Avec Jack Palance, Constance Smith, Byron Palmer, Frances Bavier

Scénario Barre Lyndon - Musique Hugo Friedhofer – Photographie Leo Tover – Montage Marjorie Fowler - Décors Eli Benneche

 

Durée : 78 minutes

Versions : anglais

Sous titres : français

Format 1.37 original respecté

16/9ème compatible 4/3

Noir et blanc

 

Tous publics

Prix TTC public : 9,90 euros

Sortie : 5 DECEMBRE 2017

Constance Smith et Jack Palance

Constance Smith et Jack Palance

Biographie et Filmographie

Jack Palance

Né le 18 février 1919 à Lattimer Mines  en Pennsylvanie et mort le 10 novembre 2006 à Montecito, en Californie est un acteur américain d'origine ukrainienne.

 

Filmographie

 

Cinéma

1950 : Panique dans la rue (Panic in the Streets), d'Elia Kazan

1950 : Okinawa (Halls of Montezuma), de Lewis Milestone

1952 : Le Masque arraché (Sudden fear), de David Miller

1953 : L'Homme des vallées perdues (Shane), de George Stevens

1953 : Passion sous les tropiques (Second Chance), de Rudolph Maté

1953 : Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead), de Charles Marquis Warren

1953 : Vol sur Tanger (Flight to Tangier), de Charles Marquis Warren

1953 : L'Étrange Mr. Slade (Man in the Attic) d'Hugo Fregonese

1954 : Le Signe du païen (Sign of the Pagan), de Douglas Sirk

1954 : Le Calice d'argent (The Silver Chalice), de Victor Saville

1955 : El Tigre (Kiss of Fire), de Joseph M. Newman

1955 : Le Grand Couteau (The Big Knife), de Robert Aldrich

1955 : La Peur au ventre (I Died a Thousand Times), de Stuart Heisler

1956 : Attaque (Attack), de Robert Aldrich

1957 : Jicop le proscrit (The Lonely Man), d'Henry Levin

1957 : La Cage aux hommes (House of Numbers), de Russell Rouse

1958 : Signes particuliers: néant (The Man Inside), de John Gilling

1959 : Tout près de Satan (Ten Seconds to Hell), de Robert Aldrich

1959 : Flor de mayo, de Roberto Gavaldón

1960 : Treno di Natale

1960 : Austerlitz, d'Abel Gance

1960 : Rewak le Rebelle (The Barbarians), de Rudolph Maté

1961 : Les Mongols (I Mongoli), d'André De Toth et Leopoldo Savona

1961 : Le Jugement dernier (Il Giudizio universale), de Vittorio De Sica

1962 : Le Glaive du conquérant (Rosmunda e Alboino), de Carlo Campogalliani

1962 : Barabbas, de Richard Fleischer

1962 : La Dernière attaque (La Guerra continua), de Leopoldo Savona

1963 : Il Criminale, de Marcello Baldi

1963 : Le Mépris, de Jean-Luc Godard

1965 : Les Tueurs de San Francisco (Once a Thief), de Ralph Nelson

1966 : Les Professionnels (The Professionals), de Richard Brooks

1967 : Le Jardin des tortures (Torture Garden), de Freddie Francis

1967 : Kill a Dragon, de Michael D. Moore

1968 : El mercenario (Il Mercenario), de Sergio Corbucci

1968 : Un Dollaro per 7 vigliacchi, de Giorgio Gentili

1968 : Les Hommes de Las Vegas (Las Vegas, 500 millones), d'Antonio Isasi-Isasmendi

1969 : Pas de pitié pour les héros (L'Urlo dei giganti), de León Klimovsky

1969 : Marquis de Sade : Justine de Jesús Franco

1969 : La Haine des desperados (The Desperados), d'Henry Levin

1969 : Che!, de Richard Fleischer

1969 : La Légion des damnés (La Legione dei dannati), d'Umberto Lenzi

1970 : Le Clan des McMasters (The McMasters), d'Alf Kjellin

1970 : Monte Walsh, de William A. Fraker

1970 : Compañeros (Vamos a matar, compañeros), de Sergio Corbucci

1971 : Trail of Tears, de Lane Slate

1971 : Les Cavaliers (The Horsemen), de John Frankenheimer

1972 : Te deum, d'Enzo G. Castellari

1972 : And So Ends, de Robert Young

1972 : Amigo, mon colt a deux mots à te dire (Si può fare... Amigo), de Maurizio Lucidi

1972 : Les Collines de la terreur (Chato's Land), de Michael Winner

1973 : Craze, de Freddie Francis

1973 : Blu gang vissero per sempre felici e ammazzati, de Luigi Bazzoni

1973 : L'Or noir de l'Oklahoma (Oklahoma Crude), de Stanley Kramer

1974 : Dracula et ses femmes vampires (Dracula), de Dan Curtis

1975 : Africa Express, de Michele Lupo

1975 : Il Richiamo del lupo, de Gianfranco Baldanello

1975 : Défense de toucher (L'Infermiera), de Nello Rossati

1976 : Pour un dollar d'argent (Sangue di sbirro), de Alfonso Brescia

1976 : Diamante Lobo, de Gianfranco Parolini

1976 : Les Sorciers de l'île aux singes (Safari Express), de Duccio Tessari

1976 : The Four Deuces, de William H. Bushnell

1976 : Flics en jeans (Squadra antiscippo), de Bruno Corbucci

1976 : Eva nera, de Joe D'Amato

1976 : God's Gun, de Gianfranco Parolini

1976 : I Padroni della città, de Fernando Di Leo

1977 : Portrait of a Hitman, d'Allan A. Buckhantz

1977 : Welcome to Blood City, de Peter Sasdy

1978 : The One Man Jury (en), de Charles Martin

1979 : Angels' Brigade, de Greydon Clark

1979 : Alerte dans le cosmos (The Shape of Things to Come), de George McCowan

1979 : Cocaïne Cowboys, d'Ulli Lommel

1980 : Voltan le barbare (Hawk the Slayer), de Terry Marcel

1980 : Terreur extraterrestre (Without Warning), de Greydon Clark

1982 : Dément (Alone in the Dark), de Jack Sholder

1987 : Bagdad Café (Out of Rosenheim), de Percy Adlon

1988 : Gor, de Fritz Kiersch

1988 : Young Guns, de Christopher Cain

1989 : Batman, de Tim Burton

1989 : Outlaw of Gor, de John 'Bud' Cardos

1989 : Tango et Cash, d'Andrei Konchalovsky

1990 : Solar Crisis, de Richard C. Sarafian et Alan Smithee

1991 : La Vie, l'amour... les vaches (City Slickers), de Ron Underwood

1992 : Eli's Lesson, de Peter D. Marshall

1993 : Glass Shadow (Cyborg 2), de Michael Schroeder

1994 : Les Robberson enquêtent (Cops and Robbersons), de Michael Ritchie

1994 : L'Or de Curly (City Slickers II: The Legend of Curly's Gold), de Paul Weiland

