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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Articles avec #alien

Science-fiction Magazine N° 116

Science-fiction Magazine N° 116

Science-fiction Magazine N° 116

Trimestriel, aout sept oct 2022

Ciné – TV – BD – Livres – Sciences

 

Le n° 116 comporte un entretien d’Austin Butler et un d’Olivia Dejonge, les deux absolument passionnant.

Personnellement, j’ai adoré, souvenir souvenir, le dossier sur les « Maîtres de l’Univers ».

Chaque génération à sa madeleine de Proust.

Dans la rubrique « histoire du cinéma », le dossier concernant : « Le Dragon du lac de feu », sortie le : 26 juin 1981 (États-Unis).

 

 

Bien sûr toutes les rubriques habituelles qui vous passionnent sont toujours présentes, vous trouverez le sommaire et les infos sur le fanzine, y compris pour la commander.

 

Pensez à faire connaître le site à vos amis et contacts.

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Science-fiction Magazine N° 116
Science-fiction Magazine N° 116

Science-fiction Magazine N° 116

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RIDLEY SCOTT RETRO

RIDLEY SCOTT RETRO

RIDLEY SCOTT RETRO

du 1er juin au 17 juillet 2022

 

L’Institut Lumière clôt sa saison en mettant à l’honneur l’un des plus grands cinéastes contemporains, auteur de quelques-uns des plus grands classiques de la fin du XXe siècle et du début du XXIe. Un conteur d’histoires hors pair, démiurge créateur d’univers et génial directeur d’acteurs. Fresques historiques, science-fiction, péplum ou film noir… du cinéma, rien que du cinéma.

 

 

Un géant insatiable : à près de 85 ans, Sir Ridley Scott – il a été anobli en 2003 – ne quitte pas les plateaux de tournage. Il achève un Napoléon (vu par Joséphine), projette une nouvelle suite de Alien… Non seulement l’âge décuple sa créativité, mais ses projets restent d’une ampleur peu commune, toujours plus spectaculaires. Sans doute s’agit-il de rattraper le temps perdu : Scott a près de quarante ans quand il tourne son premier long métrage, Les Duellistes (1977). Il a appris le cinéma sur le tas en réalisant des centaines de films publicitaires, devenant une sommité du genre. C’est sa puissance visuelle, souvent liée à de précises références picturales, et son savoir-faire technique qu’il va mettre au service de la fiction, sans jamais perdre de vue le plaisir et l’émotion du spectateur.

Si son nom reste associé à deux immenses classiques du cinéma de science-fiction, Alien – le 8e passager (1979) et Blade Runner (1982), ce n’est pas le genre qui l’attire en premier lieu. Parce qu’il a passé ses jeunes années à Londres sous les bombes allemandes, ses films sont d’abord traversés par les horreurs de la guerre : guerres impériales dans Les Duellistes, guerre sainte dans Kingdom of Heaven (2005), guérilla politique dans Robin des Bois (2010). Plus largement, les conflits de pouvoir et les trahisons qui les accompagnent le passionnent, que ce soit dans la Rome antique (Gladiator, 2000, avec son comédien fétiche, Russell Crowe), la pègre (American Gangster, 2007) ou au sein d’une richissime famille italienne (House of Gucci, 2021)... Navigant avec aisance entre les genres, les époques et les pays, Ridley Scott ressuscite une utopie hollywoodienne abîmée par l’air du temps, celle d’un cinéma à grand spectacle pour adultes. Le dernier des cinéastes classiques ?

