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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Articles avec #exposition

EXPOSITION : « STAR TREK LONGUE VIE ET PROSPÉRITÉ »

EXPOSITION : « STAR TREK LONGUE VIE ET PROSPÉRITÉ »

EXPOSITION :

« STAR TREK LONGUE VIE ET PROSPÉRITÉ »

 

Du 16 au 25 septembre 2016 Le Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg investit le CAUE avec une exposition inédite STAR TREK pour fêter les 50 ans de la série culte de Gene Roddenberry.

 

La concordance des dates avec le Festival et l’arrivée sur nos écrans du 13ème opus cinéma, Star Trek Beyond, nous offrent l’occasion de revenir sur les 6 séries TV, 29 saisons et 726 épisodes de cette saga universelle.

 

Au travers de maquettes, affiches, costumes, figurines, objets insolites et fan arts, grâce aux collections privées de Francis et Dominique Delozé, Laurent Gonel, Denis Scheer et Audrey Ferrah, parcourez l’espace, frontière de l’infini, explorez des mondes étranges, d’autres civilisations et au mépris du danger, avancer vers l’inconnu.

 

17, 18 et 24 septembre 2016

Laurent Gonel, illustrateur trekkie, fera une démonstration d’aquarelle. Monsieur Spock à Enterprise : prêt pour la téléportation, énergie !

Entrée libre.

Communiqué de presse

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Jean Cocteau: La belle et la bête (1946), courtesy: DisCina

Jean Cocteau: La belle et la bête (1946), courtesy: DisCina

Exposition

"Monstres, faites-moi peur"

 

La Maison d’Ailleurs aux Rencontres d’Arles avec une exposition inédite : « Monstres, faites-moi peur ! ».

 

Pour sa 47ème édition des Rencontres d’Arles, le festival a invité la Maison d’Ailleurs à exposer – du 4

juillet au 25 septembre 2016 – une série de photographies provenant de ses collections et expressément rassemblées pour l’occasion autour de la figure du monstre. Explorant la diversité de cette thématique, l’exposition « Monstres, faites-moi peur ! » confronte notre regard à l’idée de la norme, aux fondements relationnels qui nous associent ou nous dissocient d’un groupe. Un regard oblique sur les monstres au cinéma.

 

« Monstres, faites-moi peur ! »

Pour cette 47ème édition des Rencontres d’Arles, la Maison d’Ailleurs a parcouru ses collections et choisi d’exposer 150 photographies de monstres – géants, vampires, mort-vivants, extraterrestres, créatures mythologiques, être anormaux et difformes –, créant ainsi l’exposition « Monstres, faites-moi peur ! ». Cette exposition exprime la valeur singulière de l’être différent au travers de l’imagerie issue des mauvais genres fictionnels ; elle confronte notre regard à l’idée de la norme – en proposant une approche qui ne se limite pas à la contemplation de l’anormalité – et invite à parcourir les marges de ce qui tend à nous rendre plus ou moins humain.

 

La sélection des images se concentre autour de deux axes névralgiques qui développent un réseau visuel différent faisant resurgir en fin de compte les idées du monstre. Plus précisément, l’exposition se compose d’une première série de portraits de monstres en plein cadre et d’une deuxième série où le monstre horschamp se construit par son absence même.

 

Les Rencontres d’Arles Avec une programmation composée essentiellement de productions inédites, les Rencontres d’Arles, festival international de photographie, recourent souvent à des collaborations avec des musées et des institutions françaises et étrangères. A travers plus de soixante expositions installées dans divers lieux patrimoniaux exceptionnels de la ville, le festival contribue chaque été – depuis 1970 – à transmettre le patrimoine photographique mondial. Grâce à une programmation composée essentiellement de productions originales, les Rencontres d’Arles sont devenues le festival de référence d’envergure internationale : être au fait de l’usage des nouvelles techniques, proposer à tous les publics une autre conception de l’exposition photographique et un vrai rapport à l’image, telles sont les missions des Rencontres d’Arles.