1994 : The Swan Princess, de Richard Rich

1996 : War Games, de Ken Pisani (court-métrage)

1998 : The Incredible Adventures of Marco Polo, de George Erschbamer

1999 : Treasure Island, de Peter Rowe

2001 : Prancer Returns, de Joshua Butler (vidéo)

 

Télévision

1950 : Lights Out (en) (série télévisée) The Man Who Couldn't Remember (1950)

1952 : Curtain Call (série télévisée) Azaya (1952)

1952 : Studio One (série télévisée) The King in Yellow, de Franklin J. Schaffner (1951)

Little Man, Big World, de Paul Nickell (1952)

1952 : The Gulf Playhouse (série télévisée) Necktie Party (1952)

1953 : Danger (série télévisée) Said the Spider to the Fly (1953)

1953 : The Web (série télévisée) The Last Chance (1953)

1953 : The Motorola Television Hour (série télévisée) Brandenburg Gate (1953)

1953 : Suspense, de Robert Stevens et Robert Mulligan (série télévisée) The Kiss-Off (1953) Cagliostro and the Chess Player (1953)

1956 : Zane Grey Theater (série télévisée) The Lariat (1956)

1957 : Playhouse 90 (série télévisée) Requiem for a Heavyweight, de Ralph Nelson (1956)

The Last Tycoon, de John Frankenheimer (1957)

The Death of Manolete, de John Frankenheimer (1957)

1961 : Frontier Justice (série télévisée) Lariat (1958)

Lariat (1961)

1963 : Le Plus grand chapiteau du monde (The Greatest Show on Earth), de Leslie H. Martinson (série télévisée)

1965 : Convoy (série télévisée) The Many Colors of Courage (1965)

1966 : Match contre la vie (Run for Your Life), de Roy Huggins (série télévisée) I Am the Late Diana Hays (1966)

1966 : Alice Through the Looking Glass, d'Alan Handley (TV)

1966 : Des agents très spéciaux (The Man from U.N.C.L.E.) (série télévisée) The Concrete Overcoat Affair: Part 1, de Joseph Sargent (1966)

The Concrete Overcoat Affair: Part 2, de Joseph Sargent (1966)

1968 : The Strange Case of Dr. Jekyll and Mr. Hyde, de Charles Jarrott (TV)

1971 : NET Playhouse, de Marc Daniels (série télévisée)

1974 : Dracula et ses femmes vampires, de Dan Curtis (TV)

1974 : The Godchild, de John Badham (TV)

1975 : Bronk, de Richard Donner (TV)

1975 : The Hatfields and the McCoys, de Clyde Ware (TV)

1975 : Bronk, de Carroll O'Connor (série télévisée)

1979 : Buck Rogers au XXVe siècle (Buck Rogers in the 25th Century), de Glen A. Larson (série télévisée) Planet of the Slave Girls, de Michael Caffey (1979)

1979 : La Dernière Chevauchée des Dalton (The Last Ride of the Dalton Gang), de Dan Curtis (TV)

1980 : Jungle Love (The Ivory Ape), de Shusei Kotani (TV)

1980 : The Golden Moment: An Olympic Love Story, de Richard C. Sarafian

1981 : Evil Stalks This House, de Gordon Hessler (TV)

1992 : Keep the Change, d'Andy Tennant (TV)

1994 : La Quatrième Dimension : L'ultime voyage (Twilight Zone: Rod Serling's Lost Classics), de Robert Markowitz

1995 : Buffalo Girls, de Rod Hardy (TV)

1997 : Ebenezer, de Ken Jubenvill (TV)

1997 : L'Espoir de Noël (I'll Be Home for Christmas), de Jerry London (TV)

1999 : Les Déchirements du passé (Sarah, Plain and Tall: Winter's End), de Glenn Jordan

2001 : Les Nuits de l'étrange (Night Visions), de Dan Angel et Billy Brown (série télévisée) Bitter Harvest, de Philip Sgriccia (2001)

2002 : Apparitions (Living with the Dead), de Stephen Gyllenhaal (TV)

2004 : Back When We Were Grownups, de Ron Underwood (TV)

 

Discographie

Palance, Warner Bros, 19691

The pros and cons of hitch hiking - Roger Waters - Harvest Records 1984 - Prête sa voix au personnage membre du club de motard Hell's Angels.

 

Récompenses et distinctions

1990 : oscar du cinéma qui couronne sa carrière d'acteur.

Oscars 1992 : Meilleur acteur dans un second rôle La Vie, l'amour... les vaches de Ron Underwood.

Golden Globes 1992 : Meilleur acteur dans un second rôle pour La Vie, l'amour... les vaches de Ron Underwood.

 

 

 

(Mary) Constance Smith

 

Constance Smith, née le 22 janvier 1928 à Limerick (Irlande), décédée le 30 juin 2003 à Islington (Grand Londres, Angleterre), est une actrice irlandaise.

 

Films notables

La Treizième Lettre (1951)

Le Trésor du Guatemala (1953)

 

Filmographie complète

Au cinéma]

Films britanniques, sauf mention contraire ou complémentaire

1947 : Jassy de Bernard Knowles

1947 : Le Gang des tueurs (Brighton Rock) de John Boulting

1948 : Easy Money de Bernard Knowles

1948 : The Callendar d'Arthur Crabtree

1949 : La Femme parfaite (The Perfect Woman) de Bernard Knowles

1949 : Now Barabbas de Gordon Parry

1949 : Murder at the Windmill de Val Guest

1949 : Trottie True de Brian Desmond Hurst

1950 : Don't say die de Vivian Milroy

1950 : Room to let de Godfrey Grayson

1950 : Moineau de la Tamise (The Mudlark) de Jean Negulesco (film américano-britannique)

1951 : Blackmailed de Marc Allégret, tournée en Angleterre par le cinéaste français.

1951 : I'll get you for This de Joseph M. Newman (tourné en Italie)

1951 : La Treizième Lettre (The 13th Letter) d'Otto Preminger (film américain)

1952 : Prisonniers du marais (Lure of the Wilderness) de Jean Negulesco (film américain)

1952 : Duel dans la forêt (Red Skies of Montana) de Joseph M. Newman (film américain)

1953 : Taxi (titre original) de Gregory Ratoff (film américain)

1953 : Le Trésor du Guatemala (The Treasure of the Golden Condor) de Delmer Daves (film américain)

1953 : L'Étrange Mr. Slade ou Le Tueur de Londres (Man in the Attic) d'Hugo Fregonese (film américain)

1954 : Impulse de Cy Endfield

1955 : The Big Tip Off de Frank McDonald (film américain)

1955 : Tiger by the Tail de John Gilling

1955 : Un po' di cielo de Giorgio Moser (film italien)

1956 : Le Chevalier de la violence (Giovanni dalle bande nere) de Sergio Gricco (film franco-italien)

1959 : La Congiura dei Borgia d'Antonio Racioppi (film italien)

1959 : Le Chevalier sans terre (Il Cavaliere senza terra) de Giacomo Gentilomo (film italien)

 

À la télévision

1955 : Douglas Fairbanks Jr. présente (Douglas Fairbanks, Jr., presents), Saison 3, épisode 42 The Hero

1957 : ITV Television Playhouse, Saison 3, épisode 6 Thunder on Sycamore Street de Silvio Narizzano.