 

 

AU PROGRAMME

SOIRÉE D’OUVERTURE RIDLEY SCOTT

Mercredi 1er juin

Présentée par Jérémy Cottin

19h30 Gladiator de Ridley Scott (2000, 2h35)

 

DOUBLE PROGRAMME BLADE RUNNER

Jeudi 9 juin

18h30 Blade Runner de Ridley Scott (1982, Final Cut 1h57)

21h Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve (2017, 2h43)

Tarif spécial : Pass 2 films

Pendant la soirée, invitation à la revue de cinéma Rockyrama et vente des trois numéros dédiés à Ridley Scott (Blade Runner, Alien et Ridley Scott)

 

VOYAGE À TRAVERS LE CINÉMA DE RIDLEY SCOTT

par Fabrice Calzettoni

Mardi 14 juin

18h30 Cinq séquences présentées et commentées par Fabrice Calzettoni : Alien, Blade Runner, Black Rain, Gladiator, Seul sur Mars (env. 1h)

20h Thelma et Louise de Ridley Scott (1991, 2h09)

 

CONFÉRENCE SUR RIDLEY SCOTT

Mercredi 22 juin

En présence de Marc Moquin, rédacteur en chef de la revue cinéma Revus & Corrigés, auteur de Tony et Ridley Scott, frères d’armes (2018, Playlist Society)

18h30 Conférence sur Ridley Scott (env. 1h15)

20h30 Les Duellistes de Ridley Scott (1977, 1h35)

 

DOUBLE PROGRAMME ALIEN AU COMMENCEMENT

Jeudi 30 juin

Animé par Jérémy Cottin

18h30 Prometheus de Ridley Scott (2012, 2h04)

21h15 Alien : Covenant de Ridley Scott (2017, 2h02)

Tarif spécial : Pass 2 films

Pendant la soirée, invitation à la revue de cinéma Rockyrama et vente des trois numéros dédiés à Ridley Scott (Blade Runner, Alien et Ridley Scott)

 

 

Les films de Ridley Scott seront projetés dans la version cinéma de leur sortie française, à l’exception de :

 

– Alien – Le 8e passager : version Director’s Cut de 2003

– Blade Runner : version Final Cut de 2007

– Kingdom of Heaven : version Director’s Cut, inédite au cinéma en France

 

Par ailleurs, des versions longues ou remontages de certains films ont été édités uniquement en vidéo. Ces DVD et Blu-ray de Legend, Gladiator, La Chute du faucon noir, American Gangster, Robin des Bois, Cartel… sont à découvrir à la Librairie du Premier-Film.

 

(Communiqué de presse)

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Radiant Black T01

Radiant Black T01

Radiant Black T01

Parution mai 2022

Robert Kirkman (invincible, Walking Dead)  à lui-même qualifier « Radiant Black » de : « Le comics de super-héros idéal pour les lecteurs en manque d’INVINCIBLE » quel compliment !

Ce premier tome rassemble les six premières histoires de la série originale.

À la fin de l’ouvrage, vous trouverez une galerie de couvertures américaines alternatives.

D’autres dessinateurs et scénariste devraient ce succédé.

 

Peut heurter la sensibilité de certaines personnes.

 

Pensez à laisser des commentaires.

Faites connaitre le site à vos amies et contacts.

 

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Résumé de la série :

Le renouveau des comics de super-héros passe par Radiant Black ! Cette série est exactement ce qu'il faut aux lecteurs en manque d'Invincible. Dixit Robert Kirkman !

 

Nathan Burnett vient d'avoir trente ans. Sa vie est moche. Il cumule deux emplois, s'endette trop et est obligé de retourner vivre chez ses parents. En revanche, quand il découvre et active le Radiant , un colossal pouvoir cosmique, son existence change du jour au lendemain ! Seul petit problème : les êtres cosmiques qui ont créé le Radiant veulent le récupérer... à tout prix !

 

Kyle Higgins

Est né en 1985 dans l’Illinois (USA)

Kyle Higgins est l’un des scénaristes américains du moment. Il a notamment travaillé sur Nightwing, Gates of Gotham et Batman Beyond 2.0. Il a également coécrit et réalisé le film The League, sur un syndicat de super-héros dans le Chicago des années 1960. Ce film a servi d’inspiration pour sa première série chez Image : C.OW.L.