 

Communiqué de presse du 27 juin 2016

Jack Arnold: Creature from the Black Lagoon (1954), courtesy: Universal International Pictures

Jack Arnold: Creature from the Black Lagoon (1954), courtesy: Universal International Pictures

John Carpenter: Halloween (1978), courtesy: Compass International Pictures

John Carpenter: Halloween (1978), courtesy: Compass International Pictures

Bernard L. Kowalski: SSSSSSS (1973), courtesy: Universal Pictures

Bernard L. Kowalski: SSSSSSS (1973), courtesy: Universal Pictures

Autre festival culturel de l’été

La Maison d’Ailleurs au NIFFF La Maison d’Ailleurs participe également au NIFFF – Neuchâtel International Fantastic Film Festival – dans le cadre du programme du « NIFFF Extended ».

Le New Worlds of Fantasy est un forum littéraire qui explore les arcanes de la fiction fantastique contemporaine et ceci pour la sixième année consécutive.

Le 7 juillet prochain, l’illustrateur, scénariste et dessinateur de bande dessinée suisse Frederik Peeters donnera une conférence modérée par Marc Atallah, directeur de la Maison d’Ailleurs.

Communiqué de presse du 27 juin 2016

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PROGRAMME COMPLET FIBD 2016 ANGOULEME

PROGRAMME COMPLET

FIBD 2016

ANGOULEME

 

Vous trouverez ci-dessous en  PDF, le programme complet heure par heure du 44eme Festival International de la Bande Dessiné d’Angoulême.

 

A très bientôt, sur place…

PROGRAMME COMPLET FIBD 2016 ANGOULEME

Bande annonce officielle du festival 2016

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HUGO PRATT, rencontres et passages

 

43e Festival international

de la bande dessinée d’Angoulême

 

Exposition

“HUGO PRATT, rencontres et passages”

 

 

En attendant que soit dévoilé la semaine prochaine le programme complet de la 43e édition du Festival, lumière sur un autre incontournable du Festival 2016 :

 

L’exposition Hugo Pratt, Rencontres et passages.

 

Le 43e Festival international de la Bande Dessinée d’Angoulême rend hommage à Hugo Pratt, l’inoubliable créateur de Corto Maltese, et le tout premier président du Festival d’Angoulême ; vingt ans après la disparition de ce génie du 9e Art.

 

Alors que Corto Maltese renaît aujourd’hui grâce au nouvel album Sous le soleil de minuit par Rubén Pellejero et Juan Díaz Canales aux éditions Casterman, une exposition d’œuvres originales exceptionnelles met en exergue les influences littéraires qui ont nourri son inspiration : Stevenson, Shakespeare, Rimbaud, Kipling…

 

Cette exposition “Hugo Pratt, Rencontres et passages” retrace les nombreuses correspondances entre la vie et le travail de l’auteur vénitien à travers des originaux issus de plusieurs époques : dessins de recherche, planches originales en noir et blanc et en couleur, aquarelles, couvertures de revues… parmi lesquels se retrouvent ses créations les plus célèbres.

 

Une œuvre façonnée par un contact de tous les instants avec de la littérature et la poésie, qui reflète à merveille le cosmopolitisme et la curiosité de son créateur.

 

 

Communiqué de presse

11 DÉCEMBRE 2015

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Gilles Francescano devant l'exposition

Gilles Francescano devant l'exposition

Utopiales 2015

Entretien Gilles Francescano

 

Pour l’exposition L'espace d'un instant

 

Stéphane Dubois Gilles Francescano,

vous coordonnez une exposition de dessins faits par des détenus du Centre de Détentions de Nantes, comment vous êtes-vous retrouvé à la coordonner ?

Gilles Francescano

Chaque les Utopiales, nous mettons en place avec les Utopiales une relation avec les détenus du Centre de Détentions de Nantes, souvent nous envoyons un auteur présenter son œuvre et parler de la science-fiction en général. Nous avons souhaité cette année faire un travail plus long, plus approfondi, autour du dessin, en partant du postulat que tout le monde peu dessiné, s’exprimé autour du dessin.

 

L’idée était de leurs faires illustrer un texte, il fallait que cela soit un texte court, qu’il soit puisse nous parler que l’on connaît déjà, avec une approche autant science-fiction, humaniste et poétique. J’ais choisit d’une manière totalement arbitraire, des textes de Sylvie Lainé, avec qui je travaille habituellement et dont je connais bien l’œuvre, en collaboration avec Actus SF qui à offert les livres au Centre Pénitencier.