L’ÉTRANGE Mr SLADE
L’ÉTRANGE Mr SLADE
L’ÉTRANGE Mr SLADE
L’ÉTRANGE Mr SLADE

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Rencontre Star Trek French Club DIJON

Rencontre

Star Trek French Club

DIJON

 

Une adhérente de la région Bourgogne-Franche-Comté vous propose une rencontre locale à Dijon le samedi 16 décembre 2017. Rendez-vous à 14h près de la fontaine de la place Émile Zola à Dijon.

 

Au programme :

- visionnage improvisé d'épisodes et/ou de films Star Trek, chez elle (il y aura des chips et quelques bières pour accompagner, vous pouvez amener des trucs à grignoter ou à boire si vous le souhaitez).

 

 - repas dans un restaurant autour de la place Emile Zola.

 

- éventuellement fin de soirée chez elle s'il y a des motivé.e.s.

 

 

Rendez-vous à 14h près de la fontaine de la place Emile Zola (place situé à 5 minutes de l'arrêt Monge du T2 et à une grosse dizaine de minute à pied de la gare SNCF).

 

Les inscriptions sont ouvertes à tou.te.s (adhérent.e ou non) jusqu'au dimanche 10 décembre à 20h.

 

Si vous avez des questions, n'hésitez pas !

 

 

Rendez-vous à 14h près de la fontaine de la place Émile Zola à Dijon.

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Entretien Adrien Vinet sculpteur

Entretien

Adrien Vinet

sculpteur

 

Bonjour Adrien,

 

Stéphane Dubois,

Depuis quand êtes-vous sculpteur et pourquoi avoir choisi cet art plastique plutôt qu’un autre ?

 

Adrien Vinet,

En réalité, j’ai commencé à créer des robots avec des petits objets de récup étant enfant. J’avais une « boîte au trésor » contenant tout ce que l’on jette habituellement et j’ai commencé à les assembler pour me fabriquer mes propres robots.

 

Cela n’a pas duré et c’est assez récemment que je m’y suis plongé de nouveau, avec l’envie de pousser le concept plus loin et donner une dimension originale et artistique à ces sculptures. Cet art plastique est fabuleux, il est infini, car les déchets plastiques ou métalliques de toute sorte ne manquent pas et apportent une contrainte très intéressante artistiquement. L’imaginaire est la seule limite !

 

Stéphane Dubois,

Vous créez des sculptures à partir d’objet recyclé en quoi est-ce important pour vous ?

 

Adrien Vinet,

Dans une société de consommation massive, on oublie vite au quotidien tout ce que l’on jette et si ces sculptures peuvent permettre à celui qui les observe de prendre un peu de recul sans être non plus moralisateur, alors tant mieux. De plus, je trouve qu’il y a une vraie poésie à redonner une seconde vie à des objets oubliés et jetés. Détourner ces objets de leur usage habituel stimule beaucoup l’imagination.

 

Stéphane Dubois,

Vous avez toujours utilisé ce genre de « produits » pour vos créations ou cela est venu progressivement cette volonté d’inclure des produits recyclés dans vos œuvres ?

 

Adrien Vinet,

J’ai toujours utilisé des matériaux de récup en effet. Le principe me plaît, les matériaux usés aussi. Cela donne une véritable histoire aux matières premières.

 

Stéphane Dubois,

Vos proches, quand vous avez commencé ce type d’œuvres ont été surpris, comment ont-ils réagit à vous voir ramasser durant vos promenades des « déchets » ou en vous voyants revenir de la déchèterie ?

 

Adrien Vinet,

Tout dépend de qui ! Ma fille de 5 ans était enchantée et participe activement à la récup de petits objets. Pour ma femme, il a fallu une petite période d’adaptation, et passer outre les regards surpris que peuvent parfois avoir les passants… Petit à petit, en découvrant ce que je faisais, mes proches se sont pris au jeu de mettre de côté ce qui pourrait me servir et qu’ils jettent habituellement.

 

Stéphane Dubois,

Comment avez-vous découvert et à quel âge les genres de l’imaginaire ?

 

Adrien Vinet,

Étant un grand rêveur, j’ai toujours été très attiré par le fantastique et la science-fiction. Je crois avoir lu les livres du seigneur des anneaux à 7 ou 8 ans. Ces livres m’ont marqué et aujourd’hui encore je tire de l’imaginaire fantastique (livres, films, manga, BD) une grande partie de mon inspiration.

 

Stéphane Dubois,

Quels autres artistes faisant comme vous des œuvres de science-fiction ou de fantastique vous on influence, soit dans les arts plastiques, soit dans d’autres domaines de la création des genres de l’imaginaire ?

 

Adrien Vinet,

Parmi les plus marquants, il y a bien évidemment les plus connus tels qu’Edgar Allan Poe,  HP Lovecraft, Phillip K Dick, l’univers graphique d’HR Giger, Tsutomu Nihei avec sa série Blame, Robert Kirkman (auteur de la BD The walking Dead). Il y a également de nombreux artistes contemporains un peu moins connus (pas encore 😉), aussi bien peintres que sculpteurs, plasticiens, etc.

 

Stéphane Dubois,

Dans les prochains mois, ou peu-ton voir vos œuvres exposer ?

 

Adrien Vinet,

Une grande partie était visible à la médiathèque de Marlenheim durant le mois de novembre.

 

Certaines sont visibles à l’European Art Museum au Danemark, sinon plus près de nous elles seront en Alsace à Thann en début d’année prochaine et à Mundolsheim tout près de Strasbourg en juin de l’année prochaine. D’autres expositions s’ajouteront probablement bientôt, elles seront annoncées sur mon site et sur Facebook.

 

Stéphane Dubois,

Avez-vous des projets dans un avenir proche ?

 

Adrien Vinet,

Trouver des partenariats avec des lieux d’exposition, développer des ateliers de créations de robots et sculpture en récup pour enfant et/ou adulte m’intéresserait également.

 

Stéphane Dubois,

Et une question vénale pour finir, un amateur d’art, peut espérer avoir une de vos œuvres à partir de quelle somme ?

 

Adrien Vinet,

C’est une excellente question. Hé bien, je ne sais pas encore, car je n’en ai pas encore vendu malgré une demande croissante. Le but n’est pas d’en vivre (j’ai une activité professionnelle en parallèle). Cependant ces sculptures se multipliant, je commencerai très bientôt à en vendre.

 

  

Carte d’identité

Nom et prénom : Adrien Vinet

Pseudo : Vortex / Vortex67

Âge : entre-deux

Sexe : masculin

Lieu : Près de Strasbourg

Matériel favori : métal usagé (fil, vis, clous).