Kyle Higgins

Dessinateur

Marcelo Costa, né un 19 décembre au Brésil, est illustrateur et coloriste et travaille dans les marchés de la bande dessinée et de la publicité. Lauréat du prix HQMIX du meilleur nouveau talent, en 2011. Participation en 2013 au projet Gazzara. En 2014, il a coloré les affiches officielles du premier volet de Comic Con Experience - CCXP, dessinées par Ivan Reis et Rafael Grampá. La même année, il écrit le scénario du court métrage basé sur sa bande dessinée "2028". En 2016, il participe au projet publicitaire Stealing Time de Chanel et Condé Nast avec Rafael Grampá. Il a également illustré et coloré l'une des histoires présentés dans l'album "Memórias do Mauricio", célébrant le quatre-vingtième anniversaire de Mauricio de Souza ainsi que le Comicbook Segundo Tempo, financé par le programme d'encouragement artistique de l'État de São Paulo. Il a aussi dessiné le BD "Classified", publiée en 2017 et coloré les arts conceptuels d'Ivan Reis pour les sculptures de Iron Studio, inspirés des personnages de DC Comics, Hawkman, Deathstroke, Shazam, Catwoman et Lex Luthor.

Radiant Black
Radiant Black
Radiant Black
Radiant Black
Radiant Black
Radiant Black

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LA VIE INATTENDUE DE TOM RILEY T01 – LA RÉVÉLATION

LA VIE INATTENDUE DE TOM RILEY T01 – LA RÉVÉLATION

LA VIE INATTENDUE DE TOM RILEY T01

 LA RÉVÉLATION

 

À quatorze ans, la vie de Tom Riley prend une tournure inattendue avec la disparition mystérieuse de ses parents. Son oncle n’a alors d’autre choix que de lui révéler la vérité : le monde est peuplé de milliers de créatures étranges protégées par l’Agence, une organisation secrète pour laquelle ses parents travaillent en tant que traqueurs. Avec l’aide de ses nouveaux amis apprentis traqueurs, Tom amorcera une enquête parallèle à celle dirigée par l’Agence pour tenter de retrouver ses parents.

 

William Arbour

William Arbour a fait ses études en histoire, cinéma et musique à l’Université Laval. Dans le cadre du genre fantastique, ce père d’une jeune lectrice aguerrie se fait un plaisir d’insuffler à son écriture la passion qu’il nourrit pour ces trois sujets.

 

Avec les aventures trépidantes du jeune Tom Riley, il propose donc, avec une approche descriptive de l’action et un grand désir de recherche, une toile tissée de mystère, des personnages attachants et beaucoup d’humour.

 

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

Date de parution             

Mai 2022

 

Auteur  William Arbour

Genre   Jeunesse

Collection La vie inattendue de Tom Riley

Univers Kennes

ISBN 9782380756852

Pages 360

Format 140 x 215 mm

Couverture Broché

€15,90

OÙ L'ACHETER ?

FAITES VOTRE CHOIX :

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Fnac France

Fnac Belgique

Cultura

Amazon

Espace Culturel E.Leclerc

Dans tous les hypermarchés et les bonnes librairies francophones !

 

Communiqué de presse

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«L’art de Giger puise essentiellement dans notre psyché et touche nos instincts et nos peurs primaires les plus enfouies.» Ridley Scott

«L’art de Giger puise essentiellement dans notre psyché et touche nos instincts et nos peurs primaires les plus enfouies.» Ridley Scott

L'opus magnum de HR Giger

 

 L’artiste suisse HR Giger (1940–2014) est surtout connu pour avoir créé le monstre de l’espace du film de science-fiction Alien (1979) de Ridley Scott, récompensé par un Oscar. Rétrospectivement, ce personnage ne représente qu’une des nombreuses représentations les plus populaires de l’arsenal de créatures biomécaniques de Giger où s’entrechoquent hybrides hommes-machines, images de puissance obsédante et psychédélisme obscur.

Ces visions convoquent autant les démons du passé qu’elles esquissent les mythologies du futur. Elles expriment avant tout les craintes et les fantasmes collectifs de son époque: la peur du nucléaire, de la pollution et de la surexploitation des ressources naturelles, ou celle d'un avenir où la survie de nos corps dépendrait des machines.