 

Les détenus étaient contents d’avoir les livres, et je suis intervenu après la lecture de l’ouvrage. L’idée était de les faire travailler autour de leurs ressentis.

 

Stéphane Dubois

Vous les avez fait travailler sur la base de «L’Opéra de Sahaya» et « Marouflage ».

 

Gilles Francescano

Ils se sont emparés des différents textes, voire des mélangeurs des deux textes. On a essayé de faire une synthèse de ce qu’ils avaient ressenti. J’ai eu de très bonne discussion avec les détenus, sur leurs ressentis, certains âpres les ateliers, sont venus me dirent qu’ils se mettaient au dessin, ayant pris beaucoup de plaisir à travailler de cette manière.

 

Stéphane Dubois

Il s’agit pour vous, d’une première expérience ce travail en milieu carcéral ?

 

Gilles Francescano

Oui, il s’agissait pour moi d’une première expérience, première rencontre, j’avais forcément un peu d’appréhension, avec les personnes que j’aurais en face de moi, je travaille beaucoup sur différents publics, mais en milieu carcéral s’était une première pour moi.

 

Dès la première rencontre, c’est le côté humain qui a été mis en avant, le fait d’être accueillis chaleureusement par les détenus, dans un milieu que l’on entend peu parler, avec leurs habitudes pour certains qui sont là depuis longtemps, leurs coutumes.

 

Beaucoup de discussions sur leurs ressentis à partir du texte, et liées à leurs propres « connaissances » du monde extérieur.

 

Stéphane Dubois

Ce groupe était composé de combien de personnes ?

 

Gilles Francescano

 

De 5 à 7 personnes, ils venaient parfois de manière aléatoire, en raison de leurs nombreuses activités, la bibliothèque est assez peu mise en valeur,  malheureusement car ils ont une très belle bibliothèque. D’expliquer la science-fiction à partir des ouvrages présents dans la bibliothèque. De pouvoir parler du festival des Utopiales, nous avons tout de suite essayé d’avoir une permission de sortie, pour certains détenus, deux d’entre eux, on put venir rencontrer Sylvie Lainé, voir l’exposition, les conférenciers, les autres intervenants, assistés à la projection de courts métrages, ils sont repartis des Utopiales enchantés.

 

Stéphane Dubois

Sur le plan graphique cela se passait comment, vous coacher, guidiez, conseiller, orienter ?

 

Gilles Francescano

Conseiller au départ, en essayant de les motiver au départ, je considère que tout le monde peut faire une belle image avec du temps, les aider à surmonter quelques difficultés. Certains dessinaient déjà, soit en bande dessinée, soit qui écrivait l’histoire de leurs vies à travers un roman.

 

Certains avaient déjà l’habitude de revenir sur leurs travaux et ont continué à travailler sur leurs dessins dans leurs cellules. À chaque nouvelle rencontre, j’avais une dizaine de nouveaux dessins.

 

L’exposition s’est donc étoffée rapidement.

 

Stéphane Dubois

Justement à ce sujet, comment la sélection s’est faite, il y-t-il eu une censure ?

 

Gilles Francescano

Au départ je ne voulais pas faire de sélection, je pensais que tous méritaient d’être montrés au vu de l’effort qu’ils avaient fourni. Les dessins peuvent être de qualité diverse en raison de la diversité des personnes, de leurs vécus, de leurs capacités. À part quelques dessins qui ont été écartés pour des raisons par exemple de nudité, nous aurions pu tous les exposer.

 

Stéphane Dubois

Quelles quantités dessins dans le cadre de cet atelier ont été réalisées.

 

Gilles Francescano

Plus d’une quarantaine de dessins ont été fait par les détenus, cette exposition après les Utopiales, vont être exposé de manière permanente dans la bibliothèque du Centre de Détention de Nantes.