Originalité : ramasse des déchets pendant ses promenades en famille…

Entretien Adrien Vinet sculpteur
Entretien Adrien Vinet sculpteur
Entretien Adrien Vinet sculpteur
Entretien Adrien Vinet sculpteur
Entretien Adrien Vinet sculpteur
Entretien Adrien Vinet sculpteur
Œuvres d’Adrien Vinet
Œuvres d’Adrien Vinet

Œuvres d’Adrien Vinet

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Entretien Anne Delabre 7e genre

Entretien avec

Anne Delabre

Présidente de l'association :

« Le 7e genre ».

 

Bonjour Anne Delabre,

Vous êtes la présidente de 7e genre, depuis quand existe-t-elle et quels sont les buts de l’association ?

 

Anne Delabre,

Le ciné-club Le 7e genre existe depuis avril 2013 au cinéma Le Brady à Paris, mais l’association a été créée en janvier 2015. Elle a pour objectif de pérenniser et développer les activités du 7e genre, à commencer par le ciné-club. Le slogan a été dès le départ « Le ciné-club qui défie les normes ». Les films choisis proviennent de tous pays, toutes époques, tous styles mais ils abordent tous, d’une manière ou d’une autre, les questions de genres et de sexualités minoritaires.

 

L’idée est d’allier un côté purement cinéphilique et une approche plus sociologique, historique, économique et politique du cinéma, en recontextualisant le film dans son époque de réalisation et de sa sortie. Dans la mesure où nous programmons des films ayant plus de quinze ans, il s’agit  aussi de mesurer la distance qu’il peut y avoir en terme de réception entre hier et aujourd’hui. Ce qui nous tenait aussi très à cœur, à l’heure des DVD, du streaming, de la VOD, c’était de défendre l’expérience collective que permet la salle de cinéma et le grand écran.

 

 

Stéphane Dubois,

Au cours de l’année, vous organisez quelles manifestations ?

 

 Anne Delabre,

Nous organisons principalement des séances de ciné-club au Brady, avec des projections suivies d’un débat avec un(e) invité(e) (réalisateur/rice, scénariste, critique, universitaire, etc). Mais Le 7e genre est aussi régulièrement invité pour des ‘cartes blanches’ dans différents festivals à Paris et en régions (Ecrans Mixtes à Lyon, Ciné-Marges à Bordeaux, etc). Je fais également des projections-débats et des conférences autour de thématiques traitées par Le 7e genre auprès de différents publics (scolaires, universités populaires, maisons d’arrêt et).

   

Stéphane Dubois,

Depuis quand organisez-vous « Cinéma bis » ?

Parlez-nous de la prochaine soirée du 4 décembre.

 

Anne Delabre,

Chaque année, nous consacrons une ou deux séances au ‘cinéma bis’ car il aborde souvent les questions qui nous intéressent : la trangression, et notamment en matière de sexualités. C’est aussi un clin d’œil au cinéma qui nous accueille depuis le début, le Brady, temple du bis pendant de nombreuses années !

 

Après avoir programmé Le Cavalier noir/The Singer not the Song l’an dernier, nous proposons le 4 décembre un autre film de Roy Ward Baker, Dr Jekyll and sister Hyde, avec comme invité Nicolas Stanzick, journaliste et auteur du livre de référence ‘Dans les griffes de la Hammer’ et de l’anthologie ‘Midi-Minuit fantastique’ (dont le volume 3 doit paraître début 2018). Il y aura aussi une petite surprise en début de séance, en souvenir des années ‘bis’ du Brady

 

 

Stéphane Dubois,

Pour 2018, vous avez déjà un calendrier de vos initiatives, vous pensez développer ou proposer  des nouveautés dans vos actions ?

 

 Anne Delabre,

En 2018, nous continuons le ciné-club au Brady avec des pépites du cinéma et des séances ‘hors les murs’ sont aussi au programme. Notamment un ciné-concert (gratuit) autour de films muets avec accompagnement musical ‘en live’ à la Fondation des Etats-Unis à la Cité universitaire internationale de Paris lundi 12 février. Egalement un partenariat dans le cadre d’un nouveau festival parisien autour du désir au féminin en juin mais il est encore un peu tôt pour en parler plus en détails…

 

 

  

 

Dr Jekyll and Sister Hyde

 

Séance du 4 décembre 2017 : Dr Jekyll and Sister Hyde

 

Lundi 4 décembre à 20h30 au cinéma Le Brady (39 Bd de Strasbourg, Paris 10)

 

Séance spéciale ‘cinéma bis’ !

 

Dr JEKYLL AND SISTER HYDE

 

Un film de Roy Ward Baker (G.B. – 1971 – 1h37)

 avec : Ralph Bates, Martine Beswick, Gerald Sim

 Scénario : Brian Clemens (d’après l’oeuvre de Robert Louis Stevenson)

 

Pour espérer atteindre l’immortalité, le Dr Jekyll décide de prendre des hormones féminines, persuadé qu’elles lui permettront de mieux se préserver contre les ravages du temps ! Et devient ainsi Sister Hyde…

 

Adapté de nombreuses fois à l’écran (Rouben Mamoulian, Victor Fleming, Jean Renoir..), le mythe de Dr Jekyll et Mister Hyde trouve ici une variante particulièrement transgressive : thématique transgenre, homosexualité refoulée, désirs multiples et érotisme pervers, etc. Le film de Roy Ward Baker, qui profite du relâchement de la censure en ce début des années 70, sera l’une des dernières réussites du studio britannique La Hammer. Le scénario brillant de Brian Clemens, aussi subtil qu’inventif, réussit le pari (osé) de proposer une véritable ‘guerre des sexes’ dans un seul corps…

 

Notre invité : Nicolas Stanzick, journaliste, auteur du livre Dans les griffes de la Hammer (Le Bord de l’eau Editions)

Entretien Anne Delabre 7e genre
Entretien Anne Delabre 7e genre

Cinéma Le Brady

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Gaspard  malédiction Prince-Fantôme ISABELLE DETHAN

Gaspard

et la malédiction du Prince-Fantôme 

RÉCIT COMPLET

PAR ISABELLE DETHAN

 

En collaboration avec les Éditions du Musée du Louvre, les éditions Delcourt nous offrent un passionnant album.  Isabelle Dethan nous livre un album qui bien sûr a la caution historique et scientifique du Musée du Louvre, avec des personnages qui ne manquent pas humour et d’impertinence, y compris les dieux.  La Section grecque fait les frais de cette impertinence au début de l’album.  

 

Les enfants, à partir de 8 ans, pourront découvrir de manière ludique des éléments de la mythologie égyptienne en lisant cet ouvrage. Un supplément intitulé « Petit Plus » à la fin de l’album montre des objets avec les explications du service des antiquités égyptiennes du Louvre.

 

 Isabelle Dethan a publié plusieurs séries historiques chez Delcourt :

- Le Tombeau d’Alexandre (3 tomes, avec Julien Maffre au dessin) - Les Ombres du Styx (3 tomes). - Sur les terres d’Horus (8 tomes). 

