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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Recherche pour “l'éveil du dieu”

L’éveil du Dieu Serpent

L’éveil du Dieu Serpent

De Christine Barsi

 

Sur Terre, en 2027, la guerre sous-jacente n’est pas celle à laquelle s’attendent les masses, mais plutôt de celle qu’on leur dissimule depuis plusieurs décennies.

 

Nous sommes envahis, bien plus que nos déclencheurs d’alerte ne cessent de nous le clamer. Les Reptiliens, les Gris et la déclinaison des races hybrides sont parmi nous. Que nous veulent-ils ?

 

Avril Scott, éthologue au sein d’une association de protection de l’environnement, et renommée pour son expertise des dossiers sensibles traitant des abus dans le domaine des organismes génétiquement modifiés, devra l’appréhender et affronter l’homme d’affaires et scientifique Maur Evans qui se dressera sur son passage et l’entraînera dans un périple australien qui les mènera de Sydney à Melbourne, aux Blue Mountains, et jusqu’au cœur de la Tasmanie.

 

 

532 pages

Format 140x210

Chf 28.- / 23,80 euros

 

Christine Barsi

 

L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. Aujourd’hui, l’auteure travaille dans les ressources humaines, pour une grande entreprise d’informatique et d’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif quatre romans publiés à compte d’éditeur.

 

(Communiqué de presse)

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Nicolas JARRY

Nicolas JARRY

ORCS ET GOBELINS  

TOME 03 : GRI'IM

PAR

NICOLAS JARRY

ET

STÉPHANE CRÉTY

 

 

L’album une fois en mains on le lâche plus jusqu’à la fin. L’histoire est vraiment prenante, le scénario est de Jarry, l’un des meilleurs auteurs de Soleil.

 

 Rappelons qu’elle se déroule dans un seul univers, le même que « Nains » ou « Elfe », mais que chaque album parle d’un personnage différent qui représente l’une des cinq races des Terres d’Arran.

 

On est bien  loin des frères et de leurs contes, surtout si  on prend comme référence ce que l’on voit chez Disney.

 

Gri’m, un Orc qui a souffert durant 30 ans revient pour se venger, de qui, de quoi, je vous le  laisse le découvrir, mais un Orc peut avoir aussi des sentiments.

 

Les seconds rôles de cette histoire sont aussi intéressants que Gr’im quant à leurs caractères, nul n’est, même dans les Terres d’Arran, totalement blanc ou noir, la vie y est aussi dans les nuances de gris.    

 

Cette série est prévue en cinq volumes, nous en sommes déjà au tome 3 et nous vous avions déjà parlé des deux premiers, nous chroniquerons bien sûr les deux derniers.

 

Je vous recommande particulièrement, cet album, qui peut être lu sans avoir lu les autres, même s’il vaut toujours mieux déjà connaitre les deux premiers tomes.

 

Déconseillé au moins de 16 ans.

 

Résumé de l’album:

Il n’y a pas pire ennemi qu’un vieil orc qui a tout perdu...

Après trente années d’emprisonnement et de tortures, Gri’im est enfin libre. Autrefois, seigneur de guerre, il n’est plus qu’un vieil orc brisé. Traqué comme une bête, blessé, il cherche refuge auprès d’une caravane d’humains qui se rend à Aspen. Depuis la guerre des Goules, la cité est censée être déserte, mais un prédateur aussi ancien que Album cartonné redouté, éveillé par la magie de l’elfe bleue Lanawyn, rôde…

 

60 pages

233 x 323

EAN : 978-2-3020-6873-5

Prix : 15,50 €

 

SCÉNARISTE

NICOLAS JARRY

EST NÉ EN 1976 À ROSNY-SOUS-BOIS.

IL RÉSIDE EN DORDOGNE.

Lors de sa participation au Festival du Film Fantastique, Nicolas fait la connaissance de Jean-Luc Istin. Cette rencontre aboutit à son premier scénario de bande dessinée, Les Brumes d'Asceltis. Paraissent ensuite Maxime Murène chez Delcourt, Les Contes de Brocéliande et La Rose et la Croix aux Éditions Soleil. En 2006, il complète la collection « Soleil Levant » avec Tokyo Ghost, dessiné par Djief, et la  collection « Celtic » avec Les Chemins d’Avalon, dessiné par Achile. En 2007, il co-scénarise avec Jean-Luc Istin Les Exilés D’Asceltis et scénarise Le Crépuscule des Dieux. Intarissable, en 2010, tout en poursuivant ces précédentes séries, il revient avec trois projets : Les Princes d’Ambre, Nains et Durandal.

 

STÉPHANE CRÉTY

EST NÉ EN 1969 À CHARLEVILLE-MÉZIÈRES.

IL RÉSIDE EN MOSELLE.

 

Tour à tour archéologue, manutentionnaire ou égoutier, il décroche finalement un emploi dans un studio de dessins animés et s'essaie avec succès à l'art du story-board, du lay-out et de l'illustration. À force de persévérance, ce passionné de bande dessinée passe du côté des professionnels, grâce aux séries qu’il produit avec Sylvain et Sandrine Cordurié : Salem la Noire et Acriboréa (Delcourt). Chez Soleil, il réalise les aventures d’Hannibal Mériadec, Le Sang du Dragon et travaille sur la série à succès Nains.

ORCS ET GOBELINS GRI'IM
ORCS ET GOBELINS GRI'IM
ORCS ET GOBELINS GRI'IM
ORCS ET GOBELINS GRI'IM
ORCS ET GOBELINS GRI'IM

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Christine Barsi – SolAs
L'auteure

L'auteure

Christine Barsi – SolAs

 

 

Présentez-nous votre ouvrage

 

SolAs est un roman de science-fiction, mon cinquième roman publié par 5 Sens Éditions à ce jour.

Une mission sur un astéroïde, porteur des précieux champs de plasma, amène une astrophysicienne à découvrir les particularités intrinsèques de l’essence plasmatique stellaire et à y appréhender les signes d’une humanité que personne ne soupçonne. Lorsque la relation singulière qui la lie à l’un des membres de son équipe s’engage dans une direction inattendue, elle devra assumer ses choix et oublier ce qu’elle est pour l’accueillir.

C'est au cœur de l'astéroïde SolAs, ainsi que sur Origine, que se jouera le final alors que les grandes variations climatiques ont bouleversé l'équilibre des puissances en place et fait des terres canadaskiennes ainsi qu'étatsuniennes, une sorte de mausolée vivant, et que l'Eurafrique connaît dorénavant le froid et la glace.  Le périple qui entraînera Maylis jusqu'au bout du monde l'entraînera également au-delà d'une position sans retour, où elle devra choisir entre une humanité en perdition et un nouvel horizon plus périlleux encore. Mais qu'a-t-elle concouru à amener sur Origine ?

 

Avez-vous un sujet de prédilection ?

 

Sous couvert d’une passion qui va à l’encontre de toute éthique apparente, l’histoire traite des flux de conscience énergétique, de l’énergie pensante et de la création de la vie sous forme d’entités…  notamment dans le creuset d'un bâtiment d'astrophysique.