 

Sylvie Lainé est venue rencontrerez dédicacer des livres, et des affiches du festival leur sont été offertes, pour les détenus qui avaient obtenu une permission de sortie pour les Utopiales, des conférenciers présents au festival les ont également rencontrés, ils ont pu assister également à une des sessions de projections de courts-métrages.

Stéphane Dubois

Certains connaissaient déjà la science-fiction ?

 

Gilles Francescano

Peu connaissaient la SF, beaucoup sont venus sans connaitre, certains voulaient juste échanger sur la SF, la littérature, sans pour autant participer à l’atelier de dessins.

 

D’autres avaient une importante connaissance de la science-fiction, soit via la littérature soit au travers du cinéma.

couverture du livre de Sylive LAINE, sur lequel les détenus on ttravaillés

couverture du livre de Sylive LAINE, sur lequel les détenus on ttravaillés

Parallèlement Sylvie Lainé est intervenue dans la partie « Femmes » du Centre de détention de Nantes.

 

Nous avons après entretien l’entretien rencontré aux Utopiales Sylvie Lainé, qui nous a confié qu’elle avait pour la première fois rencontré des femmes en détentions, que certaines d’entre elles lui avaient dit lire « que des livres parlant du réel et dur », elle nous a aussi confié le sentiment d’oppression qu’elle y avait ressenti, il lui fallait bien 20 minutes, pour franchir toutes les portes de sécurité, mais que ces rencontres avec des détenues, avait été mutuellement enrichissantes.

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Utopiales 2015 : Galactik Bricks

Utopiales 2015 :

Galactik Bricks

 

Durant le festival, les enfants et adolescents pourront créer des vaisseaux spatiaux en briques de  LEGO®.

Le jeu-concours  consistant a créer un vaisseau en briques   LEGO® , qui sera ensuite photographier et poste sur la page Facebook dédier (voir lien ci-dessous) permettras de gagné des boites.

Comme vous le voyez, il y a déjà de beaucoup de vaisseaux, l’objectif de 800 devrais largement être atteint, vous y verrez en plus une exposition.

Cette initiative est du à  Damien Labrousse, en association avec Brick Ouest et Metalobil.

 

 

Utopiales 2015 : Galactik Bricks
Utopiales 2015 : Galactik Bricks
Utopiales 2015 : Galactik Bricks
Utopiales 2015 : Galactik Bricks

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affiche de l'Exposition

affiche de l'Exposition

LA PREMIÈRE EXPOSITION DES 30 COUVERTURES LES PUS MARQUANTES DU BSC NEWS MAGAZINE ORGANISÉE PAR LA VILLE D'EPINAL À L'OCCASION DES IMAGINALES

 

 

À l'occasion de cette nouvelle édition des Imaginales d’Epinal qui se tiendront du 28 au 31 mai 2015 à Epinal, le BSC NEWS MAGAZINE est heureux d’être partenaire de cette manifestation littéraire importante de la littérature fantastique et de l’imaginaire.

 

À cette occasion, la Ville d’Epinal en partenariat avec le BSC NEWS MAGAZINE organise la toute première exposition des 30 couvertures les plus marquantes du BSC NEWS MAGAZINE réalisées par des illustrateurs internationaux de renom. Cette exposition est la première du genre depuis la création du webmagazine en 2007.

 

Elle permettra aux festivaliers de découvrir en exclusivité 30 couvertures issues de l’univers graphique du 1er webmagazine culturel français au fil des ans et des numéros.

 

Il sera donc possible de se plonger dans le vaste univers graphique du BSC NEWS Magazine grâce à une sélection minutieuse de 30 couvertures parmi lesquelles les travaux des illustrateurs suivants : Ray Caesar, Travis Louie, Benjamin Lacombe, Marion Peck, Alex Gross, Dan May,  Dean Yeagle, Mike Davis, Naoto Hattori, Nicoletta Ceccoli …

 

L’exposition sera située au cœur des Imaginales dans le Parc du Cours pendant toute la durée du Festival.

 

L'exposition se transférée ensuite dans le cadre bucolique du Printemps des Comédiens à Montpellier et sera à nouveau accrochée du 10 juin au 28 juin 2015 au cœur de ce festival de théâtre parmi les plus réputés en France.