 

Entreprise peu avant le décès soudain de l’artiste, cette monographie au format SUMO rend hommage à la vision sans pareil de Giger.

Comprenant sept pages dépliantes, elle déroule l’histoire complète de sa vie et de son œuvre, ses sculptures, ses œuvres cinématographiques et ses légendaires couvertures d’album, de même que l’héritage qu’il nous a laissé dans son propre musée d’artiste et son café des Alpes suisses.

Dans un essai approfondi, Andreas J. Hirsch, spécialiste de Giger, nous plonge dans les thématiques propres à l’œuvre et à l’univers de l’artiste, tandis qu’une biographie détaillée s’appuie sur des citations de critiques contemporains et les propres écrits de l’artiste.

 

Édition collector limitée à 1.000 exemplaires numérotés et signés par Carmen Giger / la succession HR Giger. Également disponible en deux Éditions d’art.

  

Détails

HR Giger

 Édition de 1.000 exemplaires + 180 APs

Relié, avec pages dépliantes, sous coffret de luxe, 36,7 x 50 cm, 400 pages

 ISBN 978-3-8365-3820-6

Édition multilingue: Allemand, Anglais, Français

 

 

opus magnum  HR Giger

HR Giger. Art

Edition Nr. 1–100

‘Relief + Photogravure’

 

Édition d’art limitée à 100 exemplaires numérotés et signés par Carmen Giger / la succession HR Giger.

Comprend le moulage en relief Untitled (1964) et Gebärmaschine (Second state) (1965), impression en héliogravure, tous deux authentifiés par Carmen Giger / la succession HR Giger.

opus magnum  HR Giger

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Nicolas Antoniucci

Nicolas Antoniucci

Entretien Nicolas Antoniucci

 

Stéphane Dubois,

Vous avez été durant 40 ans architecte,  avant de devenir auteur, l’envie d’écrire vous est venue comment ?

 

Nicolas Antoniucci,

Cette envie a commencé chez moi très tôt, vers dix-huit ans, où pendant une petite dizaine d’années j’ai écrit quelques romans, aujourd’hui disparus. J’en garde des souvenirs d’insomnies, de pages blanches couvertes de textes écrits au stylo à plume, à l’encre noire, raturés en de nombreux endroits avec, dessus, des phrases réécrites et superposées et aussi ce qu’on appelle la cale de l’écrivain, un gonflement entre l’index et le majeur de ma main droite qui se sera formée, jours après jours, au contact du stylo. Je la conserve encore aujourd’hui.

 

Pendant cette période, j’aurai aussi passé beaucoup de temps à taper sur le clavier d’une machine à écrire portable, une légendaire Olivetti Valentine rouge, des histoires dupliquées sur du papier carbone, aujourd’hui pratiquement disparu. C’était une autre époque…. Mes lectures, Malraux, Steinbeck, Hemingway, Dostoievky… Aussi, pour moi, un roman devra toujours porter en lui une dimension aventureuse avec des voyages, du mouvement…des intrigues… du polard ou de la science-fiction, plutôt un mélange des deux.

 

Ensuite, j’ai rencontré l’architecture et c’est un métier qui m’aura passionné pendant quarante années et qui est, lui aussi, une sorte d’écriture..

 

Stéphane Dubois,

En quoi le fait d’avoir été architecte, métier à la fois technique et créatif,  peut avoir    Influencer votre manière d’écrire ? Charpenter vous, faite vous un plan précis avant de commencer l’écriture ?

 

Nicolas Antoniucci,

Non, non, ne confondons pas la conception de l’exécution.

Il y a de l’imaginaire dans l’architecture lorsqu’à partir d’une page blanche, la main armée d’un simple feutre ou crayon s’égare sur des fonctions ou des formes et noircit le papier.  On peut voir déjà, à travers ce dessin, y vivre l’homme….