Dans ce livre, ce qui m’a importé, c’est aborder des sujets d’actualités scientifiques et techniques tels l’astrophysique et l’énergie plasma, cette fameuse essence plasmatique, l’exobiologie, les astéroïdes et leur gestion, les entités aliens, les techniques de laser et de générateurs de particules, la génétique mais également l’extraction minière. Comme généralement chez moi, je confronte ces thèmes à la nuisance, cette fois, non plus des grands lobbies pharmaceutiques ou des laboratoires ayant pignon sur rue mais de celle de l’industrie minière et astéroïdique.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

 

L’amour franchit toutes les barrières, transcende les êtres au-delà de ce qu’ils peuvent appréhender.

Les voies de la création sont infinies, tant dans le domaine des arts que dans celui des sciences et de la spiritualité. Dans leur plénitude, elles enfantent d’innombrables formes dont l’émergence amène autant d’êtres à notre image… ou pas.

 

Pourriez-vous nous citer quelques passages de SolAs ?

 

En voici un premier :

 « Le chant du Métal : « Le métal qui draine toute l’attention des grands lobbies n’incarne déjà  plus qu’un matériau sur le déclin. Il maintient son illusion tel un magicien ou un automate, mais à terme, sa source se tarit tandis que sa déchéance n’est plus qu’une notion de temps ultime. »

…Khal Sihlen évaluait d’un air méfiant le métal qui se convulsait derrière la paroi de bioverre épais qui assurait leur sécurité. Sans qu’il comprenne comment c’était arrivé, ils avaient perdu le contrôle de ce secteur. À l’une des étapes du processus, mais laquelle ? Il pouvait voir le roboïde, en charge des opérations, figé le long de la citerne d’acier trempé, sa coque à l’épreuve des miasmes acides et des explosifs à forte charge avait été démantelée ; une lèpre inconnue le rongeait à un rythme déroutant. Près de lui, au sol, Warrhaen était tombé. Au travers de la visière du casque, il avait l’air mal en point et le métal paraissait attiré par son immobilité ; un métal si particulier. Depuis son axe d’observation, Khal jeta un coup d’œil derrière lui, au-delà du périmètre sécuritaire ; comme lui, les scientifiques ne comprenaient pas. Affolés, ils tentaient d’isoler la zone afin de la placer en quarantaine…

 

En voici un second :

…Si l’année de sa mise en orbite, l’ancrage satellitaire du corps spatial avait causé beaucoup de bruits et amené un développement accru de l’intérêt général pour tout ce qui touchait de près ou de loin à l’astrophysique et l’astronomie, les deux années suivantes avaient vu étouffer dans l’œuf les discours plus ou moins cohérents des experts. À croire que l’on voulait que les foules oublient l’évènement, pour mieux inciter le corps scientifique à œuvrer dans les coulisses, comme à son habitude. Aujourd’hui, alors que Maylis allait sur ses vingt-trois ans, la presse à sensation ne laissait filer que quelques bribes à intervalles irréguliers, alors même que PlasmAtal, l’une des plus grosses entreprises industrielles implantées en Eurafrique et en Ruschin, avait investi le corps stellaire et installé son site d’exploitation après en avoir obtenu la licence adéquate, auprès des autorités compétentes. Dans les revues scientifiques et dans les quelques rares articles qui abordaient le sujet de l’astéroïde et du type de production que l’on y effectuait, il était question d’un plasma métalloïdique aux propriétés fascinantes, mais les précisions s’arrêtaient là. Pourtant, la jeune femme devinait qu’il y avait davantage que ce que les infos distillaient par doses infinitésimales…

 

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

 

Mon ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent aux mystères occultes, aux problématiques actuelles de l’éthique de la manipulation du génome, de la préservation des ressources naturelles, à ceux qui aiment ce monde et ces composantes, les grandes forêts, tout en étant amateurs de belles lignes et de réflexions sur l’existence que je glisse régulièrement dans mes romans. Ce livre mêle de manière équilibrée la science, la technique, les conflits entre races et la passion irrépressible d’un être pour un autre. Il s’adresse aux amoureux de la science comme aux amoureux des belles histoires d’amour.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

 

En ce milieu d’année 2019, je suis sur la rédaction du tome 3 de Déviance, ma romance vampirique. Dans le même temps, j’attends les résultats de la soumission du tome 2. Je nourris également un autre gros projet de SF pesant plus de mille cinq cents pages qu’il va falloir retravailler et réécrire — un très long travail en perspective.

Il va me falloir intensifier ma présence sur les salons du livre et cafés littéraires. En 2019, j’ai participé au salon du Livre et de la Bd sur Mennecy, organisé quelques séances de dédicaces au sein de mon centre commercial Auchan de Fontenay-sous-bois. Je cherche aussi à faire traduire l’un de mes livres, et j’aspire à ce que l’un de mes romans passe à la télé ou au ciné « Le grand cinéma » comme le clame Jacques Villeret dans « le Diner de Cons ». Toutes sortes d’idées me trottent dans la tête, et il faudra bien qu’elles trouvent un exutoire.

 

Avez-vous le sentiment d’avoir progresser dans votre univers de romancière ?

 

Eh bien oui ! Écrire ne suffit cependant pas, bien que je m’y adonne de manière de plus en plus intense au fil des années.

Alors je me suis confrontée à l’univers réel afin de réaliser ma première vidéo de présentation de l’auteure ainsi que de ses œuvres ; Gérard Confino au moyen du média « Planète Gaïa TV » m’en a donné l’opportunité et je l’en remercie.

De même, je sonde le Net à la recherche de groupes de science-fiction et de fantastique qui m’impliqueraient dans le domaine afin de me faire connaître et de connaître mieux les rouages de cet univers de la création et de l’édition. Dans ce cadre, j’ai intégré le cercle des passionnés de SF par le biais de leur réseau Facebook « Les Mercredis de la SF ». Ils m’ont ouverts d’autres horizons technologiques, à moi qui en suis fan. Ainsi la réalité augmentée, ainsi la Noosfère et le NooMuseum de Yann Minh, un vrai trésor de créativité dans lequel tout artiste aspire à s’immerger. Merci à toi Yann, pour ce précieux cadeau que tu nous fais.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

 

J’aime écrire, une passion nécessaire pour un écrivain sans laquelle celui-ci n’irait pas au bout de son tout premier manuscrit. L’écriture se définit par la persévérance essentielle et la volonté tout aussi essentielle de parvenir à l’achèvement qui consacrera l’œuvre de l’artiste. L’existence d’un écrivain s’avère solitaire dans sa phase cruciale de l’écriture ; il lui faut l’affronter au quotidien ainsi qu’un ascète en quête de sagesse. Mais se rajoutant à ces performances, se tient celle d’amener à la vie ses personnages, de les faire évoluer au sein d’une histoire qui ne s’appréciera jamais que par la richesse du vécu de ces derniers.

Il m’arrive souvent de les trouver exigeants alors qu’ils m’entraînent dans leurs tribulations dont j’ai le sentiment de ne rien maîtriser, en dehors d’une certaine architecture dans le cadre du scénario.

Pour finir et comme chaque fois, je répèterais encore et encore la phrase que j’ai découverte il y a quelque temps, celle de George Bernard Shaw qui disait : « Vous voyez des choses et vous dites : « pourquoi ? » Mais moi je rêve de choses qui n’ont jamais existé, et je dis : « pourquoi pas ? » »

 

Vous trouverez ci-dessous le prologue et un extrait du roman en téléchargement gratuit et légal, remerciement  à l’auteure.