 

Depuis leur création en 2002 par la Ville d'Epinal, les Imaginales n'ont cessé d'évoluer pour devenir l'un des premiers salons internationaux de littérature d'imaginaire, et en particulier de fantasy. Quatre jours durant, plus de 150 invités venant de divers horizons (France, Europe, Etats-Unis...), écrivains ou artistes, auteurs de romans historiques ou d'anticipation, de fantastique, de "bit lit", de contes et légendes, partagent leur passion avec un public chaque année plus nombreux.

 

Plus de 22 000 visiteurs se plongent ainsi dans ces mondes imaginaires, entre conférences, cafés littéraires et animations insolites, dans un parc ombragé et un parcours d’expositions dans toute la ville.

 

 

 

Communiqué de presse

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Exposition EDGAR P. JACOBS &amp; L’ESPADON

Exposition

EDGAR P. JACOBS & L’ESPADON

ZILLER – JUILLARD

 

Cette exposition est une évocation spectaculaire d’Edgar P. Jacobs et de l’ambiance qu’il a su créer au sein de sa série de BD d’aventures Blake et Mortimer.

 

Gilles Ziller et André Juillard exposent leurs créations nées des images inoubliables de Blake et Mortimer. Des sérigraphies inédites inspirées d’illustrations récentes de François Schuiten ornent également les cimaises.

 

Il s’agit de variations autour du Palais de Justice de Bruxelles.

 

E.P. JACOBS ET L’ESPADON

Edgar Pierre Jacobs, né en mars 1904 à Bruxelles, est devenu auteur de bandes dessinées à 40 ans. Tout au long de sa carrière, il n’a cessé d'expérimenter différentes techniques et divers styles.

 

En 1946, le Journal Tintin fait appel à son talent de dessinateur et scénariste pour la réalisation d’une série. Les autres auteurs ayant tous imaginé des aventures tournées vers le passé, Jacobs est chargé de concevoir une bande dessinée réaliste et contemporaine.

Le Secret de l’Espadon est né. Il paraît en épisodes hebdomadaires, en dernière page du journal.

 

L’Espadon est un avion sous-marin, un appareil capable de se soustraire à la surveillance de l’ennemi. De manière surprenante pour une histoire destinée aux enfants, Le Secret de l’Espadon offre aux lecteurs une aventure mettant en scène des quadragénaires et privilégie le point de vue des « méchants ». Cette Troisième Guerre Mondiale uchronique s’inspire des récits de Conan Doyle, H.G. Wells et Jules Verne.

 

Chez Jacobs, les cases fourmillent de détails, de décors et de couleurs remarquables, pour parfois constituer de petits tableaux en elles-mêmes. De la même manière, ses planches symétriques, même isolées, conservent leur harmonie et une valeur décorative certaine.

 

Le Secret de l’Espadon inaugure les aventures de Blake et Mortimer et remporte un succès immédiat qui ne s’est pas démenti depuis.

Exposition EDGAR P. JACOBS &amp; L’ESPADON

ANDRÉ JUILLARD & YVES SENTE LE BÂTON DE PLUTARQUE

En 2000, André Juillard et Yves Sente se projettent dans l’univers de Blake et Mortimer avec une première collaboration : La Machination Voronov.

 

Depuis qu’ils collaborent aux aventures de Blake et Mortimer, Juillard et Sente font référence à la série originelle. Tout autant, ils incorporent à la fiction des événements et des personnages ayant existé ou des allusions à des oeuvres connues. Ils respectent le monde de Blake et Mortimer, mais ancrent le récit dans la réalité contemporaine ou historiquement proche.

 

Tout comme le faisait Jacobs à l’époque où il concevait ses histoires.

Que s’est-il passé avant Le Secret de l’Espadon ? Blake et Mortimer se connaissaient ils durant la Deuxième Guerre mondiale ? Avaient-ils déjà rencontré Olrik ? La lecture attentive du Secret de l’Espadon indique que oui. L’action du Bâton de Plutarque s’achève donc en 1944, 90 minutes avant le début du légendaire Secret de l’Espadon.