Il y a de l’imaginaire dans un roman et en final ce sont aussi des feuilles blanches qui se noircissent par l’écriture et dans lesquels on y verra aussi vivre l’homme…

 

Lorsque je commence un livre, la vie autour de moi s’aligne sur cette histoire qui naît. Ma manière de penser en tient compte et des objets autour de moi retiennent mon attention, à la sortie des mots.

 

Si, dans Alcor Adam, mon dernier livre, je devais qualifier par mes rencontres avec des objets éphémères les quelques pages de mon livre qui décrivent l’astéroïde géocroiseur, sur lesquels se sont embarqués les cosmonautes et que j’ai décrit comme ressemblant à un œuf géant, cela serait, aperçu dans des brocantes, un œuf d’autruche, devenant soudain œuf cosmique, ainsi qu’une sculpture mélanésienne en bois de palmier représentant un personnage hideux, se tenant debout avec un ventre énorme et sphérique ; il semblait avoir mangé l’Univers, ou plutôt être l’Univers.

 

La cosmogonie est la base des religions des sociétés humaines traditionnelles, on y trouve leurs mythes fondateurs, des textes qui s’approchent de la science-fiction des sociétés modernes par la manière dont leurs légendes relatent souvent par métaphores l’origine du monde, les forces du cosmos.

 

La cosmogonie, en tant que création lointaine issue de la profondeur de l’âme humaine qui ne se soucie ni des différences de races ni des pouvoirs précaires face à l’éternité, donne en partie ses lettres de noblesse à la science-fiction d’aujourd’hui.

 

Les personnages de mes livres agissent et ce seront eux qui finalement, bien qu’invisible, la raconteront , me soumettront des écrits, des événements; ils m’accompagneront le temps de l’écriture et, ensuite, le livre étant bouclé, ils disparaîtront. 

 

Je ne suis donc qu’un transcripteur avec le plus de talent possible.

 

Stéphane Dubois,

Si vous deviez définir une ligne directrice dans votre œuvre, quelle serait-elle ?

 

Nicolas Antoniucci,

Ce sont, en principal, des livres de science-fiction agrémentés d’une histoire façon polard.

Je raconte des histoires d’hommes de notre époque évoluant dans des paysages imaginaires, différents des nôtres, dont j’ai modifié intentionnellement certains paramètres, en extrapolant leurs évolutions possibles dans le futur, souvent terrible du devenir de l’humanité.

 

 Soit, comme exemples, peuvent surgir au fil des pages et des romans :

Une évolution climatique déjantée servant de décors à un meurtre ou, sous diverses formes, l’apparition d’humanoïdes intelligents, des robots, des personnages publicitaires s’arrachant de leur support et prenant vie, des objets symboles surgissant de nulle part…

 

En conclusion, pour moi, notre environnement immédiat serait, dans la vraie vie, plus complexe, plus magique que nous pouvons le penser. Mes textes, par leurs aspects irréels et déjantés, en parlent sans pouvoir, ni chercher,  à donner d’explications.

 

Mais, soyons sérieux, chacun de nous porte en soi une poésie personnelle avec laquelle son esprit cohabite et que souvent il dissimule de peur de passer pour un artiste mais dans laquelle souvent sa pensée se réfugie.

 

J’ai beaucoup voyagé et l’histoire d’un de mes livres, Lucy Africa, se passe en Afrique noire… J’y raconte ce que je sais sur ce pays où, parfois, l’irrationnel est la norme.

 

Stéphane Dubois,

Dans votre dernier roman, « Alcor Adam », vous aborder le thème du voyage dans l’espace. Pourquoi avoir fait ce choix ?

 

Nicolas Antoniucci,

J’écris, nous venons de le voir, des livres de science-fiction et les immensités de l’espace sont un des terrains de jeux favoris de ses écrivains ; à ce titre, il est compréhensible que je m’en empare. De plus, quel plus beau voyage pourrait-on faire que celui qui nous mènera dans les étoiles ?