- Kheti fils du Nil (4 tomes, avec Mazan au dessin). - Mémoire de sable, comme le montre ça bibliographie (voir en fin d’article) bien que jeune cet auteur a déjà un grand nombre d’ouvrages a son actif le plus souvent en étant seule aux manettes.

 

Je pense qu’il s’agit de l’ouvrage idéal pour faire connaitre l’Égypte ancienne aux jeunes et que cela serait un cadeau approprié pour les fêtes de fin d’années qui approchent.

 

Je vous le recommande donc vivement.

 

 

 ISBN : 978-2-7560-9832-6

Scénariste : DETHAN Isabelle

Coloriste : DETHAN Isabelle

Illustrateur : DETHAN Isabelle

Série : GASPART ET LA MALEDICTION DU PRINCE

Collection : DELCOURT - LE LOUVRE

 

Grande amatrice d’Égypte ancienne, Isabelle Dethan profite de la carte blanche du Louvre-Delcourt jeunesse pour nous entraîner dans un conte fantastique contemporain inspiré par l’étrange statue d’un fils de Pharaon…

 

Gaspard a 11 ans. Son oncle travaille au musée du Louvre. Il lui arrive de l’y rejoindre après l’école. Pour préparer un exposé sur les hiéroglyphes, il n'y a pas mieux ! Ce soir-là, Gaspard croise une jeune

fille dans le département des antiquités égyptiennes. Il semble le seul à la voir et décide de l’aider dans sa quête, sans se douter que celle-ci va l’entraîner bien au-delà de l’enceinte du musée…

 

 

 

ISABELLE DETHAN

Scénariste, Dessinateur, Coloriste, Illustrateur

 

Biographie et Bibliographie

Son premier et court récit est d'ailleurs publié en Allemagne, dans la revue Schwermettal. En 1992, Isabelle remporte l'Alph'Art Avenir, succédant ainsi à son compagnon Mazan, à Claire Wendling et à Tiburce. Elle travaille au sein de l'Atelier Sanzot aux côtés de Mazan, de Jean-Luc Loyer et de Cécile Chicault. Véritable passionnée par l'imaginaire et l'Histoire, elle est titulaire d'une Maîtrise de Lettres.  

 

Cela viennent s'ajouter un mémoire sur la littérature médiévale, ainsi qu'un CAPES de documentation. C'est donc tout naturellement qu'elle crée une série mi-historique, mi-légendaire et qu'elle rejoint, avec son premier titre La Tour du Savoir, les albums de la collection Terres de Légendes

.

Primée à Sierre, elle remporte les Grelots d'Or 1993 du Meilleur Premier Album. Elle termine donc cette première série en juin 95 et débute sans plus attendre une nouvelle histoire en trois parties : Le Roi Cyclope. Pour ce faire, elle se lance dans la couleur directe et développe ainsi une gamme très originale et lumineuse. Outre les albums qu'elle réalise en tant qu'auteur complet, elle collabore aussi à deux récits pour la revue des Éditions Bayard Je Bouquine, avec Dominique Rousseau et Mathieu Sapin au scénario. Elle a aussi réalisé des illustrations et des travaux de communication d'entreprise (l'un a d'ailleurs été primé en 98). Nouvel album en l'an 2000, nouvelle expérience : Isabelle plonge dans ses souvenirs d'enfance et réalise Tante Henriette ou l'Éloge de l'avarice.

 

Avec Ingrid, elle s'essaie à un autre genre : la chronique du quotidien d'une famille allemande sous le IIIe Reich. Sur les terres d'Horus nous emmène dans l'Égypte de Ramsès II. Le premier tome de la série a reçu le prix Jeunesse France Télévision. Elle revient peu après avec Éva aux mains bleues, portrait tout en douceur et en subtilité d'une jeune adolescente en vacances parmi ses proches

 

Scénariste

Aquitania  Scénariste en 2016

Eva aux mains bleues  Scénariste en 2004

Ingrid  Scénariste en 2001

J'ai tué Scénariste en 2015

Kheti, fils du Nil Scénariste de 2006 à 2010

Maison aux 100 portes (La)  Scénariste de 2006 à 2012

Mémoire de sable Scénariste de 1993 à 2000

Mimo  Scénariste de 2012 à 2015

Ombres du Styx (Les)  Scénariste de 2011 à 2014

Rêve de pierres (Le)

Scénariste en 2004

Roi Cyclope (Le) Scénariste de 1997 à 2008

Sur les terres d'Horus  Scénariste de 2001 à 2015

Tante Henriette Scénariste en 2000

Tombeau d'Alexandre (Le) Scénariste de 2008 à 2012

  

Dessinateur

62 auteurs de Boulogne Dessiné  Dessinateur en 2010

Aquitania Dessinateur en 2016

Atelier Sanzot Dessinateur en 2002

Chansons pour les yeux Dessinateur en 2004

En images et en bande dessinée  Dessinateur en 2001

Eva aux mains bleues Dessinateur en 2004

Fontaine aux fables (La) Dessinateur de 2002 à 2011

Greenpeace - Dessins pour le climat Dessinateur en 2005

Ingrid Dessinateur en 2001

J'ai tué Dessinateur en 2015

Maison aux 100 portes (La) Dessinateur de 2006 à 2012

Mémoire de sable Dessinateur de 1993 à 2000

Ombres du Styx (Les) Dessinateur de 2011 à 2014

Roi Cyclope (Le) Dessinateur de 1997 à 2008

Seuls les vélos volent Dessinateur en 1996

Sur les terres d'Horus Dessinateur de 2001 à 2015

Tante Henriette Dessinateur en 2000

Tutti Frutti (Stakhano) Dessinateur en 1997

 

Coloriste

Aquitania Coloriste en 2016

Eva aux mains bleues Coloriste en 2004

Fontaine aux fables (La) Coloriste de 2002 à 2011

Ingrid Coloriste en 2001

J'ai tué Coloriste en 2015

Maison aux 100 portes (La) Coloriste de 2006 à 2012

Mémoire de sable Coloriste de 1993 à 2000

Ombres du Styx (Les) Coloriste de 2011 à 2014

 

Roi Cyclope (Le)  Coloriste de 1997 à 2008

Sur les terres d'Horus Coloriste de 2001 à 2015

 

Documents, Monographies, Biographies

(AUT) Dethan    en 2010

Gaspard  malédiction Prince-Fantôme ISABELLE DETHAN
Gaspard  malédiction Prince-Fantôme ISABELLE DETHAN
Gaspard  malédiction Prince-Fantôme ISABELLE DETHAN
Gaspard  malédiction Prince-Fantôme ISABELLE DETHAN

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Entretien avec  Fanny Capretta et Cindy  Colpaert pour « le Passage »

Entretien avec

  Fanny Capretta

et

Cindy  Colpaert

pour « le Passage »

 

Stéphane Dubois

Bonjour Fanny pouvez-vous déjà dirent à nos internautes, comment vous êtes devenu actrice, comment vous est venu l’envie d’interpréter des rôles au cinéma (voir au théâtre) ? Vous avez suivi des cours d’art dramatique 

 

Fanny,   je suivais un bac littéraire musique et piano jazz quand j’ai découvert le théâtre au lycée.  Ce sont « Les bonnes «  de Jean Genet qui m’ont donné envie de faire ce métier. Après l’obtention du bac, je suis rentrée une année au conservatoire de Dijon avant d’intégrer l’ERAC : école régionale d’acteurs de Cannes, pour trois ans. 