 

GILLES ZILLER & ARCHIVES INTERNATIONALES

Savoir - faire et qualité d’une technique manuelle au service de l ’ image et de la couleur. Après des études de graphiste plasticien, Gilles Ziller enseigne le graphisme aux Beaux-Arts de Nancy et la sérigraphie aux Art Décoratifs de Paris.

Parallèlement, il édite des estampes en grand format extraites de planches de bande dessinée. Cette activité qui se développe en marge du marché de la BD est relativement nouvelle. Gilles Ziller crée les Archives Internationales en 1985 et se spécialise dans l’édition de sérigraphies.

Autour s’articule toute une série de ramifications aux formes diverses mais qui sont toutes conçues dans le souci d’une ligne graphique bien définie : logo, tampon, papier à lettre, cartes de voeux, catalogues. Ziller était le premier à éditer E. P. Jacobs en sérigraphie.

C’est par une nuit d’hiver, sur le parking d’une grande surface, après quelques appels de phares codés, que les deux hommes se rencontrent pour la première fois. Jacobsien féru, Ziller avoue que le personnage ne l’a pas déçu et qu’il reste pour lui le « Grand dessinateur ».

 

LES AUTEURS PARLENT DE JACOBS…

André Franquin « Edgar P. Jacobs restera pour moi l’auteur de bandes dessinées ‘réalistes’ le plus important que la Belgique ait jusqu’ici connu. Son ‘réalisme’ fut une transposition du réel extrêmement originale. Il est peut-être le seul à avoir réussi à créer des images inoubliables. Et créer des images inoubliables, c’est pour tous les dessinateurs l’aboutissement suprême. Celui dont, tous, nous rêvons et que nous essayons d’atteindre. Jacobs, lui, y est magistralement parvenu. » (Tintin n°13, 42e année, mars 1987).

 

François Rivière « Jacobs est un étonnant démiurge. Un créateur magique. Plus encore, peut-être, un initiateur hors-pair. Il a fait naître c’est sûr, de nombreuses vocations d’amateurs de mystères, de fantastique et d’anticipation scientifique, de même que, de façon plus restreinte, peut-être, des passions pour l’archéologie, l’anglophilie, la cybernétique – et nous savons bien que nous n’exagérons pas ! Les œuvres de Jacobs sont en effet plus que de simples romans d’aventures, encore qu’il convienne d’admettre que c’est en fonction de critères réservés à la littérature (et jamais appliqués aux bandes dessinées) qu’il faut les juger et les analyser. » (À l'ombre de la ligne claire. Jacques Van Melkebeke le clandestin de la BD, Vertige Graphic, 2002).

 

Jean Van Hamme « Parmi les histoires que publiait alors Tintin, on s’intéressait un peu à Corentin et pas du tout au Temple du soleil. Non, à l’école, nous ne parlions que de cet Espadon en avance sur son temps. On se demandait ce qui allait se passer la semaine suivante. On imaginait des rebondissements dont on débattait ensuite mais surtout, on poursuivait notre professeur de modelage qui était maquettiste aux Éditions du Lombard. Il avait donc plusieurs semaines d’avance sur nous. On l’assaillait, on le suppliait de nous raconter la suite. Il n’a jamais cédé. » (Jean-Luc Cambier, Eric Verhoest, Blake et Mortimer. Histoire d’un retour, éd Blake et Mortimer,Dargaud, Paris, 1996).

 

INFORMATIONS PRATIQUES

ORGANISATION ET SCÉNOGRAPHIE

Maison Autrique asbl

LIEU Maison Autrique

Chaussée de Haecht 266

B-1030 Schaerbeek (Bruxelles)

« EDGAR P. JACOBS ET L’ESPADON. ZILLER – JUILLARD. »

Du 05 décembre 2014 au 15 février 2015

Horaires d’ouverture :

du mercredi au dimanche (fermé les jours fériés) de 12h à 18h (dernière entrée 17h30). Groupes admis (maximum 15 personnes).

Réservation obligatoire pour les visites guidées.

Prix d’entrée : €3,00 – €5,00 – €7,00.