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Liste des œuvres sélectionnées pour le :

 Prix Merlin 2013

Romans

Rustic Fatales, de Alys Selene, éditions Kirographaires

Samhain, de Amaranthe Cassandre F., éditions Rebelle Editions

Le royaume du clair obscur, de Bailleul Pierre, éditions Kirographaires

Dagmar, de Bart, éditions Kirographaires

Le dernier jardin, de Bénard Lionel, éditions Midgard

Les derniers Parfaits, de Béorn Paul, éditions Mnémos

La geste du chevalier Rom, de Bérard Alain, éditions Du Pierregord

Medieval superheroes, de Boile Olivier, éditions Nestiveqnen

Contes désenchantés, de Bry David, éditions Lokomodo

Dans les Veines, de Caussarieu Morgane, éditions Mnémos

Nephilim, les déchus, de Clavel Fabien, éditions Mnémos

Nephilim, L'éveil, de Clavel Fabien, éditions Mnémos

L'homme aux pas de lune, de Combelles Isabelle, éditions Terriciae

La secte d'Abaddon, de Correia Cécilia (Aliette Renoir, Tome 1), éditions Rebelle Editions

Genèse, de Correia Cécilia (La guilde de Nod, Tome 1), éditions Rebelle Editions

Métamorphose, de Cros Anaïs (Lunes de sang, Tome 3), éditions Lokomodo

L'héritage des ténèbres, de Czillinder Frédéric, éditions Terriciae

Le livre de l'énigme, de Dau Nathalie (La somme des rêves, Tome 1), éditions Asgard

La nuit, de Davoust Lionel (Leviathan, Tome 2), éditions Don Quichotte

Sigiriya, le rocher du lion, de Delbe Alain, éditions Argemmios

L'œil et le poing, de D'Hem Julien (Sohl, Tome 1), éditions Asgard

Elbrön, de Di Rollo Thierry (Bankgreen, Tome 2), éditions Le Belial

La dame sombre, de Dubois Ambre (Les damnes de Dana, Tome 1), éditions Chat Noir

Marquise des ténèbres, de Dubois Ambre, éditions Petit Caveau

Quadruple assassinat dans la rue de la morgue, de Duquenne Cécile, éditions Voy'[el]

Premier souffle, de Durand Thomas C. (Les énigmes de l'aube, Tome 1), éditions Midgard

Les quatre vérités, de Durand Thomas C. (Les énigmes de l'aube, Tome 2), éditions Midgard

Titre mal renseign;

Le dernier vampire, de Faibre d'Acier Jeanne, éditions Bragelonne

Le crépuscule du Lolthan, de Fardin Marc-Antoine et Debandt Nicolas (Iluvendan, Tome 2), éditions L'homme sans nom

Le Xéol, de Flamand Alexis (Le cycle d'Alamänder, Tome 3), éditions L'homme sans nom

L'Ordalie, de Fuentealba Jacques (Retour à Salem, Tome 1), éditions Midgard

Dent pour dent, de Gallman Marika (Maeve Regan, Tome 2), éditions Milady

Le Boucher, de Gay Olivier, éditions Midgard

Fantôme de Chair, de Gibert David, éditions Asgard

Les vénérables, de Grimbert Pierre (Les gardiens de Ji, Tome 4), éditions Octobre

La baronne des Monts-Noirs, de Guillaume Céline (La baronne des Monts-Noirs, Tome 1), éditions Terre de Brume

La voie de la sorcière, de Guillot Cécile (Fille d'Hécate, Tome 1), éditions Chat Noir

La dryade, de Guitteaud Corinne, éditions Voy'[el]

Go to hell, de Hope Oxanna (Go to hell, Tome 2), éditions Nergal

Par le rêve et la ronce, de Jan Gabriel (Par le rêve et la ronce, Tome 1), éditions Black Coat Press

De sang et de larmes, de John Thomas (Lunardente, Tome 2), éditions Asgard

Les anges ont la dent dure, de Jomain Sophie (Felicity Atcock, Tome 2), éditions Rebelle Editions

Fissures, de Kaan Jess, éditions Lokomodo

La traque, de Katz Gabriel (Le puits des mémoires, Tome 1), éditions Scrineo

Le fils de la Lune, de Katz Gabriel (Le puits des mémoires, Tome 2), éditions Scrineo

Tueurs de dragons, de Kempeneers Gaëlle K. (Le chant de la Malombre, Tome 1), éditions Voy'[el]

Petites Morts, de Kloetzer, éditions Mnémos

Les ombres de Nemain, de Labbé Denis (La geste de Wolveric, Tome 1), éditions Midgard

Miroirs d'ambre, de Labbé Denis, éditions Lokomodo

L'hérétique de Brocéliande, de Lafarque Claude, éditions Du Pierregord

La légendaire et méconnue histoire d'Owein Tenby, de Lambert Agnès, éditions Kirographaires

La floraison, de Landressie Céline (Rose Morte, Tome 1), éditions L'homme sans nom

L'ange de la mélancolie, de Liau Nicolas, éditions Asgard

La loi des Mages, Tome 2, de Lion Oldie Henry, éditions Mnémos

Sanctuaire, de Malagoli Alexandre (La trilogie du roi sauvage, Tome 1), éditions Bragelonne

Le comptoir des épouvantes, de Mantese Laurent, éditions Malpertuis

Jeu 1, la sanguinaire, de Mendonça Aurélie (Tarots Divins, Tome 1), éditions Rebelle Editions

Ange maudit, de Merchadou Frédéric, éditions Malpertuis

L'esprit de la forêt, de Michel Patrice (Les phénomènes de Corneghem, Tome 1), éditions Atria

Un privé sur le Nil, de Miller Sylvie et Ward Philippe (Lasser, détective des dieux, Tome 1), éditions Critic

La chronique des mages, de Mollon-Nottré Gaëtan (Le livre du prophète, Tome 1), éditions Terriciae

Anamorphose, de Nathy, éditions Rebelle Editions

Cytise, femme pirate, de Neetesonne Adeline, éditions Terriciae

Potion macabre, de O'Donnell Cassandra (Rebecca Kean, Tome 3), éditions J'ai Lu

La danse du Lys, de Paradis G.N. (La Dame en blanc, Tome 1), éditions Terriciae

L'aigle du Caucase, de Rathger Milena (Arya McPherson, Tome 1), éditions Nergal

Les larmes du désert, de Rivat Feldrik (Les Kerns de l'Oubli, Tome 2), éditions Du Pierregord

Les chiens de guerre, de Robert Michel (L'agent des ombres, Tome 7), éditions Fleuve Noir

Le baiser du banni, de Rodriguez Cristina, éditions Le Pré aux Clercs

Sur les pas de l'ours, de Rousseau Julien, éditions Terriciae

Seuls les Dieux, de Sanahujas Simon (Chroniques de Karn, Tome 2), éditions Asgard

Nous sommes un monstre, de Sauvage Jérémi, éditions Malpertuis

Le prix d'Alaya, de Segura Magali (Eternité, Tome 1), éditions Bragelonne

Le poème de lumière, de Seoudi Noureddine (Sîn, Tome 3), éditions Atria

Yanis, Déesse de la mort, de Simon Valérie, éditions Edition du Riez

La stratégie des ténèbres, de Sklaerenn Baron (Ryan Blake, Tome 1), éditions Nergal