 

Cindy

Et bien, la comédie n'a pas été une évidence tout de suite ! J'ai commencé très tôt avec la musique depuis l’Age de 6 ans, puis j'ai été amenée à jouer dans un épisode de "l'Instit" lorsque j'avais 11 ans. J'en avais pas envie et on m'a dit "Cindy, essaye et si ça ne te plait pas au moins tu n'auras as de regret!" et là... Je suis tombée amoureuse de la comédie, du jeu, de la relation entre comédiens. J'ai poursuivi avec le long métrage "Nos jours heureux" qui ont été une expérience incroyable, puis des publicités tout en alliant la musique à côté. La comédie et la musique sont deux mondes qui se complètent finalement !

 

 

Stéphane Dubois

Comment avez-vous rejoint le projet de ce court métrage « Le Passage » ?

 

Fanny,   Nous avions rendez-vous pour parler du projet. J’ai été très sensible à l’univers de Fabien et très touché par l’histoire et l’étrangeté du scénario. Et ça s’est fait comme ça, naturellement.

 

Cyndy

Et bien, vous savez, de projets en projets on rencontre des gens et on tisse des liens, c'est la magie du monde artistique! On ne se connait pas, on se rencontre et un projet naît. Fabien m'a contacté afin que l'on parle de ce projet,  et que je puisse lire le script.

 

 

Stéphane Dubois, 

J’aimerais que vous nous parliez de vos partenaires comme Vernon Dobtcheff, et les autres acteurs du film. Comment appréhende-t-on en étant débutantes ou presque de jouer avec des acteurs plus que confirmer ?

 

 

Fanny,

Vernon Dobtcheff est un homme adorable, plein de gentillesse. Il dégage quelque chose de très fort, qui peut intimider. Mais il s’adresse toujours à l’autre avec douceur et humilité.

 

Cindy ,

Pierre et Vernon sont de super comédiens. J'étais vraiment impressionnée et j'avais peur d'être ridicule, surtout au regard de leur "pedigree" 😃. Vernon est un personnage, un vrai ! Pierre est le papy que l'on aimerait avoir mais avec un truc en plus: la voix de DOC. Ce sont tous deux de vrais personnages dans la vraie vie, de vraies personnalités. Et c'est très flippant de jouer face à eux mais super enrichissant !

 

  

Stéphane Dubois,

Dans quelles conditions ce sont dérouler le tournage, une grande partie de l’action se situant en forêt ?

 

Fanny

Le tournage s’est déroulé avec une très bonne équipe. Nous étions au cœur de la forêt brumeuse,  il faisait froid et le brouillard était épais. Cela à créer une étrangeté qui nous ont beaucoup aidés pour les scènes.

 

Cindy, 

Les conditions ? Elles furent... fraîches ! Ahaha ! En fait c'était lors d'un octobre bien froid, en pleine forêt et la brume n'est que si peu exagérée ! Ce qui est drôle c'est que l'on a très froid, mais lorsque l'on commence à jouer j'aurais presque tendance à dire qu'on oublie que l'on grelottait avant.

 

Stéphane Dubois,

Quels sont tes projets proches ou plus lointains, au cinéma, télévision ou théâtre.

 

Cyndy,

Des projets, j'en ai quelques-uns en effet ! Je viens tout juste de rentrer en seconde année de Droit par correspondance et j'ai quelques tournages entre amis sur le feu, notamment Les galères de Pat qui ne devraient pas tarder à revenir :-).

 

Fabien Montagner a tenu a rajouter un mot a cet entretien.

"Je suis ravi d’avoir travaillé avec Cindy et Fanny. Elles ont apporté ce qu’il fallait à leur rôle. Au-delà de leurs belles qualités humaines, elles se sont vraiment mises au service du film, malgré les difficultés inhérentes au tournage d’un court-métrage. J’espère retravailler avec elles pour creuser un peu plus le sillon de cette première collaboration artistique."

 

 

 

Biographies Filmographies

 

Fanny Capretta

Fanny capretta est une actrice française, née à Cluny en Bourgogne. Elle étudie le piano-jazz au conservatoire de musique de Chalon/Saone quand elle découvre le théâtre.

 

Un an après l’obtention d’un bac littéraire option musique, elle intègre l’ERAC (ecole regionale d’acteurs de cannes) où elle collabore notament avec G.laveaudant, A.françon, R.castellucci, Catherine marnas…

 

Après une tournée dans le sud de la France où elle interprète Juliette dans “Roméo & Juliette” de Shakespeare, elle s’installe à Paris où son désir de jouer s’oriente d’avantage vers un format audiovisuel.

 

Elle travaille pour la television: “La commune” de P.triboit (canal+), “Les courriers de la mort” (france 3), et participe à de nombreux projets de courts et moyens métrages recompensés don’t “Le Passage” et “Le herisson de verre” de Js.bernard pour lequel elle reçoit 2 fois le prix d’interprétation (en Espagne et en France). 

 

Elle travaille à l’étranger pour différentes publicités de marques: Pandora, orange (rewind), Vodafone ( the kiss), realisé par Frederic Planchon, ringan ledwidge.

 

Elle à récemment travaillé avec Cédric klapish pour son dernier long métrage: “Ce qui nous lie”

 

Le Passage 2011

Paris Enquêtes Criminelles 2008

Commissaire Laviolette 2006

 

DISTINCTIONS

Prix d’interprétation - festival FICCT (Espagne) - pour « Le hérisson de verre »

Prix d’interprétation - festival d’Auch - Pour « Le hérisson de verre »

Nomination meilleure Actrice - festival Maverick Movie Awards (USA) - pour « Le Passage »

 

 

 

Biographie, Filmographie

Cindy Colpaert, née le 3 décembre 1992(24 ans) est une actrice et chanteuse française, que l'on peut voir jouer le rôle de Camille dans Nos jours heureux.

 

Biographie

 

À 7 ans elle décroche son tout premier contrat qui lui donneront la chance de se produire lors de premières parties, sur la scène du Zénith, ou encore Trianon. Elle découvre petit à petit le monde de la télé et notamment grâce à sa participation à Drôle de petit champion. Elle sort son tout premier single en 2002 "Le cœur Looping", à l'âge de 9 ans, et aura l'opportunité de se produire aux côtés de Lorie, Calogero, Eve Angeli grâce à l'aventure des Pièces jaunes. Elle participera également à l'émission de télé Eurovision Junior en 2004 avec le titre Rue de la Paix de Zazie. Ayant toujours voulu vous jouer la comédie, Cindy s'y essaie par une première apparition dans l'Instit avec Gérard Klein, puis au cinéma dans le rôle de Camille dans Nos jours heureux, ce qui l'amènera à tourner plusieurs courts métrages, Une sauterelle dans le jardin, Reflux, ou encore Le passage. Récemment une interview radio chez Clickn'Rock [1] afin de raconter les dessous des tournages!