(communiqué de presse)

Exposition EDGAR P. JACOBS &amp; L’ESPADON

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Des Illustrateurs

à l'Hôpital Necker

– enfants malades

 

  

Les illustrateurs de l'école des loisirs inaugurent le service de pédiatrie générale de l'Hôpital Necker – enfants malades, AP-HP, à Paris Depuis le mois d'avril 2014, et jusqu'à Noël, treize illustrateurs* se succèdent bénévolement pour égayer les murs du service de pédiatrie générale de l’Hôpital Necker-Enfants malades, AP-HP.

 

Un pari réussi pour le plus grand plaisir des enfants hospitalisés et du personnel soignant !

 

Lorsque les artistes ont découvert les lieux, ils ont été impressionnés par le labyrinthe de couloirs. Ils ont souhaité aider les patients et leurs parents à mieux s’orienter. Nathalie Brisac, responsable de la communication de la maison, transmet ce souhait d’embellir les couloirs du service de pédiatrie aux Illustrateurs, qui se portent immédiatement volontaires.

 

Pour assurer une continuité et une cohérence dans l'espace, les illustrateurs, en étroite collaboration avec une décoratrice d'intérieur, ont ainsi imaginé un épais ruban bleu, courant sur les murs et reliant les dessins les uns aux autres.

 

Tel le fil d'Ariane, ce chemin guide les enfants dans ce dédale, laissant apparaître ici ou là un poussin farceur, un éléphant sous la douche ou encore un lapin amoureux.

 

Une réalisation qui a fédéré une équipe d’illustrateurs pour égayer le séjour des enfants et permettre aux équipes.

 

Liste des illustrateurs : Stephanie Blake, Isabelle Bonameau, Pascale Bougeault, Dorothée de Monfreid, Malika Doray, Bénédicte Guettier, Kimiko, Alan Mets, Lucie Phan, Claude Ponti, Audrey Poussier, Anaïs Vaugelade et Myrha Verbizh.

 

 

(Communiqué de presse)

 

 

Bien que n’étant pas tout à fait dans le thème du site, je pense que en cette période de fêtes, utile de la relié.

Dorothée de Monfreid

Dorothée de Monfreid

Anaïs Vaugelade

Anaïs Vaugelade

Myrha Verbizh

Myrha Verbizh

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Star Wars Identities

Star Wars Identities

Star Wars Identities Lyon

 

Jusqu’au 19 Avril 2015 l’exposition : Star Wars Identities s’arrête à Lyon  après Paris et Montréal avant de partir pour l’Allemagne.

Sur 2000m2 l’on découvre tout l’univers de cette célébrissime saga spatiale.

 En deux parties, l’exposition proprement dite, regroupant : maquettes, dessins originaux, costumes ou casque originaux des stromtroopers et des pilotes de X-Wing principaux personnages des films, ils furent conçus par Ralph Mcquarrie, ancien dessinateur chez Boeing et John Mollo qui avait participer au projet avorter du « Napoléon » de Stanley Kubrick ;

200 objets sont ainsi présentés au public, la plupart viennent du Skywalker Ranch en Californie, les plus impressionnants des objets présentés sont le Podracer grandeur nature d’Anekin Skywalker et bien sur la plaque de carbonite dans laquelle Han Solo est emprisonné, et qui est également grandeur nature, avec à côté d’un mannequin de la princesse Leia dans sa robe de prisonnière du harem dont l’habille Jabba le Hutt.

Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities
Star Wars Identities

Star Wars Identities

L’autre aspect de cette exposition est le parcourt personnel que fait le visiteur, en 10 stations on peut établir son propre personnage, les divers choix offre 50 millions de possibilités différentes a chacun, parfois un peu étonnant le résultat dépend du choix que chacun fait à chaque station, à certaines stations on est parfois un peu déstabilisée face un système pas toujours évident a utilisé à certaines stations, mais cela demeure très ludique et plaira aussi bien au plus jeune qu’aux fans de la première heure.

 

Avec l’approche des fêtes de fin d’année, les plus accros pourront faire le plein de cadeaux pour eux ou leurs proches à la boutique de l’exposition avec des centaines de produits à tous les prix. A voir absolument pour tous les fans de Star Wars et plus généralement de science-fiction.

Star Wars Identities
Star Wars Identities

Star Wars Identities

Star Wars Identities Lyon

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