Troubles songes, de Soutoul Stéphane, éditions Rebelle Editions

La guerrière fantôme, de Syven, éditions Edition du Riez

Les sortilèges de l'ombre, de Tanner Rachel, éditions Black Coat Press

Les dossiers secrets de Harry Dickson, de Tarvel Brice (Les dossiers secrets de Harry Dickson, Tome 3), éditions Malpertuis

Mortel secret, de Tean Julia M. (Angela, Tome 1), éditions Rebelle Editions

Le Culte des Goules, de Téchenet Antoine, éditions Mnémos

L'aube de la guerrière, de Terral Vanessa, éditions Chat Noir

Les feux de Tyr Ashen, de Tessier Philippe (Chroniques de Tire-d'Aile, Tome 2), éditions Black Book

Anges foudroyés, de Tessier Philippe, éditions Black Book

Prélude, de Thomelin Marie-Alix (Elégie pour un ange, Tome 1), éditions Midgard

Chronique d'un esprit vagabond, de Van Lerberghe Luc (Arthamios, Tome 1), éditions Midgard

Désolation, le dernier vampire, de Vigne Jean, éditions Petit Caveau

L'enfant merehdian, de Villeneuve Magali (La dernière terre, Tome 1), éditions L'homme sans nom

Des certitudes, de Villeneuve Magali (La dernière terre, Tome 2), éditions L'homme sans nom

Vampires d'une nuit de printemps, de Vilore Lia, éditions Petit Caveau

Immortel, de Wallaert Claire, éditions Sharon Kena

 

 

 

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Level up with the Gods T01

Level up with the Gods T01

Level up with the Gods T01

Parution mars 2024

Ecrit par le manhwaga Ohyeon peut connue en France,malgres des séries de plus e 25 tomes dans son pays d’origine

 

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Adaptée du light novel «Au niveau des dieux» qui compte plus de 25 tomes cette série créer par D/C weebtoon et disponible sur kakaopage et Daum cumule plus de 20 millions de vues

Ohyeon est un scénariste de weebtoon très réputé pour ses titres «The Live», «The Player» et «Hunter Time»

Ohyeon

«Je suis tellement heureux de rencontrer mes lecteurs français!

J’espère que nous suivrons les aventures deYuwon ensembles»

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Les dieux extérieurs ont détruit l'humanité et les derniers dieux intérieurs n'ont plus aucune chance de l'emporter. Afin de sauver le monde, Kim Yuwon est renvoyé dans le passé. Adapté du light novel Au niveau des Dieux qui compte plus de 25 tomes.

La grande guerre est finie... La longue bataille entre les dieux intérieurs et les dieux extérieurs s'est conclue par une cuisante défaite de ces derniers. C'est alors qu'un ultime espoir apparaît : afin de sauver le monde, Kim Yuwon est renvoyé dans le passé, quelques heures avant l'apparition des premiers donjons. Pour sauver ceux qu'il aime, il doit de nouveau rassembler ses compagnons et les faire gagner en puissance.

 

Ohyeon

Scénariste,Illustrateur coréen

 

Level up with the Gods T01

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Christine Barsi – La Passion de l’Arachnee  : Thanäos

Christine Barsi – La Passion de l’Arachnee

Tome 2 : Thanäos

 

Présentez-nous votre ouvrage

La Passion de l’Arachnee est une trilogie de science-fiction passionnelle faisant partie de ma saga des Mondes Unifiés. Une déclinaison de la Belle et la Bête sur le registre de la science-fiction et des mutations.

Voici le pitch du tome 2 :

« Au cœur de l’enfer végétal de Thanäos, accompagnée d’une équipe composée de Terriens et de Colons, et s’interrogeant sur les objectifs qu’on leur a attribués, une éthologue étudie le peuple des Hommes-Arachnees et leur potentiel d’humanité. Piégée par ses propres rêves d’une existence divergente et d’une reconnaissance des races mutantes au sein de la colonie terrienne, en lutte contre l’hégémonie des gouvernements du Berceau, elle deviendra, entre les pattes du plus grand des Arachnees, le jouet involontaire de sa passion exclusive. »

Le tome 2 s’intitule : « Thanäos »

« Elle est enfin là ! » pense avec une satisfaction morbide le monstre arachnee qui guette dans la nuit, au sein de la jungle obscure et bruyante. « Là et à ma merci. Elle est enfin venue, et le miracle auquel je ne croyais pas s’est accompli. »

Ainsi, pense Aydaãnh, sous sa forme mutante, à scruter d’un air mauvais les misérables chalets de bois qui enclosent les Humains dans la fausse sécurité de leur campement.

Il les observe, elle et ses comparses, mais n’interviendra pas. Pas encore.

 

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Quels sont les thèmes abordés dans ce roman ?

Thanäos est la suite directe de L’Odyssée. Vous y trouverez donc un univers de science-fiction traitant de déviances, de mutations et de la folie des Terriens dans la recherche de leur Graal, le génome parfait selon leur regard dévoyé. Mais au-delà, c’est une magnifique histoire d’amour entre deux êtres que tout sépare, leurs races comme leurs idéaux. Sauront-ils dépasser leurs divergences ? Certaines scènes sont très belles, très esthétiques, d’autres douloureuses et difficiles à affronter. Entre romantisme et conflits, ainsi en va cette odyssée dans l’univers bouleversant de Thanäos.

La trilogie s’achèvera avec le troisième tome en phase de réécriture actuellement. Mais La Passion de l’Arachnee ne fait qu’amorcer un univers beaucoup plus vaste, celui des mondes unifiés, celui des mondes déviants qui intègrent un certain nombre de livres en devenir. Préparez-vous !

 

Pourquoi cette illustration de couverture ?

Je suis tombée sous le charme de ce visage féminin qui symbolise à mon regard, la pureté de l’héroïne. Ses yeux fermés révèlent son aptitude à la télépathie, à la communication avec les êtres quel que soit leur degré d’humanité. Son front ceint de fleurs évoque les fleurs sauvages de Thanäos. Le fait que ce visage soit encadré des deux crânes figure la dangerosité de la jungle de Thanäos au sein de laquelle la mission de l’héroïne l’entraîne à côtoyer des peuples déviants et mutants parmi les plus redoutables. La béance des orbites du crâne suggère, quant à elle, la caverne dans laquelle le Démiurge arachnee emportera la scientifique dans le cadre d’une scène que vous découvrirez en lisant le livre. Enfin, la forêt en arrière-plan rappelle l’immanence de cette jungle mystique.

 

Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 2 de la Passion de l’Arachnee ?

1er extrait - Prologue :

Tout n’est qu’apparence, tandis que dans le cœur des hommes se terrent quelques-unes des roueries les plus maléfiques et les plus malsaines. Comment identifier l’ami qui ne vous trahira pas ni ne trahira tout ce en quoi vous croyez jusque-là ?

« La jungle omniprésente et sa faune déviante, vibrante de cette énergie animale que ne maîtrisait aucun des grands décisionnaires de Terra et de ses succursales.

C’est dans cet enfer qu’ils s’étaient embarqués en dépit des dangers, en dépit des avertissements multiples, poussés de l’avant par cette mission furtive autant que suicidaire dont ils ne comprenaient que ce que l’on avait bien voulu leur en révéler.