 

Films

 2004: L'Instit (Ma petite Star) avec Gérard Klein (JLA - Hamster Production).

 2006: Nos jours heureux[Par Olivier Nakache & Eric Tolédano

 2008: Court métrage : Solène. Par Marie Baptiste Roches

 2009: Court métrage Reflux. Par Pauline Goasmat

 2011: Court métrage Le passage: Faustine. Par Fabien Montagner

 

Musique

 2001: Drôle de Petits champions

 2002: Single Le coeur looping (Warner), sous le nom de Cindy-Rose

 2003: La tournée des Pièces Jaunes en tant qu'artiste.

 2003: La tournée des Pièces Jaunes en tant qu'artiste.

 2004: Participation à l'Eurovision Junior

 

Modèle

 2010: Défilé pour la collection de corsets Cindy Lopes (Secret Story 3).

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FILS DU PENDU Frank Borzage

LE FILS DU PENDU

Un film de Frank Borzage

 

Ce film à bénéficier d’une restauration 2D, inédit en France, il sort prochainement en DVD.

 

Frank Borzage, fut un réalisateur prolifique, il fait partie de ces acteurs et réalisateurs qui ont dû s’adapter au passage du muet au parlant. Il réalisa des films dans tous les domaines.  il fut Influencé par Murnau.

 

Même les plus jeunes ont pu apprécier cette actrice, grâce aux nombreuses rediffusions de certains des films dans lesquels il jouait, mais le film  dont il est question dans cet article n’est que pour la première fois mise à la disposition des Français. Un film à re/découvrir dans une version qui plus est restaurer.

 

Disponible dès le 5 décembre dans les bacs.

  

Synopsis

En butte, dès l’enfance, aux sarcasmes de ses camarades parce que son père a jadis été condamné à la pendaison, Danny Hawkins cause la mort de son rival amoureux au cours d’une rixe. Redoutant de finir comme son père s’il se dénonce, Danny  cache le corps et tente de passer à travers les mailles du filet de l’enquête qui se resserre autour de lui.

 

Film noir méconnu signé Frank Borzage, LE FILS DU PENDU distille, par ses décors (le bayou) et sa photographie superbe une atmosphère étouffante à la lisière de l’onirisme et l’expressionnisme.

 

Un classique du Film Noir américain

 

Un classique du film Noir américain avec :

-              Dane Clark (Le traqué, Deep valley, La voleuse)

-              Gail Russell (La falaise mystérieuse, L’ange et le mauvais garçon, Le réveil de la sorcière rouge)

-              Un film de Frank Borzage (Liliom, Désir, L’adieu aux armes)

 

 

Suppléments

-              Diaporama d’affiches et photos

-              Films-annonces de la collection Les Classiques

 

USA – 1948

Un film de Frank Borzage – Avec Dane Clark, Gail Russell, Ethel Barrymore, Rex Ingram, Lloyd Bridges

Scénario Charles F. Haas - Musique William Lava – Photographie John L. Russell – Montage Harry Keller - Décors John McCarthy Jr

 

Durée : 86 minutes

Versions : anglais

Sous titres : français

Format 1.37 original respecté

16/9ème compatible 4/3

Noir et blanc

 

Tous publics

PGHT : 8,19 euros - Prix TTC public : 9,90 euros

 

Sortie : 5 DECEMBRE 2017

 

 

Biographie et filmographie :

Frank Borzage

Frank Borzage naît à Salt Lake City, le quatrième enfant d'une mère d'origine suisse alémanique et d'un père italien qui ont émigré aux États-Unis au début des années 1880, Luigi ne voulant pas être enrôlé dans l'armée autrichienne suite à la conclusion de la première Triplice1.

 

 Dès l'adolescence, il est attiré par le spectacle et travaille dans une mine pour se payer des cours d'art dramatique. De 1906 à 1912, il travaille ainsi comme accessoiriste de théâtre et tient de petits rôles au sein d'une compagnie qui fait des tournées dans sa région.

En 1912, il est à Hollywood où il est engagé par Mutual Film toujours comme accessoiriste, puis il joue dans des productions de la Mutual ou de Bison ou encore de Kay-Bee, notamment sous la direction de Thomas H. Ince2,3.

 

À partir de 1916, il commence à diriger des films, jusqu'à une quinzaine par an, et renonce à être acteur dès 1918 pour se consacrer entièrement à la réalisation2,3. Son premier grand succès est Humoresque en 19203,5.

 

En 1927, il réalise L'Heure suprême (Oscar du meilleur réalisateur en 1929), qui ouvre une deuxième période dans sa carrière, avec d'autres œuvres majeures comme La Femme au corbeau, L'Adieu aux armes ou Secrets, et un deuxième oscar en 1932 pour Mauvaise Fille.

 

 Oscars 1929 : Oscar du meilleur réalisateur pour L'Heure suprême

Oscars 1932 : Oscar du meilleur réalisateur pour Bad Girl

1962 : Lifetime Achievement Award décerné par la Directors Guild of America

 

Films muets

 

Courts-Métrages

 

1913 : The Drummer of the 8th

1913 : The Battle of Gettysburg

1913 : A Dixie Mother

1913 : Dead Man's Shoes

1913 : Granddad

1913 : The Mystery of Yellow Aster Mine

1915 : The Pitch o' Chance

1916 : The Pride and the Man

1916 : Dollars of Dross

1916 : Life's Harmony

1916 : The Silken Spider

1916 : The Code of Honor

1916 : Two Bits

1916 : A Flickering Light

1916 : Unlucky Luke

1916 : Jack

1916 : The Pilgrim

1916 : The Demon of Fear

1916 : The Quicksands of Deceit

1916 : Nugget Jim's Pardner

1916 : That Gal of Burke's

1916 : The Courtin' of Calliope Clew

1916 : Nell Dale's Men Folks

1916 : The Forgotten Prayer

1916 : Matchin' Jim

 

Longs Métrages

1916 : Land o' Lizards

1916 : Immediate Lee

1917 : Au Pays de l'Or (Flying Colors)

1917 : Until They Get Me

1918 : The Gun Woman

1918 : The Curse of Iku

1918 : Le Premier Pas (The Shoes That Danced)

1918 : Innocent's Progress

1918 : Society for Sale

1918 : Au-dessus des lois (An Honest Man)

1918 : Who Is to Blame?