 

Je n’essaie pas d’utiliser la science de notre époque mais plutôt de laisser mon imagination s’exprimer et, parfois, trouver ses vérités, des vérités qui empruntent les chemins détournés de la poésie et du hasard.

 

Mon dernier livre, Alcor Adam, est une verticalité, un trajet, pour quelques hommes, entre la Terre et les étoiles que des millions de kilomètres séparent.

Les cosmonautes découvriront de nouvelles planètes gravitant autour de soleils dans des mondes symétriques aux nôtres. Elles leur seront devenues soudainement accessibles par leur rencontre dans l’espace avec des phénomènes naturels, jusqu’alors inconnues aux hommes. Des Aliens y vivent et ils auront avec eux des contacts, plus ou moins agréables…

 

Stéphane Dubois,

Généralement les « héros » de romans, se joignent aux rébellions, pour choisir de soutenir le pouvoir en place ?

 

Nicolas Antoniucci,

Che Guevara aura marqué l’esprit des hommes tant par ses actes que par son symbole de guerrier s’opposant aux pouvoirs en place. Les générations, en se suivant, auront repris ce modèle en le transcrivant à la façon de Zorro, un justicier masqué faisant face à un pouvoir systématiquement corrompu.

 

Aujourd’hui que se passe-il, Obama se rend à Cuba comme s’il ne s’était jamais rien passé, les anciens conflits rentrent dans les tiroirs de l’histoire. Il y a partout dans le monde des guerres dont les protagonistes, estimant prendre le rôle du justicier, veulent créer de nouveaux mondes certes, mais pour certains avec une forte implication à des retours de pensées parfois de type moyenâgeux, régressifs, niant les progrès du monde moderne. Ces progrès auront pourtant pris de nombreuses années, parfois des siècles, auront généré de nombreuses bagarres et ce sont maintenant des acquis de l’humanité, au stade où elle en est, et que nous ne saurions perdre.

 

Dans mon roman Alcor Adam et ses compagnons visitent une planète habitée par des communautés extraterrestres qui auront su créer un monde parfait, respectant écologiquement leur planète, établissant des relations claires et justes entre eux et cela sera pour ces raisons que naturellement ils se porteront à leur secours lorsqu’ils risqueront de disparaître face à des agressions d’une autre communauté extraterrestre belliqueuse arrivant d’une Terre symétrique tournant autour d’un soleil différent de l’Univers.

 

Stéphane Dubois,

Les lecteurs auront-ils  le plaisir de vous retrouver dans des salons littéraires, des lectures de textes, dans les semaines, voire les mois à venir ?

 

Nicolas Antoniucci,

Je suis de caractère assez solitaire, on me trouvera plus facilement dans une forêt que dans un salon littéraire mais, cette année, j’ai décidé de m’impliquer dans diverses activités autour de l’écriture.

 

Entre autres, j’ai participé, avec une nouvelle, au prestigieux prix Hémingway 2016 organisé par les Avocats du Diable, sans préjuger des résultats, je compte suivre quelques-unes de leurs différentes activités, tout au cours de l’année et d’autres activités aussi peut-être… Je vous tiendrais au courant…

Entretien Nicolas Antoniucci
Entretien Nicolas Antoniucci

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Master Class du Festival Lumière 2014

Les Master Class du Festival Lumière 2014

 

Des rencontres privilégiées avec les invités, à l’Institut Lumière.

Entrée libre, retrait nécessaire d’un billet.