Ils avaient enregistré des pertes dans leur équipe, récemment, et le camp qu’ils venaient d’investir, heureux d’avoir désormais un toit au-dessus de leurs têtes, n’était pas ce qu’il y avait de plus sécuritaire ni de plus rassurant ; mais c’était ce qu’ils avaient connu de mieux, depuis leur départ de Ranat la ville-garnison aux portes de Thanäos. »

 

 

2nd extrait - La Fhyenetëan, Wokuntz :

Aimer un Déviant qui ne vous considère que comme un être dégradé apporte son lot de souffrances inéluctables, et vous pousse à vous considérer comme dépravée alors même que vous ne ressentez que cet invariable sentiment d’amour à son encontre. Comment sortir de l’impasse ?

« En cette fin de matinée, Wanisha frottait des pagnes de tissus au lavoir près de la hutte qu’elle partageait avec Tôenino, dans la partie sud du camp des femmes. Ce dernier était parti aider les hommes aux champs. Il faisait beau ; aujourd’hui, la brume n’avait stagné qu’un bref laps de temps avant de se désagréger progressivement. L’esclave prisait les paysages qui se déployaient, alors, dans leur simplicité sans artifice. Depuis l’aube, elle travaillait à la tâche ingrate de nettoyer les pagnes des guerriers arachnees. Tâche qu’elle partageait avec les Humaines et les Humanoïdes, esclaves tout comme elle. »

 

 

3ème extrait - Remise en état du gîte : 

Me perdre dans la jungle était ma façon de me désassocier du genre humain, de remonter à mon enfance et de m’y réancrer à l’instar d’une gamine insouciante qui ne rêvait que de gentils monstres.

« L’aube naissante jetait sur les Hauts-Plateaux d’extraordinaires lueurs incandescentes qui inondaient la mansarde d’une lumière mouvante ; les ombres incertaines se densifiaient par endroits, s’amenuisaient à d’autres en créant une danse photophorique fascinante. Baignée dans cette atmosphère chargée de mystère, depuis son nid douillet, Isys fixait la clarté au-dehors par la lucarne étroite. Un merveilleux sentiment de bien-être l’emplissait tout entière. Elle aurait aimé garder la tiédeur de son lit tant elle s’y trouvait bien, mais un décichrone[1] plus tard elle descendait de son coin paisible pour s’affairer dans le chalet.

Le battant de la porte d’entrée frappait contre le mur extérieur. Attirée par les heurts agressifs, Isys sortit au-dehors. La brume noyait le paysage d’un halo cotonneux, le recouvrait d’un manteau bleuté opalescent, mais ne dépassait pas plus d’un mètre quarante au-dessus du sol ; sous les yeux de l’éthologue se révélait un monde enchanteur et champêtre. On se serait cru dans un tout autre lieu où la paix aurait régné sans équivoque et sans aucune trace du mal qui rongeait Xaltaïr et l’ancienne Terre. »

 

 

Comment se déroule pour vous cette fin d’année 2020, alors que l’épidémie de COVID 19 a entraîné un confinement et un contexte extrêmement difficile au niveau planétaire ?

Tout d’abord, je ne pensais pas avoir le temps nécessaire à la parution du second opus de cette trilogie ni même du précédent d’ailleurs. Le miracle est survenu, puisque les deux premiers tomes de la Passion de l’Arachnee seront sortis au cours de cette année 2020.

En ce moment même, je travaille le tome 3 et j’ai bon espoir de le soumettre à mon éditeur, suffisamment tôt pour qu’il ait une chance d’être publié d’ici à l’été 2021. La situation bien que déroutante n’aura pas eu d’impact négatif dans ma production littéraire, dans la mesure où j’ai dû trouver des solutions qui me permettent de progresser envers et contre tout dans mes objectifs et de nourrir toujours plus avant cette passion pour l’écriture.

En effet, les salons et diverses manifestations ne s’étant pas tenus dans le contexte de confinement, j’ai programmé dès que cela a été possible des séances de dédicaces dans mon jardin de Bellême dans le Parc Régional du Perche en prenant bien entendu en compte les éléments protecteurs de la distanciation. La planification de ces moments privilégiés m’a ainsi permis de me créer des contacts dans le milieu littéraire et de rencontrer des journalistes. Ceux-là sont venus nous interviewer, mes lecteurs et moi, dans le cadre de ces événements. Je me suis également rapprochée de ma mairie de Nogent-sur-Marne très volontaire pour développer les actions culturelles pour ses artistes et ses Nogentais. Nous allons organiser, de concert, une soirée Dédicace en même temps qu’un spectacle sur la Cyberculture. Lors de cette soirée de début novembre, l’artiste Yann Minh m’accompagnera en tant que conteur du cyberespace. Je suis très heureuse de cette opportunité.

Dans les autres événements prévus pour cette fin d’année, si le contexte s’y prête, je serais présente à des séances de dédicaces lors du Salon des Éditeurs Indépendants promu par L’Autre Livre qui doit se tenir mi-novembre.

En novembre, j’aurais également une réponse concernant ma participation à l’appel à texte du Prix Mille Saisons 2022. Leur toute dernière anthologie du merveilleux et de la SF sur le thème : « Des Astres humains » devrait paraître en 2021 pour le Salon du Livre de Paris. La nouvelle que je leur ai proposée, L’Éveil Quantique, y sera-t-elle ? Une affaire à suivre…

Enfin pour clore le chapitre de l’année 2020, j’ai été invitée cet été à intégrer le Conseil d’administration de la Mairie de Nogent-sur-Marne afin d’y développer l’univers du Livre de notre ville. J’apprécie énormément cette opportunité que le Maire et la Direction de la Culture à Nogent m’a offert tout dernièrement.

Dans le cadre de l’année 2021 sont d’ores et déjà au programme le Salon du Livre et de la BD d’IDF sur Mennecy courant février, le Salon International du Livre et du Film de Saint-Malo en mai ainsi que le Salon Fantastique du Parc floral de Vincennes qui s’organise pour la fin aout, en espérant que ces diverses actions puissent se tenir.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je l’ai déjà exprimé dans les précédents interviews, mais je le réaffirme ici : la persévérance est le maître mot de l’existence dans la poursuite de ses rêves de quelque ordre qu’il soit. Soyez fidèle à ces rêves qui vous emporteront bien plus loin que ce que vous l’escomptiez à l’origine.

Et pour finir, je répèterais encore et encore, la phrase que j’ai découverte il y a quelque temps, celle de George Bernard Shaw qui disait : « Vous voyez des choses et vous dites : « pourquoi ? » Mais moi je rêve de choses qui n’ont jamais existé, et je dis : « pourquoi pas ? » 


 

Christine Barsi

L’auteure est une scientifique qui puise son inspiration dans ses études en biologie et science de la nature et de la vie, ainsi que dans son métier dans les ressources humaines et l’ingénierie. L’auteure écrit en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif neuf romans publiés à compte d’éditeur. Elle est membre du Conseil d'administration de sa ville afin de promouvoir la littérature.