1918 : The Ghost Flower

1919 : Toton

1919 : Whom the Gods Would Destroy

1919 : Prudence on Broadway

1920 : Humoresque

1921 : Get-Rich-Quick Wallingford

1921 : The Duke of Chimney Butte

1922 : Back Pay

1922 : Billy Jim

1922 : The Good Provider

1922 : Le Mystère de la Vallée Blanche (The Valley of Silent Men)

1922 : The Pride of Palomar

1923 : The Nth Commandment

1923 : Children of the Dust

1923 : The Age of Desire

1924 : Secrets

1925 : Sa vie (The Lady)

1925 : Daddy's Gone A-Hunting

1925 : The Circle

1925 : Notre héros (Lazybones)

1925 : Wages for Wives

1926 : Giboulées conjugales (The First Year)

1926 : The Dixie Merchant

1926 : Early to Wed

1926 : Marriage License?

1927 : L'Heure suprême (Seventh Heaven)

1928 : L'Ange de la rue (Street Angel)

1929 : L'Isolé (Lucky Star)

1929 : They Had to See Paris

1929 : La Femme au corbeau (The River)

 

Films parlants

1930 : La Chanson de mon cœur (Song o' My Heart)

1930 : Liliom

1931 : Doctors' Wives

1931 : Young as You Feel

1931 : Bad Girl

1932 : After Tomorrow

1932 : Jeune Amérique (Young América)

1932 : L'Adieu aux armes (A Farewell to Arms)

1933 : Secrets

1933 : Ceux de la zone (Man's Castle)

1934 : Comme les grands (No Greater Glory)

1934 : Et demain ? (Little Man, What Now ?)

1934 : Mademoiselle Général (Flirtation walk)

1935 : Sur le velours (Living on velvet)

1935 : Bureau des épaves (Stranded)

1935 : Shipmates Forever

1936 : Désir (Desire)

1936 : Hearts Divided

1937 : La Lumière verte (Green Light)

1937 : Le destin se joue la nuit (History Is Made at Night)

1937 : La Grande Ville (The Big City)

1937 : Mannequin

1938 : Trois camarades (Three Comrades)

1938 : L'Ensorceleuse (The Shining Hour)

1939 : Chirurgiens (Disputed Passage)

1940 : Cette femme est mienne (I take this woman) (non crédité)

1940 : Le Cargo maudit (Strange Cargo)

1940 : La Tempête qui tue (The Mortal Storm)

1940 : L'Appel des ailes (Flight Command)

1941 : Billy the Kid le réfractaire (Billy the Kid)

1941 : Chagrins d'amour (Smilin' Through)

1942 : The Vanishing Virginian

1942 : Sept amoureuses (Seven Sweethearts)

1943 : Le Cabaret des étoiles (Stage Door Canteen)

1943 : La Sœur de son valet (His Butler's Sister)

1944 : Voyage sans retour (Till we meet again)

1945 : Pavillon noir (The Spanish Main)

1946 : Je vous ai toujours aimé (I've always loved you)

1946 : L'Impératrice magnifique (Magnificent doll)

1947 : Le Bébé de mon mari (That's My Man)

1948 : Le Fils du pendu (Moonrise)

1958 : China Doll

1959 : Simon le pêcheur (The Big Fisherman)

1961 : L'Atlantide

 

Acteur

1912 : On Secret Service

1912 : Blood Will Tell

1912 : When Lee Surrenders

1913 : Days of '49

1913 : Granddad

1913 : Loaded Dice de Burton L. King

1913 : The Battle of Gettysburg

1913 : A Foreign Spy de Wallace Reid

1913 : A Hopi Legend

1913 : The Pride of the South

1913 : The Drummer of the 8th

1914 : The Wheel of Life de Wallace Reid

1914 : Stacked Cards

1914 : In the Sage Brush Country

1914 : A Relic of Old Japan

1915 : A Knight of the Trails

1915 : The Cup of Life

FILS DU PENDU Frank Borzage
FILS DU PENDU Frank Borzage
FILS DU PENDU Frank Borzage
FILS DU PENDU Frank Borzage
FILS DU PENDU Frank Borzage

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CINQ SURVIVANTS  d’Arch Oboler

LES CINQ SURVIVANTS  

Un film d’Arch Oboler

 

Ce film rare, voir inédit en France et qui sortira début décembre, a bénéficié d’une restauration en SD.

 

François Truffaut en personne l’avait défendu dans les Cahiers du Cinéma, preuve supplémentaire que Truffaut appréciait bien plus qu’on l’affirme généralement la Science-fiction.

 

On retrouve  des éléments que l‘on retrouvera dans la nouvelle vague, et une certaine filiation avec Ingmar Bergman.

 

Artus Films, vous permet grâce aux 6 films qu’il sort le 5 décembre, de compléter votre collection de DVD de film de genre, mais aussi de comédie, je vous parlerais dans les semaines qui viennent des 3 autres films, puisque  qu’avec cet article je vous ai déjà recommandé trois films-DVD.

 

Avec moins de 10 euros par films, vous pourrez vous faire plaisir, et faire plaisir à votre famille, sans vous ruiner.

 

Synopsis

Dépeuplée par un holocauste nucléaire, la Terre n’est plus qu’un vaste cimetière. Seules cinq personnes semblent avoir miraculeusement survécu. Se retrouvent dans un site privilégié épargné par les retombées radioactives : une femme enceinte, un homme de couleur, un employé de banque, un philosophe et un alpiniste raciste. Vont–ils, malgré leurs différences, parvenir à coexister face au tragique de la situation ?

 

Tourné en 1951, avec un budget très réduit dans la propriété du producteur–réalisateur Arch Oboler, LES CINQ SURVIVANT est un film d’avant garde, étalon d’un genre appelé à se développer : le survival post apocalyptique (LE MONDE LA CHAIR ET LE DIABLE, PANIQUE ANNEE ZERO, LE DERNIER RIVAGE, etc..). Défendu en son temps par François Truffaut dans « Les Cahiers du Cinéma », LES CINQ SURVIVANTS évoque parfois le cinéma de Bergman et sa conception hors les studios hollywoodiens préfigure la Nouvelle Vague.

 

Un classique de la Science-Fiction américaine

 

-              William Phipps (Les envahisseurs de la planète rouge, La guerre des mondes, La rivière de nos amours)

-              Susan Douglas Rubes (Frontières invisibles, Bel Ami, La cible)

-              Un film de Arch Oboloer (Bewitched, Bwana Devil, The Twonky)

 

Suppléments

-              Diaporama d’affiches et photos

-              Films-annonces de la collection Les Classiques

USA – 1951

Un film de Arch Oboler – Avec William Phipps, Susan Douglas Rubes, James Anderson, Charles Lampkin, Earl Lee

Scénario Barre Lyndon - Musique Hugo Friedhofer – Photographie Leo Tover – Montage Marjorie Fowler - Décors Eli Benneche

Durée : 87 minutes

Versions : anglais

Sous titres : français

Format 1.37 original respecté

16/9ème compatible 4/3

Noir et blanc

Tous publics

Prix TTC public : 9,90 euros

Sortie : 5 DECEMBRE 2017

CINQ SURVIVANTS  d’Arch Oboler
CINQ SURVIVANTS  d’Arch Oboler
CINQ SURVIVANTS  d’Arch Oboler
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