 

Ouverture de la billetterie mercredi 24 septembre à 13h

 

 

Mardi 14 octobre à 11h

Patrick Brion maître d’œuvre du Cinéma de minuit, depuis 1976, sur France Télévisions. (à la villa Lumière)

 

Mardi 14 octobre à 14h30

Michel Legrand compositeur aux 200 musiques de films et aux 3 Oscars. (au Hangar du Premier-Film)

 

Mercredi 15 octobre à 10h30

L’édition de musique de films par Stéphane Lerouge (à la villa Lumière)

 

Mercredi 15 octobre à 11h30

Le cinéma français par Bertrand Tavernier (au Hangar du Premier-Film)

 

 

Mercredi 15 octobre à 15h15

Ted Kotcheff réalisateur canadien à la carrière marquée par le succès planétaire de son film Rambo. (à la villa Lumière)

 

 

Mercredi 15 octobre à 17h30

Warren Lieberfarb l’inventeur du DVD ! (à la villa Lumière)

 

Jeudi 16 octobre à 11h30

La reconstitution des génériques par Gaumont et les laboratoires Eclair (à la villa Lumière)

 

Jeudi 16 octobre à 18h

Michael Cimino auteur des mythiques Voyage au bout de l’enfer ou La Porte du paradis. (à la villa Lumière)

 

Vendredi 17 octobre à 16h30

Le western italien par Jean-François Giré, auteur d’un documentaire sur le sujet. (à la villa Lumière)

 

Samedi 18 octobre à 11h

Isabella Rossellini actrice, muse et artiste étonnante, l’une des invitées d’honneur du festival. (à la villa Lumière)

 

Samedi 18 octobre (heure à venir)

Jean-Pierre Jeunet  autour de Alien.

 

 

Prenez vos places !

Entrée libre, sur inscription (retrait d’un billet nécessaire), à prendre sur Internet ou dans les points de vente du festival. Il est recommandé de prendre son billet en avance.

 

Durée des master class : environ 1h.

 

Afin de satisfaire le plus grand nombre de demandes, le retrait est limité à 2 billets par personne.

 

(communiqué de presse)

 

lieu des master class

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Affiche Officielle Festival Lumiere 2014

Affiche Officielle Festival Lumiere 2014

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Festival Lumière 2014 Nuit Alien

Festival Lumière 2014 Nuit Alien

 

Samedi 18 octobre à 21h

à la Halle Tony Garnier

Petit-déjeuner offert.

 

 

Dans l'espace, personne ne vous entend crier... Qu'en sera-t-il à la Halle Tony Garnier ?

 

En 1979, Alien le 8e passager allait  terroriser des millions de spectateurs et révolutionner à la fois le cinéma d'horreur et la science-fiction. Ridley Scott, cinéaste esthète venu de la  publicité, signait là son deuxième film, et allait donner vie à l'un des plus beaux monstres de l'histoire du cinéma, avec la complicité du grand artiste suisse H. R. Giger, qui vient de nous quitter.

 

C'est le début d'une saga qui va marquer l'inconscient des spectateurs et bénéficier pour chacun de ses volets, fait rare, de cinéastes aussi singuliers que talentueux. Dans Aliens, James Cameron multipliera les monstres, dans une furie mécanique et guerrière, tandis que David Fincher, futur grand auteur de Seven et de The Social Network, revisitera le conflit de la Belle et la Bête sur une planète peuplée de prisonniers  devenus mystiques, dans Alien 3. Jean-Pierre Jeunet enfin, imprimera son esthétique si personnelle à la saga, entrainant ses créatures dans un ballet sous-marin terrifiant et poétique, dans Alien Résurrection.

 

Quatre réalisateurs pour une muse, Sigourney Weaver, farouche et déterminée, qui incarnera à jamais l'un des figures féminines les plus fortes de l’histoire du cinéma .

 

Une nuit qui s'annonce aussi festive qu'impressionnante! Après La Comédie américaine, La Science-fiction, Musique et cinéma, et enfin Les Monty Python, le cinéma de genre reprend ses quartiers à la Halle Tony Garnier, le samedi 18 octobre !

 

On retrouvera un dortoir derrière l’écran pour les plus fatigués (et les moins traumatisés), ainsi que le traditionnel petit déjeuner à l'issue du dernier film.

 

Venez vivre l’expérience Alien !

 

Programmation faite grâce à la Century Fox

 

Festival Lumière 2014 Nuit AlienFestival Lumière 2014 Nuit Alien

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