 

Auteur  

Déviance (2017, roman)

Déviance - tome II (2019, roman)

Déviance - tome III (2019, roman)

L'Éveil du Dieu Serpent (2018, roman)

Mutagenèse (2018, roman)

L'Odyssée (2020, roman)

SolAs (2019, roman)

Teralhen (2017, roman)

 

[1] Unité de mesure du temps équivalant à quinze à vingt minutes, soit environ un quart d’heure temporel.

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Nathan Eveil.

Nathan Eveil.

 

 

Les éditions Nathan publient également pour les tout-petits dès l’âge de 6 mois.

 

Nous avons pensé que vous seriez intéressé par également les connaitre.

 

Vous trouverez donc ci-dessous des informations sur ces ouvrages, indispensable au l’éveil au touchez et son de vos enfants.

 

 

Cache cache - petit dinosaure –

Livre à toucher dès 6 mois

Collection : Cache-cache

Illustrateur : Y.-H. Huang La collection cache-cache feutrine s'agrandit ! Au temps des dinosaures, Nono le petit diplodocus est sur le point de sortir de sa coquille… Accompagné de son ami le tricératops, ils vont partir à l'aventure.

 

Un livre pour enfants avec des flaps en feutrine à soulever pour encourager la motricité fine.

 

Illustration Yu-Husan Huang.

Dès 6 mois.

6,90 €

8 Pages

A paraître

Parution : juin 2019

ISBN : 978-2-09-258802-4

 

cache-cache - Petit train –

Livre à toucher dès 6 mois

Collection : Cache-cache

Illustrateur : Y.-H. Huang

La collection cache-cache feutrine s'agrandit ! Tchou-tchou! Le petit train va partir de la gare. Au fil des pages et du voyage, on regarde le paysage.

 

Tchou-tchou! Le petit train est bientôt arrivé. Les grands-parents attendant les enfants sur le quai.

 

Un livre pour enfants avec des flaps en feutrine à soulever pour encourager la motricité fine.

Dès 6 mois.

 

6,90 €

6 Pages

A paraître

Parution : juin 2019

ISBN : 978-2-09-258144-5

Illustration Yu-Husan Huang.

 

On se cache dans l'arbre

Dès 6 mois

Collection : Petit Nathan  

Série : Premières histoires à toucher

Illustrateur : A. Guillerey

Un nouveau livre de coucou/caché pour partir à la découverte de la nature. Des racines à la pointe des branches, bébé découvre tous les habitants qui peuplent un arbre.

 

Derrière chaque feutrine se cachent des insectes, des rongeurs, des oiseaux…

 

Un livre pour enfants avec des flaps à soulever pour encourager la motricité fine.

 

Dès 6 mois.

9,95 €

12 Pages

Disponible

Parution : mai 2019

ISBN : 978-2-09-258915-1

Illustrateur : A. Guillerey

 

 

Bonne nuit petit poussin !

Ma toute première histoire animée pour aller au lit !

Ma première histoire pour accompagner bébé jusqu'au coucher grâce aux animations :

 

- cric-crac ! le poussin sort de l'œuf

- petit poussin saute partout dans la basse-cour

- pic-pic ! poussin picore du bon grain

- le soleil se couche, poussin se glisse sous l'aile de maman

- bien au chaud, bébé poussin s'endort

 

Une histoire courte pour aller au lit sans soucis.

Dès 6 mois.

 

Date de parution :13/06/2019

Editeur Nathan

Collection:Kididoc histoires

Format 17cm x 17cm

Nombre de pages            10

Illustration : Nathalie Choux.

 

 

Bloup ! Mon Imagier Sonore des Animaux de la Mer

Nombre de pages : 10

Matière : Carton

Dimensions : l. 18 x H. 18 x P. 2,5 cm

Illustrateur : Nathalie . Choux

A partir de 6 mois

Avec des sons d’animaux marins.

Nathan Eveil.
Nathan Eveil.
Nathan Eveil.
Nathan Eveil.

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Il est difficile d’être un dieu,  Arkadi et Boris  Strougatski

 

Il est difficile d’être un dieu,  

Arkadi et Boris  Strougatski.

 

A l’occasion de la sortie prochainement en salle du film éponyme œuvre posthume d'Alexeï Guerman qui reçut un prix honorifique au 8eme festival du film de Rome, pour l’ensemble de son œuvre. .

 

 Les Éditions FOLIO SF rééditent dans une édition définitive établie par Viktoriya Lavoye, et traduite du russe par Bernadette du Crest :

 

« Il est difficile d’être un dieu » d’ Arkadi et Boris  Strougatski.

 

L’action ce déroule sur la planète Arkanar entre une société semi-féodale totalitaire dirigée par un ministre de la sûreté tyrannique (souvent synonyme même dans notre univers) et l’Institut d’Histoire Expérimentale de la Terre, cette dernière dois-t-elle intervenir ?

 

Il est dur sans spolier à la fois le livre et le film d’en dire plus.

 

Si une fois lut le livre et vue le film, fait nous part de de vos remarques, sur les deux, sur l’adaptation de l’œuvre écrite et sa transposition au cinéma.

 

La lecture et le septième art méritent tous les deux de faire partie de notre univers.

BANDE-ANNONCE FILM IL EST DIFFICILE D’ÊTRE UN DIEU SORTIE FÉVRIER 2015

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KADE Angouleme 2013

 

 

Kade – Tir — Jac « Shaango » Los Brignoles Éditions

Bonjour Kade,

Tu es le créateur d’un comics intitulé : « Shaango », qui est un super héros africain, qui détient les pouvoirs d’un dieu, tu peux nous en dire plus ?

C’est un personnage qui se retrouve du jour au lendemain avec les pouvoirs d’un dieu africain qui s’appelle « Shaango » qui est le dieu de la justice au Nigéria, cela lui donne le don de provoquer la foudre et l’électricité. Du jour  au lendemain il va avoir ses pouvoirs, il va essayer de les maitriser et être confronté au bien et au mal du fait de ses pouvoirs. Il va y avoir toute une série de personnages qui s’intéressent à lui en raison de ses pouvoirs.

Au début il n’est pas enthousiasme à être un super-héros ?

Non, absolument c’est un personnage qui a déjà beaucoup de dilemmes en lui, qui es partagé dans son métier d’éducateur en banlieue, d’enseigné le bien le mal, aux enfants qu’il a en charge, et il ce retrouve avec ces pouvoirs qui vont lui donné un pouvoir surnaturel, de don extrême, qui    peu provoquer la mort et donc ce retrouver avec l’envie de faire des choses qui sont du bon côté de la balance.

Cela devrait plus lui donner des responsabilités normalement ?

Normalement il devrait avoir plus de responsabilités, mais la colère qui l’habite et qui quelques parts fait naitre ce don, vas créer en lui un grand dilemme.

Il s’agit d’un cycle, il est prévu en combien de tomes ?

Le premier cycle « Chroniques de l’orage » est en trois épisodes, publier séparément, il y a également une intégrale du premier cycle avec 7 histoires courtes inédites à la fin, ce qui donne à en connaitre un peu plus sur cet univers.

D’où vient cette inspiration africaine ?

Elle vient du fait qu’avec mon coscénariste nous nous sommes intéressés aux légendes africaines, des dieux Afrique de l’ouest, il ce trouve qu’il y a un panthéon magique considérable en Afrique de l’Ouest, de dieux qui ressemblent beaucoup au panthéon grec.

Ils on un coté très humain, ce qui nous intéressait était de projeter ce panthéon, dans un environnement actuel et de démontrée que ces mythes et légendes peu connus en Europe, son racontable dans le contexte contemporain.

Nous nous sommes beaucoup documenter sur ce panthéon, le mythe de Shaango, a beaucoup évolué durant la période de l’esclavage, et si les dieux sont natifs de l’Afrique de l’Ouest, on les retrouve dans les caraïbes et en Amérique du Sud.

C’est un patrimoine culturel que l’on retrouve dans divers endroits du monde.

Vous êtes plusieurs à faire ces albums

Oui je fais les dessins et je coscénarise avec Jac et Tir pour les couleurs.

 

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Animalia

Animalia

ANIMALIA

 

En salle le 9 aout

 

L’approche originale de la metteuse en scène donne tout son sens à ce film d’úne Franco-Marocaine.

 

Je vous recommande fortement d’aller le voir à sa sortie en salle

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“UN SENS VISUEL SAISISSANT”

SCREEN INTERNATIONAL

 

“MÉDITATIF, OBSCUR... CHARMANT”

VARIETY

 

“DÉTOURNE LE GENRE DE MANIÈRE CONVAINCANTE”

HOLLYWOOD REPORTER

 

NOTE D’INTENTION DE SOFIA ALAOUI

Animalia est un drame fantastique sur la fin d’un monde. J’ai voulu questionner nos certitudes et nos croyances, qui nous bloquent dans une pensée unique. C’est pour moi très actuel, vu les bouleversements que nous vivons aujourd’hui à l’échelle planétaire.

 

Plus qu’un film fantastique, Animalia est une odyssée humaine, une ode à la nature et un questionnement sur la place de l’homme dans ce monde complexe.

Ce projet a vu le jour, lorsque je suis revenu au Maroc, le pays où je suis née après avoir vécu et voyagé à l’étranger pendant très longtemps. J’ai été confronté au poids de la religion, des classes sociales et du rapport fou à l’argent qui émergeait. Un deuxième dieu dans cette société arabe capitaliste moderne.

 

Et en même temps, j’étais complètement obsédée par des questions métaphysiques : la vie extraterrestre, l’univers etc ... J’ai fait mon court-métrage en expérimentant une méthode de réalisation, en utilisant le surnaturel pour interroger profondément ma société et mes personnages.

 

Quand j’étais jeune, j’étais fascinée par le pouvoir de l’image, la symbolique dans un film. Accepter l’inacceptable, et laisser la pensée décanter afin de comprendre ou pas certaines clés du film. J’aime l’idée que dans un film, rien n’est laissé au hasard et que par l’image, ses décors, sa musique, son univers, le sens profond apparaisse.

 

BIOGRAPHIE

Sofia Alaoui est une cinéaste franco-marocaine, élevée entre le Maroc et la Chine. Présentée comme l’une des Arab Stars of Tomorrow par Screen Daily, elle a réalisé plusieurs documentaires puis le court métrage « Qu’importe si les bêtes meurent » (Grand Prix du Jury au festival de Sundance 2020 et César du meilleur court-métrage 2021), suivi de The Lake pour la 20th Century Fox.

 

Animalia, son premier long métrage a gagné le Prix Spécial du Jury au Festival de Sundance en 2023.

 

ENTRETIEN AVEC SOFIA ALAOUI

Vous avez grandi entre le Maroc et la Chine. Expliquez-nous, comment votre éducation a joué un rôle dans la genèse de cette histoire.

 

C’est vrai que j’ai eu la chance très jeune d’être confrontée à des cultures, des croyances très différentes que ce soit en Europe par ma mère, au Maroc par mon père et en Asie à travers les voyages qu’on faisait quand nous habitions en Chine. J’ai grandi ainsi dans cette diversité là, dans la curiosité de l’autre et dans l’idée de se dire que notre schéma de pensée n’est peut être pas toujours le bon.

 

J’ai le sentiment que souvent nous sommes piégés par la pensée unique qui nous a formatés.

Et qui empêche, à mon sens, une réflexion profonde et une remise en question des choses établies : de nos modes de vie par exemple, de nos croyances. C’est très difficile d’en sortir et d’avoir du recul sur soi et sur son environnement.

 

C’est pour cela que je souhaitais confronter mes personnages et leurs réseaux de croyances à l’existence d’extraterrestres qui les bouleverserait alors profondément. Votre approche de l’invasion extraterrestre est tout à fait unique et prend une dimension encore plus fascinante avec un personnage de ITTO.

 

Pourquoi la grossesse  était-elle si importante dans votre histoire ?

La grossesse de Itto est très symbolique : que va-t-elle léguer à son enfant ? Quel héritage de pensée ? De mode de vie ? Ce film c’est à la fois sur la fin d’un monde mais aussi la naissance d’un nouveau. La naissance de son enfant marque comme un espoir de construire nos sociétés, par l’éducation, sur des  schémas différents de ceux actuels. Les générations futures sont une opportunité. C’est aussi pour cela que les “extraterrestres” qui s’incarnent dans plusieurs personnages  durant le film semblent comme la protéger. Sa grossesse incarne un espoir.

 

L’histoire passe de la richesse et des splendeurs marocaines à la vie rurale et pauvre d’une ferme.

 

Expliquez nous

On est dans un pays très disparate. Itto incarne ce mélange des classes. Ce monde inégalitaire en demande d’équilibre constante.

 

Itto n’est pas à l’aise ni dans un monde ni dans un autre. Je ne voulais pas idéaliser le bonheur de la campagne. Car ce n’est pas vrai. C’est une vision un peu bourgeoise de se dire que la simplicité de Fouad et des bergers qui partagent le tajine avec Itto, est la solution. La solution c’est l’équilibre.

 

C’est ce que vient bousculer cette arrivée extraterrestre. Ils viennent créer le Chaos dans le chaos pour rétablir un équilibre vital pour nous, Il y a aussi dans ce parcours une dimension visuelle symbolique. Ces maisons richement décorées, ce faste au début du film pour aller peu à peu au dépouillement.

 

Les montagnes de l’atlas offrent des paysages vraiment déroutants qui amènent une part de mystère et créent une esthétique bien particulière à un récit ancré dans la réalité. Ces paysages renvoient à l’humilité, à la conscience de la fragilité de l’existence humaine. Itto tente d’acheter sa liberté.

 

Que dites-vous de l’obsession de la société pour l’argent et de la cupidité en général ?

La mondialisation, la course aveugle vers le profit ont eu gain de cause sur les projets collectifs. On sait évidemment que l’argent est maître roi de ce monde capitaliste. Dans mon film, c’est un facteur très important dans le développement du Maroc et pour saisir la pensée de la classe dominante. Ici, la course effrénée à l’argent et au pouvoir mène à une injustice effroyable. La corruption triomphe et tous les moyens sont bons pour « arriver » à ses fins.

 

Itto, mon personnage principal, est mariée à Amine, fils d’un Caïd local. Un Caïd c’est un agent d’autorité qui assure l’exécution des lois et règlements, le maintien de l’ordre, la sécurité et la tranquillité publiques et dirige les services de l’État, placés sous son égide. Mais la réalité, c’est que les Caïds sont étrangement riches dans certaines régions. Ils usent de leur pouvoir pour leurs intérêts personnels. Il était important pour moi, de mettre en exergue ces problématiques-là. Au Maroc, l’argent est comme une deuxième religion.

 

Beaucoup d’éléments de cette histoire sont inexpliqués, révélés progressivement ou pas du tout. Pourquoi ?

Je ne voulais pas donner de réponse concrète à la fin du film pour d’une part, ne pas recréer moi non plus un schéma figé comme une nouvelle structure dogmatique qui serait « la résolution » et d’autre part, qui apporterait beaucoup de naïveté à un sujet transcendantal qui interpelle tout un chacun.

L’important pour moi est que l’arrivée des extraterrestres, questionne et pousse chaque individu (de manière forcée ou non), à aller à la découverte de soi.

 

« Le doute est le commencement de la sagesse » comme disait Aristote.

 

Et si jamais le spectateur voulait des réponses claires, le film les apporte à sa manière dans l’observation de ce qui est perdu et ce que l’on gagne dans ce nouveau monde.

J’aime les films qui offrent certaines réponses à celui qui sait observer l’image. Que des questions flottent dans l’esprit du spectateur et le hantent dans le temps, jusqu’à ce qu’il trouve ses réponses.

 

Votre vision de l’invasion est singulière. Vous pouvez nous en parlez ?

C’est vrai que je tenais à ce que le surnaturel arrive avec naturel. Je voulais que tous les éléments fantastiques soient traités de manière extrêmement réaliste pour qu’ils s’imbriquent de manière naturelle à leur environnement. (Une vraie maison sur un lac, une vraie mosquée de petite ville, de vraies routes de montagne…)

 

Tout ça était important pour avoir un rendu organique et réel. Car ce film est une ode à la nature et questionne la place de l’humain dans un monde complexe. Les éléments de science-fiction et fantastiques ne sont qu’un arrière-plan. Ce qui compte c’est le cheminement de mes personnages.

 

Toute l’histoire est portée par Itto, magnifiquement interprétée par Oumaïma Barid.

Expliquez pourquoi vous avez choisi cette actrice pour le rôle principal.

J’ai beaucoup travaillé avec des acteurs non professionnels, dans ce film mais aussi dans mon précédent court-métrage « Qu’importe si les bêtes meurent ». Du coup, ce que je recherchais chez l’actrice qui allait incarner Itto, c’est ce qu’elle était. Je n’ai pas commencé par des essais.

Ce qui m’intéressait, c’est de savoir qui elle était, ce qu’elle pensait des thématiques qui traversent le film.

 

Oumaima semble fragile d’apparence, toute frêle mais elle a une force mentale incroyable. J’aime  cette contradiction car elle allait avec mon idée de développer des personnages complexes qui ne sont pas enfermés dans une case.On est dans un monde qui juge trop rapidement les gens. Oumaima offrait cette possibilité de couleurs différentes pour le personnage de Itto.

 

Au fond, il s’agit d’une histoire d’éveil, à différents niveaux. Êtes-vous d’accord ?

Exactement.

Dans un récit très ancré dans le réel, je veux que mon événement surnaturel provoque un bouleversement dans la société que je dépeins.

Je crois profondément que l’Homme a la capacité, de par son intelligence et son libre arbitre, de sortir de ces schémas inscrits dans ses gènes, mais également transmis par sa culture.

 

Votre pays est patriarcal, une monarchie et presque exclusivement islamique, ce qui en fait un cadre fascinant pour l’installation de ce qui est essentiellement un nouvel ordre mondial. Pourquoi avoir choisi le Maroc ?

C’est surtout la société que je connais le mieux et je ressens intimement tout ce qui est présent dans mon film. Je ne veux pas tomber dans le piège du « c’est un pays musulman » il faut le critiquer à tout prix. Le monde arabe, les réalisateurs arabes dont je fais partie souffrent terriblement des attentes européennes quand il s’agit qu’on fasse un film. Je ne fais pas un film pour montrer à l’Europe comment mon pays le Maroc est vraiment inférieur au leur. Que nous, pauvres marocains, pauvres femmes souffrons.

Oui, je questionne le patriarcat, je remets en question le rapport à la religion des gens dans mon pays. Mais ce rapport-là vaut pour toutes les religions. Il se trouve juste que je suis franco-marocaine donc plus à même de parler de ce qui se passe ici.

D’ailleurs les présences extraterrestres dans mon film n’ont pas seulement lieu au Maroc mais dans différentes régions du monde. La remise en question du schéma dans lequel on vit ne vaut pas seulement pour le Maroc.

 

Même si le film est ancré dans des lieux bien précis et peut mettre en exergue des problématiques locales, je veux que mon film ait une dimension universelle. C’est très important pour moi.

 

Les animaux jouent un rôle important dans l’histoire. Quel est leur rôle et pourquoi sont-ils si cruciaux et centraux dans cette histoire ?

Après mon court-métrage qui laissait les extraterrestres dans le ciel, je me suis posée la question de comment incarner cette présence extraterrestre sur terre. J’ai souvent été  déçue des films qui nous les montrent. Souvent c’est plus intéressant quand notre imaginaire travaille. Et puis quand on se questionne sur l’âme, sur notre corps matériel. Je me suis dit que les extraterrestres pouvaient avoir une enveloppe visible et invisible, mais que leurs âmes pouvaient réussir à voyager et à s’incarner dans notre monde terrestre : animaux, humains…

 

Dans beaucoup de pensées autochtones, il est dit que nous sommes enchaînés, à la manière es hommes dans la caverne de Platon. L’Homme, le monde, la nature et les vivants qui les entourent sont tous liés au sacré.

 

FICHE TECHNIQUE

Un film écrit et réalisé par SOFIA ALAOUI

Produit par MARGAUX LORIER, TOUKIF AYADI, CHRISTOPHE BARREL

Producteur exécutif : LIONS PRODUCTION & SERVICE - HICHAM EL GHORFI

Directeurs de production : JEAN-CHRISTOPHE COLSON et LOUISE KRIEGER

Directrice de postproduction : BARBARA DANIEL

Premier assistant réalisateur : HAMZA BOUMALKIET KEVIN SOIRAT

 

Musique : AMINE BOUHAFA

Image : NOÉ BACH

Son : MARIETTE MATHIEU-GOUDIER, SÉBASTIEN SAVINE, FRANÇOIS MEREU

Montage : HÉLOÏSE PELLOQUET

Mixage : LAURE ARTO

Etalonnage : CHRISTOPHE BOUSQUET

Superviseur VFX : ARNAUD FOUQUET

Régie : KHALID RBIBE ET JEAN-PASCAL MABILLE

Scripte : MARGOT SEBAN

Costumes : LYDIE COLLIN

Décors : HAFID AMLY

Coproducteurs : JIANGO FILMS, DOUNIA PRODUCTIONS, ARTE FRANCE CINÉMA.

Avec la participation de CANAL+, CINÉ+, ARTE FRANCE CINEMA, AD VITAM, TOTEM.

 

Avec le soutien du CENTRE NATIONAL DU CINÉMA ET DE L’IMAGE ANIMÉE, du CENTRE CINÉMATOGRAPHIQUE MAROCAIN, LE FONDS IMAGE DE LA FRANCOPHONIE, LE DOHA FILM INSTITUTE, de LA PROCIREP et L’ANGOA.

Animalia

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Bande annonce d’Animalia

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